Punition divine ! [ Leap rencontre Abel]
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Punition divine ! [ Leap rencontre Abel] | Sam 6 Avr - 16:48 Citer EditerSupprimer Punition divine ! L'inconnu qui vomit dans mon entrée.
C’était une soirée comme les autres. Le colocataire était parti, bouquet de fleurs à la main, se mettre dans le lit de cette femme plus jeune que lui qu’il couvrait de cadeaux depuis des semaines et pourtant ses yeux étaient bien plus chaleureux quand il regardait la photo de son ex-femme qu’il avait laissé dans le salon. Un peu pathétique tout ça. Même s’il n’atteignait nullement son niveau. En petite tenue, caraco dentelé et shorty, affalé sur le canapé, un paquet de chips à la main, un verre de vin dans l’autre, elle avait dû passer le plus claire de sa soirée à binge-watcher ce dernier show américain à la mode. Au moins, elle entraînait ses capacités linguistiques en anglais et puis elle n’était pas à se mettre mine dans un bar entouré d’inconnus qui ne comprendraient que plus tard et de manière plutôt douloureuse qu’elle n’appréciait que très peu les mains baladeuses. Une larme coula le long de sa joue devant la séparation du couple principal, un peu ridicule de pleurer pour ça quand elle ne versait même plus de larmes devant des cadavres d’enfant. Était-ce ainsi revenir dans la vraie vie ? N’être plus qu’une simple citoyenne ? Ou alors le rouge la rendait sensible. L’épisode suivant se lança. Deux heures du matin. Allait-elle vraiment ruiner ses heures de sommeil et sa santé sur cette écran de télévision ? Oui.
Ding dong.
Tous ses sens se mirent en alerte. Elle venait juste de voir l’heure qu’il était et on sonnait à la porte. Dans son esprit de militaire surentraînée cela ne signifiait qu’une seule chose : danger.
Ding dong. Ding dong. Diiiiiiiiiiiiiiiing ding ding ding ding dooooooooong.
On sonnait répétitivement. Serait-ce son colocataire qui revenait à cette heure-ci, rejeté et ayant trop bu pour composer son code ? Elle s’approcha doucement de la porte, verre toujours à la main qu’elle vide d’un cul sec, si on essayait de l’agresser il atterrirait directement sur la tête de la personne qui aimait déranger les citoyens innocents à cette heure-ci. Doucement, elle tourna la poignée, son corps tendu dans une position défensive. Coup sec, l’entrée fut grande ouverte, elle se tenait prête à frapper mais… Le vide faisait place devant elle.
Ses yeux rapidement descendirent vers la silhouette d’un inconnu qui entra, ou plutôt tomba, dans son appartement. Elle poussa et fit un bond en arrière pour éviter le jet d’un mélange de bile, d’alcool et d’un repas non-identifié que l’homme projeta sur l’entièreté du paillasson. Elle resta planté là, un instant, paralysée par l’étrangeté de la situation. Une seule expression lui vint :
« Mais bordel de merde !
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C’était une soirée comme les autres. Le colocataire était parti, bouquet de fleurs à la main, se mettre dans le lit de cette femme plus jeune que lui qu’il couvrait de cadeaux depuis des semaines et pourtant ses yeux étaient bien plus chaleureux quand il regardait la photo de son ex-femme qu’il avait laissé dans le salon. Un peu pathétique tout ça. Même s’il n’atteignait nullement son niveau. En petite tenue, caraco dentelé et shorty, affalé sur le canapé, un paquet de chips à la main, un verre de vin dans l’autre, elle avait dû passer le plus claire de sa soirée à binge-watcher ce dernier show américain à la mode. Au moins, elle entraînait ses capacités linguistiques en anglais et puis elle n’était pas à se mettre mine dans un bar entouré d’inconnus qui ne comprendraient que plus tard et de manière plutôt douloureuse qu’elle n’appréciait que très peu les mains baladeuses. Une larme coula le long de sa joue devant la séparation du couple principal, un peu ridicule de pleurer pour ça quand elle ne versait même plus de larmes devant des cadavres d’enfant. Était-ce ainsi revenir dans la vraie vie ? N’être plus qu’une simple citoyenne ? Ou alors le rouge la rendait sensible. L’épisode suivant se lança. Deux heures du matin. Allait-elle vraiment ruiner ses heures de sommeil et sa santé sur cette écran de télévision ? Oui.
