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Blue Orphée - Le dernier degré du bonheur est l'absence de tout mal
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Blue Orphée - Le dernier degré du bonheur est l'absence de tout mal | Mer 24 Avr - 17:59 Citer EditerSupprimer
Blue Orphée
Le dernier degré du bonheur est l'absence de tout mal - Épicure
IDENTITY CARD |
Il parait que... absolute truth Orphée n'a jamais été pleinement satisfait de son prénom, demandant parfois à ce qu'on l'appelle par son prénom coréen. Si les filles peuvent trouver ce prénom inhabituel plus séduisant, il préfère tout de même le laisser de côté dans des situations plus sérieuses. Du signe Poissons dans l'astrologie occidentale, il est du signe du Cheval de métal dans l'astrologie chinoise, comme le chanteur Jay Chou et Nelson Mandela. Il n'est pas grand amateur de musique classique bien que cette dernière fasse partie des préférences de sa sœur Calypso, mais il trouve une grande élégance aux ballades, une balance rythmique agréable dans le rap, et un moyen d'extérioriser ses émotions dans le metal. Il montre toujours un côté très assuré de lui mais en cas de surcharge émotionnelle, il lui arrive d'aller s'asseoir dans un coin et de chantonner en couvrant ses oreilles, rituel qui ne le quitte plus depuis son enfance, après avoir reçu les insultes et parfois les coups de son père. Il n'est pas expressif vis à vis de ses émotions lorsqu'il est en public, au point qu'il est très difficile de l'apercevoir en train de pleurer. Même pour ses frères et ses sœurs, c'est quelque chose de rare. C'est un tombeur, mais un gentleman. Il n'est pas excessivement romantique dans le sens où il ne se promène pas avec des pétales de rose dans les poches mais il n'a pas pour seul but d'emmener les femmes dans son lit. Son animal préféré est le chien, un animal qu'il considère comme étant très loyal mais devenant craintif dès qu'on lève la main sur lui. Quand on s'en occupe correctement, il procure de la joie et un sentiment de satisfaction très fort qu'Orphée apprécie tout particulièrement. Il est beaucoup moins affectif envers les chats. Il s'est lui-même occupé de peindre les murs de la chambre de Calypso, dans la villa de Gangnam, en espérant que ses bonnes ondes la feraient venir plus vite. Malheureusement, cela n'a pas vraiment été le cas. Il lui arrive parfois d'être violent et d'en arriver aux mains, notamment avec ses frères, ce qu'il déteste car il le regrette amèrement après-coup. Lui qui a subi les coups et les injures, il ne veut pas que son père soit un modèle et qu'il reprenne tous ses mauvais comportements. absolute lie Orphée ne boit jamais pour oublier ses soucis et préfère simplement écouter de la musique pour se plonger dans un autre monde, il n'a jamais bu de toute sa vie et aime rester sobre, tel un souhait de chasteté vis à vis de l'alcool. Il se drogue, parce qu'il a assez d'argent pour se payer toutes les substances qu'il veut et il n'hésite pas à en consommer sans ménagement. C'est un moyen comme un autre de surmonter les mauvaises passes émotionnelles. Le jumeau de Calypso est son membre préféré de la famille, avec lequel il s'entend le mieux et partage le plus de choses, tandis que Calypso est celle avec qui il s'entend le moins. La benjamine, qui a trois ans de moins que lui, n'a jamais été proche et ne s'est jamais comportée de manière maternelle pour ses frères et sœurs. C'est pourquoi Orphée ne s'est jamais comporté de manière paternelle non plus. Il se moque de la protection des frères et sœurs Blue. Orphée, qui se rapproche beaucoup du Saint-Esprit, tient toujours un langage extrêmement correct auprès de tous. Dans les situations les plus difficiles et les plus tendues, il fait toujours preuve de beaucoup de bon sens et n'insulte pas gratuitement les gens. Il est donc possible de dire que ce jeune homme est la pureté incarnée, étant donné qu'il est même vierge et qu'il n'a jamais touché à ce qui se trouve entre ses deux hanches. | Dis nous qui tu es ! Orphée. Ou celui qui est descendu aux enfers avant d'en remonter encore plus fort, c'est au moins ce qu'il aimerait faire croire à tous ceux qu'il a l'occasion de croiser. C'est celui dont le caractère a été modelé par une enfance et une adolescence difficile. D'un naturel qui semble pourtant calme, Orphée n'est pas un homme à ennuyer. Les moindres mots déplacés ou les moindres insultes lui