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Delaunay Raphaël - J’aimerais être un flan. Un flan aux abricots.
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Delaunay Raphaël - J’aimerais être un flan. Un flan aux abricots. | Mer 18 Déc - 21:42 Citer EditerSupprimer
Delaunay Raphaël
J’aimerais être un flan. Un flan aux abricots.
IDENTITY CARD |
Il parait que... ⁘ Il a été adopté par les Delaunay quand il n’avait que quelques mois. ⁘ Il a du prendre des cours particuliers de coréen, poussé par ses parents pour se rapprocher de ses origines. ⁘ Il est né un 29 février. Pour ne pas fêter son anniversaire uniquement tous les quatre ans, il choisi une date au hasard le 1er janvier. ⁘ Il a rencontré son petit ami Lucas durant son année de terminale. Atteint de la mucoviscidose, il lui a tenu la main jusqu’à son dernier souffle. Il avait à peine vingt ans. ⁘ Il porte des lunettes quand il étudie, et il ne voit presque plus de l'oeil gauche à cause d'une bagarre. ⁘ Il lui arrive de voir Lucas et de lui parler. Il sait que ce n’est qu’une illusion et qu’il devrait voir un psychologue, mais son image le rassure. On le surprend souvent à parler seul. ⁘ Sa mère biologique lui a légué son salon de thé à Séoul avant de mourir. Il s’est retrouvé propriétaire et gérant à vingt et un ans. ⁘ Il a arrêté ses études de commerce en France et tout quitter pour s’occuper du salon de thé. Grâce à ses bonnes notes il a pu intégrer la Yonsei. ⁘ N’ayant jamais fait de pâtisserie, il a du apprendre à faire des gâteaux. Il a même passé une annonce en ligne pour trouver de l’aide. ⁘ Il a adopté un chat pour ne pas se sentir seul. Il se nomme Lucifer. Le diable en personne, qu'il tente de cacher dans les dortoirs. ⁘ Derrière ses airs doux se cache un passionné de Krav Maga. Après s’être fait tabassé en sortant du lycée, il a décidé d’apprendre à se défendre. ⁘ Très attaché à la France, il a encore du mal à se faire à la vie coréenne. Souvent maladroit, il s’est souvent fait bousculer ou disputer par les Ajumma. ⁘ Il n'avait jamais été attiré par la littérature jusqu'à ce que Lucas lui présente Charles Baudelaire. | Dis nous qui tu es ! « Parles moi de la personne que tu aimes. » Je l’ai tout de suite vu. Au milieu des autres. Son air timide et maladroit. Il avait l’air de demander pardon d’exister. Peut-être que c’est moi qui lui faisait cet effet. Mais j’ai découvert un homme intelligent, passionné, et bien plus fort qu’il ne l’imaginait. Il a toujours eu beaucoup de compassion pour les autres, une douceur qui vous donnait envie de vous confier, de s’abandonner dans ses bras. Il est capable de briser les barrières, de s’infiltrer dans le coeur des gens. On lui a souvent dit qu’il était trop gentil, mais je ne voyais pas ça comme un défaut. Au contraire, peu de gens sont capable d’avoir cette patience, ce self contrôl, cette capacité d’aimer. Alors oui, il lui arrive de se laisser dépasser par ses peurs, par ce manque de confiance en lui, mais il suffit de lui donner envie d’y croire pour le pousser à faire des miracles. Il se croit faible, pas à la hauteur, mais il ne se rend pas compte qu’il règne sur mon monde. Il dégage ce charisme qui m’a mis à genoux à plusieurs reprises. Son regard parle souvent pour lui. Même quand il se sent mal à l’aise il ne détourne jamais les yeux. Un regard qui vous transperce parfois. Et puis il y a aussi sa maladresse, qui le rend vraiment craquant. Je ne compte plus le nombre de verres qu’il a brisé chez moi, ni le nombre de fois où il a traversé alors que le feu était encore rouge. Il se perd dans ses pensées dans un monde qui n’appartient qu’à lui, et je le trouve magnifique, avec son petit nez plissé et son air concentré. Il lui arrive parfois de se mettre en colère et sa voix ne tremble jamais. Les mots qu’il prononce sont souvent justes et emplis de vérité. Jamais pour blesser. J’ai de la chance de l’avoir à mes côtés. Et si la vie m’avait offert assez de temps, je l’aurais épousé. « Wahou… Merci Lucas pour ta sincérité. » |
Pinkie Bonjour tout le monde ♡ Après quelques moments difficiles me voilà enfin de retour et prête à rp comme une machine !! [/b]
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Re: Delaunay Raphaël - J’aimerais être un flan. Un flan aux abricots. | Mer 18 Déc - 21:42 Citer EditerSupprimer
It's my life...
