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drippin' (moon)
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drippin' (moon) | Jeu 29 Nov - 22:01
ton regard se porte sur des mouvements et des éclats de voix. tu poses les yeux sur la bagarre qui a débuté. ou plutôt le combat à sens unique. le plus grand semble totalement maitriser et ne laisser aucune chance à ses opposants. pourtant, ils sont deux, si tu ne comptes pas le mec déjà à terre qui se tient le nez alors que du sang coule. tu n’as pas vu le début de la bagarre, mais au vu du sang que tu vois sur la mais de celui qui semble prendre du plaisir à les détruire, c’est lui qui les a frappé. d’ordinaire, tu te serais levé pour aller stopper tout ça parce que tu es flic, parce que c’était ton boulot. mais aussi parce que tu ne pouvais pas laisser des gens se faire tabasser sous tes yeux. mais ce soir, alors que tu as rangé ton uniforme au placard, alors que tu n’es qu’un mec lambda, tu n’as pas envie de t’en mêler. tu as même la flemme de t’interposer. tu veux juste passer une soirée loin de ta fonction de policier, et ne penser à rien de plus. alors, tu observes juste. le grand a l’air de savoir ce qu’il fait. tu peux le voir à la façon dont il a de bouger. il se bat depuis longtemps, il a de l’expérience, peut-être dans un club de boxe ou quelque chose dans le genre, peut-être même des combats clandestins. tu devrais peut-être faire quelque chose quand tu le vois exploser la pommette d’un autre mec. cependant, tu ne bouges même pas le petit doigt et plus tu le fixes, plus tu as l’impression de voir une chorégraphie. il est fluide dans ses mouvements et il sait ce qu’il fait. ça te plait. mais ce qui te plait encore plus, c’est ce regard. il est déterminé et pas une seule fois il cille de peur de ne pas être à la hauteur. ça te fait frémir et tu l’imagines déjà attaché à ton lit, les menottes aux poignets pendant que tu le fais frissonner. tu as envie de lui autant parce qu’il te plait physiquement que parce que tu as envie de le soumettre à toi. et en plus de l’idée de le menotter à ton lit, s’ajoute celle de le voir à quatre pattes devant toi la bouche ouverte. un léger sourire pervers s’affiche sur tes lèvres à cette pensée et tu sais déjà que tu vas le ramener chez toi. tu ne peux pas faire autrement. le combat finit par s’arrêter et tu sais que tu devrais te précipiter pour aider les mecs aux sols, mais t’as pas envie, pas ce soir. à la place tu sors un mouchoir de ta poche et tu t’avances vers l’inconnu pour lui tendre d’un geste nonchalant. « tu te bats bien. » que tu lances sans le quitter du regard, le dévorant sans gêne d’ailleurs. « on devrait partir avant que mes collègues arrivent. » tu lui jettes un regard en coin, pour jauger sa réaction face au fait que tu étais un flic. mais tu ne l’arrêteras pas. les menottes ne serviront pas à le foutre en garde à vue pour avoir frappé quelqu’un, mais plus pour le mettre au garde à vous.
