je suis au courant de rien (loïs)
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je suis au courant de rien (loïs) | Mar 27 Nov - 17:29 Citer EditerSupprimer
titre du rp,
☾ elle pianote du bout des ongles le plastique de l’intérieur de la voiture de loïs. un coup d’œil vers le jeune homme. elle sourit distraitement et profite du feu rouge pour venir passer sa main dans ses cheveux. « tu es très élégant aujourd’hui. » elle remet en place les cheveux du garçon avant de retirer sa main. sourire satisfait, elle se réinstalle dans son siège. très détendue par les évènements qui les attendent. sans vraiment trop se soucier de que ça pourrait dire ou impliquer. toujours autant dans le déni. même après halloween et ces fois à l’hôtel. goo ae cha dans sa splendeur. « ah on arrive bientôt. » dit-elle en reconnaissant la route. trop habituée des réunions guindées. elle se contorsionne pour venir récupérer son sac à l’arrière du véhicule dont elle sort une boite à chaussures. l’air de rien elle retire sa paire de tennis pour enfiler une paire d’escarpins. elle garderait volontiers ses baskets pour la journée mais les cocktails sont ce qu’ils sont.
« allons-y. » elle glisse son bras autour de celui du jeune homme pour le guider vers l’entrée. aecha évolue comme un poisson dans l’eau dans cet univers. inclinant la tête avec un sourire aimable quand elle croise des visages connus. faisant signe qu’elle vient d’arriver et qu’on l’attend ailleurs. sans rien dire à loïs. « tiens. » elle attrape deux verres de vin sur le plateau qu’un serveur en livrer leur tend. « santé. » elle sourit en faisant tinter leurs verres. ses yeux se perdent dans les siens avant de venir scruter la salle. c’est étrange qu’elle ne les ai toujours pas trouvé. ils ne sont pourtant pas si difficile à trouver. une vraie tribu. en plus chic. ah. les voilà. « viens. » elle lui fait signe de la main pour la suivre à travers la foule. ils sont tous là ou presque. aecha fronce les sourcils en voyant que le dernier de la portée n’est pas là. encore une fois. elle les salut. légère accolade pour ses frères. « qui es ce charmant jeune homme ma chérie ? » demande maman goo avec des yeux étincelants. dis moi que c’est ton petit-ami – semble être écrit sur son front. « ah oui. » oups. ça m’est sortit de la tête. « papa, maman voici zimmer loïs. » elle prend un temps d’arrêt pour réfléchir à comment nommer le garçon. « un copain de la fac. » elle sourit l’air de rien. oui c’est bien ça.
« allons-y. » elle glisse son bras autour de celui du jeune homme pour le guider vers l’entrée. aecha évolue comme un poisson dans l’eau dans cet univers. inclinant la tête avec un sourire aimable quand elle croise des visages connus. faisant signe qu’elle vient d’arriver et qu’on l’attend ailleurs. sans rien dire à loïs. « tiens. » elle attrape deux verres de vin sur le plateau qu’un serveur en livrer leur tend. « santé. » elle sourit en faisant tinter leurs verres. ses yeux se perdent dans les siens avant de venir scruter la salle. c’est étrange qu’elle ne les ai toujours pas trouvé. ils ne sont pourtant pas si difficile à trouver. une vraie tribu. en plus chic. ah. les voilà. « viens. » elle lui fait signe de la main pour la suivre à travers la foule. ils sont tous là ou presque. aecha fronce les sourcils en voyant que le dernier de la portée n’est pas là. encore une fois. elle les salut. légère accolade pour ses frères. « qui es ce charmant jeune homme ma chérie ? » demande maman goo avec des yeux étincelants. dis moi que c’est ton petit-ami – semble être écrit sur son front. « ah oui. » oups. ça m’est sortit de la tête. « papa, maman voici zimmer loïs. » elle prend un temps d’arrêt pour réfléchir à comment nommer le garçon. « un copain de la fac. » elle sourit l’air de rien. oui c’est bien ça.
joe l'embrouille(c)
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Re: je suis au courant de rien (loïs) | Mer 5 Déc - 19:42 Citer EditerSupprimer
je suis au courant de rien,
☾ Tu esquisses un sourire à son commentaire. Élégant ? Aujourd'hui ? N'étais-tu donc pas élégant tous les jours de ta misérable vie ? Faut croire que non. Faut dire aussi que des sorties comme ça, en plein jour vous en faisiez pas beaucoup. T’espérais intimement qu'elle te croise en blouse blanche un jour, juste pour voir sa réaction. Elle dirait certainement pas « tu es élégant aujourd'hui » c'est sûr. Elle se moquerait sans doute de l'accoutrement comme t'avais pu te moquer de son hanbok, courant septembre. Et accessoirement le soir de ta première fois. Oui oui première fois, jour à marquer dans les anales. « Merci... ta tenue aussi est sympa !» ou comment ne pas lui dire qu'elle est tout simplement canon.
Au final, la vie n'était qu'une continuité de première fois. Quand on disait que les jours se suivaient mais ne se ressemblaient pas, c'était pas totalement faux. Aujourd'hui première fois où tu étais élégant aux yeux d'Aecha. Première fois aussi où tu allais assister à une festivité mondaine avec des gens un peu trop tout pour toi. Trop cultivés, trop intelligents, trop riches, trop bien sapés, et surtout trop curieux. Tu les voyais déjà débarquer comme dans les films avec leur amuses-bouches entre les doigts et leurs flûtes de champagnes à poser un milliard de questions. Et vu que t'étais du genre à tout prévoir, t'avais quand même rangé quelques cartes de visites dans ta poche. Tu savais que Aecha et toi vous veniez à peu près du même milieu social, dans le sens où elle avait une famille assez fortunée et que la tienne aussi. Ton père chercheur et ta mère CEO d'une entreprise de pharmaceutique. Autant dire qu'il y avait à reprendre derrière mais on en était pas là. Pour le moment, ce qui t'importais c'était de suivre le GPS de ton portable, et parfois d'écouter les indications de ta voisine de siège. Et qu'elle était belle cette voisine.