font sortir aisément les poings, tandis que le sang lui monte d'un bond à la tête. Ainsi, il ne prend pas facilement la critique, surtout lorsqu'elle est virulente ou malintentionnée. Mais le plus difficile pour lui est de retenir ses poings dans les disputes avec ses frères et sœurs. Il ne veut pas ressembler à son père. Au moins, lorsqu'il n'est pas en colère contre sa famille, il est d'un naturel assez tendre et affectueux. Sans doute que l'argent aide mais lorsque sa fratrie se comporte bien, il aime la récompenser comme il le peut. C'est aussi un moment pour se rassurer et être sûr qu'ils continueront à l'aimer encore malgré toutes les autres mauvaises décisions qu'il peut prendre dans la vie. Un moyen pour lui de compenser certains comportements irresponsables ou malveillants. Sans être extrêmement crédule, Orphée n'en reste pas moins un jeune homme naïf. Il a une bonne compréhension de ce monde mais prend parfois certaines choses au sérieux alors qu'elles ne sont que des blagues. Si les STAGS lui disaient aujourd'hui qu'il pouvait partir sans rien avoir de plus à leur donner, il serait presque prêt à les croire sur parole après un petit temps de réflexion. Ses intuitions lui permettent cependant de réussir à se débrouiller sans trop subir les arnaques des uns et des autres... Même s'il tombe parfois dans le panneau, ce qui peut expliquer pourquoi les placards de la cuisine de la villa sont pleins de gadgets parfois inutiles achetés au rabais. |
Min / Le perfil encore moi, du love
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Re: Blue Orphée - Le dernier degré du bonheur est l'absence de tout mal | Mer 24 Avr - 17:59 Citer EditerSupprimer
It's my life...
et là une petite citation...
eternally uc.
Parce que la vie tourne jusqu'à trouver sa fin, continuellement.
Parce que sa vie a commencé le 13 mars 1990 au Japon, dans la grande ville d'Hokkaido. Avait-il été désiré ? Oui, parce qu'il était le tout premier à naître dans la famille Blue, en plus d'être un petit garçon... Tout semblait presque trop parfait alors qu'Orphée se destinait à devenir le jeune prince de la famille, enfant roi promis à une grande et belle vie luxurieuse. Luxurieuse et grande, oui. Belle ? Quand les coups commencèrent à pleuvoir sur lui, tout comme les insultes de la part du géniteur, ce grand homme qui était pourtant censé faire de lui un prince... Il comprit que ce ne serait pas le cas tant qu'il serait auprès de lui. Son instinct lui avait fait signe. Il aurait eu envie de le voir sous un autre jour, de l'aduler comme un fils peut aduler son père, le prendre comme modèle...
Mais la violence.
Quand il ne recevait pas de coups, il ne recevait rien mais il se cachait parfois tout de même. Lorsque les claques et les poings n'étaient pas là, il y avait tout de même les mots. Et ça, depuis qu'Orphée le vivait, il était incapable de l'oublier et de se forger une nouvelle image de son père. Il était trop tard pour ça.
A l'école, Orphée n'était pas un mauvais élève mais les influences négatives qu'il subissait à la maison ne l'aidaient pas à s'en sortir.mieux. Il manquait de confiance en lui, à force d'entendre les commentaires négatifs de son père. Mais heureusement, sa première petite sœur était là pour être sa source de discussion dans les jours plus difficiles, mais aussi pour le remonter le moral grâce à l'amour qu'elle pouvait avoir pour lui. Au final, tous les deux étaient dans une relation fusionnelle malgré leurs trois ans d'écart. Elle était une des raisons de la force d'Orphée. Sa première raison, la première fille née dans la famille qu'il avait pu prendre dans ses petits bras. La première fille qu'il voulait protéger des coups de fouets et des marques que ces derniers laissaient. Avaient aussi laissé sur lui.
Il devait tous les sortir de là, les sauver de ce qu'il avait pu subir alors qu'il n'avait que quelques années. Il était à peine assez âgé pour s'occuper pleinement de lui-même, au final, et ne savait pas comment faire pour s'en sortir en dehors de la maison familiale après avoir grandi dans la richesse. Il avait bien appris des choses pendant ses études, lui qui voulait devenir diplomate et qui rêvait d'une grande vie, mais il avait pris la fuite. Il avait attrapé la main du jumeau de Calypso, de sa benjamine, et il les avait emmenés loin du danger. Au moins, il espérait qu'il l'avait fait et que la famille finirait par aller mieux, un jour.