drippin'
ft. moon
ton regard se porte sur des mouvements et des éclats de voix. tu poses les yeux sur la bagarre qui a débuté. ou plutôt le combat à sens unique. le plus grand semble totalement maitriser et ne laisser aucune chance à ses opposants. pourtant, ils sont deux, si tu ne comptes pas le mec déjà à terre qui se tient le nez alors que du sang coule. tu n’as pas vu le début de la bagarre, mais au vu du sang que tu vois sur la mais de celui qui semble prendre du plaisir à les détruire, c’est lui qui les a frappé. d’ordinaire, tu te serais levé pour aller stopper tout ça parce que tu es flic, parce que c’était ton boulot. mais aussi parce que tu ne pouvais pas laisser des gens se faire tabasser sous tes yeux. mais ce soir, alors que tu as rangé ton uniforme au placard, alors que tu n’es qu’un mec lambda, tu n’as pas envie de t’en mêler. tu as même la flemme de t’interposer. tu veux juste passer une soirée loin de ta fonction de policier, et ne penser à rien de plus. alors, tu observes juste. le grand a l’air de savoir ce qu’il fait. tu peux le voir à la façon dont il a de bouger. il se bat depuis longtemps, il a de l’expérience, peut-être dans un club de boxe ou quelque chose dans le genre, peut-être même des combats clandestins. tu devrais peut-être faire quelque chose quand tu le vois exploser la pommette d’un autre mec. cependant, tu ne bouges même pas le petit doigt et plus tu le fixes, plus tu as l’impression de voir une chorégraphie. il est fluide dans ses mouvements et il sait ce qu’il fait. ça te plait. mais ce qui te plait encore plus, c’est ce regard. il est déterminé et pas une seule fois il cille de peur de ne pas être à la hauteur. ça te fait frémir et tu l’imagines déjà attaché à ton lit, les menottes aux poignets pendant que tu le fais frissonner. tu as envie de lui autant parce qu’il te plait physiquement que parce que tu as envie de le soumettre à toi. et en plus de l’idée de le menotter à ton lit, s’ajoute celle de le voir à quatre pattes devant toi la bouche ouverte. un léger sourire pervers s’affiche sur tes lèvres à cette pensée et tu sais déjà que tu vas le ramener chez toi. tu ne peux pas faire autrement. le combat finit par s’arrêter et tu sais que tu devrais te précipiter pour aider les mecs aux sols, mais t’as pas envie, pas ce soir. à la place tu sors un mouchoir de ta poche et tu t’avances vers l’inconnu pour lui tendre d’un geste nonchalant. « tu te bats bien. » que tu lances sans le quitter du regard, le dévorant sans gêne d’ailleurs. « on devrait partir avant que mes collègues arrivent. » tu lui jettes un regard en coin, pour jauger sa réaction face au fait que tu étais un flic. mais tu ne l’arrêteras pas. les menottes ne serviront pas à le foutre en garde à vue pour avoir frappé quelqu’un, mais plus pour le mettre au garde à vous. (c) DΛNDELION
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Re: drippin' (moon) | Ven 30 Nov - 0:30
outfit - Je passais ma main sur ma bouche toisant le type du regard. Il faisait pas le fier. Son petit copain était déjà sol. Il avait suffit que je lui éclate le nez pour que ce fragile se mette à se tordre de douleur. Franchement les débutants, ils n’avait pas la moindre résistance, c’était affolant. Décidément n’importe quoi pouvait se battre comme ça dans la rue, ça en devenait presque pitoyable. Que des gosses qui essayaient de se donner des sensations fortes. Souvent des gamins qui pensaient avait l’expérience nécessaire et qui pensaient être des petits caïds. Sauf qu’ils finissaient par tomber sur plus gros qu’eux. Et ces gosses apprenaient à me connaître. L’exécution. C’était la simple exécution. Je le regardais en lui fit un signe de provocation, lui faisait signe de se ramener avec ma main. Provoc facile, mais il était assez stupide et tête brûlée pour foncer droit dans un truc aussi con. Même moi j’étais pas aussi tête brûlée pour foncer autant tête baissée. Là c’était presque du gâteau. J’esquivais habilement alors qu’il fonçait et je lui balançai mon pied directement dans sa pommette. Le craquement fut si sinistre qu’il résonna