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AU - The end of the line (kiêm ♡)
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AU - The end of the line (kiêm ♡) | Mer 30 Jan - 19:41
OUTFIT + Je jetai un regard à l'extérieur. La neige avait déjà commencé à tomber. Me regard se perdit au long un peu comme mes pensées qui étaient tout simplement chaotique. Tout était calme si calme. J'avais presque l'impression que les bruits de la ville s'étaient tus eux aussi. Comme si eaux aussi savaient ce qui m'attendaient. Ce soir, j'allais mourir. Je détournais mon regard, le reposant sur le papier, élégamment mon stylo se meut à nouveau sur le papier blanc, lançant la trace de mon écriture soignée, de ses quelques mots en anglais que je lui laisserai. Stupide, je le savais bien, cliché de laissé une lettre de dernières volontés à celui qu'on aimait. Mais je voulais tomber dans ce cliché. Rien entre nous n'avait été conventionnel, même cette fin échapperai à toutes les normes d'une relation amoureuse. Je terminais en scellant la feuille dans son enveloppe, pour finir par simplement écrire son nom, simplement son nom. Il trouverait ces dernières paroles, je le savais bien. Il remarquait, il remarquait toujours tout. J'abandonnai la lettre sur la table de nuit de ma chambre, chambre devenue si vide, si froide. Laissée vide par mon mari, remplie à nouveau par la présence de mon amant, celui que j'aimais plus que tout au monde. Celui que j'avais trahi, tout ça pour lui. Je ne regrettai pas, je ne regretterai pas. Je savais que ce que j'avais fait aurait des conséquences, je les connaissais et je les assumais. C'était bien pour cela que j'avais refusé la protection policière. J'aurais très bien pu partir dans un autre pays, changer d'identité, tout mon argent aurait pu me permettre cela. Mais je cherchais pas à fuir, je ne voulais pas le fuir, celui que j'aimais, c'était trop dur. Alors j'acceptais, j'acceptais mon sort. Ce soir, ce soir était le dernier jour de ma vie. Je remontais un peu plus ma veste en laine sur mes épaules sentant le froid me meurtrir la peau. J'avais fini par aller dans le salon. Je m'étais installé dans mon canapé. Alors que j'entendis une voix, je levai automatiquement les yeux Non, je ... je vous dirai tout sur eux, tout ce que je sais.Ma voix, simple écho de ce qui me hantait maintenant. Détruisez ce que avez sur King et son implication sur la mort de ma mari et je vous dirai tout ce que je sais. Je n'avais pas hésité. Pas une seule seconde. Pour le défendre j'aurais tout donné. Jusqu'à ma vie. Et justement, c'était le cas ce soir. Je fermais les yeux quelques instants, chassant ces souvenirs qui se faisaient trop imposant dans ma tête. Jusqu’à entendre la porte s'ouvrir, je ne bougeais pas, restant assis les yeux fermés. Son odeur familière arriva à mon nez. On y était enfin. Il était là, l'ange de la mort. Je t'attendais mon roi. soufflai-je assez fort pour qu'il sache que j'avais compris. Je levais me tournant vers lui, mon regard se plongeai dans le sien. Il n'y avait pas de regret. Je savais que j'avais fait le bon choix. Lui ou les tête de son gang, j'avais sans hésité offert l'épée qui avait permis de décapiter ses supérieurs hiérarchique. Touchez à eux, à moi, tout le monde, mais pas lui. Fais ce que tu as à faire King ou je vais finir par croire que tu hésites mon amour. Un sourire mélancolique se forme sur mon visage, elles étaient les conséquences de mes actes. Devant moi, et moi je les embrasserai à pleine bouche. Rien n'était fait pour durer, les sentiments, les gens, même moi.
the end of the line
kiêm 
OUTFIT + Je jetai un regard à l'extérieur. La neige avait déjà commencé à tomber. Me regard se perdit au long un peu comme mes pensées qui étaient tout simplement chaotique. Tout était calme si calme. J'avais presque l'impression que les bruits de la ville s'étaient tus eux aussi. Comme si eaux aussi savaient ce qui m'attendaient. Ce soir, j'allais mourir. Je détournais mon regard, le reposant sur le papier, élégamment mon stylo se meut à nouveau sur le papier blanc, lançant la trace de mon écriture soignée, de ses quelques mots en anglais que je lui laisserai. Stupide, je le savais bien, cliché de laissé une lettre de dernières volontés à celui qu'on aimait. Mais je voulais tomber dans ce cliché. Rien entre nous n'avait été conventionnel, même cette fin échapperai à toutes les normes d'une relation amoureuse. Je terminais en scellant la feuille dans son enveloppe, pour finir par simplement écrire son nom, simplement son nom. Il trouverait ces dernières paroles, je le savais bien. Il remarquait, il remarquait toujours tout. J'abandonnai la lettre sur la table de nuit de ma chambre, chambre devenue si vide, si froide. Laissée vide par mon mari, remplie à nouveau par la présence de mon amant, celui que j'aimais plus que tout au monde. Celui que j'avais trahi, tout ça pour lui. Je ne regrettai pas, je ne regretterai pas. Je savais que ce que j'avais fait aurait des conséquences, je les connaissais et je les assumais. C'était bien pour cela que j'avais refusé la protection policière. J'aurais très bien pu