Accueil
si un dîner peut me faire pardonner... ♣ ft. artémis
Invité
Invité
si un dîner peut me faire pardonner... ♣ ft. artémis | Mer 26 Déc - 20:42
Masque, casquette, c'était un quotidien depuis plus d'un an à présent. En tant qu'idole, il fallait toujours se cacher pour ne pas se faire reconnaître, bien que je n'étais pas une star internationale non plus. Je n'étais qu'un petit rookie, en marchant dans la rue, ce n'était pas tout le monde qui me reconnaissait. Dans un sens, tant mieux, ce serait très fatiguant d'attirer toujours l'attention même quand on voulait prendre un café. Chacune de nos actions serait surveillée, et la notion de liberté serait alors perdue. Et je ne voulais pas la perdre. Si j'avais fugué de chez moi pour pouvoir réaliser mon rêve, c'était parce que je voulais être libre. Mais pourtant, petit à petit, je commençais peut-être à perdre de nouveau cette liberté, en étant idole. Une idole était une marionnette. La marionnette des fans. Nous n'avions pas le droit d'être en couple, pas le droit de fumer, pas le droit de trop boire... Nous étions constamment surveillés. Toutefois, je l'avais choisie. J'avais choisi cette vie et je m'y tiendrais. C'était ce que je devais sacrifier pour pouvoir faire de mon rêve une réalité. Et si pour la musique je devais sacrifier ma chère liberté, je le ferais. Parce que j'aimais bien trop la musique. Mais mes pensées s'arrêtèrent immédiatement quand je reconnus un visage dans la rue. Les cheveux d'un orange flamboyant, il était difficile de la rater. Elle marchait dans la même rue que moi, dans une direction opposée. Elle s'approchait petit à petit de moi. Elle ne me reconnaîtrait peut-être pas. La première fois que je l'avais rencontrée, elle m'avait traitée comme un individu normal. Enfin, avec beaucoup de colère. Je l'avais bousculée dans un café et le collier qu'elle avait détaché de son cou l'espace d'un instant s'était brisé sur le sol. J'avais appris par la même occasion qu'elle tenait beaucoup à ce collier, alors je m'en étais énormément voulu. J'avais essayé de me racheter, lui proposant de l'argent, un service, n'importe quoi. Mais, même en étant en colère, elle avait obstinément refusé. A ce jour, je m'en voulais encore. Je me sentais vraiment mal de lui avoir cassé ce précieux collier. M'étant arrêté en plein trottoir, je la vis soudainement passer à côté de moi sans vraiment me prêter attention. Si je ne la rattrapais pas maintenant, je ne pourrais jamais me faire pardonner. Et peut-être qu'en insistant un peu plus elle acceptera quelque chose pour réparer mon erreur ? Je ne la connaissais peut-être pas mais c'était sûr que je l'avais blessée. Laisser un souvenir blessant ne m'enchantait pas, je ne voulais pas qu'elle garde un mauvais souvenir. Je voulais qu'elle le transforme en un souvenir un peu plus heureux. Ce fut alors avec un peu de précipitation et sans préparation que je la rattrapai, tapotant son épaule. « Bonjour excusez-moi de vous déranger, est-ce que vous vous rappelez de moi ? Je suis encore vraiment désolé, je voudrais vraiment me faire pardonner pour votre collier... Est-ce qu'aujourd'hui, vous accepteriez quelque chose pour vous dépanner ? De l'argent, un nouveau collier, un autre achat, voire un repas, tout ce que vous voulez. » Il n'y avait que mes yeux qui étaient visibles, mais ils étaient suffisamment suppliants pour qu'elle comprenne le message. J'espérais vraiment qu'elle accepte...
si un dîner peut me faire pardonner...
yoon artémis & park kwang jin
je t'ai bien dit que je ferais tout pour me pardonner, et si un dîner suffit, je paierai alors un dîner pour nous deux.
