Never Give Up (feat;eren)
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Never Give Up (feat;eren) | Dim 29 Déc - 2:22 Citer EditerSupprimer
Alors que les derniers cours sonnèrent pour certain et que un à un les élèves rejoignirent leurs dortoirs, Tihani elle n’était pas prête de rentrer se reposer, au contraire. Voilà déjà deux heures que ses cours avaient pris fin mais pourtant elle était toujours dans l’enceinte de l’université, dans le gymnase plus précisément. Elle avait besoin de se défouler, d’exalter toute la rage et tout le stress qu’elle avait accumulé ses derniers jours alors elle avait décidé d’aller tirer quelques paniers. Mais ce qu’elle n’avait pas prévu c’était que son corps et ses aptitudes n’étaient plus ceux qu’ils étaient avant, bien au contraire. Le corps en lambeau elle n’avait pourtant de cesse d’essayer en vain de marquer ce foutu panier, elle manquait d’équilibre et de stabilité ainsi à chaque fois la balle se retrouva bien loin de sa cible. Finalement, c’est après un énième lancé ratée que la jolie blonde s’écroula au sol de fatigue et sans même qu’elle ne puisse se contrôler une rafale de larmes s’écoulèrent le long de ses joues. « Putain ! Bordel j’en ai marre ! » hurla-t-il à s’en arracher les cordes vocales alors qu’elle s’empara de la balle à ses côtés pour l’envoyer valser quelques mètres plus loin … Sur le torse d’un pauvre malheureux. Surpris, la jeune femme sursaute, le regard remplis de larmes elle se redressa alors en vitesse, beaucoup trop vite pour son corps qui a nouveau lui fit faux bond, un seul pas et la voilà de nouveau au sol. La tête vers celui-ci elle serre alors les poings se haïssait de se montrer si faible tandis que de ses lèvres s’échappe ces quelques mots « Je suis désolé…Je ne voulais pas vous … enfin … la balle» lança-t-elle dans un coréen encore beaucoup trop pauvre
feat. @AHN EREN
Never Give up
Happiness comes in many forms—in the company of good friends, in the feeling you get when you make someone else's dream come true, or in the promise of hope renewed. It's OK to let yourself be happy because you never know how fleeting that happiness might be...
Alors que les derniers cours sonnèrent pour certain et que un à un les élèves rejoignirent leurs dortoirs, Tihani elle n’était pas prête de rentrer se reposer, au contraire. Voilà déjà deux heures que ses cours avaient pris fin mais pourtant elle était toujours dans l’enceinte de l’université, dans le gymnase plus précisément. Elle avait besoin de se défouler, d’exalter toute la rage et tout le stress qu’elle avait accumulé ses derniers jours alors elle avait décidé d’aller tirer quelques paniers. Mais ce qu’elle n’avait pas prévu c’était que son corps et ses aptitudes n’étaient plus ceux qu’ils étaient avant, bien au contraire. Le corps en lambeau elle n’avait pourtant de cesse d’essayer en vain de marquer ce foutu panier, elle manquait d’équilibre et de stabilité ainsi à chaque fois la balle se retrouva bien loin de sa cible. Finalement, c’est après un énième lancé ratée que la jolie blonde s’écroula au sol de fatigue et sans même qu’elle ne puisse se contrôler une rafale de larmes s’écoulèrent le long de ses joues. « Putain ! Bordel j’en ai marre ! » hurla-t-il à s’en arracher les cordes vocales alors qu’elle s’empara de la balle à ses côtés pour l’envoyer valser quelques mètres plus loin … Sur le torse d’un pauvre malheureux. Surpris, la jeune femme sursaute, le regard remplis de larmes elle se redressa alors en vitesse, beaucoup trop vite pour son corps qui a nouveau lui fit faux bond, un seul pas et la voilà de nouveau au sol. La tête vers celui-ci elle serre alors les poings se haïssait de se montrer si faible tandis que de ses lèvres s’échappe ces quelques mots « Je suis désolé…Je ne voulais pas vous … enfin … la balle» lança-t-elle dans un coréen encore beaucoup trop pauvre
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Re: Never Give Up (feat;eren) | Sam 1 Fév - 17:38 Citer EditerSupprimer
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eren & tihani.
