Yi Kook /// Bloom Bloom Pow
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Yi Kook /// Bloom Bloom Pow | Mer 4 Sep - 8:59 Citer EditerSupprimer
Yi Kook
Undercover
IDENTITY CARD |
Il parait que... Il est plutôt homophobes et racistes. Il ne le crie par sur tous les toits mais il prends ses distances avec les personnes avec une orientation sexuelle ou une origine différentes de la sienne. ✗ Il paraît qu'il n'est plus retourné à Jeju depuis qu'il a quitté l'île. ✗ Depuis qu'il est arrivé à Séoul, il a pris en maturité. ✗ Il aime particulièrement l'hiver, largement plus que les autres saisons. ✗ Il porte toujours des tenues sombres et amples de préférence. Il n'aime pas vraiment son corps. ✗ Il semble qu'en dessous de ses couches, il soit très musclé et il est particulièrement endurant. ✗ Il ne mesure qu'1m65 et c'est son plus grand complexe mais soyons franc, il ne se voit pas mettre de talons. ✗ Il est fils unique ✗ Il ne s'y connaît pas vraiment en relation. À Jeju, il connaissait tout sin village, c'était bien plus simple. ✗ Suite à son éducation, il est old school ✗ Il adore les chiens, il en a d'ailleurs un, un berger allemand. ✗ Il est passionné par ses études et se voit déjà comme un grand inspecteur de police. ✗ Il va à la salle presque tous les jours et cours souvent avec son chien. ✗ Il n'a jamais eu de copines mais ses parents avaient prévu qu'il se marie avec une fille du village ✗ Il devait devenir épicier et passer toute sa vie dans son village ✗ Il déteste tous ceux qui ne respectent pas le règlement et est très stricte. ✗ On le prends très peu au sérieux mais il essaye de faire ses preuves dans ses études. | Dis nous qui tu es ! Chaque personne a un profil, des traits qui expliquent leurs actes ou les rendent capable d'en commettre. Si on doit dresser le profil de Kook, il faut avouer qu'il est loin d'être le type à tuer, loin de là. En commençant par observer, il est facile de le définir. Ses principaux traits de caractère sautent aux yeux. Il est souvent seul, les yeux fixés droit devant lui pour passer clairement l'impression qu'il ne veut pas être dérangé. Il est facile de comprendre pourquoi car, après tout, il y a toujours une raison pour qu'un trait de caractère se développe. La ville est impressionnante pour un garçon né dans un village minuscule. Lorsqu'il était dans son village, il était quelqu'un de très sociale mais le changement l'a perturbé. Il ne se sent plus aussi à l'aise que dans son petit village. Il essaye d'être comme les gens de la ville et il les voit comme froid et distant. Il est très loyal. S'il tient à quelqu'un, il ne le trahira jamais ou en tout cas presque jamais. Kook est un homme qui a été élevé dans un endroit coupé du monde, ou les traditions et les valeurs régnaient toujours. Il est imprégné par celles-ci. Tout ce qui pourrait l'empêcher d'être loyal, c'est si ceux qui l'aiment font quelque chose de très mal. Heureusement, il n'a jamais été confronté à ce genre de situation. Il n'a donc jamais du choisir entre la loi et l'amitié. Il revit tous les soirs la mort de ses parents. Elle ne date que d'il y a 5 ans et il n'en a toujours pas fait le deuil. Il est toujours hanté par les cris de ses parents et les sirènes de la police et de l'ambulance. C'est un garçon traumatisé mais c'est ce traumatisme qui a fait naître la passion et l'avenir du jeune homme. Il ne pourra jamais venger la mort de ses parents mais il veut pouvoir venger tous les autres crimes et punir ceux qui les commettent. Quand on parle des traditions qui ont influencé le caractère du jeune homme, on doit passer par ce qu'il n'accepte pas dans la société. Arrivé à Séoul, il a découvert que des gens revendiquaient sans problème leur homosexualité et que le taux d'étrangers était bien plus élevé en ville que dans son village. Même s'il ne crie pas qu'il déteste ces personnes-là, il les évite avec précaution. Très old school dans ses manières, il s'habille toujours de façon très classique et sombre et reste droit dans ses bottes. Il a besoin d'avoir un avenir rassurant après que son avenir précédent ait été bouleversé. Il est également perspicace. Il est un grand fan de Sherlock Holmes et il est du genre à essayer de deviner le comportement et les actes futurs des personnes qu'il rencontre. Au fil du temps, il s'est amélioré et passe plus de temps à observer plutôt qu'à parler. Il n'est pas très fan des technologies modernes. Là d'où il vient, elles étaient nettement réduites et il ne les découvre que maintenant mais n'en est pas accro. Il a évidemment un téléphone mais pour écouter sa musique, il a préféré garder son vieux walkman qui lui vient de ses parents. |
Leïla Encore un reboot mais promis cette fois c'est le dernier
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Re: Yi Kook /// Bloom Bloom Pow | Mer 4 Sep - 9:02 Citer EditerSupprimer
It's my life...
