ther later at night it get, the further into another world you go une journée en répétition. une soirée imitant la précédente. son rituel ne cessant alors, du à l'absence d'effort de sa part. principalement. aucune complainte, pourtant, car ainsi était son envie, sa motivation à devenir meilleure. se démarquer. se donner une chance de s'illuminer devant le regard des autres. pourtant une pointe de lassitude grisait l'étincelle de son aura. monotone existence en ces jours si simples. et pourtant elle savait que rien ne venait à qui ne sait attendre. patience était une vertu qu'on ne pouvait guère lui ôter, tout du moins durant pareille circonstance qu'était sa passion. le reste du temps était discutable. comme cet instant où son téléphone sonna, avant qu'une voix si particulière et reconnaissable ne prenne le relais. lui livrant peu de temps de silence pour prendre, à son tour, la parole. elle ferma les yeux, soufflant, et écoutant attentivement les mots que junhee lui disait. puis un sourire se traça sur ses lèvres. finalement, un idiot pour lui tendre une main amicale. eh bien j'imagine qu'on a un deal. soupira-t-elle, tout en rapportant son téléphone dans sa poche.

vingt minutes maximum avait-il dit. le temps alloué suffisant avant qu'elle ne rejoigne le quartier où résidait junhee. alors elle ne perdit pas une minute de plus et s'avança vers son domicile. avant de donner quelques coups de ses phalanges contre la porte. quelques pas furtifs distincts, de plus en plus audible, un signe que l'hôte n'allait guère tarder à lui autoriser l'accès à l'intérieur. aussi, sorina réajusta-t-elle son sac avant de voir la silhouette de son ami enfin dévoilé. et un sourire sincère pourprant ses lippes. t'as de la chance que j'étais dans le coin s'enquit-elle d'annoncer. comme ci, dans le cas contraire elle n'aurait guère fit acte de présence. comme ci elle ne voulait guère s'aérer l'esprit, et apprécier un peu de changement dans une vie, uniforme. alors, sans plus attendre, elle glissa à l'intérieur du domicile, faisant brutalement tomber son sac de sport dans un coin du couloir avant de traîner son corps vers la cuisine, une odeur la guidant presque naturellement vers la source de l'éveil de son appétit. t'as cuisiné ? et ta cuisine est encore entière ?