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after work (lei)
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after work (lei) | Ven 18 Jan - 17:57
Les costumes sont déjà rangés et alignés à la perfection quand je me retourne vers le stagiaire qui m’accompagne pour ces tâches considérées comme ingrates. Pourtant, je n’en pense pas un mot pour de possibles et multiples raisons. La première, c’est que j’ai connu des jobs bien plus difficiles et insupportables. La seconde, c’est que les tissus sont si doux qu’ils en deviennent fascinants. Je suis content d’avoir été pris, parmi cette masse de lettres de motivation pour travailler quelques semaines dans l’un des plus beaux théâtres de la capitale. Dieu sait qu’il y a un nombre incalculable de salles mais celles-ci conviennent plutôt aux comédies musicales. Malgré ma motivation, je suis tout de même soulagé de finir cette journée de travail, surtout que nous avons prévu de boire un coup avec quelques collègues de travail. Bien sûr, certaines personnes ont décidé de nous faire faux bond mais il vaut mieux avoir des gens enclins à s’amuser. Dans le cas contraire, il est facile de s’ennuyer très rapidement.
Accélérant le pas, je ne tiens pas à être oublié, surtout que le dortoir des verts est peu agité en cette période de l’année. Quelques-uns de mes camarades ont sauté le pas pour profiter des vacances à l’étranger ou tout simplement ailleurs. D’ailleurs, un léger sourire en coin se dessine sur mes lèvres, sans que je puisse m’en rendre compte. Quelques mètres au loin, la silhouette d’une étudiante se présente devant moi, une silhouette que j’apprécie regarder avec ou sans détour, au fil des jours. Lei travaille au théâtre elle aussi. C’est cette employée qui vend chaque ticket et qui doit accueillir avec un sourire poli, chaque spectateur. De ce que je peux comprendre, la jeune femme doit être de la partie pour ce semblant d’after. Je ne la connais pas réellement, même si nous avons les sangos comme point en commun. Ce n’est parfois pas suffisant pour savoir les détails de la vie de chacun. Toutefois, c’est une autre expression qui finit par apparaître sur mon visage quand je réalise qu’elle est seule. Comme si ce n’était pas évident, je l’interroge : « Tu es toute seule ? » Après quelques secondes de réflexion, j’ajoute sans lui laisser le temps de répondre. « Enfin, ils sont déjà partis ? » Je ne pense pas être en avance, vu que je suis toujours le dernier à finir avec la charge de travail que j’ai. « Je ne sais pas dans quel bar où nous étions censés aller… » Ils tiennent à bizuter les nouveaux ? « Je ne sais pas ce que tu en penses mais je n’ai pas envie de changer mes plans. Tu… On va boire un verre ? »
after work
lei & junghwa
Les costumes sont déjà rangés et alignés à la perfection quand je me retourne vers le stagiaire qui m’accompagne pour ces tâches considérées comme ingrates. Pourtant, je n’en pense pas un mot pour de possibles et multiples raisons. La première, c’est que j’ai connu des jobs bien plus difficiles et insupportables. La seconde, c’est que les tissus sont si doux qu’ils en deviennent fascinants. Je suis content d’avoir été pris, parmi cette masse de lettres de motivation pour travailler quelques semaines dans l’un des plus beaux théâtres de la capitale. Dieu sait qu’il y a un nombre incalculable de salles