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park dae jung // heartbeat
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park dae jung // heartbeat | Mer 21 Aoû 2019 - 12:03 Citer EditerSupprimer
park dae jung
YOU'RE MY TEAR
YOU'RE MY FEAR
IDENTITY CARD |
Il parait que... ANECDOTES ;; _ Véritable cordon bleu, Daejung est bien du genre à cuisiner pour toute la fratrie sans l’aide de personne, sauf si le temps de préparation est conséquent. Il avait l’habitude de cuisiner pour toute sa famille, et il ne l’a certainement pas perdue en arrivant à la Yonsei. _ Il porte la montre de son père au poignet et ne l’enlève que pour aller sous l’eau et dormir. Le verre est brisé, l’heure arrêtée à dix-sept heures cinquante-sept et huit secondes. L’heure exacte de la mort de son père par crise cardiaque. Il est affreusement stressé s’il ne la voit pas sur sa table de chevet en se réveillant ou sur lui quand il est en cours. _ Dans la catégorie bijoux, il porte aussi une chaînette autour du cou, qui lui a été offerte par Jihye il y a quelques temps déjà. Il ne s’en sépare jamais non plus. _ Grand fan de littérature, ce n’est pas rare de le voir avec un roman dans les mains quand ce n’est pas ses manuels ou lectures obligatoires en médecine. Il a un certain penchant pour la science-fiction et la dystopie. _ Il est petit, pour un homme ; il culmine à un mètre soixante-cinq pour environ cinquante-quatre kilos, sans réel effort pour faire du sport derrière. _ Lui et les réseaux sociaux, c’est niet ; il n’est possesseur que d’un vieux téléphone à clapet capable uniquement d’envoyer des SMS et passer des appels dans une qualité plus que douteuse. Par contre, soyez sûr qu’il répondra à tous les messages grâce à ça. _ Son dialecte de Busan ressort bien trop souvent et c’est plus fort que lui. Quand il est stressé, énervé, fatigué ou qu’il répond presque immédiatement à quelque chose ; vous pouvez être sûr que vous allez lui demander de répéter. FACTS EN VRAC ;; Il a un japonais et un anglais acceptable, mais lui demandez pas d’avoir une argumentation, vous le perdez vite // mauvaise habitude de se ronger les ongles quand stressé // chapped lips à force d’arracher la peau avec les dents // très profond dans la k-pop, préférence pour les boys group // cute baby, du genre à toujours dormir avec quelque chose dans les bras. // chocolate addict, un ou deux carrés tous les jours c’est toujours agréable. RUMEURS ;; Il aurait apparemment les hangeuls du prénom de son père (Min Seok) de tatoué à l'endroit du coeur. (Vrai, bien que peu de personnes soient au courant. C'est rare qu'on puisse le voir torse nu, même l'été, alors c'est raté si vous souhaitez le voir. C’est un tatouage réalisé avec une aiguille à couture stérilisée et de l’encre de chine.) Il déteste dormir tout seul et s'incruste souvent dans le lit de quelqu'un. (Vrai, et même pas besoin de le connaître en long en large et en travers pour le savoir. Ne vous étonnez donc pas de vous réveiller avec Dae Jung dans votre lit un de ces quatre.) Il ne tiendrait apparemment pas l’alcool. (C’est faux. Malgré sa carrure de bébé et son mètre soixante-cinq, il a une sacrée descente et n’est pas souvent bourré ou ivre mort. Ne le mettez pas au défi, vous allez perdre.) | Dis nous qui tu es ! Dae, c’est la douceur. Dae, c’est la gentillesse, l’altruisme, cette envie de toujours être là pour les autres. Il cherche toujours à faire plus plaisir aux autres qu’à lui-même, même s’il doit se démener et tomber de fatigue à cause de ça. Il n’est pas du genre à baisser les bras, abandonner au bout du premier échec— il cherchera toujours à aller plus loin, jusqu’à ce que son corps s’arrête complètement et le force à se reposer. Ça a toujours été ce grand-frère protecteur avec ce sourire réconfortant et cette aura bienveillante. Le premier au chevet des autres quand ils n’étaient pas dans leur assiette. Dae, c’est le docteur des petits bobos, dans la fratrie. Toujours armé de sa petite boîte de premiers soins, ils savent tous qu’il faut s’adresser à lui en cas de minuscule pépin, ou de n’importe quel autre conseil dans la bobologie. C’est le cuisinier toujours heureux de préparer à manger quand la fatigue est beaucoup trop présente, une oreille toujours là pour écouter les soucis et