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(+18) i can't do this without you (+) minsang.
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Re: (+18) i can't do this without you (+) minsang. | Mar 14 Mai - 4:50 Citer EditerSupprimer
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when i'm around slow dancing in the dark. don't follow me, you'll end up in my arms. |
et il se remémore, de retour dans les années du lycée.
la salle de sport était si silencieuse, et il y faisait si frais par rapport à la chaleur du soleil en extérieur... c'était super agréable. luan en profitait alors pour se désaltérer en attrapant sa bouteille d'eau avant d'aller ranger le reste du matériel dans le local pour les balles et les chasubles. il pensait enfin à autre chose, il n'arrivait pas à oublier totalement les événements mais passer un peu de temps privilégié avec ce garçon qu'est minsang lui faisait un bien fou. il avait posé un regard sur sa silhouette plus loin qui rangeait les plots et luan se rendait bien compte qu'il était spécial pour lui. ses joues avaient prit une légère teinte... il était toutes ses premières fois, il était aussi la source de ses envies interdites. même si minsang n'avait aucune relation définie.... luan savait parfaitement qu'il l'aimait bien plus qu'il ne le devrait. son coeur s'emballait à nouveau alors, toujours dans la fuite, le chinois détourne le regard et opte pour le visage de l'indifférence.
et il avait pu maintenir le cap jusqu'à sentir deux bas l'entourer, un menton se poser sur son épaule et son souffle rebondir contre l'épiderme de son cou. minsang avait cette faculté, ce véritable don de le rendre fou ; il venait de frissonner et de se tendre un peu. mais luan profitait du moindre geste attentionné que lui donnait le plus grand, il se contentait de ce qu'il lui donnait mais souvent, le coréen le surprenait à lui donner bien plus qu'il ne le demandait. parfois luan se demandait comment minsang le percevait, est-ce qu'il n'était réellement qu'une pulsion sexuelle à ses yeux? une fois tombé sur les tapis de gymnastique, luan se sentait si petit dans les bras du coréen. il l'enveloppait et il se disait que rien ne pouvait lui arriver... enfin rien sauf un éventuel arrêt cardiaque, les joues de nouveau empourprées. après quelques minutes dans ses bras, luan se retourne, posant ses mains de chaque côté du visage de minsang. il regarde quelques secondes son visage, comme si ses yeux étaient capable de lui faire passer un message avant de fondre sur ses lèvres. il ne réfléchit plus, il l'embrasse d'une tout autre façon, se donnant encore une fois à ce garçon qu'il désire atrocement. tu m'as manqué minsang..., finissait-il par dire en reculant pour le regarder à nouveau, se perdant dans l’immensité de ses grands yeux brillants.
la salle de sport était si silencieuse, et il y faisait si frais par rapport à la chaleur du soleil en extérieur... c'était super agréable. luan en profitait alors pour se désaltérer en attrapant sa bouteille d'eau avant d'aller ranger le reste du matériel dans le local pour les balles et les chasubles. il pensait enfin à autre chose, il n'arrivait pas à oublier totalement les événements mais passer un peu de temps privilégié avec ce garçon qu'est minsang lui faisait un bien fou. il avait posé un regard sur sa silhouette plus loin qui rangeait les plots et luan se rendait bien compte qu'il était spécial pour lui. ses joues avaient prit une légère teinte... il était toutes ses premières fois, il était aussi la source de ses envies interdites. même si minsang n'avait aucune relation définie.... luan savait parfaitement qu'il l'aimait bien plus qu'il ne le devrait. son coeur s'emballait à nouveau alors, toujours dans la fuite, le chinois détourne le regard et opte pour le visage de l'indifférence.
et il avait pu maintenir le cap jusqu'à sentir deux bas l'entourer, un menton se poser sur son épaule et son souffle rebondir contre l'épiderme de son cou. minsang avait cette faculté, ce véritable don de le rendre fou ; il venait de frissonner et de se tendre un peu. mais luan profitait du moindre geste attentionné que lui donnait le plus grand, il se contentait de ce qu'il lui donnait mais souvent, le coréen le surprenait à lui donner bien plus qu'il ne le demandait. parfois luan se demandait comment minsang le percevait, est-ce qu'il n'était réellement qu'une pulsion sexuelle à ses yeux? une fois tombé sur les tapis de gymnastique, luan se sentait si petit dans les bras du coréen. il l'enveloppait et il se disait que rien ne pouvait lui arriver... enfin rien sauf un éventuel arrêt cardiaque, les joues de nouveau empourprées. après quelques minutes dans ses bras, luan se retourne, posant ses mains de chaque côté du visage de minsang. il regarde quelques secondes son visage, comme si ses yeux étaient capable de lui faire passer un message avant de fondre sur ses lèvres. il ne réfléchit plus, il l'embrasse d'une tout autre façon, se donnant encore une fois à ce garçon qu'il désire atrocement. tu m'as manqué minsang..., finissait-il par dire en reculant pour le regarder à nouveau, se perdant dans l’immensité de ses grands yeux brillants.
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Re: (+18) i can't do this without you (+) minsang. | Mer 15 Mai - 11:44 Citer EditerSupprimer
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et il se remémore, de retour dans les années du lycée.
Ce que nous étions. Ce que nous étions faisait partie de ces choses qui n’avaient pas de noms. Pas d'appellation. Rien de tout cela. Ca dépassait la simple amitié. Sans pour être un couple. Mais nous n’étions pas de étrangers l’un pour l’autre, ou un simple plan cul regulier. C’était plus. Tellement plus. C’était bien ça le plus effrayant pour moi. Je ne pouvais pas être en couple. Pas avec la voie que j’avais choisi. Je devais déjà faire attention en ce qui concernait mes préférences sexuelles, alors les couples, on allait plutôt éviter de jouer avec le feu. Et pourtant de cet être solitaire je n’arrivais pas à m’éloigner. Je n’arrivais pas à prendre une distance entre lui et moi. C’était impossible. C’était bien trop fort pour que j’y résiste ou que j’en ai la simple volonté. Je savais ce que je ressentais pour lui. Je le savais très bien même. Mais dès qu’il s'agissait de le dire, ma voix commençait à dérailler et je ne pouvais plus le dire. C'était trop pour moi. Cette relation c'était trop. Et pour pourtant je ne voulais pas que ça s’arrête.