Masque, casquette, c'était un quotidien depuis plus d'un an à présent. En tant qu'idole, il fallait toujours se cacher pour ne pas se faire reconnaître, bien que je n'étais pas une star internationale non plus. Je n'étais qu'un petit rookie, en marchant dans la rue, ce n'était pas tout le monde qui me reconnaissait. Dans un sens, tant mieux, ce serait très fatiguant d'attirer toujours l'attention même quand on voulait prendre un café. Chacune de nos actions serait surveillée, et la notion de liberté serait alors perdue. Et je ne voulais pas la perdre. Si j'avais fugué de chez moi pour pouvoir réaliser mon rêve, c'était parce que je voulais être libre. Mais pourtant, petit à petit, je commençais peut-être à perdre de nouveau cette liberté, en étant idole. Une idole était une marionnette. La marionnette des fans. Nous n'avions pas le droit d'être en couple, pas le droit de fumer, pas le droit de trop boire... Nous étions constamment surveillés. Toutefois, je l'avais choisie. J'avais choisi cette vie et je m'y tiendrais. C'était ce que je devais sacrifier pour pouvoir faire de mon rêve une réalité. Et si pour la musique je devais sacrifier ma chère liberté, je le ferais. Parce que j'aimais bien trop la musique. Mais mes pensées s'arrêtèrent immédiatement quand je reconnus un visage dans la rue. Les cheveux d'un orange flamboyant, il était difficile de la rater. Elle marchait dans la même rue que moi, dans une direction opposée. Elle s'approchait petit à petit de moi. Elle ne me reconnaîtrait peut-être pas. La première fois que je l'avais rencontrée, elle m'avait traitée comme un individu normal. Enfin, avec beaucoup de colère. Je l'avais bousculée dans un café et le collier qu'elle avait détaché de son cou l'espace d'un instant s'était brisé sur le sol. J'avais appris par la même occasion qu'elle tenait beaucoup à ce collier, alors je m'en étais énormément voulu. J'avais essayé de me racheter, lui proposant de l'argent, un service, n'importe quoi. Mais, même en étant en colère, elle avait obstinément refusé. A ce jour, je m'en voulais encore. Je me sentais vraiment mal de lui avoir cassé ce précieux collier. M'étant arrêté en plein trottoir, je la vis soudainement passer à côté de moi sans vraiment me prêter attention. Si je ne la rattrapais pas maintenant, je ne pourrais jamais me faire pardonner. Et peut-être qu'en insistant un peu plus elle acceptera quelque chose pour réparer mon erreur ? Je ne la connaissais peut-être pas mais c'était sûr que je l'avais blessée. Laisser un souvenir blessant ne m'enchantait pas, je ne voulais pas qu'elle garde un mauvais souvenir. Je voulais qu'elle le transforme en un souvenir un peu plus heureux. Ce fut alors avec un peu de précipitation et sans préparation que je la rattrapai, tapotant son épaule. « Bonjour excusez-moi de vous déranger, est-ce que vous vous rappelez de moi ? Je suis encore vraiment désolé, je voudrais vraiment me faire pardonner pour votre collier... Est-ce qu'aujourd'hui, vous accepteriez quelque chose pour vous dépanner ? De l'argent, un nouveau collier, un autre achat, voire un repas, tout ce que vous voulez. » Il n'y avait que mes yeux qui étaient visibles, mais ils étaient suffisamment suppliants pour qu'elle comprenne le message. J'espérais vraiment qu'elle accepte...(c) DΛNDELION
Invité
Invité
Re: si un dîner peut me faire pardonner... ♣ ft. artémis | Jeu 21 Fév - 18:42 
Pour une fois, la journée avait plutôt bien commencé pour Artémis. La rouquine n'avait pas eu cours et s'était donc rendue au café pour travailler toute la matinée. De quoi être productive et avoir l’impression de vivre un semblant dans la normalité. La main dans un torchon, elle essuie une table avec énergie dans l'espoir de faire partir une boisson renversée par un client, les maladresses étant fréquentes là où elle travaille. Normalement, le gérant doit la libérer pour l'après-midi vu qu'elle bosse à mi-temps, elle lève alors la tête vers l'horloge qui trône sur le mur face à elle les aiguilles affichent qu'il est midi pile. La rouquine se dirige vers la salle réservée au personnel pour retirer son tablier et récupérer ses effets personnels. Elle salue ses collègues d'un bref mouvement de tête et quitte le café rapidement. Rien n'est prévu pour la suite de la journée, elle entend bien profiter de son temps libre pour flâner un peu dans les rues et pourquoi pas trouver un petit coin sympathique dans lequel manger.
Arrêtée devant la devanture d'une jolie petite boutique de bijoux son regard se porte vers un petit collier ressemblant à celui qu'un client du café à brisé la dernière fois. Ce bijou était vraiment important à ses yeux, il lui avait été offert par son défunt père et elle avait beau lui en vouloir d'être parti en la laissant à la merci d'un gang, il n'en restait pas moins un des hommes les plus importants de sa vie. Elle était vraiment entrée dans une colère noire ce jour-là. Si seulement les gens étaient un peu plus attentifs à ce qu'ils font, ça ne serait pas arrivé, mais elle ne lui en avait pas voulu bien longtemps. Cependant, le destin doit vraiment lui en vouloir, car le jeune homme qui a justement fait les frais de sa hargne arrive droit sur elle. Au début, elle ne le reconnaît pas, il faut dire qu'il est étrangement accoutré, mais dès lors que celui-ci ouvre la bouche pour parler, il n'y a plus aucun doute quant à son identité. « Bonjour. » Lui répond-elle d'un ton beaucoup plus doux que celui qu'il avait dû affronter lors de leur dernière rencontre. « Oui, je me rappelle de vous et je vous l'ai déjà dit, je ne veux rien en échange, ce sont des choses qui arrivent. Je me suis mise en colère, peut être même trop, mais c'est bon, vous êtes déjà par... » Artémis s'arrête net lorsque son regard rencontre celui de son interlocuteur. Suppliant au possible, il semble vraiment vouloir se racheter. Elle soupire doucement et réfléchis à un quelconque moyen de détendre l'atmosphère. « Si vous y tenez vraiment, je peux accepter un dîner. » Chose qu'elle ne pense pas sérieusement, il s'agit d'une petite blague et elle ne se doute pas qu'il va accepter si facilement.
