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Nakamura Kazuya - le côté brut du diamant
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Nakamura Kazuya - le côté brut du diamant | Mar 7 Mai - 21:35 Citer EditerSupprimer
Nakamura Kazuya
le chagrin est comme un chat sauvage, il faut s'y mettre à plusieurs pour parvenir à bout
IDENTITY CARD |
Il parait que... Il a un casier judiciaire. Il est connu des agents de police depuis qu'il est gosse pour délits mineurs : vols, dégradations de matériels publics ou privés (on se souviendra tous de cette CPE qui l'a fait redoublé son année et dont sa pauvre voiture a payée le prix fort), insultes à agent, bagarres, ivre sur la voie public et j'en passe. Mais bon comme on dit, on se bonifie avec l'âge comme le bon vin ... ou pas. ● Il a une passion exceptionnelle pour les motos. Il a possédé pendant longtemps une collection impressionnante. Il les a cependant revendu pour s'émanciper par rapport à son père et payer ses études. Il n'a gardé que la premier qu'il s'est lui même payé, un bijou dont il n'a pu se séparer. Il travaille d'ailleurs souvent dessus quand il cherche à se calmer. Cette activité à le don de le calmer. ● adepte de l'adrénaline, il participe souvent a des courses de moto clandestines en plein centre de Séoul. Il avait arrêté pendant trois ans sous la demande de sa fiancée, mais il a repris récemment jouant à nouveau à narguer la grande faucheuse.● Il y a une dizaine de mois, il a fait une tentative de suicide, c'est sa soeur qui l'a trouvé à temps.Il a promit de ne plus recommencer. Depuis, il provoque la faucheuse de manière plus subtile. ● Au-delà des apparences, il a une âme d'artiste. Il joue de la guitare, mais surtout du piano. Si il ne joue jamais en public, seul dans le noir, ca l'apaise. ●Il a deux chiens qu'il a recueilli. Un Husky et un shiba inu. Il les a laissé aux bons soins de son beau-père pour son séjouor en Corée. ● Il a une batte de baseball sur laquelle il est marqué "good night" à côté de son lit. On ne sait jamais quand on pourrait en avoir besoin. ● Il fume énormément, plus que nécessaire. Et parfois, autre chose que des cigarettes. ●son corps est recouvert de tatouages, autant symboliques que essais-erreurs. Le dernier en date est celui sur son torse : une CROIX sur son torse, et plus précisément à l'endroit où se trouve son coeur, là où repose celle qu'il a aimé. | Dis nous qui tu es ! jaloux ; auto-destructeur ; obsessionnel ; téméraire ; joueur ; grand enfant ; séducteur ; taquin ; tactile ; dépendant ; fragile ; compétiteur ; sensible ; impulsif ; anarchiste ; désinvolte ; provocateur ; insolent ; protecteur ; débrouillard ; colérique ... Kaz fait partie de ces gens en marge de la société. Anarchiste sur les bords, il a toujours préféré être de ceux qui marquent par leur différence. Il se perd souvent dans les noirceurs de son âme, dépassant les limites du raisonnable, mais il suffit de cette petite lumière pour le ramener à la réalité qu’il a fait sienne. Craintif de la solitude sous toutes ses formes, il la fuit telle la peste. Pour ce faire, il cherche par divers moyens de faire réagir autrui. Ce qui fait de lui quelqu’un de taquin et joueur, mais également insolant et obsessionnel, voir parfois violent. Il aime comme jamais personne ne vous aime. Jaloux et possessif, il protège ce qui lui est cher, la vie ayant été trop de fois égoïste avec lui. Il refuse qu’on lui prenne quelqu’un d’autre encore. Cet homme favorise la compétition, et la victoire est souvent sienne. Parfois au point de lui faire perdre la tête. Si sa désinvolture vous fait frémir, sachez que derrière cette carapace se cache un grand enfant en manque d’affection. Tactile et à la recherche de bras protecteur, il peut se montrer doux et sensible. Et si vous avez de la chance, vous apercevrez même la fragilité de son cœur meurtri. |
INU Je connais la maison qu'est ce que c'est devenu difficile de trouver un avatar qui n'est pas pris j'espere d'ailleurs qu'il n'est pas joué ♡ Je ne l'ai pas vu mais on ne sait jamais
ps; supprimez le code inutile. |
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Re: Nakamura Kazuya - le côté brut du diamant | Mar 7 Mai - 21:35 Citer EditerSupprimer
It's my life...
et là une petite citation...