Je le sentais dans mes bras. Il me semblait si petit Luan. Si chétif. Si fragile. Dieu que je voulais le protéger de cette saloperie de monde. Détruire l’actuel pour en créer où il n’y aurait que lui et moi, et personne d’autres. Utopiste, je savais bien que c’était impossible, improbable. Allongés sur les tapis de sport, je venais naturellement humer l’odeur de ses cheveux. Déposer quelque tendre baisers sur sa nuque. Je me sentais bien, je me sentais si bien. Et alors qu’il se retourna pour prendre mon visage entre ses mains si délicates, je ne pus m’empêcher de sourire tendrement. Son regard est si expressif et pendant ses quelques secondes. Le mien lui hurle pour répondre. Je t’aime. Je t’aime Wei Luan, plus que ma propre vie. Et pourtant, le silence régnait ici. Ces quelques paroles seront bien vite enfouies en moi, oubliées, mais jamais complètement. Se cachant sous les non-dits et les actes manqués, derrière ce que nous n’acceptions pas tous les deux. Nos lèvres se pressèrent les uns contre les autres, dans un baiser bien plus significatif, désespéré, affamé. il y avait tant à dire en un seul baiser. Il se recula et je me perdis dans son regard. Tu m’as manqué aussi Luan les doigts se serrèrent contre sa taille, venant le rapprocher un peu plus de moi. Je veux le sentir, ne plus le lâcher. Ce garçon si particulier à mon coeur, à ma vie. A toutes ces premières partagées ensemble. Tous instants que nous avions offerts l’un à l’autre. Et à personne d’autre. Je déteste ne pas pouvoir te prendre dans mes bras... Je laissais un suspens, glissant doucement mes doigts dans son dos, glissant quelques phalanges sous son tee-shirt. ... ou te toucher. Luan, il m’attirait. Physiquement, mentalement, tout en en lui m’attirait. Et je ne pouvais pas me contenter du minimum. Je le voulais, totalement. Mo nez frôla le sien. Faute de se dire les choses, encore une fois, nos actes seraient toujours plus porteur de sens.
Ce que nous étions. Ce que nous étions faisait partie de ces choses qui n’avaient pas de noms. Pas d'appellation. Rien de tout cela. Ca dépassait la simple amitié. Sans pour être un couple. Mais nous n’étions pas de étrangers l’un pour l’autre, ou un simple plan cul regulier. C’était plus. Tellement plus. C’était bien ça le plus effrayant pour moi. Je ne pouvais pas être en couple. Pas avec la voie que j’avais choisi. Je devais déjà faire attention en ce qui concernait mes préférences sexuelles, alors les couples, on allait plutôt éviter de jouer avec le feu. Et pourtant de cet être solitaire je n’arrivais pas à m’éloigner. Je n’arrivais pas à prendre une distance entre lui et moi. C’était impossible. C’était bien trop fort pour que j’y résiste ou que j’en ai la simple volonté. Je savais ce que je ressentais pour lui. Je le savais très bien même. Mais dès qu’il s'agissait de le dire, ma voix commençait à dérailler et je ne pouvais plus le dire. C'était trop pour moi. Cette relation c'était trop. Et pour pourtant je ne voulais pas que ça s’arrête.
Je le sentais dans mes bras. Il me semblait si petit Luan. Si chétif. Si fragile. Dieu que je voulais le protéger de cette saloperie de monde. Détruire l’actuel pour en créer où il n’y aurait que lui et moi, et personne d’autres. Utopiste, je savais bien que c’était impossible, improbable. Allongés sur les tapis de sport, je venais naturellement humer l’odeur de ses cheveux. Déposer quelque tendre baisers sur sa nuque. Je me sentais bien, je me sentais si bien. Et alors qu’il se retourna pour prendre mon visage entre ses mains si délicates, je ne pus m’empêcher de sourire tendrement. Son regard est si expressif et pendant ses quelques secondes. Le mien lui hurle pour répondre. Je t’aime. Je t’aime Wei Luan, plus que ma propre vie. Et pourtant, le silence régnait ici. Ces quelques paroles seront bien vite enfouies en moi, oubliées, mais jamais complètement. Se cachant sous les non-dits et les actes manqués, derrière ce que nous n’acceptions pas tous les deux. Nos lèvres se pressèrent les uns contre les autres, dans un baiser bien plus significatif, désespéré, affamé. il y avait tant à dire en un seul baiser. Il se recula et je me perdis dans son regard. Tu m’as manqué aussi Luan les doigts se serrèrent contre sa taille, venant le rapprocher un peu plus de moi. Je veux le sentir, ne plus le lâcher. Ce garçon si particulier à mon coeur, à ma vie. A toutes ces premières partagées ensemble. Tous instants que nous avions offerts l’un à l’autre. Et à personne d’autre. Je déteste ne pas pouvoir te prendre dans mes bras... Je laissais un suspens, glissant doucement mes doigts dans son dos, glissant quelques phalanges sous son tee-shirt. ... ou te toucher. Luan, il m’attirait. Physiquement, mentalement, tout en en lui m’attirait. Et je ne pouvais pas me contenter du minimum. Je le voulais, totalement. Mo nez frôla le sien. Faute de se dire les choses, encore une fois, nos actes seraient toujours plus porteur de sens.
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Re: (+18) i can't do this without you (+) minsang. | Jeu 16 Mai - 18:03 Citer EditerSupprimer
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et il se remémore, de retour dans les années du lycée.
il avait une fois de plus cédé au désir et à l'attirance que créait en lui minsang. le coréen pouvait se montrer brusque et dur avec lui mais au fond de lui, luan savait qu'il était toujours doux et attentionné, parce que même quand il pouvait se montrer fâché, s'était souvent pour cacher son affection et ses inquiétudes derrière un masque. c'était une relation basée sur les non-dits, sur le secrets de sentiments... mais pour luan, minsang était comme son âme-soeur car... oui il n'avait pas besoin de parler pour comprendre comment il était, ce qu'il ressentait, ce dont il avait besoin... et par dessus tout, il avait la sensation que c'était réciproque. c'était juste plus simple de ne pas donner de nom à leur relations... et là tout de suite, réfugié dans les bras du plus grand... luan se rend compte d'à quel point il est important pour lui, d'à quel point il compte sur lui. ses mots arrivaient toujours à atteindre le chinois derrière ses barrières et ses masques, à lui arracher de vrai rires et de véritables paroles. mais cette fois il l'avait fait rougir. c'est possible d'être aussi important pour manquer au grand et magnifique kim minsang? woah... je me sens honoré., disait-il sur un ton plaisantin, même un peu ironique. il aimait le taquiner, même s'il savait qu'il finissait toujours par le payer d'une façon ou d'une autre. le petit lycéen avait même déjà attrapé les mains du coréen, ayant peur qu'il se mette à le chatouiller par vengeance.