A peine sortis de la voiture que tu te vois déjà prendre le bras par la demoiselle. Fallait venir avec un cavalier et t'es pas au courant ? Une soirée dansante en pleine journée ? Mouais étrange. Peut-être juste que c'était par principe. Ça t'attriste un peu de marcher au même pas qu'elle, tu peux pas reluquer son derrière, faut juste te contenter du clapotis de ses talons sur le goudron. Pourquoi tu penses à ses pieds ? Et à ses jambes ? Pourquoi tu penses à tout ça ? Pourquoi repenser à Halloween ? Pourquoi repenser à cette petite jupe perchée au dessus de ton entrej...stop Loïs. C'est pas le moment d'avoir la trique. Tu te détaches de la jeune femme un moment pour finalement passer ta main dans le bas de son dos et de la laisser rentrer en première. Galanterie oblige. Puis vous voilà en plein cœur du rassemblements. Des dizaines de personnes qui se discutent entre elles. Et Aecha qui salue les gens les uns après les autres. Tu salues de la tête, mimant à perfection ce qu'elle fait. Tu serres quelques mains sans vraiment jamais te présenter. C'est pas vraiment sur toi qu'ils ont l'attention. Mais plutôt sur la pyobeom. Quand elle te disait qu'elle était très sérieusement attendue à cette réunion, tu ne pensais pas que ce serait à ce point. Puis voilà qu'elle te tend un verre de vin. T'y étais avec tes histoires de flûtes de Champagne. Et vous voilà en train de trinquer et tu ne peux t'empêcher de lui offrir ton plus beau regard. Tes yeux sourissent à la place de tes lèvres, celles ci déjà trop occupées à goûter le breuvage. Pas mal ce petit blanc. Ça se déguste plus facilement en journée. Entre quelques collations. Et c'est reparti. Tu suis ta guide, une main dans la poche, l'autre tenant ton verre de vin. T'as juste le temps de boire une dernière gorgée que la voilà en train de saluer toute une famille et il t'en faut peu pour comprendre que c'est sa famille. Oh putain. Elle est sérieuse ? Pote de fac. Non pire. Copain de fac. C'est quoi ça un copain de fac ? Copain de roi lion ? On étudie même pas la même chose. Ok. Tu sors instinctivement ta main de ta poche pour saluer alors les parents mais te ravise pour les saluer à la coréenne. Tu fais de même pour les deux jeunes hommes que tu devines être ses frères, et ou peut-être ses gardes du corps. Peut-être les deux. Non. Son garde du corps. C'est toi. Stop. Voilà qu'on répète ton nom comme si quelque chose ne sonnait pas clair. Trop occidental peut-être. «Oui...Loïs Zimmer ! C'est...Allemand! Mais vous pouvez m'appeler Kim Se Jun ça sera beaucoup plus simple ! Je suis enchanté de vous rencontrer dans tous les cas ! » Tu te courbes de nouveau en guise de respect ,tout en jetant un petit coup d'oeil à Aecha que t'as légèrement envie d'étrangler. De un parce qu'elle t'as pas prévenu que ses parents venaient. Deuxièmement parce qu'en plus t'es son putain de copain de fac. «Votre famille connaît bien les ...hum... » tu mimes des cercles avec ton index et ton majeur, dans le vague, cherchant la fin de ta phrase avant de t'éclaircir la gorge. «les fondateurs et ou organisateurs de cette réception ? » demandes-tu avec toute innocence aux parents de Ae Cha. Faut bien faire la conversation. Histoire de pas passer pour un minable. Wow. Pourquoi t'as ton cœur qui bat si vite ? C'est bon ce sont que des parents, t'es plutôt bien sapé. T'y connais peut-être rien sur cette fondation et tout ce gala vu qu'on a pas été assez précis mais au cas où t'es assez cultivé sur certains sujets. Que Ae Cha vienne te sauver et vite ! Tu veux pas rester une minute de plus ici. Ils vont te bouffer. Et si jamais ils se moquent de toi ? Et si ...Ouais non stop. Toute façon tu n'es que son copain de fac pas besoin de stresser. Comportes-toi comme un copain de fac au courant de rien. Et innocent. Ne connaissant Ae Cha que par pur amour pour la musique et les films. Pas vrai que tu l'aimes pour ça hein ?
Au final, la vie n'était qu'une continuité de première fois. Quand on disait que les jours se suivaient mais ne se ressemblaient pas, c'était pas totalement faux. Aujourd'hui première fois où tu étais élégant aux yeux d'Aecha. Première fois aussi où tu allais assister à une festivité mondaine avec des gens un peu trop tout pour toi. Trop cultivés, trop intelligents, trop riches, trop bien sapés, et surtout trop curieux. Tu les voyais déjà débarquer comme dans les films avec leur amuses-bouches entre les doigts et leurs flûtes de champagnes à poser un milliard de questions. Et vu que t'étais du genre à tout prévoir, t'avais quand même rangé quelques cartes de visites dans ta poche. Tu savais que Aecha et toi vous veniez à peu près du même milieu social, dans le sens où elle avait une famille assez fortunée et que la tienne aussi. Ton père chercheur et ta mère CEO d'une entreprise de pharmaceutique. Autant dire qu'il y avait à reprendre derrière mais on en était pas là. Pour le moment, ce qui t'importais c'était de suivre le GPS de ton portable, et parfois d'écouter les indications de ta voisine de siège. Et qu'elle était belle cette voisine.
A peine sortis de la voiture que tu te vois déjà prendre le bras par la demoiselle. Fallait venir avec un cavalier et t'es pas au courant ? Une soirée dansante en pleine journée ? Mouais étrange. Peut-être juste que c'était par principe. Ça t'attriste un peu de marcher au même pas qu'elle, tu peux pas reluquer son derrière, faut juste te contenter du clapotis de ses talons sur le goudron. Pourquoi tu penses à ses pieds ? Et à ses jambes ? Pourquoi tu penses à tout ça ? Pourquoi repenser à Halloween ? Pourquoi repenser à cette petite jupe perchée au dessus de ton entrej...stop Loïs. C'est pas le moment d'avoir la trique. Tu te détaches de la jeune femme un moment pour finalement passer ta main dans le bas de son dos et de la laisser rentrer en première. Galanterie oblige. Puis vous voilà en plein cœur du rassemblements. Des dizaines de personnes qui se discutent entre elles. Et Aecha qui salue les gens les uns après les autres. Tu salues de la tête, mimant à perfection ce qu'elle fait. Tu serres quelques mains sans vraiment jamais te présenter. C'est pas vraiment sur toi qu'ils ont l'attention. Mais plutôt sur la pyobeom. Quand elle te disait qu'elle était très sérieusement attendue à cette réunion, tu ne pensais pas que ce serait à ce point. Puis voilà qu'elle te tend un verre de vin. T'y étais avec tes histoires de flûtes de Champagne. Et vous voilà en train de trinquer et tu ne peux t'empêcher de lui offrir ton plus beau regard. Tes yeux sourissent à la place de tes lèvres, celles ci déjà trop occupées à goûter le breuvage. Pas mal ce petit blanc. Ça se déguste plus facilement en journée. Entre quelques collations. Et c'est reparti. Tu suis ta guide, une main dans la poche, l'autre tenant ton verre de vin. T'as juste le temps de boire une dernière gorgée que la voilà en train de saluer toute une famille et il t'en faut peu pour comprendre que c'est sa famille. Oh putain. Elle est sérieuse ? Pote de fac. Non pire. Copain de fac. C'est quoi ça un copain de fac ? Copain de roi lion ? On étudie même pas la même chose. Ok. Tu sors instinctivement ta main de ta poche pour saluer alors les parents mais te ravise pour les saluer à la coréenne. Tu fais de même pour les deux jeunes hommes que tu devines être ses frères, et ou peut-être ses gardes du corps. Peut-être les deux. Non. Son garde du corps. C'est toi. Stop. Voilà qu'on répète ton nom comme si quelque chose ne sonnait pas clair. Trop occidental peut-être. «Oui...Loïs Zimmer ! C'est...Allemand! Mais vous pouvez m'appeler Kim Se Jun ça sera beaucoup plus simple ! Je suis enchanté de vous rencontrer dans tous les cas ! » Tu te courbes de nouveau en guise de respect ,tout en jetant un petit coup d'oeil à Aecha que t'as légèrement envie d'étrangler. De un parce qu'elle t'as pas prévenu que ses parents venaient. Deuxièmement parce qu'en plus t'es son putain de copain de fac. «Votre famille connaît bien les ...hum... » tu mimes des cercles avec ton index et ton majeur, dans le vague, cherchant la fin de ta phrase avant de t'éclaircir la gorge. «les fondateurs et ou organisateurs de cette réception ? » demandes-tu avec toute innocence aux parents de Ae Cha. Faut bien faire la conversation. Histoire de pas passer pour un minable. Wow. Pourquoi t'as ton cœur qui bat si vite ? C'est bon ce sont que des parents, t'es plutôt bien sapé. T'y connais peut-être rien sur cette fondation et tout ce gala vu qu'on a pas été assez précis mais au cas où t'es assez cultivé sur certains sujets. Que Ae Cha vienne te sauver et vite ! Tu veux pas rester une minute de plus ici. Ils vont te bouffer. Et si jamais ils se moquent de toi ? Et si ...Ouais non stop. Toute façon tu n'es que son copain de fac pas besoin de stresser. Comportes-toi comme un copain de fac au courant de rien. Et innocent. Ne connaissant Ae Cha que par pur amour pour la musique et les films. Pas vrai que tu l'aimes pour ça hein ?