mais celles-ci conviennent plutôt aux comédies musicales. Malgré ma motivation, je suis tout de même soulagé de finir cette journée de travail, surtout que nous avons prévu de boire un coup avec quelques collègues de travail. Bien sûr, certaines personnes ont décidé de nous faire faux bond mais il vaut mieux avoir des gens enclins à s’amuser. Dans le cas contraire, il est facile de s’ennuyer très rapidement.Accélérant le pas, je ne tiens pas à être oublié, surtout que le dortoir des verts est peu agité en cette période de l’année. Quelques-uns de mes camarades ont sauté le pas pour profiter des vacances à l’étranger ou tout simplement ailleurs. D’ailleurs, un léger sourire en coin se dessine sur mes lèvres, sans que je puisse m’en rendre compte. Quelques mètres au loin, la silhouette d’une étudiante se présente devant moi, une silhouette que j’apprécie regarder avec ou sans détour, au fil des jours. Lei travaille au théâtre elle aussi. C’est cette employée qui vend chaque ticket et qui doit accueillir avec un sourire poli, chaque spectateur. De ce que je peux comprendre, la jeune femme doit être de la partie pour ce semblant d’after. Je ne la connais pas réellement, même si nous avons les sangos comme point en commun. Ce n’est parfois pas suffisant pour savoir les détails de la vie de chacun. Toutefois, c’est une autre expression qui finit par apparaître sur mon visage quand je réalise qu’elle est seule. Comme si ce n’était pas évident, je l’interroge : « Tu es toute seule ? » Après quelques secondes de réflexion, j’ajoute sans lui laisser le temps de répondre. « Enfin, ils sont déjà partis ? » Je ne pense pas être en avance, vu que je suis toujours le dernier à finir avec la charge de travail que j’ai. « Je ne sais pas dans quel bar où nous étions censés aller… » Ils tiennent à bizuter les nouveaux ? « Je ne sais pas ce que tu en penses mais je n’ai pas envie de changer mes plans. Tu… On va boire un verre ? »
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Re: after work (lei) | Sam 2 Fév - 18:50
outfit + Quelques jours, ce n’est que depuis ces quelques petits jours que tu es ici, dans ce pays dont tu ne connais rien. Rien ou presque, car il y a bien quelques lieux qui ne te sont plus si inconnus, mais insuffisant malgré tout pour te sentir pleinement à ton aise.
Tu pousses la porte d’un de ces lieux, celui d’un théâtre considéré comme l’un des plus beaux. Un théâtre qui a décidé de te laisser ta chance. Non pas celle de fouler ses planches, mais celle de vendre ses tickets et ton sourire. Ce soir, est un de ces soirs. un de ceux où tu dois accueillir, un de ceux où tu dois faire porter sur tes lèvres une fausse joie, et un de ceux où ta tenue n’est plus appropriée. Te changer pour revêtir la tenue de l’endroit qui t’accueille, tu dois. Alors tu fais, puis te hâte de rejoindre ton poste. Les minutes s’écoulent, les gens s’installent, et les trois coups annonçant le début de la pièce résonnent. Tu refermes les portes et ne te reste plus qu’à attendre. Attendre la fin, pour une nouvelle fois poser ce masque sur ton visage, celui d’un sourire faux et enjoué, celui qui te force aussi à prononcer des phrases dont tu ne penses pas un mot. L’instant terminé tu soupires, pouvant à nouveau être toi-même. Tu retrouves tes habits, et cette moue boudeuse que tu abordes comme une signature.