il affiche un petit sourire un peu plus franc et aguicheur, il se permet de montrer qu'il va un peu mieux grâce à lui. après tout le chinois n'aimait pas paraître faible, il le savait : il devait se ressaisir, les choses ne changeront pas... sa mère ne reviendrait pas. il devait profiter de l'instant présent, de tout ce qu'il aimait et qui le faisait vibrer. minsang par exemple. je plaisante, m'en veux pas pour une fois... et puis... tu peux me toucher là... il n'y a personne., ajoutait-il en prenant les grandes mains de minsang entre les siennes pour les poser lui même sur son torse. même si leur relation pourrait paraître être uniquement liée au plaisir charnel, en réalité les deux étaient très complices... un véritable petit couple si on oubliait qu'ils ne l'étaient pas réellement. même que parfois, luan était jaloux et possessif, bien qu'il refusait toujours de l'admettre... le coréen est très populaire alors c'est vite ennuyant d'entendre les autres glousser à chaque fois qu'il passe. mais en même temps il se sentait encore plus chanceux d'être dans ses bras là l'instant présent. tu sais, des fois je te vois me reluquer. t'es même pas discret... je vais finir par avoir ton fanclub de groupies qui me harcèle parce que tu préfère me regarder plutôt qu'elles., disait-il sur le ton de la plaisanterie, tout en marquant bel et bien son territoire à sa manière. il lui sourit et vient encore poser un baiser chaste contre les lèvres du lycéen.
il avait une fois de plus cédé au désir et à l'attirance que créait en lui minsang. le coréen pouvait se montrer brusque et dur avec lui mais au fond de lui, luan savait qu'il était toujours doux et attentionné, parce que même quand il pouvait se montrer fâché, s'était souvent pour cacher son affection et ses inquiétudes derrière un masque. c'était une relation basée sur les non-dits, sur le secrets de sentiments... mais pour luan, minsang était comme son âme-soeur car... oui il n'avait pas besoin de parler pour comprendre comment il était, ce qu'il ressentait, ce dont il avait besoin... et par dessus tout, il avait la sensation que c'était réciproque. c'était juste plus simple de ne pas donner de nom à leur relations... et là tout de suite, réfugié dans les bras du plus grand... luan se rend compte d'à quel point il est important pour lui, d'à quel point il compte sur lui. ses mots arrivaient toujours à atteindre le chinois derrière ses barrières et ses masques, à lui arracher de vrai rires et de véritables paroles. mais cette fois il l'avait fait rougir. c'est possible d'être aussi important pour manquer au grand et magnifique kim minsang? woah... je me sens honoré., disait-il sur un ton plaisantin, même un peu ironique. il aimait le taquiner, même s'il savait qu'il finissait toujours par le payer d'une façon ou d'une autre. le petit lycéen avait même déjà attrapé les mains du coréen, ayant peur qu'il se mette à le chatouiller par vengeance.
il affiche un petit sourire un peu plus franc et aguicheur, il se permet de montrer qu'il va un peu mieux grâce à lui. après tout le chinois n'aimait pas paraître faible, il le savait : il devait se ressaisir, les choses ne changeront pas... sa mère ne reviendrait pas. il devait profiter de l'instant présent, de tout ce qu'il aimait et qui le faisait vibrer. minsang par exemple. je plaisante, m'en veux pas pour une fois... et puis... tu peux me toucher là... il n'y a personne., ajoutait-il en prenant les grandes mains de minsang entre les siennes pour les poser lui même sur son torse. même si leur relation pourrait paraître être uniquement liée au plaisir charnel, en réalité les deux étaient très complices... un véritable petit couple si on oubliait qu'ils ne l'étaient pas réellement. même que parfois, luan était jaloux et possessif, bien qu'il refusait toujours de l'admettre... le coréen est très populaire alors c'est vite ennuyant d'entendre les autres glousser à chaque fois qu'il passe. mais en même temps il se sentait encore plus chanceux d'être dans ses bras là l'instant présent. tu sais, des fois je te vois me reluquer. t'es même pas discret... je vais finir par avoir ton fanclub de groupies qui me harcèle parce que tu préfère me regarder plutôt qu'elles., disait-il sur le ton de la plaisanterie, tout en marquant bel et bien son territoire à sa manière. il lui sourit et vient encore poser un baiser chaste contre les lèvres du lycéen.
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Re: (+18) i can't do this without you (+) minsang. | Ven 17 Mai - 0:49 Citer EditerSupprimer
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et il se remémore, de retour dans les années du lycée.
J’aimais le sentir dans mes bras. J’aimais le garder contre moi. Parce que pendant quelques instants je pouvais prétendre qu’il n’y avait plus que nous deux sur cette terre. Et ainsi je pouvais le protéger de tous ces imbéciles qui le faisaient souffrir. Et je voulais que ça reste comme ça, pour toujours. Lui et moi, dans notre bulle. A ses paroles, j’ouvris grand la bouche. Voilà que monsieur me taquinait. Je voulais riposter, mais pas le temps qu’il ‘avait attrapé mes mains, comprenant sans parler sur j’allais le punir en le chatouillant. Il m’agaçait quand il savait ce que j’avais en tête sans même le dire à haute voix. Alors je me contentai de répondre avec un rictus amusé. Oui le grand Kim Min Sang te tolère plus que le reste de la populace, estime toi heureux, tu es supérieur à tous ces pécores, sauf que je n’avais pas gardé mon sérieux et je m’étais mis à rire franchement. Même s’il n’y avait que lui. Pour moi il n’y avait eu jamais que lui dans mon monde.
