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Macpherson Exilia - The brightest colors fill my head
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Macpherson Exilia - The brightest colors fill my head | Ven 23 Nov - 13:02 Citer EditerSupprimer
Macpherson Exilia
A million dreams are keeping me awake.
IDENTITY CARD |
Il parait que... Ce qui faut retenir sur Exilia: - Sa langue maternelle est l'anglais et le français. - Sa langue seconde est le coréen, l'allemand. - Elle a vécu cinq ans à Séoul. - Elle est mère d'un petit garçon de cinq ans et demi. - Elle est une femme de lettres. - Elle déteste la télévision. - Exilia ne vas jamais parler de ses parents préfèrent dire qu'ils sont touts les deux décédés. - C'est une femme qui apprécie les soirées dans les night-clubs lorsqu'elle peut. - Elle a écrit deux romans du type érotiques traduits en français et coréen. - Son nom d'auteur est Macpher. - Son enfant ne fréquente pas une école publique mes privés. - Son anglais est assez remarqué. - Malgré qu'elle parle couramment coréen, son accent anglais prend souvent le dessus. - Elle a une chambre transformer en bibliothèque. - Elle ne parle jamais de sa vie privée. - Elle est allergique aux crevettes, noix et aux melons. - Exilia est végétalienne et membre de PETA ainsi que Green Peace. Rumeurs: | Dis nous qui tu es ! Comment pouvons-nous expliquer la complexité de cette demoiselle tout droit sortie du la monarchie? En abordant un sujet concret qui lui correspond ! Mais, tout comme son nom et prénom, cette demoiselle ne porte aucune grâce à votre personne. Il est compliqué d'aborder une approche remplie de mensonges ou derrière penser lorsque ce bout d'exotisme est près de vous. Son visage et sa langue de vipère pourraient vous surprendre plus qu'on peut y croire. Exilia n'est pas une princesse sans défense loin de là ! Avant-gardiste et aventureuse, sa fourbe la domine. Cette petite pousse de bambou préfère vivre sa vie en fond en espérant ne jamais être arrêtée. Bien que sa froideur est digne de sa beauté. Mais ce masque de femme autoritaire et glaciale n’est peut-être qu’une comédie ou pas. Elle affiche constamment un sourire séducteur. Sa haine et sa tristesse sont vaguement cachées derrière un masque de marbre. N'était pas amoureuse de ce pays, elle avance jour après jour en ayant un espoir. L'espoir de trouve une faille dans cette culture. Afin de s’intégrer sans difficulté. Exilia est une femme attrayante qui démontre son amour de la vie, son désir de tout apprendre et découvrir. Tout en cachant difficilement son instabilité. Ses émotions parfois trop fortes peu apporter quelques troubles de violence et de gêne. Exilia ne cesse de dire qu'elle se recherche en voulant sortir de cette vitrine. Ce n'est pas pour rien qu'elle ne souhaite aucune négativité dans sa vie à part la sienne. Elle rejette donc facilement les gens négatifs sans aucune honte. Ceux qui ont perdu toute chance d'avenir à ses yeux. Ceux qui sont classés dans sa bible comme ''Rejet'' ou ''Sans avenir''. Toutefois, si son cœur bat pour vous et que vous sachiez comment l'approcher correctement, elle devient l'amie qui ne faut pas perdre. La demoiselle sera alors enjouée, engagée, arbitraire, à l'écoute, amicale, réconfortante, protectrice. En autres, elle deviendra ce petit ange assis sur votre épaule vous protégeant constamment. Cependant, son amitié n'est pas à prendre à la légère. Exilia n'est pas une femme qui offre de deuxièmes chances. Elle, vous oublie rapidement lorsque vous la trahissez ou lorsque vous lui oser lui mentir. Elle désire un respect en tout temps et rien d'autre. Se faire prendre comme une poupée de luxe la dégoute. Si, si vous avez l'affront de moindrement la prendre de haut ou même de lui faire un coup bas, son côté rancunier embarque. Il sera alors impossible de lui parler. Elle pourra devenir violente ou même la pire des garces. Ce n'est pas pour rien qu'elle est souvent comparée à Harley Quinn qui a changé radicalement de comportement via la société. En autre, on la gagne facilement, mais lorsqu’on la perd, il n’y a plus aucune chance de pouvoir la