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comme si le destin l'avait voulu ♣ ft. watanabe mio
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comme si le destin l'avait voulu ♣ ft. watanabe mio | Mar 29 Oct - 21:26
#elimio
C'était un jour comme les autres. Dans ses pensées, Elijah se rejouait sa partie d'hier sur Fortnite où il avait failli terminer top 1 mais qu'il avait commis une erreur, ce qui faisait qu'il avait perdu sa place. Et il avait bien compris son erreur, il savait très bien qu'il ferait mieux la prochaine fois et qu'il n'y avait pas mort d'homme. Tout de même, il ne pouvait s'empêcher de se repasser ce moment en tête, comme lorsqu'on se disputait avec quelqu'un et qu'on repassait la conversation sans cesse le soir dans le lit pour savoir ce qu'on aurait pu dire de mieux. Entrant dans l'ascenseur pour rentrer chez lui après une longue journée de cours, il appuya sur le bouton du rez-de-chaussée, seul dans l'ascenseur. Du moins c'était ce qu'il croyait jusqu'à ce qu'une personne rentre dans l'ascenseur avant que les portes ne se ferment. Il papillonna des yeux, un peu surpris alors qu'il n'aurait pas dû l'être, et regarda la nouvelle venue. C'était une jeune femme qui était, sans se mentir, très belle. Et mignonne. En voyant son visage, Elijah se disait qu'elle lui était un peu familière. Ça devait être quelqu'un d'assez populaire dans le campus mais il ne se rappelait plus de son nom. S'il voulait se faire une bonne réputation, il fallait bien faire ami-ami avec les gens qui étaient populaires. Sauf que là, il n'avait aucune raison de la saluer comme il était au courant qu'elle n'était habituellement pas dans ce bâtiment. Du moins il ne la croisait jamais. Et puis ils ne s'étaient jamais parlés. Ils n'avaient littéralement aucun raison de se parler. Et puis pourquoi est-ce qu'il aurait besoin d'une raison, ce n'était pas comme s'il avait besoin qu'elle le porte dans son cœur. Il avait déjà une bonne réputation au sein de l'université, elle ne lui était pas utile. Il reporta donc son regard ailleurs tandis que les portes de l'ascenseur se fermèrent enfin, annonçant la descente jusqu'au rez-de-chaussée. Vaquant à ses pensées initiales sur sa partie d'hier, il finit par en sortir quelques secondes plus tard lorsqu'il remarqua qu'ils n'avaient pas bougé depuis. Les portes s'étaient bien fermées mais l'ascenseur ne descendait pas. Le numéro de l'étage était toujours présent, le bouton du rez-de-chaussée toujours allumé, mais rien ne bougeait. Une panne ? Oh non. Rien de pire pour clôturer sa journée... Tentant d'ouvrir les portes en appuyant sur le bouton pour ouvrir les portes, malheureusement pour lui rien ne se passe. « Merde... » souffla t-il pour lui-même. Il fronça les sourcils, constatant qu'ils étaient vraiment coincés dans une panne d'ascenseur. Mais oui. Ils. Elijah regarda la jeune femme qui était avec lui, qui semblait tout aussi perdue que lui l'était.
Peut-être qu'une panne d'ascenseur n'était pas si mal en fait.