Par où commencer ? Ma naissance ? Beaucoup d'histoire commence par une naissance. La mienne débute avec deux pour le prix d'une ainsi qu'un décès. C’est donc un 27 octobre à Tokyo que j’ai vu le jour, ma jumelle ayant pointée le bout de son nez une dizaine de minutes avant moi. Cela aurait pu être un jour heureux, mais c’était loin de l’être. Surtout pour mon père. Il avait eu un fils et une fille, pourquoi serait-il triste ? Car ma mère avait donné ses dernières forces pour me donner naissance, peut-être ? Il avait troqué la femme de sa vie pour deux enfants qu’il connaissait à peine. Deux vies contre une mort. Comme si le destin avait décidé de reprendre ses règles universelles à cet instant précis. C’est dans cette ambiance morbide que je vécus mes premiers jours. Entre enterrement et baptême, la famille ne s’était jamais réunie aussi souvent en si peu de temps. A l’époque, j’étais encore bien trop jeune pour me rendre compte de quoi que ce soit. Et c’était sans doute mieux ainsi.
Mon enfance ne s’était résumé qu’à Sana, ma jumelle auprès de qui j’avais développé une certaine dépendance. Entre l’absence d’une mère et les regards haineux d’un père qui m’accusait d’être la cause de tous ses maux, je m’étais replié sur moi-même. La solitude me faisait peur, et pourtant, elle était ma meilleure amie. J’avais grandi avec la sensation d’une famille bancale, alors que ma sœur y croyait toujours. La chanceuse ne devait pas subir les foudres fréquentes d’un père ne supportant plus la vue de son meurtrier de fils. La légende d’Œdipe n’aura jamais eu plus de sens qu’à cet instant. Avec le temps, le petit garçon craintif était devenu un adolescent rebelle, aimant affirmer l’indépendance trop vite acquise depuis sa naissance. Les mauvaises fréquentations et les conneries se succédèrent à une vitesse folle au point que je ne les comptais plus. J’avais développé ce don d’insolence face à toute personne ayant un peu d’autorité. Je prenais un malin plaisir à les défier, frôlant plusieurs fois la limite à ne pas dépasser avant de la franchir et de me faire renvoyer de l’école. En manque d’attention ou bien un simple manque de discipline, tout était bon pour me mettre mon entourage à dos. Je n’avais connu que cela depuis mon enfance, et je le faisais cruellement regretter à mon géniteur qui aimait jouer à la famille parfaite face aux caméras. Observer ses crises de nerfs à n’en plus finir était devenu un délice dont je me délectais.
Jeune adulte, j’avais décidé de m’émanciper et de partir étudier à Séoul. Un peu précipitamment, même sur un coup de tête. Je savais que si j’en avais discuté avec Sana auparavant, jamais je ne serais parti. Je serais resté juste pour ses beaux yeux. Les années de séparation ont été douloureuses et difficiles, d’autant plus quand elle avait décidé elle-même de changer de continent. Mon cœur souffrait de la distance entre nous, même si il ne passait pas une journée lors de laquelle nous discutions de longues heures via les appels vidéo.
C’est lors de ma dernière année en tant qu’étudiant en vétérinaire que je rencontrais celle qui changea tout pour moi. Je n’avais jamais autant aimé une personne qui me le rendait aussi bien. Je ne pensais d’ailleurs pas cela possible. Nous partagions plus qu’une passion et des études, c’était une âme-sœur d’un autre genre que celle de ma sœur. Mes pensées étaient tournées vers elle au point que j’en perdais la tête, alors que mon cœur battait que quand mes yeux l’observaient. Un coup de foudre. Un amour fou. Je n’avais pas de mots pour décrire un tel phénomène.