joe l'embrouille(c)
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Re: je suis au courant de rien (loïs) | Dim 9 Déc - 21:43 Citer EditerSupprimer
you konw nothing john aecha
☾ est-ce qu’elle prend un certain plaisir à regarder loïs perd ses moyens devant ses parents ? oui un peu. elle sourit avec une certaine satisfaction en le regardant. tellement que l’un de ses frères lui lance un coup d’œil entendu. et de venir lui glisser quelques mots à l’oreille de la petite dernière. « allemand. et ce n’est qu’un bon copain ? » elle hausse les épaules. prend son air le plus angélique et sourit comme la plus innocente des créatures. je ne vois vraiment pas de quoi il est question. je ne connais rien à propos d’une certaine goo aecha complètement fangirl de l’allemangne. vous avez tout faux.
elle rie. remarque l’embarras de ses parents. et sa mère lui fait les gros yeux. aecha hausse des épaules une nouvelle fois. non vraiment qu’elle maladroite elle fait. « j’ai oublié de te dire mais la réception est en l’honneur de la nouvelle branche de notre musée. » ouais bon ok. peut-être qu’elle aurait quand même put lui en parler. ça lui saute aux yeux en même temps qu’elle parle. le caractère trop pompeux de cette annonce. « on devrait y aller. j’ai vu des copains que je veux te présenter. à toute à l’heure. » un grand sourire à ses parents. elle passe de nouveau son bras autour de celui du jeune homme pour l’entraîner loin de sa famille. « bienvenue chez moi. » lui glisse-t-elle en lançant un coup d’œil derrière elle.
elle boit une grosse gorgée de vin et se détache de loïs. elle se racle la gorge. « c’est trop bizarre. » mais ça il aurait fallut y penser avant aecha. avant d’inviter loïs à un évènement familial. de le présenter à sa famille. elle pensait que ce serait un après-midi normal. normal dans l’univers aromatisé au champagne de goo ae cha. mais ça ne l’est pas du tout. c’est carrément bizarre. et même elle ne croit plus aux mots qu’elle a utilisés quelques minutes plus tôt. un copain de la fac. la bonne blague. alors que c’est la première fois qu’ils passent autant de temps ensemble en gardant leurs vêtements. elle soupire discrètement. et siffle son verre jusqu’à la dernière goute.
elle rie. remarque l’embarras de ses parents. et sa mère lui fait les gros yeux. aecha hausse des épaules une nouvelle fois. non vraiment qu’elle maladroite elle fait. « j’ai oublié de te dire mais la réception est en l’honneur de la nouvelle branche de notre musée. » ouais bon ok. peut-être qu’elle aurait quand même put lui en parler. ça lui saute aux yeux en même temps qu’elle parle. le caractère trop pompeux de cette annonce. « on devrait y aller. j’ai vu des copains que je veux te présenter. à toute à l’heure. » un grand sourire à ses parents. elle passe de nouveau son bras autour de celui du jeune homme pour l’entraîner loin de sa famille. « bienvenue chez moi. » lui glisse-t-elle en lançant un coup d’œil derrière elle.
elle boit une grosse gorgée de vin et se détache de loïs. elle se racle la gorge. « c’est trop bizarre. » mais ça il aurait fallut y penser avant aecha. avant d’inviter loïs à un évènement familial. de le présenter à sa famille. elle pensait que ce serait un après-midi normal. normal dans l’univers aromatisé au champagne de goo ae cha. mais ça ne l’est pas du tout. c’est carrément bizarre. et même elle ne croit plus aux mots qu’elle a utilisés quelques minutes plus tôt. un copain de la fac. la bonne blague. alors que c’est la première fois qu’ils passent autant de temps ensemble en gardant leurs vêtements. elle soupire discrètement. et siffle son verre jusqu’à la dernière goute.
joe l'embrouille(c)
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Re: je suis au courant de rien (loïs) | Sam 29 Déc - 12:46 Citer EditerSupprimer
je suis au courant de rien,
☾ Tu gardes un sourire crispé au fur et à mesure que Aecha explique la situation. « Oh donc c'est votre musée...Et d'accord. Wow. Et bien...enchanté de nouveau et désolé pour mon erreur » Tu t'en veux. Tu roules des yeux intérieurement. Bravo la première impression. Peut-être la dernière en fait. Là tout de suite t'as juste envie de t'en aller. C'est quoi son problème à cette nana ? Te ridiculiser devant toute sa famille ça lui plaît? Parce que c'est fait. Mais t'as même pas le temps de te rattraper en discutant un peu plus qu'elle t'attrape le bras pour aller rencontrer des sois-disant copains. «Eux aussi se sont tes copains de fac ?» demandes-tu avec un cynisme bien voyant. Tu bois une dernière gorgée de vin pour hydrater ton agacement et tu déposes le verre vide sur un des plateaux des serveurs qui vont et viennent entre les invités. « Et c'est quoi au juste, chez toi ? » C'est ne pas tout dire à celui qu'on invite ? C'est le laisser se présenter à peine une seconde à ses parents ? Tu sais pas ce que c'est chez elle, mais là tout de suite t'es trop énervé pour avoir envie de le découvrir. Te voilà en train de soupirer lorsqu'elle se détache de toi. Plutôt content. Qu'elle reste éloignée ! ça te permettra de réfléchir correctement oui.
C'est bizarre ce qu'elle peut t'agacer si vite cette fille. Et pourtant. Pourtant tu l'apprécies énormément, un peu trop même. Mais quand elle a décidé d'être relou, c'est plus possible de l'arrêter. Et le pire c'est que tu ne sais même pas ce que sont ses motivations. «Bizarre ? La seule chose bizarre ici c'est toi et tes magouilles ! Franchement ça t'apportait quoi de me dire la vérité depuis le début ? T'avais peur que je juge ou quoi ? Peut-être que pour toi c'est rien mais là j'ai eu honte devant tes parents... » Une branche de musée. Sérieux. Tu tentes de rester calme. Tu sais contrôler ton stress dans les pires des situations mais avec elle c'est toujours compliqué. On dirait qu'elle cherche à te tester. Tout le temps. Mais t'es pas un putain de cobaye. Et ça faut qu'elle le comprenne. «Je te laisse aller voir tes autres potes, ton copain de fac doit aller fumer» annonces-tu en la regardant droit dans les yeux, pour lui faire comprendre que tu ne rigoles pas. Et sur ce tu fais demi-tour direction la sortie pour aller dehors, dans la zone des fumeurs. Elle pourra te traiter de susceptible si elle veut. T'aimes pas ses manières. Peut-être que ça lui a plu mais toi t'as ça t'as blessé. Ou peut-être que c'est la mode. Peut-être que t'es trop vieux jeu pour ces histoires de couple. C'est vrai que coucher veut pas dire automatiquement sortir à l'heure qu'il est. Embrasser non plus. Faut encore et toujours mettre des mots sur tout. C'est vrai qu'on peut coucher avec quelqu'un et ne pas avoir de sentiments, seulement une attirance sexuelle. Ce qu'on appelle plan cul. C'est ce que toi t'appelles de la prostitution à l'amiable mais les gens pensent pas comme toi Loïs. Mais c'est ok. T'es son copain de fac. Y a pas de soucis. Peut-être aussi qu'elle a tout manigancé. C'est vrai, peut-être qu'elle est de mèche avec ses parents. Ils sont riches, t'as une famille riche, peut-être que elle leur a parlé de la compagnie pharmaceutique et stop. Stop Loïs. Comment une société de musique et de pharmacie pourraient avoir un points communs ? Où se trouverait le bénéfice à lier ces deux empires ? Aucun. Stop les films de complots à la chaebol. On est ni dans un drama, ni dans un film. Elle te considère juste comme un copain de fac. Pourquoi ? Parce que t'es un copain de fac de merde. Et pourquoi elle t'as pas dit pour ses parents ? Peut-être bien parce que justement t'es qu'un de copain de fac, et qu'on s'en tape de présenter un copain de fac. C'est pas pareil qu'un petit-ami. C'est pas pareil qu'un mari ou un ex. Tout est différent quand on est copain de la fac.
