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ong an. - she's a baby
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ong an. - she's a baby | Lun 7 Jan - 7:33 Citer EditerSupprimer
ong anouk
sneaking cigarettes at lunch time
IDENTITY CARD |
Il parait que... anouk fait moins d’1m60 et n’est pas élancée et fine comme le veut le modèle de beauté coréen, du coup elle a développé un trouble de l’alimentation, elle est anorexique • elle est ce qu'on peut appeler une alcoolique • elle fume énormément • elle est l’avant dernière d’une fratrie de 6 enfants, 5 filles et un garçon • son coréen est assez marqué par un accent français bien qu’elle ne fasse quasiment pas de fautes • elle a une très mauvaise vue • elle fume depuis qu’elle a 14 ans • elle fait de la musique depuis qu’elle a 4 – 5 ans, elle a commencé par le violon puis le piano, le violoncelle, la guitare et puis le chant • elle compose pour beaucoup d’artistes de la scène rnb underground de séoul • elle a déménagé à Seoul avec sa famille il y a environ un an • ses parents sont très conservateurs, sa mère suit les traditions coréennes comme personne du coup elle vit encore chez ses parents avec toute sa fratrie car aucun d’entre eux n’est marié • ils ont 5 chats • elle partage sa chambre avec sa plus grande sœur avec qui elle n’a pas du tout une bonne relation • pendant son lycée en France, elle a fait des avances à un de se professeurs et s’est faite renvoyer • elle a été diagnostiquée avec un trouble de la personnalité borderline quand elle avait treize ans • à l’université certains disent qu’elle se prostituait dans le quartier de Belleville, des photos d’elle circuleraient • elle est accroc à instagram • depuis qu’elle est petite, lorsque le premier jour d’hiver arrive, elle pleure, car elle deteste l’hiver, ça la rend triste • elle dort très peu et très mal • son premier amour était une fille de sa classe au collège avec qui elle vivait une sorte d’amour caché car elles avaient peur qu’on leur fasse du mal • elle changeait de petit.e copain.e presque tous les ans • elle a déjà ses petit spots cachés dans son quartier et se faufile par la fenetre quasiment tous les soirs • elle n’a pas d’amis sur Séoul • anouk méprise les hommes • elle a peur d'être seule dans une maison • ces temps-ci elle s'essaie au rap c'est un pur cauchemar | Dis nous qui tu es ! L A . F E M M E . E N F A N T Bien que tu ne sois pas la plus grande de la fratrie, bien au contraire, la famille Ong a très vite mis une pression sur tes petites épaules. Tu as très peu d’écart avec ton petit frère alors il a fallu que tu te fasses à l’idée de devoir t’occuper de lui. Il fallait que tu sois irréprochable. Blanche comme neige, obéissante. Mais tu as totalement rejeté ce modèle. Ça a commencé très jeune, pour être honnête. Depuis que tu es enfant on sait que tu n’es pas une fille comme les autres, on se dit que tu vas avoir un fort caractère, que tu nous en feras voir de toutes les couleurs. ton futur mari devra se tenir à carreaux, dit-on sur le ton de la rigolade. Mais tu sais très bien, depuis longtemps maintenant, que tu ne laisseras personne rentrer dans ta vie aussi intimement pour avoir ce genre de relations. Souriante, si belle, si douce. Tes mots sont plus sensés qu’ils ne devraient être à ton âge. Tes yeux brillent plus intensément que ceux des autres enfants quand on te parler. Tes réactions sont plus vives que beaucoup d’adultes autour de toi. Où as-tu appris tout ça ? Où as-tu entendu tout ça ? Tes parents sont pourtant toujours là pour faire attention à ce que tu ne dérapes pas. De quoi veulent-ils te protéger ? Pourquoi tu n’as pas la même liberté que tes autres sœurs ? Tu ne comprends pas grand-chose, finalement. Tout est flou. Tu ne comprends pas pourquoi. Pourquoi toi, et pas une autre de tes sœurs. Et tu n’as toujours pas compris, ou du moins tu ne veux pas entendre la réponse, que tes parents sont des parents, et que les parents sentent, voient et comprennent des choses par rapport à leurs enfants que personne d’autre ne pourra comprendre. Malgré ton grand sourire et ta maturité inouie pour une enfant de ton âge, tu es en fait très triste à l’intérieur. Pourquoi ? Pourquoi tant de haine sournoise envers un monde qui ne te connait meme pas et vice versa ? Tu es en colère, tu commences à crier. Tu pleures de plus en plus souvent, tu frappes. Enfant, tu étais très violente. On te pensait malade, on appelait ça des crises. Ca pouvait te prendre à n’importe quel moment de la journée ou de la nuit, et tu faisais peur à tout le monde, surtout tes sœurs. Tes sœurs. Elles sont joué un grand rôle dans ta manière