Le poulain noir s’était fait apprivoisé par une douce licorne. Une vie heureuse nous attendait. Tout était déjà prévu, moi qui n’avais jamais oser faire de tel auparavant. Armé de mon courage, je lui avais demandé sa main le jour où nous célébrions notre réussite, notre diplôme en poche, parmi nos amis les plus proches. Le mariage était prévu pour l’année suivante. En attendant, nous étions parti nous installer dans sa ville natale où son père vivait. Lui aussi était vétérinaire, et il était heureux de voir deux jeunes gens pouvoir reprendre sa petite clinique qu’il pensait devoir fermer face à la pression des commerciales arrivés. Il tenait bon, et avec de la main d’œuvre en plus, il pensait pouvoir tenir. De quoi pouvais-je rêver de mieux ? Dans un coin de mon esprit, je me surpris un jour penser que la roue de la chance existait : que quand on avait toujours connu la tristesse, le bonheur venait frapper à votre porte. A l’époque, je croyais que les années de souffrance d’amour parental auraient suffis pour que l’on m’accorde un bonheur éternel. J’avais tord. Ce bonheur que l’on m’avait offert, on me le repris brutalement une semaine avant la cérémonie du mariage. Elle avait vu ces bracelets assortis sur internet, crées par une jeune japonaise installés en Amérique. C’était d’ailleurs le seul endroit pour se les procurer. Ce n’était qu’après une série de débat que j’avais fini par céder à ma belle, la laissant partir chercher ses trésors. Je n’avais pu l’accompagner, quelqu’un devait garder la boutique. Ce fut ma plus grande erreur. Je n’avais pas voulu y croire quand il avait annoncé l’accident sur son vol. J’avais d’abord pensé à une blague de mauvais gout, alors qu’il s’agissait juste d’une vérité que mon cœur ne voulait pas entendre. Ma raison tentait de me protéger, s’inventant des excuses, mais rien y fait. Les faits étaient là. Ma belle s’en était allé en enfer avant moi. Depuis ce jour, je suis telle une ombre errante cherchant dans un monde de lumière.
Après mainte discussions, le jeune homme se retrouve à embarquer dans les bagages de son meilleur ami, pour un retour aux sources. Le voyage qui devait durer quelques jours pourraient bien se transformer en année. C'est ici que tout à commencer, tel un cercle vicieux, il s'agit d'un éternel recommencement.
Mon enfance ne s’était résumé qu’à Sana, ma jumelle auprès de qui j’avais développé une certaine dépendance. Entre l’absence d’une mère et les regards haineux d’un père qui m’accusait d’être la cause de tous ses maux, je m’étais replié sur moi-même. La solitude me faisait peur, et pourtant, elle était ma meilleure amie. J’avais grandi avec la sensation d’une famille bancale, alors que ma sœur y croyait toujours. La chanceuse ne devait pas subir les foudres fréquentes d’un père ne supportant plus la vue de son meurtrier de fils. La légende d’Œdipe n’aura jamais eu plus de sens qu’à cet instant. Avec le temps, le petit garçon craintif était devenu un adolescent rebelle, aimant affirmer l’indépendance trop vite acquise depuis sa naissance. Les mauvaises fréquentations et les conneries se succédèrent à une vitesse folle au point que je ne les comptais plus. J’avais développé ce don d’insolence face à toute personne ayant un peu d’autorité. Je prenais un malin plaisir à les défier, frôlant plusieurs fois la limite à ne pas dépasser avant de la franchir et de me faire renvoyer de l’école. En manque d’attention ou bien un simple manque de discipline, tout était bon pour me mettre mon entourage à dos. Je n’avais connu que cela depuis mon enfance, et je le faisais cruellement regretter à mon géniteur qui aimait jouer à la famille parfaite face aux caméras. Observer ses crises de nerfs à n’en plus finir était devenu un délice dont je me délectais.
Jeune adulte, j’avais décidé de m’émanciper et de partir étudier à Séoul. Un peu précipitamment, même sur un coup de tête. Je savais que si j’en avais discuté avec Sana auparavant, jamais je ne serais parti. Je serais resté juste pour ses beaux yeux. Les années de séparation ont été douloureuses et difficiles, d’autant plus quand elle avait décidé elle-même de changer de continent. Mon cœur souffrait de la distance entre nous, même si il ne passait pas une journée lors de laquelle nous discutions de longues heures via les appels vidéo.
C’est lors de ma dernière année en tant qu’étudiant en vétérinaire que je rencontrais celle qui changea tout pour moi. Je n’avais jamais autant aimé une personne qui me le rendait aussi bien. Je ne pensais d’ailleurs pas cela possible. Nous partagions plus qu’une passion et des études, c’était une âme-sœur d’un autre genre que celle de ma sœur. Mes pensées étaient tournées vers elle au point que j’en perdais la tête, alors que mon cœur battait que quand mes yeux l’observaient. Un coup de foudre. Un amour fou. Je n’avais pas de mots pour décrire un tel phénomène.