I was right there
24 décembre 1996
Naissance du petit Wang Kook, enfin plutôt Kook tout court. Ses parents semblent avoir choisi de raccourcir le prénom du nouveau-né à la dernière minute. Il est né à 23h27 en ce 24 décembre 1996. Nous lui souhaitons une agréable arrivée dans notre petit village !
C’était la tradition. Un petit message de naissance était toujours publié dans le journal local du village où je suis né. Mes parents avaient découpé cette petite partie tout en bas d’une page et je l’ai toujours gardée depuis. Derrière le texte et la photo en noire et blanc du nouveau-né potelé que j’étais, on peut encore lire quelques mots à propos d’un article sur la saison de la pêche. Détail futile, mais amusant toutefois quand on sait que le poisson allait devenir ce que je préférais manger.
C’est ainsi que ma vie a débuté. Le jour de Noël, un soir où la neige tombait en trombe et où les hurlements de ma mère raisonnaient dans les rues du village en bord de mer. Un début pour moi, une expérience douloureuse pour ma mère qui tentait de me mettre au monde, couchée sur la table de notre salon avec la moitié des habitants autour d’elle. Je suis né et j’ai hurlé mon premier cri, enroulé dans une couverture de laine pour être directement blotti contre la poitrine brûlante de la plus belle femme du monde. Ma naissance, de mon côté, fut paisible puisque je suis né en bonne santé, nourri presqu’immédiatement et bercé au coin du feu. Cette ambiance m’a imprégné et c’est une des raisons qui expliquent à quel point j’adore l’hiver.
Début 2000
La vie dans un village aussi petit et en bord de mer est tellement paisible qu’il est difficile, voire impossible d’avoir des problèmes. Le taux de natalité était faible, les personnes âgées, au contraire, étaient nombreuses mais il faisait bon de vivre là. C’était un peu comme la Comté dans le Seigneur des anneaux, un vrai Paradis que personne ne quittait jamais. Enfant, je passais des heures les pieds dans l’eau à jouer ou à apprendre à pécher. Il n’y avait pas grand-chose à faire. Dans le village, il n’y avait qu’une église, une école où des professeurs fossiles continuaient d’enseigner traditions et matières basiques et de nombreuses maisons pittoresques. Pas besoin de faire de longues études, tout le monde restait et travaillait dans le village alors aller à l’école servait surtout à lier les quelques enfants présents. Nous étions tous amis, à jouer aux billes dans la cour quelque soit notre âge, portant les tenues d’enfance de nos parents et de leurs parents avant eux. C’est comme si nous vivions dans le passé mais c’était une enfance magique.
Mes parents étaient épiciers, ils tenaient l’un des seuls magasins du village, tout le monde faisait les courses chez les Yi. J’étais leur héritier, ce n’était pas un héritage incroyable mais il me convenait à merveille. Je grandissais en ayant la joie de vivre de ma mère et l’accueil chaleureux de mon père, tout le monde me voyait comme le futur épicier du coin. J’avais eu une amourette en étant gamin et nos parents, depuis, nous ont toujours promis l’un à l’autre. C’était la tradition, on se mariait entre voisins, on reprenait un commerce et on faisait des enfants. Ce futur qu’était le mien me semblait parfait. On vivait avec très peu de moyen mais une quantité de bonheur inégalable. Et ça aurait dû rester ainsi.