partir dans un autre pays, changer d'identité, tout mon argent aurait pu me permettre cela. Mais je cherchais pas à fuir, je ne voulais pas le fuir, celui que j'aimais, c'était trop dur. Alors j'acceptais, j'acceptais mon sort. Ce soir, ce soir était le dernier jour de ma vie. Je remontais un peu plus ma veste en laine sur mes épaules sentant le froid me meurtrir la peau. J'avais fini par aller dans le salon. Je m'étais installé dans mon canapé. Alors que j'entendis une voix, je levai automatiquement les yeux Non, je ... je vous dirai tout sur eux, tout ce que je sais.Ma voix, simple écho de ce qui me hantait maintenant. Détruisez ce que avez sur King et son implication sur la mort de ma mari et je vous dirai tout ce que je sais. Je n'avais pas hésité. Pas une seule seconde. Pour le défendre j'aurais tout donné. Jusqu'à ma vie. Et justement, c'était le cas ce soir. Je fermais les yeux quelques instants, chassant ces souvenirs qui se faisaient trop imposant dans ma tête. Jusqu’à entendre la porte s'ouvrir, je ne bougeais pas, restant assis les yeux fermés. Son odeur familière arriva à mon nez. On y était enfin. Il était là, l'ange de la mort. Je t'attendais mon roi. soufflai-je assez fort pour qu'il sache que j'avais compris. Je levais me tournant vers lui, mon regard se plongeai dans le sien. Il n'y avait pas de regret. Je savais que j'avais fait le bon choix. Lui ou les tête de son gang, j'avais sans hésité offert l'épée qui avait permis de décapiter ses supérieurs hiérarchique. Touchez à eux, à moi, tout le monde, mais pas lui. Fais ce que tu as à faire King ou je vais finir par croire que tu hésites mon amour. Un sourire mélancolique se forme sur mon visage, elles étaient les conséquences de mes actes. Devant moi, et moi je les embrasserai à pleine bouche. Rien n'était fait pour durer, les sentiments, les gens, même moi.(c) DΛNDELION
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Re: AU - The end of the line (kiêm ♡) | Mer 30 Jan - 19:55
OUTFIT + c’était la merde au qg des stags. tout le monde courait partout en gueulant d’effacer le plus de preuves possibles. les flics allaient arriver, un mec infiltré vous avait prévenu. tout le monde allait être coffré sauf toi apparemment. ils n’avaient rien sur toi et n’auraient probablement jamais rien. le flic avait dit que vous aviez été trahi et qu’un mec du nom de lee minh liêm vous aviez vendu. à ce nom, ton cœur s’était serré. pourquoi ? c’était ce que tu n’arrivais pas à comprendre. pourquoi avait-il fait ça ? pourquoi avait-il caché tout ce que vous aviez ? tu avais été faire un rapport à aran parce que c’était ta faute et tu avais promis de réparer tes erreurs et de le tuer. tu en étais capable et ce soir tu le ferais. c’est avec cette idée en tête que tu roules vers la maison qu’il a partagé pendant quelques temps avec son mari, mari que tu as tué. tu ne regrettes pas tes choix, encore moins d’avoir laissé liêm entrer dans ta vie, mais quand tu voyais le résultat, tu te disais qu’il faudrait peut-être que tu devrais peut-être commencer à regretter. tu te gares devant chez lui et tu entres sans frapper ou t’annoncer. il est bien loin le temps où tu attendais devant la porte qu’il t’ouvre. maintenant, tu rentrais dans cette maison comme si c’était chez toi. et dans un sens ça l’était. tout ce qui lui appartenait était à toi, comme son corps et son cœur. sa voix s’élève dans le silence morbide et tu poses sur lui un regard froid alors que ton cœur saigne. tu l’observes sans rien dire et quand liêm reprend la parole, tu ne parles pas plus. d’ordinaire tu aurais sûrement ri sarcastiquement pour lui faire comprendre que tu n’hésiterais jamais à le tuer. mais ce soir, ce n’était pas le cas. ce soir tu hésitais parce que même si tu avais toujours dit que tes mains s’enrouleraient autour de son cou pour le tuer, tu ne pensais pas que ce jour arriverait. pourtant, c’était bien le cas aujourd’hui et c’était difficile, parce que tout ton corps criait son amour pour lui alors que tu devais agir pour l’intérêt du gang pas pour toi. ce serait toujours les stags avant tes propres intérêts et ça le serait encore pendant longtemps. « pourquoi ? » tu demandes froidement. tu cherches des explications à tout ça. tu ne vois rien qui pourrait le pousser à dire tout ce qu’il savait. « pourquoi t’as fait ça ? pourquoi t’as tout gâché ? » le blâmer lui plutôt que ta propre incompétence, ça te faisait mal, mais tu avais du mal à te faire à l’idée que tu allais de voir le tuer parce que tu n’avais pas fait assez attention à ce que tu faisais ou disais à ses côtés. tu vivais tout ça comme un échec. échec de ta vie, échec de ton amour et échec de la confiance que tu lui accordais. ton cœur se serre un peu plus alors que tu le regardes toujours comme s’il était devenu un étranger à tes yeux et plus l’homme que tu aimais à mourir. tu voudrais pleurer, mais tu n’avais jamais versé une seule larme depuis des années. tu n’exprimais pas ce genre de sentiments parce que c’était être faible, et ce soir, tu ne pouvais pas te permettre de l’être. si tu laissais tout sortir, tu n’arriverais probablement pas à le tuer.