C'est bizarre ce qu'elle peut t'agacer si vite cette fille. Et pourtant. Pourtant tu l'apprécies énormément, un peu trop même. Mais quand elle a décidé d'être relou, c'est plus possible de l'arrêter. Et le pire c'est que tu ne sais même pas ce que sont ses motivations. «Bizarre ? La seule chose bizarre ici c'est toi et tes magouilles ! Franchement ça t'apportait quoi de me dire la vérité depuis le début ? T'avais peur que je juge ou quoi ? Peut-être que pour toi c'est rien mais là j'ai eu honte devant tes parents... » Une branche de musée. Sérieux. Tu tentes de rester calme. Tu sais contrôler ton stress dans les pires des situations mais avec elle c'est toujours compliqué. On dirait qu'elle cherche à te tester. Tout le temps. Mais t'es pas un putain de cobaye. Et ça faut qu'elle le comprenne. «Je te laisse aller voir tes autres potes, ton copain de fac doit aller fumer» annonces-tu en la regardant droit dans les yeux, pour lui faire comprendre que tu ne rigoles pas. Et sur ce tu fais demi-tour direction la sortie pour aller dehors, dans la zone des fumeurs. Elle pourra te traiter de susceptible si elle veut. T'aimes pas ses manières. Peut-être que ça lui a plu mais toi t'as ça t'as blessé. Ou peut-être que c'est la mode. Peut-être que t'es trop vieux jeu pour ces histoires de couple. C'est vrai que coucher veut pas dire automatiquement sortir à l'heure qu'il est. Embrasser non plus. Faut encore et toujours mettre des mots sur tout. C'est vrai qu'on peut coucher avec quelqu'un et ne pas avoir de sentiments, seulement une attirance sexuelle. Ce qu'on appelle plan cul. C'est ce que toi t'appelles de la prostitution à l'amiable mais les gens pensent pas comme toi Loïs. Mais c'est ok. T'es son copain de fac. Y a pas de soucis. Peut-être aussi qu'elle a tout manigancé. C'est vrai, peut-être qu'elle est de mèche avec ses parents. Ils sont riches, t'as une famille riche, peut-être que elle leur a parlé de la compagnie pharmaceutique et stop. Stop Loïs. Comment une société de musique et de pharmacie pourraient avoir un points communs ? Où se trouverait le bénéfice à lier ces deux empires ? Aucun. Stop les films de complots à la chaebol. On est ni dans un drama, ni dans un film. Elle te considère juste comme un copain de fac. Pourquoi ? Parce que t'es un copain de fac de merde. Et pourquoi elle t'as pas dit pour ses parents ? Peut-être bien parce que justement t'es qu'un de copain de fac, et qu'on s'en tape de présenter un copain de fac. C'est pas pareil qu'un petit-ami. C'est pas pareil qu'un mari ou un ex. Tout est différent quand on est copain de la fac.
joe l'embrouille(c)
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Re: je suis au courant de rien (loïs) | Ven 4 Jan - 0:31 Citer EditerSupprimer
you konw nothing john aecha
☾ Elle se retrouve toute seule. Comme une idiote. Ae Cha n’a pas bougé d’un pouce depuis que Loïs est parti. Remonté comme ça fait longtemps. Elle se mord la lèvre inférieure. Ça l’énerve de devoir admettre qu’il a raison sur toute la ligne. Elle-même ne sait pas trop pourquoi elle a fait ça. De toute évidence ça n’aurait pas été compliqué de lui expliquer avant. Quelques mots sur sa famille n’auraient pas été de trop. Mais quoi ? Tout ça est si anodin pour elle. Les réceptions. Les petits fours. Les célébrations pour l’un des énièmes exploits de la famille. Traînée là-dedans depuis son plus jeune âge. Elle c’était dit que la présence de Loïs rendrait la chose plus agréable. Sans trop réfléchir au fait qu’il pourrait trouver ça gênant de se retrouver nez-à-nez avec toute sa famille. Elle aurait dû penser à la bizarrerie de la situation avant de l’inviter. Arg. Si frustrant de devoir admettre que pour une fois le garçon a raison sur toute la ligne.
Elle tend le bras pour prendre un autre verre de vin mais la voix réprobatrice de sa mère résonne dans son dos. Tu ne vas pas te saouler j’espère. Aecha laisse le serveur partir avec son verre vide. Elle grimace en se retournant vers sa mère. Cette dernière à la tête des jours des sermons. Et ça ne rate pas. Comme elle s’est comportée comme une petite écervelée avec ce si charmant Loïs. Qu’il ne faut pas s’étonner qu’elle soit encore célibataire à son âge si elle agit comme ça avec tous les garçons qu’elle fréquente. Aecha essaie de nier mais de toute évidence une mère voit des choses qui échappe aux yeux des autres. Et même à soit même. Surtout quand on s’appelle Goo Aecha et que l’on possède une maîtrise dans l’art du dénie. Elle finit comme une sale gosse prise sur le fait. La tête penchée en avant qu’elle hoche piteusement à chaque remontrance. Et maintenant va t’excuser.
Epaules affaissée Aecha par à la recherche de son allemand. En traînant des pieds. Pas qu’elle ne veuille pas arranger les choses mais elle se sent pitoyable. Merci maman. Les parents ont vraiment un don pour pointer du doigt les erreurs de leurs enfants et leur prendre conscience de leur ampleur. Elle soupire. C’est pourtant pas si difficile à trouver un géant qui tire la gueule. Elle peut presque parfaitement visualiser la tête qu’il fait lorsqu’il est en colère. Et quelque part ça l’a ferait presque sourire. Elle le trouve finalement. L’observe de loin. Ses entrailles se serrent. Elle n’a pas franchement envie d’aller l’affronter. Elle en aurait presque les moins moites. Voilà qu’elle est stressée. Stressée d’aller parler à Loïs Zimmer. Une grande première. Elle essuie ses mains moites sur la veste de son costume. Elle n’est même pas certaine de ce qu’elle doit lui dire. Ce qu’elle veut lui dire en fait. Tout ce qu’elle sait c’est qu’elle a fait une belle connerie. Qu’elle n’a pas du tout envie de ça reste comme ça. Qu’elle veut sincèrement arranger les choses entre eux.
Elle se racle la gorge en arrivant à son niveau. Grimace encore. Rétracte ses lèvres. Essaie de prendre une expression la plus repentante possible. « je » Bah elle en sait rien. Pourquoi tout semble si compliqué ? Et elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même. « je suis désolée pour tout à l’heure. je voulais pas te mettre dans l’embarras. vraiment. » Elle vient sonder son regard à la recherche d’un quelque chose qui pourrait l’aider. D’un peu de courage. Elle a l’a la raison. Elle sait pourquoi. Mais les mots restent solidement accrochés à sa langue. Refusent de sortir au grand jour. Ce serait tellement plus facile si les gens pouvaient se comprendre d’un simple regard. Parce que franchement Aecha n’a aucune envie de dire à voix haute ce qui lui triture les méninges depuis quelques minutes. Elle ferme les yeux. A la recherche de ce courage qui lui fait cruellement défaut. Souffle un bon coup. « je crois que. je me disais… que tu. » Ses pupilles font des acrobaties pour ne pas croiser celles de Loïs. « j’ai pensé que tu ne viendrais pas si savais qu’il y avait ma famille. » c’est partit tout seul. Comme retirer un pansement.
