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ho yuil > to the dazzling times
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ho yuil > to the dazzling times | Mer 19 Déc - 0:34 Citer EditerSupprimer
Ho Yuil
et là une petite citation...
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Il parait que... tu te complais dans le plaisir charnel et c'est vrai, tu le fais souvent. tu sors, tu bois un verre — tu connais les bons bars, tu ressors et le plus souvent, c'est jamais seul. on dit aussi que tu es faible face à la tentation, c'est vrai aussi. tu craques trop facilement, tu as trop vite envie d'essayer, envie de savoir comment les choses marchent. parfois, tu sais que c'est mal mais c'est plus fort que toi. à cause de ça, on dit que tu ne sais pas te restreindre mais c'est faux. tu es assez grand pour être conscient de tes limites et ne jamais dépasser les limites de ton corps, de ton esprit. tu ne tiens pas à te briser, tu tiens bien trop à ce que tu as. on dit aussi que tu ne fais attention à rien, que rien n'a d'importance pour toi, pourtant c'est faux aussi. tu chéris tout ce que tu possèdes, c'est les rares petites choses qui te font apprécier la vie, qui te font te sentir moins vide d'intérêt. on dit de toi que tu es dépressif parfois, mais ça aussi c'est faux. il y a beaucoup de choses qu'on ne sait pas de toi. on possède une image de toi qui est parfois bien éloigné de la réalité. mais les gens s'entendent à dire que tu es quelqu'un de mauvais et, quelque part, ils ont raison. des fois, tu ne veux pas volontairement du mal aux autres mais tu es maladroit, tu ne réalises pas toujours la portée de tes mots. alors ça t'arrives, tu blesses les autres, tu nuis à leur bien être. ça te désole, honnêtement, mais tu ne le fais pas exprès. pas toujours. certains disent que tu abuses de ta sexualité pour plaire aux autres, que ce n'est pour toi qu'un moyen d'atteindre tes objectifs et tu n'as jamais rien entendu de plus faux que ça. tu es honnête sur ce que tu ressens, sur ce dont tu as besoin. tu ne mentirais pas sur quelque chose d'aussi fort et important que l'amour. tu ne le dis jamais vraiment mais tu attends le moment où quelqu'un acceptera de te passer la bague au doigt. la beauté du moment te fais rêver. pourtant, on dit que tu es quelqu'un de trop passionné, de trop intense — c'est vrai. c'est plus fort que toi, ce désir de contrôler, de plaire et de satisfaire. ça consume ton âme. on dit que tu ne sais pas apprécier les choses simple, que tu n'es pas du genre à jouer un bon jeu jusqu'au bout, que jamais de tes doigts tu ne touches une manette, que jamais tu n'as pris le temps de jouer à un bon jeu de société. encore une fois, c'est faux. au contraire, tu aimes te perdre dans l'histoire d'un monde qui n'est pas le tien. parfois, ça te permet de t'échapper de ce que l'homme appelle la routine. tu ne ressembles pas à un fils de bonne famille parfois, c'est vrai, mais ça reste une facette importante de ta personne. tu manges proprement, connais l'ordre de tes couverts, connais le luxe et le plaisir de ce qui coûte cher. tu ne t'embarasses pas à porter des vêtements de moindre coût, préférant porter du tissu qui glisse sur ta peau avec délicatesse. pourtant, tu préfères les soirées aux galas, la débauche à la pudeur. tu n'aimes pas les faux semblants, ça se sait. pourtant, tu n’es pas honnête avec toi même alors c’est un peu hypocrite. tu le sais, mais tu ne peux pas faire autrement. c’est comme ça que tu es, aussi tragique que cela paraisse. | Dis nous qui tu es ! tu es quelqu’un qui profite de l’instant présent, qui vit la vie sans prendre le temps de planifier quoique ce soit. lorsque tu le fais, ça ne se passe jamais vraiment bien. tu as arrêté de le faire depuis bien longtemps. on dit de toi que tu aimes la vie et, d’un point de vue extérieur, ça peut sembler être vrai. tu es quelqu’un d’énergique, de souriant. obstiné, tu sais ce que tu veux et tu n’hésites pas à le faire savoir. chacun de tes mots est prononcé avec conviction. tu tiens à tes opinions et ne laisse que très peu les autres influencer ta façon de penser ー tu es têtu