Alors que son rictus se change doucement, je me mordillai la lèvre inférieure en le regardant. Tsss, t’es un sale gosse Luan, je l’avais lancé amusé, grand sourire étirer mes lippes. Mais alors qu’il vient poser mes mains sur son torse, je levai les sourcils. C’est une proposition ? Je ne pouvais pas mentir. Je désirais Luan. Il était le seul à m’avoir fait cet effet. Pourtant beaucoup me prêtaient un réputation de tombeur. Que je couchais avec bon nombre de filles, comme ils savaient à quel point ils avaient tords. Il n’y avait que les mecs qui me plaisaient. Un seul même. Celui que j’avais sous les yeux. Des fois je me plaisais à me dire même “mon mec”, bien que ce n’était souvent qu’une idée balayée aussi rapidement de mon esprit. Ses paroles m’arrachaient un sourire satisfait.Oups, c’est pas ma faute si le nichons c’est pas mon truc. J’aimais sa façon de souligner que je ne regardais que lui. Si étais-je pour réfuter ? C’était un fait, de tous les garçons, il n’y avait que lui qui me faisait de l’effet. Et je ne fréquentais que lui de toute façon. Alors qu’il prend un temps pour m’embrasser j’en profitais pour glisser mes mains sur ses épaules et passer au dessus de lui. Mes mains de chaque côté de son visage, j’avais un sourire bien mauvais sur mes lèvres. Je crois que c’est toi qui ne fait que de me reluquer Luan. Je me penchais venant frôler son nez du mien. Mais ça tombe bien... je laissais la phrase en suspens pour venir frôler ses lèvre sans pour autant les embraser. Parce j’ne vois que toi Luan. Et sans attendre, je me laissais aller à l’embrasser comme j’en avais eu envie depuis le début de la journée. Depuis que je l’avais vu en fait. C’était bien plus que de pulsions. C’était bien plus que des hormones d’adolescent. Ou un simple caprice. C’était ainsi depuis le premier regard. Les premières paroles. Les premiers instants ensemble. Les premières fois. C’était spécial. Le chinois était spécial pour moi, il l’avait toujours été.
J’aimais le sentir dans mes bras. J’aimais le garder contre moi. Parce que pendant quelques instants je pouvais prétendre qu’il n’y avait plus que nous deux sur cette terre. Et ainsi je pouvais le protéger de tous ces imbéciles qui le faisaient souffrir. Et je voulais que ça reste comme ça, pour toujours. Lui et moi, dans notre bulle. A ses paroles, j’ouvris grand la bouche. Voilà que monsieur me taquinait. Je voulais riposter, mais pas le temps qu’il ‘avait attrapé mes mains, comprenant sans parler sur j’allais le punir en le chatouillant. Il m’agaçait quand il savait ce que j’avais en tête sans même le dire à haute voix. Alors je me contentai de répondre avec un rictus amusé. Oui le grand Kim Min Sang te tolère plus que le reste de la populace, estime toi heureux, tu es supérieur à tous ces pécores, sauf que je n’avais pas gardé mon sérieux et je m’étais mis à rire franchement. Même s’il n’y avait que lui. Pour moi il n’y avait eu jamais que lui dans mon monde.
Alors que son rictus se change doucement, je me mordillai la lèvre inférieure en le regardant. Tsss, t’es un sale gosse Luan, je l’avais lancé amusé, grand sourire étirer mes lippes. Mais alors qu’il vient poser mes mains sur son torse, je levai les sourcils. C’est une proposition ? Je ne pouvais pas mentir. Je désirais Luan. Il était le seul à m’avoir fait cet effet. Pourtant beaucoup me prêtaient un réputation de tombeur. Que je couchais avec bon nombre de filles, comme ils savaient à quel point ils avaient tords. Il n’y avait que les mecs qui me plaisaient. Un seul même. Celui que j’avais sous les yeux. Des fois je me plaisais à me dire même “mon mec”, bien que ce n’était souvent qu’une idée balayée aussi rapidement de mon esprit. Ses paroles m’arrachaient un sourire satisfait.Oups, c’est pas ma faute si le nichons c’est pas mon truc. J’aimais sa façon de souligner que je ne regardais que lui. Si étais-je pour réfuter ? C’était un fait, de tous les garçons, il n’y avait que lui qui me faisait de l’effet. Et je ne fréquentais que lui de toute façon. Alors qu’il prend un temps pour m’embrasser j’en profitais pour glisser mes mains sur ses épaules et passer au dessus de lui. Mes mains de chaque côté de son visage, j’avais un sourire bien mauvais sur mes lèvres. Je crois que c’est toi qui ne fait que de me reluquer Luan. Je me penchais venant frôler son nez du mien. Mais ça tombe bien... je laissais la phrase en suspens pour venir frôler ses lèvre sans pour autant les embraser. Parce j’ne vois que toi Luan. Et sans attendre, je me laissais aller à l’embrasser comme j’en avais eu envie depuis le début de la journée. Depuis que je l’avais vu en fait. C’était bien plus que de pulsions. C’était bien plus que des hormones d’adolescent. Ou un simple caprice. C’était ainsi depuis le premier regard. Les premières paroles. Les premiers instants ensemble. Les premières fois. C’était spécial. Le chinois était spécial pour moi, il l’avait toujours été.
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Re: (+18) i can't do this without you (+) minsang. | Ven 17 Mai - 15:49 Citer EditerSupprimer
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et il se remémore, de retour dans les années du lycée.
ses mauvaises idées et les souvenirs de sa mère enfouit dans un coin de son petit crâne, le chinois désirait désespérément oublier, juste l'espace d'un instant ne pas y penser, s'occuper l'esprit. même si minsang était la parfaite distraction qui arrivait à point nommé, il se sentait un peu mal... il avait l'impression de l'utiliser pour se sentir mieux... il était si égoïste qu'il s'en voulait au fond, et il pensait qu'il allait le regretter. pourtant il essayait de sourire, de montrer une autre tête que celle d'un pauvre garçon tout droit sorti d'un enterrement. il se disait qu'au delà de l'utiliser, il lui faisait surtout plaisir, il allait lui retirer sa boule d'inquiétude. même si ce n'était qu'une trentaine de minutes, il allait arrêter de l'inquiéter pour rien, de le rendre triste. il allait le faire plus pour minsang que pour lui même, c'était un cadeau pour le remercier d'être toujours là pour lui. tu sais déjà que je suis honoré du simple fait que tes yeux se posent sur mon visage sans me dévisager., répondait-il alors que ses yeux s'élargissait quand le coréen se mit à rire. ce rire... il venait de faire battre le coeur du chinois, et ça l'avait surprit car pour une fois... il en avait pleinement conscience. depuis quand est-ce que son rire lui faisait quelque chose? il s'était senti légèrement rougir, se rendant compte qu'il n'était définitivement pas aussi insensible qu'il voulait le faire croire. il avait alors joué la carte de la provocation, posant ses mains sur son torse avec un petit air coquin sur le visage. luan avait alors affiché un sourire plus sincère à sa remarque. j'ai jamais prétendu être sage... et prend le comme tu veux? c'est toi le maître non?, ajoutait-il avec un air à la fois complice et malicieux sur le visage.