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OUTFIT + c’était la merde au qg des stags. tout le monde courait partout en gueulant d’effacer le plus de preuves possibles. les flics allaient arriver, un mec infiltré vous avait prévenu. tout le monde allait être coffré sauf toi apparemment. ils n’avaient rien sur toi et n’auraient probablement jamais rien. le flic avait dit que vous aviez été trahi et qu’un mec du nom de lee minh liêm vous aviez vendu. à ce nom, ton cœur s’était serré. pourquoi ? c’était ce que tu n’arrivais pas à comprendre. pourquoi avait-il fait ça ? pourquoi avait-il caché tout ce que vous aviez ? tu avais été faire un rapport à aran parce que c’était ta faute et tu avais promis de réparer tes erreurs et de le tuer. tu en étais capable et ce soir tu le ferais. c’est avec cette idée en tête que tu roules vers la maison qu’il a partagé pendant quelques temps avec son mari, mari que tu as tué. tu ne regrettes pas tes choix, encore moins d’avoir laissé liêm entrer dans ta vie, mais quand tu voyais le résultat, tu te disais qu’il faudrait peut-être que tu devrais peut-être commencer à regretter. tu te gares devant chez lui et tu entres sans frapper ou t’annoncer. il est bien loin le temps où tu attendais devant la porte qu’il t’ouvre. maintenant, tu rentrais dans cette maison comme si c’était chez toi. et dans un sens ça l’était. tout ce qui lui appartenait était à toi, comme son corps et son cœur. sa voix s’élève dans le silence morbide et tu poses sur lui un regard froid alors que ton cœur saigne. tu l’observes sans rien dire et quand liêm reprend la parole, tu ne parles pas plus. d’ordinaire tu aurais sûrement ri sarcastiquement pour lui faire comprendre que tu n’hésiterais jamais à le tuer. mais ce soir, ce n’était pas le cas. ce soir tu hésitais parce que même si tu avais toujours dit que tes mains s’enrouleraient autour de son cou pour le tuer, tu ne pensais pas que ce jour arriverait. pourtant, c’était bien le cas aujourd’hui et c’était difficile, parce que tout ton corps criait son amour pour lui alors que tu devais agir pour l’intérêt du gang pas pour toi. ce serait toujours les stags avant tes propres intérêts et ça le serait encore pendant longtemps. « pourquoi ? » tu demandes froidement. tu cherches des explications à tout ça. tu ne vois rien qui pourrait le pousser à dire tout ce qu’il savait. « pourquoi t’as fait ça ? pourquoi t’as tout gâché ? » le blâmer lui plutôt que ta propre incompétence, ça te faisait mal, mais tu avais du mal à te faire à l’idée que tu allais de voir le tuer parce que tu n’avais pas fait assez attention à ce que tu faisais ou disais à ses côtés. tu vivais tout ça comme un échec. échec de ta vie, échec de ton amour et échec de la confiance que tu lui accordais. ton cœur se serre un peu plus alors que tu le regardes toujours comme s’il était devenu un étranger à tes yeux et plus l’homme que tu aimais à mourir. tu voudrais pleurer, mais tu n’avais jamais versé une seule larme depuis des années. tu n’exprimais pas ce genre de sentiments parce que c’était être faible, et ce soir, tu ne pouvais pas te permettre de l’être. si tu laissais tout sortir, tu n’arriverais probablement pas à le tuer.(c) DΛNDELION
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Re: AU - The end of the line (kiêm ♡) | Mer 30 Jan - 23:14
OUTFIT + Il était là. Il était enfin là. Je savais ce qui m'attendait. Je savais bien qu'il n'était pas ici pour rentrer et venir me faire l'amour comme nous en avions l'habitude. Sa présence annonçait une fin bien plus morbide. Toutes les fois où il m'avait dit qu'il n'hésiterait pas à me buter pour son gang. Je le savais. Je l'acceptais. C'était les conditions de notre vie de couple si unique. Aujourd'hui nous y étions. Ces paroles prenaient enfin leur sens. Je le regardais, lui et ses grands yeux noir glacés. Je finis par m'approcher doucement vers lui, de ma démarche de félin. Quand sa question tombe, je restais silencieux. Je m'approchais encore, posant ma main sur son ventre. Notre dernier contact. Le tout dernier. Shhhhh. soufflai-je tout bas en le regardant. Qu'il était beau. Dieu qu'il était beau. Il venait me buter et moi je le trouvais magnifique. Je voulais graver cette image de lui, que sa beauté froide soi la dernière chose qui me passait par la tête. Les raisons importent peu King. Si je lui disais, il hésiterait, je le savais bien. Il ne devait pas hésiter. J'avais agi en connaissant déjà la finalité de mon geste. Je m'y étais préparé. J'étais prêt à faire face au jugement dernier comme certains disaient. Mon regard se plongeait dans le sien alors que mes mains glissaient pour attraper ses poignets. Je vous ai trahis. Je savais ce que je faisais et je le referai referai sans hésiter. Je préférai qu'il me prenne pour un manipulateur qu'il fasse la connerie d'arrêter son geste. Je pris ses poignets et glissais ses long doigts au niveau de ma gorge. Si cela était aussi un jeu sexuel entre nous, aujourd'hui la saveur en était différente. Fais-le King, recule pas. Je le fixais, attendant mon châtiment. Tout de que j'avais fait c'était pour lui et uniquement pour lui. J'avais voulu le défendre. Lui et uniquement lui. Je le laisserai lire ma lettre pour toutes les explications sur mes vraies raison. Je laissais mes bras retomber le long de mon corps. Vas-y mon roi, arrache la vie de mon corps. Tant que c'était toi je m'en foutais.