yuil. si tu es têtu, c’est parce que tu sais ce que tu veux. tu tiens à tes opinions et est très satisfait de ta façon de penser. tu n’as pas forcément envie d’en changer, jusqu’à présent, cela te plait. peut-être est-ce ton indépendance qui t’as mené à une telle imperméabilité, mais tout le monde sait que tu n’es pas forcément très ouvert, très influençable. pourtant, tu as du mal à te définir toi même, du mal à savoir qui tu es. tu te sens détaché de ta propre existence et cela te fait un peu peur ー tu ne l’avouera jamais, tu es bien trop orgueilleux. à cause de ça, tu gravites souvent autour des mauvaises personnes, tu ne traines pas toujours avec les gens les plus fréquentable et on te le fait remarquer, toi fils de bonne famille, tu traines avec les miséreux ー pour tes parents c’est dur à accepter. plus jeune, on te demandait d’aller en cours avec assiduité, on te demandait d’être quelqu’un de bien, mais toi, tu n’en étais pas capable. plus on te disait d’y aller, moins tu n’en avais la volonté. encore aujourd’hui, tu fonctionnes comme ça. tu n’aimes pas qu’on te pousse, tu n’aimes pas qu’on te dise quoi faire. tu tiens à ta liberté et tu es prêt à tout pour la conserver. ça te rend impulsif, ce désir d’être libre, ce dédain pour la contrainte. tu te retrouves vite emporté par tes émotions, par tes envies. il n’est pas rare de te trouver derrière un verre ou dehors, à vagabonder. tu as le goût du danger, un amour sans nom pour les plaisirs éphémères. tu aimes les expériences qui te font te sentir hors de toi. hors de ton corps, hors du monde. tu aimes l’alcool, tu aimes la drogue et tu aimes le sexe. tu aimes te perdre en toi même, te perdre en les autres ー c’est quelque chose comme ton péché mignon. et même si ce plaisir te domine parfois, même s’il l’attrait du péché est parfois trop présent, tu sais te contrôler. tu sais dire stop, te le dire à toi même. tu es assez conscient de ce qui est bien, ce qui est mal. pourtant, même si tu sembles confiant, il t’arrive d’être nerveux, d’être sensible aux rejets des autres. aussi tu places parfois trop le besoin des autres avant le tien, tu te négliges par peur d’être négligé par les autres. parfois, cette faiblesse n’est pourtant qu’illusion. parfois, il ne s’agit pas de ta peur qui parle. il ne s’agit que de tes tendances manipulatives. tu as ce besoin d’être aimé, alors tu fais en sorte que les autres t’aiment. tu es quelqu’un d’un peu malsain, d’un peu mauvais ー c’est comme ça que tu fonctionnes parfois. tu as besoin de faire croire aux autres que tu es plus que ce que tu es vraiment. tu as besoin de leur faire croire que tu n’es pas juste cet enfant riche qui ne sait pas appréhender la vie, qui n’est en réalité que vide et incompréhension. tu es conscient de cette part de toi même, cette partie qui, tu le sais bien, t’es nocive, mais tu ne connais rien de mieux que cela. jusqu’à présent, tu n’as vécu que comme ça. tu baignes dans le vice et le péché alors que tu ne cherches que le bon chemin. malgré tout, tu es un peu idéaliste. tu as espoir qu’un jour, tout aille mieux. que tu seras quelqu’un de meilleur, quelqu’un de moins vide, de plus censé, de plus raisonnable. tu espères qu’un jour, tu feras la paix avec la vie elle même. peut-être qu’un jour, tu seras quelqu’un de mieux que tu ne l’es maintenant ー tu n’es pas certain que ce jour soit si proche que tu l’espère. |
(⑅˘͈ ᵕ ˘͈ ) ♡ bonjourj’ai craqué jpp i’m back ♡
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Re: ho yuil > to the dazzling times | Mer 19 Déc - 0:36 Citer EditerSupprimer
ambiance dépravé, musique d’ambiance et bruits lubriques. tes vêtements glissent et rejoignent le sol et toi, tu te perds en un millier de sensations que tu ne peux décrire. tu plonges et replonges dans la luxure, perds l’esprit et laisse ta passion t’embrouiller la tête. autour de toi ne retentissent que les cris de plaisir lâchés par les autres et toi, tu te laisses aller, encore, encore et encore. tu finis par te laisse retomber et tu passes ta main sur les draps vides à côté de toi. tu te retrouves à nouveau seul et la solitude reprend ses droits sur ton esprit.