de te comporter aujourd’hui et dans ton caractère de manière général. En grandissant tu as ressenti la peur qui les habitait quand leurs regards se posait sur son visage noyé de larmes, de colère et de fatigue à la fin de tes ces « crises ». Ces regards t’ont toujours dégoûté. Ils te ramenaient à ce que tu étais, ce monstre dont toi-même tu ne comprenais pas le mécanisme. Ca te mettait encore plus en colère. Peut-être que c’était en fait de la tristesse, de la solitude, mais tu ne savais pas comment l’exprimer autrement que par cette haine qui voulait tant sortir. Ces regards déplacés ont fait de toi une personne rancunière et seule. Tu es solitaire. Tu avances seule, et tu ne t’entoures de personne. Ce qui est étrange car tu as quand même cette énergie positive qui ressort de ton être. Les gens sont indéniablement attirés par toi, mais à quel prix ? Tu provoques plusieurs émotions en même temps chez les gens qui te voient. La peur, l’incompréhension, l’admiration quant à cette liberté que tu assumes et pour laquelle tu te bats. Tu es facilement approchable, en réalité, tu t’entends avec tout le monde, tu ne cherches pas les embrouilles. Tu te fous de tout ce qui t’entoure, honnêtement. Ce n’est même pas de la sympathie pour ton entourage, mais plutôt une volonté totalement de ta part d’ignorer ce qui t’entoure. Tu vis sans regrets, sans remords, sans te retourner sur tes décisions. Et ça, ta famille ne l’apprécie pas du tout. Tu étais sensée montrer l’exemple au petit dernier, et pourtant – pourtant seul le principal concerné s’entend le mieux avec toi, et te comprend. Ta relation avec ton petit frère est très précieuse car vous n’avez pas besoin de parler pour vous comprendre. Il n’a pas besoin que tu t’asseyes en face de lui pendant une heure et demi pour te comprendre. Juste un regard. Un mouvement de corps. Et il saura tout. Vous ne vous adressez pas souvent la parole donc on pourrait croire tout le contraire. Mais il a compris. Il sait qu’avec toi les mots perdent de leur sens. Ils ne sont que coquilles vident qui cachent des excuses, des mensonges, de futilités. Et depuis qu’il a compris ça, il a voulu entrer dans ton jeu. Etre celui qui pourrait te comprendre. « elle n’a pas besoin de nous », lance-t-il souvent à table lorsque tu n’es pas là. Et il fait fulminer toute la famille. Car cette famille imbue d’elle-même ne supporte pas de ne pas avoir le contrôle. mais il ne faut pas se leurrer, tu es toute aussi imbue de ta personne qu'eux. Egocentrique et à la limite du narcissime toxique pour les autres et pour toi même car mélangé à l'ingrédient secret : la haine que tu ressens pour toi meme. Mais pourquoi t’appelle-t-on la femme enfant ? la contradiction de ta personnalité force à vouloir te catégoriser. Mais dans ce cas, il faut plusieurs mots imbriqués les uns dans les autres, un peu comme chaque partie de ton cerveau qui ne fonctionnent pas du tout ensemble. Tu es une femme libre, souriante, qui aime s’amuser, qui se soucie de très peu de choses et tu as même un comportement d’enfant. Entre ton petit frère et toi on croit souvent que tu es la plus jeune, car c’est l’impression que tu donnes. Tu cours partout, tu aimes l’aventure, tu n’acceptes pas tes responsabilités et tu vis une vie égoïste. Tu ne sauras pas celle qui raisonnera les gens, tu es celle qu’il faut secouer quelques fois car tu ne te rends pas compte du mal que tu peux causer autour de toi ou même à ta propre personne. Tu es indéniablement très excentrique et hors de ce que demande la société coréenne. Prête à tout pour ton amusement, dieu seul sait jusqu'où tu peux aller. Pourtant, tu as quand même ce côté femme adulte, dure et sévère. Et c’est ce qui repousse les gens, car c’est un peu l’ingrédient qui te rend effrayante. Sans ça, on ne comprendrait pas pourquoi le monde te craint, te fuit, comment peut-on detester une personne aussi souriante, pleine de vie ? Il y a forcément anguille sous roche et c’est cette facette de maniaque du contrôle qui reprend le dessus. Ce côté femme c’est lui qui subit le poids des crises de colère, des pleurs intempestifs, de la pression de la famille, être assez bien ou pas, être crainte par ses propres sœurs, se détester. Ëtre femme veut dire accepter toutes ces facettes et devoir vivre avec. |
dalkom dalkom, 21 ans - oof ça fait mal -, j'suis sur montpellier une sale ville giga naze ptdr et j'aspire à sauter d'un pont d'ici peu (jrigole appelez pas la police) merci bonne nuit
ps; supprimez le code inutile. |
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Re: ong an. - she's a baby | Lun 7 Jan - 7:33 Citer EditerSupprimer
It's my life...
