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SU MISO ❧ LET S RUN AWAY
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SU MISO ❧ LET S RUN AWAY | Lun 7 Oct - 6:24 Citer EditerSupprimer
Su Miso ❧
beautiful liar
IDENTITY CARD |
Il parait que... Aurait fuit la Corée du nord son pays d'origine. (VRAI. Quand elle avait 13 ans) + Elle s'est longtemps cachée sans assumer sa féminité et même son existence (VRAI. En tant que réfugié sans papier, elle préférait rester invisible) + Elle a une peur panique des bruits de pétards (FAUX elle n'aime pas ça mais ça ne l'effraie pas) + Elle chante au karaoké pour se défouler et adore jouer au baseball (VRAI. avec une batte entre les mains elle fait des miracles !) + Elle a un jumeau qu'elle a perdu de vu après sa fuite de la chine. (VRAI. Mais elle l'a retrouvé quand ils sont rentrés dans le gang tous les deux.) + Elle n'hésite pas à mentir et voler pour avoir une vie tranquille (VRAI. Lui en voulait pas trop.) + Elle est au top de la technologie et possède tout d'une vraie geek (FAUX Elle n'a connu internet qu'à l'âge de 20 ans et a du mal à se faire à l'idée d'avoir un téléphone portable) + Elle garde sur elle un collier qu'elle a volé un garcon qui l'a aidé il y a quelques années quand elle était au japon (FAUX. c'est le seul objet qui a appartenu à sa mère et qu'elle porte la plupart du temps.) + Miso est un chaton sauvage (VRAI, mais chaton que d'apparence.) + Elle a été violé par le passeur qui se chargeait de la faire aller en chine. (VRAI, elle cherche aujourd'hui à s'en venger et souhaite tuer cet homme). /div> | Dis nous qui tu es ! |
Poupou Pas de gros changement pour Miso, mais après avoir perdu tous mes liens quasiment, je la vieillis légèrement et remet un coup de neuf à son histoire pour qu'elle soit plus facile à appréhender !
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Re: SU MISO ❧ LET S RUN AWAY | Lun 7 Oct - 6:25 Citer EditerSupprimer
It's my life...
et là une petite citation...
Chapitre 1 : La Corée du Nord.
« Chérie ? Réveille-toi, c’est l’heure. » La voix de ma mère est cassée, anxieuse et surtout apeurée. Je n’ai pas vraiment réussi à dormir et je saute de mon lit, surement pour la dernière fois de ma vie, et enfile mes chaussures sans un mot. Le silence de plomb règne dans notre petit appartement. J’ai la nausée mais je ne peux pas me plaindre, j’ai trop peur qu’en ouvrant la bouche je me mette à vomir. J’attrape la main de mon frère jumeau en tremblant et attend que ma mère est fini de se préparer. Il est à peine 2h du matin. Nous n’emportons que le strict minimum. Quelques rations de nourriture, des vêtements, pas très chaud pour ne pas prendre de place. Je regarde en direction de mon frère qui tente de me sourire, mais lui aussi est mort de trouille parce qu’il sait … il sait ce qui nous attend … Mon père est parti il y a deux jours, pour nous préparer le terrain qu’il disait. On va fuir. Quitter ce pays. Ce pays où …
Les gens sont fusillés pour avoir regardé un film d’hollywood. Ce pays où les gens meurent pour avoir osé aller sur internet. Ce pays qui se moque de nous, qui nous réduit au silence. Ce pays qui nous dit quand rire, quand pleurer. Ce pays qui nous dit comment nous habiller et qui régit jusqu’au moindre de nos souffles. Ce pays qui nous détruit, qui nous façonne, tels des pantins. Ce pays qui nous ment. Les guerres que nous avons gagnées, des guerres que nous n’avons jamais vécues. Ce pays qui nous étouffe et qui nous fait mourir aux yeux du monde. Ce monde qui ne fait rien pour nous aider …
Chapitre II : La traversée.