tu te rappelles que tu n’as pas grand importance dans la vie des autres, que toi même, tu n’es pas si important que ça. parfois, tu as l’illusion de l’être. ça te rend heureux, optimiste. c’est ce qui fait de toi, toi. mais dans ces moments là, la réalité te rattrape cruellement et tu te sens plus perdu que jamais. peut-être est-ce parce que tu es trop orgueilleux, mais tu n’admets jamais tes faiblesses. tu n’en parles jamais.
quand d’un coup la réalité te rattrape, elle te frappe toujours plus fort que ce à quoi tu t’attends. tes pensées tourbillonnent et dans ta tête, rien ne fait sens. qui es-tu, qui es-tu vraiment ? qu’est-ce qui fait de toi quelqu’un, quelque chose de différent d’une coquille vide ? qu’est-ce qui te prouve que tu n’es pas qu’une coquille vide, que tu es plus qu’une simple illusion destinée à tromper les autres ? tu finis par te perdre, encore et encore dans ces pensées que tu ne maîtrises pas, ces pensées qui te contrôlent plus que tu ne les contrôle.
alors pour aller mieux, tu te laisses dériver de bar en bar, tu cherches désespérément la compagnie des autres et tu te perds dans leurs bras. tu laisses ta façade tomber le temps d’un instant et tes sens prennent le dessus, tu deviens celui que tu es au fond de toi. celui qui à un manque à combler, qui n’est rien sans les autres.
tu n’as pas toujours été comme ça. plus jeune, tu étais comme les autres, plein d’espoir, plein d’illusions. tu te complaisais dans le luxe de ta vie. tu brillais, illuminé par le bonheur que tu ressentais. tu étais un enfant tout ce qu’il y a de plus normal. tu sortais et t’amusais jusqu’à rentrer les vêtements sali par la terre, les joues rouge et le souffle court et tu courrais toujours dans les bras de ta mère avec un sourire plein de dents ー elle ne manquait jamais de te réprimander. « yuil, fais attention » et elle souriait elle aussi, tu t’en souviens comme si c’était hier.
tu avais des rêves plein la tête, les yeux remplis d’étoiles. t’étais un enfant plein d’espoir, honnête comme tout. le plus précieux de tous disaient tes parents. parce que tu étais innocent, naïf, tu ne voyais pas toutes les illusions qui entouraient ton existence. tu ne voyais pas la haine induite par ta richesse. tu ne voyais pas la jalousie qui rongeait le coeur des autres. tu ne voyais que toi, fils aimé de ses parents et les autres, des futurs amis qui n’attendaient que toi.
tu y croyais éperdument. pendant des années. tu allais l’école, comme les autres et mettre dans la cours de récré, même lorsque vous jouiez à chat, tu ne sentais pas l’animosité des autres. peut-être étais-tu trop dans ta bulle, mais jamais rien ne t’avait semblé étrange à l’époque. pas même lorsque parfois, tes chaussures manquaient dans ton casier. l’innocence de l’enfance te protégeait encore.
l’adolescence n’était pas bien différente de tout ça, tout ce qui avait changé, c’était ton établissement scolaire. autrement, tout était pareil. tu continuais ta scolarité et tu avais toujours tes parents derrière toi pour te soutenir. même si tu commençais à ressentir une certaine routine dans ta vie, elle ne te paraissait pas négative. rien ne te semblait être de travers.
mais petit à petit, oui, le tableau s’était noirci. tu avais grandi et tes illusions s’étaient brisé. tu t’étais rendu compte que rien n’était vraiment rose, que rien n’était vraiment défini.
tu as commencé à douter.
de toi, des autres.
de tout.
et comme ça, tu t’es perdu.