damaged people are the most dangerous because they know they can survive
Rien de spécial n’était sensé se passer dans ta vie, comme si tout était déjà écrit. Comme si personne ne pouvait changer le court des choses. C’est comme ça, tu étais sensé naître, vivre une vie des plus normale entourée de ta famille. Une vie rangée. Quelque chose de lisse, qui n’aurait brusqué personne. Et puis, un jour tu l’as senti, c’est comme si quelqu’un avait coupé un des fils de ton destin. Et puis, plus rien ne fut pareil. Comme une douleur dans la poitrine qui ne s’en allait plus. Un poids dont tu n’arrivais plus à te débarrasser sans savoir d’où cela venait et qui te rendait impuissante.
Tu es née dans une famille assez aisée, pour être honnête. Tu n’as pas eu cette dure vie d’enfant de pauvre, à devoir te débrouiller seule pour survivre. Non, il n’y avait rien de tout ça dans ta vie. Tu as eu un père et une mère bienveillants qui ont fait de leur mieux pour vous donner à toi, tes sœurs et ton frère, la meilleure des vies. Tu te souviens des moments banals que vous passiez en famille, dans les parcs, à la mer pendant l’été. Tu te souviens de ces moments banals mais pourtant si spéciaux car ils n’auront plus jamais lieu. Et tu t’en veux de ne pas les avoir assez chéris quand il le fallait, ta chance est passée et tu dois faire avec.
Un jour, tout s’est brisé. Tu as tout brisé. Mais il n’y a jamais eu de haine dans les yeux de ta famille. Juste de l’incompréhension et peut-être un peu de peur. Tu t’en veux. Tu aurais voulu pouvoir arrêter tout ça avant qu’il ne soit trop tard, mais en avais-tu le pouvoir ? C’est une question que tu oublies bien trop souvent de te poser.
Sont arrivées crises de panique, de colère, violence, haine. Autant de sentiments négatifs dans le petit corps d’enfant que tu étais. C’était bien trop pour ce que tu étais capable de gérer, et ça a doucement rongé ton cerveau, ta personnalité, ton corps entier. C’est à ce moment là que tes parents ont commencé à te mettre à la musique.
Ta vie n’est pas l’histoire tragique d’une enfant abandonnée à cause de sa différence, c’est plutôt le récit d’une enfant rongée par la haine qui a décidé de faire de sa propre vie un cauchemar pour ne plus rien ressentir. Tu as fait de la vie de tes parents et tes sœurs, un enfer. Il fallait te calmer. Alors tes parents ont tout mis en œuvre pour trouver quelque chose qui pourrait potentiellement faire effet. Ce fut un échec, en quelque sorte, car tu ne te calmais pas. Tes yeux étaient toujours aussi souvent rouges de rage et de tristesse. Mais les moments où tu étais devant ton piano, c’était autre chose. Un autre monde. Quelque chose que personne ne pouvait comprendre, pas même toi, la principale concernée. C’était dur, si dur, au début. T’avais juste envie d’exploser les touches si délicates du piano. C’est toujours ce que tu as eu envie de faire, de toutes manières ; détruire tout ce qui était délicat, fragile, sans défense et bien trop parfait.