problèmes des autres. Ce n’est pas vraiment valable dans l’autre sens, parce que Dae ne dit jamais rien aux autres. Il reste secret à propos de lui, il n’en parle à personne d’autre que sa petite sœur. Il cache ses problèmes et ses inquiétudes, peut importe si ça le bouffe ou non, il ne doit pas faiblir face aux autres ; parce que cette position de force qu’il montre serait vite dissipée. Il semble être ce jeune adulte heureux de sa vie, alors qu’il est complètement épuisé. Pourtant, pour le bien des autres, des membres de sa fratrie, de ceux qu’il considère comme sa deuxième famille, il fera tous les efforts du monde. Quand il ne peut plus, c’est son corps qui le lui fait comprendre. Grosse montée de fièvre, corps à bout, fatigue omniprésente pouvant finir en évanouissement ; ça lui arrive rarement, mais ça impressionne toujours quand on voit cette figure du hyung préoccupé de tout ou celle du dongsaeng pouvant s’occuper d’absolument n’importe quoi s’écrouler le temps de quelques jours. Il déteste montrer ses faiblesses, mais c’est bien l’un des rares moments où il ne peut certainement pas lutter contre. Dans la vie de Dae, il n’y aura toujours que du positif, parce qu’il cherchera à tout prix à effacer le négatif, d’une manière ou d’une autre. |
ozzman well, shit happen
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Re: park dae jung // heartbeat | Mer 21 Aoû 2019 - 12:04 Citer EditerSupprimer
FAMILY MAZE
LOVE MAZE
Depuis maintenant quelques mois, quand je rentre au dortoir des gumihos, le soir, la première habitude que j’ai prise, c’est aller voir ma petite sœur. Ma petite sœur adorée, Ji Hye, ce rayon de soleil étincelant dans ma vie à la capitale. Cette vie loin de là où je viens, loin de ma ville, de ma famille, de ma fratrie. Loin de maman qui est à présent seule pour gérer les trois petits, loin de la plupart de mes amis d’enfance. J’en parle comme si j’avais un quelconque regret, mais je me dis que je n’en ai pas et que je fais simplement tout ce que je peux pour sortir ma famille de la situation précaire dans laquelle elle est. Si ma mère pense que je n’ai que pour ambition de devenir pédiatre et être proche des enfants toute ma vie, j’ai simplement envie de gagner ma vie pour tous nous sortir de là.
La vie à Busan n’était pas trop mal, si on exclut qu’on vivait dans la pauvreté constante, huit sous le même toit quand j’ai eu treize ans. Mes parents, mes cinq frères et sœurs ; moi. Je disais souvent sept, d’ailleurs, parce que je ne voyais jamais papa. Mais maman nous l’avait dit ; pour nourrir toutes les bouches habitant cette maison, il fallait bien plus qu’un seul travail. Alors il en cumulait deux. Levé à six heures le matin, rentrant vers vingt-trois heures le soir. Durant ses rares jours de repos, on ne le voyait pas non plus ; toujours à dormir ou se pencher sur les comptes de la famille, pour qu’on ne soit jamais endettés.
Quand maman était fatiguée, j’étais toujours celui qui prenait soin de tout le monde. Toujours à courir derrière Soo Jin et Seong Jin, les jumeaux insupportables, toujours à materner Min Jun, le petit diable et dernier de la famille, toujours celui qui emmenait Ji Hye pour ses rendez-vous médicaux, toujours celui qui regardait par-dessus l’épaule de Sa Ra pour voir si tout allait bien. Je prenais mon rôle de grand-frère très à cœur, et je ne m’en suis jamais réellement lassé. C’est sûrement pour ça que j’ai eu l’envie de travailler avec les enfants, plus tard.
Tout aurait pu être si simple, à la maison. Tout aurait dû être simple, parce qu’on avait bien tout établi, pour faire en sorte à ce qu’on n’ait jamais aucune difficulté. J’avais beau être ce grand-frère qui regardait toujours tout, j’étais parfois affreusement fatigué et il m’arrivait même de tomber malade des jours entiers à force de trop tirer sur la corde. On connaît tous la chanson, dans une famille pauvre. Les rendez-vous médicaux, c’est uniquement en cas d’urgence. Je me soignais tout seul, avec les jours qui passaient. Ce n’était jamais plus que des coups de fatigue ou mon corps qui me faisait clairement comprendre qu’il fallait que j’arrête. Parfois, c’était pire ; et j’ai eu la chance d’avoir des amis sur lesquels je pouvais un minimum compter. Du moins… jusqu’à ce qu’ils trahissent ma confiance.