Il fait froid, tellement froid que j’en tremble. Je n’arrive pas à me réchauffer, j’ai du mal à garder les yeux ouverts. Ma mère me supplie de rester réveiller et mon frère me serre contre lui. Papa nous attend de l’autre côté. Enfin, c’est ce qui était prévu. Nous sommes 4. Un passeur nous guide au péril de sa vie. Il nous guide pour une somme d’argent qui nous ruinera jusqu’à la fin de notre vie. Il nous fait passer, les après les autres. Je déteste l’idée d’être seule avec lui. Il me fixe de cette façon qui m’effraie. J’ai 16 ans. 16 et je découvre pour la première fois la perversion de l’homme. Il fait d’abord passer mon frère. Il nous sépare. S’arrange pour m’affaiblir. Il se tourne vers moi et pense pouvoir profiter de la situation. Mais ma mère, cette femme courageuse refuse de le laisser approcher. Elle me place derrière elle. Ses cheveux noirs que j’ai toujours aimé sentir me chatouille le nez. Je n’ai pas tout de suite compris quand elle m’a dit qu’elle revenait. Elle m’a dit de restée assise ici, de ne pas dormir, de l’attendre. Le temps m’a paru une éternité. L’éternité lui a paru douloureuse. Elle revient. La jupe de travers. Les cheveux en bataille et le regard remplie de larmes. L’homme revient. La ceinture encore ouverte. Je détourne le regard. Je ne veux pas comprendre ce qui vient de se passer. Je ne veux pas comprendre ce qu’à faire ma mère pour moi. J’ai 16 ans. J’ai encore le temps. Le temps de m’horrifier de ces choses …
Mais le temps est joueur. douloureux. alors que ma mère s'endort à moitié, épuisé du froid et l'attente, l'homme en profite et me vole la seule chose qu'il n'aurait jamais du me prendre. Je n'ai jamais rien dit. Jusqu'à l'avouer à Hwan récemment. Le seul soulagement que j'ai et de savoir que ma mère n'aura jamais su que son sacrifice aura été vain, ni le mal que ce monstre a fait a sa fille ...
Chapitre III : L’arrivée.
J’ai encore du mal à y croire mais on est sur le point de traverser la frontière. J’aperçois mon père au loin. J’ai le cœur qui flanche, des impatiences dans tout le corps. Je veux courir vers lui mais on m’en empêche. On doit s’accroupir, les hommes s’agitent, les hommes sont nerveux. Soudain un cri. COUREZ. COUREZ LA DOUANE EST LA. L’agitation qui éclate après ce silence lourd me fait trébucher. Je cours sans savoir où je vais. Des sifflements me poursuivent et des éclats dans la nuit noire m’effrayent. J’ai réussi. Je ne sais pas comment mais j’ai réussi. J’atterri dans les bras de mon père qui me soulève et cours avec moi. Je ne le vois pas tout de suite mais il est blessé. Je vois mon frère, ma mère, tout le monde cours dans la même direction. On court pour sauver nos peaux, nos vies. Parce qu’on croit en un avenir meilleur. Parce qu’on veut pouvoir vivre. Vivre libre. Et cette liberté à un prix, elle laisse un gout amer dans la bouche. Je retiens mes larmes et m’accroche à mon père.
On est en chine. Tout me parait fou autour de nous. J’ai envie de partir loin, de fuir le plus loin possible mais les environs sont fouillés. Je reste assise, accroupie à m’en bruler les jambes. J’ai mal mais je ne dis rien. Le moindre souffle pourrait nous trahir. Le moindre souffle pourrait nous tuer. Je ferme les yeux et me serre contre mon père. Son souffle est lent, erratique. Il doit avoir froid. Il serre ses enfants contre lui et ma mère nous enveloppe. Je m’endors sans m’en rendre compte. On l’a fait. On a passé la frontière.
Chapitre IV : le réveille.