12 juillet 2014
J’étais encore adolescent et comme tout le reste de mon existence, tout se passait bien. J’avais déjà commencé à apprendre à gérer l’épicerie. Je passais mes journées à travailler dans notre magasin puisque j’avais fini mes études. Plus rien n’aurait pu entraver mon avenir. Il était paisible, brillant et simple. J’étais né dans une vie facile et mon avenir l’aurait été tout autant si… S’il n’y avait pas eu ce jour-là. Le 12 juillet 2014. C’est arrivé il y a à peine 5 ans mais cet événement a bouleversé toute ma vie. J’étais malade, une grippe en plein été et j’étais cloué au lit et je n’avais pas pu travailler. Je me suis toujours demandé comment une tragédie avait pu frapper un endroit aussi paisible. Mais le mal est partout et il frappe au moment le plus inattendu. Je lisais dans ma chambre qui se trouvait au-dessus de l’épicerie, c’était une histoire passionnante de Sherlock Holmes – de quoi me faire oublier ce qui me faisait souffrir le martyr. Je n’ai jamais vu ce qui s’est passé mais il était 15h07 précise quand les meurtres ont eu lieu, encore un détail inutile pour un moment si sombre. Comme je l’ai dit et me le suis si longtemps répété, je n’ai rien vu. J’ai entendu des coups de feu, c’était assourdissant et brouillon mais ils résonnent encore dans mes tympans au nombre de sept, sept pour que seulement trois ne trouvent leurs cibles. Le temps que je descende en titubant difficilement, tout était fini. Les images d’horreur ne sont plus que très floues à présent dans mon esprit mais je suis celui qui ait découvert le résultat de ce cambriolage ayant mal tourné.
Tout un avenir chamboulé mais pas que. J’ai perdu ma famille et un vide s’est créé en moi. Jamais nous n’avons retrouvé les coupables et l’envie de venger leur mort injuste m’a toujours poursuivi depuis. Je n’avais que 18 ans, j’étais bien trop jeune, bien trop sûr de ce que l’avenir me réservait. Celui-ci m’a trahi et a changé mes plans. Pendant deux ans, je suis resté dans ce village en tentant de tenir ce que mes parents ont fait de leur vie entière. Mais je n’ai jamais réussi à aller mieux, je lisais dans chaque regard que je croisais la même tristesse, celle qui entravait mon cœur. La mort semble irréelle tant que nous n’y avons jamais été confronté. Maintenant, je sais que je ne pourrais plus jamais être le même. Cela m’a pris deux ans, deux longues années où je n’ai vécu que dans des cauchemars, endormis ou éveillés pour ne voir sans cesse que la mort de mes parents. La tristesse a mis beaucoup de temps avant de se transformer en colère et en désir de vengeance…
2019
Voilà trois ans que j’ai quitté Jeju, la ville de mes plus belles mais mes plus horribles expériences. J’ai choisi de partir et cette décision n’a pas surpris que moi. Personne ne quitte jamais notre village, jamais. Mais moi, je suis parti, je ne pouvais pas rester, pas après la mort de mes parents. Je suis allé à Séoul en me convaincant que mes parents auraient voulu le meilleur pour moi. La capitale ne m’a pas plu comme le village me plaisait. Le monde y est bien plus impressionnant, les habitants bien moins accueillants… En réalité, il n’y a rien de semblable à ce que je connaissais mais je veux devenir criminologue. Je vis dans un dortoir, je travaille dans un cinéma pour avoir assez d’argent et j’essaye d’être le parfait habitant de la capitale même si ça va à l’encontre de qui j’étais il y a trois ans.
Naissance du petit Wang Kook, enfin plutôt Kook tout court. Ses parents semblent avoir choisi de raccourcir le prénom du nouveau-né à la dernière minute. Il est né à 23h27 en ce 24 décembre 1996. Nous lui souhaitons une agréable arrivée dans notre petit village !
C’était la tradition. Un petit message de naissance était toujours publié dans le journal local du village où je suis né. Mes parents avaient découpé cette petite partie tout en bas d’une page et je l’ai toujours gardée depuis. Derrière le texte et la photo en noire et blanc du nouveau-né potelé que j’étais, on peut encore lire quelques mots à propos d’un article sur la saison de la pêche. Détail futile, mais amusant toutefois quand on sait que le poisson allait devenir ce que je préférais manger.
C’est ainsi que ma vie a débuté. Le jour de Noël, un soir où la neige tombait en trombe et où les hurlements de ma mère raisonnaient dans les rues du village en bord de mer. Un début pour moi, une expérience douloureuse pour ma mère qui tentait de me mettre au monde, couchée sur la table de notre salon avec la moitié des habitants autour d’elle. Je suis né et j’ai hurlé mon premier cri, enroulé dans une couverture de laine pour être directement blotti contre la poitrine brûlante de la plus belle femme du monde. Ma naissance, de mon côté, fut paisible puisque je suis né en bonne santé, nourri presqu’immédiatement et bercé au coin du feu. Cette ambiance m’a imprégné et c’est une des raisons qui expliquent à quel point j’adore l’hiver.