J'ignorais que ton prénom prendrait tant de place dans ma vie.
STORY OF MY LIFE
« Moi j’aurais choisi la rouge. »
Il relevait le regard, croisant celui de Lucas dans le miroir. Il savait qu’il n’était pas vraiment là. Il avait disparu depuis plus de deux ans. Pourtant, il ne l’avait jamais quitté. Sa mère l’avait déjà surpris à parler seul, sans imaginer une seule seconde qu’il pouvait avoir une conversation avec une hallucination.
« Le noir c’est plus classique, et je veux pas avoir l’air d’un clown pour l’ouverture du café. »
Oui la chemise noire était la bonne. Il n’avait jamais eu les mêmes goûts en matière de mode que son petit ami. Il était beau Lucas, avec ses cheveux blonds un peu trop longs et ses yeux bleus. Il portait des jeans troués, des T-shirt à l’effigie des groupes de rocks, des Doc Martens et un bandeau dans les cheveux. Il l’avait tout de suite aperçu quand il avait passé la porte de la salle de classe. La 302. Il était nouveau dans le lycée. Nouveau à Paris. Il disait qu’il habitait Montpellier avant. Une ville où Raphaël n’avait jamais mis les pieds. Il avait un sourire à faire fondre les iceberg et un regard qui semblait briller de défi. Il en était tombé amoureux en une fraction seconde.
Il y avait eu les regards en coin, les sourire gênés, les genoux qui se frôlaient alors qu’ils partageaient la même table. Sa main qui restait un instant de trop sur la sienne alors qu’il lui faisait passer le sujet du contrôle de maths. Sa sexualité, il ne l’avait jamais exposé Raphaël. Trop effrayé par le regard des autres, le jugement, et l’abandon. Sa mère l’avait abandonné à sa naissance et même s’il avait des parents merveilleux, la cicatrice ornait toujours son coeur. Ses terreurs, Lucas les avait enterré d’un baiser sur le canapé du salon alors qu’ils préparaient un exposé sur Napoléon. Un baiser comme ces larmes qu’on se refuse à verser parce qu’on pense qu’on n’en a pas le droit. Un baiser comme ces douleurs qui sont si difficiles à confier et si dures à comprendre. Un baiser comme ces colères qui nous brûlent et nous mettent en pièce. Il avait ressenti des frissons qui remontaient jusqu’à son coeur pour le faire trembler. Il avait sombré en un clin d’oeil. Et s’il devenait son monde et qu’une fois pris au piège plus rien d’autre n’existait ? Et s’il chutait de trop l’aimer ? Il avait décidé de prendre le risque. Lucas il n’avait jamais eu peur d’hurler au monde entier qui il était, qui il aimait. Mais Raphaël… Raphaël, il ne savait pas comment faire.
« Mais putain Raphaël de quoi t’as peur ? Combien de temps tu vas rester dans ton placard ? C’est étroit, c’est froid un placard. Et je n’ai pas envie d’être ton foutu secret. »
Il avait tremblé, comme à chaque fois qu’il prenait ce ton un peu brusque, un peu autoritaire, dominateur aussi. Il tremblait parce qu’il aimait quand il s’imposait dans sa tête, dans son coeur, au milieu de toutes ces choses qui l’agitaient. Il était là, au milieu de la tempête, sa voix raisonnant plus fort que toutes ses pensées. Il pouvait enfin lâcher prise.