Manquait Calypso.
Il avait voulu la prendre avec eux, mais il n'avait pas pu. Il n'avait pas pu la sortir de ce calvaire, la tirer de cet enfer. Et pourtant, il l'aimait... Orphée n'avait jamais eu envie de laisser la jeune fille derrière eux.
Mais la pression.
En s'enfuyant, ils n'avaient presque pu emporter aucun bagage concret derrière eux. Des vêtements, un peu de nourriture, une carte bancaire et du liquide, mais le reste ? Leurs papiers d'identité, des billets et des pièces. C'était bien beau, mais comment vivre sur le long terme dans de telles conditions ? Une chambre d'hôtel ne suffisait pas à s'occuper de tout le monde. La pression était intenable. Dans ces moments là, Orphée n'avait pas pleuré une seule fois devant son frère et sa sœur mais il avait déjà eu des excès de colère. Il avait pu compter sur sa benjamine pour le retenir de trop frapper le jumeau, mais les choses avaient été difficiles.
Et puis, était venu le jour de la négociation. Vivre de cette manière, ce n'était pas possible. Quelques jours plus tôt, par dépit et dans l'espoir d'avoir l'argent nécessaire pour continuer à vivre dans des conditions de vie décentes, il avait accepté de rejoindre les STAGS. D'abord en tant que dealer, pour gagner la confiance des autres. Puis, la discussion avec son père. L'argent et l'entreprise familiale future contre Calypso, qui ne partirait donc pas avec eux. Qui n'échapperait pas encore à cet enfer.
Il avait l'impression de l'abandonner.
Mais il ne pouvait pas agir égoïstement, avec la benjamine et le jumeau à sa charge. Il devait agir de manière responsable et même si l'argent des STAGS pourrait aider à faire tourner son monde encore un peu, il n'était jamais sûr de rien. Alors... Il avait accepté, juste pour pouvoir réussir à s'en sortir et leur donner une vie un peu meilleure que celle-là, plus calme, plus stable. A Gangnam. Ils avaient retrouvé un semblant de "normalité" dans cette résidence qu'Orphée avait réussi à obtenir pour la famille, afin de pouvoir continuer à s'occuper de ses frères et sœurs sans avoir à craindre la faillite. Sans avoir à assurer trois jobs en même temps pour récolter un peu d'argent.
Et il n'avait pas oublié Calypso, oh non.
Dans cette résidence à Gangnam, elle avait sa propre chambre. C'était Orphée lui-même qui en avait peint les murs, en espérant que sa petite sœur finisse un jour par y dormir, se disant que l'espoir faisait vivre. Il voulait réellement pouvoir se comporter comme un grand-frère à plein temps avec elle, parler de tout et de rien, connaître un peu mieux sa vie et profiter de sa présence. Il voulait être un grand-frère protecteur, mais pas un père. Pas comme ce géniteur dont il avait tant subi les coups et dont il tenait une certaine violence.
Il n'attendait plus qu'elle dans la résidence, maintenant, pour que tout aille mieux - il l'espérait, en pensant toujours que l'espoir faisait vivre. STAGS ne l'avait pas lâché et occupait encore ses journées, même s'il voulait devenir diplomate, maintenant. Pour le moment... Il était juste grand-frère et délinquant, quoi qu'on en dise.
Parce que la vie tourne jusqu'à trouver sa fin, continuellement.
Parce que sa vie a commencé le 13 mars 1990 au Japon, dans la grande ville d'Hokkaido. Avait-il été désiré ? Oui, parce qu'il était le tout premier à naître dans la famille Blue, en plus d'être un petit garçon... Tout semblait presque trop parfait alors qu'Orphée se destinait à devenir le jeune prince de la famille, enfant roi promis à une grande et belle vie luxurieuse. Luxurieuse et grande, oui. Belle ? Quand les coups commencèrent à pleuvoir sur lui, tout comme les insultes de la part du géniteur, ce grand homme qui était pourtant censé faire de lui un prince... Il comprit que ce ne serait pas le cas tant qu'il serait auprès de lui. Son instinct lui avait fait signe. Il aurait eu envie de le voir sous un autre jour, de l'aduler comme un fils peut aduler son père, le prendre comme modèle...
Mais la violence.