retrouver. Malgré son caractère malsain, on ne peut oublier son grand cœur souvent détruit. Cette jeune adulte perçoit l’univers d’une façon scientifique. Observant et examinant la personne l’abordant. Elle prend note de ses manies, sa diction verbale, ses gestes. Exilia préfère étudier la personne avant de lui faire face. Elle peut ainsi découverts ses pires défauts. Bien que ce comportement semble digne des voyeurs. Il faut comprendre qu’elle est maladroite lorsqu’il s’agit d’amitié et même d’amour. Elle est souvent gaffeuse du a son caractère. Ses paroles souvent narcissiques ou même sarcastiques peuvent blesser sans qu’elle le réalise. Il ne faut donc jamais rien prendre de personnel avec notre petite diva. Il donc normal que ses relations amoureuses sont souvent digne des pires comédies romantiques. Exilia devient une femme amoureuse. Elle n’a pas peur de démontrer son amour en devenant tendre et quelques fois lourde. Elle ne sait jamais quand arrêter et comment agir. Exilia devient maladroite et oublie qu’un couple est un travail de tous les jours. Elle ne souhaite aucunement devenir étouffante ou même lourde, elle délaisse donc régulière l’homme qu’elle pour une soirée amie ou autres. Bien qu’elle souhaite du sérieux, le fait d’avoir grandis auprès d’une mère dépendent affective la toujours traumatisé. Elle ne désire aucunement être soumise ou devoir suivre son copain comme monsieur le souhaite. Ce qui vient souvent détruire son couple. En autre, cette demoiselle a un bon cœur et un bon fond. Mais son égocentrisme et sa soif de liberté lui causent souvent des ennuis…sans oublier que cette demoiselle à la peau de porcelaine est bipolaire. |
TON PSEUDO Cette fois c'est au drôle de loustic caché derrière l'avatar qu'on s'intéresse. Fais tomber le masque, déballe ton bail. Quoi, t'as du mal ? Allez, quelques idées d'infos à nous fournir pour te débloquer : T'as quel âge ? Tu viens d'où ? C'est quoi tes passions dans la life ? Tu rp depuis longtemps ? Comment t'as connu STW ? Btw tu t'es lavé sous les bras ? ♡
ps; supprimez le code inutile. |
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Re: Macpherson Exilia - The brightest colors fill my head | Ven 23 Nov - 13:02 Citer EditerSupprimer
It's my life...
et là une petite citation...
Je me pose souvent la question sur mon existence. J'ai la drôle d'impression d'être une simple poupée sans vie. Une petite figurine diriger par des bouts de ficelles invisibles. Si, on m'ordonne...j'obéis. Il est dit que nous sommes maîtres de notre destin. Je ne suis pas le maître de la mienne alors ! Pourtant avec un peu de courage et de force, je serais capable de devenir cette personne. Je me dis qu'il serait si simple de devenir cette reine. La beauté même de cette enveloppe charnelle qui renferme mon âme. Mais, les paroles qui m'ont accompagnée tout le long de ma vie disent le contraire. Triste ! Ennuyeux ! On se demande pourquoi les gens déposent sur moi un regard de dégout ou même de mépris. Ils croient surement que le rat de bibliothèque que je suis est une sainte. Pur oui, saint non !
Je me suis tellement efforcée de ne pas être amère et d'atteindre le difficile point d'équilibre, la mince frontière qui sépare la lucidité de la vie. Ce n'est jamais facile. Il y a un certain nombre de choses qui arrivent quand notre routine habituelle vient à être bouleversée. Ce qui est ridicule, quand on y pense, parce que tout le monde connait cette émotion. Cette sensation d'être perdu face à l'inconnu. Lorsqu'on se demande quel chemin devrons-nous prendre. Cette difficulté qui nous fait hésiter. Celle de ne plus comprendre qui nous sommes. Je fais face à celle-ci. Je me balade de droite à gauche. Cherchant une réponse qui ne vient pas. Tendant les mains devant moi en ayant espoir d’y déposer mes paumes pour la renfermer au creux de mes mains.
Je n’ai jamais voulu être la fille unique de cette famille bourgeoise britannique. J’ai toujours été celle voulant m’éloigner de cet enfer. Laisser mon image derrière un rideau. Mais, j’ai bien beau vouloir, mais je ne pouvais pas. Mes discutions et mon désires passaient toujours dernier !