Ding dong.
Tous ses sens se mirent en alerte. Elle venait juste de voir l’heure qu’il était et on sonnait à la porte. Dans son esprit de militaire surentraînée cela ne signifiait qu’une seule chose : danger.
Ding dong. Ding dong. Diiiiiiiiiiiiiiiing ding ding ding ding dooooooooong.
On sonnait répétitivement. Serait-ce son colocataire qui revenait à cette heure-ci, rejeté et ayant trop bu pour composer son code ? Elle s’approcha doucement de la porte, verre toujours à la main qu’elle vide d’un cul sec, si on essayait de l’agresser il atterrirait directement sur la tête de la personne qui aimait déranger les citoyens innocents à cette heure-ci. Doucement, elle tourna la poignée, son corps tendu dans une position défensive. Coup sec, l’entrée fut grande ouverte, elle se tenait prête à frapper mais… Le vide faisait place devant elle.
Ses yeux rapidement descendirent vers la silhouette d’un inconnu qui entra, ou plutôt tomba, dans son appartement. Elle poussa et fit un bond en arrière pour éviter le jet d’un mélange de bile, d’alcool et d’un repas non-identifié que l’homme projeta sur l’entièreté du paillasson. Elle resta planté là, un instant, paralysée par l’étrangeté de la situation. Une seule expression lui vint :
« Mais bordel de merde !
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Re: Punition divine ! [ Leap rencontre Abel] | Sam 6 Avr - 19:02 Citer EditerSupprimer
(( Punition Divine )) Tu prends cette mission ultra au sérieux, le messager de dieux, tu t'en vas de ce bar, payant cette bière avec un pourboire bien trop généreux ... Tu sais plus compter. Et tu pars, sonnant à quelques portes sur ton passage, accumulant les insultes de haine des gens que tu avais réveillé et les vents monumentaux de ceux impossible a réveillé ... Ton discours était mal formulé, pas clair. T'es un brouillon, t'es flou. Mais t'es heureux. Mais tu le sens, la redescends violente, l'air frai qui te fait tourner la tête, la nausée.... T'es un déchet. Et alors, ton doigt s’écrase sur cette sonnette ... Celle qui finira par réveiller ton impatience, tu insistes, ton doigt jouant sur le bouton comme un abrutis mort saoul. Au final ça t'amuse, comme un enfant qui joue avec un objet qui fait du bruit. La porte s'ouvre, a merde... T'avais oublié que tu étais devant une porte, ça te fais sursauter et ton estomac remonte dans ta trachée ... T'as gerbé, comme ça, d'un coup, tombant à genoux devant cette personne. T'es aussi saisi qu'elle, tu sais pas ce qu'il se passe. Tu restes la, sur le sol. Et sa voix te semble lointaine ? Bordel de merde ? Ce n'est pas très gentil. De ta main, tu viens essayer de frotter cette substance immonde sur le sol ... Plus de limites, les choses te semblent différentes. « Je ... Je suis désolé, vous m'avez fait peur .... Je ... J'ai vomi, je crois ? Je vais essuyer, je ne voulais pas vous ennuyer.... » Te rendant compte de ce que tu fais ... Ton visage se déforme de dégoût ... T'es vraiment con. Tu essuies ta main sur ton t-shirt en te redressant pour te lever. Les yeux explosé, le visage tiré. « Bonsoir ... Excusez-moi de vous déranger madamedemoiselle ... Je dois vous dire quelque chose d'important ... » Non Abel ... Ta gueule ... « Je vous ... Attendez ... Je sais plus. » Tu fronces les sourcils, tu touche plus rien, t'as oublié pourquoi t'était là. « S'il vous plaît ... Je peux utiliser votre salle de bain ? » Tu sais même plus ou t'habite ... | ( Pando ) |
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Re: Punition divine ! [ Leap rencontre Abel] | Dim 7 Avr - 0:46 Citer EditerSupprimer Punition divine ! L'inconnu qui vomit dans mon entrée. Un soupir passa ses lèvres. La main qui tenait le verre, après avoir hésité à se fracasser sur la tête du déchet en face d’elle, reposa le précieux matériau sur la petite commode de l’entrée. Elle passa derrière le jeune homme qui venait de s’incruster et de changer ses plans pour la soirée. D’un coup de pied plutôt violent, comme pour extérioriser sa frustration de ne pas foutre une raclée à ce connard, elle ferma la porte qui claqua derrière eux. Il lui faisait trop pitié pour qu’elle ne le foute dehors, et pourtant, il le méritait bien. Mais bon, c’était un mec bourré, couvert de vomi et apparemment incapable de se souvenir même de qui il était. Pour avoir été bien souvent dans cette situation, elle éprouvait une certaine empathie à son encontre. Elle s’inquiétait trop de son état si elle le jetait simplement dans la rue. Âme charitable et s’étant occupée d’être humain dans de pires états, elle allait lui permettre de se rafraîchir un peu et le balancerait à l’intérieur d’un taxi. La femme se planta à nouveau devant lui, bras croisés, elle le jugea de haut en bas.