« Je t’aime Lucas. »
Il l’avait dit en premier. Il l’avait dit avant de l’embrasser comme un assoiffé au milieu du désert. Là juste devant la grille du lycée à l’heure du déjeuner sous les regards ébahis des autres élèves. Bien sûr qu’il y avait eu des moqueries et des insultes. Mais Raphaël, il se foutait bien de tout tant qu’il pouvait se perdre dans ce regard, dans ces yeux beaucoup trop bleus. Oui, on l’avait pris à parti après le cours de sport, oui on lui avait brisé quelques cotes et offert une lèvre ouverte et des yeux gonflés. Il n’avait pas eu peur. Non, il avait appris à être fier de ce qu’il était devenu du haut de ses dix sept ans. Une bagarre qui l’avait poussé à se défendre et à s’inscrire au cours de Krav Maga que lui avait conseillé Lucas.
« C’est pas de l’asthme ça Lucas. Te fous pas de ma gueule. »
Non ça s’appelait la mucoviscidose et ça le tuerait sûrement avant ses vingt et un ans. Il était resté Raphaël, profitant de chaque instant de bonheur. Parce qu’il voulait qu’il comprenne qu’il avait toujours été fou de son chaos, de ses excentricités, de ses emportements. Il voulait lui montrer que peu importe où ils se trouvaient, ce serait auprès de lui qu’il se sentirait chez lui. Les adieux avaient été déchirants, un manque terrible qui l’avait entièrement brisé. Un manque qui lui avait fait vrillé le cerveau. La première fois, il avait eu peur, quand il avait entendu sa voix. Parce qu’il ne dormait pas, parce qu’il le voyait debout, face à son lit, bien réel. Il avait même l’impression de pouvoir le toucher. Il était fou. Oh oui, fou de chagrin. Si malheureux qu’il se raccrochait à une hallucination. Une hallucination qui l’avait poussé à quitter la France pour saisir une opportunité. Pour découvrir ses origines. Reprendre le café de sa mère biologique qu’il n’avait pas eu la chance de connaître. Il avait emporté avec lui ses souvenirs, ses désirs et ses nouvelles envies. Prêt à dompter ce pays qu’il ne connaissait pas. Prêt à relever tous les défis, à prouver à la Yonsei qu'il en valait la peine.. Pour Lucas. Pour tout ce qu’il n’avait pas pu faire.
« Je veux bien t’accorder une touche de rouge. »
Il attrapait le bandana qui n’était pas le sien pour l’enrouler autour de son poignet. C’était un grand jour. Celui où il allait enfin démarrer sa nouvelle vie. Tout était prêt après cette longue année de travaux, d’apprentissage de la pâtisserie et de devoirs à rendre.
« Tu es beau mon ange. Tu es fort. Ne laisse jamais personne te faire douter. »
Des mots qui lui arrachait un sourire alors que Lucas disparaissait. Il reviendrait. Alors il claquait la porte de son appartement prêt à conquérir le monde.
Il relevait le regard, croisant celui de Lucas dans le miroir. Il savait qu’il n’était pas vraiment là. Il avait disparu depuis plus de deux ans. Pourtant, il ne l’avait jamais quitté. Sa mère l’avait déjà surpris à parler seul, sans imaginer une seule seconde qu’il pouvait avoir une conversation avec une hallucination.
« Le noir c’est plus classique, et je veux pas avoir l’air d’un clown pour l’ouverture du café. »
Oui la chemise noire était la bonne. Il n’avait jamais eu les mêmes goûts en matière de mode que son petit ami. Il était beau Lucas, avec ses cheveux blonds un peu trop longs et ses yeux bleus. Il portait des jeans troués, des T-shirt à l’effigie des groupes de rocks, des Doc Martens et un bandeau dans les cheveux. Il l’avait tout de suite aperçu quand il avait passé la porte de la salle de classe. La 302. Il était nouveau dans le lycée. Nouveau à Paris. Il disait qu’il habitait Montpellier avant. Une ville où Raphaël n’avait jamais mis les pieds. Il avait un sourire à faire fondre les iceberg et un regard qui semblait briller de défi. Il en était tombé amoureux en une fraction seconde.