Lorsque ton petit frère est arrivé, ce fut un grand changement dans ta vie. Et surtout dans ta personnalité. Celle-ci est comme une éponge, il faut savoir que chaque événement qui intervient dans ta vie la façonne d’une manière ou d’une autre. Chaque petit détail te modifie, te change et fait de toi une nouvelle personne. Et ça, ce fût un très gros changement dans ta vie. Il y a eu autant de positif que de négatif qui finalement, se sont complétés. D’un seul coup, tu es passée de celle sur qui il fallait veiller à avoir beaucoup de responsabilités concernant ton petit frère. Tu étais celle qui devait s’occuper de lui, lui montrer l’exemple, et on t’a mis beaucoup de pression concernant cela. On te voyait pas comme la petite dernière qu’il fallait aider, aimer, protéger à tout prix pour éviter qu’elle ne perde pieds, non, tu étais maintenant une vision triste de cette famille. Une âme errante, folle, qui ne voulait pas s’en aller. Tu te sentais de plus en plus recluse dans cette foutue maison. C’est encore le cas. Mais la présence de ton frère t’apaises un peu, t’aides à garder la tête froide lorsque tu es entre ces murs, car lui seul a compris que ne pas parler était le meilleur moyen de communication avec toi. Qu’est ce que tu voudrais faire, toi ? Partir, rester, vivre, mourir ? Pourquoi cette haine envers toi même et le monde qui t’entoure ?
Personne ne s’est jamais vraiment posé la question, seulement toi aura à jamais les images et la sensation de ces mains qui te touchent, te parcourent, te transpercent tellement ce sentiment de dégoût te met en colère. Ton corps d’enfant,ton corps trop fragile. Ces choses te sont arrivées beaucoup de fois pour un début de vie. Trois fois. Trois. Comment est-ce possible ? Tu te blâmes d’être toujours plus provocatrice mais tu te défends de la même manière. Etre forte, ne pas montrer que tu es fragile. Vivre égoïstement, vivre autant que tu peux, aussi vite et aussi fort que tu le peux. Ne te retourne pas, tu pourrais le regretter et vouloir faire marche arrière. Et tu sais que tu ne pourras pas supporter ça.
Tu es née dans une famille assez aisée, pour être honnête. Tu n’as pas eu cette dure vie d’enfant de pauvre, à devoir te débrouiller seule pour survivre. Non, il n’y avait rien de tout ça dans ta vie. Tu as eu un père et une mère bienveillants qui ont fait de leur mieux pour vous donner à toi, tes sœurs et ton frère, la meilleure des vies. Tu te souviens des moments banals que vous passiez en famille, dans les parcs, à la mer pendant l’été. Tu te souviens de ces moments banals mais pourtant si spéciaux car ils n’auront plus jamais lieu. Et tu t’en veux de ne pas les avoir assez chéris quand il le fallait, ta chance est passée et tu dois faire avec.
Un jour, tout s’est brisé. Tu as tout brisé. Mais il n’y a jamais eu de haine dans les yeux de ta famille. Juste de l’incompréhension et peut-être un peu de peur. Tu t’en veux. Tu aurais voulu pouvoir arrêter tout ça avant qu’il ne soit trop tard, mais en avais-tu le pouvoir ? C’est une question que tu oublies bien trop souvent de te poser.
Sont arrivées crises de panique, de colère, violence, haine. Autant de sentiments négatifs dans le petit corps d’enfant que tu étais. C’était bien trop pour ce que tu étais capable de gérer, et ça a doucement rongé ton cerveau, ta personnalité, ton corps entier. C’est à ce moment là que tes parents ont commencé à te mettre à la musique.
Ta vie n’est pas l’histoire tragique d’une enfant abandonnée à cause de sa différence, c’est plutôt le récit d’une enfant rongée par la haine qui a décidé de faire de sa propre vie un cauchemar pour ne plus rien ressentir. Tu as fait de la vie de tes parents et tes sœurs, un enfer. Il fallait te calmer. Alors tes parents ont tout mis en œuvre pour trouver quelque chose qui pourrait potentiellement faire effet. Ce fut un échec, en quelque sorte, car tu ne te calmais pas. Tes yeux étaient toujours aussi souvent rouges de rage et de tristesse. Mais les moments où tu étais devant ton piano, c’était autre chose. Un autre monde. Quelque chose que personne ne pouvait comprendre, pas même toi, la principale concernée. C’était dur, si dur, au début. T’avais juste envie d’exploser les touches si délicates du piano. C’est toujours ce que tu as eu envie de faire, de toutes manières ; détruire tout ce qui était délicat, fragile, sans défense et bien trop parfait.