Elle tend le bras pour prendre un autre verre de vin mais la voix réprobatrice de sa mère résonne dans son dos. Tu ne vas pas te saouler j’espère. Aecha laisse le serveur partir avec son verre vide. Elle grimace en se retournant vers sa mère. Cette dernière à la tête des jours des sermons. Et ça ne rate pas. Comme elle s’est comportée comme une petite écervelée avec ce si charmant Loïs. Qu’il ne faut pas s’étonner qu’elle soit encore célibataire à son âge si elle agit comme ça avec tous les garçons qu’elle fréquente. Aecha essaie de nier mais de toute évidence une mère voit des choses qui échappe aux yeux des autres. Et même à soit même. Surtout quand on s’appelle Goo Aecha et que l’on possède une maîtrise dans l’art du dénie. Elle finit comme une sale gosse prise sur le fait. La tête penchée en avant qu’elle hoche piteusement à chaque remontrance. Et maintenant va t’excuser.
Epaules affaissée Aecha par à la recherche de son allemand. En traînant des pieds. Pas qu’elle ne veuille pas arranger les choses mais elle se sent pitoyable. Merci maman. Les parents ont vraiment un don pour pointer du doigt les erreurs de leurs enfants et leur prendre conscience de leur ampleur. Elle soupire. C’est pourtant pas si difficile à trouver un géant qui tire la gueule. Elle peut presque parfaitement visualiser la tête qu’il fait lorsqu’il est en colère. Et quelque part ça l’a ferait presque sourire. Elle le trouve finalement. L’observe de loin. Ses entrailles se serrent. Elle n’a pas franchement envie d’aller l’affronter. Elle en aurait presque les moins moites. Voilà qu’elle est stressée. Stressée d’aller parler à Loïs Zimmer. Une grande première. Elle essuie ses mains moites sur la veste de son costume. Elle n’est même pas certaine de ce qu’elle doit lui dire. Ce qu’elle veut lui dire en fait. Tout ce qu’elle sait c’est qu’elle a fait une belle connerie. Qu’elle n’a pas du tout envie de ça reste comme ça. Qu’elle veut sincèrement arranger les choses entre eux.
Elle se racle la gorge en arrivant à son niveau. Grimace encore. Rétracte ses lèvres. Essaie de prendre une expression la plus repentante possible. « je » Bah elle en sait rien. Pourquoi tout semble si compliqué ? Et elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même. « je suis désolée pour tout à l’heure. je voulais pas te mettre dans l’embarras. vraiment. » Elle vient sonder son regard à la recherche d’un quelque chose qui pourrait l’aider. D’un peu de courage. Elle a l’a la raison. Elle sait pourquoi. Mais les mots restent solidement accrochés à sa langue. Refusent de sortir au grand jour. Ce serait tellement plus facile si les gens pouvaient se comprendre d’un simple regard. Parce que franchement Aecha n’a aucune envie de dire à voix haute ce qui lui triture les méninges depuis quelques minutes. Elle ferme les yeux. A la recherche de ce courage qui lui fait cruellement défaut. Souffle un bon coup. « je crois que. je me disais… que tu. » Ses pupilles font des acrobaties pour ne pas croiser celles de Loïs. « j’ai pensé que tu ne viendrais pas si savais qu’il y avait ma famille. » c’est partit tout seul. Comme retirer un pansement.
joe l'embrouille(c)
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Re: je suis au courant de rien (loïs) | Dim 3 Fév - 12:52 Citer EditerSupprimer
je suis au courant de rien,
☾Comme quoi il faut pas trop faire confiance aux femmes. Elles ont beau être magnifiques, gentilles, mignonnes tout ça tout ça, à un moment ça dérape. A un moment il y a quelque chose que toi jeune homme, mâle alpha, tu ne comprends pas. Il y a un truc qui bloque la communication. Alors tu préfères partir et évacuer tout ton stress à l’aide de tes doigts. Tu te les triture, retire les cuticules de tes ongles à l’aide de tes incisives. Mais puisque ce n’est pas assez, tu finis par allumer une clope. Tu sais bien qu’il faut arrêter. Mais voilà. Tout aurait été plus simple si tu t’étais trouvé une fille moins fière. Une fille moins…sûre d’elle-même. Une fille moins elle. Mais c’est elle que t’aimais et tu ne pouvais pas faire autrement. Ce qui devait arriver était arrivé et maintenant c’était à elle de comprendre que son comportement n’était pas forcément le plus approprié.
La voilà donc qui arrive, perchée sur ses talons. Tu préfères attarder ton attention ailleurs. Mais v’là qu’elle en demande, de l’attention. Tirant sur ta cigarette tu finis par laisser échapper un peu de fumée avant de reporter de nouveau ton regard sur Aecha qui ne semble visiblement pas encore prête à affronter le tiens de regard. Faut dire que t’es pas vraiment connu pour avoir un regard doux et empathique de nature, alors si en plus t’es énervé, y a de quoi vouloir éviter tout eye-contact avec toi Loïs. Faut la comprendre aussi hein. Déjà si tu arrêtais de froncer les sourcils toutes les deux secondes, tu ferais peut-être moins peur. Mais askip c’est pas ta faute on sait. Askip c’est la luminosité, on sait, on sait. Allez, continue de fumer et laisse-là parler.
AH ! ça y est ! Vous avez tous entendu ? Elle s’est excusée. Tout de suite ça va mieux dans ton cœur. Comme-ci un simple « excuse-moi » pouvait apaiser toutes tes actuelles souffrances. C’est peut-être bien le cas faut croire. Alors tu l’écoutes, attentivement. Tu la fixes, tu fixes ses lèvres qui balbutient des excuses. Est-ce qu’il faut y croire ? T’aimerais ne pas le faire mais t’es beaucoup trop amoureux pour prendre ça pour des mensonges. Et Aecha avait beau être relou, chiante, capricieuse et tout ce qui fait d’une femme une femme, t’y croyais parce que c’était elle. Et que tu ne voyais pas bien sa raison de mentir. Et pour le coup, même si d’après toi 90% du problème était de sa faute, tu ne pouvais pas lui en tenir rigueur. Tu ne pouvais pas l’accuser d’avoir voulu anticiper ta réaction. Surtout que dans ce cas précis, elle avait quand même bien raison. Est-ce que tu serais venu si tu savais que ses parents viendraient ? Non. Pas sans savoir ce que vous étiez.
« Je comprends » réponds-tu en écrasant ton mégot dans un cendrier mis à disposition dehors. C’est vrai que tu comprenais. Tu comprenais qu’elle ait eu peur et qu’elle ait préféré ne rien dire pour que tu viennes. « Je comprends même très bien et je t’en veux pas » ajoutes-tu assez froidement, mais sincèrement. « Mais en tant que copain de fac, je m’en fous royalement de voir tes parents. En tant que copain de fac tes parents pourraient être plombier, profs ou en l’occurrence musiciens que ça me ferait strictement rien » finis-tu par lui dire en glissant tes mains dans les poches de ton pantalon. « Je me demande même ce qu’ils doivent penser tu vois ! « Wooooow Aecha a un copain de fac qui est Allemand ! Trop cool ! Notre fille a ami ! attention ! Notre fille a des amis ! Je répète notre fille a des amis ! A un moment stop. C’est déjà assez ridiculisant ce qui vient de se passer avec ta famille, et me rabaisser au rang de … » Tu soupires un instant n’ayant même pas la force de continuer de discuter. Ouais définitivement t’étais trop vieux jeu. Comment pouvais-tu t’attendre à ce que la première fille avec qui tu couches veuille absolument sortir avec toi et qu’en plus elle assume. Encore fallait-il qu’elle est les mêmes attentes que toi, et ça t’en étais pas vraiment certain.