dans la rue. Puis un autre coup de pied directement au plexus. Encore un autre à terre. Ils pensaient vraiment me niquer à plusieurs. Essoufflé je regardais le gars autour de moi, personne d’autre pour me tester ? Que des naze. Mais rapidement c’est un autre type s’approcha. Alors que je le vis venir vers moi, je fus d’abord sur la défensive. Lui aussi il en voulait ? Mais quand je vois son mouchoir à sa main, je levais un sourcil, étonné. A ses paroles je haussais les épaules. Bien sûr que je me battais bien, quand on avait passé la majeure partie de sa vie à faire ça, ça expliquait beaucoup de choses. Je me contentais d’un simple hochement de tête pour faire comprendre que je l’avais pas attendu. Je ne le remerciais pas, juste je l’avais entendu. Je pris son mouchoir pour m’essuyer la sueur et le sang qui avait couler au coin de ma lèvre. Mais à ses dernières paroles je me figeais. Ses collègues ? Attend quoi ? Quels collègues ? Je fronçai les, je compris bien vite qu’il parlait des flics. Il était flic. Très bien. Mais il était évident que s’il voulait me coffrer ça serait fait depuis une paye de temps. Je balançai le mouchoir par dessus mon épaule toisant le flic du regard, tentant de le décrypter. Il était beau, plus que beau, magnétique. Sans réfléchir je l’attrapais par l’avant-bras. Suis-moi, je l’attirais dans les rues. J’avais pour habitudes d’y échapper aux keufs. Jamais ils m’avaient attrapé. C’était pas maintenant que ça allait commençait. Sauf si c’était un flic qui essayait de me la faire à l'envers. Mais je savais aussi que j’étais pas assez gros pour attirer l’attention des flics à ce point-là. ILs avaient des plus gros à attraper et pour attirer leur attention. Je nous engouffrais dans les petites rues puis après quelques minutes à marcher d’un bon rythme je m’arrêtais net et me tournais vers le flic. Pourquoi tu me vends pas à tes collègues ? Pourquoi tu m’aides ? Il n’y avait pas d’animosité dans ma voix. J’étais calme pour une fois. Je cherchais à comprendre sa motivation. Quel genre de keuf pouvait aider un vaurien des rue qui tabassait des gens ? Je penchais ma tête sur le côté. Tu veux une faveur toi hein ? Je l’avais dit sur un ton monocorde et sans expression. Je ne savais pas à quoi il jouait, mais je savais bien qu’un flic agissait jamais pas pure bonté de cœur. Personne n'agissait par pure bonté de cœur. Parce que le monde était pourri, cliché, mais vrai pourtant.
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ft. hak nyeon
outfit - Je passais ma main sur ma bouche toisant le type du regard. Il faisait pas le fier. Son petit copain était déjà sol. Il avait suffit que je lui éclate le nez pour que ce fragile se mette à se tordre de douleur. Franchement les débutants, ils n’avait pas la moindre résistance, c’était affolant. Décidément n’importe quoi pouvait se battre comme ça dans la rue, ça en devenait presque pitoyable. Que des gosses qui essayaient de se donner des sensations fortes. Souvent des gamins qui pensaient avait l’expérience nécessaire et qui pensaient être des petits caïds. Sauf qu’ils finissaient par tomber sur plus gros qu’eux. Et ces gosses apprenaient à me connaître. L’exécution. C’était la simple exécution. Je le regardais en lui fit un signe de provocation, lui faisait signe de se ramener avec ma main. Provoc facile, mais il était assez stupide et tête brûlée pour foncer droit dans un truc aussi con. Même moi j’étais pas aussi tête brûlée pour foncer autant tête baissée. Là c’était presque du gâteau. J’esquivais habilement alors qu’il fonçait et je lui balançai mon pied directement dans sa pommette. Le craquement fut si sinistre qu’il résonna dans la rue. Puis un autre coup de pied directement au plexus. Encore un autre à terre. Ils pensaient vraiment me niquer à plusieurs. Essoufflé je regardais le gars autour de moi, personne d’autre pour me tester ? Que des naze. Mais rapidement c’est un autre type s’approcha. Alors que je le vis venir vers moi, je fus d’abord sur la défensive. Lui aussi il en voulait ? Mais quand je vois son mouchoir à sa main, je