L'entrée à l'université est un moment crucial, important, essentiel pour un avenir. Elle permes a une personnalité vagabonde de se retrouver pour y construire un cheminement durable. Dans notre société d'aujourd'hui, a première question qu'on vous pose lors d'entrevus est votre prénom. La seconde n'aborde aucunement votre âge ni vos origines. Il s'agit de : quelles études, avez-vous fait ? La troisième sera quelle université avez-vous fréquenté et pourquoi ce choix ? C'est pour cette raison que depuis mon plus jeune âge, on m'a préparée, je pourrai même dire oublier. Je devais être parfaite en tout. La petite fille de bonne famille devait avoir : de bonnes manières, des paroles bien formuler, ne jamais aborder une attitude du bas monde. Ma famille n'a jamais voulu que je baisse les bras. À leurs yeux, il fallait que je sois parfaite. Alors dès mes premiers pas dans un établissement scolaire, mes options, mes activités hors écoles ont toutes été choisies pour le jour de mon examen d'entrée à l'université ainsi que pour un futur mari combler. Entres les cours privés et les cours de ‘’comment être une future femme au foyer sans tâche’’, ma vie sociale n’existait pas. Au travers de leurs yeux, je suis après vivre la vie que ma mère rêvait de vivre. La preuve, elle avait que j'irais à cette université tout comme celle qu'elle avait fréquentée avant de rencontrer mon père. Mon futur époux avait été choisi alors que je grandissais dans son ventre. Mais je ne réalisais pas que ses choix allaient être aussi complexes. J’aurais pourtant aimé tout choisir par moi-même. Sans cuivres une route définit. Alors, ma maîtrise et mes études mineures avaient toutes été calculées. Hors de question de faire autrement... Au moins...j’allais pouvoir vivre à New York.
Toutefois, je lui aurais tout donné si elle avait demandé. Mais, contrairement à ceux qui espérait me voir dévier de sa cage dont je suis prisonnière, je restais assise en l'observer. Cette femme m'ayant donné naissance a tout laissé tomber pour les yeux d'un homme. Sa vie ordinaire comme américaine. Mais, cet homme n'aurait jamais dû la croiser. Ses belles paroles, son apparence de la haute société n'ont été qu'une partie de son charme. Elle est devenue aisée , une famille importante de l'Angleterre avec honneur. Dès ma naissance, il m'offrit tout son amour.... l'amour qui partageais avec mes quatre autres frères. Sauf, que derrière l'image de la famille royale parfaite, il s'amusait à visiter le lit d'autres femmes. Ma mère avait tout renié y compris sa famille ! Se laissant apporter par les lois de la monarchie. Voilà la récompense. Elle avait marié un beau parleur, un homme appréciant les femmes, le pouvoir et la dictature. Un roi pire que César et son égo et une reine très avare d’argent. Dieu merci ! Séoul est ma porte de sortie de ce cercle remplie de mensonges et fausses images.
Cinq longues années, mes 18 ans à mes 22 ans avaient été dignes d’un conte de fées ! Avant que la roue tourne
_____
À mon réveil, l’autre côté du lit est froid. Je tâtonne à la recherche d’une présence inconnue. Cette fâcheuse habitude ne m’a pas quittée depuis près de deux ans. Je recherchais toujours cette source de chaleur et d’amour m’ayant arraché d’une main féroce mon cœur battant. Je serais entre ma main froide le drap refroidi par la fenêtre légèrement ouverte. J’ouvris doucement les yeux en réalisant que mes rêveries étaient purement fantaisie. Un simple rêve qui me hantait lorsque ma solitude se faisait ressentir. Je me redresse sur un coude en regardant au coin de ma chambre. Il y a suffisamment de lumière dans cette chambre royale pour éclairer le petit visage endormi de cet ange. Je l’observais dormir telle une fée marraine. Cette source de bonheur me fit sourire dans la péninsule de la pièce. Je l’observais dormir pelotonné contre son renard en peluche. Collant sa petite joue contre le nez du jouet. Le visage de Anthony frais comme le rosé. L’innocence et la paix se dessinaient sur son visage. Il était là dormant comme si rien pouvait le blesser ni le déranger. Cependant, si seulement, s’il savait que ce petit monde au goût de la royauté allait changer, et tout cela, par la cause de son grand-père. Cet homme avare ! Estimant qu’une bonne image valait mieux que les sentiments de ça file. Il n’aurait jamais dû ! Jamais ne durent me menacer en prenant mon enfant, mon diamant comme négociation. Un échange pour échange. Je me laissais retomber contre mon oreiller. Mon regard se posa sur le plafond qui accueillait depuis peu les premières lueurs du soleil. Je soupirais. Allais-je vraiment faire un tel acte ? Je recouvrais mes yeux de mon bras. Cachant ainsi toutes visions. Fermant les paupières, je laissais ma respiration devenir lente presque absente. Puis, les images me reviennent. Ses souvenirs précieux, mais douloureux.