comme si le destin l'avait voulu
#elimio
C'était un jour comme les autres. Dans ses pensées, Elijah se rejouait sa partie d'hier sur Fortnite où il avait failli terminer top 1 mais qu'il avait commis une erreur, ce qui faisait qu'il avait perdu sa place. Et il avait bien compris son erreur, il savait très bien qu'il ferait mieux la prochaine fois et qu'il n'y avait pas mort d'homme. Tout de même, il ne pouvait s'empêcher de se repasser ce moment en tête, comme lorsqu'on se disputait avec quelqu'un et qu'on repassait la conversation sans cesse le soir dans le lit pour savoir ce qu'on aurait pu dire de mieux. Entrant dans l'ascenseur pour rentrer chez lui après une longue journée de cours, il appuya sur le bouton du rez-de-chaussée, seul dans l'ascenseur. Du moins c'était ce qu'il croyait jusqu'à ce qu'une personne rentre dans l'ascenseur avant que les portes ne se ferment. Il papillonna des yeux, un peu surpris alors qu'il n'aurait pas dû l'être, et regarda la nouvelle venue. C'était une jeune femme qui était, sans se mentir, très belle. Et mignonne. En voyant son visage, Elijah se disait qu'elle lui était un peu familière. Ça devait être quelqu'un d'assez populaire dans le campus mais il ne se rappelait plus de son nom. S'il voulait se faire une bonne réputation, il fallait bien faire ami-ami avec les gens qui étaient populaires. Sauf que là, il n'avait aucune raison de la saluer comme il était au courant qu'elle n'était habituellement pas dans ce bâtiment. Du moins il ne la croisait jamais. Et puis ils ne s'étaient jamais parlés. Ils n'avaient littéralement aucun raison de se parler. Et puis pourquoi est-ce qu'il aurait besoin d'une raison, ce n'était pas comme s'il avait besoin qu'elle le porte dans son cœur. Il avait déjà une bonne réputation au sein de l'université, elle ne lui était pas utile. Il reporta donc son regard ailleurs tandis que les portes de l'ascenseur se fermèrent enfin, annonçant la descente jusqu'au rez-de-chaussée. Vaquant à ses pensées initiales sur sa partie d'hier, il finit par en sortir quelques secondes plus tard lorsqu'il remarqua qu'ils n'avaient pas bougé depuis. Les portes s'étaient bien fermées mais l'ascenseur ne descendait pas. Le numéro de l'étage était toujours présent, le bouton du rez-de-chaussée toujours allumé, mais rien ne bougeait. Une panne ? Oh non. Rien de pire pour clôturer sa journée... Tentant d'ouvrir les portes en appuyant sur le bouton pour ouvrir les portes, malheureusement pour lui rien ne se passe. « Merde... » souffla t-il pour lui-même. Il fronça les sourcils, constatant qu'ils étaient vraiment coincés dans une panne d'ascenseur. Mais oui. Ils. Elijah regarda la jeune femme qui était avec lui, qui semblait tout aussi perdue que lui l'était. Peut-être qu'une panne d'ascenseur n'était pas si mal en fait.
(c) DΛNDELION
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Re: comme si le destin l'avait voulu ♣ ft. watanabe mio | Lun 11 Nov - 15:02
#elimio
Pourquoi elle venait dans ses locaux ? Ces fichus bâtiments dans laquelle cette connasse d’Athena se promenait en toute impunité. Elle avait tout sauf envie de la croiser et de se battre avec elle aujourd’hui, son entraînement l’avait laissé lessivé. Elle commençait à se demander si sa chère professeure de théâtre n’était pas un peu sadique sur les bords pour les malmener autant. Mais au moins ses méthodes portaient ses fruits. Si par contre elle pouvait éviter d’utiliser sa fausse gentillesse pour la dépêcher à l’extérieur donner un fichu dossier à un pauvre professeur trop fainéant pour faire le trajet lui-même alors qu’elle avait pris un malin plaisir à la faire répéter jusqu’à ce que ses membres en soient douloureux et qu’elle doive se balader en sueur devant tous ses étudiants. Elle avait quand même fait un détour par les toilettes pour se rafraîchir en vitesse avant de se remettre à courir pour accomplir la mission qu’on lui avait assigné avant qu’il ne soit trop tard : pas question qu’elle explique qu’elle n’avait pas pu le remettre par soucis de coquetterie. Elle se dirigea vers l’ascenseur qu’elle délaissait d’habitude par horreur des petits espaces confinés bondés de monde mais si elle se tapait tous ses étages après tous ses efforts, elle allait faire un malaise. Ses quarante six petits kilos ne lui permettaient pas de creuser autant dans des réserves qu’elle n’avait pas.