Quand il ne recevait pas de coups, il ne recevait rien mais il se cachait parfois tout de même. Lorsque les claques et les poings n'étaient pas là, il y avait tout de même les mots. Et ça, depuis qu'Orphée le vivait, il était incapable de l'oublier et de se forger une nouvelle image de son père. Il était trop tard pour ça.
A l'école, Orphée n'était pas un mauvais élève mais les influences négatives qu'il subissait à la maison ne l'aidaient pas à s'en sortir.mieux. Il manquait de confiance en lui, à force d'entendre les commentaires négatifs de son père. Mais heureusement, sa première petite sœur était là pour être sa source de discussion dans les jours plus difficiles, mais aussi pour le remonter le moral grâce à l'amour qu'elle pouvait avoir pour lui. Au final, tous les deux étaient dans une relation fusionnelle malgré leurs trois ans d'écart. Elle était une des raisons de la force d'Orphée. Sa première raison, la première fille née dans la famille qu'il avait pu prendre dans ses petits bras. La première fille qu'il voulait protéger des coups de fouets et des marques que ces derniers laissaient. Avaient aussi laissé sur lui.
Il devait tous les sortir de là, les sauver de ce qu'il avait pu subir alors qu'il n'avait que quelques années. Il était à peine assez âgé pour s'occuper pleinement de lui-même, au final, et ne savait pas comment faire pour s'en sortir en dehors de la maison familiale après avoir grandi dans la richesse. Il avait bien appris des choses pendant ses études, lui qui voulait devenir diplomate et qui rêvait d'une grande vie, mais il avait pris la fuite. Il avait attrapé la main du jumeau de Calypso, de sa benjamine, et il les avait emmenés loin du danger. Au moins, il espérait qu'il l'avait fait et que la famille finirait par aller mieux, un jour.
Manquait Calypso.
Il avait voulu la prendre avec eux, mais il n'avait pas pu. Il n'avait pas pu la sortir de ce calvaire, la tirer de cet enfer. Et pourtant, il l'aimait... Orphée n'avait jamais eu envie de laisser la jeune fille derrière eux.
Mais la pression.
En s'enfuyant, ils n'avaient presque pu emporter aucun bagage concret derrière eux. Des vêtements, un peu de nourriture, une carte bancaire et du liquide, mais le reste ? Leurs papiers d'identité, des billets et des pièces. C'était bien beau, mais comment vivre sur le long terme dans de telles conditions ? Une chambre d'hôtel ne suffisait pas à s'occuper de tout le monde. La pression était intenable. Dans ces moments là, Orphée n'avait pas pleuré une seule fois devant son frère et sa sœur mais il avait déjà eu des excès de colère. Il avait pu compter sur sa benjamine pour le retenir de trop frapper le jumeau, mais les choses avaient été difficiles.
Et puis, était venu le jour de la négociation. Vivre de cette manière, ce n'était pas possible. Quelques jours plus tôt, par dépit et dans l'espoir d'avoir l'argent nécessaire pour continuer à vivre dans des conditions de vie décentes, il avait accepté de rejoindre les STAGS. D'abord en tant que dealer, pour gagner la confiance des autres. Puis, la discussion avec son père. L'argent et l'entreprise familiale future contre Calypso, qui ne partirait donc pas avec eux. Qui n'échapperait pas encore à cet enfer.
Il avait l'impression de l'abandonner.
Mais il ne pouvait pas agir égoïstement, avec la benjamine et le jumeau à sa charge. Il devait agir de manière responsable et même si l'argent des STAGS pourrait aider à faire tourner son monde encore un peu, il n'était jamais sûr de rien. Alors... Il avait accepté, juste pour pouvoir réussir à s'en sortir et leur donner une vie un peu meilleure que celle-là, plus calme, plus stable. A Gangnam. Ils avaient retrouvé un semblant de "normalité" dans cette résidence qu'Orphée avait réussi à obtenir pour la famille, afin de pouvoir continuer à s'occuper de ses frères et sœurs sans avoir à craindre la faillite. Sans avoir à assurer trois jobs en même temps pour récolter un peu d'argent.
Et il n'avait pas oublié Calypso, oh non.
Dans cette résidence à Gangnam, elle avait sa propre chambre. C'était Orphée lui-même qui en avait peint les murs, en espérant que sa petite sœur finisse un jour par y dormir, se disant que l'espoir faisait vivre. Il voulait réellement pouvoir se comporter comme un grand-frère à plein temps avec elle, parler de tout et de rien, connaître un peu mieux sa vie et profiter de sa présence. Il voulait être un grand-frère protecteur, mais pas un père. Pas comme ce géniteur dont il avait tant subi les coups et dont il tenait une certaine violence.