Devrais-je me sentir coupable ? Suis-je une idiote ? Pas réellement. J’avais toujours vécu sous la surveillance offerte à la famille royale, mais à dix-huit ans, mais mon goût de l’aventure me permit de tout quitter pour vivre le rêve américain dû moins la version coréenne. Vivre un rêve comme étudiante. Je me rappelle d’avoir abordé le sujet délicat avec cet homme capricieux. Il avait accepté, mais je devais respecter un contrat invisible émis par lui. Vivre sous la tutelle d’une nourrice. Comment aurais-je pu dire non ? J’allais pouvoir fuir et vivre librement sous quelques conditions minimes. Cependant, moi qui désirais vivre librement et caché de tous, mais le contraire de se fit pas attendre. Entre les paparazzis qui annonçait mon arrivé à l’aéroport et ma courte tentative de fuir ma nourrisse, mon entré à l’université ne passa pas inaperçus. Je pouvais faire autrement et me laissais séduire par la popularité. Adieu espoir d’être invisible et bonjour mean girl !
Puis sans prévenir, il est apparu. Celui aux lèvres délectables. Je n’aurais pu penser une seconde qu’une amitié tel que nous partageons aurait été plus loin. Cependant, lors d’une soirée arrosée tout changea par l’intermédiaire d’un jeu. Comment s’appelait-il ? Ha ! Oui ! Action ou vérité. Un simple gage qui créa en lui tout comme en moi des palpitations. Il avait approché ses lèvres contre les miennes, les laissant se caresser doucement dans une danse sensuelle puis mes lèvres s’entrouvrent le laissant se faufiler. À cet instant, nos langues se mirent à danser. Partageant entre elles une danse sensuelle qui ne passait pas inaperçu. Dire que ce simple baiser avait eu le pouvoir de changer une amitié de longue date en relation. J’ai pu le découvrir et apprendre à le connaitre sous un autre jour. Malgré les désaccords d’une relation si impure aux yeux de mon paternel, je continuais sans relâche. Il apportait en moi cette flemme que toutes femmes désirent ressentir. Je lui offris ce qui était le plus précieux pour moi, ma pureté. Cette petite chose fragile se cachant en nous. Il brisa ce mur protecteur en me faisant connaitre le ciel. Cependant tel un archange, le sol s’écroula sous mes pieds après un an. Je croyais être la seule dont ses mains parcouraient chaque parcelle de peau, ses baisés qui m’avait parcourus. Mais, je me trompais. On avait joué au chat et à la souris en cachant notre relation à plusieurs pendant deux mois, mais le secret aurait dû rester ainsi. Moi qui avais cru à l’amour avec un grand a venais de comprendre que l’amour est le pire des sentiments.