La voilà donc qui arrive, perchée sur ses talons. Tu préfères attarder ton attention ailleurs. Mais v’là qu’elle en demande, de l’attention. Tirant sur ta cigarette tu finis par laisser échapper un peu de fumée avant de reporter de nouveau ton regard sur Aecha qui ne semble visiblement pas encore prête à affronter le tiens de regard. Faut dire que t’es pas vraiment connu pour avoir un regard doux et empathique de nature, alors si en plus t’es énervé, y a de quoi vouloir éviter tout eye-contact avec toi Loïs. Faut la comprendre aussi hein. Déjà si tu arrêtais de froncer les sourcils toutes les deux secondes, tu ferais peut-être moins peur. Mais askip c’est pas ta faute on sait. Askip c’est la luminosité, on sait, on sait. Allez, continue de fumer et laisse-là parler.
AH ! ça y est ! Vous avez tous entendu ? Elle s’est excusée. Tout de suite ça va mieux dans ton cœur. Comme-ci un simple « excuse-moi » pouvait apaiser toutes tes actuelles souffrances. C’est peut-être bien le cas faut croire. Alors tu l’écoutes, attentivement. Tu la fixes, tu fixes ses lèvres qui balbutient des excuses. Est-ce qu’il faut y croire ? T’aimerais ne pas le faire mais t’es beaucoup trop amoureux pour prendre ça pour des mensonges. Et Aecha avait beau être relou, chiante, capricieuse et tout ce qui fait d’une femme une femme, t’y croyais parce que c’était elle. Et que tu ne voyais pas bien sa raison de mentir. Et pour le coup, même si d’après toi 90% du problème était de sa faute, tu ne pouvais pas lui en tenir rigueur. Tu ne pouvais pas l’accuser d’avoir voulu anticiper ta réaction. Surtout que dans ce cas précis, elle avait quand même bien raison. Est-ce que tu serais venu si tu savais que ses parents viendraient ? Non. Pas sans savoir ce que vous étiez.
« Je comprends » réponds-tu en écrasant ton mégot dans un cendrier mis à disposition dehors. C’est vrai que tu comprenais. Tu comprenais qu’elle ait eu peur et qu’elle ait préféré ne rien dire pour que tu viennes. « Je comprends même très bien et je t’en veux pas » ajoutes-tu assez froidement, mais sincèrement. « Mais en tant que copain de fac, je m’en fous royalement de voir tes parents. En tant que copain de fac tes parents pourraient être plombier, profs ou en l’occurrence musiciens que ça me ferait strictement rien » finis-tu par lui dire en glissant tes mains dans les poches de ton pantalon. « Je me demande même ce qu’ils doivent penser tu vois ! « Wooooow Aecha a un copain de fac qui est Allemand ! Trop cool ! Notre fille a ami ! attention ! Notre fille a des amis ! Je répète notre fille a des amis ! A un moment stop. C’est déjà assez ridiculisant ce qui vient de se passer avec ta famille, et me rabaisser au rang de … » Tu soupires un instant n’ayant même pas la force de continuer de discuter. Ouais définitivement t’étais trop vieux jeu. Comment pouvais-tu t’attendre à ce que la première fille avec qui tu couches veuille absolument sortir avec toi et qu’en plus elle assume. Encore fallait-il qu’elle est les mêmes attentes que toi, et ça t’en étais pas vraiment certain.
joe l'embrouille(c)
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Re: je suis au courant de rien (loïs) | Ven 8 Fév - 23:50 Citer EditerSupprimer
you konw nothing john aecha
☾ Elle a un peu de mal à y croire. Loïs ? Lui pardonner aussi facilement ? ça parait presque trop gros pour être vrai. Et son expression faciale ne laisse rien présager. bien qu’elle sache qu’il est rare de voir le jeune homme exprimer quelque chose avec son visage. Et si d’ordinaire Ae Cha s’en amuse, ce n’est pas du tout le cas. Elle regrette l’impassibilité de son visage. Elle se sent désarçonnée par le garçon qui lui fait face. Elle devrait pourtant s’y habituée à cette attitude. Ou plutôt à son manque d’attitude. Et pourtant rien n’y fait. La jeune femme ne s’y fera jamais. Elle le scrute des yeux à la recherche d’une réponse. D’un quelque chose chez Loïs qui lui permettrait de faire baisser la pression. Rien. La même tête. Heureusement pour elle, la suite ne tarde pas à venir. Elle se sent un peu vexée. Avec la désagréable impression qu’il se moque d’elle. Aecha grimace. Fronce les sourcils alors qu’il semble inarrêtable. Pointant avec une justesse cruelle son erreur. Il lui avait fallu prendre sur elle pour lui dire le fond de sa pensée. Se montrer honnête n’est pas une chose facile pour elle. Habitée à se mentir à elle-même ainsi qu’aux autres. Il avait dit qu’il comprenait mais au final il se foutait bien de sa gueule. Incapable de comprendre les sentiments qui guident le jeune homme. « Qu’est-ce que tu voulais que je leur dise ? » elle hausse le ton. Mauvaise idée, très certaine. « Papa, maman voici Loïs. On couche ensemble. » elle prend une pause pour marquer l’illogisme de la situation. « C’est sûr que ça aurait été plus facile à gérer pour toi. » cette histoire commence à lui prendre la tête. Comme toutes celles qui demandent que l’on y réfléchisse attentivement. Pire encore : réfléchir à ses sentiments. Et Aecha n’a pas envie de se pencher sur la question. Ne veut pas en retirer la moindre réponse.
joe l'embrouille(c)
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Re: je suis au courant de rien (loïs) | Mar 5 Mar - 11:09 Citer EditerSupprimer
je suis au courant de rien,
☾Tu t'allumerais bien une seconde cigarette pour évacuer tout ce stress actuellement présent dans tes nerfs. Mais voilà. La clope c'est pas bien, et t'es pas venu ici pour sentir la Marlboro pendant que Aecha sent du Coco Chanel. Pire : t'es pas venu ici pour faire la gueule dans un coin. T'es pas venu ici pour ça, mais force est de constater qu'elle a tendu la perche. Et malheureusement ses beaux yeux ne te font aucun effet. Pas pour le moment en tout cas. C'est fou ce que tu peux être susceptible Loïs. Elle te cherche depuis plusieurs mois, vous vous êtes embrassés, vous vous avez couché ensemble, vous trainez de plus en plus ensemble, vous vous partagez vos repas, vous partagez vos salives, vous partagez un peu tout. Et faut que tu fasses la gueule pour une information erronée. Quoi qu'erronée seulement pour toi. Peut-être bien qu'elle le pense. Peut-être bien que ouais t'es son copain de fac.
La confiance. C'était pourtant ton truc la confiance non ? Ah ! Pas pour les sentiments ? Ah d'accord. Pardon Monsieur Zimmer. Monsieur a des exigences. Confiant au travail, mais confiant avec les filles. C'est vrai. Ça se saurait sinon. Ajoutez-y une timidité accrue et le tour est joué. Alors c'est pour ça qu'on peut pas t'en vouloir pauvre lapin ? C'est Aecha la fautive c'est ça ? Et si on disait que c'était vous deux ? Si tu t'excusais un peu ? Comment ça tu veux pas ? Ah pardon. Monsieur a une fierté. Après la confiance voilà la fierté qui fait son grand retour. Apparemment lui dire que tu comprends son agissement c'est déjà bien assez. Pourtant elle s'est excusée elle non ? Rembobinons un petit peu. « je suis désolée pour tout à l'heure, je ne voulais pas te mettre dans l'embarras » c'est bien ce qu'elle a dit non ? C'est pas un bon motif ça ? Oui. Oui mais non. En fait t'as décidé de casser les couilles des gens c'est ça ?