Au moins à cette heure-ci, il n’y avait qu’un pauvre péquenaud pour partager le caisson métallisé avec elle. A son encontre elle aurait pu murmurer un bonjour poli mais l’expression qui lui jeta la déstabilisa. Merde… Un fan ? Elle lui sourit timidement et évita de se reposer contre la paroi comme elle en mourait d’envie. Décidément, un seul butor pouvait l’emmerder autant même sur une période de temps si courte. Et pourquoi il la fixait autant ? S’il voulait sa photo, son numéro ou son instagram qu’il lui demande directement au lieu de se comporter comme un pervers ! Elle soupira mentalement. Ses étudiants en informatique étaient vraiment de gros handicapés sociaux. Finalement il daigna reporter son regard ailleurs et elle l’observa à travers le reflet qu’il projetait sur les murs miroirs. Il lui disait vaguement quelque chose et cela piqua sa curiosité… Enfin si elle devait se souvenir de tous les crétins qu’elle avait croisé, elle n’allait pas aller bien loin. La faute à sa trop bonne mémoire.
Un peu concentrer sur ce sentiment, elle ne remarqua pas tout de suite que l’ascenseur n’avait pas bougé. C’est le mouvement de cet inconnu envers les touches qui la fit sortir de sa rêverie. Allons bon… Quel moyen plus horrible de venir pourrir sa journée que de se retrouver coincé dans un espace confiné avec un crétin associable ?
Elle croisa son regard une nouvelle fois et eu une envie soudaine de lui jeter de l’acide à la figure. Mais après réflexions, il avait un visage plutôt agréable, ce serait une perte. Elle lui donna son meilleur sourire gêné.
« C’est pas de chance… On devrait appeler le service de dépannage, ça n’a pas l’air de vouloir se remettre en marche... » lui proposa-t-elle d’une voix douce et calme.
Mais tu vas bouger ton gros cul ducon ? Elles vont pas se rouvrir par magie ses fichus portes ? Alors tu ranges ton regard de merlan fris ailleurs et tu te sors les doigts du cul. Pas question que je passe une éternité ici moi, j’ai pas de temps à perdre comme certaines feignasses ! Mais bon, cette version là, mieux valait ne pas lui servir. Elle sortit son portable pour rompre leur contact visuel et se mit à chercher le numéro sur la fiche technique afficher près des boutons. Et c’est obligé d’être écrit en si petit cette merde ? Il pouvait pas foutre un bouton d’appel qu’un glandeur de vigile s’occupe de ce genre de problème plutôt que d’appeler un putain de réparateur qui mettra deux heures à venir ? Bande d’incapables ! Et ça s’appelle meilleur université de République de Corée du Sud… Je vais lui envoyer un rat mort dans sa boite postale à cette propre à rien de Han Ye Jin.
comme si le destin l'avait voulu
#elimio
Pourquoi elle venait dans ses locaux ? Ces fichus bâtiments dans laquelle cette connasse d’Athena se promenait en toute impunité. Elle avait tout sauf envie de la croiser et de se battre avec elle aujourd’hui, son entraînement l’avait laissé lessivé. Elle commençait à se demander si sa chère professeure de théâtre n’était pas un peu sadique sur les bords pour les malmener autant. Mais au moins ses méthodes portaient ses fruits. Si par contre elle pouvait éviter d’utiliser sa fausse gentillesse pour la dépêcher à l’extérieur donner un fichu dossier à un pauvre professeur trop fainéant pour faire le trajet lui-même alors qu’elle avait pris un malin plaisir à la faire répéter jusqu’à ce que ses membres en soient douloureux et qu’elle doive se balader en sueur devant tous ses étudiants. Elle avait quand même fait un détour par les toilettes pour se rafraîchir en vitesse avant de se remettre à courir pour accomplir la mission qu’on lui avait assigné avant qu’il ne soit trop tard : pas question qu’elle explique qu’elle n’avait pas pu le remettre par soucis de coquetterie. Elle se dirigea vers l’ascenseur qu’elle délaissait d’habitude par horreur des petits espaces confinés bondés de monde mais si elle se tapait tous ses étages après tous ses efforts, elle allait faire un malaise. Ses quarante six petits kilos ne lui permettaient pas de creuser autant dans des réserves qu’elle n’avait pas. Au moins à cette heure-ci, il n’y avait qu’un pauvre péquenaud pour partager le caisson métallisé avec elle. A son encontre elle aurait pu murmurer un bonjour poli mais l’expression qui lui jeta la déstabilisa. Merde… Un fan ? Elle lui sourit timidement et évita de se reposer contre la paroi comme elle en mourait d’envie. Décidément, un seul butor pouvait l’emmerder autant même sur une période de temps si courte. Et pourquoi il la fixait autant ? S’il voulait sa photo, son numéro ou son instagram qu’il lui demande directement au lieu de se comporter comme un pervers ! Elle soupira mentalement. Ses étudiants en informatique étaient vraiment de gros handicapés sociaux. Finalement il daigna reporter son regard ailleurs et elle l’observa à travers le reflet qu’il projetait sur les murs miroirs. Il lui disait vaguement quelque chose et cela piqua sa curiosité… Enfin si elle devait se souvenir de tous les crétins qu’elle avait croisé, elle n’allait pas aller bien loin. La faute à sa trop bonne mémoire.
