UNE DESCENTE AUX ENFERS PYOBEOM
PNJ
☆ ROOKIE SHAKER
Pseudo : banque de pnj
Crédits : little liars
Messages : 34
Crédits : little liars
Messages : 34
UNE DESCENTE AUX ENFERS PYOBEOM | Lun 24 Juin - 0:52 Citer EditerSupprimer
Une descente aux enfers !
tous aux abris...
L’ordre avait été donné. Les documents signés. Plus rien ne pouvait arrêter ces hommes en uniforme qui se garent devant la porte de la fraternité. En reprenant l’université Han Ye Jin avait pour objectif de redresser la réputation de l’école que Shim Sang Hoon avait mis à mal. Il est hors de questions de laisser quelques malaises et l’état de santé de ses étudiants en déclin ternir le travail qu’elle a effectué jusqu’ici. Si elle peut présenter cette opération aux investisseurs comme une bonne action, et mener son projet de fouilles comme un moyen de s’assurer du bien-être de ses étudiants ainsi que leur sécurité, il n’est en réalité qu’une façon pour elle de faire un tri dans cette élite qui représentera le pays de demain.
Bien décidé à faire cesser la propagation de cette drogue sur son campus la jeune femme s’assure de maitriser ce fléau d’une main de fer. Elle ne laisse rien au hasard. Elle possède toutes les autorisations administratives – si l’envie prenait à un petit malin de retourner la situation à leur avantage – ainsi que les dérogations nécessaires à la fouille de chaque fraternité et chaque casier. S’ils voulaient jouer, Ye Jin allait jouer avec eux mais jamais au risque d’abîmer l’image de son école.
Déterminé et remplie d’une assurance carnassière la jeune femme avait déployé ses équipes aux quatre coins de la digital city et de son école. Pour permettre une action rapide et afin d’éviter toute fuite, chaque fouille se fera de façon simultanée. Dimanche matin à 10h. ils avaient le droit de retourner chaque pièce, chaque recoin. Et toutes les personnes qui auront en leur possession autres pilules et drogues se verront exclu de leur fraternité pendant un temps.
Intransigeance et pression. Voilà ce qu’il avait reçu comme ordre. Les premières chambres sont donc fouillées et les premiers éclats de voix se font entendre.
Bien décidé à faire cesser la propagation de cette drogue sur son campus la jeune femme s’assure de maitriser ce fléau d’une main de fer. Elle ne laisse rien au hasard. Elle possède toutes les autorisations administratives – si l’envie prenait à un petit malin de retourner la situation à leur avantage – ainsi que les dérogations nécessaires à la fouille de chaque fraternité et chaque casier. S’ils voulaient jouer, Ye Jin allait jouer avec eux mais jamais au risque d’abîmer l’image de son école.
Déterminé et remplie d’une assurance carnassière la jeune femme avait déployé ses équipes aux quatre coins de la digital city et de son école. Pour permettre une action rapide et afin d’éviter toute fuite, chaque fouille se fera de façon simultanée. Dimanche matin à 10h. ils avaient le droit de retourner chaque pièce, chaque recoin. Et toutes les personnes qui auront en leur possession autres pilules et drogues se verront exclu de leur fraternité pendant un temps.
Un groupe d’homme en uniforme se positionne devant la porte avant de donner le signal. Les portes d’entrées sont désactivées et défoncé pour que les équipes puissent entrer les unes après les autres dans les différents dortoirs.
Un brouhaha se faire rapidement entendre alors qu’un homme ne cesse de répéter dans un mégaphone « CECI N'EST PAS UN EXERCICE. UNE FOUILLE EST ORGANISÉE DANS VOTRE FRATERNITÉ. VEUILLEZ VOUS RENDRE DANS LA SALLE COMMUNE IMMÉDIATEMENT. INTERDICTION DE RÉCUPÉRER VOS AFFAIRES PERSONNELLES. CECI NEST PAS UN EXERCICE. UNE FOUILLE EST ORGANISÉE DANS VOTRE FRATERNITÉ. VEUILLEZ VOUS RENDRE IMMÉDIATEMENT DANS LA SALLE COMMUNE. INTERDICTION DE RÉCUPÉRER VOS AFFAIRES PERSONNELLES. CECI N'EST PAS UN EXERCICE… » encore et encore poussant même les étudiants qu’il croisait sur son passage vers le salon.
Intransigeance et pression. Voilà ce qu’il avait reçu comme ordre. Les premières chambres sont donc fouillées et les premiers éclats de voix se font entendre.