Je me souviens encore de ton visage lorsque tu compris que j’avais découvert l’acte impardonnable que tu avais commis. Je laissais mes prunelles regarder les tiennes en te laissant lire en moi et d’une simple voix vibrante je laissais sortir faiblement « Au revoir et merci. ». Dire-je en me retournant. Je quittais le dortoir dont tu faisais partie. Je ne me retournais aucunement pour ne pas verser la moindre larme. Ma personne avait été détruite et ma fierté aussi. Je descendais la dernière marche de l’escalier et saluais mon chauffeur. Je regardais les drapeaux attacher à la voiture vaguant sous le souffle du vent. Je pris une grande respiration et embarquais dans la voiture de l’ambassade. J’enfilais la ceinture et demandais à ma surveillante d’embarquer avec le chauffeur. Je regardais la vitre noir qui me séparait d’eux et laissait ma première larme descendre contre ma joue, je me serais ma robe blanche en criant et pleurant comme jamais. Je me détestais ! Je détestais ma naïveté, ma stupidité ! Je détestais qui j’étais ! Je m’insultais de tous les noms. Je laissais ma voix remplie de rancœur parcourir la voiture. Je n’étais pas choquée contre cette femme ayant partagé son lit ! Non ! Elle était seulement celle ayant profité d’un bénéfique, mais j’étais furieuse contre lui. Je regrettais d’avoir quitté la Grèce pour vivre ici. Je regrette d’avoir partagé son amitié, son amour, ses baisés et lui avoir tout donné. Je ne lui avais pas donné de chance de s’expliquer ni de me parler. J’étais peut-être égoïste ou lâche ! Mais, je ne pouvais vivre ici et marcher dans les couloirs qui allaient tout me rappeler. Je n’avais pas cette force. Je n’avais pas la force de mes belles-sœurs ni de ma mère. Je détestais mon père et mes frères de commettent se genre de geste, alors lui … Je restais ainsi jusqu’à l’aéroport. Je montais dans notre jet privé et quitta ce pays misérable. Assise confortablement dans le siège de l’avion, je me laissais séduire par Morphée. À bout de souffle, mes larmes décidèrent de ne plus apparaitre. Dans un dernier reniflement, je fermais mes yeux et dormis.
J’enlevais le bras qui recouvrait mes yeux. Notre relation avait été détruire par le pire sort, mais il m’avait offert quelques choses de merveilleuses. Une chose que je n’aurais pus remédier. Ce petit prince au sourire guérisseur. Un enfant surpris ! Je n’aurais pu remédier même-ci on a bien essayé. Je me levais de mon lit et avançais vers lui. Je me laissais tomber sur le sol et le regardait entre les barreaux.
« Nous allons fuir ! Jamais, je vais laisser ton grand-père choisir un replaçant. Je suis celle qui te guidera ! Nous allons retourner vers à Séoul pour notre propre vie. Mon cœur, mon enfant ! Pardonne-moi de faire des erreurs. Je ne suis pas parfaite et je ne le serais jamais. J’essaie simplement de te donner ce qu’il a de mieux et pour le moment on délaisse cette maison. »
Je me relevais et me dirigeais vers la salle de bain. Je pris le temps de me préparer. Mon grand frère m’aida à partir sans que personne ne réalise. Je pris alors Anthony et quittais ma maison pour retourner ou là à tout commencer.
------
Il n'y a rien de facile. La difficulté fait partie de notre existence. Il faut l'accueil bras ouvert et travailler avec elle. Mais, il faut être vigilant avec les sorts malicieux qui se trouvent avec lui. Après tout ! Depuis près trois ans, je vis à Séoul comme enseignante. J'ai eu de la chance dans ma mal chance. Il avait un poste de libre et j'ai obtenu ce poste. Je me sens comme le personnage principal d'un sop opera !
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Je me suis tellement efforcée de ne pas être amère et d'atteindre le difficile point d'équilibre, la mince frontière qui sépare la lucidité de la vie. Ce n'est jamais facile. Il y a un certain nombre de choses qui arrivent quand notre routine habituelle vient à être bouleversée. Ce qui est ridicule, quand on y pense, parce que tout le monde connait cette émotion. Cette sensation d'être perdu face à l'inconnu. Lorsqu'on se demande quel chemin devrons-nous prendre. Cette difficulté qui nous fait hésiter. Celle de ne plus comprendre qui nous sommes. Je fais face à celle-ci. Je me balade de droite à gauche. Cherchant une réponse qui ne vient pas. Tendant les mains devant moi en ayant espoir d’y déposer mes paumes pour la renfermer au creux de mes mains.
Je n’ai jamais voulu être la fille unique de cette famille bourgeoise britannique. J’ai toujours été celle voulant m’éloigner de cet enfer. Laisser mon image derrière un rideau. Mais, j’ai bien beau vouloir, mais je ne pouvais pas. Mes discutions et mon désires passaient toujours dernier !