Il n'attendait plus qu'elle dans la résidence, maintenant, pour que tout aille mieux - il l'espérait, en pensant toujours que l'espoir faisait vivre. STAGS ne l'avait pas lâché et occupait encore ses journées, même s'il voulait devenir diplomate, maintenant. Pour le moment... Il était juste grand-frère et délinquant, quoi qu'on en dise.
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Re: Blue Orphée - Le dernier degré du bonheur est l'absence de tout mal | Mer 24 Avr - 18:23 Citer EditerSupprimer
Hey recoucou toi, t'as pas honte de froop thé muc de la sorte ?
Bon reboot à toi et bon courage pour ta fiche Tu sais où me trouver en cas de besoin
Bon reboot à toi et bon courage pour ta fiche Tu sais où me trouver en cas de besoin
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Re: Blue Orphée - Le dernier degré du bonheur est l'absence de tout mal | Mer 24 Avr - 22:06 Citer EditerSupprimer
Déjà, je ne te remercierai jamais assez pour prendre mon big bro. Je suis toute émotive, je suis joie, je suis amour. Tu vas voir on va bien s'amuser tous ensemble, même si dans les premiers temps ce sera compliqué entre les deux. :nabilla:
mais calypso aime son bro quand même.
puis le prénom, omg
orphée
so sweet
so precious
i cry
i die
trop de beauté partout ou je pose les yeux.
:tae: :tae: :tae:
puis luhan, ce bg
on en parle
:omcry: :omcry:
rebienvenue par ici en tout cas
et si tu as la moindre question, viens me voir, t'inquiètes je ne mange pas.
- du luv:
- :tentate: :tentate: :tentate: :tentate: :tentate: :2su: :2su: :2su: :2su: :heysexy: :heysexy: :heysexy: :heysexy: :elo: :elo: :elo: :elo: :omcry: :omcry: :omcry: :omcry: :bean: :bean: :bean: :bean: :bean: :sara: :sara: :sara: :sara: :sara:
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Re: Blue Orphée - Le dernier degré du bonheur est l'absence de tout mal | Jeu 25 Avr - 6:47 Citer EditerSupprimer
je t’aime encore plus qu’avant
Bienvenue chez les stags bb
Bienvenue chez les stags bb
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Re: Blue Orphée - Le dernier degré du bonheur est l'absence de tout mal | Jeu 25 Avr - 16:14 Citer EditerSupprimer
Re-bienvenue et joyeux reboot
Fighting pour le reste de ta fiche!
Fighting pour le reste de ta fiche!
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Re: Blue Orphée - Le dernier degré du bonheur est l'absence de tout mal | Jeu 25 Avr - 16:20 Citer EditerSupprimer
rebienvenuuuuue
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Re: Blue Orphée - Le dernier degré du bonheur est l'absence de tout mal | Jeu 25 Avr - 16:25 Citer EditerSupprimer
Rebienvenue petit perfil
C'est fleuri sur ta fiche, je viendrai y faire un pique-nique la prochaine fois
Bon chance pour la suiteee
C'est fleuri sur ta fiche, je viendrai y faire un pique-nique la prochaine fois
Bon chance pour la suiteee
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Re: Blue Orphée - Le dernier degré du bonheur est l'absence de tout mal | Jeu 25 Avr - 20:36 Citer EditerSupprimer
LUHAN PTN
même pas on prévient qu’une beauté pareille arrivait sur le forum
bon reboot et bon courage pour ta fiche
même pas on prévient qu’une beauté pareille arrivait sur le forum
bon reboot et bon courage pour ta fiche
Invité
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Re: Blue Orphée - Le dernier degré du bonheur est l'absence de tout mal | Dim 28 Avr - 9:24 Citer EditerSupprimer
bon alors.
luhan.
FRANCHEMENT CE GUS ETAIT TELLEMENT PRIS SUR LES FO AVANT et puis le désert.... OLALALA TU ES UN TEL PHOENIX QUI RENAÎT DE SES CENDRES
voilà, le choc étant passé, je te souhaite un petit rebienvenue
luhan.
FRANCHEMENT CE GUS ETAIT TELLEMENT PRIS SUR LES FO AVANT et puis le désert.... OLALALA TU ES UN TEL PHOENIX QUI RENAÎT DE SES CENDRES
voilà, le choc étant passé, je te souhaite un petit rebienvenue
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