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Blood 'n' Alcohol [Namoon]
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Blood 'n' Alcohol [Namoon] | Lun 26 Nov - 1:07
J’avançai, titubant. Je traînais ma carcasse jusqu’à mon dortoir. La soirée avait été riche en émotion, mais surtout riche en alcool. Porn m’avait encore pris la tête et la seule dont j’avais eu envie s’était de me foutre la mine de ma vie. alors j’avais enchaîné les cul sec, encore et encore. Je savais plus combien j’avais claqué de pognon dans des verres. Toute façon je n’avais qu’à retourner dans l’arène pour renflouer les caisses, alors je m’en branlais comme c’était pas permis du pognon. Sauf que voilà, des petits fils de pute avaient décidé de ne pas me laisser tranquille ce soir. Je sais si c’était ma tronche qui leur avait pas plu. Ou si j’avais salement baisé leurs meufs y’a pas longtemps. Le fait était que je ne les avais pas vraiment écouté à cause de mon état d'ébriété …. ça et que je m’en fichais royalement. En revanche la bouteille que le type m’avait explosé dans le dos, je l’avais senti passer. Je m’étais retourné et je leur avais foutu la raclé de leur vie. Mais voilà, je m’en étais aussi reçu dans la tronche. Et cette bouteille de merde avait niqué ma veste en plus. J’étais sûr d’avoir le dos ouvert, parce que je sentais un truc couler, sans ressentir de douleur. Mais il fallait qu’entre l’alcool et ma résistance naturelle à la douleur, je ne sentais rien. J’avançais et le monde valsait autour de moi. Tout tanguait et je ne savais pas par quel miracle j’étais arrivé au dortoir de Digital City sans me casser la gueule en route. J’étais rentré dans le dortoir sans être discret pour un sou. J’avais balancé mes chaussures en commençant à râler. Naaaam, Naaaaam, réveille toi connard, je balançais mon hoodie dans un coin sans même prendre le temps de jauger des dégâts et du avec lequel il était taché. Mon tee-shirt fini lui aussi par terre, me laissant complètement torse-nu. Sans réfléchir j’allais me glisser dans la chambre qu’on partageait avec Yury et ce connard d’Hanbin. Je me jetais sur le lit de mon colocataire et amant, m’écrasant de tout mon poids à ses côtés. Frère, faut que tu me raccommodes l’épaule ou je vais foutre du sang sur tes draps j’crois, je l’avais dit avec un rire incontrôlé et incontrôlable. Ce qui était bizarre vu que je ne riais pas de manière générale. Je ne riais jamais. J’attrapais le coréen pour commencer à le secouer pour le réveiller. Alors sans réfléchir je m’approchais de son oreille pour lui glisser sur un ton qui se voulait séducteur mais qui au final était juste complètement défoncé. Si tu me répares l’épaules tu peux me la mettre dans le cul ce soir Nam Je finis par exploser à nouveau de ris en roulant sur le dos et en foutant un peu plus de sang sur les draps de mon ami qui était pas vraiment mon ami mais que je tolérais…. donc mon bro quoi.
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J’avançai, titubant. Je traînais ma carcasse jusqu’à mon dortoir. La soirée avait été riche en émotion, mais surtout riche en alcool. Porn m’avait encore pris la tête et la seule dont j’avais eu envie s’était de me foutre la mine de ma vie. alors j’avais enchaîné les cul sec, encore et encore. Je savais plus combien j’avais claqué de pognon dans des verres. Toute façon je n’avais qu’à retourner dans l’arène pour renflouer les caisses, alors je m’en branlais comme c’était pas permis du pognon. Sauf que voilà, des petits fils de pute avaient décidé de ne pas me laisser tranquille ce soir. Je sais si c’était ma tronche qui leur avait pas plu. Ou si j’avais salement baisé leurs meufs y’a pas longtemps. Le fait était que je ne les avais pas vraiment écouté à cause de mon état d'ébriété …. ça et que je m’en fichais royalement. En revanche la bouteille que le type m’avait explosé dans le dos, je l’avais senti passer. Je m’étais retourné et je leur avais foutu la raclé de leur vie. Mais voilà, je m’en étais aussi reçu dans la tronche. Et cette bouteille de merde avait niqué ma veste en plus. J’étais sûr d’avoir le dos ouvert, parce que je sentais un truc couler, sans ressentir de douleur. Mais il fallait qu’entre l’alcool et ma résistance naturelle à la douleur, je ne sentais rien. J’avançais et le monde valsait autour de moi. Tout tanguait et je ne savais pas par quel miracle j’étais