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OUTFIT + Il était là. Il était enfin là. Je savais ce qui m'attendait. Je savais bien qu'il n'était pas ici pour rentrer et venir me faire l'amour comme nous en avions l'habitude. Sa présence annonçait une fin bien plus morbide. Toutes les fois où il m'avait dit qu'il n'hésiterait pas à me buter pour son gang. Je le savais. Je l'acceptais. C'était les conditions de notre vie de couple si unique. Aujourd'hui nous y étions. Ces paroles prenaient enfin leur sens. Je le regardais, lui et ses grands yeux noir glacés. Je finis par m'approcher doucement vers lui, de ma démarche de félin. Quand sa question tombe, je restais silencieux. Je m'approchais encore, posant ma main sur son ventre. Notre dernier contact. Le tout dernier. Shhhhh. soufflai-je tout bas en le regardant. Qu'il était beau. Dieu qu'il était beau. Il venait me buter et moi je le trouvais magnifique. Je voulais graver cette image de lui, que sa beauté froide soi la dernière chose qui me passait par la tête. Les raisons importent peu King. Si je lui disais, il hésiterait, je le savais bien. Il ne devait pas hésiter. J'avais agi en connaissant déjà la finalité de mon geste. Je m'y étais préparé. J'étais prêt à faire face au jugement dernier comme certains disaient. Mon regard se plongeait dans le sien alors que mes mains glissaient pour attraper ses poignets. Je vous ai trahis. Je savais ce que je faisais et je le referai referai sans hésiter. Je préférai qu'il me prenne pour un manipulateur qu'il fasse la connerie d'arrêter son geste. Je pris ses poignets et glissais ses long doigts au niveau de ma gorge. Si cela était aussi un jeu sexuel entre nous, aujourd'hui la saveur en était différente. Fais-le King, recule pas. Je le fixais, attendant mon châtiment. Tout de que j'avais fait c'était pour lui et uniquement pour lui. J'avais voulu le défendre. Lui et uniquement lui. Je le laisserai lire ma lettre pour toutes les explications sur mes vraies raison. Je laissais mes bras retomber le long de mon corps. Vas-y mon roi, arrache la vie de mon corps. Tant que c'était toi je m'en foutais.(c) DΛNDELION
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Re: AU - The end of the line (kiêm ♡) | Jeu 31 Jan - 8:29
OUTFIT + tu ne comprends pas. tu n’arrives pas à comprendre pourquoi il a fait ça ? pourquoi a-t-il mis sa vie en péril alors qu’il savait très bien ce que ça impliquait. pourquoi faut-il que ça t’arrive à toi ? tu lui en voulais mais ce n’était pas de sa faute. c’était toi le coupable. tu ne pouvais t’en prendre qu’à toi-même. tu étais le seul coupable de ton malheur. parce que oui, ça te tuait lentement de te dire que tu allais être celui qui mettrait fin à la vie de ton bébé pute. pourtant, tu l’avais déjà dit de nombreuses fois que s’il devenait dangereux pour les stags, tu n’hésiterais pas à le tuer. mais maintenant que c’était réellement le cas, maintenant que tu devais le faire, tu avais du mal à te faire à l’idée. c’est pour cette raison que tu essaies de te détacher de liêm, de le voir comme un étranger. tu demandes même les raisons froidement et sans aucune once d’amour. mais il ne te répond pas, élude même les questions et ça te met hors de toi. ton sang pulse à tes tempes et tu l’écoutes sans réellement le faire, tes yeux posés sur lui. tu l’observes sans scrupules, gravant dans ta mémoire le souvenir de ce visage que tu as aimé même si tu ne lui avais jamais dit. ses mains viennent récupérer tes poignets et tes doigts s’enroulent d’eux-mêmes autour de son cou délicat. c’était un jeu avant, ça l’excitait grandement et pourtant, aujourd’hui ça n’a pas la même connotation. aujourd’hui ça sonnait comme la fin de votre histoire. mais tu ne voulais pas que ce soit la fin. du moins pas avant que toi tu ne l’aies décidé. alors tu enlèves une de tes mains, mettant l’autre au milieu tandis que tu pousses son corps jusqu’à ce qu’il heurte violemment un mur. « pourquoi t’as fait ça ? » que tu répètes encore une fois tandis que ton regard le transperce. tu ne peux pas le tuer sans réponse parce que tu sais que tu le regretteras toute ta vie si c’était le cas. tes yeux finissent par descendre sur ses lèvres et tu ne réfléchis plus, tu viens mordre dedans de toutes tes forces. tu veux le faire couiner de douleur et qu’il te dise pourquoi il a trahi les stags.