Lorsque ton petit frère est arrivé, ce fut un grand changement dans ta vie. Et surtout dans ta personnalité. Celle-ci est comme une éponge, il faut savoir que chaque événement qui intervient dans ta vie la façonne d’une manière ou d’une autre. Chaque petit détail te modifie, te change et fait de toi une nouvelle personne. Et ça, ce fût un très gros changement dans ta vie. Il y a eu autant de positif que de négatif qui finalement, se sont complétés. D’un seul coup, tu es passée de celle sur qui il fallait veiller à avoir beaucoup de responsabilités concernant ton petit frère. Tu étais celle qui devait s’occuper de lui, lui montrer l’exemple, et on t’a mis beaucoup de pression concernant cela. On te voyait pas comme la petite dernière qu’il fallait aider, aimer, protéger à tout prix pour éviter qu’elle ne perde pieds, non, tu étais maintenant une vision triste de cette famille. Une âme errante, folle, qui ne voulait pas s’en aller. Tu te sentais de plus en plus recluse dans cette foutue maison. C’est encore le cas. Mais la présence de ton frère t’apaises un peu, t’aides à garder la tête froide lorsque tu es entre ces murs, car lui seul a compris que ne pas parler était le meilleur moyen de communication avec toi. Qu’est ce que tu voudrais faire, toi ? Partir, rester, vivre, mourir ? Pourquoi cette haine envers toi même et le monde qui t’entoure ?
Personne ne s’est jamais vraiment posé la question, seulement toi aura à jamais les images et la sensation de ces mains qui te touchent, te parcourent, te transpercent tellement ce sentiment de dégoût te met en colère. Ton corps d’enfant,ton corps trop fragile. Ces choses te sont arrivées beaucoup de fois pour un début de vie. Trois fois. Trois. Comment est-ce possible ? Tu te blâmes d’être toujours plus provocatrice mais tu te défends de la même manière. Etre forte, ne pas montrer que tu es fragile. Vivre égoïstement, vivre autant que tu peux, aussi vite et aussi fort que tu le peux. Ne te retourne pas, tu pourrais le regretter et vouloir faire marche arrière. Et tu sais que tu ne pourras pas supporter ça.
Kong Yeong Hun
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : Helvia
Célébrité : Lee Ju Yeon (THE BOYZ)
Messages : 26401
Âge : 26
Re: ong an. - she's a baby | Lun 7 Jan - 7:34 Citer EditerSupprimer
Bienvenue
Bon courage pour ta fiche
________________________________
Bon courage pour ta fiche
head in the dust ♒︎ Feeling used but I'm still missing you and I can't see the end of this. Just wanna feel your kiss against my lips and now all this time is passing by but I still can't seem to tell you why. ©️ endlesslove.
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Re: ong an. - she's a baby | Lun 7 Jan - 7:37 Citer EditerSupprimer
c'est qui cette meuf trop bonne?
bienvenue par ici
c'est qui cette meuf trop bonne?
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Re: ong an. - she's a baby | Lun 7 Jan - 7:44 Citer EditerSupprimer
je la connais pas elle est cute
bienvenue par ici
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Re: ong an. - she's a baby | Lun 7 Jan - 8:08 Citer EditerSupprimer
bienvenue ici
je connaissais pas la demoiselle mais elle est canon
si tu as une question n'hésite pas à contacter le staff
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si tu as une question n'hésite pas à contacter le staff
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Re: ong an. - she's a baby | Lun 7 Jan - 8:20 Citer EditerSupprimer
mais t'es trop belle omg
bienvenue sur stw ! ♡ avec cette beauté fatale
bon courage pour la rédaction de ta fiche! et amuse toi bien par ici
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Re: ong an. - she's a baby | Lun 7 Jan - 15:25 Citer EditerSupprimer
Une française !!
J’adore ta plume en tout cas, ton personnage me plait fort bien
J’espere que t’auras les gumiho en propa, je vais me saigner pour t’avoir
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche
(RIP Montpellier)
J’adore ta plume en tout cas, ton personnage me plait fort bien
J’espere que t’auras les gumiho en propa, je vais me saigner pour t’avoir
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche
(RIP Montpellier)
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Re: ong an. - she's a baby | Lun 7 Jan - 16:00 Citer EditerSupprimer
elle est magnifique cette petite !
et j’ai un gros coup de cœur pour son nom et prénom ! anouk c’est juste trop trop mignon
Bienvenue parmi nous ma belle ! Je te souhaites bonne chance pour ta fiche et j’ai hâte d’en découvrir plus sur cette demoiselle
et j’ai un gros coup de cœur pour son nom et prénom ! anouk c’est juste trop trop mignon
Bienvenue parmi nous ma belle ! Je te souhaites bonne chance pour ta fiche et j’ai hâte d’en découvrir plus sur cette demoiselle
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Re: ong an. - she's a baby | Lun 7 Jan - 20:14 Citer EditerSupprimer
anouk, j'aime trop ce prénom
bienvenue parmi nous
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