si un dîner peut me faire pardonner...
yoon artémis & park kwang jin
Pour une fois, la journée avait plutôt bien commencé pour Artémis. La rouquine n'avait pas eu cours et s'était donc rendue au café pour travailler toute la matinée. De quoi être productive et avoir l’impression de vivre un semblant dans la normalité. La main dans un torchon, elle essuie une table avec énergie dans l'espoir de faire partir une boisson renversée par un client, les maladresses étant fréquentes là où elle travaille. Normalement, le gérant doit la libérer pour l'après-midi vu qu'elle bosse à mi-temps, elle lève alors la tête vers l'horloge qui trône sur le mur face à elle les aiguilles affichent qu'il est midi pile. La rouquine se dirige vers la salle réservée au personnel pour retirer son tablier et récupérer ses effets personnels. Elle salue ses collègues d'un bref mouvement de tête et quitte le café rapidement. Rien n'est prévu pour la suite de la journée, elle entend bien profiter de son temps libre pour flâner un peu dans les rues et pourquoi pas trouver un petit coin sympathique dans lequel manger.Arrêtée devant la devanture d'une jolie petite boutique de bijoux son regard se porte vers un petit collier ressemblant à celui qu'un client du café à brisé la dernière fois. Ce bijou était vraiment important à ses yeux, il lui avait été offert par son défunt père et elle avait beau lui en vouloir d'être parti en la laissant à la merci d'un gang, il n'en restait pas moins un des hommes les plus importants de sa vie. Elle était vraiment entrée dans une colère noire ce jour-là. Si seulement les gens étaient un peu plus attentifs à ce qu'ils font, ça ne serait pas arrivé, mais elle ne lui en avait pas voulu bien longtemps. Cependant, le destin doit vraiment lui en vouloir, car le jeune homme qui a justement fait les frais de sa hargne arrive droit sur elle. Au début, elle ne le reconnaît pas, il faut dire qu'il est étrangement accoutré, mais dès lors que celui-ci ouvre la bouche pour parler, il n'y a plus aucun doute quant à son identité. « Bonjour. » Lui répond-elle d'un ton beaucoup plus doux que celui qu'il avait dû affronter lors de leur dernière rencontre. « Oui, je me rappelle de vous et je vous l'ai déjà dit, je ne veux rien en échange, ce sont des choses qui arrivent. Je me suis mise en colère, peut être même trop, mais c'est bon, vous êtes déjà par... » Artémis s'arrête net lorsque son regard rencontre celui de son interlocuteur. Suppliant au possible, il semble vraiment vouloir se racheter. Elle soupire doucement et réfléchis à un quelconque moyen de détendre l'atmosphère. « Si vous y tenez vraiment, je peux accepter un dîner. » Chose qu'elle ne pense pas sérieusement, il s'agit d'une petite blague et elle ne se doute pas qu'il va accepter si facilement.