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OUTFIT + tu ne comprends pas. tu n’arrives pas à comprendre pourquoi il a fait ça ? pourquoi a-t-il mis sa vie en péril alors qu’il savait très bien ce que ça impliquait. pourquoi faut-il que ça t’arrive à toi ? tu lui en voulais mais ce n’était pas de sa faute. c’était toi le coupable. tu ne pouvais t’en prendre qu’à toi-même. tu étais le seul coupable de ton malheur. parce que oui, ça te tuait lentement de te dire que tu allais être celui qui mettrait fin à la vie de ton bébé pute. pourtant, tu l’avais déjà dit de nombreuses fois que s’il devenait dangereux pour les stags, tu n’hésiterais pas à le tuer. mais maintenant que c’était réellement le cas, maintenant que tu devais le faire, tu avais du mal à te faire à l’idée. c’est pour cette raison que tu essaies de te détacher de liêm, de le voir comme un étranger. tu demandes même les raisons froidement et sans aucune once d’amour. mais il ne te répond pas, élude même les questions et ça te met hors de toi. ton sang pulse à tes tempes et tu l’écoutes sans réellement le faire, tes yeux posés sur lui. tu l’observes sans scrupules, gravant dans ta mémoire le souvenir de ce visage que tu as aimé même si tu ne lui avais jamais dit. ses mains viennent récupérer tes poignets et tes doigts s’enroulent d’eux-mêmes autour de son cou délicat. c’était un jeu avant, ça l’excitait grandement et pourtant, aujourd’hui ça n’a pas la même connotation. aujourd’hui ça sonnait comme la fin de votre histoire. mais tu ne voulais pas que ce soit la fin. du moins pas avant que toi tu ne l’aies décidé. alors tu enlèves une de tes mains, mettant l’autre au milieu tandis que tu pousses son corps jusqu’à ce qu’il heurte violemment un mur. « pourquoi t’as fait ça ? » que tu répètes encore une fois tandis que ton regard le transperce. tu ne peux pas le tuer sans réponse parce que tu sais que tu le regretteras toute ta vie si c’était le cas. tes yeux finissent par descendre sur ses lèvres et tu ne réfléchis plus, tu viens mordre dedans de toutes tes forces. tu veux le faire couiner de douleur et qu’il te dise pourquoi il a trahi les stags.(c) DΛNDELION
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Re: AU - The end of the line (kiêm ♡) | Mar 12 Fév - 1:39
OUTFIT + Oui. Je savais clairement ce que j’avais fait. J'avais été pleinement conscient de mes actes en vendant les petits camarade de King. Mais ça avait été le prix à payer pour sa sécurité. Si les flics n’étaient pas venus me voir avec toutes les preuves qui incriminaient l’homme que j’aimais dans l’assassinat de celui que j’avais aimé…. non je n’aurais jamais rien dit. J’aurais fermé ma bouche pour toujours et ce même sous la torture, je ne les aurais pas vendu. Mais ces preuves avaient suffit à me faire parler. Parce que je voulais pas qu’on touche à celui que j’aimais. Battez moi, rabaissez moi plus bas que terre, mais mon dieu, ne touchez pas à King. Mais je connaissais aussi parfaitement les conséquences de cet acte. Je ne cherchais pas à les fuir. Justement, je les acceptais pleinement. La mort de l’accueillais à bras ouverts. Mais lui semblait vouloir savoir. IL voulait connaître mes motivations, mais moi, je restais fermé. Je ne voulais pas qu’il recule. Qu'il regrette son geste. Je préférais qu’il remette en doute tout ce que nous avions pu être, tout ce que j’avais pu ressentir à son égart. Je préférais passer pour le connard avide de fric et de pouvoir que King ait à douter sur l’issue de cette scène. J’avais même fini par récupérer ses poignets pour enrouler ses longs doigt autour de ma gorge. Tout comme avant. Tout comme ses fois où il m’avait étrangler pour répondre à nos pulsions sexuelles malsaines. Aujourd’hui ce n’était pas sexuellement parlant. Aujourd’hui, c’était pour des fins plus tragiques. je fixais mon homme laissant mes mains lourdement le long de mon corps, attendant la sentence finale. Je fermais mes paupières, mais la suite me pris de cours quand je sentis Ling poussé tout mon corps jusqu’à ce que mon dos heurte brutalement la surface d’un mur. J’eus un gémissement de alors que je regardais le plus âgé me reposer la même question. Je le fixais presque effrayé, j’étais à sa merci et je ne savais pas ce qu’il allait faire de moi. Mais je n’eus pas le temps de répondre qu’il vint planter ses crocs dans ma lèvre. J’eus un cri incontrolé alors que mes mains étaient allé se débattre contre le torse de mon amant pour qu’il cesse, mais c’était bien inutile et bientot je sentais le goût si particulier du sang innonder ma bouche alors que mes larmes avaient perlé le long de mes mes joues. C’est quand il se décida à me lâcher que je le regardais, mes yeux embués, sans un liquide chaud couler le long de mon menton. Finalement je me résilais. Je lui cédais. Comme j’étais bien faible face à l’homme que j’aimais. C’était pour toi. Ils t’avaient King. Je tournais ma tête pour cracher au sol le sang qui se cumulait dans ma bouche. Les flics que tu avais tué Maverick. j’avais commencé à pleurer malgré moi parce que dans le fond, tout était de ma faute. C’était eux ou toi. Je pouvais pas me résilier à vivre dans un monde sans toi King. Et maintenant c’était lui qui vivrais sans moi, mais moi, je savais que s’il allait souffrir de ma mort - et ça je n’en étais pas sûr - je savais aussi que ça ne durerait pas. Alors que moi, mon addiction à lui était bien trop forte...
