« tiens c’est offert par la maison. » que tu lances alors que tu prends place en face de siyeon. il avait l’air complètement absorbé par les feuilles qu’il avait devant les yeux. tu souris légèrement avant de prendre place en face de lui, ton café à la main. t’es en pause et tu as décidé de la prendre avec siyeon pour discuter avec lui. il vient souvent ici et tu penses que soit il aime bien le café, soit il a flashé sur un serveur ici. peut-être même les deux. tu défais un bouton de la chemise de ton uniforme pour respirer un peu mieux et tu reprends la parole. « tu fais quoi ? » tu es un poil curieux sur ce qu’il est en train de faire. tu devines que ce sont des dessins, mais de quoi ? tu sais pas parce que tu n’as pas eu le nez dessus et que tu ne veux pas lui arracher les feuilles des mains pour regarder. ça te fait penser que tu as encore plein de devoirs à faire. sawan serait là elle te dirait que tu as le temps parce que tu as encore deux semaines pour les faire, mais tu étais comme ça. tu ne pouvais pas et n’aimais pas prendre du retard parce que tu angoissais quand ça arrivait. tu avais besoin d’être tout le temps à jour et en avance parce que sinon, tu n’étais pas bien. cependant, tu devais aussi travailler pour ne pas que ta sœur soit tout le temps obligée de te donner de l’argent pour que tu t’achètes les choses dont tu avais besoin. « tu viens souvent ici. addiction au café ? » finis-tu par demander avec toujours ce léger sourire aux lèvres tandis que tu cherches le contact avec son regard.

Je relevais doucement la tête quand j’entendis la voix du jeune barista. Voix que je reconnus rapidement comme celle de Seeley. Il fallait dire que je venais assez souvent au Starbucks étant un accro invétéré au café et surtout au caramel latte. Je haussais les sourcils quand il m’annonça que le café était offert par la maison. Je baissais le regard rapidement en croisant celui de mon aîné. Stupidement Seeley me faisait rougir. Il était mignon Seeley, vraiment mignon, même si je savais aussi que je n’avais pas la moindre chance avec lui. M..me.. merci hyung, soufflai-je en attrapant le gobelet de latte caramel appréciant la chaleur provoquée dans mes mains. J’eus le temps de relever les yeux pour le voir déboutonner un bouton de sa chemise, ce qui me fit stupidement rougir un peu plus. Oh je dessine les gens du café. Je baissais les yeux sur mon carnet fixant les dernier croquis que j’avais fait dans mon carnets. Des portraits de lui. Je pris une légère inspiration avant de tourner le carnet vers lui lui montrant la double page j’avais dédiée à sa personne. Rougissant un peu plus, je commentai timidement. Je… c’est… toi. Mais je ne suis pas très doué. Par réflexe je cachais mon visage derrière mon café, buvant une longue gorgée, au moins je pouvais accusé la chaleur du café pour mes rougeurs à mes joues. Quand il nota que je venais souvent ici, il me fallut toute la force du monde pour ne pas avaler mon café de travers. Je posais le café et souris timidement. J’avoue le café est ma seule drogue. Je finis par relever la tête vers le barista. Puis ton café est très bon Seeley-hyung, je souris doucement avant de reprendre. Tu es en pause ? Tu n’es pas trop fatigué ? Mon regard croisa le sien et je me sentis un peu bêta, mais j’appréciais la présence de mon aîné. Puis il prenait son temps de pause pour me parler, pas sûr que tous les baristas fassent cela.