Parce que l’argent ne coulait clairement pas à flot à la maison, il m’arrivait parfois de voler ; rien qu’un peu. Que ce soit quelques vivres sur le chemin retour de l’école ou n’importe quelle autre bricole capable d’être revendue pour se faire un peu de fric. C’est justement ce que mes prétendus potes ont cafté. Parce que j’étais encore mineur, je n’ai rien eu, si ce n’est une mise en garde et un début de casier judiciaire ; pour vol.
Plus je repense au moment où je suis arrivé à la Yonsei, plus je me dis que je n’aurais jamais dû quitter Busan. Parce que trois mois après mon arrivée à l’université, aux dortoirs des gumihos – qui m’ont accueillis à bras ouverts – et le début des cours, papa est mort. Il est mort de surmenage, au travail, et j’y ai pas cru jusqu’à ce que je réunisse suffisamment d’argent pour prendre le train jusqu’à Busan lors des vacances d’été. Papa était plus là. Maman était endettée parce qu’on a dû avancer les frais de l’enterrement. C’est à ce moment-là que j’ai moi-même décidé de lui verser près de quatre-vingt dix pourcent de mes bourses, en plus de revendre tout ce que j’avais de cher pour l’aider. Elle était femme au foyer, elle n’avait qu’une aide du gouvernement pour s’occuper de tout le monde. J’ai dû faire un effort. Le téléphone dernier cri offert par Samsung, vendu. L’ordinateur portable qui me servait pour mes cours, vendu aussi. Je ne vivais qu’avec le minimum syndical, et ça me suffisait comme ça.
Là où j’aurais espéré être le seul de la famille au campus, il s’avère que Sa Ra et Ji Hye sont aussi venues. Elles auraient dû rester à la maison, pour aider maman à s’occuper des trois autres, en alternant avec l’université. Puis Ji Hye – elle ne pourra faire attention à son diabète, à la capitale. Tout ça coûtera beaucoup trop cher.
La prochaine étape, ce n’est plus sacrifier ce que je possède.
C’est me sacrifier moi et ce que je fais.
La vie à Busan n’était pas trop mal, si on exclut qu’on vivait dans la pauvreté constante, huit sous le même toit quand j’ai eu treize ans. Mes parents, mes cinq frères et sœurs ; moi. Je disais souvent sept, d’ailleurs, parce que je ne voyais jamais papa. Mais maman nous l’avait dit ; pour nourrir toutes les bouches habitant cette maison, il fallait bien plus qu’un seul travail. Alors il en cumulait deux. Levé à six heures le matin, rentrant vers vingt-trois heures le soir. Durant ses rares jours de repos, on ne le voyait pas non plus ; toujours à dormir ou se pencher sur les comptes de la famille, pour qu’on ne soit jamais endettés.
Quand maman était fatiguée, j’étais toujours celui qui prenait soin de tout le monde. Toujours à courir derrière Soo Jin et Seong Jin, les jumeaux insupportables, toujours à materner Min Jun, le petit diable et dernier de la famille, toujours celui qui emmenait Ji Hye pour ses rendez-vous médicaux, toujours celui qui regardait par-dessus l’épaule de Sa Ra pour voir si tout allait bien. Je prenais mon rôle de grand-frère très à cœur, et je ne m’en suis jamais réellement lassé. C’est sûrement pour ça que j’ai eu l’envie de travailler avec les enfants, plus tard.
Tout aurait pu être si simple, à la maison. Tout aurait dû être simple, parce qu’on avait bien tout établi, pour faire en sorte à ce qu’on n’ait jamais aucune difficulté. J’avais beau être ce grand-frère qui regardait toujours tout, j’étais parfois affreusement fatigué et il m’arrivait même de tomber malade des jours entiers à force de trop tirer sur la corde. On connaît tous la chanson, dans une famille pauvre. Les rendez-vous médicaux, c’est uniquement en cas d’urgence. Je me soignais tout seul, avec les jours qui passaient. Ce n’était jamais plus que des coups de fatigue ou mon corps qui me faisait clairement comprendre qu’il fallait que j’arrête. Parfois, c’était pire ; et j’ai eu la chance d’avoir des amis sur lesquels je pouvais un minimum compter. Du moins… jusqu’à ce qu’ils trahissent ma confiance.