«Ecoute...Si je suis venu c'est pour toi mais voilà à un moment faut pas me prendre pour un con. Mets-toi à ma place deux secondes ? T'aurais aimé que je te présente comme une copine de fac ? Devant mes parents ? Sans prévenir ? C'est vrai que tu dois coucher avec beaucoup de tes copains de fac hein ? » Tiens. Tu viens de pointer du doigt un truc auquel t'avais pas pensé. Peut-être que ça se trouve elle a plusieurs copains ? Et que tu fais partie d'un sur plusieurs. T'es peut-être la version allemande du petit copain ? «Je t'apprécie énormément, je pense que ça se voit, mais à un moment faut pas déconner Aecha. C'est juste pas poli ce que t'as fait. Et non je suis désolé, ça passe pas. Tu peux pas...Tu peux pas m'appeler copain de fac c'est putain mais merde !! c'est rabaissant ! C'est vraiment ce que je suis ? » dis-tu en levant le ton, fixant Aecha droit dans les yeux. « Regarde-moi ! C'est vraiment ce que je suis un simple copain de fac ? C'est vraiment comme ça que tu me vois ? Alors ouais je suis peut-être un peu vieux jeu. Mais j'esperais peut-être être plus important qu'un vulgaire copain de fac. Si tu voulais dire quelque chose à tes parents il aurait fallut peut-être en parler à la personne concernée d'abord ! Ou mieux, fallait juste pas l'inviter. »
La confiance. C'était pourtant ton truc la confiance non ? Ah ! Pas pour les sentiments ? Ah d'accord. Pardon Monsieur Zimmer. Monsieur a des exigences. Confiant au travail, mais confiant avec les filles. C'est vrai. Ça se saurait sinon. Ajoutez-y une timidité accrue et le tour est joué. Alors c'est pour ça qu'on peut pas t'en vouloir pauvre lapin ? C'est Aecha la fautive c'est ça ? Et si on disait que c'était vous deux ? Si tu t'excusais un peu ? Comment ça tu veux pas ? Ah pardon. Monsieur a une fierté. Après la confiance voilà la fierté qui fait son grand retour. Apparemment lui dire que tu comprends son agissement c'est déjà bien assez. Pourtant elle s'est excusée elle non ? Rembobinons un petit peu. « je suis désolée pour tout à l'heure, je ne voulais pas te mettre dans l'embarras » c'est bien ce qu'elle a dit non ? C'est pas un bon motif ça ? Oui. Oui mais non. En fait t'as décidé de casser les couilles des gens c'est ça ?
«Ecoute...Si je suis venu c'est pour toi mais voilà à un moment faut pas me prendre pour un con. Mets-toi à ma place deux secondes ? T'aurais aimé que je te présente comme une copine de fac ? Devant mes parents ? Sans prévenir ? C'est vrai que tu dois coucher avec beaucoup de tes copains de fac hein ? » Tiens. Tu viens de pointer du doigt un truc auquel t'avais pas pensé. Peut-être que ça se trouve elle a plusieurs copains ? Et que tu fais partie d'un sur plusieurs. T'es peut-être la version allemande du petit copain ? «Je t'apprécie énormément, je pense que ça se voit, mais à un moment faut pas déconner Aecha. C'est juste pas poli ce que t'as fait. Et non je suis désolé, ça passe pas. Tu peux pas...Tu peux pas m'appeler copain de fac c'est putain mais merde !! c'est rabaissant ! C'est vraiment ce que je suis ? » dis-tu en levant le ton, fixant Aecha droit dans les yeux. « Regarde-moi ! C'est vraiment ce que je suis un simple copain de fac ? C'est vraiment comme ça que tu me vois ? Alors ouais je suis peut-être un peu vieux jeu. Mais j'esperais peut-être être plus important qu'un vulgaire copain de fac. Si tu voulais dire quelque chose à tes parents il aurait fallut peut-être en parler à la personne concernée d'abord ! Ou mieux, fallait juste pas l'inviter. »
joe l'embrouille(c)
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Re: je suis au courant de rien (loïs) | Jeu 11 Avr - 23:26 Citer EditerSupprimer
you konw nothing john aecha
☾ tous les éléments sont la pour lui mettre la puce à l’oreille. pour lui faire comprendre que le problème de loïs dépasse de très loin cette histoire de gêne. c’est là, sous son nez. ça clignote en gros sur le front du garçon mais aecha fait la sourde oreille. évite soigneusement de se poser les bonnes questions. tellement que ça en devient ridicule cet acharnement à faire semblant de ne pas savoir. ignorer c’est amusant, un temps. mais passer un certains stade on se met à tourner en rond. jusqu’au moment fatidique où il faut bien se rendre à l’évidence. c’est bien rigolo de jouer à l’autruche mais ça n’apporte jamais rien de bon. malheureusement aecha n’est pas de ceux qui prennent du recul pour éviter les catastrophes. non, aecha fonce droit dans la connerie. quitte à passer pour plus bête qu’elle ne l’est. pour une insensible. quitte à y laisser quelques plumes au passage. idiote ? complètement.
elle se sent agressée par le ton du jeune homme. il l’a met dans une situation de faiblesse. et c’est surement ce qui lui plait le moins dans toute cette histoire. ce qui lui plait le moins dès qu’il est question de loïs. elle doit toujours réfléchir. à trop de choses. et trop souvent ses pensées l’emmènent vers des chemins qu’elle n’a pas envie d’explorer. ou plutôt qu’elle n’ose pas emprunter. peur silencieuse de l’inconnu. d’être la seule à se poser des questions. interpelée par la dureté des mots de loïs elle n’a pas d’autre choix que de le regarder. elle frémit en croisant son regard. insondable. glacial. elle meurt d’envie de fuir loin de lui et de ses yeux noirs. ses doigts se crispent autour du pan de sa veste rose. elle grimace. pas de dégout. son visage reflète avec une effrayante exactitude son mal-être. il pourra se vanter d’avoir mis mal à l’aise goo aecha.
elle hésite. qu’est-ce qu’elle pourrait bien lui répondre ? s’excuser encore ? pas question, ça ne changerait rien. pas sûre qu’il apprécie. et ce n’est certainement pas ce qu’il attend d’elle. le problème ce qu’elle n’a pas non plus de réponse. elle comprend sans comprendre ce qu’il dit. « je comprend pas. » dit-elle d’une voix mal assurée. ça l’irrite presque de laisser transparaitre au grand jour son incapacité à gérer. elle se racle la gorge. dresse son index devant le visage de loïs pour lui faire comprendre qu’elle a besoin de temps. pour se rassembler. et qu’il serait bien gentil de ne pas l’agresser encore une fois. qu’il la laisse parler. mais que ce sera pas immédiat. juste un peu de temps pour se rassembler.