tu l’avais toujours trouvé mignon siyeon parce qu’il semblait être dans son monde. c’était mignon et en même temps il te rappelait toi à son âge. tu étais dans ton monde et encore maintenant tu ne l’avais pas réellement quitté. c’est pour ça que tu viens t’asseoir en face de lui et que tu lui offres un café. la rougeur sur ses joues te fait sourire mais tu ne te moques pas, parce que tu étais pareil que lui. il suffisait qu’une fille s’approche trop près de toi pour que tu te mettes à rougir bêtement. encore plus si cette fille portait le prénom de sawan. cette pensée te donne un coup de chaud et tu ouvres un bouton de ta chemise sans te rendre compte que ça donne aussi chaud au plus petit en face de toi. tes yeux se posent sur le carnet qu’il a devant les yeux et tu lui demandes ce qu’il fait. sa réponse te fait sourire et tu vas pour lui demander si tu peux regarder, mais il est plus rapide que toi. il te donne le carnet avec des portraits de ta personne. tu le prends délicatement comme si tu avais peur de déchirer les feuilles et tu regardes ses dessins avec attention. tu trouves ça quand même très ressemblant et tu n’hésites pas à lui dire. « tu rigoles j’espère. tu es vraiment doué. » et tu le penses vraiment. tu ne dis pas ça parce que tu veux être gentil avec lui et ne pas le froisser. c’est réellement ce que tu as en tête. tu lui demandes ensuite s’il a un addiction à la caféine parce que tu le vois souvent ici. c’est sa seule drogue qu’il te répond et tu ne peux pas t’empêcher de le trouver adorable ce garçon. il est encore tellement innocent et ça te rend presque nostalgique de l’époque ou tu n’étais toi-même qu’un gamin, avant l’accident qui a entrainé la mort de tes parents. « merci, mais je ne fais que suivre les recettes et les goûts des clients. » tu avais remarqué ses goûts et le café que tu venais de lui servir en était la preuve. siyeon reprend la parole et ton sourire se fait encore plus tendre alors que tu passes nonchalamment une main dans tes cheveux pour venir les recoiffer de suite après. « oui je suis en pause et je me suis dit que je pourrai la passer avec toi si ça te dérange pas. » t’aurais probablement du demander avant, mais tu n’y a pas réellement pensé. « ça va c’est calme aujourd’hui. » plus que ça ne l’était hier. mais tu te gardes bien de le dire. « tu dessines pour ton plaisir ou tu fais des études en rapport avec le dessin ? » que tu reprends curieux d’en apprendre un peu plus sur ce garçon minuscule qui venait souvent ici.

La présence de mon ainé me faisait rougir. Parce qu’il était mignon, il était même très beau, un visage si doux encadré par les mèches de ses cheveux noirs retombant sur son front. Il était vraiment beau Seeley. Alors qu’il me demanda ce que je faisais, je lui parlais naturellement de mes dessins. Puis en prenant mon courage à deux mains, je tournais le carnet vers, lui montrant la double page de portraits à son effigie que j’avais réalisé, tout en précisant que je n’étais pas très doué. En tout cas, personnellement, je ne me trouvais pas exceptionnel. Mais mon aîné affirma le contraire, ce qui me fit sourire timidement. Merci, dis-je tout bas en me contentant de dire que les dessins étaient surtout beaux parce que le modèle était magnifique. J’atais rouge comme une tomate, mais par chance le délicieux café de Seely me servait d’excuse à la couleur empourprée de mes pommettes. alors que nous passons sur mon addiction au café, je demandais au jeune s’il était en pause. Il avait ce sourire adorable sur ses lèvres et alors qu’il passa la main dans ses cheveux, mon coeur manqua un battement. J’avais un peu chaud là, naturellement je vins retirer mon filet fin tout en écoutant Seeley. Oh non non, ça ne me dérange pas. C’est un plaisir, répondis-je avec un grand sourire, celui qui me faisait ressembler à un chiot comme disaient les gumiho. Mes pupilles se fixèrent quelques secondes dans les siennes avant de vite redescendre sur ses mains, ne pas plus rougir. C’est que ça doit pas être aussi calme tous les jours, tu as du courage hyung, dis-je en le regardant, sincère dans mes paroles, j’étais toujours ce genre de personne qui encouragerait les autres. Je tendis la main pour récupérer mon carnet noir. Mon café sur le côté, j’avais tourné la page pour recommencer une nouvelle fois à dessiner le visage de Seeley, quelques traits pour capter ses expressions, mon regard oscillant entre lui et le papier. En fait, c’est un peu des deux. Je suis passionné de dessins et je suis en cursus d’arts appliqués. Je me figeai un peu pour poser mon critérium et boire une peu de café. En fait, je suis un option stylisme. Reprenant le porte-mines entre mes doigts je le fis osciller légèrement en continuant de regarder Seeley. Tu ne m’as jamais dit ce que tu fais comme études non plus, il me semble. J’avais finis par poser mon menton sur le plat de ma main, stupidement j’étais heureux de passer un peu de temps avec le brun et surtout de peut-être le découvrir un peu plus.