son doux baiser posé sur ses lèvres charnues, il en avait profité pour inverser les positions et se mettre au dessus. luan le regarde avec ses grands yeux brillants et ses joues très visiblement rosies. le chinois restait immobile à tout ce que disait et faisait le plus grand, comme envoûté. il ne comprenait pas vraiment pourquoi il agissait comme ça d'un seul coup... d'habitude il n'en disait pas autant, il n'était pas aussi attentionné. est-ce qu'il essayait de faire chavirer le coeur du rouquin? de le rendre faible, de le faire tomber amoureux de lui? beaucoup de questions venaient de se bousculer dans sa tête, et ça lui faisait un peu peur rien que d'y penser. mais peut-être qu'il n'avait pas tord, et si c'était ce que voulait minsang...? pour luan c'était sûr... il était son premier amour, toutes ses premières fois, le seul à qui il pourrait tout confier, pour qu'il il pourrait tout sacrifier. par définition, il était l'amour incarné, non? le mot premier amour résonne dans la tête du chinois et ses joues se teintent d'un rouge encore plus visible, les larmes aux yeux, le coeur qui tambourine dans sa poitrine, le rouquin passe ses bras autour du cou du plus grand. il ne veut pas le laisser partir, il lui répond bien plus que d'habitude. il en a marre de se poser trop de question... et si c'est un jeu alors il avait déjà perdu. il ne veut plus regretter. ne m'oublie jamais, minsang... et j'espère ne jamais te décevoir..., disait-il alors que son regard se poser sur ceux du brun. c'était sa plus grande peur.
ses mauvaises idées et les souvenirs de sa mère enfouit dans un coin de son petit crâne, le chinois désirait désespérément oublier, juste l'espace d'un instant ne pas y penser, s'occuper l'esprit. même si minsang était la parfaite distraction qui arrivait à point nommé, il se sentait un peu mal... il avait l'impression de l'utiliser pour se sentir mieux... il était si égoïste qu'il s'en voulait au fond, et il pensait qu'il allait le regretter. pourtant il essayait de sourire, de montrer une autre tête que celle d'un pauvre garçon tout droit sorti d'un enterrement. il se disait qu'au delà de l'utiliser, il lui faisait surtout plaisir, il allait lui retirer sa boule d'inquiétude. même si ce n'était qu'une trentaine de minutes, il allait arrêter de l'inquiéter pour rien, de le rendre triste. il allait le faire plus pour minsang que pour lui même, c'était un cadeau pour le remercier d'être toujours là pour lui. tu sais déjà que je suis honoré du simple fait que tes yeux se posent sur mon visage sans me dévisager., répondait-il alors que ses yeux s'élargissait quand le coréen se mit à rire. ce rire... il venait de faire battre le coeur du chinois, et ça l'avait surprit car pour une fois... il en avait pleinement conscience. depuis quand est-ce que son rire lui faisait quelque chose? il s'était senti légèrement rougir, se rendant compte qu'il n'était définitivement pas aussi insensible qu'il voulait le faire croire. il avait alors joué la carte de la provocation, posant ses mains sur son torse avec un petit air coquin sur le visage. luan avait alors affiché un sourire plus sincère à sa remarque. j'ai jamais prétendu être sage... et prend le comme tu veux? c'est toi le maître non?, ajoutait-il avec un air à la fois complice et malicieux sur le visage.
son doux baiser posé sur ses lèvres charnues, il en avait profité pour inverser les positions et se mettre au dessus. luan le regarde avec ses grands yeux brillants et ses joues très visiblement rosies. le chinois restait immobile à tout ce que disait et faisait le plus grand, comme envoûté. il ne comprenait pas vraiment pourquoi il agissait comme ça d'un seul coup... d'habitude il n'en disait pas autant, il n'était pas aussi attentionné. est-ce qu'il essayait de faire chavirer le coeur du rouquin? de le rendre faible, de le faire tomber amoureux de lui? beaucoup de questions venaient de se bousculer dans sa tête, et ça lui faisait un peu peur rien que d'y penser. mais peut-être qu'il n'avait pas tord, et si c'était ce que voulait minsang...? pour luan c'était sûr... il était son premier amour, toutes ses premières fois, le seul à qui il pourrait tout confier, pour qu'il il pourrait tout sacrifier. par définition, il était l'amour incarné, non? le mot premier amour résonne dans la tête du chinois et ses joues se teintent d'un rouge encore plus visible, les larmes aux yeux, le coeur qui tambourine dans sa poitrine, le rouquin passe ses bras autour du cou du plus grand. il ne veut pas le laisser partir, il lui répond bien plus que d'habitude. il en a marre de se poser trop de question... et si c'est un jeu alors il avait déjà perdu. il ne veut plus regretter. ne m'oublie jamais, minsang... et j'espère ne jamais te décevoir..., disait-il alors que son regard se poser sur ceux du brun. c'était sa plus grande peur.
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Re: (+18) i can't do this without you (+) minsang. | Dim 19 Mai - 6:29 Citer EditerSupprimer
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et il se remémore, de retour dans les années du lycée.
J’aimais ce sentiment. J’en étais même complètement accro. j’aimais ce sentiment que nous étions seulement tous les deux. Prisonnier de notre petit monde, mais plus libre que jamais nous ne pourrions l’être. Loin de l’influence de nos parents. Nous étions nous, vraiment nous, et non les rôles qu’on avait ordonné de jouer. J’aimais ces moments simples, sans prétentions. Dans ces instants pour statut social cessait complètement d’exister pour ne laisser place qu’à deux jeunes gens, deux garçons qui se plaisaient sincèrement et qui vivaient leurs premiers émois ensemble. Il me captivait luan, il avait toujours su le faire. il semblait si différents de tous ces gens qui étaient juste formatés pour être tous les même. Pâles copies d’un idéal irréalisable. Mais pas lui. Lui était différent. Et je m’étais attaché à lui, plus que de raison. Je ne devais pas être amoureux. Je ne le devais pas. Je ne pouvais pas, pas avec la voie que j’avais choisi. pourtant j’en arrivais à un stade, c’était juste plus fort que moi. Pourtant je me voilais la face, préférant jouer à l’autruche avec mes sentiments. Qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de toi Luan ? Simple rhétorique, la mutinerie sur le faciès de mon presque petit-ami suffisait pour répondre à cette question.