levais un sourcil, étonné. A ses paroles je haussais les épaules. Bien sûr que je me battais bien, quand on avait passé la majeure partie de sa vie à faire ça, ça expliquait beaucoup de choses. Je me contentais d’un simple hochement de tête pour faire comprendre que je l’avais pas attendu. Je ne le remerciais pas, juste je l’avais entendu. Je pris son mouchoir pour m’essuyer la sueur et le sang qui avait couler au coin de ma lèvre. Mais à ses dernières paroles je me figeais. Ses collègues ? Attend quoi ? Quels collègues ? Je fronçai les, je compris bien vite qu’il parlait des flics. Il était flic. Très bien. Mais il était évident que s’il voulait me coffrer ça serait fait depuis une paye de temps. Je balançai le mouchoir par dessus mon épaule toisant le flic du regard, tentant de le décrypter. Il était beau, plus que beau, magnétique. Sans réfléchir je l’attrapais par l’avant-bras. Suis-moi, je l’attirais dans les rues. J’avais pour habitudes d’y échapper aux keufs. Jamais ils m’avaient attrapé. C’était pas maintenant que ça allait commençait. Sauf si c’était un flic qui essayait de me la faire à l'envers. Mais je savais aussi que j’étais pas assez gros pour attirer l’attention des flics à ce point-là. ILs avaient des plus gros à attraper et pour attirer leur attention. Je nous engouffrais dans les petites rues puis après quelques minutes à marcher d’un bon rythme je m’arrêtais net et me tournais vers le flic. Pourquoi tu me vends pas à tes collègues ? Pourquoi tu m’aides ? Il n’y avait pas d’animosité dans ma voix. J’étais calme pour une fois. Je cherchais à comprendre sa motivation. Quel genre de keuf pouvait aider un vaurien des rue qui tabassait des gens ? Je penchais ma tête sur le côté. Tu veux une faveur toi hein ? Je l’avais dit sur un ton monocorde et sans expression. Je ne savais pas à quoi il jouait, mais je savais bien qu’un flic agissait jamais pas pure bonté de cœur. Personne n'agissait par pure bonté de cœur. Parce que le monde était pourri, cliché, mais vrai pourtant.(c) DΛNDELION
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Re: drippin' (moon) | Dim 23 Déc - 0:53
tu l’observes se battre fasciné par ses mouvements. tu aurais du l’arrêter, lui passer les menottes pour ce qu’il faisait. mais tu n’en avais ni l’envie ni n’en ressentais le besoin. alors à la place tu continues de le regarder, attendant qu’ils les mettent tous au tapis avant de t’approcher de lui. tu n’as pas de conscience professionnelle ce soir. non tu veux juste utiliser tes menottes pour l’attacher et le faire se plier à ce que toi tu voulais. tu lui tends un mouchoir en le complimentant sur sa façon de se battre. ce n’est pas un comportement digne d’un policier mais tu t’en moques bien. tu lui mentionnes quand même le fait qu’il faudrait que vous partiez avant qu’un flic vous attrape et tu jauges sa réaction. il évaluait sûrement les risques. sauf qu’il n’y avait pas de risque, aucun. pas ce soir. parce que si tu avais voulu le coffrer, tu l’aurais depuis bien longtemps plaqué contre le mur pour lui passer les menottes. à la place, tu attendais de voir ce qu’il allait faire. il jette le mouchoir par-dessus son épaule avant de t’attraper par l’avant bras. tu le laissais faire et le suivis sans un mot. il te fait passer par tout un tas de ruelles dont tu n’aurais jamais soupçonné le fait qu’elles étaient reliés les unes aux autres. tu ne sais pas vraiment combien de temps vous passez à marcher. ça ne te dérange pas de marcher, mais sans but ? apparemment ça ne l’était pas parce que le plus grand savait où il vous amenait. d’ailleurs, il finit par s’arrêter et tu te stoppes aussi avant de lui rentrer dedans. il reprend la parole et tu hausses les épaules. « pas envie. je suis pas en service ce soir. » et ce n’était pas faux. tu n’avais pas envie de le coffrer ou même de t’intéresser aux causes qui l’avaient poussées à frapper ces types. une autre question franchit ses lèvres ou plutôt une affirmation déguisée en question. « une faveur ? tu me prends pour qui ? » tu n’étais pas de ces flics qui demandaient des faveurs aux