quand tu complimentes siyeon, tu le penses réellement. le garçon est doué avec un crayon dans les mains. toi, tu ne sais pas dessiner. tu as les skills d’un gamin de cinq ans et encore, tu es persuadé que certains savent mieux dessiner que toi. mais siyeon lui, est réellement doué. il a l’œil pour arriver à récupérer l’essence des gens et tu ne dis pas ça parce qu’il a fait des portraits de toi. non, tu dis ça parce que tu as l’impression que chacun de ses portraits reflètent la mélancolie que tu essaies de cacher du mieux que tu peux aux autres. mais lui l’a bien vu et ça te fait sourire tristement. tu profites du fait qu’il ait parlé de ta pause pour changer de sujet et te changer les idées. tu apprécies sa compagnie et tu le trouves mignon. t’as l’impression qu’il est fragile et qu’il a besoin d’être protéger. alors, tu espères que ça ne le dérange pas que tu aies pris tes quelques minutes de repos avec lui. apparemment ce n’est pas le cas et son sourire te fait sourire également. il est contagieux et ça ne le rend qu’encore plus cute. « t’en fais pas j’ai l’habitude. et puis au moins quand il y a beaucoup de personne, le temps passe plus vite. » t’essayais de voir les choses du bon côté parce que ce n’était pas réellement vrai. c’était difficile quand il y avait influence et tu avais parfois du mal à suivre mais tu ne voulais pas te plaindre. tu n’aimais pas ça parce que ça te rendait fragile aux yeux des gens et que tu ne souhaitais pas non plus leur apparaitre comme le gamin de vingt ans que tu étais. siyeon finit par récupérer son carnet à dessin et se remet à dessiner. tu souris en observant ses coups de crayons et tu en viens à lui demander si c’est pour son plaisir personnel ou si c’est parce qu’il fait des études. sa réponses te fait sourire un peu plus. ça aurait été dommage qu’il gâche son talent. « je suis sûr que tu réussiras. » que tu lances après qu’il t’ait avoué être en stylisme. si c’est le cas, c’est parce qu’il a envie d’être styliste non ? donc, tu espères que son rêve se réalisera. le plus jeune vient alors te regarder en posant son menton sur sa main et ton sourire s’agrandit encore un peu si c’était possible. « je fais des études de psychologie. je me spécialise dans la psychologie infantile. j’ai envie de travailler avec des enfants. » tu aimais les enfants et tu avais envie de les aider à aller mieux. alors, c’était naturel pour toi de faire des études dans cette branche. « j’imagine que tu as commencé y a pas longtemps c’est ça ? première année si je me trompe pas ? » parce qu’il semblait trop jeune pour être dans des années au-dessus. mais tu étais la preuve que l’âge ne donnait pas ton niveau d’études.