Début 2000
La vie dans un village aussi petit et en bord de mer est tellement paisible qu’il est difficile, voire impossible d’avoir des problèmes. Le taux de natalité était faible, les personnes âgées, au contraire, étaient nombreuses mais il faisait bon de vivre là. C’était un peu comme la Comté dans le Seigneur des anneaux, un vrai Paradis que personne ne quittait jamais. Enfant, je passais des heures les pieds dans l’eau à jouer ou à apprendre à pécher. Il n’y avait pas grand-chose à faire. Dans le village, il n’y avait qu’une église, une école où des professeurs fossiles continuaient d’enseigner traditions et matières basiques et de nombreuses maisons pittoresques. Pas besoin de faire de longues études, tout le monde restait et travaillait dans le village alors aller à l’école servait surtout à lier les quelques enfants présents. Nous étions tous amis, à jouer aux billes dans la cour quelque soit notre âge, portant les tenues d’enfance de nos parents et de leurs parents avant eux. C’est comme si nous vivions dans le passé mais c’était une enfance magique.
Mes parents étaient épiciers, ils tenaient l’un des seuls magasins du village, tout le monde faisait les courses chez les Yi. J’étais leur héritier, ce n’était pas un héritage incroyable mais il me convenait à merveille. Je grandissais en ayant la joie de vivre de ma mère et l’accueil chaleureux de mon père, tout le monde me voyait comme le futur épicier du coin. J’avais eu une amourette en étant gamin et nos parents, depuis, nous ont toujours promis l’un à l’autre. C’était la tradition, on se mariait entre voisins, on reprenait un commerce et on faisait des enfants. Ce futur qu’était le mien me semblait parfait. On vivait avec très peu de moyen mais une quantité de bonheur inégalable. Et ça aurait dû rester ainsi.
12 juillet 2014
J’étais encore adolescent et comme tout le reste de mon existence, tout se passait bien. J’avais déjà commencé à apprendre à gérer l’épicerie. Je passais mes journées à travailler dans notre magasin puisque j’avais fini mes études. Plus rien n’aurait pu entraver mon avenir. Il était paisible, brillant et simple. J’étais né dans une vie facile et mon avenir l’aurait été tout autant si… S’il n’y avait pas eu ce jour-là. Le 12 juillet 2014. C’est arrivé il y a à peine 5 ans mais cet événement a bouleversé toute ma vie. J’étais malade, une grippe en plein été et j’étais cloué au lit et je n’avais pas pu travailler. Je me suis toujours demandé comment une tragédie avait pu frapper un endroit aussi paisible. Mais le mal est partout et il frappe au moment le plus inattendu. Je lisais dans ma chambre qui se trouvait au-dessus de l’épicerie, c’était une histoire passionnante de Sherlock Holmes – de quoi me faire oublier ce qui me faisait souffrir le martyr. Je n’ai jamais vu ce qui s’est passé mais il était 15h07 précise quand les meurtres ont eu lieu, encore un détail inutile pour un moment si sombre. Comme je l’ai dit et me le suis si longtemps répété, je n’ai rien vu. J’ai entendu des coups de feu, c’était assourdissant et brouillon mais ils résonnent encore dans mes tympans au nombre de sept, sept pour que seulement trois ne trouvent leurs cibles. Le temps que je descende en titubant difficilement, tout était fini. Les images d’horreur ne sont plus que très floues à présent dans mon esprit mais je suis celui qui ait découvert le résultat de ce cambriolage ayant mal tourné.
