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YU KAE // A GLIMPSE OF HEAVEN
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YU KAE // A GLIMPSE OF HEAVEN | Dim 1 Sep - 2:01 Citer EditerSupprimer
Yu Kae
A GLIMPSE OF HEAVEN
IDENTITY CARD |
Il parait que... kae est un bébé surprise, non planifié, pas spécialement désiré, mais aimé tout autant que ses frères et soeurs + kae est séropositive + le virus lui a été transmis par son ex petit-ami, tao, vingt et un ans, avec qui elle est resté près de trois ans + kae n’en a pas informé ses parents et seul sana, sa grande soeur en est au courant, c’est d’ailleurs elle qui l’a accompagné dans son traitement + étant sous traitement kae ne peut pas transmettre le virus + kae est la petite soeur de sana, réputé pour avoir tuer son ex-petit ami et être en couple avec son frère + kae était bien trop jeune pour pouvoir témoigner de la souffrance de sa grande soeur, toutefois à aucun moment n’a t-elle cessé de la défendre face à ses goules enfarinées qui n’avaient de cesse de semer la haine + sana et jasun n’ayant aucun lien sanguin, kae n’a jamais réellement été choqué par leur relation, pour tout dire elle n’a pas souvenir de les avoir connus autrement qu’en couple + kae est réputé pour voler les fringues de ses frères et soeurs, plus spécialement celles de eunae, le plus surprenant c’est que ça la fait mourir de rire que de voir son aînée s’énerver face à ces vols à répétition + kae possède un lien très fort avec son second frère ainé senji, et il est de loin le seul capable à la calmer lors de ses crises de paniques ou de rage + kae est ce qu’on appelle une touche à tout, elle aime énormément de choses, possède des connaissances dans beaucoup de domaines mais ne sait strictement pas ce qu’elle veut faire de sa vie + ses plus grandes passions sont les jeux vidéos, l’écriture et le théâtre + elle est ce qu’on peut appeler une gameuse, et son record est de 34 heures de jeux avec seulement deux pauses pipi + sa chambre est à l’effigie de sa passion, consoles plus ou moins anciennes, jeux vidéos, goodies, funko pop, couverture et coussins de gameuse… + elle a arrêté l’école après le lycée au plus grand malheur de son père + elle gagne un somme modeste via les jeux vidéos, en faisant des streaming, elle fait aussi de la figuration dans des drames et a récemment décroché un second rôle dans un drama historique + | Dis nous qui tu es ! Kae est une personne ouverte, sociable, communicative, extravertie, exprimant la joie de vivre et appréciant les échanges avec les autres. C'est une individualiste qui est prête à fournir beaucoup d'efforts pour accomplir ses projets, sa volonté et son ambition étant à toute épreuve. Dotée d'une grande sensibilité, elle peut parfois apparaître réservée, discrète, timide Perspicace, intuitive, elle possède une excellente écoute, et sait être tant une amie attentive qu'une conseillère avisée. Attention toutefois qu'elle n'abuse pas trop de l'ascendant qu'elle peut avoir sur les autres pour imposer ses conceptions avec autorité. Indépendante, originale, honnête, volontaire, Kae est sans aucun doute une personnalité à part entière. Elle joue et manipule avec maestria son entourage, qu'elle tyrannise sans vergogne. Les activités créatives sont son point fort (théâtre, danse, dessin...). Elle se montre prompte, dynamique, adaptable, maligne, curieuse d'apprendre et douée d'une grande vivacité intellectuelle. Elle aime sortir des sentiers battus, intéressée par l'hétérodoxe, l'inhabituel, la nouveauté, la mode, l'avant-garde. Elle désire être la première en tout et est en quête de perfection et d'absolu, d'où une certaine tendance à être sélective dans ses approches. Diriger, commander, gérer, administrer, s'exprimer, communiquer sont presque aussi nécessaires pour elle que respirer. Elle rêve de grandeur et de réalisations personnelles car son ego est très puissant. Toutefois elle est incapable de se décider sur la carrière qu’elle souhaite entreprendre: écrivain, actrice, gameuse… |
KALOPSIA J'aurais jamais pensé rebooter sana de ma vie rpg ... et pourtant m'y voilà sana reste en pnj et coule des jours heureux avec jasun, j'espère que sa petite soeur kae vous plaira tout autant
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Re: YU KAE // A GLIMPSE OF HEAVEN | Dim 1 Sep - 2:01 Citer EditerSupprimer
Yu Kae - 5 septembre 2017
" Je pensais être heureuse.