La présence de mon aîné de me dérangeait en rien, très loin de là même. J’aimais qu’il soit à mes côtés. Seeley était un beau jeune homme très beau même et en plus de ça il avait l’air d’être très intelligent et bien élevé, il devait probablement avoir des filles qui lui tournaient autour avec le beau minois qu’il avait. Je souris tendrement à mon ami alors alors que je vins souligner son courage de travailler ici, parce que je savais bien que ça ne devait pas être facile tous les jours. Puis je venais souvent ici, et Seeley était souvent là, toujours souriant, toujours à échanger quelques mots avec moi. C’était un véritable ange du café. Alors que je récupérais mon carnet pour reprendre mes croquis, puis il fallait dire qu’il soit aussi proche, ça aidait clairement à ce que je détaille mieux son visage. Puis en plus comme il savait que je le dessinais ça rendait la situation moins dérangeante. Finalement parlant de mes études, très naturellement je le questionnais sur les siennes. Restant attentif alors que je le regardais bouger et que je me concentrais sur ses expressions. Ohh, je vois, ça doit être super intéressant comme domaine, et vaste en plus non ? Car il n’y avait rien de plus complexe que l’esprit d’un humain. Puis j’étais sûr que Seeley allait bien avec des enfants, il semblait si doux. Et surtout si empathique. Je le sentais bien tout cela. Oui j’ai commencé cette année, mais ça a été dur j’étais scolarisé à domicile avant, dis-je timidement en reprenant le gobelet de café et en le tripotant. Avant de regarder timidement pour continuer naturellement. Et toi tu es en quelle année ?

être dessiné ne te dérangeait pas. tu n’avais simplement pas l’habitude qu’on te fixe et ça te gênait un peu. tes joues avaient pris une légère couleur rose, mais c’était discret. si on ne te connaissait pas un minimum, on ne pouvait pas voir la différence. alors, tu laisses faire siyeon parce qu’il ne faisait rien de mal et tu discutes même avec lui de vos études respectives. tu hoches la tête quand il s’extasie presque par rapport aux tiennes. un mince sourire s’affiche sur tes lèvres pendant que tu lui réponds. « c’est vaste et en même temps pas tant que ça. il y a tellement de choses à voir dans l’esprit d’un enfant. c’est simpliste dans le sens où ils oublient facilement les choses sur le long terme, mais ça reste gravé en eux pendant de très nombreuses années. » tu poses ton regard sur le plus jeune avant de reprendre. « certaines de nos peurs sont des peurs que l’on a depuis que nous sommes petits et sans qu’on sache réellement pourquoi. » tu penses notamment aux peurs des animaux comme les araignées, les insectes ect… souvent, elles étaient la cause de traumatisme comme une piqûre ou simplement parce que c’était parce que ces peurs étaient dues à vos ancêtres. tu continues sur les études de siyeon en émettant l’hypothèse qu’il était en première année. tu ne te trompes pas et tu le regardes un peu inquiet. « l’école à la maison ? par choix ou à cause d’un harcèlement ? » tu sais que tu t’avances un peu trop, sûrement trop même mais c’est plus fort que toi. tu n’aimes pas ne pas avoir de réponses à tes interrogations. « je suis en cinquième année. » tu souris un peu plus. t’as deux ans d’avance à cause de ton qi élevé mais tu ne le dis à personne parce que tu ne veux pas qu’on te fasse des réflexions. « ça te plait du coup, la vie de la fac ? »

Wooow, ça a vraiment l’air passionant, avais-je lancé tout en le regardant avec de grands yeux impressionée. Pour sûr je n’y connaissais pas grand chose en psychologie, en fait, je n’y connaissais même rien du tout, parce que mon propre esprit était lui même empli de mystère. Mon agoraphobie, mes phobies sociales et autres crises d’angoisses inexpliquées en étaient des preuves. Et continuant sur nos études respectives je confirmais à Seeley que j’étais bien en première année et je parlais de mes quelques difficultés que j’avais eu par le passé. Surtout par rapport à ma scolarisation à domicile. Mais je sentais bien son inquiétude dans son regard. Je jouais nerveusement avec mon gobelet en baissant le regard. Les deux, plus ou moins. Je ne suis pas natif de Séoul, j’ai grandi à Daegu mais j’ai été harcelé par mes camarades. Je baissais le regard je préférais passer sous silence le fait que ces soucis avaient été causé par min changement de genre et le fait que je m’identifie en temps que garçon. J’adorais Seeley, mais je ne lui faisais pas encore assez confiance pour partir dans un telle confidence. Et quand on a déménagé à Séoul j’ai préféré rester à domicile parce que je suis très anxieux de nature, je relevais la tête, souriant tristement tout en continuant de boire mon café. Quand il m’avoue être en 5ème année je levais les sourcils. Cinquième année ? Je pensais que tu étais plus jeune, je m’étais trompé ? Pourtant ses traits semblaient vraiment très jeunes. Mais peut-être que c’était normal. Tu as quelque âge ? Si ce n’est pas indiscret bien sûr. Je l’avais demandé poliment, mes manières comme d'habitude. Je hochais la tête. Oui je suis entré à la faculté de Yonsei avec beaucoup d’efforts et je suis dans la même fraternité que mon grand frère et ça se passe bien, tout le mon est très gentil avec moi, j’eus un grand sourire en regardant le barista avant de reprendre mon carnet pour continuer mes griffonnages sans vraiment chercher à savoir ce que je représentais.