Quand j’ai rouvert les yeux ma mère pleurait en silence et mon petit frère fixait le vide d’un air absent. Livide et pétrifié. Le soleil se levait tout juste. Il faisait si froid que nos souffles se cassaient en une fumée opaque. J’ai mis quelques secondes avant de réaliser que mon manteau était couvert de sang. J’ai un mis un temps avant de réaliser que le souffle si berçant de mon père avait cessé. J’ai mis un temps avant de comprendre qu’il n’était plus là … J’étouffe un sanglot. Pleurer nous est interdit. Avoir de la peine nous est mortel. On doit rester discret, on doit … rester discret … C’est finalement le passeur qui nous retrouve 3h après … Le soleil est bas dans le ciel. Le froid n’a pas cessé de nous bruler le bout des doigts. Au petit matin je me retrouve à creuser un trou, un assez profond pour cacher le corps de mon père. Je n’ai pas de force mais je continue de racler le sol froid. Ce sol qui accueillera la dépouille de mon père pour toujours. On a mis une heure pour le cacher sous les feuilles. Au moins … Ils n’auront pas son corps. Maigre consolation.
La vie continue elle, la course contre la montre ; la peur au ventre, le cœur en miette on reprend la route. Ma mère, faible marche en se tenant à nous. On la soutient. On l’aide du mieux qu’on peut … on l’aura aidé jusqu’au bout. Nous avons passé 2 mois en chine, aidé par d’autres réfugiés nous avions un toit, un abri, de la nourriture, on travaillait, on aidait pour faire vivre l’appartement … Puis un jour notre mère nous a dit qu’elle devrait aller à la frontière pour chercher sa sœur. Elle refusait qu’on l’accompagne. Elle n’est jamais revenue. Peu de temps après nous avons été mis à la porte. Deux bouches à nourrir de trop, des places à fournir. Nous avions notre liberté à nous mais enfermé dans cet appartement les trois quart du temps nous avons eu du mal à nous y faire … Nous avions de fausse carte d’identité. Une nouvelle identité. On a parcourus le pays quelques mois avant à la recherche de notre mère ... mais nous avons fini par rejoindre la Corée, là où notre père voulait nous envoyer.
Chapitre V : La Corée du Sud.
23 ans. la temps est passé si vite. filant entre nos doigts comme du sable fin. j'ai grandis, on a grandit. Hwan et moi faisons désormais partie d'un clan mafieux. ce n'est certainement pas ce qu'aurait voulu nos parents mais c'est le seul avenir qui semble nous ouvrir ses portes et nous éviter la pauvreté. nous avons de faux papier, nous avons de l'argent, du pouvoir. le pouvoir de changer les choses ... nosu refusons de vivre à nouveau caché, à nouveau oppressé ... Ô ça non, on refuse. Je veux être heureuse, je veux pouvoir vivre ma vie, et continuer d'avancer, qu'importe que les beaux yeux d'Aciel vienne tout compliquer.
« Chérie ? Réveille-toi, c’est l’heure. » La voix de ma mère est cassée, anxieuse et surtout apeurée. Je n’ai pas vraiment réussi à dormir et je saute de mon lit, surement pour la dernière fois de ma vie, et enfile mes chaussures sans un mot. Le silence de plomb règne dans notre petit appartement. J’ai la nausée mais je ne peux pas me plaindre, j’ai trop peur qu’en ouvrant la bouche je me mette à vomir. J’attrape la main de mon frère jumeau en tremblant et attend que ma mère est fini de se préparer. Il est à peine 2h du matin. Nous n’emportons que le strict minimum. Quelques rations de nourriture, des vêtements, pas très chaud pour ne pas prendre de place. Je regarde en direction de mon frère qui tente de me sourire, mais lui aussi est mort de trouille parce qu’il sait … il sait ce qui nous attend … Mon père est parti il y a deux jours, pour nous préparer le terrain qu’il disait. On va fuir. Quitter ce pays. Ce pays où …
Les gens sont fusillés pour avoir regardé un film d’hollywood. Ce pays où les gens meurent pour avoir osé aller sur internet. Ce pays qui se moque de nous, qui nous réduit au silence. Ce pays qui nous dit quand rire, quand pleurer. Ce pays qui nous dit comment nous habiller et qui régit jusqu’au moindre de nos souffles. Ce pays qui nous détruit, qui nous façonne, tels des pantins. Ce pays qui nous ment. Les guerres que nous avons gagnées, des guerres que nous n’avons jamais vécues. Ce pays qui nous étouffe et qui nous fait mourir aux yeux du monde. Ce monde qui ne fait rien pour nous aider …
Chapitre II : La traversée.