arrivé au dortoir de Digital City sans me casser la gueule en route. J’étais rentré dans le dortoir sans être discret pour un sou. J’avais balancé mes chaussures en commençant à râler. Naaaam, Naaaaam, réveille toi connard, je balançais mon hoodie dans un coin sans même prendre le temps de jauger des dégâts et du avec lequel il était taché. Mon tee-shirt fini lui aussi par terre, me laissant complètement torse-nu. Sans réfléchir j’allais me glisser dans la chambre qu’on partageait avec Yury et ce connard d’Hanbin. Je me jetais sur le lit de mon colocataire et amant, m’écrasant de tout mon poids à ses côtés. Frère, faut que tu me raccommodes l’épaule ou je vais foutre du sang sur tes draps j’crois, je l’avais dit avec un rire incontrôlé et incontrôlable. Ce qui était bizarre vu que je ne riais pas de manière générale. Je ne riais jamais. J’attrapais le coréen pour commencer à le secouer pour le réveiller. Alors sans réfléchir je m’approchais de son oreille pour lui glisser sur un ton qui se voulait séducteur mais qui au final était juste complètement défoncé. Si tu me répares l’épaules tu peux me la mettre dans le cul ce soir Nam Je finis par exploser à nouveau de ris en roulant sur le dos et en foutant un peu plus de sang sur les draps de mon ami qui était pas vraiment mon ami mais que je tolérais…. donc mon bro quoi.(c) DΛNDELION
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Re: Blood 'n' Alcohol [Namoon] | Dim 27 Jan - 0:41
Ce soir là, Namwoo n'avait eu envie de rien faire. C'est qu'il n'est pas toujours le fêtard que tout le monde pense qu'il est. Évidemment il passe beaucoup de temps dehors, traine de bar en bar, d'une boite de nuit à l'autre la plupart du temps. Mais Namwoo il a aussi parfois envie de ne rien faire, de rester dans sa chambre, de se poser devant un film, ou bien devant son bureau pour peindre pourquoi pas. Puis d'autres fois, c'est un mélange étrange entre les deux, un peu comme ce soir. Les cadavres de bouteilles se sont accumulés près de son lit malgré l'interdiction d'en ramener dans le dortoir qu'il enfreint sans même s'en cacher, les tissus sont imprégnés de l'odeur distinctive de cette plante qui l'a fait planer pendant le longues minutes. Puis il a joué quelques accords sur sa guitare avant de se coucher, ne trouvant rien de plus intéressant à faire que dormir. Et il aurait pu finir sa nuit ainsi, si seulement son colocataire qui lui sert également de meilleur ami et de sexfriend ne l'avait pas réveillé en s'étalant sur son lit pour lui parler trop fort, trop près. Namwoo râle, le repousse sans force dans l'espoir de pouvoir se rendormir, mais en vain. Il est obstiné Moon. Bordel t'es chiant c'est grogné de sa voix endormie, et le coréen se décide enfin à se redresser, cherchant à tâtons ses lunettes de vue sur sa table de chevet avant d'allumer sa lampe, geignant quand la lumière lui agresse ses yeux à peine ouvert. Il lui faut quelques secondes pour se réveiller complètement et voir à peu près clair, quelques instants de plus pour remarquer les tâches de sang qui ornent à présent son lit, et celui à moitié sec sur le dos de son colocataire. Il pourrait s'inquiéter, mais il est trop habitué à voir ce genre de choses pour ça. À la place il soupire, se lève entièrement pour fouiller son armoire et trouver la trousse de secours. Putain de merde. Enfoiré de connard de mes deux. T'es vraiment qu'un couillon Moon. Un vrai trou du cul. Tu m'emmerdes tu sais ? Bouffon va. langage habituel qui trahit son agacement -et aussi un peu, son affection. Il s'éclipse dans la salle de bain pour humidifier une serviette en continuant d'insulter son meilleur ami et revient finalement s'assoir sur le lit, inspectant le reste de son corps pour trouver d'éventuelles blessures. T'as vraiment une gueule de merde, t'as foutu quoi encore ? Légère tape sur le front pour le réprimander, et il fouille les poches de son ainé pour lui prendre une cigarette avant de nettoyer le sang collé à sa peau avec la serviette. T'es chiant putain, y'a des bouts de verre dedans, c'est crade Sans trop réfléchir il s'installe derrière lui et vient placer son index devant la bouche de Moon pour l'inciter à mordre dedans en cas de douleur Ouvre la bouche, va pas te mordre la langue en plus, j'ai bof envie de te la recoudre. Attention et sans plus de prévention, il verse de l'alcool pur sur la plaie.