Dehors tu attends, entres collègues vous avez décidé de sortir, pourtant c’est seule que tu patientes. Tu l’attends, lui, cette personne dont tu ne connais finalement pas grand chose, mais dont la présence te rassure. Simplement parce qu’il est celui t’ayant faire connaitre un fonctionnement dont tu ne connaissais rien. Il fait froid, tu souffles entres tes mains découvertes pour te réchauffer, quand tu entends sa voix te parvenir. « Ou....» mais tu n’as pas le temps de répondre qu’il enchaîne, ce qui te fais sourire. « Oui, du coup je t’ai attendu. » Tu le regardes, le détaille, ce n’est pas la première fois que tu le fais et chaque fois tu ressens la même chose, cette mélancolie, cette tristesse. Tu ne sais rien de lui, de son passé, mais tu le sens aussi lourd que douloureux. « Je dois avouer que je n’ai pas retenu le nom… » Tu pinces tes lèvres charnues avant de lui répondre à nouveau. « Allé ! Tu comprendras que je te suives par contre.» Le trajet se fait plutôt silencieusement, tu marches à côté de lui, et décide briser de la glace. « Qui es-tu Jung Hwa ? Laisse-moi te connaitre, laisse-moi entrer dans ta vie. » Tu testes -avec malgré tout une pointe de sincérité- sa réaction. Il se retrouve pourtant sauver, franchissant le bar où vous allez passer les prochaines heures. Installée face à lui tu commande une bière, blonde de préférence. Tu retires ton manteau, et te lance à nouveau. « Je réitère ma question, qui es-tu ? »
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lei & junghwa
outfit + Quelques jours, ce n’est que depuis ces quelques petits jours que tu es ici, dans ce pays dont tu ne connais rien. Rien ou presque, car il y a bien quelques lieux qui ne te sont plus si inconnus, mais insuffisant malgré tout pour te sentir pleinement à ton aise. Tu pousses la porte d’un de ces lieux, celui d’un théâtre considéré comme l’un des plus beaux. Un théâtre qui a décidé de te laisser ta chance. Non pas celle de fouler ses planches, mais celle de vendre ses tickets et ton sourire. Ce soir, est un de ces soirs. un de ceux où tu dois accueillir, un de ceux où tu dois faire porter sur tes lèvres une fausse joie, et un de ceux où ta tenue n’est plus appropriée. Te changer pour revêtir la tenue de l’endroit qui t’accueille, tu dois. Alors tu fais, puis te hâte de rejoindre ton poste. Les minutes s’écoulent, les gens s’installent, et les trois coups annonçant le début de la pièce résonnent. Tu refermes les portes et ne te reste plus qu’à attendre. Attendre la fin, pour une nouvelle fois poser ce masque sur ton visage, celui d’un sourire faux et enjoué, celui qui te force aussi à prononcer des phrases dont tu ne penses pas un mot. L’instant terminé tu soupires, pouvant à nouveau être toi-même. Tu retrouves tes habits, et cette moue boudeuse que tu abordes comme une signature.
Dehors tu attends, entres collègues vous avez décidé de sortir, pourtant c’est seule que tu patientes. Tu l’attends, lui, cette personne dont tu ne connais finalement pas grand chose, mais dont la présence te rassure. Simplement parce qu’il est celui t’ayant faire connaitre un fonctionnement dont tu ne connaissais rien. Il fait froid, tu souffles entres tes mains découvertes pour te réchauffer, quand tu entends sa voix te parvenir. « Ou....» mais tu n’as pas le temps de répondre qu’il enchaîne, ce qui te fais sourire. « Oui, du coup je t’ai attendu. » Tu le regardes, le détaille, ce n’est pas la première fois que tu le fais et chaque fois tu ressens la même chose, cette mélancolie, cette tristesse. Tu ne sais rien de lui, de son passé, mais tu le sens aussi