(c) DΛNDELION
Invité
Invité
Re: si un dîner peut me faire pardonner... ♣ ft. artémis | Lun 11 Mar - 16:10
La croiser dans la rue était inespéré. Depuis ce jour où l'inconnue avait refusé toutes les offres que je lui avais faites, je ne me sentais pas vraiment bien. Je me sentais si triste pour son collier, il devait être si important pour elle, même si je n'en connaissais pas la signification... Si je pouvais faire ne serait-ce qu'une petite action pour qu'elle se sente mieux, j'aurais été soulagé. Peut-être que depuis, elle avait oublié la douleur, mais moi, je n'avais pas oublié la colère douloureuse que j'avais croisé sur son visage lorsque je m'étais rendu compte que c'était de ma faute, si son collier se retrouvait brisé au sol. Alors lorsque je revis ces cheveux oranges flamboyants qui éclaircissaient ma vue, je n'avais pas pu hésiter plus de quelques secondes avant de venir la voir. Je n'aimais pas forcer la main. Les gens étaient libres de faire ce qu'ils voulaient. Mais là... J'avais l'impression qu'elle ne voulait rien par politesse, et qu'au fond, elle se sentait toujours triste d'avoir perdu ce trésor. Alors à mon tour, ça me rendait triste. Et je voulais lui remonter son moral. La suppliant du regard de me laisser lui offrir quelque chose pour remplacer ce souvenir amer par quelque chose de plus joyeux, elle semblait être bien partie pour décliner, comme la dernière fois. Et je continuerai de m'en sortir mal, mais bon... Tant pis. J'aurais fait tout mon possible pour me racheter. Peut-être qu'elle ne voulait pas raviver ce souvenir, non plus. J'aurais sûrement dû y réfléchir à deux fois avant d'aller la voir, mais son air plus doux que la dernière fois me disait qu'elle n'avait plus l'air aussi triste. J'en étais rassuré. Cependant, elle se coupa en plein milieu de sa phrase, changeant brusquement d'avis pour accepter ma proposition. Ne comprenant absolument pas sa blague, je fis à la place d'un rire, un grand sourire enchanté qui ne se voyait que par mes yeux qui arboraient la même expression. « C'est vrai ? Je vous emmène où vous voulez : votre restaurant favori, un restaurant que vous avez toujours voulu goûter, un restaurant au hasard... Et peu importe le prix, un restaurant de luxe ou un petit restaurant, je vous paie ce que vous voulez. Merci beaucoup d'avoir reconsidéré ma proposition, je vous en suis vraiment reconnaissant. » Suite à ces paroles, je fis un petit sourire, attendant sa réponse. Je ne roulais pas sur l'or, mais si elle voulait manger dans un restaurant cher, je le lui paierai quand même. Aucun montant d'argent ne pourrait remplacer la valeur que prenait un objet si important qu'un collier toujours attaché autour du cou.
si un dîner peut me faire pardonner...
yoon artémis & park kwang jin
je t'ai bien dit que je ferais tout pour me pardonner, et si un dîner suffit, je paierai alors un dîner pour nous deux.
La croiser dans la rue était inespéré. Depuis ce jour où l'inconnue avait refusé toutes les offres que je lui avais faites, je ne me sentais pas vraiment bien. Je me sentais si triste pour son collier, il devait être si important pour elle, même si je n'en connaissais pas la signification... Si je pouvais faire ne serait-ce qu'une petite action pour qu'elle se sente mieux, j'aurais été soulagé. Peut-être que depuis, elle avait oublié la douleur, mais moi, je n'avais pas oublié la colère douloureuse que j'avais croisé sur son visage lorsque je m'étais rendu compte que c'était de ma faute, si son collier se retrouvait brisé au sol. Alors lorsque je revis ces cheveux oranges flamboyants qui éclaircissaient ma vue, je n'avais pas pu hésiter plus de quelques secondes avant de venir la voir. Je n'aimais pas forcer la main. Les gens étaient libres de faire ce qu'ils voulaient. Mais là... J'avais l'impression qu'elle ne voulait rien par politesse, et qu'au fond, elle se sentait toujours triste d'avoir perdu ce trésor. Alors à mon tour, ça me rendait triste. Et je voulais lui remonter son moral. La suppliant du regard de me laisser lui offrir quelque chose pour remplacer ce souvenir amer par quelque chose de plus joyeux, elle semblait être bien partie pour décliner, comme la dernière fois. Et je continuerai de m'en sortir mal, mais bon... Tant pis. J'aurais fait tout mon possible pour me racheter. Peut-être qu'elle ne voulait pas raviver ce souvenir, non plus. J'aurais sûrement dû y réfléchir à deux fois avant d'aller la voir, mais son air plus doux que la dernière fois me disait qu'elle n'avait plus l'air aussi triste. J'en étais rassuré. Cependant, elle se coupa en plein milieu de sa phrase, changeant brusquement d'avis pour accepter ma proposition. Ne comprenant absolument pas sa blague, je fis à la place d'un rire, un grand sourire enchanté qui ne se voyait que par mes yeux qui arboraient la même expression. « C'est vrai ? Je vous emmène où vous voulez : votre restaurant favori, un restaurant que vous avez toujours voulu goûter, un restaurant au hasard... Et peu importe le prix, un restaurant de luxe ou un petit restaurant, je vous paie ce que vous voulez. Merci beaucoup d'avoir reconsidéré ma proposition, je vous en suis vraiment reconnaissant. » Suite à ces paroles, je fis un petit sourire, attendant sa réponse. Je ne roulais pas sur l'or, mais si elle voulait manger dans un restaurant cher, je le lui paierai quand même. Aucun montant d'argent ne pourrait remplacer la valeur que prenait un objet si important qu'un collier toujours attaché autour du cou.(c) DΛNDELION
Contenu sponsorisé