L'entrée à l'université est un moment crucial, important, essentiel pour un avenir. Elle permes a une personnalité vagabonde de se retrouver pour y construire un cheminement durable. Dans notre société d'aujourd'hui, a première question qu'on vous pose lors d'entrevus est votre prénom. La seconde n'aborde aucunement votre âge ni vos origines. Il s'agit de : quelles études, avez-vous fait ? La troisième sera quelle université avez-vous fréquenté et pourquoi ce choix ? C'est pour cette raison que depuis mon plus jeune âge, on m'a préparée, je pourrai même dire oublier. Je devais être parfaite en tout. La petite fille de bonne famille devait avoir : de bonnes manières, des paroles bien formuler, ne jamais aborder une attitude du bas monde. Ma famille n'a jamais voulu que je baisse les bras. À leurs yeux, il fallait que je sois parfaite. Alors dès mes premiers pas dans un établissement scolaire, mes options, mes activités hors écoles ont toutes été choisies pour le jour de mon examen d'entrée à l'université ainsi que pour un futur mari combler. Entres les cours privés et les cours de ‘’comment être une future femme au foyer sans tâche’’, ma vie sociale n’existait pas. Au travers de leurs yeux, je suis après vivre la vie que ma mère rêvait de vivre. La preuve, elle avait que j'irais à cette université tout comme celle qu'elle avait fréquentée avant de rencontrer mon père. Mon futur époux avait été choisi alors que je grandissais dans son ventre. Mais je ne réalisais pas que ses choix allaient être aussi complexes. J’aurais pourtant aimé tout choisir par moi-même. Sans cuivres une route définit. Alors, ma maîtrise et mes études mineures avaient toutes été calculées. Hors de question de faire autrement... Au moins...j’allais pouvoir vivre à New York.
Toutefois, je lui aurais tout donné si elle avait demandé. Mais, contrairement à ceux qui espérait me voir dévier de sa cage dont je suis prisonnière, je restais assise en l'observer. Cette femme m'ayant donné naissance a tout laissé tomber pour les yeux d'un homme. Sa vie ordinaire comme américaine. Mais, cet homme n'aurait jamais dû la croiser. Ses belles paroles, son apparence de la haute société n'ont été qu'une partie de son charme. Elle est devenue aisée , une famille importante de l'Angleterre avec honneur. Dès ma naissance, il m'offrit tout son amour.... l'amour qui partageais avec mes quatre autres frères. Sauf, que derrière l'image de la famille royale parfaite, il s'amusait à visiter le lit d'autres femmes. Ma mère avait tout renié y compris sa famille ! Se laissant apporter par les lois de la monarchie. Voilà la récompense. Elle avait marié un beau parleur, un homme appréciant les femmes, le pouvoir et la dictature. Un roi pire que César et son égo et une reine très avare d’argent. Dieu merci ! Séoul est ma porte de sortie de ce cercle remplie de mensonges et fausses images.
Cinq longues années, mes 18 ans à mes 22 ans avaient été dignes d’un conte de fées ! Avant que la roue tourne
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À mon réveil, l’autre côté du lit est froid. Je tâtonne à la recherche d’une présence inconnue. Cette fâcheuse habitude ne m’a pas quittée depuis près de deux ans. Je recherchais toujours cette source de chaleur et d’amour m’ayant arraché d’une main féroce mon cœur battant. Je serais entre ma main froide le drap refroidi par la fenêtre légèrement ouverte. J’ouvris doucement les yeux en réalisant que mes rêveries étaient purement fantaisie. Un simple rêve qui me hantait lorsque ma solitude se faisait ressentir. Je me redresse sur un coude en regardant au coin de ma chambre. Il y a suffisamment de lumière dans cette chambre royale pour éclairer le petit visage endormi de cet ange. Je l’observais dormir telle une fée marraine. Cette source de bonheur me fit sourire dans la péninsule de la pièce. Je l’observais dormir pelotonné contre son renard en peluche. Collant sa petite joue contre le nez du jouet. Le visage de Anthony frais comme le rosé. L’innocence et la paix se dessinaient sur son visage. Il était là dormant comme si rien pouvait le blesser ni le déranger. Cependant, si seulement, s’il savait que ce petit monde au goût de la royauté allait changer, et tout cela, par la cause de son grand-père. Cet homme avare ! Estimant qu’une bonne image valait mieux que les sentiments de ça file. Il n’aurait jamais dû ! Jamais ne durent me menacer en prenant mon enfant, mon diamant comme négociation. Un échange pour échange. Je me laissais retomber contre mon oreiller. Mon regard se posa sur le plafond qui accueillait depuis peu les premières lueurs du soleil. Je soupirais. Allais-je vraiment faire un tel acte ? Je recouvrais mes yeux de mon bras. Cachant ainsi toutes visions. Fermant les paupières, je laissais ma respiration devenir lente presque absente. Puis, les images me reviennent. Ses souvenirs précieux, mais douloureux.