Il fait froid, tellement froid que j’en tremble. Je n’arrive pas à me réchauffer, j’ai du mal à garder les yeux ouverts. Ma mère me supplie de rester réveiller et mon frère me serre contre lui. Papa nous attend de l’autre côté. Enfin, c’est ce qui était prévu. Nous sommes 4. Un passeur nous guide au péril de sa vie. Il nous guide pour une somme d’argent qui nous ruinera jusqu’à la fin de notre vie. Il nous fait passer, les après les autres. Je déteste l’idée d’être seule avec lui. Il me fixe de cette façon qui m’effraie. J’ai 16 ans. 16 et je découvre pour la première fois la perversion de l’homme. Il fait d’abord passer mon frère. Il nous sépare. S’arrange pour m’affaiblir. Il se tourne vers moi et pense pouvoir profiter de la situation. Mais ma mère, cette femme courageuse refuse de le laisser approcher. Elle me place derrière elle. Ses cheveux noirs que j’ai toujours aimé sentir me chatouille le nez. Je n’ai pas tout de suite compris quand elle m’a dit qu’elle revenait. Elle m’a dit de restée assise ici, de ne pas dormir, de l’attendre. Le temps m’a paru une éternité. L’éternité lui a paru douloureuse. Elle revient. La jupe de travers. Les cheveux en bataille et le regard remplie de larmes. L’homme revient. La ceinture encore ouverte. Je détourne le regard. Je ne veux pas comprendre ce qui vient de se passer. Je ne veux pas comprendre ce qu’à faire ma mère pour moi. J’ai 16 ans. J’ai encore le temps. Le temps de m’horrifier de ces choses …
Mais le temps est joueur. douloureux. alors que ma mère s'endort à moitié, épuisé du froid et l'attente, l'homme en profite et me vole la seule chose qu'il n'aurait jamais du me prendre. Je n'ai jamais rien dit. Jusqu'à l'avouer à Hwan récemment. Le seul soulagement que j'ai et de savoir que ma mère n'aura jamais su que son sacrifice aura été vain, ni le mal que ce monstre a fait a sa fille ...
Chapitre III : L’arrivée.
J’ai encore du mal à y croire mais on est sur le point de traverser la frontière. J’aperçois mon père au loin. J’ai le cœur qui flanche, des impatiences dans tout le corps. Je veux courir vers lui mais on m’en empêche. On doit s’accroupir, les hommes s’agitent, les hommes sont nerveux. Soudain un cri. COUREZ. COUREZ LA DOUANE EST LA. L’agitation qui éclate après ce silence lourd me fait trébucher. Je cours sans savoir où je vais. Des sifflements me poursuivent et des éclats dans la nuit noire m’effrayent. J’ai réussi. Je ne sais pas comment mais j’ai réussi. J’atterri dans les bras de mon père qui me soulève et cours avec moi. Je ne le vois pas tout de suite mais il est blessé. Je vois mon frère, ma mère, tout le monde cours dans la même direction. On court pour sauver nos peaux, nos vies. Parce qu’on croit en un avenir meilleur. Parce qu’on veut pouvoir vivre. Vivre libre. Et cette liberté à un prix, elle laisse un gout amer dans la bouche. Je retiens mes larmes et m’accroche à mon père.
On est en chine. Tout me parait fou autour de nous. J’ai envie de partir loin, de fuir le plus loin possible mais les environs sont fouillés. Je reste assise, accroupie à m’en bruler les jambes. J’ai mal mais je ne dis rien. Le moindre souffle pourrait nous trahir. Le moindre souffle pourrait nous tuer. Je ferme les yeux et me serre contre mon père. Son souffle est lent, erratique. Il doit avoir froid. Il serre ses enfants contre lui et ma mère nous enveloppe. Je m’endors sans m’en rendre compte. On l’a fait. On a passé la frontière.
Chapitre IV : le réveille.