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OUTFIT + Oui. Je savais clairement ce que j’avais fait. J'avais été pleinement conscient de mes actes en vendant les petits camarade de King. Mais ça avait été le prix à payer pour sa sécurité. Si les flics n’étaient pas venus me voir avec toutes les preuves qui incriminaient l’homme que j’aimais dans l’assassinat de celui que j’avais aimé…. non je n’aurais jamais rien dit. J’aurais fermé ma bouche pour toujours et ce même sous la torture, je ne les aurais pas vendu. Mais ces preuves avaient suffit à me faire parler. Parce que je voulais pas qu’on touche à celui que j’aimais. Battez moi, rabaissez moi plus bas que terre, mais mon dieu, ne touchez pas à King. Mais je connaissais aussi parfaitement les conséquences de cet acte. Je ne cherchais pas à les fuir. Justement, je les acceptais pleinement. La mort de l’accueillais à bras ouverts. Mais lui semblait vouloir savoir. IL voulait connaître mes motivations, mais moi, je restais fermé. Je ne voulais pas qu’il recule. Qu'il regrette son geste. Je préférais qu’il remette en doute tout ce que nous avions pu être, tout ce que j’avais pu ressentir à son égart. Je préférais passer pour le connard avide de fric et de pouvoir que King ait à douter sur l’issue de cette scène. J’avais même fini par récupérer ses poignets pour enrouler ses longs doigt autour de ma gorge. Tout comme avant. Tout comme ses fois où il m’avait étrangler pour répondre à nos pulsions sexuelles malsaines. Aujourd’hui ce n’était pas sexuellement parlant. Aujourd’hui, c’était pour des fins plus tragiques. je fixais mon homme laissant mes mains lourdement le long de mon corps, attendant la sentence finale. Je fermais mes paupières, mais la suite me pris de cours quand je sentis Ling poussé tout mon corps jusqu’à ce que mon dos heurte brutalement la surface d’un mur. J’eus un gémissement de alors que je regardais le plus âgé me reposer la même question. Je le fixais presque effrayé, j’étais à sa merci et je ne savais pas ce qu’il allait faire de moi. Mais je n’eus pas le temps de répondre qu’il vint planter ses crocs dans ma lèvre. J’eus un cri incontrolé alors que mes mains étaient allé se débattre contre le torse de mon amant pour qu’il cesse, mais c’était bien inutile et bientot je sentais le goût si particulier du sang innonder ma bouche alors que mes larmes avaient perlé le long de mes mes joues. C’est quand il se décida à me lâcher que je le regardais, mes yeux embués, sans un liquide chaud couler le long de mon menton. Finalement je me résilais. Je lui cédais. Comme j’étais bien faible face à l’homme que j’aimais. C’était pour toi. Ils t’avaient King. Je tournais ma tête pour cracher au sol le sang qui se cumulait dans ma bouche. Les flics que tu avais tué Maverick. j’avais commencé à pleurer malgré moi parce que dans le fond, tout était de ma faute. C’était eux ou toi. Je pouvais pas me résilier à vivre dans un monde sans toi King. Et maintenant c’était lui qui vivrais sans moi, mais moi, je savais que s’il allait souffrir de ma mort - et ça je n’en étais pas sûr - je savais aussi que ça ne durerait pas. Alors que moi, mon addiction à lui était bien trop forte...(c) DΛNDELION
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Re: AU - The end of the line (kiêm ♡) | Mar 12 Fév - 20:13
OUTFIT + l’échec de cette relation te faisait mal, plus que tu ne l’aurais jamais pensé. jusqu’à maintenant, tu avais toujours dit et maintenu que s’il devenait une menace pour le gang et pour toi, tu le tuerais sans hésitation. pourtant, alors que tu es devant lui, alors que tu as tes doigts enroulés autour de son cou, tu n’arrives pas à te résoudre à l’étrangler, à le tuer. tu le regardes sans comprendre ce qui lui était passé par la tête pour qu’il vous balance. c’est pour ça que tu le plaques violemment contre le mur, une seule main sur ce cou blanc que tu as tant de fois serré pour vos plaisirs sexuels. mais cette fois-ci ce n’est absolument pas parce que tu as envie de le baiser. ce soir c’est parce que tu veux des réponses. tu es encore plus froid que d’ordinaire, et tu plantes sans même réfléchir tes dents dans sa lèvre. tu veux lui faire mal, tu veux qu’il souffre et qu’il plie. c’est comme ça qu’est votre relation avec liêm. tu donnes les ordres et il obéit. tu n’as pas une once d’affection pour lui, enfin c’est ce que tu penses. sans dire que tu l’aimes, parce que tu ne veux pas te l’avouer, tu l’apprécies ce mec. plus que tu ne le voudrais d’ailleurs. tu sens ses mains sur ton torse alors qu’il essaie de se débattre et ça ne fait qu’augmenter ta colère et ton envie de le briser. tu mords encore plus fort jusqu’à ce que le sang, son sang, se mélange à ta salive. tu restes encore quelques secondes, la chair entre tes dents avant de le lâcher. tu lèches le liquide rouge, en effaçant toute trace qui maculait ta bouche. tu plantes ton regard dans le sien ignorant totalement les larmes qui perlent à ses yeux. tu te fous de ça, tu veux simplement la réponse à ta question. et elle arrive. sauf que ça ne te satisfait pas. liêm a vendu les stags pour toi, parce qu’il ne voulait pas que les flics sachent que tu avais tué son mari. rien que d’entendre son prénom te met dans une rage pas possible. tu le lâches pour venir écraser ton poing sur sa pommette. c’était bien la première fois que tu le frappais. tu avais des désirs et des fantasmes sexuels bizarres mais jamais tu n’avais levé la main sur lui de quelque manière que ce soit. pourtant ce soir c’est le cas. ce soir tu l’as frappé aussi fort que tu aurais pu frapper un ennemi du gang. tu n’accordes plus aucun regard à la pute alors que tu t’éloignes de lui. « un monde sans moi ? putain mais ça vient de quel film de merde cette réplique ? » tu es méprisant. tu te fous totalement de ses sentiments alors que tu sais qu’il t’aime. tu l’as compris depuis des semaines et encore une fois aujourd’hui, tu en as eu la confirmation. « tu crois vraiment que j’aurai été en taule liêm ? sérieux, tu me prends pour qui ? » tu ne serais jamais passé par la case prison parce que tu avais des relations, de l’argent. « j’aurais juste eu à donner quelques billets et tout aurait été oublié. » tu finis par le regarder à nouveau, le fusillant du regard. « mais à cause de toi. à cause de ton incapacité à te la fermer, tout les stags sont dans la merde. » tu le reprends par le cou, serrant un peu plus que tout à l’heure. « dis pas que tu l’as fait pour moi. c’est parce que t’avais mauvaise conscience d’avoir accepté que je butte ton mari. » tu refuses de croire que c’est parce qu’il t’aime qu’il a été aussi stupide.