Devrais-je me sentir coupable ? Suis-je une idiote ? Pas réellement. J’avais toujours vécu sous la surveillance offerte à la famille royale, mais à dix-huit ans, mais mon goût de l’aventure me permit de tout quitter pour vivre le rêve américain dû moins la version coréenne. Vivre un rêve comme étudiante. Je me rappelle d’avoir abordé le sujet délicat avec cet homme capricieux. Il avait accepté, mais je devais respecter un contrat invisible émis par lui. Vivre sous la tutelle d’une nourrice. Comment aurais-je pu dire non ? J’allais pouvoir fuir et vivre librement sous quelques conditions minimes. Cependant, moi qui désirais vivre librement et caché de tous, mais le contraire de se fit pas attendre. Entre les paparazzis qui annonçait mon arrivé à l’aéroport et ma courte tentative de fuir ma nourrisse, mon entré à l’université ne passa pas inaperçus. Je pouvais faire autrement et me laissais séduire par la popularité. Adieu espoir d’être invisible et bonjour mean girl !
Puis sans prévenir, il est apparu. Celui aux lèvres délectables. Je n’aurais pu penser une seconde qu’une amitié tel que nous partageons aurait été plus loin. Cependant, lors d’une soirée arrosée tout changea par l’intermédiaire d’un jeu. Comment s’appelait-il ? Ha ! Oui ! Action ou vérité. Un simple gage qui créa en lui tout comme en moi des palpitations. Il avait approché ses lèvres contre les miennes, les laissant se caresser doucement dans une danse sensuelle puis mes lèvres s’entrouvrent le laissant se faufiler. À cet instant, nos langues se mirent à danser. Partageant entre elles une danse sensuelle qui ne passait pas inaperçu. Dire que ce simple baiser avait eu le pouvoir de changer une amitié de longue date en relation. J’ai pu le découvrir et apprendre à le connaitre sous un autre jour. Malgré les désaccords d’une relation si impure aux yeux de mon paternel, je continuais sans relâche. Il apportait en moi cette flemme que toutes femmes désirent ressentir. Je lui offris ce qui était le plus précieux pour moi, ma pureté. Cette petite chose fragile se cachant en nous. Il brisa ce mur protecteur en me faisant connaitre le ciel. Cependant tel un archange, le sol s’écroula sous mes pieds après un an. Je croyais être la seule dont ses mains parcouraient chaque parcelle de peau, ses baisés qui m’avait parcourus. Mais, je me trompais. On avait joué au chat et à la souris en cachant notre relation à plusieurs pendant deux mois, mais le secret aurait dû rester ainsi. Moi qui avais cru à l’amour avec un grand a venais de comprendre que l’amour est le pire des sentiments.
Je me souviens encore de ton visage lorsque tu compris que j’avais découvert l’acte impardonnable que tu avais commis. Je laissais mes prunelles regarder les tiennes en te laissant lire en moi et d’une simple voix vibrante je laissais sortir faiblement « Au revoir et merci. ». Dire-je en me retournant. Je quittais le dortoir dont tu faisais partie. Je ne me retournais aucunement pour ne pas verser la moindre larme. Ma personne avait été détruite et ma fierté aussi. Je descendais la dernière marche de l’escalier et saluais mon chauffeur. Je regardais les drapeaux attacher à la voiture vaguant sous le souffle du vent. Je pris une grande respiration et embarquais dans la voiture de l’ambassade. J’enfilais la ceinture et demandais à ma surveillante d’embarquer avec le chauffeur. Je regardais la vitre noir qui me séparait d’eux et laissait ma première larme descendre contre ma joue, je me serais ma robe blanche en criant et pleurant comme jamais. Je me détestais ! Je détestais ma naïveté, ma stupidité ! Je détestais qui j’étais ! Je m’insultais de tous les noms. Je laissais ma voix remplie de rancœur parcourir la voiture. Je n’étais pas choquée contre cette femme ayant partagé son lit ! Non ! Elle était seulement celle ayant profité d’un bénéfique, mais j’étais furieuse contre lui. Je regrettais d’avoir quitté la Grèce pour vivre ici. Je regrette d’avoir partagé son amitié, son amour, ses baisés et lui avoir tout donné. Je ne lui avais pas donné de chance de s’expliquer ni de me parler. J’étais peut-être égoïste ou lâche ! Mais, je ne pouvais vivre ici et marcher dans les couloirs qui allaient tout me rappeler. Je n’avais pas cette force. Je n’avais pas la force de mes belles-sœurs ni de ma mère. Je détestais mon père et mes frères de commettent se genre de geste, alors lui … Je restais ainsi jusqu’à l’aéroport. Je montais dans notre jet privé et quitta ce pays misérable. Assise confortablement dans le siège de l’avion, je me laissais séduire par Morphée. À bout de souffle, mes larmes décidèrent de ne plus apparaitre. Dans un dernier reniflement, je fermais mes yeux et dormis.