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Ce soir là, Namwoo n'avait eu envie de rien faire. C'est qu'il n'est pas toujours le fêtard que tout le monde pense qu'il est. Évidemment il passe beaucoup de temps dehors, traine de bar en bar, d'une boite de nuit à l'autre la plupart du temps. Mais Namwoo il a aussi parfois envie de ne rien faire, de rester dans sa chambre, de se poser devant un film, ou bien devant son bureau pour peindre pourquoi pas. Puis d'autres fois, c'est un mélange étrange entre les deux, un peu comme ce soir. Les cadavres de bouteilles se sont accumulés près de son lit malgré l'interdiction d'en ramener dans le dortoir qu'il enfreint sans même s'en cacher, les tissus sont imprégnés de l'odeur distinctive de cette plante qui l'a fait planer pendant le longues minutes. Puis il a joué quelques accords sur sa guitare avant de se coucher, ne trouvant rien de plus intéressant à faire que dormir. Et il aurait pu finir sa nuit ainsi, si seulement son colocataire qui lui sert également de meilleur ami et de sexfriend ne l'avait pas réveillé en s'étalant sur son lit pour lui parler trop fort, trop près. Namwoo râle, le repousse sans force dans l'espoir de pouvoir se rendormir, mais en vain. Il est obstiné Moon. Bordel t'es chiant c'est grogné de sa voix endormie, et le coréen se décide enfin à se redresser, cherchant à tâtons ses lunettes de vue sur sa table de chevet avant d'allumer sa lampe, geignant quand la lumière lui agresse ses yeux à peine ouvert. Il lui faut quelques secondes pour se réveiller complètement et voir à peu près clair, quelques instants de plus pour remarquer les tâches de sang qui ornent à présent son lit, et celui à moitié sec sur le dos de son colocataire. Il pourrait s'inquiéter, mais il est trop habitué à voir ce genre de choses pour ça. À la place il soupire, se lève entièrement pour fouiller son armoire et trouver la trousse de secours. Putain de merde. Enfoiré de connard de mes deux. T'es vraiment qu'un couillon Moon. Un vrai trou du cul. Tu m'emmerdes tu sais ? Bouffon va. langage habituel qui trahit son agacement -et aussi un peu, son affection. Il s'éclipse dans la salle de bain pour humidifier une serviette en continuant d'insulter son meilleur ami et revient finalement s'assoir sur le lit, inspectant le reste de son corps pour trouver d'éventuelles blessures. T'as vraiment une gueule de merde, t'as foutu quoi encore ? Légère tape sur le front pour le réprimander, et il fouille les poches de son ainé pour lui prendre une cigarette avant de nettoyer le sang collé à sa peau avec la serviette. T'es chiant putain, y'a des bouts de verre dedans, c'est crade Sans trop réfléchir il s'installe derrière lui et vient placer son index devant la bouche de Moon pour l'inciter à mordre dedans en cas de douleur Ouvre la bouche, va pas te mordre la langue en plus, j'ai bof envie de te la recoudre. Attention et sans plus de prévention, il verse de l'alcool pur sur la plaie.(c) DΛNDELION
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Re: Blood 'n' Alcohol [Namoon] | Mar 12 Fév - 23:19
Défoncé ouais c’était le cas de le dire. J’étais salement torché. Et pourtant, putain qu’il en fallait des verres pour me foutre dans un sale état. Parce que j’avais développé une putain de résistance à l’alcool avec les années , preuve que je me saoulais probablement un peu trop la tronche depuis ces dernière années. Et c’est donc chargé d’effluves alcoolisées, de tabac froid et de sang que j’étais venu m’échouer sur le lit de cette personne qui se rapprochait le plus pour moi d’un meilleur ami. Il me repoussa mais clairement j’en avais rien à foutre moi, l’alcool était encore dans mes veines et Nam qui râlait n’était qu’un détail dans l’équation. De toute façon il était toujours bougon dès son réveil. Je geins de douleur alors que la lumière me pulvérisa la rétine, en tout cas plus qu’à cause du verre ou de ma plaie sur l’omoplate. Le fait était que j’étais tellement saoul que je ne sentais plus rien et ma résistance à la douleur n’était pas grande aide non plus. Mon colocataire ne tarda pas à se lever me déversant un florilège d’insultes, une tradition entre nous. En temps normal je me serai permis de l’insulter en retour, parce que c’était un peu notre manière de nous dire qu’on s’aimait. Mais aujourd’hui je me contentais de rire hilare à ses paroles, comme un enfant qui riait à une blague. Pouffant de rire dans mes mains, je me redressais pour m’asseoir