Quand j’ai rouvert les yeux ma mère pleurait en silence et mon petit frère fixait le vide d’un air absent. Livide et pétrifié. Le soleil se levait tout juste. Il faisait si froid que nos souffles se cassaient en une fumée opaque. J’ai mis quelques secondes avant de réaliser que mon manteau était couvert de sang. J’ai un mis un temps avant de réaliser que le souffle si berçant de mon père avait cessé. J’ai mis un temps avant de comprendre qu’il n’était plus là … J’étouffe un sanglot. Pleurer nous est interdit. Avoir de la peine nous est mortel. On doit rester discret, on doit … rester discret … C’est finalement le passeur qui nous retrouve 3h après … Le soleil est bas dans le ciel. Le froid n’a pas cessé de nous bruler le bout des doigts. Au petit matin je me retrouve à creuser un trou, un assez profond pour cacher le corps de mon père. Je n’ai pas de force mais je continue de racler le sol froid. Ce sol qui accueillera la dépouille de mon père pour toujours. On a mis une heure pour le cacher sous les feuilles. Au moins … Ils n’auront pas son corps. Maigre consolation.
La vie continue elle, la course contre la montre ; la peur au ventre, le cœur en miette on reprend la route. Ma mère, faible marche en se tenant à nous. On la soutient. On l’aide du mieux qu’on peut … on l’aura aidé jusqu’au bout. Nous avons passé 2 mois en chine, aidé par d’autres réfugiés nous avions un toit, un abri, de la nourriture, on travaillait, on aidait pour faire vivre l’appartement … Puis un jour notre mère nous a dit qu’elle devrait aller à la frontière pour chercher sa sœur. Elle refusait qu’on l’accompagne. Elle n’est jamais revenue. Peu de temps après nous avons été mis à la porte. Deux bouches à nourrir de trop, des places à fournir. Nous avions notre liberté à nous mais enfermé dans cet appartement les trois quart du temps nous avons eu du mal à nous y faire … Nous avions de fausse carte d’identité. Une nouvelle identité. On a parcourus le pays quelques mois avant à la recherche de notre mère ... mais nous avons fini par rejoindre la Corée, là où notre père voulait nous envoyer.
Chapitre V : La Corée du Sud.
23 ans. la temps est passé si vite. filant entre nos doigts comme du sable fin. j'ai grandis, on a grandit. Hwan et moi faisons désormais partie d'un clan mafieux. ce n'est certainement pas ce qu'aurait voulu nos parents mais c'est le seul avenir qui semble nous ouvrir ses portes et nous éviter la pauvreté. nous avons de faux papier, nous avons de l'argent, du pouvoir. le pouvoir de changer les choses ... nosu refusons de vivre à nouveau caché, à nouveau oppressé ... Ô ça non, on refuse. Je veux être heureuse, je veux pouvoir vivre ma vie, et continuer d'avancer, qu'importe que les beaux yeux d'Aciel vienne tout compliquer.
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Re: SU MISO ❧ LET S RUN AWAY | Lun 7 Oct - 13:43 Citer EditerSupprimer
mon bb d'amour
bon petit reboot ma femme !
bon petit reboot ma femme !
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Lee Jiah
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Re: SU MISO ❧ LET S RUN AWAY | Lun 7 Oct - 15:52 Citer EditerSupprimer
Bon reboot
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Trust your heart if the seas catch fire,
- live by love though the stars walk backward.
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Kwon Si Ah
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : little liars (audrey).
Célébrité : lee gahyun (dreamcatcher)
Crédits : sohaline (ava)
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Re: SU MISO ❧ LET S RUN AWAY | Lun 7 Oct - 20:41 Citer EditerSupprimer
bon reboot, hâte de voir ce que tu vas faire de la miso 2.0
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— sorry i got lost in your eyes, what were you saying ?
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Re: SU MISO ❧ LET S RUN AWAY | Mar 8 Oct - 3:42 Citer EditerSupprimer
LES AMOURS MERCI
Je vais refiltrer tout ça et repartir de bon pied avec ma miso
Merci à tous
Je vais refiltrer tout ça et repartir de bon pied avec ma miso
Merci à tous
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