« Déshabille toi. » lâcha-t-elle simplement.
Leurs regards se croisèrent et elle se rendit compte du peu de finesse de sa phrase. Elle s’empressa d’ajouter :
« Tu es couvert de vomi, je te fais pas entrer dans cet état. Je vais chercher de quoi nettoyer le cadeau que tu viens de me faire. Tu as de la chance d’être en si mauvaise disposition, je t’aurais bien réduit dans le même état que ce que tu as sorti. »
Elle fit glisser ses pantoufles sur le parquet et se dirigea vers un placard à quelques mètres. Elle en sortir un seau et une serpillière. Soudainement, une idée lui traversa la tête. Elle fit volte face et lui cria à la figure :
« Et garde ton caleçon ! »
Il y avait un avantage à être aussi confiante en ses aptitudes au combat. Aucune femme censée n’aurait invité un inconnu saoul à se déshabiller dans son entrée sans en souffrir les conséquences mais le principe, ici, et que c’était lui qui risquait de sentir passer ne serait-ce qu’une boutade à caractère sexuel. Bien que l’ex-militaire se demandait si cet homme était même capable de se souvenir de ce qui pendait à son entrejambe, à voir comment il n’avait pas hésité à se baigner dans son vomi, elle doutait qu’il n’arrive à se souvenir d’une quelconque réalité. C’était un peu drôle, de voir quelqu’un dans un état pire que le sien. Inquiétant et rassurant à la fois. Rassurée de savoir qu’elle n’était pas tombée au plus bas des entrailles puantes de l’humanité. Inquiétée par cet homme qui y avait plongé. Elle le jaugea une nouvelle fois du regard avant de lui tendre la serpillière avec un regard qui l’invitait à nettoyer ses conneries fissa fissa lui-même ou c’était lui qui allait lui servir de serpillière. Il était jeune, loin de l’adolescence, mais plus qu’elle. Qu’avait-il eu comme vie pour… Non. La fatigue lui fit oublier tout genre de questions, elle leva les yeux au ciel et soupira à nouveau.
« C’est quoi ton prénom ? Si tu t’en souviens encore ? »
Doo Leap, que la grâce de Dieu te bénisse pour ta patience et ta compassion.
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« Déshabille toi. » lâcha-t-elle simplement.
Leurs regards se croisèrent et elle se rendit compte du peu de finesse de sa phrase. Elle s’empressa d’ajouter :
« Tu es couvert de vomi, je te fais pas entrer dans cet état. Je vais chercher de quoi nettoyer le cadeau que tu viens de me faire. Tu as de la chance d’être en si mauvaise disposition, je t’aurais bien réduit dans le même état que ce que tu as sorti. »
Elle fit glisser ses pantoufles sur le parquet et se dirigea vers un placard à quelques mètres. Elle en sortir un seau et une serpillière. Soudainement, une idée lui traversa la tête. Elle fit volte face et lui cria à la figure :
« Et garde ton caleçon ! »
Il y avait un avantage à être aussi confiante en ses aptitudes au combat. Aucune femme censée n’aurait invité un inconnu saoul à se déshabiller dans son entrée sans en souffrir les conséquences mais le principe, ici, et que c’était lui qui risquait de sentir passer ne serait-ce qu’une boutade à caractère sexuel. Bien que l’ex-militaire se demandait si cet homme était même capable de se souvenir de ce qui pendait à son entrejambe, à voir comment il n’avait pas hésité à se baigner dans son vomi, elle doutait qu’il n’arrive à se souvenir d’une quelconque réalité. C’était un peu drôle, de voir quelqu’un dans un état pire que le sien. Inquiétant et rassurant à la fois. Rassurée de savoir qu’elle n’était pas tombée au plus bas des entrailles puantes de l’humanité. Inquiétée par cet homme qui y avait plongé. Elle le jaugea une nouvelle fois du regard avant de lui tendre la serpillière avec un regard qui l’invitait à nettoyer ses conneries fissa fissa lui-même ou c’était lui qui allait lui servir de serpillière. Il était jeune, loin de l’adolescence, mais plus qu’elle. Qu’avait-il eu comme vie pour… Non. La fatigue lui fit oublier tout genre de questions, elle leva les yeux au ciel et soupira à nouveau.