personnes qu’ils n’embarquaient pas, en leur faisant croire qu’ils leur faisaient une fleur. certes, tu avais de faire passer le plus grand dans tes draps mais tu ne le ferais jamais en échange de sa liberté. « je suis juste passé dans cette ruelle quand tu étais en train de te battre et j’ai observé. » tu dis la vérité, tu n’étais là que par hasard pas parce que tu le traquais. tu n’étais pas le genre de mec à t’embarrasser de fausses gentillesses pour attraper les gens dans tes filets de flics avant de les amener au poste. tu pousses un soupir parce que tu as l’impression qu’il est réticent. il ne doit pas beaucoup vous aimer. « je peux t’offrir un verre ou tu vas penser que je veux te saouler pour te passer les menottes ? » tu lui lances un regard, bloquant tes yeux dans les siens. « crois moi que si j’avais voulu t’arrêter, tu serais déjà à l’arrière d’une voiture de police. » pas que tu étais plus doué que lui en combat rapproché, vous deviez être à peu près du même niveau de ce que tu avais jugé, bien que toi, tu avais plus de technique. « et si je dois te foutre les menottes, ce sera clairement pas pour t’amener au poste. » tu lui fais part de manière détournée de ce que tu comptes faire sans aucune honte. « alors tu acceptes ? » tu lui laisses le choix d’accepter ton invitation ou de décliner.
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tu l’observes se battre fasciné par ses mouvements. tu aurais du l’arrêter, lui passer les menottes pour ce qu’il faisait. mais tu n’en avais ni l’envie ni n’en ressentais le besoin. alors à la place tu continues de le regarder, attendant qu’ils les mettent tous au tapis avant de t’approcher de lui. tu n’as pas de conscience professionnelle ce soir. non tu veux juste utiliser tes menottes pour l’attacher et le faire se plier à ce que toi tu voulais. tu lui tends un mouchoir en le complimentant sur sa façon de se battre. ce n’est pas un comportement digne d’un policier mais tu t’en moques bien. tu lui mentionnes quand même le fait qu’il faudrait que vous partiez avant qu’un flic vous attrape et tu jauges sa réaction. il évaluait sûrement les risques. sauf qu’il n’y avait pas de risque, aucun. pas ce soir. parce que si tu avais voulu le coffrer, tu l’aurais depuis bien longtemps plaqué contre le mur pour lui passer les menottes. à la place, tu attendais de voir ce qu’il allait faire. il jette le mouchoir par-dessus son épaule avant de t’attraper par l’avant bras. tu le laissais faire et le suivis sans un mot. il te fait passer par tout un tas de ruelles dont tu n’aurais jamais soupçonné le fait qu’elles étaient reliés les unes aux autres. tu ne sais pas vraiment combien de temps vous passez à marcher. ça ne te dérange pas de marcher, mais sans but ? apparemment ça ne l’était pas parce que le plus grand savait où il vous amenait. d’ailleurs, il finit par s’arrêter et tu te stoppes aussi avant de lui rentrer dedans. il reprend la parole et tu hausses les épaules. « pas envie. je suis pas en service ce soir. » et ce n’était pas faux. tu n’avais pas envie de le coffrer ou même de t’intéresser aux causes qui l’avaient poussées à frapper ces types. une autre question franchit ses lèvres ou plutôt une affirmation déguisée en question. « une faveur ? tu me prends pour qui ? » tu n’étais pas de ces flics qui demandaient des faveurs aux personnes qu’ils n’embarquaient pas, en leur faisant croire qu’ils leur faisaient une fleur. certes, tu avais de faire passer le plus grand dans tes draps mais tu ne le ferais jamais en échange de sa liberté. « je suis juste passé dans cette ruelle quand tu étais en train de te battre et j’ai observé. » tu dis la vérité, tu n’étais là que par hasard pas parce que tu le traquais. tu n’étais pas le genre de mec à t’embarrasser de fausses gentillesses pour attraper les gens dans tes filets de flics avant de les amener au poste. tu pousses un soupir parce que tu as l’impression qu’il est réticent. il ne doit pas beaucoup vous aimer. « je peux t’offrir un verre ou tu vas penser que je veux te saouler pour te passer les menottes ? » tu lui lances un regard, bloquant tes yeux dans les siens. « crois moi que si j’avais voulu t’arrêter, tu serais déjà à l’arrière d’une voiture de police. » pas que tu étais plus doué que lui en combat rapproché, vous deviez être à peu près du même niveau de ce que tu avais jugé, bien que toi, tu avais plus de technique. « et si je dois te foutre les menottes, ce sera clairement pas pour t’amener au poste. » tu lui fais part de manière détournée de ce que tu comptes faire sans aucune honte. « alors tu acceptes ? » tu lui laisses le choix d’accepter ton invitation ou de décliner.(c) DΛNDELION