lourd que douloureux. « Je dois avouer que je n’ai pas retenu le nom… » Tu pinces tes lèvres charnues avant de lui répondre à nouveau. « Allé ! Tu comprendras que je te suives par contre.» Le trajet se fait plutôt silencieusement, tu marches à côté de lui, et décide briser de la glace. « Qui es-tu Jung Hwa ? Laisse-moi te connaitre, laisse-moi entrer dans ta vie. » Tu testes -avec malgré tout une pointe de sincérité- sa réaction. Il se retrouve pourtant sauver, franchissant le bar où vous allez passer les prochaines heures. Installée face à lui tu commande une bière, blonde de préférence. Tu retires ton manteau, et te lance à nouveau. « Je réitère ma question, qui es-tu ? »
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Re: after work (lei) | Dim 17 Fév - 11:49
Pour une soirée entre collègues, tout est loin d’être réuni. Si je n’étais pas aussi confiant sur ma nature sociable, je pourrais facilement croire que je ne suis pas aussi bien intégré dans l’équipe, avec laquelle je travaille depuis plusieurs semaines. Je ne saurais dire quand la simple et bonne raison que les journées de travail ne sont pas les plus lentes au monde. Mon stage va se terminer prochainement et le dernier levé de rideau, même si je ne suis pas sur scène, risque d’être un peu triste. La prochaine fois que je reviendrais dans ces mêmes locaux, ça sera avec la casquette de comédien. C’est marrant de tenir de tels propos quand j’ignore encore quel chemin je veux emprunter. L’art est si vaste, pourquoi s’imposer des limites ? Le point de rendez-vous rejoint, je suis donc accueilli par une seule et unique personne : Guo Lei. L’adjectif unique n’est pas dénué de sens. Le look de cette jeune femme lui fait dégager une énergie qui rendrait nerveux une multitude d’hommes y compris … Non, je ne peux plus me considérer comme l’ami timide que j’ai longuement été. Je dois tourner la page sur ça et tout le reste. Un sourire satisfait tracé sur les lèvres, j’ajoute : « Oh c’est gentil. Tu savais que je n’étais toujours pas sorti ? » Mais au final, je ne devrais pas être aussi surpris. Nous sommes les éternels bons derniers, y compris dans ce jeu de mémoire qu’on ne pourra pas gagner ni l’autre. Je plisse les yeux. « Ah ah tu comptais pas sur moi pour te le dire ? » Ma mémoire m’a toujours fait défaut. Triste pour un futur comédien ? Disons que ma mémoire est plus visuelle, je l’ai appris avec le temps. Enfin, pour tout dire, elle s’est développée grâce à la danse.
Rejoignant un bar situé dans la rue parallèle, après cet accord verbal, je suis tout aussi heureux de traîner avec la sango. Toutefois, je pourrais vite déchanter. La jeune femme m’a posé une drôle de question alors que la porte s’ouvrait. Clairement, je suis désormais victime d’hallucinations auditives ! Mais zut, voilà que ça recommence ! Interloqué, je prends une mine aussi sérieuse qu’elle. « Comment ça je suis qui ? » En plus d’avoir une mémoire assez défectueuse, ma compréhension de ma langue natale est bancale. « Je suis démasqué. Je travaille pour la CIA et on suspecte un trafic de drogue au sein même du théâtre. Tu veux m’aider sur ce coup ? Je n’arrive pas à les attraper ces petits voyous ! Rrr. » Je lâche un grognement et frappe dans ma main, en mimant un excès de colère. « Je t’offre quoi, Lei ? » dis-je, les yeux rivés vers le comptoir. Un alcool fort, pourquoi pas ? Après tout, je ne suis pas venu en voiture. « Tu poses des questions étranges pour une première soirée passée ensemble. Tu ne connais pas les bonnes manières ? » Si elle prend ses aises, pourquoi je ne pourrais pas en faire de même ?