Et soudain cette réalité acablante me frappait en plein visage . savais-je ne serait-ce qu’un instant ce que le bonheur et le malheur signifiaient ? c’était comme se réveiller, difficilement ; le corps inerte et l’esprit embrumé . se poser des questions sur le sens de la vie, chose que nous n’avions jamais pris le temps de faire auparavant. Je n’avais pas l’impression d’être malheureuse, en fait je crois que je n’ai jamais ressentis cela, cela fait-il de moi une personne heureuse ? c’est à ce moment précis que j’ai réalisé, absence de malheur ne signifiait guère bonheur et absence de bonheur ne signifiait pas pour autant malheur . j’ai beau creuser profondément dans ma mèmoire je n’arrive toujours pas à me rappeler ne serait-ce qu’un instant durant lequel la tristesse comblait mon être, pourquoi arrivais-je à me sentir triste mais heureuse à la fois, en était-je ainsi égoïste ; ou alors étais-je atteinte de troubles psychologiques ? le premier moment marquant qui me revient en mémoire eut lieu l’année de mes treize ans . J’étais connus pour l’image infantile de ma personne, ô oui que j’étais naïve. C’est à cette époque même que je commençais à recevoir des menaces de mort. Je ne me souviens guère du contenu des messages que je recevais ; juste qu’il était question de ma mise à mort et que cela dura plus de six mois. La peur ? je l’avais tout d’abord ressentis en lisant les messages ; puis une nouvelle fois, en me confrontant à la réaction de mon père. Au fond, je crois que la chose qui m’eût le plus atteins à cette période, ce fut la peur de décevoir mes parents, comme si mourir m’importait peu ; du moment qu’ils pouvaient être fiers de moi. Je me souviens encore mentir disant que les menaces avaient cessées, partir en cours la boule au ventre , le sourire aux lèvres puis rentrer chaque soir, heureuse que rien ne me soit arrivé . Etrangement, apprendre qu’il avait s’agis de ma meilleure de l’époque ne fut qu’un soulagement, même si cela signifiait qu’elle avait toujours éprouvé cette haine profonde pour ma personne. Trop naïve, trop gamine, trop garçon manqué, trop bête comme le disaient les enfants de notre âge. Mais vous savez ? j’étais heureuse à cette époque.
La perte d’un être cher n’est pas une chose dont on s'accommode, on apprend à faire avec, à vivre avec. Certains arrivent à oublier d’autres ne le pourront jamais. La mort change l’être humain, le tourmente, le paralyse, le métamorphose. On ne peut rien y faire et pourtant l’on n’a de cesse de se battre contre celle-ci. Certaines personnes réagissent violemment; d’autres s’effondrent; tellement de réactions diverses. Puis il y a moi, peut-être même toi. Qui continue à sourire, qui ne réalise pas, qui se dit que ce n’est qu’un mauvais rêve et qu’un jour où l’autre on se réveillera; les choses rentrant dans l’ordre naturellement. Toi, qui place cette peine dans une petit case tout au fond de ton cerveau en te disant qu’elle finira bien par disparaître. Puis les années passent tout comme les amours, on rencontre diverses personnes, vit diverses situations, on mûrit, on se découvre , on oublie. Du moins, on pense oublier. Et on est sacrément heureux, le simple fait de respirer, d’écouter la radio ou même d’écrire. Lorsque je l’ai rencontré je n’ai tout bonnement pas réfléchis. Il me plaisait et je lui plaisais, nos différences faisaient notre force. Il était mâture, réfléchis, beau et parfois même un peu stupide. Il l’est d’ailleurs toujours. Il paraît que dans une relation les premiers mois sont toujours les meilleures, ils le sont mais ce ne sont pas que les premiers mois qui le sont. Chaque seconde à ses côtés l’est, chaque souffle partagé, chaque sourire, chaque promesse, chaque rire, chaque grimace même les disputes ont bons goûts.