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Re: drippin' (moon) | Lun 24 Déc - 0:31
outfit - Je m’étais engouffré dans les ruelles tout en tenant par l’avant-bras ce flic qui m’avait dit de me casser au plus vite. J’étais perturbé, mais je restais lucide. Mais je ne comprenais pas pourquoi ce type m’avait aidé. Surtout s’il était flic. C’était son taff de flic de venir s’occuper des types comme moi qui foutaient le bordel. Sauf que là, s’il avait vraiment voulu me coffrer; je savais qu’il l’aurait fait depuis une paye de temps. Mais là, c’était pas le cas. Et pour moi, il y avait forcément anguille sous roche. IL devait y avoir une vraie raison qui expliquait ce comportement atypique. Je savais déjà que ce n’était pas pour pour me suivre. certes cela faisait quelques années que j’évoluais dans cette sphère d’illégalité, et autant je commençais à avoir un petite réputation assez conséquente, autant je savais aussi que je n’avais assez d’autorité pour être intéressant. Je n'étais qu’un type qui se battait illégalement contre quelques billets, rien ne passionnant face aux barons de la drogue et du proxénétisme qui se baladaient dans la ville. Mais il n’empêchait que je voulait mon explication et je l’aurais. je le fixais attendant sa justification. Mais pour moi le simple fait qu’il ne soit pas de service ne suffisait pas. Les gens désintéressés dans ce monde ça n’existait pas. les services rendus de bon coeur, je n’y croyais, les gens cherchaient toujours une contrepartie et ce de manière plus ou moins consciente. Juste pour un être humain, lançai-je les bras croisés en le regardant. Alors que je le laissais continuer à parler. Je le jaugeais, j’observais la moindre de ses réactions, j’analysais la moindre de ses paroles, essayant de déceler le vrai du faux.? Savoir s’il cherchait à m’entourlouper ou pas. alorsd la suite me fit lever les sourcils de surprise. Parce ça, je ne m’y étais pas vraiment attendu. Boire un verre ? Attend ? Il me proposait un rencard ou c’était un verre entre couilles ? Non parce que c’était pas clair. Je fronçais les sourcils. Et pourtant quand nos regards se croisèrent, je frissonai quelques instants. Putain, ce type me faisait de l’effet. Il dégageait ce truc…. ce truc magnétique et animal à la fois. J’sais pas ce que je dois croire. Mais son dernier argument était vrai et ça je le savais bien. Je l’avais même supposé bien avant qu’il le verbalise. Je me mordis la lèvre inférieure en gardant mon regard planté dans le sien. Et ce qu’il ajouta finit de me faire comprendre qu’il ne voulait pas de ses info, mais une partie de jambes en l’air. Je finis par m’approche du flic. Alors que nos torses se frôlaient. je te crois. Finis-je par dire en le fixant avec une pointe d’excitation dans ma voix. Il m’attirait et je ne cherchais pas vraiment à le cacher. Je ne pense pas que le verre soit nécessaire si tu veux me tringler. Je levais les sourcils entendu avant d’ajouter avec un petit sourire amusé. Mais j’accepte, j’aime l’alcool gratuit. Je haussais les épaules avant de finir par. Moon, tu peux m’appeler Moon. Je finis par doucement me pencher mon finir poser mes lèvres au coin de celles du plus petit. Je n’avais pas de gêne, pas de notion de bien et de mal. puis décalant ma bouche sur celle du flic, la frôlant simplement. Et toi je suis censé t'appeler comment monsieur le flic sexy ? Je n’étais pas délicat, j’allais directement au coeur des choses. Pas le temps de niaiser ou faire une danse nuptiale.