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Pour une soirée entre collègues, tout est loin d’être réuni. Si je n’étais pas aussi confiant sur ma nature sociable, je pourrais facilement croire que je ne suis pas aussi bien intégré dans l’équipe, avec laquelle je travaille depuis plusieurs semaines. Je ne saurais dire quand la simple et bonne raison que les journées de travail ne sont pas les plus lentes au monde. Mon stage va se terminer prochainement et le dernier levé de rideau, même si je ne suis pas sur scène, risque d’être un peu triste. La prochaine fois que je reviendrais dans ces mêmes locaux, ça sera avec la casquette de comédien. C’est marrant de tenir de tels propos quand j’ignore encore quel chemin je veux emprunter. L’art est si vaste, pourquoi s’imposer des limites ? Le point de rendez-vous rejoint, je suis donc accueilli par une seule et unique personne : Guo Lei. L’adjectif unique n’est pas dénué de sens. Le look de cette jeune femme lui fait dégager une énergie qui rendrait nerveux une multitude d’hommes y compris … Non, je ne peux plus me considérer comme l’ami timide que j’ai longuement été. Je dois tourner la page sur ça et tout le reste. Un sourire satisfait tracé sur les lèvres, j’ajoute : « Oh c’est gentil. Tu savais que je n’étais toujours pas sorti ? » Mais au final, je ne devrais pas être aussi surpris. Nous sommes les éternels bons derniers, y compris dans ce jeu de mémoire qu’on ne pourra pas gagner ni l’autre. Je plisse les yeux. « Ah ah tu comptais pas sur moi pour te le dire ? » Ma mémoire m’a toujours fait défaut. Triste pour un futur comédien ? Disons que ma mémoire est plus visuelle, je l’ai appris avec le temps. Enfin, pour tout dire, elle s’est développée grâce à la danse. Rejoignant un bar situé dans la rue parallèle, après cet accord verbal, je suis tout aussi heureux de traîner avec la sango. Toutefois, je pourrais vite déchanter. La jeune femme m’a posé une drôle de question alors que la porte s’ouvrait. Clairement, je suis désormais victime d’hallucinations auditives ! Mais zut, voilà que ça recommence ! Interloqué, je prends une mine aussi sérieuse qu’elle. « Comment ça je suis qui ? » En plus d’avoir une mémoire assez défectueuse, ma compréhension de ma langue natale est bancale. « Je suis démasqué. Je travaille pour la CIA et on suspecte un trafic de drogue au sein même du théâtre. Tu veux m’aider sur ce coup ? Je n’arrive pas à les attraper ces petits voyous ! Rrr. » Je lâche un grognement et frappe dans ma main, en mimant un excès de colère. « Je t’offre quoi, Lei ? » dis-je, les yeux rivés vers le comptoir. Un alcool fort, pourquoi pas ? Après tout, je ne suis pas venu en voiture. « Tu poses des questions étranges pour une première soirée passée ensemble. Tu ne connais pas les bonnes manières ? » Si elle prend ses aises, pourquoi je ne pourrais pas en faire de même ?
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Re: after work (lei) | Lun 4 Mar - 21:45
outfit + Tu te remémores. Ces quelques instants passés à ses côtés. Ces simples heures où il t’a fait découvrir cette faculté, cette fraternité dans lesquelles tu évolues aujourd’hui. Cet homme et son mystère, ils t’interpellent, piquent ta curiosité et te voilà à présent à l’attendre. A l’attendre devant ce théâtre, celui où chacun de vous travaillent. Professions différentes, mais qui vous lie une nouvelle fois.
Assise dans ce bar, tu te réchauffes et te permets. Oui tu te permets de lui poser à nouveau cette question, déplacée, au regard de votre relation naissante, mais qu’importe tu souhaites savoir. Lui, face à toi, en rigole, s’en amuse même. Tes lèvres s’étirent. Sa réaction, unique, te fais l’apprécier un peu plus. « Je le savais ! Je savais que tu cachais quelque chose. » Tes yeux se plissent faisant mine de réfléchir. « Min Oh a un comportement pas mal suspect, tu ferais bien de commencer par là. » Tu mordilles ta lèvre inférieure, amusée de votre conversation. Conversation qui reprends une tonalité bien plus sérieuse lorsque tu réponds « La vérité.» à sa question. Tu oses, tu n’as peur de rien, de personne, parfois tu te dis que tu devrais mais n’arrive en rien à t’y résoudre. « Sinon une bière blonde. » Il se lève, s’éloigne et tu l’observes. Ainsi tu peux le détailler un peu plus malgré la lumière tamisée de l’endroit. Te voilà alors témoin de sa taille, plus grand que la