tu hoches la tête quand siyeon te dit que c’est passionnant parce que tu es totalement d’accord. tes études et ce que tu prévois de faire, te passionnent et tu sais que tu feras tout pour arriver à tes fins. en étudiant bien entendu. tu n’étais pas le genre de mec à écraser les autres pour obtenir ce que tu voulais. ce n’était qu’à la sueur de ton front et à ton cerveau un peu plus développé que les autres. parce que même si tu ne le disais pas parce que tu n’aimais pas qu’on te regarde comme une bête de foire, tu avais deux ans d’avance. mais ce n’était pas le sujet pour le moment. c’était dirigé sur siyeon et le fait qu’il avait fait son école à la maison. tu comprends rapidement qu’il a été harcelé à l’école. ce n’était pas rare malheureusement et tu étais désolé pour lui. « je suis désolé siyeon. c’est jamais cool de se faire harceler. » tu le savais, tu l’avais un peu vécu quand tes parents étaient morts. mais tu n’en avais jamais fait fi parce que tu ne voulais pas que ça te pourrisse tes études. tu les laissais faire, jusqu’à ce qu’ils se lassent. siyeon reprend la parole et explique que même en arrivant ici, dans la capitale coréenne, il avait voulu resté chez lui. « et c’est quoi qui t’a décidé à venir à l’université ? » t’es curieux de nature et donc tu veux savoir même si tu ne diras rien s’il n’a pas envie de t’en parler. après tout, il était libre de dire ce qu’il voulait sur son passé. ce serait complètement con de ta part de lui en vouloir ou de le forcer à te parler de ça alors qu’il n’aime visiblement pas le faire. ou alors c’était parce qu’il te faisait pas totalement confiance et c’était compréhensif. vous ne vous connaissiez pas après tout. vous finissez par parler de ton âge et du fait que tu es en cinquième année. la question sur ton âge arrive et tu grimaces légèrement, espérant qu’il ne le voit pas. « j’ai vingt-deux ans. » tu mens éhontément un peu, mais deux ans ça ne se voit pas si ? puis après tout, tu n’aimais pas dire ton réel âge parce que tu n’aimais pas qu’on te pose des questions sur le fait que tu aies deux ans d’avance et tu avais beau apprécié siyeon et savoir qu’il ne dirait sûrement rien, tu n’avais pas assez confiance. c’est pour cette raison que tu changes de sujet pour revenir sur le plus jeune. tu l’écoute te parler de sa vie à la fac et tu souris un peu plus. « c’est cool si tu te sens bien ici. si t’as un soucis, tu peux venir me voir, même si ton grand frère t’aide sûrement. » tu ne te doutais pas que leur relation n’était pas au beau fixe, parce que toi, ta relation avec skyla était parfaite.