Mes paroles, emplies de sincérité. Luan, je le voulais, je ne voyais que lui. Je me fichais bien des filles, même des autres garçons à vrai dire. Et si on me prêtait une réputation de tombeur, c’était bien loin d’être le cas. La vérité ? Je passais bien plus de temps à m’entraîner, à apprendre des chorégraphies qu’à aller courir les jupons ou les soirées. Ces quelques instants avec le chinois, il était le seul à le partager avec moi. Les réponses étaient là devant mes yeux, pourtant je refusais toujours de le dire à haute voix. Comme ayant peur de rompre l’instant, briser tout ce qu’il y avait entre nous. Pourtant tout était là. Et encore le fond de mes pensées - alors je m’étais placé au dessus de son corps bien frêle - je mis à le pense, tout bas pour ne pas en prendre trop conscience, cet amour, ce premier amour si fort, si passionnel. Les bras autour de moi je le fixais, le coeur qui perdait doucement la raison et tous mes sens en éveil. je secouais la tête à ses derniers propos. Jamais Luan, jamais, mes doigts se glissèrent dans ses cheveux, alors que mes lèvres se posèrent sur son front avec tendresse. je ne te lâcherai pas luan. jamais. alors reste. Parce qu’il comptait s’éloigner, pas dans cet instant. Mes lèvres descendirent pour se poser sur son nez et ses lèvres, un peu plus appuyé encore, ma langue sur ses lèvres quémandant plus encore. le feu mis aux poudres tout ces sentiments que je peinais à canaliser. Alors, si je ne lui disais pas, alors je veillerais qu’il le ressente dans chaque de mes gestes, chacun de de mes baisers, chacunes de mes caresses.
J’aimais ce sentiment. J’en étais même complètement accro. j’aimais ce sentiment que nous étions seulement tous les deux. Prisonnier de notre petit monde, mais plus libre que jamais nous ne pourrions l’être. Loin de l’influence de nos parents. Nous étions nous, vraiment nous, et non les rôles qu’on avait ordonné de jouer. J’aimais ces moments simples, sans prétentions. Dans ces instants pour statut social cessait complètement d’exister pour ne laisser place qu’à deux jeunes gens, deux garçons qui se plaisaient sincèrement et qui vivaient leurs premiers émois ensemble. Il me captivait luan, il avait toujours su le faire. il semblait si différents de tous ces gens qui étaient juste formatés pour être tous les même. Pâles copies d’un idéal irréalisable. Mais pas lui. Lui était différent. Et je m’étais attaché à lui, plus que de raison. Je ne devais pas être amoureux. Je ne le devais pas. Je ne pouvais pas, pas avec la voie que j’avais choisi. pourtant j’en arrivais à un stade, c’était juste plus fort que moi. Pourtant je me voilais la face, préférant jouer à l’autruche avec mes sentiments. Qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de toi Luan ? Simple rhétorique, la mutinerie sur le faciès de mon presque petit-ami suffisait pour répondre à cette question.
Mes paroles, emplies de sincérité. Luan, je le voulais, je ne voyais que lui. Je me fichais bien des filles, même des autres garçons à vrai dire. Et si on me prêtait une réputation de tombeur, c’était bien loin d’être le cas. La vérité ? Je passais bien plus de temps à m’entraîner, à apprendre des chorégraphies qu’à aller courir les jupons ou les soirées. Ces quelques instants avec le chinois, il était le seul à le partager avec moi. Les réponses étaient là devant mes yeux, pourtant je refusais toujours de le dire à haute voix. Comme ayant peur de rompre l’instant, briser tout ce qu’il y avait entre nous. Pourtant tout était là. Et encore le fond de mes pensées - alors je m’étais placé au dessus de son corps bien frêle - je mis à le pense, tout bas pour ne pas en prendre trop conscience, cet amour, ce premier amour si fort, si passionnel. Les bras autour de moi je le fixais, le coeur qui perdait doucement la raison et tous mes sens en éveil. je secouais la tête à ses derniers propos. Jamais Luan, jamais, mes doigts se glissèrent dans ses cheveux, alors que mes lèvres se posèrent sur son front avec tendresse. je ne te lâcherai pas luan. jamais. alors reste. Parce qu’il comptait s’éloigner, pas dans cet instant. Mes lèvres descendirent pour se poser sur son nez et ses lèvres, un peu plus appuyé encore, ma langue sur ses lèvres quémandant plus encore. le feu mis aux poudres tout ces sentiments que je peinais à canaliser. Alors, si je ne lui disais pas, alors je veillerais qu’il le ressente dans chaque de mes gestes, chacun de de mes baisers, chacunes de mes caresses.
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Re: (+18) i can't do this without you (+) minsang. | Dim 19 Mai - 19:39 Citer EditerSupprimer
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et il se remémore, de retour dans les années du lycée.
ses regards, ses gestes et ses mots. il n'en fallait pas plus pour faire sombrer luan dans ses bras, pour lui rappeler à quel point il pouvait être dépendant de sa présence, de ses attention. et encore une fois, il fermait les yeux sur ce qu'il ressentait parce qu'il avait peur de mettre un mot sur leur relation, parce qu'il avait peur que cela finisse par ternir tout ce qu'ils avaient ... mais il avait aussi terriblement peur des conséquences de ces sentiments, de devoir remplir un rôle, d'avoir des responsabilités, de devoir se justifier. c'était plus simple comme ça, et puis... au final les sentiments qu'il ne le veuille ou non, ils étaient là. il se l'avouait intérieurement, il le savait : il était amoureux de minsang, il n'y avait que lui qui comptait ; il était si spécial, si unique... et le chinois se sentait si heureux, si chanceux. oui il le savait : mais ne pas le dire était important. tout enfouir et garder pour lui, rien que pour lui. pourtant là, il en disait un peu plus, plus que d'habitude, sans doute était-il trop fatigué de se voiler la face, et ses émotions étaient chamboulées, ça n'aidait en rien. il ne regrettait pas de lui dire certaines choses... mais il avait peur d'en dire trop. la voix de minsang résonna et le sortit de ses pensées. tu fais ce que tu veux de moi, maître... je t'appartiens., disait-il sur le ton de la plaisanterie, alors qu'il faisait un petit sourire coquin accompagné de son légendaire clin d'oeil.