Tout un avenir chamboulé mais pas que. J’ai perdu ma famille et un vide s’est créé en moi. Jamais nous n’avons retrouvé les coupables et l’envie de venger leur mort injuste m’a toujours poursuivi depuis. Je n’avais que 18 ans, j’étais bien trop jeune, bien trop sûr de ce que l’avenir me réservait. Celui-ci m’a trahi et a changé mes plans. Pendant deux ans, je suis resté dans ce village en tentant de tenir ce que mes parents ont fait de leur vie entière. Mais je n’ai jamais réussi à aller mieux, je lisais dans chaque regard que je croisais la même tristesse, celle qui entravait mon cœur. La mort semble irréelle tant que nous n’y avons jamais été confronté. Maintenant, je sais que je ne pourrais plus jamais être le même. Cela m’a pris deux ans, deux longues années où je n’ai vécu que dans des cauchemars, endormis ou éveillés pour ne voir sans cesse que la mort de mes parents. La tristesse a mis beaucoup de temps avant de se transformer en colère et en désir de vengeance…
2019
Voilà trois ans que j’ai quitté Jeju, la ville de mes plus belles mais mes plus horribles expériences. J’ai choisi de partir et cette décision n’a pas surpris que moi. Personne ne quitte jamais notre village, jamais. Mais moi, je suis parti, je ne pouvais pas rester, pas après la mort de mes parents. Je suis allé à Séoul en me convaincant que mes parents auraient voulu le meilleur pour moi. La capitale ne m’a pas plu comme le village me plaisait. Le monde y est bien plus impressionnant, les habitants bien moins accueillants… En réalité, il n’y a rien de semblable à ce que je connaissais mais je veux devenir criminologue. Je vis dans un dortoir, je travaille dans un cinéma pour avoir assez d’argent et j’essaye d’être le parfait habitant de la capitale même si ça va à l’encontre de qui j’étais il y a trois ans.
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Re: Yi Kook /// Bloom Bloom Pow | Mer 4 Sep - 19:57 Citer EditerSupprimer
Bon reboot miss
Et Bon courage pour ta fiche
Et Bon courage pour ta fiche
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Re: Yi Kook /// Bloom Bloom Pow | Mer 4 Sep - 21:11 Citer EditerSupprimer
OMG OMG OMG
hwaaaaall ce choix de ouf
bon reboot
j'espère que tu t'amuseras avec ce nouveau perso
hwaaaaall ce choix de ouf
bon reboot
j'espère que tu t'amuseras avec ce nouveau perso
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Re: Yi Kook /// Bloom Bloom Pow | Mer 4 Sep - 23:53 Citer EditerSupprimer
bon reboot
amuse toi bien avec ce nouveau bébé
amuse toi bien avec ce nouveau bébé
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Re: Yi Kook /// Bloom Bloom Pow | Jeu 5 Sep - 5:43 Citer EditerSupprimer
Haaan bon reboot avec ce beau monsieur, bon courage pour ta fiche
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Re: Yi Kook /// Bloom Bloom Pow | Jeu 5 Sep - 5:58 Citer EditerSupprimer
omg, Hwall ce choix d'avatar
bon reboot, bon courage pour ta fiche
bon reboot, bon courage pour ta fiche
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Re: Yi Kook /// Bloom Bloom Pow | Ven 6 Sep - 3:06 Citer EditerSupprimer
Bon reboot aussi et courage pour finir ta fiche
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Re: Yi Kook /// Bloom Bloom Pow | Dim 8 Sep - 0:24 Citer EditerSupprimer
well hello there general kenobi (pardon pour la ref moisie hein) beautiful, bon reboot et courage pour la fin de ta fiche !
content de voir de nouveaux gumis dans les rangs
content de voir de nouveaux gumis dans les rangs
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Re: Yi Kook /// Bloom Bloom Pow | Mer 11 Sep - 21:26 Citer EditerSupprimer
ton perso a l’air intéressant
amuse toi bien avec lui
Coucou toi et bienvenue chez les gumiho !
Si tu lis ce message de love c'est que ta fiche m'a fait tourner dans le vide . Ta première mission, si tu l'acceptes, c'est dePOSTER TON ACTIVITÉ RP afin que l'on puisse bien s'assurer que tu bootyshakes avec nous suffisamment régulièrement, sinon on risque de se sentir trop paro sans toi... Ensuite t'auras le droit d'aller te chercher quelques potos ICI mais n'attends pas que les gens viennent te proposer de faire boum boum boum. Si tu viens à eux c'est encore mieux ! Vaut mieux que tu passes PAR LÀ aussi, c'est pour ton bien ! Et tu peux aussi nous montrer ta vie sur ton GNS avec les photos que t'as prises sur ton TÉLÉPHONE trop stylé. Si tu as décidé de te dédoubler tu peux venir te recenser sur LISTING DES COMPTES . Il est aussi très utile si tu veux simplement connaître les doubles comptes des membres ! Après, si tu es trop timide, y a moyen que tu demandes à te faire PARRAINER parce qu'on aime pas laisser nos petits chatons tout seul. Maintenant que t'es en règle, tu peux aller FLOODER comme le fifou que tu es ♡
amuse toi bien avec lui
Ta fiche est validée !
Si tu lis ce message de love c'est que ta fiche m'a fait tourner dans le vide . Ta première mission, si tu l'acceptes, c'est de
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