the end of the line
kiêm
OUTFIT + l’échec de cette relation te faisait mal, plus que tu ne l’aurais jamais pensé. jusqu’à maintenant, tu avais toujours dit et maintenu que s’il devenait une menace pour le gang et pour toi, tu le tuerais sans hésitation. pourtant, alors que tu es devant lui, alors que tu as tes doigts enroulés autour de son cou, tu n’arrives pas à te résoudre à l’étrangler, à le tuer. tu le regardes sans comprendre ce qui lui était passé par la tête pour qu’il vous balance. c’est pour ça que tu le plaques violemment contre le mur, une seule main sur ce cou blanc que tu as tant de fois serré pour vos plaisirs sexuels. mais cette fois-ci ce n’est absolument pas parce que tu as envie de le baiser. ce soir c’est parce que tu veux des réponses. tu es encore plus froid que d’ordinaire, et tu plantes sans même réfléchir tes dents dans sa lèvre. tu veux lui faire mal, tu veux qu’il souffre et qu’il plie. c’est comme ça qu’est votre relation avec liêm. tu donnes les ordres et il obéit. tu n’as pas une once d’affection pour lui, enfin c’est ce que tu penses. sans dire que tu l’aimes, parce que tu ne veux pas te l’avouer, tu l’apprécies ce mec. plus que tu ne le voudrais d’ailleurs. tu sens ses mains sur ton torse alors qu’il essaie de se débattre et ça ne fait qu’augmenter ta colère et ton envie de le briser. tu mords encore plus fort jusqu’à ce que le sang, son sang, se mélange à ta salive. tu restes encore quelques secondes, la chair entre tes dents avant de le lâcher. tu lèches le liquide rouge, en effaçant toute trace qui maculait ta bouche. tu plantes ton regard dans le sien ignorant totalement les larmes qui perlent à ses yeux. tu te fous de ça, tu veux simplement la réponse à ta question. et elle arrive. sauf que ça ne te satisfait pas. liêm a vendu les stags pour toi, parce qu’il ne voulait pas que les flics sachent que tu avais tué son mari. rien que d’entendre son prénom te met dans une rage pas possible. tu le lâches pour venir écraser ton poing sur sa pommette. c’était bien la première fois que tu le frappais. tu avais des désirs et des fantasmes sexuels bizarres mais jamais tu n’avais levé la main sur lui de quelque manière que ce soit. pourtant ce soir c’est le cas. ce soir tu l’as frappé aussi fort que tu aurais pu frapper un ennemi du gang. tu n’accordes plus aucun regard à la pute alors que tu t’éloignes de lui. « un monde sans moi ? putain mais ça vient de quel film de merde cette réplique ? » tu es méprisant. tu te fous totalement de ses sentiments alors que tu sais qu’il t’aime. tu l’as compris depuis des semaines et encore une fois aujourd’hui, tu en as eu la confirmation. « tu crois vraiment que j’aurai été en taule liêm ? sérieux, tu me prends pour qui ? » tu ne serais jamais passé par la case prison parce que tu avais des relations, de l’argent. « j’aurais juste eu à donner quelques billets et tout aurait été oublié. » tu finis par le regarder à nouveau, le fusillant du regard. « mais à cause de toi. à cause de ton incapacité à te la fermer, tout les stags sont dans la merde. » tu le reprends par le cou, serrant un peu plus que tout à l’heure. « dis pas que tu l’as fait pour moi. c’est parce que t’avais mauvaise conscience d’avoir accepté que je butte ton mari. » tu refuses de croire que c’est parce qu’il t’aime qu’il a été aussi stupide.(c) DΛNDELION
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Re: AU - The end of the line (kiêm ♡) | Dim 17 Fév - 2:50
OUTFIT + Le sang coula le long de mon mon menton alors que je me débattais pour que mon amant me lâche. Il voulait sa réponse et il l’aurait. J’aurais pu lui mentir, hurler que j’avais fait ça par pur intérêt pour rendre la chose plus facile. Mais j’étais si faible devant l’homme que j’aimais. Parce que depuis qu’il était entré dans ma vie, je n’avais plus vu que lui. King mon roi, celui qui ne m’avait jamais soufflé le moindre mot d’amour. Mais le fait était que ses actes avaient toujours plus montrer son attachement à moi que ses paroles, et je m’en foutais qu’il me dise ces paroles. Maverick les avait tant de fois lancer en l’air sans les penser que ces mots avaient perdu tout leur sens.Et alors qu je lui abalançais tout, la rage de mon amant se fit incontrôlable et c’est comme ça que je me reçus un coup de poing sur la joue. Ce fut tellement imprévisible que ça m’en coupa le souffle et mon corps était parti sur le côté tant King avait mis de force dans son coup. La douleur me cloua sur place alors que je portais ma main ma joue, complètement sous le choc. Alors s’était ainsi ? Lui aussi venait de se rabaisser à me battre ? Encore une fois je terminais comme ça ? Battu par l’homme que j'aimais ? Je relevais mon regard, embué de larmes mais surtout pétrifié de peur, traumatisé par ce que Maverick avait pu me faire subir se son vivant. Je sentais d’ailleurs quelques gouttes de sang rouler le long de ma