Il y avait eu les regards en coin, les sourire gênés, les genoux qui se frôlaient alors qu’ils partageaient la même table. Sa main qui restait un instant de trop sur la sienne alors qu’il lui faisait passer le sujet du contrôle de maths. Sa sexualité, il ne l’avait jamais exposé Raphaël. Trop effrayé par le regard des autres, le jugement, et l’abandon. Sa mère l’avait abandonné à sa naissance et même s’il avait des parents merveilleux, la cicatrice ornait toujours son coeur. Ses terreurs, Lucas les avait enterré d’un baiser sur le canapé du salon alors qu’ils préparaient un exposé sur Napoléon. Un baiser comme ces larmes qu’on se refuse à verser parce qu’on pense qu’on n’en a pas le droit. Un baiser comme ces douleurs qui sont si difficiles à confier et si dures à comprendre. Un baiser comme ces colères qui nous brûlent et nous mettent en pièce. Il avait ressenti des frissons qui remontaient jusqu’à son coeur pour le faire trembler. Il avait sombré en un clin d’oeil. Et s’il devenait son monde et qu’une fois pris au piège plus rien d’autre n’existait ? Et s’il chutait de trop l’aimer ? Il avait décidé de prendre le risque. Lucas il n’avait jamais eu peur d’hurler au monde entier qui il était, qui il aimait. Mais Raphaël… Raphaël, il ne savait pas comment faire.
« Mais putain Raphaël de quoi t’as peur ? Combien de temps tu vas rester dans ton placard ? C’est étroit, c’est froid un placard. Et je n’ai pas envie d’être ton foutu secret. »
Il avait tremblé, comme à chaque fois qu’il prenait ce ton un peu brusque, un peu autoritaire, dominateur aussi. Il tremblait parce qu’il aimait quand il s’imposait dans sa tête, dans son coeur, au milieu de toutes ces choses qui l’agitaient. Il était là, au milieu de la tempête, sa voix raisonnant plus fort que toutes ses pensées. Il pouvait enfin lâcher prise.
« Je t’aime Lucas. »
Il l’avait dit en premier. Il l’avait dit avant de l’embrasser comme un assoiffé au milieu du désert. Là juste devant la grille du lycée à l’heure du déjeuner sous les regards ébahis des autres élèves. Bien sûr qu’il y avait eu des moqueries et des insultes. Mais Raphaël, il se foutait bien de tout tant qu’il pouvait se perdre dans ce regard, dans ces yeux beaucoup trop bleus. Oui, on l’avait pris à parti après le cours de sport, oui on lui avait brisé quelques cotes et offert une lèvre ouverte et des yeux gonflés. Il n’avait pas eu peur. Non, il avait appris à être fier de ce qu’il était devenu du haut de ses dix sept ans. Une bagarre qui l’avait poussé à se défendre et à s’inscrire au cours de Krav Maga que lui avait conseillé Lucas.
« C’est pas de l’asthme ça Lucas. Te fous pas de ma gueule. »
Non ça s’appelait la mucoviscidose et ça le tuerait sûrement avant ses vingt et un ans. Il était resté Raphaël, profitant de chaque instant de bonheur. Parce qu’il voulait qu’il comprenne qu’il avait toujours été fou de son chaos, de ses excentricités, de ses emportements. Il voulait lui montrer que peu importe où ils se trouvaient, ce serait auprès de lui qu’il se sentirait chez lui. Les adieux avaient été déchirants, un manque terrible qui l’avait entièrement brisé. Un manque qui lui avait fait vrillé le cerveau. La première fois, il avait eu peur, quand il avait entendu sa voix. Parce qu’il ne dormait pas, parce qu’il le voyait debout, face à son lit, bien réel. Il avait même l’impression de pouvoir le toucher. Il était fou. Oh oui, fou de chagrin. Si malheureux qu’il se raccrochait à une hallucination. Une hallucination qui l’avait poussé à quitter la France pour saisir une opportunité. Pour découvrir ses origines. Reprendre le café de sa mère biologique qu’il n’avait pas eu la chance de connaître. Il avait emporté avec lui ses souvenirs, ses désirs et ses nouvelles envies. Prêt à dompter ce pays qu’il ne connaissait pas. Prêt à relever tous les défis, à prouver à la Yonsei qu'il en valait la peine.. Pour Lucas. Pour tout ce qu’il n’avait pas pu faire.