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outfit - Je m’étais engouffré dans les ruelles tout en tenant par l’avant-bras ce flic qui m’avait dit de me casser au plus vite. J’étais perturbé, mais je restais lucide. Mais je ne comprenais pas pourquoi ce type m’avait aidé. Surtout s’il était flic. C’était son taff de flic de venir s’occuper des types comme moi qui foutaient le bordel. Sauf que là, s’il avait vraiment voulu me coffrer; je savais qu’il l’aurait fait depuis une paye de temps. Mais là, c’était pas le cas. Et pour moi, il y avait forcément anguille sous roche. IL devait y avoir une vraie raison qui expliquait ce comportement atypique. Je savais déjà que ce n’était pas pour pour me suivre. certes cela faisait quelques années que j’évoluais dans cette sphère d’illégalité, et autant je commençais à avoir un petite réputation assez conséquente, autant je savais aussi que je n’avais assez d’autorité pour être intéressant. Je n'étais qu’un type qui se battait illégalement contre quelques billets, rien ne passionnant face aux barons de la drogue et du proxénétisme qui se baladaient dans la ville. Mais il n’empêchait que je voulait mon explication et je l’aurais. je le fixais attendant sa justification. Mais pour moi le simple fait qu’il ne soit pas de service ne suffisait pas. Les gens désintéressés dans ce monde ça n’existait pas. les services rendus de bon coeur, je n’y croyais, les gens cherchaient toujours une contrepartie et ce de manière plus ou moins consciente. Juste pour un être humain, lançai-je les bras croisés en le regardant. Alors que je le laissais continuer à parler. Je le jaugeais, j’observais la moindre de ses réactions, j’analysais la moindre de ses paroles, essayant de déceler le vrai du faux.? Savoir s’il cherchait à m’entourlouper ou pas. alorsd la suite me fit lever les sourcils de surprise. Parce ça, je ne m’y étais pas vraiment attendu. Boire un verre ? Attend ? Il me proposait un rencard ou c’était un verre entre couilles ? Non parce que c’était pas clair. Je fronçais les sourcils. Et pourtant quand nos regards se croisèrent, je frissonai quelques instants. Putain, ce type me faisait de l’effet. Il dégageait ce truc…. ce truc magnétique et animal à la fois. J’sais pas ce que je dois croire. Mais son dernier argument était vrai et ça je le savais bien. Je l’avais même supposé bien avant qu’il le verbalise. Je me mordis la lèvre inférieure en gardant mon regard planté dans le sien. Et ce qu’il ajouta finit de me faire comprendre qu’il ne voulait pas de ses info, mais une partie de jambes en l’air. Je finis par m’approche du flic. Alors que nos torses se frôlaient. je te crois. Finis-je par dire en le fixant avec une pointe d’excitation dans ma voix. Il m’attirait et je ne cherchais pas vraiment à le cacher. Je ne pense pas que le verre soit nécessaire si tu veux me tringler. Je levais les sourcils entendu avant d’ajouter avec un petit sourire amusé. Mais j’accepte, j’aime l’alcool gratuit. Je haussais les épaules avant de finir par. Moon, tu peux m’appeler Moon. Je finis par doucement me pencher mon finir poser mes lèvres au coin de celles du plus petit. Je n’avais pas de gêne, pas de notion de bien et de mal. puis décalant ma bouche sur celle du flic, la frôlant simplement. Et toi je suis censé t'appeler comment monsieur le flic sexy ? Je n’étais pas délicat, j’allais directement au coeur des choses. Pas le temps de niaiser ou faire une danse nuptiale.(c) DΛNDELION
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