J’enlevais le bras qui recouvrait mes yeux. Notre relation avait été détruire par le pire sort, mais il m’avait offert quelques choses de merveilleuses. Une chose que je n’aurais pus remédier. Ce petit prince au sourire guérisseur. Un enfant surpris ! Je n’aurais pu remédier même-ci on a bien essayé. Je me levais de mon lit et avançais vers lui. Je me laissais tomber sur le sol et le regardait entre les barreaux.
« Nous allons fuir ! Jamais, je vais laisser ton grand-père choisir un replaçant. Je suis celle qui te guidera ! Nous allons retourner vers à Séoul pour notre propre vie. Mon cœur, mon enfant ! Pardonne-moi de faire des erreurs. Je ne suis pas parfaite et je ne le serais jamais. J’essaie simplement de te donner ce qu’il a de mieux et pour le moment on délaisse cette maison. »
Je me relevais et me dirigeais vers la salle de bain. Je pris le temps de me préparer. Mon grand frère m’aida à partir sans que personne ne réalise. Je pris alors Anthony et quittais ma maison pour retourner ou là à tout commencer.
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Il n'y a rien de facile. La difficulté fait partie de notre existence. Il faut l'accueil bras ouvert et travailler avec elle. Mais, il faut être vigilant avec les sorts malicieux qui se trouvent avec lui. Après tout ! Depuis près trois ans, je vis à Séoul comme enseignante. J'ai eu de la chance dans ma mal chance. Il avait un poste de libre et j'ai obtenu ce poste. Je me sens comme le personnage principal d'un sop opera !
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Re: Macpherson Exilia - The brightest colors fill my head | Ven 23 Nov - 13:03 Citer EditerSupprimer
EMMA
bienvenue par ici
bienvenue par ici
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Re: Macpherson Exilia - The brightest colors fill my head | Ven 23 Nov - 13:10 Citer EditerSupprimer
Merci !!!
Invité
Invité
Re: Macpherson Exilia - The brightest colors fill my head | Ven 23 Nov - 13:14 Citer EditerSupprimer
oh my god emma watson
cette femme c'est toute ma vie jpp
très bon choix
si tu as une question n'hésite pas à contacter le staff
cette femme c'est toute ma vie jpp
très bon choix
si tu as une question n'hésite pas à contacter le staff
Invité
Invité
Re: Macpherson Exilia - The brightest colors fill my head | Ven 23 Nov - 13:33 Citer EditerSupprimer
On ne pas dire le contraire ! Emma est une beauté au naturel.
Merci !!
Merci !!
Invité
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Re: Macpherson Exilia - The brightest colors fill my head | Ven 23 Nov - 15:06 Citer EditerSupprimer
emma watson en prof d'anglais, ouhhh
bienvenue par ici
bienvenue par ici
Invité
Invité
Re: Macpherson Exilia - The brightest colors fill my head | Ven 23 Nov - 17:16 Citer EditerSupprimer
Emma
Watson
:bago: :bago:
bienvenue parmi nous, en espérant que tu t'amuses bien
Watson
:bago: :bago:
bienvenue parmi nous, en espérant que tu t'amuses bien
Invité
Invité
Re: Macpherson Exilia - The brightest colors fill my head | Ven 23 Nov - 18:11 Citer EditerSupprimer
ohhh, emma
bienvenue parmi nous ! bon courage pour ta fichette ♡
amuse toi bien
bienvenue parmi nous ! bon courage pour ta fichette ♡
amuse toi bien
Invité
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Re: Macpherson Exilia - The brightest colors fill my head | Ven 23 Nov - 19:07 Citer EditerSupprimer
bienvenue ici quelle beauté emma oh là là son nom est super original en tout cas bon courage pour la suite de ta fiche
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