» facts
ー tu as effectué ton service miliaire et a donc deux ans de retard sur tes études.
ー tu as commencé une thèse sur la danse contemporaine.
ー tu as eu du mal à trouver un travail satisfaisant.
ー tu as failli travailler en tant que conseiller dans une boutique de luxe.
ー tes relations avec ta famille sont intact, même si tu as un travail étudiant qui ne leur convient pas.
ー tu es barman depuis peu.
ー tu as intégré yonsei sans bourses.
innocent conscience fears nothing
from mystery, from wonder, from not knowing
ambiance dépravé, musique d’ambiance et bruits lubriques. tes vêtements glissent et rejoignent le sol et toi, tu te perds en un millier de sensations que tu ne peux décrire. tu plonges et replonges dans la luxure, perds l’esprit et laisse ta passion t’embrouiller la tête. autour de toi ne retentissent que les cris de plaisir lâchés par les autres et toi, tu te laisses aller, encore, encore et encore. tu finis par te laisse retomber et tu passes ta main sur les draps vides à côté de toi. tu te retrouves à nouveau seul et la solitude reprend ses droits sur ton esprit.
tu te rappelles que tu n’as pas grand importance dans la vie des autres, que toi même, tu n’es pas si important que ça. parfois, tu as l’illusion de l’être. ça te rend heureux, optimiste. c’est ce qui fait de toi, toi. mais dans ces moments là, la réalité te rattrape cruellement et tu te sens plus perdu que jamais. peut-être est-ce parce que tu es trop orgueilleux, mais tu n’admets jamais tes faiblesses. tu n’en parles jamais.
quand d’un coup la réalité te rattrape, elle te frappe toujours plus fort que ce à quoi tu t’attends. tes pensées tourbillonnent et dans ta tête, rien ne fait sens. qui es-tu, qui es-tu vraiment ? qu’est-ce qui fait de toi quelqu’un, quelque chose de différent d’une coquille vide ? qu’est-ce qui te prouve que tu n’es pas qu’une coquille vide, que tu es plus qu’une simple illusion destinée à tromper les autres ? tu finis par te perdre, encore et encore dans ces pensées que tu ne maîtrises pas, ces pensées qui te contrôlent plus que tu ne les contrôle.
alors pour aller mieux, tu te laisses dériver de bar en bar, tu cherches désespérément la compagnie des autres et tu te perds dans leurs bras. tu laisses ta façade tomber le temps d’un instant et tes sens prennent le dessus, tu deviens celui que tu es au fond de toi. celui qui à un manque à combler, qui n’est rien sans les autres.
tu n’as pas toujours été comme ça. plus jeune, tu étais comme les autres, plein d’espoir, plein d’illusions. tu te complaisais dans le luxe de ta vie. tu brillais, illuminé par le bonheur que tu ressentais. tu étais un enfant tout ce qu’il y a de plus normal. tu sortais et t’amusais jusqu’à rentrer les vêtements sali par la terre, les joues rouge et le souffle court et tu courrais toujours dans les bras de ta mère avec un sourire plein de dents ー elle ne manquait jamais de te réprimander. « yuil, fais attention » et elle souriait elle aussi, tu t’en souviens comme si c’était hier.
tu avais des rêves plein la tête, les yeux remplis d’étoiles. t’étais un enfant plein d’espoir, honnête comme tout. le plus précieux de tous disaient tes parents. parce que tu étais innocent, naïf, tu ne voyais pas toutes les illusions qui entouraient ton existence. tu ne voyais pas la haine induite par ta richesse. tu ne voyais pas la jalousie qui rongeait le coeur des autres. tu ne voyais que toi, fils aimé de ses parents et les autres, des futurs amis qui n’attendaient que toi.