Parce que l’argent ne coulait clairement pas à flot à la maison, il m’arrivait parfois de voler ; rien qu’un peu. Que ce soit quelques vivres sur le chemin retour de l’école ou n’importe quelle autre bricole capable d’être revendue pour se faire un peu de fric. C’est justement ce que mes prétendus potes ont cafté. Parce que j’étais encore mineur, je n’ai rien eu, si ce n’est une mise en garde et un début de casier judiciaire ; pour vol.
Plus je repense au moment où je suis arrivé à la Yonsei, plus je me dis que je n’aurais jamais dû quitter Busan. Parce que trois mois après mon arrivée à l’université, aux dortoirs des gumihos – qui m’ont accueillis à bras ouverts – et le début des cours, papa est mort. Il est mort de surmenage, au travail, et j’y ai pas cru jusqu’à ce que je réunisse suffisamment d’argent pour prendre le train jusqu’à Busan lors des vacances d’été. Papa était plus là. Maman était endettée parce qu’on a dû avancer les frais de l’enterrement. C’est à ce moment-là que j’ai moi-même décidé de lui verser près de quatre-vingt dix pourcent de mes bourses, en plus de revendre tout ce que j’avais de cher pour l’aider. Elle était femme au foyer, elle n’avait qu’une aide du gouvernement pour s’occuper de tout le monde. J’ai dû faire un effort. Le téléphone dernier cri offert par Samsung, vendu. L’ordinateur portable qui me servait pour mes cours, vendu aussi. Je ne vivais qu’avec le minimum syndical, et ça me suffisait comme ça.
Là où j’aurais espéré être le seul de la famille au campus, il s’avère que Sa Ra et Ji Hye sont aussi venues. Elles auraient dû rester à la maison, pour aider maman à s’occuper des trois autres, en alternant avec l’université. Puis Ji Hye – elle ne pourra faire attention à son diabète, à la capitale. Tout ça coûtera beaucoup trop cher.
La prochaine étape, ce n’est plus sacrifier ce que je possède.
C’est me sacrifier moi et ce que je fais.
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Re: park dae jung // heartbeat | Mer 21 Aoû 2019 - 12:05 Citer EditerSupprimer
PAS AVEC LA BONNE TÊTE MAIS BALEC JIHYE ARRIVE APRES DECLARZR SON AMOUR A SON FRÈRE ~
LOVE UUUUU
LOVE UUUUU
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Re: park dae jung // heartbeat | Mer 21 Aoû 2019 - 12:06 Citer EditerSupprimer
J'espère pas me faire taper par Saya mais j'écris mtn parce qu'après je dois me préparer pour bosser.
NVM elle a été plus rapide JPP
Bonjour futur coloc de chambre j'espère qu'on s'amusera bien
NVM elle a été plus rapide JPP
Bonjour futur coloc de chambre j'espère qu'on s'amusera bien
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Re: park dae jung // heartbeat | Mer 21 Aoû 2019 - 12:43 Citer EditerSupprimer
Fighting pour ton reboot
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Re: park dae jung // heartbeat | Mer 21 Aoû 2019 - 15:15 Citer EditerSupprimer
ooh, donc voici le fameux bro' de Ji Hye
rebienvenue à toi (ou plutôt bon reboot ?)
rebienvenue à toi (ou plutôt bon reboot ?)
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Re: park dae jung // heartbeat | Mer 21 Aoû 2019 - 15:44 Citer EditerSupprimer
ohhhhh le bro is here
taeil (et en plus je suis co avec yuyu, nct team ) très bon choix d'avatar !
amuse toi bien avec ce nouveau bébé, et bon reboot
taeil (et en plus je suis co avec yuyu, nct team ) très bon choix d'avatar !
amuse toi bien avec ce nouveau bébé, et bon reboot
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Re: park dae jung // heartbeat | Mer 21 Aoû 2019 - 16:01 Citer EditerSupprimer
JRAMENE MON PTIT NCT POUR LA PEINE
TAEIL AAAAAA
ça fait trop plaisir de le voir jouer, il est si peu présent sur les fofos
bref, super bon choix que tu fais là
bon reboot
TAEIL AAAAAA
ça fait trop plaisir de le voir jouer, il est si peu présent sur les fofos
bref, super bon choix que tu fais là
bon reboot
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