joue. Ses paroles furent cruelles, sans pitié, digne de King. Je serrai les dents alors que je le fixais. Même ton argent n’aurait pas pu y changer King, je ne suis pas stupide, avais-je craché froidement. J’en ai rien à foutre des Stags, qu’ils crèvent tous en au taule. Alors qu’il repris mon cou, sa prise était plus forte. Mes larmes coulaient le long de mes joues. Dieu que je l’aimais. Dieu que je le détestais à cet instant. C’était comme si ce qu’on avait vécu avait cessé d’exister et je lui en voulais. Plus que tout je m’en voulais de m’être attaché à un homme si cruel. J’avais été si stupide, maintenant je me sacrifiais pour lui, pour rien. Alors je me débattais comme un fou entre ses mains. Pourtant j’étais faible, si faible. Puis je sentis un cadre photo sur le mur. Sans réfléchir alors que King m’étranglait je pétais le verre avec mon poing, pour récupérer un morceau de verre. J’aurais pu blesser King, mais non. Rien tout ça, ce bout de verre, je vins le planter brutalement dans mon avant-bras. King ne regretterai pas ma mort, je le savais bien, je voulais croire qu’il en avait quelque chose à faire mais ce n’était pas le cas. Et moi je l’aimais, dieu que je l’aimais, il était tout ma vie, et il serait la cause ma mort. Je souris tristement pris entre douleur et humiliation. Je bougeais le bout de verre pour continuer de m’entailler l’avant-bras et le charcuter comme il fallait. J’avais fixé tout le long, dans un murmure étouffé je dis tout bas. Qu’est-ce que tu vas faire mon roi ? Derniers instants ensemble et je lui désobéissait, mais les règles avaient changé, il avait levé la main sur moi. Toutes les règles avaient changé alors je désobéissais.
the end of the line
kiêm
OUTFIT + Le sang coula le long de mon mon menton alors que je me débattais pour que mon amant me lâche. Il voulait sa réponse et il l’aurait. J’aurais pu lui mentir, hurler que j’avais fait ça par pur intérêt pour rendre la chose plus facile. Mais j’étais si faible devant l’homme que j’aimais. Parce que depuis qu’il était entré dans ma vie, je n’avais plus vu que lui. King mon roi, celui qui ne m’avait jamais soufflé le moindre mot d’amour. Mais le fait était que ses actes avaient toujours plus montrer son attachement à moi que ses paroles, et je m’en foutais qu’il me dise ces paroles. Maverick les avait tant de fois lancer en l’air sans les penser que ces mots avaient perdu tout leur sens.Et alors qu je lui abalançais tout, la rage de mon amant se fit incontrôlable et c’est comme ça que je me reçus un coup de poing sur la joue. Ce fut tellement imprévisible que ça m’en coupa le souffle et mon corps était parti sur le côté tant King avait mis de force dans son coup. La douleur me cloua sur place alors que je portais ma main ma joue, complètement sous le choc. Alors s’était ainsi ? Lui aussi venait de se rabaisser à me battre ? Encore une fois je terminais comme ça ? Battu par l’homme que j'aimais ? Je relevais mon regard, embué de larmes mais surtout pétrifié de peur, traumatisé par ce que Maverick avait pu me faire subir se son vivant. Je sentais d’ailleurs quelques gouttes de sang rouler le long de ma joue. Ses paroles furent cruelles, sans pitié, digne de King. Je serrai les dents alors que je le fixais. Même ton argent n’aurait pas pu y changer King, je ne suis pas stupide, avais-je craché froidement. J’en ai rien à foutre des Stags, qu’ils crèvent tous en au taule. Alors qu’il repris mon cou, sa prise était plus forte. Mes larmes coulaient le long de mes joues. Dieu que je l’aimais. Dieu que je le détestais à cet instant. C’était comme si ce qu’on avait vécu avait cessé d’exister et je lui en voulais. Plus que tout je m’en voulais de m’être attaché à un homme si cruel. J’avais été si stupide, maintenant je me sacrifiais pour lui, pour rien. Alors je me débattais comme un fou entre ses mains. Pourtant j’étais faible, si faible. Puis je sentis un cadre photo sur le mur. Sans réfléchir alors que King m’étranglait je pétais le verre avec mon poing, pour récupérer un morceau de verre. J’aurais pu blesser King, mais non. Rien tout ça, ce bout de verre, je vins le planter brutalement dans mon avant-bras. King ne regretterai pas ma mort, je le savais bien, je voulais croire qu’il en avait quelque chose à faire mais ce n’était pas le cas. Et moi je l’aimais, dieu que je l’aimais, il était tout ma vie, et il serait la cause ma mort. Je souris tristement pris entre douleur et humiliation. Je bougeais le bout de verre pour continuer de m’entailler l’avant-bras et le charcuter comme il fallait. J’avais fixé tout le long, dans un murmure étouffé je dis tout bas. Qu’est-ce que tu vas faire mon roi ? Derniers instants ensemble et je lui désobéissait, mais les règles avaient changé, il avait levé la main sur moi. Toutes les règles avaient changé alors je désobéissais.(c) DΛNDELION
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