il aimait le taquiner mais plus que tout il aimait voir cette lueur de désir s'installer dans le fond des yeux du coréen ; il aimait lui plaire, oui. mais au delà de ça, il aimait le voir devenir doux, affectueux et particulièrement protecteur avec lui, il se sentait privilégié et à l'abris de tout. et luan répond à la moindre de ses affections sans broncher, il est même en demande et n'attendais parfois que ça, d'avoir un moment privilégié avec lui... encore une fois c'était sans doute égoïste... mais ça lui faisait du bien de se sentir aimé, de penser à autre chose, d'évacuer toute sa tristesse au travers de ses gestes de tendresse. je reste, minsang... je reste... les mains du rouquin s'étaient alors posées sur les hanches du garçon au dessus de lui, il répondait à ses baisers qui devenaient de plus en plus fougueux ; ses phalanges glissaient contre le tissu pour rejoindre l'épiderme chaud du plus grand et se faufiler sous son tshirt, caressant la moindre parcelle de la peau de son dos. luan sentait son coeur tambouriner si fort dans sa poitrine qu'il avait l'impression que le coréen pourrait l'entendre sans même avoir à coller sa tête contre sa cage thoracique. il entrouvre ses lèvres pour répondre à son baiser passionné comme il le demandait alors qu'il posait son autre main contre la joue du plus grand. il s'offrait à lui à nouveau, encore une fois, il pourrait paraître si faible de craquer aussi facilement et d'être autant un garçon facile mais... c'était minsang, c'était l'amour véritable, quelque chose d'unique, qui fait vibrer... et on ne vibre qu'une fois dans sa vie, il le savait... il ne voulait rien regretter, ne pas louper un seul moment avec lui. et dans un soupire il avait murmuré un je t'aime à peine audible sans même s'en rendre compte.
ses regards, ses gestes et ses mots. il n'en fallait pas plus pour faire sombrer luan dans ses bras, pour lui rappeler à quel point il pouvait être dépendant de sa présence, de ses attention. et encore une fois, il fermait les yeux sur ce qu'il ressentait parce qu'il avait peur de mettre un mot sur leur relation, parce qu'il avait peur que cela finisse par ternir tout ce qu'ils avaient ... mais il avait aussi terriblement peur des conséquences de ces sentiments, de devoir remplir un rôle, d'avoir des responsabilités, de devoir se justifier. c'était plus simple comme ça, et puis... au final les sentiments qu'il ne le veuille ou non, ils étaient là. il se l'avouait intérieurement, il le savait : il était amoureux de minsang, il n'y avait que lui qui comptait ; il était si spécial, si unique... et le chinois se sentait si heureux, si chanceux. oui il le savait : mais ne pas le dire était important. tout enfouir et garder pour lui, rien que pour lui. pourtant là, il en disait un peu plus, plus que d'habitude, sans doute était-il trop fatigué de se voiler la face, et ses émotions étaient chamboulées, ça n'aidait en rien. il ne regrettait pas de lui dire certaines choses... mais il avait peur d'en dire trop. la voix de minsang résonna et le sortit de ses pensées. tu fais ce que tu veux de moi, maître... je t'appartiens., disait-il sur le ton de la plaisanterie, alors qu'il faisait un petit sourire coquin accompagné de son légendaire clin d'oeil.
il aimait le taquiner mais plus que tout il aimait voir cette lueur de désir s'installer dans le fond des yeux du coréen ; il aimait lui plaire, oui. mais au delà de ça, il aimait le voir devenir doux, affectueux et particulièrement protecteur avec lui, il se sentait privilégié et à l'abris de tout. et luan répond à la moindre de ses affections sans broncher, il est même en demande et n'attendais parfois que ça, d'avoir un moment privilégié avec lui... encore une fois c'était sans doute égoïste... mais ça lui faisait du bien de se sentir aimé, de penser à autre chose, d'évacuer toute sa tristesse au travers de ses gestes de tendresse. je reste, minsang... je reste... les mains du rouquin s'étaient alors posées sur les hanches du garçon au dessus de lui, il répondait à ses baisers qui devenaient de plus en plus fougueux ; ses phalanges glissaient contre le tissu pour rejoindre l'épiderme chaud du plus grand et se faufiler sous son tshirt, caressant la moindre parcelle de la peau de son dos. luan sentait son coeur tambouriner si fort dans sa poitrine qu'il avait l'impression que le coréen pourrait l'entendre sans même avoir à coller sa tête contre sa cage thoracique. il entrouvre ses lèvres pour répondre à son baiser passionné comme il le demandait alors qu'il posait son autre main contre la joue du plus grand. il s'offrait à lui à nouveau, encore une fois, il pourrait paraître si faible de craquer aussi facilement et d'être autant un garçon facile mais... c'était minsang, c'était l'amour véritable, quelque chose d'unique, qui fait vibrer... et on ne vibre qu'une fois dans sa vie, il le savait... il ne voulait rien regretter, ne pas louper un seul moment avec lui. et dans un soupire il avait murmuré un je t'aime à peine audible sans même s'en rendre compte.
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Re: (+18) i can't do this without you (+) minsang. | Jeu 23 Mai - 10:30 Citer EditerSupprimer
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et il se remémore, de retour dans les années du lycée.
L’indescriptible. C’était ce qui aurait pu le mieux décrire tout ce qu’il se passait. Aussi bien à cet instant que tout ce que j’avais pu vivre avec le rouquin. De cette rencontre. A cette relation qui s’était installé entre nous. Cette complicité que nous avions entre nous. C’était une chose que s’était doucement développée mais à la fois si rapidement. Tout entre nous semblait naturel. Je n’avais pas à me forcer avec Luan. Je n’avais pas à faire semblait. Il n’y avait pas faux semblant, pas de masque, rien. A l’inverse, je savais que lui aussi était pleinement lui dès que les yeux indiscrets n’étaient plus là. Dans sa triste, sa joie et ses désirs. C’était un Luan authentique que j’avais. Et la personne qui l’était me rendait de plus en plus accroc chaque jour. Je me moquais bien des autres. Car les autres avaient cessé d’exister à partir du moment ou les lèvres du chinois s’étaient posé sur les miennes. Me faisant développé tous ces sentiments à son égard. Tout ce qu’on se dirait jamais. Tout ce que je m’appliquerai à garder au fond de mon coeur, bien enfoui, bien caché. Pourtant cette tendresse je ne pouvais pas la dissimuler. Cela était impossible. Irréalisable. Je ris doucement à ses paroles, plaisanterie, mais pourtant je ne pus m'empêcher de sussurer. Fais attention je pourrais y prendre goût Luan.