Le poulain noir s’était fait apprivoisé par une douce licorne. Une vie heureuse nous attendait. Tout était déjà prévu, moi qui n’avais jamais oser faire de tel auparavant. Armé de mon courage, je lui avais demandé sa main le jour où nous célébrions notre réussite, notre diplôme en poche, parmi nos amis les plus proches. Le mariage était prévu pour l’année suivante. En attendant, nous étions parti nous installer dans sa ville natale où son père vivait. Lui aussi était vétérinaire, et il était heureux de voir deux jeunes gens pouvoir reprendre sa petite clinique qu’il pensait devoir fermer face à la pression des commerciales arrivés. Il tenait bon, et avec de la main d’œuvre en plus, il pensait pouvoir tenir. De quoi pouvais-je rêver de mieux ? Dans un coin de mon esprit, je me surpris un jour penser que la roue de la chance existait : que quand on avait toujours connu la tristesse, le bonheur venait frapper à votre porte. A l’époque, je croyais que les années de souffrance d’amour parental auraient suffis pour que l’on m’accorde un bonheur éternel. J’avais tord. Ce bonheur que l’on m’avait offert, on me le repris brutalement une semaine avant la cérémonie du mariage. Elle avait vu ces bracelets assortis sur internet, crées par une jeune japonaise installés en Amérique. C’était d’ailleurs le seul endroit pour se les procurer. Ce n’était qu’après une série de débat que j’avais fini par céder à ma belle, la laissant partir chercher ses trésors. Je n’avais pu l’accompagner, quelqu’un devait garder la boutique. Ce fut ma plus grande erreur. Je n’avais pas voulu y croire quand il avait annoncé l’accident sur son vol. J’avais d’abord pensé à une blague de mauvais gout, alors qu’il s’agissait juste d’une vérité que mon cœur ne voulait pas entendre. Ma raison tentait de me protéger, s’inventant des excuses, mais rien y fait. Les faits étaient là. Ma belle s’en était allé en enfer avant moi. Depuis ce jour, je suis telle une ombre errante cherchant dans un monde de lumière.
Après mainte discussions, le jeune homme se retrouve à embarquer dans les bagages de son meilleur ami, pour un retour aux sources. Le voyage qui devait durer quelques jours pourraient bien se transformer en année. C'est ici que tout à commencer, tel un cercle vicieux, il s'agit d'un éternel recommencement.
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Re: Nakamura Kazuya - le côté brut du diamant | Mar 7 Mai - 21:56 Citer EditerSupprimer
Ah ! Le bff omg, cte surprise là
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Re: Nakamura Kazuya - le côté brut du diamant | Mar 7 Mai - 23:23 Citer EditerSupprimer
Han Seok Won
❝ LEGENDARY SHAKER ❅ ICE PRINCE
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Re: Nakamura Kazuya - le côté brut du diamant | Mer 8 Mai - 10:25 Citer EditerSupprimer
rebienvenue toi
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Re: Nakamura Kazuya - le côté brut du diamant | Mer 8 Mai - 23:06 Citer EditerSupprimer
merci à vous deux
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Re: Nakamura Kazuya - le côté brut du diamant | Jeu 9 Mai - 14:03 Citer EditerSupprimer
rebienvenue par ici toi
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Re: Nakamura Kazuya - le côté brut du diamant | Jeu 9 Mai - 14:27 Citer EditerSupprimer
COUCOU INUUUU
Et re-coucou senpaaaiiii
J'ai pas oublié que tu dois me prendre en stage Et si t'as oublié, je vais dresser mon écureuil de compagnie pour que cette sombre erreur ne se reproduise plus
Nakamura Kazuya a écrit:CURSUS UNIVERSITAIRE : diplômé en médecine vétérinaire avec spécialisation en animaux exotiques. MÉTIER : C'est un jeune vétérinaire qui a repris le petit cabinet tenu par son beau-père. Il donne quelques heures de cours à l'université.
Et re-coucou senpaaaiiii
J'ai pas oublié que tu dois me prendre en stage Et si t'as oublié, je vais dresser mon écureuil de compagnie pour que cette sombre erreur ne se reproduise plus
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