moyenne, c’est une certitude et un doux détail qui n’est pas pour te laisser indifférente. Son dos aussi dénote, développé, lui donnant une belle carrure masculine, incroyablement séduisante. Tu remarques aussi ses longs doigts fins lorsqu’il pose face à toi ta boisson. Boisson que tu ne tardes pas à porter à tes lèvres. Tu laisses le goût houblonné envahir chaque parcelle de ta bouche, pour finalement le laisser glisser le long de ta gorge. « Bien sûr que je les connais, mais ne pas poser ce genre de question ne rentre pas dans ma catégorie bonne manière. » Tu reprends une gorgée, yeux joueurs, tu poursuis. « Par contre ne pas y répondre, pourrait facilement entrer dans ma catégorie : mauvaise manière. » Pourtant, tu comprends, pas facile de se dévoiler à une totale étrangère, car oui à ses yeux c’est ce que tu es. Tu ne le connais pas, et il ne te connais pas plus, pourtant toi tu lui demande de se dévoiler. De but en blanc, sans rien lui proposer en échange. Qui-es-tu ? Certainement une question que lui-même se pose, et la réponse que ton attitude lui fournit est celle d’une petite peste bien trop arrogante. « Sinon que dis-tu d’un jeu pour apprendre à se connaître ? Tu poses une question sur un détail que tu souhaites apprendre sur moi et j’en ferai pareil. Si jamais l’un de nous ne souhaite pas répondre à la question, il boit une gorgée. Deal ? Tes billes brunes plantées dans les siennes, c'est impatiente que tu attends sa réponse.
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outfit + Tu te remémores. Ces quelques instants passés à ses côtés. Ces simples heures où il t’a fait découvrir cette faculté, cette fraternité dans lesquelles tu évolues aujourd’hui. Cet homme et son mystère, ils t’interpellent, piquent ta curiosité et te voilà à présent à l’attendre. A l’attendre devant ce théâtre, celui où chacun de vous travaillent. Professions différentes, mais qui vous lie une nouvelle fois.Assise dans ce bar, tu te réchauffes et te permets. Oui tu te permets de lui poser à nouveau cette question, déplacée, au regard de votre relation naissante, mais qu’importe tu souhaites savoir. Lui, face à toi, en rigole, s’en amuse même. Tes lèvres s’étirent. Sa réaction, unique, te fais l’apprécier un peu plus. « Je le savais ! Je savais que tu cachais quelque chose. » Tes yeux se plissent faisant mine de réfléchir. « Min Oh a un comportement pas mal suspect, tu ferais bien de commencer par là. » Tu mordilles ta lèvre inférieure, amusée de votre conversation. Conversation qui reprends une tonalité bien plus sérieuse lorsque tu réponds « La vérité.» à sa question. Tu oses, tu n’as peur de rien, de personne, parfois tu te dis que tu devrais mais n’arrive en rien à t’y résoudre. « Sinon une bière blonde. » Il se lève, s’éloigne et tu l’observes. Ainsi tu peux le détailler un peu plus malgré la lumière tamisée de l’endroit. Te voilà alors témoin de sa taille, plus grand que la moyenne, c’est une certitude et un doux détail qui n’est pas pour te laisser indifférente. Son dos aussi dénote, développé, lui donnant une belle carrure masculine, incroyablement séduisante. Tu remarques aussi ses longs doigts fins lorsqu’il pose face à toi ta boisson. Boisson que tu ne tardes pas à porter à tes lèvres. Tu laisses le goût houblonné envahir chaque parcelle de ta bouche, pour finalement le laisser glisser le long de ta gorge. « Bien sûr que je les connais, mais ne pas poser ce genre de question ne rentre pas dans ma catégorie bonne manière. » Tu reprends une gorgée, yeux joueurs, tu poursuis. « Par contre ne pas y répondre, pourrait facilement entrer dans ma catégorie : mauvaise manière. » Pourtant, tu comprends, pas facile de se dévoiler à une totale étrangère, car oui à ses yeux c’est ce que tu es. Tu ne le connais pas, et il ne te connais pas plus, pourtant toi tu lui demande de se dévoiler. De but en blanc, sans rien lui proposer en échange. Qui-es-tu ? Certainement une question que lui-même se pose, et la réponse que ton attitude lui fournit est celle d’une petite peste bien trop arrogante. « Sinon que dis-tu d’un jeu pour apprendre à se connaître ? Tu poses une question sur un détail que tu souhaites apprendre sur moi et j’en ferai pareil. Si jamais l’un de nous ne souhaite pas répondre à la question, il boit une gorgée. Deal ? Tes billes brunes plantées dans les siennes, c'est impatiente que tu attends sa réponse.