Invité
Invité
Re: UNE DESCENTE AUX ENFERS PYOBEOM | Lun 24 Juin - 1:05 Citer EditerSupprimer
Putain c’est quoi ce bordel ?! Jure Su Nah en entendant un bruit sourd venir de l’entrée. Une attaque en pleine journée ? Un matin ? Ça lui paraissait peu probable mais après tout … elle pouvait tout attendre de la part des étudiants de cette fraternité … Elle serra les dents et sortie de son bureau en glissant son téléphone à l’arrière de sa poche. « Hey ! » cri-t-elle pour attirer l’attention de l’homme qui gueulait dans son mégaphone. Elle s’approche de lui et lui arrache des mains en lançant « Sérieux vous êtes qui vous ?! Qu’est-ce que vous foutez là ?! Vous n’avez aucun droit d’être ici, c’est une propriété privée ! » s’indigne-t-elle avant de voir leur fraternité se faire envahir … putain c’était quoi ce bordel. Pour couper court à ses aboiements, l’homme lui planta un papier sous le nez en lui expliquant qu’ils avaient les autorisations nécessaires pour fouiller leur maison. Il récupéré le mégaphone avec autant de délicatesse qu’elle avait pu témoigner et reprends son discours en boucle. « Fait chier ! » jure Su Nah dont le ventre se tord dangereusement. Elle envoie rapidement un sms à Tan Jiu qui devait sûrement être dans les étages « Des mecs fouilles la maison ! rejoins moi dans le bureau j’ai un papier officiel qu’on doit lire ! »
Invité
Invité
Re: UNE DESCENTE AUX ENFERS PYOBEOM | Ven 28 Juin - 22:49 Citer EditerSupprimer
c'est comme si tout d'un coup l'enfer venait de s'ouvrir sous vos pieds, tu entends le boucan infernal qui explose dans le dortoir comme si la porte de cet endroit maudit avait éclaté et laissait entrer la destruction. bon ok, c'était sûrement exagéré de ta part de penser ainsi mais t'étais pas forcément très loin parce que c'était quand même impressionnant de voir toutes ces personnes débarquer dans la salle commune. on aurait dit que le dortoir était en état d'alerte générale, tu sors la tête de ta chambre, manette de ta console en main pour écouter le brouhaha qui venait de là, et finalement quand tu parviens à entendre des éclats de voix plus précis, tu poses l'objet sur le bureau à côté de toi et sort de ta chambre. doucement tu viens rejoindre les quelques membres qui se trouvaient déjà dans la pièce principale, tu vois su nah plantée un peu plus loin, fronçant les sourcils en voyant les expressions de son visage, tu t'approches d'elle. « su nah il se passe quoi là ? c'est quoi cette histoire ? » tu lâches en tentant de te faire entendre malgré les cris des hommes. ça te fait mal au coeur de les voir saccager les lieux comme si de rien était, un sentiment acide qui te monte à la gorge.
Invité
Invité
Re: UNE DESCENTE AUX ENFERS PYOBEOM | Jeu 4 Juil - 9:51 Citer EditerSupprimer
J’ai sursauté si fort que je ne sais plus où je me trouve pendant quelques minutes. Mon regard se pose sur mon réveil, l’heure est trop matinale pour que je me rende compte de ce qui se passe. Je ne sais pas ce que j’ai entendu, pendant un court instant cela se stop puis finalement cette grosse voix reprends. Je suis perdu, tout s’agite autour de moi tandis que je tente de comprendre ce que raconte l’annonce. Encore à moitié endormis, je sors de mon lit enfile le premier tee-shirt que je trouve et suis les autres à l’extérieur. La scène à laquelle j’assiste est presque chaotique, tout le monde court partout, certains se mordent les doigts et d’autres sanglotent déjà. Quoi ? Pourquoi tout le monde semble stresser de cette façon ? Je prends sur moi, j’inspire profondément tire sur mon haut et tente de prendre une allure assurée pour rejoindre les quelques têtes que je connais.
« C’est quoi ce bordel ? » une attaque d’une autre fratrie ? Non, ça parait plus sérieux et encore plus quand je vois les mines déconfites de mes compagnons. Je me doute brusquement qu’on ne va pas nous annoncer une bonne nouvelle. Les types qui sont là n’ont pas l’air de rigoler. Lorsque je comprends enfin qu’il s’agit d’une fouille, je pense brusquement à ma guitare. Je sais, je pourrais penser à autre chose. Mais j’ai peur qu’ils ne la balancent comme un vulgaire morceau de papier. Je fronce les sourcils et j’ai la mauvaise idée de vouloir retourner à ma chambre. J’ai à peine fait un pas qu’un mec vient plaquer sa grosse main sur mon torse « Hey tu ne bouges pas ! ». Je soupire, fronce les sourcils et détourne les yeux vers mes compagnons. Ok… je crois qu’on est prit au piège.