« C’est quoi ton prénom ? Si tu t’en souviens encore ? »
Doo Leap, que la grâce de Dieu te bénisse pour ta patience et ta compassion.
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Re: Punition divine ! [ Leap rencontre Abel] | Ven 17 Mai - 22:34 Citer EditerSupprimer
(( Punition Divine )) Oui évidemment le fait de vomir dans son entré et de t'en foutre partout ça, c'est un détail voyons ... Quelle ironie. Et tu essaies de comprendre bien tout ce qu'elle te dis ... Elle veut te transformer en vomi ? Tu regardes la flaque visqueuse à tes pieds et tu en tires une conclusion plutôt évidente ... Tu veux pas être du vomi. « Ah Euuh ... Ok, mais ne regarde pas alors » T'oublies la politesse, on est plus a ça près. Tu retires tes chaussures, t'es en galère totale, tu te bats avec ton haut, puis avec ton jean. Il y a des trou dedans et t'es appuyer contre la porte pour l’enlever et éviter de te coincer dedans, tout tes mouvement sont ralentis. Ensuite ... il te reste ton boxer, tu passes ton pouce sous l’élastique et tu te mets à réfléchir ... T'es pas trop sur de savoirs s'il est bon de montrer tes parties intimes à une inconnue, mais puisque le messie t'a amené ici ... HA, MAIS VOILÀ POURQUOI TU VENAIS !!! sauf que la belle prend les devant en t’annonçant de garder ton boxer avant que tu ne commences à retirer ton sou vêtement sous prétexte que nous sommes tous venu sur terre, totalement, a poil et qu'il n'y a donc aucun mal à se montrer nu. « Ha oui ... Ok » Que tu marmonnes en essayant de cacher ton corps comme tu peux. ... Comment t'en es arrivé la déjà ? Quand tu vas raconter ça à Evan il va encore se foutre de toi. Enfin ... si tu t'en rappelles D'un geste hésitant, tu t'empares de la serpillière qu'elle te tend, et tu la regardes avec cet air de chien battu qu'on voudrait abandonner sur le bord de la route ... Elle est fâchée sur toi et même si tu la connais pas, t'as aucune idée de pourquoi ça te chagrine autant ... Au point ou ça te donne envie de pleurer ... Et tu commences à frotter le sol avec tes yeux tout humides. Tout est plus intense quand on est dans un état comme le tiens. Évidement, t’étale plus que tu ne nettoies et ton regard vitreux d'une tristesse qui semble soudainement infinie est plongé sur la pagaille que tu as foutu. Et t'es là ... En calbute, en train de laver ton vomi. Tu renifles sans aucune élégance, retenant tes larmes totalement absurde et irrationnel. D'un mouvement lasse , tu rinçais la serpillière comme tu le pouvais pour revenir étaler ... Mais cette fois ça semblait nettoyer un peu plus aussi. Comment tu t'appelles ? Tu sembles réfléchir un instant, mais la réponse sort toute seule. « Je m'appelle Abel ... Je sais, c'est chelou, genre, c'est quoi ce nom ? Un nom pareil ça ne s'oublie pas ... » Et tu parles d'une petite voix de fragile. « Est ce que tu vas appeler la police ? Parce que la dernière fois, ils m'ont dit que s'il me retrouvait encore sans mes vêtements, j'allais passer la nuit au poste ... Et j'aime pas aller là-bas, y a jamais personne pour payer la caution. » Tu continuais d'essayer de nettoyer de ton mieux, dans des mouvements lents. « Je suis désolé ... Je ne voulais pas vomir... La, j'ai un peu froid quand même. » Tes tétons durs comme le rock et ta chair de poule pouvaient en témoigner. « Et j'ai faim. » | ( Pando ) |
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