Deux mains qui se joignent, deux bouches qui se prennent, deux corps qui se cherchent, liberté volée ; bribe de bonheur arrachée ; Lèvres mordues, corps qui s'unissent, coeurs inflammables. Incendie qui ravage et dévore. Bouches qui murmurent, corps qui s'agrippent, respirations qui s'accélèrent. C’est dans ces moments là que je me sentais sienne, pleinement sienne. En réalité, je lui ai toujours appartenu, même lorsque les choses ont dégringolés. Les sentiments peuvent-ils être plus fort que tout ? Plus fort que la maladie d’un proche, plus fort que la pression familiale et sociale ? Je veux croire que oui.
On provoque nous même ce qui nous arrive, et ensuite on appelle ça le "destin". Quoi de plus facile quand on choisit un chemin glissant que de prétendre qu'on y était destiné ? C’est en réalisant que chaque moment était unique et ne se répéterait jamais que ma vie devenait plus significative. C’est en refusant la facilité d’un destin tout tracé que je m’investissait dans ce que je pensais être mon bonheur. Si les choses ne pouvaient s’arranger alors les améliorer étaient la meilleure solution. Même lorsque l’on s’engueulait qu’il me reprochait de ne rien comprendre, d’être idiote ou encore égoïste, même dans ces moment là je l’aimais. Parce qu’il ne le voulait pas, parce qu’il avait besoin de moi, parce qu’il ne réfléchissait plus concrètement épuisé par la pression et la peur d’une morte imminente. Celle de son père. Parfois, c’était dur, il me poussait à bout et lâcher l’affaire aurait sûrement était plus simple, moins fatiguant. Mais pour combien de temps ? combien de temps m’aurait-il suffit pour regretter ? un semaine ? un jour ? ou seulement une heure ? Ne peut être beau que ce qui peut porter la marque de notre choix, de notre goût, de notre incertitude, de notre désir et de notre faiblesse. Je voulais rendre beau notre amour, montrer à cet homme que si nous réussissions à surmonter cette épreuve ensemble alors la vie nous appartiendrait. Etait-ce naif de ma part ? Vous avez peur, peur de l’étape suivante, peur de souffrir, peur de vous tromper. J’éprouve toutes ces peurs, chaque jour, chaque minute, chaque seconde mais vous savez de quoi j’ai le plus peur ? De perdre ceux que j’aime, de ne pas m’être battus suffisamment pour les garder à mes côtés, de ne pas avoir donné le meilleur de moi même. Lorsque la vie nous met à genoux, on peut choisir de rester assis ou de se relever. Assise sur le rebord de cette fenêtre j’attends, je n’attends pas que le destin vienne à moi, je l’attends lui. Parce que je sais qu’il aura besoin de mon épaule, que ce n’est que le début d’une longue bataille. Confronté à une épreuve, l’être humain n’a que trois choix, combattre, ne rien faire ou fuir. J’ai décidé de combattre à ses côtés, pour lui, pour moi mais aussi pour tout ceux qui nous entourent, pour notre futur, à la mémoire des êtres chers que nous avons perdus et de ceux qu’un jour nous perdrons.
Je pensais être heureuse, mais pas un seul instant je n’ai pensé ne pas l’être. "
It's my life...
et là une petite citation...
Yu Kae - 5 septembre 2017
" Je pensais être heureuse.