« C’est quoi ce bordel ? » une attaque d’une autre fratrie ? Non, ça parait plus sérieux et encore plus quand je vois les mines déconfites de mes compagnons. Je me doute brusquement qu’on ne va pas nous annoncer une bonne nouvelle. Les types qui sont là n’ont pas l’air de rigoler. Lorsque je comprends enfin qu’il s’agit d’une fouille, je pense brusquement à ma guitare. Je sais, je pourrais penser à autre chose. Mais j’ai peur qu’ils ne la balancent comme un vulgaire morceau de papier. Je fronce les sourcils et j’ai la mauvaise idée de vouloir retourner à ma chambre. J’ai à peine fait un pas qu’un mec vient plaquer sa grosse main sur mon torse « Hey tu ne bouges pas ! ». Je soupire, fronce les sourcils et détourne les yeux vers mes compagnons. Ok… je crois qu’on est prit au piège.
Invité
Invité
Re: UNE DESCENTE AUX ENFERS PYOBEOM | Lun 8 Juil - 6:05 Citer EditerSupprimer
C'est comme une habitude malsaine, quelque chose qui devient bien trop courant au fur et à mesure des mois qui passent. Au petit matin, tu rentres finalement au dortoir, encore alcoolisée, l'esprit embué par tout ce que t'as consommé. Au coin de la rue, enfermée dans ta voiture, t'attrapes cette dernière pilule de crimson que tu fais glisser entre tes lèvres avant de l'avaler. Tu sais que tu vas en avoir besoin pour tenir le coup en cette nouvelle journée. Tu te dis qu'il faut que t'ailles en récupérer aussi, parce que t'en auras encore besoin demain, et les autres jours qui suivent. Complètement accro pourtant, tu ne le vois pas comme tel, encore une fois. Un soupir, tu rabats le cache-soleil pour observer ton visage, essuyer les traces de maquillage qui ont coulés pendant ces heures aux lumières vives des boîtes de nuit de la capitale. Tu remet tout en ordre avant de te décider à aller garer ton véhicule à sa place habituelle, en sortir pour te diriger vers le dortoir.
T'as bêtement cru que ça serait un matin comme les autres, tête baissée sur ton sac pour ranger tes clés et ton téléphone, tes pas te guidant vers la porte d'entrée. Mais voilà que ton regard se lève vers une scène à laquelle tu n'as pas pensé. Bouche ouverte par la surprise, tes yeux qui s'écarquillent sans comprendre à ce qu'il se passe, tu pénètres malgré tout à l'intérieur observant tout autour de toi. La porte défoncée, des hommes en uniforme ayant pris possession des lieux. L'un d'entre eux arrive rapidement à ta hauteur, t'arrachant ton sac des mains. "Mais... Hé mais ça va pas !" T'essaies de te débattre comme tu peut, même si c'est peine perdue. Tu ne sais même pas ce que tu ressens à cet instant précis. "Mais qu'est-ce que vous foutez ?! Vous êtes malades !" Ton coeur tambourine dans ta poitrine, tes lèvres se pincent avant d'apercevoir certains pyobeoms vers qui tu te diriges, incrédule. "Il se passe quoi ici ? Et pourquoi on m'arrache mon sac comme ça ?"
Invité
Invité
Re: UNE DESCENTE AUX ENFERS PYOBEOM | Sam 27 Juil - 19:02 Citer EditerSupprimer
ça fait une semaine qu’il est au courant de cette descente prévue dans le dortoir. cependant il n’avait pas le droit d’en parler. hyuk comprenait qu’il ne puisse pas en parler à cause du fait que les élèves pourraient cacher la drogue ailleurs, mais ça lui semblait impossible qu’il y en ait chez les pyo. peut-être qu’il se voilait la face à penser que tout le monde était clean, mais il voulait y croire. alors, il avait proposé son aide, avait décidé de faire en sorte de rendre le boulot de la direction moins pénible. du coup, il suivait l’homme et son mégaphone et les réactions des élèves ne tardèrent pas à se faire entendre partout chez les roses. « c’était vraiment nécessaire tout ça ? » qu’il demande à son homologue masculin sans réelle réponse de sa part. il s’avance alors vers sunah pour la prendre à part et lui expliquer la situation, veillant à ce que personne ne les entende. « c’est la directrice qui a organisé ça… elle cherche de la drogue. » hyukjae se met à lui expliquer la crimson et tout ce qui en découle avant de se passer la main dans les cheveux un peu gêné. « j’étais au courant, mais je pouvais pas en parler. je suis désolé. » son statut de surveillant maintenant ne lui donnait pas tellement le droit de tout partager avec la présidente de son ancienne fraternité. « par contre, je suis complètement contre la méthode utilisée et je compte bien en parler à la direction. » ce n’était pas normal qu’ils aient utilisé ce genre de méthode, encore plus quand il en voit un arracher le sac de l’une des pyos. il t’approche de lui, le regard mauvais. « demander gentiment ça vous aurait fait un deuxième trou au cul. » avant qu’il ne se tourne vers yewon. « ça va ? »
Contenu sponsorisé