tu y croyais éperdument. pendant des années. tu allais l’école, comme les autres et mettre dans la cours de récré, même lorsque vous jouiez à chat, tu ne sentais pas l’animosité des autres. peut-être étais-tu trop dans ta bulle, mais jamais rien ne t’avait semblé étrange à l’époque. pas même lorsque parfois, tes chaussures manquaient dans ton casier. l’innocence de l’enfance te protégeait encore.
l’adolescence n’était pas bien différente de tout ça, tout ce qui avait changé, c’était ton établissement scolaire. autrement, tout était pareil. tu continuais ta scolarité et tu avais toujours tes parents derrière toi pour te soutenir. même si tu commençais à ressentir une certaine routine dans ta vie, elle ne te paraissait pas négative. rien ne te semblait être de travers.
mais petit à petit, oui, le tableau s’était noirci. tu avais grandi et tes illusions s’étaient brisé. tu t’étais rendu compte que rien n’était vraiment rose, que rien n’était vraiment défini.
tu as commencé à douter.
de toi, des autres.
de tout.
et comme ça, tu t’es perdu.
» facts
ー tu as effectué ton service miliaire et a donc deux ans de retard sur tes études.
ー tu as commencé une thèse sur la danse contemporaine.
ー tu as eu du mal à trouver un travail satisfaisant.
ー tu as failli travailler en tant que conseiller dans une boutique de luxe.
ー tes relations avec ta famille sont intact, même si tu as un travail étudiant qui ne leur convient pas.
ー tu es barman depuis peu.
ー tu as intégré yonsei sans bourses.
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Re: ho yuil > to the dazzling times | Mer 19 Déc - 1:02 Citer EditerSupprimer
oh
sorry
:hug2:
i dropped all my uwus :hug2:
:hug2:
all over the :hug2:
:hug2:
place
:hug2: uwu
sorry
:hug2:
i dropped all my uwus :hug2:
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all over the :hug2:
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place
:hug2: uwu
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Re: ho yuil > to the dazzling times | Mer 19 Déc - 3:10 Citer EditerSupprimer
Ça te va à merveille de craquer
Rebienvenue petit chou et bonne chance pour ta fiche !
Oh ptn j’avais pas capté que c’était gikwang !!!! Mes feels :bago: jpp ce mec est tellement parfait et pas assez joué olalala ce bon choix que tu fais j’ai envie de chialer de le voir sur le fofo
Rebienvenue petit chou et bonne chance pour ta fiche !
Oh ptn j’avais pas capté que c’était gikwang !!!! Mes feels :bago: jpp ce mec est tellement parfait et pas assez joué olalala ce bon choix que tu fais j’ai envie de chialer de le voir sur le fofo
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Re: ho yuil > to the dazzling times | Mer 19 Déc - 7:20 Citer EditerSupprimer
Rebienvenuuuue ma petite dame
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Re: ho yuil > to the dazzling times | Mer 19 Déc - 8:08 Citer EditerSupprimer
hyukjae est plue le plus vieux de la frat je me sens émue
rebienvenue
gikwang
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Go Na Kyung
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
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Re: ho yuil > to the dazzling times | Mer 19 Déc - 17:03 Citer EditerSupprimer
ce choix d'avatar.
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i feel a little rush, i think i've got a little crush on you. i hope it's not too much. ☾ but baby when i'm with you, i hear my heart singing. ♡ |
Kong Yeong Hun
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Re: ho yuil > to the dazzling times | Mer 19 Déc - 17:07 Citer EditerSupprimer
damn, gikwang
rebienvenue
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rebienvenue
head in the dust ♒︎ Feeling used but I'm still missing you and I can't see the end of this. Just wanna feel your kiss against my lips and now all this time is passing by but I still can't seem to tell you why. ©️ endlesslove.
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Re: ho yuil > to the dazzling times | Mer 19 Déc - 17:54 Citer EditerSupprimer
Moi non plus je ne l'avais pas reconnu sur l'avatar owo
Je sur valide le prénom btw
Rebienvenuuuuue
Je sur valide le prénom btw
Rebienvenuuuuue
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Re: ho yuil > to the dazzling times | Mer 19 Déc - 19:15 Citer EditerSupprimer
rebienvenuue, je kiffe le prénom avec le beau gikwang en plus bon courage pour ta fiche
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