Un peu concentrer sur ce sentiment, elle ne remarqua pas tout de suite que l’ascenseur n’avait pas bougé. C’est le mouvement de cet inconnu envers les touches qui la fit sortir de sa rêverie. Allons bon… Quel moyen plus horrible de venir pourrir sa journée que de se retrouver coincé dans un espace confiné avec un crétin associable ?
Elle croisa son regard une nouvelle fois et eu une envie soudaine de lui jeter de l’acide à la figure. Mais après réflexions, il avait un visage plutôt agréable, ce serait une perte. Elle lui donna son meilleur sourire gêné.
« C’est pas de chance… On devrait appeler le service de dépannage, ça n’a pas l’air de vouloir se remettre en marche... » lui proposa-t-elle d’une voix douce et calme.
Mais tu vas bouger ton gros cul ducon ? Elles vont pas se rouvrir par magie ses fichus portes ? Alors tu ranges ton regard de merlan fris ailleurs et tu te sors les doigts du cul. Pas question que je passe une éternité ici moi, j’ai pas de temps à perdre comme certaines feignasses ! Mais bon, cette version là, mieux valait ne pas lui servir. Elle sortit son portable pour rompre leur contact visuel et se mit à chercher le numéro sur la fiche technique afficher près des boutons. Et c’est obligé d’être écrit en si petit cette merde ? Il pouvait pas foutre un bouton d’appel qu’un glandeur de vigile s’occupe de ce genre de problème plutôt que d’appeler un putain de réparateur qui mettra deux heures à venir ? Bande d’incapables ! Et ça s’appelle meilleur université de République de Corée du Sud… Je vais lui envoyer un rat mort dans sa boite postale à cette propre à rien de Han Ye Jin.
(c) DΛNDELION
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Re: comme si le destin l'avait voulu ♣ ft. watanabe mio | Ven 6 Déc - 21:23
#elimio
Une panne d'ascenseur où il était bloqué avec quelqu'un d'autre et en plus de ça, une fille... Dis donc, qu'est-ce qu'elle lui voulait la vie tout à coup ? Du bien, peut-être ? Ça n'arrivait que dans les dramas ce genre de scènes. Mais là ils étaient dans la vraie vie et il était réellement bloqué dans cet ascenseur avec quelqu'un d'autre. Pour combien de temps, il l'ignorait, mais il espérait pas trop longtemps. C'était qu'elle avait beau être belle, il n'était pas vraiment intéressé et il n'avait pas envie de faire l'effort social de faire la conversation. Il avait juste envie de rentrer chez lui et de s'enfermer dans sa bulle après une longue journée où il avait dû forcer pour sourire à tout le monde. En y repensant, il n'aurait peut-être pas dû forcer autant, parce qu'il avait même fini par sourire à un pauvre type que personne n'aimait. Il avait vite supprimé son sourire après ça mais c'était devenu un peu trop tard. Il lui avait fait de la peine mais bon, Elijah avait une image parfaite à préserver. A ce sujet, si la demoiselle lui disait quelque chose et qu'elle était vraiment populaire, il avait intérêt à ne pas la laisser voir son vrai lui non plus. Même bloqué dans un ascenseur, il ne pouvait pas se permettre de se relâcher.