« je comprend vraiment pas ce que tu veux. je sais pas comment c’est en allemagne mais ici quand on couche avec quelqu’un, on ne le présente pas comme tel. surtout pas à sa famille. alors je le redemande qu’est-ce que j’aurais dû leur dire ? c’est pas comme si on – » on quoi au juste ? ça y est, elle ne peut plus ignorer les signaux lumineux. « dis loïs, pour toi…notre relation…on est quoi ? » son cœur rate un battement. elle a les mains vraiment très moites.
elle se sent agressée par le ton du jeune homme. il l’a met dans une situation de faiblesse. et c’est surement ce qui lui plait le moins dans toute cette histoire. ce qui lui plait le moins dès qu’il est question de loïs. elle doit toujours réfléchir. à trop de choses. et trop souvent ses pensées l’emmènent vers des chemins qu’elle n’a pas envie d’explorer. ou plutôt qu’elle n’ose pas emprunter. peur silencieuse de l’inconnu. d’être la seule à se poser des questions. interpelée par la dureté des mots de loïs elle n’a pas d’autre choix que de le regarder. elle frémit en croisant son regard. insondable. glacial. elle meurt d’envie de fuir loin de lui et de ses yeux noirs. ses doigts se crispent autour du pan de sa veste rose. elle grimace. pas de dégout. son visage reflète avec une effrayante exactitude son mal-être. il pourra se vanter d’avoir mis mal à l’aise goo aecha.
elle hésite. qu’est-ce qu’elle pourrait bien lui répondre ? s’excuser encore ? pas question, ça ne changerait rien. pas sûre qu’il apprécie. et ce n’est certainement pas ce qu’il attend d’elle. le problème ce qu’elle n’a pas non plus de réponse. elle comprend sans comprendre ce qu’il dit. « je comprend pas. » dit-elle d’une voix mal assurée. ça l’irrite presque de laisser transparaitre au grand jour son incapacité à gérer. elle se racle la gorge. dresse son index devant le visage de loïs pour lui faire comprendre qu’elle a besoin de temps. pour se rassembler. et qu’il serait bien gentil de ne pas l’agresser encore une fois. qu’il la laisse parler. mais que ce sera pas immédiat. juste un peu de temps pour se rassembler.
« je comprend vraiment pas ce que tu veux. je sais pas comment c’est en allemagne mais ici quand on couche avec quelqu’un, on ne le présente pas comme tel. surtout pas à sa famille. alors je le redemande qu’est-ce que j’aurais dû leur dire ? c’est pas comme si on – » on quoi au juste ? ça y est, elle ne peut plus ignorer les signaux lumineux. « dis loïs, pour toi…notre relation…on est quoi ? » son cœur rate un battement. elle a les mains vraiment très moites.
joe l'embrouille(c)
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Re: je suis au courant de rien (loïs) | Sam 18 Mai - 17:43 Citer EditerSupprimer
je suis au courant de rien,
☾Mais qu’est-ce qu’elle ne comprend pas encore ? Faut tout lui expliquer ? Faut pas bac + 5 non plus pour comprendre ce que t’as essayé de lui dire. Puis voilà qu’elle en rajoute. Et étrangement ça bloque dans ton cerveau. Ce qu’elle vient de dire à l’instant. Ça fait un énorme blocage. Et ça se répète, en boucle. T’espère au fond de toi qu’elle est pas sérieuse. Tu te contiens. Tu fais tout pour garder ton calme. Fort heureusement tu as été formé des années pour ça. Tu gardes cet air impassible, la fixant droit dans les yeux. « Stop ! Arrête de débiter des conneries ! jesaispascommentcestenallemagnemais nyanyanyanya ! Non y a pas de ça ! Y a pas d’histoire d’Allemagne ! Arrête de croire que dans tel ou tel pays on fait ça ! Je te rappelle que tu viens d’un pays accro aux rendez-vous arrangés et compagnie ! Et où à peine passé 25 ans faut vous marier sinon c’est mal vu. La Corée ! Merveilleux pays où la moitié des jeunes sont en couples en train de se balader main dans la main alors qu’ils se connaissent pas plus que ça, la plupart ne sachant même pas pourquoi mais car il faut être en couple ! Alors ne viens pas me faire croire. Vient pas me faire croire que dans ton bon vieux pays, ici, qui est d’ailleurs un peu le mien quand même je te le rappelle, vous savez pas faire la différence ou que sais-je. » ça c’est ce que t’aurais voulu lui dire. Merveilleux mots prononcés dans ta tête en Allemand mais qui n’ont pas réussi à sortir. Tu serais limite à deux doigts de pleurer, mais tu es plus fort que ça. Tu es plus fort que ce qu’elle te raconte, pas vrai ?
« Je veux rien Aecha. Je veux rien, et je n’attends rien. Et notre relation c’est rien de plus ni rien de moins que ce qui s’est passé, c’est tout. Maintenant tu ferais mieux de retourner voir ta famille et tes amis, moi je vais y aller. Je suis content d’avoir été invité, sincèrement, mais l’hypocrisie c’est pas quelque chose que je maîtrise très bien, tu diras encore à tes parents que je suis désolé pour le quiproquo. » C’est fou. Ce que tu penses, ce que t’aimerais lui dire, et ce qu’au final tu prononces. Comme si t’as haîne à l’instant précis l’avait emporté sur tout le reste. Tu vas la blesser. C’est pas vraiment ce que t’avais envisagé. Tu veux pas non plus plomber cette journée. Mais tu ne veux pas qu’elle passe tout son temps à s’engueuler avec toi pour des mots mal prononcés, mal interprétés. « Reste avec eux, je serai pas d’une très grande utilité de toute façon. Si jamais t'as besoin de quelqu'un pour te ramener, tu me diras à quelle heure il faut venir » Cette phrase fait très victime. Mais ce n’est pas voulu. Tu dis simplement la vérité. Au final peut-être que tout ça c’est trop tôt. Si vous n’êtes même pas capable de mettre un nom sur votre relation, comment voulez-vous vous présenter aux yeux des autres ? Si aucun de vous n’est prêt à dire ce qui est. Autant laisser tomber. Peut-être même que vous n’êtes certains de rien. Tout ça est bien trop tôt. Et t’espères qu’elle le comprendra. Tu n’avais pas prévu de partir si prématurément mais tu ne vois pas vraiment d’autres solution. Est-ce que ça vaut vraiment le coup de rester si c’est pour que l’un comme l’autre vous fassiez les hypocrites, et faites comme si de rien était ? Pas sûr. C’est le genre de choses qui à toi, Loïs te demande beaucoup trop d’entraînement. Tu ne peux pas faire semblant d’être content, si ce n’est pas le cas. T’es plus expressif que tu ne le laisses voir.
« Je veux rien Aecha. Je veux rien, et je n’attends rien. Et notre relation c’est rien de plus ni rien de moins que ce qui s’est passé, c’est tout. Maintenant tu ferais mieux de retourner voir ta famille et tes amis, moi je vais y aller. Je suis content d’avoir été invité, sincèrement, mais l’hypocrisie c’est pas quelque chose que je maîtrise très bien, tu diras encore à tes parents que je suis désolé pour le quiproquo. » C’est fou. Ce que tu penses, ce que t’aimerais lui dire, et ce qu’au final tu prononces. Comme si t’as haîne à l’instant précis l’avait emporté sur tout le reste. Tu vas la blesser. C’est pas vraiment ce que t’avais envisagé. Tu veux pas non plus plomber cette journée. Mais tu ne veux pas qu’elle passe tout son temps à s’engueuler avec toi pour des mots mal prononcés, mal interprétés. « Reste avec eux, je serai pas d’une très grande utilité de toute façon. Si jamais t'as besoin de quelqu'un pour te ramener, tu me diras à quelle heure il faut venir » Cette phrase fait très victime. Mais ce n’est pas voulu. Tu dis simplement la vérité. Au final peut-être que tout ça c’est trop tôt. Si vous n’êtes même pas capable de mettre un nom sur votre relation, comment voulez-vous vous présenter aux yeux des autres ? Si aucun de vous n’est prêt à dire ce qui est. Autant laisser tomber. Peut-être même que vous n’êtes certains de rien. Tout ça est bien trop tôt. Et t’espères qu’elle le comprendra. Tu n’avais pas prévu de partir si prématurément mais tu ne vois pas vraiment d’autres solution. Est-ce que ça vaut vraiment le coup de rester si c’est pour que l’un comme l’autre vous fassiez les hypocrites, et faites comme si de rien était ? Pas sûr. C’est le genre de choses qui à toi, Loïs te demande beaucoup trop d’entraînement. Tu ne peux pas faire semblant d’être content, si ce n’est pas le cas. T’es plus expressif que tu ne le laisses voir.
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