sur le bord du lit en attendant que le chinois revienne avec tout ce qu’il fallait, continuant de marrer en entendant toutes les insultes qu’il balança. Toujours aussi créatif. Yaaa si tu trouves j’ai une sale gueule, tu d’vrais voir les autres. Un sourire supérieur au coin des lèvres, fier de ma connerie. Trois gars… ou quatre… j’sais pas j’crois ça un peu tourné en bagarre générale. Bref, trois mecs, j’crois que j’ai brisé une mâchoire. Je le laissais faire ce qu’il avait faire alors que je parlais tellement plus qu’en étant sobre. Mais j’sais pas c’que j’ai fait. Je crois que j’ai tringlé leurs meufs, un truc comme ça. J’avais pas vraiment écouté en fait. Je haussais les épaules alors que Nam râla un peu plus, j’en savais trop moi en fait. Mais quand je vois l’index de mon colocataire devant ma bouche, je n’eus pas le temps que les infos remontent à mon crâne que je sentis un liquide - probablement un peu plus d’alcool - me brûler la peau. Par réflexe animal, je vins niquer dans le doigt de Nam. La douleur me foutant une putain de grosse claque dans la gueule. Alors que la torture fut passé je lâchai le le doigt avant de râler. Mais putain préviens avant d’faire ça ! J’suis pas insensible à la douleur tête de bite ! Je grimaçai avant de serrer mes poings jusqu’à m’en faire entrer mes ongles dans les paumes de mes mains. J’aurais dû encore plus les fumer ces fils de putes. Ou simplement moins me saouler la tronche mais ça, ça c’était un autre détail.
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Défoncé ouais c’était le cas de le dire. J’étais salement torché. Et pourtant, putain qu’il en fallait des verres pour me foutre dans un sale état. Parce que j’avais développé une putain de résistance à l’alcool avec les années , preuve que je me saoulais probablement un peu trop la tronche depuis ces dernière années. Et c’est donc chargé d’effluves alcoolisées, de tabac froid et de sang que j’étais venu m’échouer sur le lit de cette personne qui se rapprochait le plus pour moi d’un meilleur ami. Il me repoussa mais clairement j’en avais rien à foutre moi, l’alcool était encore dans mes veines et Nam qui râlait n’était qu’un détail dans l’équation. De toute façon il était toujours bougon dès son réveil. Je geins de douleur alors que la lumière me pulvérisa la rétine, en tout cas plus qu’à cause du verre ou de ma plaie sur l’omoplate. Le fait était que j’étais tellement saoul que je ne sentais plus rien et ma résistance à la douleur n’était pas grande aide non plus. Mon colocataire ne tarda pas à se lever me déversant un florilège d’insultes, une tradition entre nous. En temps normal je me serai permis de l’insulter en retour, parce que c’était un peu notre manière de nous dire qu’on s’aimait. Mais aujourd’hui je me contentais de rire hilare à ses paroles, comme un enfant qui riait à une blague. Pouffant de rire dans mes mains, je me redressais pour m’asseoir sur le bord du lit en attendant que le chinois revienne avec tout ce qu’il fallait, continuant de marrer en entendant toutes les insultes qu’il balança. Toujours aussi créatif. Yaaa si tu trouves j’ai une sale gueule, tu d’vrais voir les autres. Un sourire supérieur au coin des lèvres, fier de ma connerie. Trois gars… ou quatre… j’sais pas j’crois ça un peu tourné en bagarre générale. Bref, trois mecs, j’crois que j’ai brisé une mâchoire. Je le laissais faire ce qu’il avait faire alors que je parlais tellement plus qu’en étant sobre. Mais j’sais pas c’que j’ai fait. Je crois que j’ai tringlé leurs meufs, un truc comme ça. J’avais pas vraiment écouté en fait. Je haussais les épaules alors que Nam râla un peu plus, j’en savais trop moi en fait. Mais quand je vois l’index de mon colocataire devant ma bouche, je n’eus pas le temps que les infos remontent à mon crâne que je sentis un liquide - probablement un peu plus d’alcool - me brûler la peau. Par réflexe animal, je vins niquer dans le doigt de Nam. La douleur me foutant une putain de grosse claque dans la gueule. Alors que la torture fut passé je lâchai le le doigt avant de râler. Mais putain préviens avant d’faire ça ! J’suis pas insensible à la douleur tête de bite ! Je grimaçai avant de serrer mes poings jusqu’à m’en faire entrer mes ongles dans les paumes de mes mains. J’aurais dû encore plus les fumer ces fils de putes. Ou simplement moins me saouler la tronche mais ça, ça c’était un autre détail.(c) DΛNDELION
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