Et soudain cette réalité acablante me frappait en plein visage . savais-je ne serait-ce qu’un instant ce que le bonheur et le malheur signifiaient ? c’était comme se réveiller, difficilement ; le corps inerte et l’esprit embrumé . se poser des questions sur le sens de la vie, chose que nous n’avions jamais pris le temps de faire auparavant. Je n’avais pas l’impression d’être malheureuse, en fait je crois que je n’ai jamais ressentis cela, cela fait-il de moi une personne heureuse ? c’est à ce moment précis que j’ai réalisé, absence de malheur ne signifiait guère bonheur et absence de bonheur ne signifiait pas pour autant malheur . j’ai beau creuser profondément dans ma mèmoire je n’arrive toujours pas à me rappeler ne serait-ce qu’un instant durant lequel la tristesse comblait mon être, pourquoi arrivais-je à me sentir triste mais heureuse à la fois, en était-je ainsi égoïste ; ou alors étais-je atteinte de troubles psychologiques ? le premier moment marquant qui me revient en mémoire eut lieu l’année de mes treize ans . J’étais connus pour l’image infantile de ma personne, ô oui que j’étais naïve. C’est à cette époque même que je commençais à recevoir des menaces de mort. Je ne me souviens guère du contenu des messages que je recevais ; juste qu’il était question de ma mise à mort et que cela dura plus de six mois. La peur ? je l’avais tout d’abord ressentis en lisant les messages ; puis une nouvelle fois, en me confrontant à la réaction de mon père. Au fond, je crois que la chose qui m’eût le plus atteins à cette période, ce fut la peur de décevoir mes parents, comme si mourir m’importait peu ; du moment qu’ils pouvaient être fiers de moi. Je me souviens encore mentir disant que les menaces avaient cessées, partir en cours la boule au ventre , le sourire aux lèvres puis rentrer chaque soir, heureuse que rien ne me soit arrivé . Etrangement, apprendre qu’il avait s’agis de ma meilleure de l’époque ne fut qu’un soulagement, même si cela signifiait qu’elle avait toujours éprouvé cette haine profonde pour ma personne. Trop naïve, trop gamine, trop garçon manqué, trop bête comme le disaient les enfants de notre âge. Mais vous savez ? j’étais heureuse à cette époque.
La perte d’un être cher n’est pas une chose dont on s'accommode, on apprend à faire avec, à vivre avec. Certains arrivent à oublier d’autres ne le pourront jamais. La mort change l’être humain, le tourmente, le paralyse, le métamorphose. On ne peut rien y faire et pourtant l’on n’a de cesse de se battre contre celle-ci. Certaines personnes réagissent violemment; d’autres s’effondrent; tellement de réactions diverses. Puis il y a moi, peut-être même toi. Qui continue à sourire, qui ne réalise pas, qui se dit que ce n’est qu’un mauvais rêve et qu’un jour où l’autre on se réveillera; les choses rentrant dans l’ordre naturellement. Toi, qui place cette peine dans une petit case tout au fond de ton cerveau en te disant qu’elle finira bien par disparaître. Puis les années passent tout comme les amours, on rencontre diverses personnes, vit diverses situations, on mûrit, on se découvre , on oublie. Du moins, on pense oublier. Et on est sacrément heureux, le simple fait de respirer, d’écouter la radio ou même d’écrire. Lorsque je l’ai rencontré je n’ai tout bonnement pas réfléchis. Il me plaisait et je lui plaisais, nos différences faisaient notre force. Il était mâture, réfléchis, beau et parfois même un peu stupide. Il l’est d’ailleurs toujours. Il paraît que dans une relation les premiers mois sont toujours les meilleures, ils le sont mais ce ne sont pas que les premiers mois qui le sont. Chaque seconde à ses côtés l’est, chaque souffle partagé, chaque sourire, chaque promesse, chaque rire, chaque grimace même les disputes ont bons goûts.
Deux mains qui se joignent, deux bouches qui se prennent, deux corps qui se cherchent, liberté volée ; bribe de bonheur arrachée ; Lèvres mordues, corps qui s'unissent, coeurs inflammables. Incendie qui ravage et dévore. Bouches qui murmurent, corps qui s'agrippent, respirations qui s'accélèrent. C’est dans ces moments là que je me sentais sienne, pleinement sienne. En réalité, je lui ai toujours appartenu, même lorsque les choses ont dégringolés. Les sentiments peuvent-ils être plus fort que tout ? Plus fort que la maladie d’un proche, plus fort que la pression familiale et sociale ? Je veux croire que oui.