Et doucement mon regard se fait plus lourd de sens, plus sombre. Tout cet échange était si révélateur de notre relation. Subtil mélange de complicité unique, d’amitié, d’attirance incontrôlé, d’un désir de protection et de ces quelques sentiments amoureux. Le tout saupoudré de non-dits. Pourtant tous actes le montrait, cet amour. Le premier amour. Intense. Réel. Je ne voulais pas le lâcher. Je pouvais pas le lâcher, l’abandonner. Je voulais croire que rien n’entamerai nôtre nous. Je voulais croire que cet amour serait le dernier. Car Luan n’était personne d’autre et ce sentiment dans poitrine, rien serait si fort. Je voulais le croire. Non, je le savais. Je le sentais dans mes entrailles qu’il était ce que certains pouvaient appeler l’âme soeur. Il me donnait ce sentiment d’être complet, d’être à la maison. Alors non je ne le lâcherai pas. Jamais. Et ce même si ces paroles ne trouveraient jamais une oreille pour les entendre. Mon corps frémit sous les doigts du plus vieux. Électrisé de leur contact si familier mais qui n’avait de cesse de me faire cet effet dévastateur. Nos lèvres se scellèrent de plus en plus en plus. A chaquefois un peu plus fort, un peu plus affamé. Désirant plus de contact. Mon corps se colla naturellement un peu plus à celui de mon aîné, mon palitant affolé et mes sens encore plus. Je voulais qu’il le sente. Tout monde amour, ton mon désir. Tout ce que je pourrai faire pour lui. Tous ces non-dits qui s’imprimaient par des actes. Je finis par me redresser doucement. Admirant le rouquin allongé sur les tapis de sport, parfaitement soumis. Et mon sourire se fit carnassier. Je glissais mes doigts sous son haut, frôlant sa peau d’albâtre. Je les remontais dans un geste lent profitant pour caresser épiderme délicat que je connaissais pourtant par coeur. Ce tissus ainsi retiré je passais ma langue sur mes lèvres. Oui, j’allais le manger. Ici-même. Je ne me fais pas prier pour réclamer mon dû, venant glisser mes lèvres dans sa nuque. Plus gourmand, plus primaire, mes lippes goutèrent sa peau. Embrassant, léchant, mordillant. Je n’étais pas lassé de ce goût. Je n’étais pas lassé du corps de mon ami, mon amant, ma moitié, l’homme que j’aimais.
L’indescriptible. C’était ce qui aurait pu le mieux décrire tout ce qu’il se passait. Aussi bien à cet instant que tout ce que j’avais pu vivre avec le rouquin. De cette rencontre. A cette relation qui s’était installé entre nous. Cette complicité que nous avions entre nous. C’était une chose que s’était doucement développée mais à la fois si rapidement. Tout entre nous semblait naturel. Je n’avais pas à me forcer avec Luan. Je n’avais pas à faire semblait. Il n’y avait pas faux semblant, pas de masque, rien. A l’inverse, je savais que lui aussi était pleinement lui dès que les yeux indiscrets n’étaient plus là. Dans sa triste, sa joie et ses désirs. C’était un Luan authentique que j’avais. Et la personne qui l’était me rendait de plus en plus accroc chaque jour. Je me moquais bien des autres. Car les autres avaient cessé d’exister à partir du moment ou les lèvres du chinois s’étaient posé sur les miennes. Me faisant développé tous ces sentiments à son égard. Tout ce qu’on se dirait jamais. Tout ce que je m’appliquerai à garder au fond de mon coeur, bien enfoui, bien caché. Pourtant cette tendresse je ne pouvais pas la dissimuler. Cela était impossible. Irréalisable. Je ris doucement à ses paroles, plaisanterie, mais pourtant je ne pus m'empêcher de sussurer. Fais attention je pourrais y prendre goût Luan.
Et doucement mon regard se fait plus lourd de sens, plus sombre. Tout cet échange était si révélateur de notre relation. Subtil mélange de complicité unique, d’amitié, d’attirance incontrôlé, d’un désir de protection et de ces quelques sentiments amoureux. Le tout saupoudré de non-dits. Pourtant tous actes le montrait, cet amour. Le premier amour. Intense. Réel. Je ne voulais pas le lâcher. Je pouvais pas le lâcher, l’abandonner. Je voulais croire que rien n’entamerai nôtre nous. Je voulais croire que cet amour serait le dernier. Car Luan n’était personne d’autre et ce sentiment dans poitrine, rien serait si fort. Je voulais le croire. Non, je le savais. Je le sentais dans mes entrailles qu’il était ce que certains pouvaient appeler l’âme soeur. Il me donnait ce sentiment d’être complet, d’être à la maison. Alors non je ne le lâcherai pas. Jamais. Et ce même si ces paroles ne trouveraient jamais une oreille pour les entendre. Mon corps frémit sous les doigts du plus vieux. Électrisé de leur contact si familier mais qui n’avait de cesse de me faire cet effet dévastateur. Nos lèvres se scellèrent de plus en plus en plus. A chaquefois un peu plus fort, un peu plus affamé. Désirant plus de contact. Mon corps se colla naturellement un peu plus à celui de mon aîné, mon palitant affolé et mes sens encore plus. Je voulais qu’il le sente. Tout monde amour, ton mon désir. Tout ce que je pourrai faire pour lui. Tous ces non-dits qui s’imprimaient par des actes. Je finis par me redresser doucement. Admirant le rouquin allongé sur les tapis de sport, parfaitement soumis. Et mon sourire se fit carnassier. Je glissais mes doigts sous son haut, frôlant sa peau d’albâtre. Je les remontais dans un geste lent profitant pour caresser épiderme délicat que je connaissais pourtant par coeur. Ce tissus ainsi retiré je passais ma langue sur mes lèvres. Oui, j’allais le manger. Ici-même. Je ne me fais pas prier pour réclamer mon dû, venant glisser mes lèvres dans sa nuque. Plus gourmand, plus primaire, mes lippes goutèrent sa peau. Embrassant, léchant, mordillant. Je n’étais pas lassé de ce goût. Je n’étais pas lassé du corps de mon ami, mon amant, ma moitié, l’homme que j’aimais.
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Re: (+18) i can't do this without you (+) minsang. | Mar 4 Juin - 8:59 Citer EditerSupprimer
nc-18 à partir de ce post.
ps. je change pour de la 1ère personne, je suis plus à l'aise ;;
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