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Re: after work (lei) | Sam 23 Mar - 20:22
Cette plaisanterie me fait gagner du temps. A vrai dire, son ton impassible m'interroge sur les véritables volontés de la jeune femme. Rien ne semble être prévu, pas même cette soirée entre nous, alors sa question me paraît soudaine et donc forcément, imprévisible. Si ma collègue de travail était curieuse à mon sujet, j'aurais pu le remarquer depuis longtemps à moins d'être encore le roi des parfaits idiots. En tout cas, ma blague semble lui plaire, ce qui me fait sourire d'autant plus. La jeune femme ne s'en doute peut-être pas pour l'instant mais elle vient de commettre sa plus grosse erreur. C'est ce que je ne sais pas rester sérieux bien longtemps... Non, elle ne sait pas dans quoi elle est tombée, un peu comme moi vis-à-vis d'elle. " Min Oh ? Je l'ai remarqué aussi mais son comportement est à la fois si évident... Comment peut-il tenir un tel réseau dans ce cas ? " dis-je, après avoir pris une mine faussement réfléchie pendant plusieurs secondes. D'ailleurs, je crois que je continue avec cette expression. " Tu n'es pas la seule à vouloir la vérité. Ce n'est pas pour autant qu'elle se présente à nous. Encore moins si facilement. " Je ne sais pas pourquoi je m'amuse à vouloir faire planer le doute. Cela me parait tout à fait naturel. Nous avons tous notre petit jardin secret, nous sommes tous des menteurs, certains sont juste plus forts que d'autres à ce sujet. Personnellement, je ne fais pas partie de ces derniers mais certaines personnes de mon entourage ont soit-disant cette qualité. " Ok pour la bière. " Au moins, commander une boisson ne me donnera pas de migraine. Attrapant mon porte feuille dans la poche de mon jean, je réclame une bière et une vodka au barman, patiente quelques minutes avant de revenir à sa hauteur, accompagné du Saint-Graal, faiblement alcoolisé pour elle. Imitant la demoiselle, je bois une bonne gorgée et lâche un soupir de satisfaction au moment où je repose le verre sur notre table. " Dommage pour toi alors. Je n'aime pas spécialement l'idée d'être un modèle de vertu. " J'affiche un sourire amusé. Ironique, n'est-ce pas ? Surtout quand je suis à l'origine de la première réflexion. " Tu me laisses le plaisir de découvrir les autres catégories en avant première ou je dois attendre mon tour ? " J'échappe un rire, n'attendant pas de réponse de sa part, sur ce sujet. En effet, Lei soulève un point intéressant. Affichant pourtant une mine sceptique, je me demande si elle n'a pas cherché à me piéger. " Je vois. C'est pour ça que tu as commandé une bière ? Tu es bien rusée comme nana... " Puis, je croise les bras. " Si je ne réponds pas à cette proposition, je dois boire c'est ça ? " Dans ce cas, la soirée risque d'être très longue. Et puis, j'aime beaucoup l'idée. Je vais juste devoir être inspiré. " Je ne vais pas faire le petit joueur. J'accepte mais faisons un tour d'échauffement. Les règles semblent déjà bien acquises pour toi. " Nous avons seulement pu échanger quelques mots avec la demoiselle, et voilà donc l'image que j'ai d'elle ? Je vous jure... Échappant de nouveau un rire, je la fixe avec un sourire en coin sur le bord des lèvres. " Je commence... Quelle est ta plus grande peur ? " Pas du tout original, je sais mais cette question peut nous mettre dans le bain pour la suite. A voir précisément à quel jeu Lei est capable de réellement jouer.