« Je veux bien t’accorder une touche de rouge. »
Il attrapait le bandana qui n’était pas le sien pour l’enrouler autour de son poignet. C’était un grand jour. Celui où il allait enfin démarrer sa nouvelle vie. Tout était prêt après cette longue année de travaux, d’apprentissage de la pâtisserie et de devoirs à rendre.
« Tu es beau mon ange. Tu es fort. Ne laisse jamais personne te faire douter. »
Des mots qui lui arrachait un sourire alors que Lucas disparaissait. Il reviendrait. Alors il claquait la porte de son appartement prêt à conquérir le monde.
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Re: Delaunay Raphaël - J’aimerais être un flan. Un flan aux abricots. | Mer 18 Déc - 22:12 Citer EditerSupprimer
Pinkie, le retour
Contente de te revoir parmi nous
Du coup, je te souhaite la rebienvenue à la maison
Et bon courage pour ta fiche également
Contente de te revoir parmi nous
Du coup, je te souhaite la rebienvenue à la maison
Et bon courage pour ta fiche également
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Re: Delaunay Raphaël - J’aimerais être un flan. Un flan aux abricots. | Mer 18 Déc - 22:50 Citer EditerSupprimer
rebienvenue à toi
j'espère que cette fois sera la bonne
bon courage pour ta fiche
j'espère que cette fois sera la bonne
bon courage pour ta fiche
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Re: Delaunay Raphaël - J’aimerais être un flan. Un flan aux abricots. | Jeu 19 Déc - 3:20 Citer EditerSupprimer
piiiiiiiinnnnnnkie
trop contente que tu sois de retour !!! j'veux des liens !!!!
un perso déjà bien avancé c'est ce qu'on aime
bonne chance pour le reste de la fiche et wecome back home sweetie !
trop contente que tu sois de retour !!! j'veux des liens !!!!
un perso déjà bien avancé c'est ce qu'on aime
bonne chance pour le reste de la fiche et wecome back home sweetie !
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Re: Delaunay Raphaël - J’aimerais être un flan. Un flan aux abricots. | Jeu 19 Déc - 7:55 Citer EditerSupprimer
HAAAAAN t'as YURIIIIII !!!
j'aime cet homme <3 j'ai faillit le prendre pour mon DC '.'
amuse toi bien ici :D
j'aime cet homme <3 j'ai faillit le prendre pour mon DC '.'
amuse toi bien ici :D
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Re: Delaunay Raphaël - J’aimerais être un flan. Un flan aux abricots. | Jeu 19 Déc - 15:41 Citer EditerSupprimer
Merciiii
Cette fois sera la bonne j'en suis sûre èé
ET TROP DE JIMIN SUR MA FICHE POUR QUE MON PETIT COEUR LE SUPPORTE
Je viendrais chercher des liens sans faute
Cette fois sera la bonne j'en suis sûre èé
ET TROP DE JIMIN SUR MA FICHE POUR QUE MON PETIT COEUR LE SUPPORTE
Je viendrais chercher des liens sans faute
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Re: Delaunay Raphaël - J’aimerais être un flan. Un flan aux abricots. | Jeu 19 Déc - 17:42 Citer EditerSupprimer
oh quel beau jeune homme
rebienvenue parmi nous, je viendrais te réclamer un lien. j'ai un petit frenchie de mon coté aussi ;) ;)
rebienvenue parmi nous, je viendrais te réclamer un lien. j'ai un petit frenchie de mon coté aussi ;) ;)
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Re: Delaunay Raphaël - J’aimerais être un flan. Un flan aux abricots. | Jeu 19 Déc - 19:12 Citer EditerSupprimer
Ooooh bon retour par ici
Quel beau monsieur dit donc olalalal
Quel beau monsieur dit donc olalalal
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Re: Delaunay Raphaël - J’aimerais être un flan. Un flan aux abricots. | Jeu 19 Déc - 21:01 Citer EditerSupprimer
rebienvenue parmi nous !! espérons que cette fois sera la bonne c'est super triste ce qui lui est arrivé à ce pauvre raph, je m'y attendais pas snif
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