On provoque nous même ce qui nous arrive, et ensuite on appelle ça le "destin". Quoi de plus facile quand on choisit un chemin glissant que de prétendre qu'on y était destiné ? C’est en réalisant que chaque moment était unique et ne se répéterait jamais que ma vie devenait plus significative. C’est en refusant la facilité d’un destin tout tracé que je m’investissait dans ce que je pensais être mon bonheur. Si les choses ne pouvaient s’arranger alors les améliorer étaient la meilleure solution. Même lorsque l’on s’engueulait qu’il me reprochait de ne rien comprendre, d’être idiote ou encore égoïste, même dans ces moment là je l’aimais. Parce qu’il ne le voulait pas, parce qu’il avait besoin de moi, parce qu’il ne réfléchissait plus concrètement épuisé par la pression et la peur d’une morte imminente. Celle de son père. Parfois, c’était dur, il me poussait à bout et lâcher l’affaire aurait sûrement était plus simple, moins fatiguant. Mais pour combien de temps ? combien de temps m’aurait-il suffit pour regretter ? un semaine ? un jour ? ou seulement une heure ? Ne peut être beau que ce qui peut porter la marque de notre choix, de notre goût, de notre incertitude, de notre désir et de notre faiblesse. Je voulais rendre beau notre amour, montrer à cet homme que si nous réussissions à surmonter cette épreuve ensemble alors la vie nous appartiendrait. Etait-ce naif de ma part ? Vous avez peur, peur de l’étape suivante, peur de souffrir, peur de vous tromper. J’éprouve toutes ces peurs, chaque jour, chaque minute, chaque seconde mais vous savez de quoi j’ai le plus peur ? De perdre ceux que j’aime, de ne pas m’être battus suffisamment pour les garder à mes côtés, de ne pas avoir donné le meilleur de moi même. Lorsque la vie nous met à genoux, on peut choisir de rester assis ou de se relever. Assise sur le rebord de cette fenêtre j’attends, je n’attends pas que le destin vienne à moi, je l’attends lui. Parce que je sais qu’il aura besoin de mon épaule, que ce n’est que le début d’une longue bataille. Confronté à une épreuve, l’être humain n’a que trois choix, combattre, ne rien faire ou fuir. J’ai décidé de combattre à ses côtés, pour lui, pour moi mais aussi pour tout ceux qui nous entourent, pour notre futur, à la mémoire des êtres chers que nous avons perdus et de ceux qu’un jour nous perdrons.
Je pensais être heureuse, mais pas un seul instant je n’ai pensé ne pas l’être. "
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Re: YU KAE // A GLIMPSE OF HEAVEN | Dim 1 Sep - 2:02 Citer EditerSupprimer
Ce prénom et cette femme
M’a femme.
Tu es si bel’e Ainsi.
Je suis amoureuse encore plus.
Je t’aime mon bébé.
Bon reboot
Uc
M’a femme.
Tu es si bel’e Ainsi.
Je suis amoureuse encore plus.
Je t’aime mon bébé.
Bon reboot
Uc
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Re: YU KAE // A GLIMPSE OF HEAVEN | Dim 1 Sep - 7:39 Citer EditerSupprimer
mon bébé, l’amour de la vie de senji
bon reboot ma belle
bon reboot ma belle
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Re: YU KAE // A GLIMPSE OF HEAVEN | Dim 1 Sep - 13:53 Citer EditerSupprimer
Owww coucou bon reboot avec cette belle demoiselle
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Re: YU KAE // A GLIMPSE OF HEAVEN | Dim 1 Sep - 21:54 Citer EditerSupprimer
ah ouais d'accord, tu reboot pour une bombe comme ça
bon reboot chaton
bon reboot chaton
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Re: YU KAE // A GLIMPSE OF HEAVEN | Mar 3 Sep - 16:30 Citer EditerSupprimer
tellement d'amour par ici, rien que pour ça je suis heureuse de reboot
merci les amours, j'espère que kae vous plaira
merci les amours, j'espère que kae vous plaira
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Re: YU KAE // A GLIMPSE OF HEAVEN | Mar 3 Sep - 17:16 Citer EditerSupprimer
mon bébé, mon amour, ma vie.
wait for me, kaehee is going to be epic ~
je t'aime.
bon reboot ma choupette.
wait for me, kaehee is going to be epic ~
je t'aime.
bon reboot ma choupette.
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