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Cette plaisanterie me fait gagner du temps. A vrai dire, son ton impassible m'interroge sur les véritables volontés de la jeune femme. Rien ne semble être prévu, pas même cette soirée entre nous, alors sa question me paraît soudaine et donc forcément, imprévisible. Si ma collègue de travail était curieuse à mon sujet, j'aurais pu le remarquer depuis longtemps à moins d'être encore le roi des parfaits idiots. En tout cas, ma blague semble lui plaire, ce qui me fait sourire d'autant plus. La jeune femme ne s'en doute peut-être pas pour l'instant mais elle vient de commettre sa plus grosse erreur. C'est ce que je ne sais pas rester sérieux bien longtemps... Non, elle ne sait pas dans quoi elle est tombée, un peu comme moi vis-à-vis d'elle. " Min Oh ? Je l'ai remarqué aussi mais son comportement est à la fois si évident... Comment peut-il tenir un tel réseau dans ce cas ? " dis-je, après avoir pris une mine faussement réfléchie pendant plusieurs secondes. D'ailleurs, je crois que je continue avec cette expression. " Tu n'es pas la seule à vouloir la vérité. Ce n'est pas pour autant qu'elle se présente à nous. Encore moins si facilement. " Je ne sais pas pourquoi je m'amuse à vouloir faire planer le doute. Cela me parait tout à fait naturel. Nous avons tous notre petit jardin secret, nous sommes tous des menteurs, certains sont juste plus forts que d'autres à ce sujet. Personnellement, je ne fais pas partie de ces derniers mais certaines personnes de mon entourage ont soit-disant cette qualité. " Ok pour la bière. " Au moins, commander une boisson ne me donnera pas de migraine. Attrapant mon porte feuille dans la poche de mon jean, je réclame une bière et une vodka au barman, patiente quelques minutes avant de revenir à sa hauteur, accompagné du Saint-Graal, faiblement alcoolisé pour elle. Imitant la demoiselle, je bois une bonne gorgée et lâche un soupir de satisfaction au moment où je repose le verre sur notre table. " Dommage pour toi alors. Je n'aime pas spécialement l'idée d'être un modèle de vertu. " J'affiche un sourire amusé. Ironique, n'est-ce pas ? Surtout quand je suis à l'origine de la première réflexion. " Tu me laisses le plaisir de découvrir les autres catégories en avant première ou je dois attendre mon tour ? " J'échappe un rire, n'attendant pas de réponse de sa part, sur ce sujet. En effet, Lei soulève un point intéressant. Affichant pourtant une mine sceptique, je me demande si elle n'a pas cherché à me piéger. " Je vois. C'est pour ça que tu as commandé une bière ? Tu es bien rusée comme nana... " Puis, je croise les bras. " Si je ne réponds pas à cette proposition, je dois boire c'est ça ? " Dans ce cas, la soirée risque d'être très longue. Et puis, j'aime beaucoup l'idée. Je vais juste devoir être inspiré. " Je ne vais pas faire le petit joueur. J'accepte mais faisons un tour d'échauffement. Les règles semblent déjà bien acquises pour toi. " Nous avons seulement pu échanger quelques mots avec la demoiselle, et voilà donc l'image que j'ai d'elle ? Je vous jure... Échappant de nouveau un rire, je la fixe avec un sourire en coin sur le bord des lèvres. " Je commence... Quelle est ta plus grande peur ? " Pas du tout original, je sais mais cette question peut nous mettre dans le bain pour la suite. A voir précisément à quel jeu Lei est capable de réellement jouer. © LOYALS.
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