Il lui sourit alors doucement. « Oui, ça semble être la meilleure solution. » Enfin, ça ne semblait pas être la meilleure solution : ça l'était. Il la regarda faire d'un œil un peu curieux, toujours un peu perplexe parce qu'elle lui disait un truc. Et si elle était vraiment aussi populaire qu'il le pensait ? Les personnes très populaires cédaient quand même un avantage à Elijah s'il se plaçait de leur bon côté, elles auraient toujours une influence positive sur son image, qu'il soit déjà très aimé ou non. Et là, contrairement à avant, ils avaient une raison pour se parler. Alors le garçon décida de se forcer encore un petit peu pour cette fin de journée, gardant ce sourire parfait sur ses lèvres. « Dis, euh... Tu t'appelles comment ? Tu me dis quelque chose et j'aimerais savoir si c'est vraiment toi ou pas... » Ce n'était pas comme s'il l'associait avec quelqu'un dans sa tête en particulier mais il fera genre. De toute façon, ça faisait toujours plaisir à quelqu'un qu'on le connaisse. En l'occurrence ce sera peut-être pour de faux mais ce n'était pas grave, puisque l'autre personne ne le saura jamais.
comme si le destin l'avait voulu
#elimio
Une panne d'ascenseur où il était bloqué avec quelqu'un d'autre et en plus de ça, une fille... Dis donc, qu'est-ce qu'elle lui voulait la vie tout à coup ? Du bien, peut-être ? Ça n'arrivait que dans les dramas ce genre de scènes. Mais là ils étaient dans la vraie vie et il était réellement bloqué dans cet ascenseur avec quelqu'un d'autre. Pour combien de temps, il l'ignorait, mais il espérait pas trop longtemps. C'était qu'elle avait beau être belle, il n'était pas vraiment intéressé et il n'avait pas envie de faire l'effort social de faire la conversation. Il avait juste envie de rentrer chez lui et de s'enfermer dans sa bulle après une longue journée où il avait dû forcer pour sourire à tout le monde. En y repensant, il n'aurait peut-être pas dû forcer autant, parce qu'il avait même fini par sourire à un pauvre type que personne n'aimait. Il avait vite supprimé son sourire après ça mais c'était devenu un peu trop tard. Il lui avait fait de la peine mais bon, Elijah avait une image parfaite à préserver. A ce sujet, si la demoiselle lui disait quelque chose et qu'elle était vraiment populaire, il avait intérêt à ne pas la laisser voir son vrai lui non plus. Même bloqué dans un ascenseur, il ne pouvait pas se permettre de se relâcher.Il lui sourit alors doucement. « Oui, ça semble être la meilleure solution. » Enfin, ça ne semblait pas être la meilleure solution : ça l'était. Il la regarda faire d'un œil un peu curieux, toujours un peu perplexe parce qu'elle lui disait un truc. Et si elle était vraiment aussi populaire qu'il le pensait ? Les personnes très populaires cédaient quand même un avantage à Elijah s'il se plaçait de leur bon côté, elles auraient toujours une influence positive sur son image, qu'il soit déjà très aimé ou non. Et là, contrairement à avant, ils avaient une raison pour se parler. Alors le garçon décida de se forcer encore un petit peu pour cette fin de journée, gardant ce sourire parfait sur ses lèvres. « Dis, euh... Tu t'appelles comment ? Tu me dis quelque chose et j'aimerais savoir si c'est vraiment toi ou pas... » Ce n'était pas comme s'il l'associait avec quelqu'un dans sa tête en particulier mais il fera genre. De toute façon, ça faisait toujours plaisir à quelqu'un qu'on le connaisse. En l'occurrence ce sera peut-être pour de faux mais ce n'était pas grave, puisque l'autre personne ne le saura jamais.
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