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Les étoiles sont éclairées pour que chacun puisse un jour retrouver la sienne. — le petit prince ; st exupéry.
ce soir, j'avais décidé de le consacrer uniquement à une de mes premières passions, le basket. j'avais finis les cours de la journée assez tardivement, notamment parce que j'avais dû me rendre à mon double cursus sciences de l'astronomie. mais même si j'avais du mal avec la théorie, j'arrivais à m'en sortir. je ne sais pas vraiment comment, mais les gars n'arrêtaient pas de répéter que j'étais sûrement très chanceux. toujours est-il qu'un prochain match de championnat approchait à grands pas, et que j'avais besoin de m'entraîner, mais pas avec l'équipe. je venais donc de décider de me rendre au gymnase de la yonsei, et je comptais bien y rester pendant quelques heures. dehors, il faisait plutôt froid, alors je pressais de plus en plus le pas, histoire d'arriver rapidement aux vestiaires pour me changer. Une fois arrivé, je me suis changé en vitesse, tellement j'étais pressé de jouer. J'avais pris ma tenue à l'effigie de seoul samsung thunders, un débardeur et un short en grande partie de couleur bleu. et quand finalement mes pas m'ont mené vers le terrain du gymnase, je ne pouvais pas être plus heureux.
ici, je me sentais dans mon élément. c'était fou, mais c'était ma vie. seulement alors que je venais à peine de rentrer sur le terrain, mes oreilles ont été attiré par un bruit dont je n'avais que trop connaissance: un ballon de basket qui retentissait sur le sol. ce qui suivit ensuite, je n'eus pas le temps d'en prendre énormément conscience. j'ai cru entendre quelqu'un jurer en langue anglaise, un mélange de frustration, de colère et de tristesse. puis, alors que je tournais la tête dans cette direction, le fameux ballon de basket vint me heurter le torse d'une manière assez forte. j'ai esquissé une légère grimace pendant une demie seconde avant de récupérer le ballon presque immédiatement et d'une agilité sans mesure. mes yeux se dirigèrent vers une jeune femme blonde, qui ne semblait pas d'ici, vu ses traits du visage, et qui venait de se redresser surprise de l'action qui venait de se dérouler. en voyant sa mine plutôt triste, j'ai plissé les yeux et me suis approché lentement. on dirait bien qu'elle pleure, mais je n'en suis pas certain. je n'ai eu une nouvelle fois pas vraiment le temps de l'appréhender, qu'elle venait de retomber au sol sous ma surprise, cette fois, comme si la stabilité ou bien même l'équilibre n'était pas son fort. actuellement au sol, serrant les poings, il se dégageait d'elle une volonté de gagner, une détermination assez hors-norme que je n'avais vu que chez très peu de joueurs. lorsqu'elle leva la voix pour s'excuser, elle me confirma par la même occasion sans vraiment le dire, qu'elle n'était pas d'ici, avec un coréen pas encore trop sûr. cette fille a quelque chose de spécial, mais je ne saurais pas dire quoi pour le moment. ça ne faisait que pousser ma curiosité à vif. soit, elle s'est entraînée pendant un long moment et elle est épuisée, soit elle a des jambes plus faibles que la normale. je me suis rapproché un peu plus, et me suis agenouillé auprès d'elle, le ballon toujours dans les mains. mystérieusement, je l'ai observé, attentivement, sans rien dire pendant quelques secondes. je n'avais pas forcément envie de me présenter tout de suite, car dans un sens, peut-être me connaissait-elle déjà en tant que pro ou bien capitaine du club de basket de yonsei, je n'en avais aucune idée mais toujours était-il que ce n'était pas ma priorité. je ne voulais pas forcément savoir qui elle était, j'avais surtout envie de voir autre chose. « une vraie joueuse n'abandonne jamais. » avais-je finis par rétorqué dans ma seconde langue anglaise, d'une voix grave. évidemment, je devais sûrement paraître froid, mais c'était ma façon de montrer mon intérêt. si elle jouait au basket, pourquoi n'était-elle pas dans mon club ? je ne sais pas ce qu'elle vaut, mais elle pourrait être une perle qui sait. j'ai finis par afficher un sourire taquin, n'enlevant cependant pas ma froideur incarnée. « mais si tu ne sais pas jouer, tu peux laisser ta place à quelqu'un d'autre. » mon sourire taquin était là pour rappeler que je la piquais, et que je voulais voir si mon regard m'avait trompé ou pas. si elle est vraiment si déterminée que ça, elle va prendre mes paroles aux mots. en même temps, je lui lançais un regard de défi. alors, vas-y, montres-moi ce que tu as dans le ventre puisque tu as commencé.
ici, je me sentais dans mon élément. c'était fou, mais c'était ma vie. seulement alors que je venais à peine de rentrer sur le terrain, mes oreilles ont été attiré par un bruit dont je n'avais que trop connaissance: un ballon de basket qui retentissait sur le sol. ce qui suivit ensuite, je n'eus pas le temps d'en prendre énormément conscience. j'ai cru entendre quelqu'un jurer en langue anglaise, un mélange de frustration, de colère et de tristesse. puis, alors que je tournais la tête dans cette direction, le fameux ballon de basket vint me heurter le torse d'une manière assez forte. j'ai esquissé une légère grimace pendant une demie seconde avant de récupérer le ballon presque immédiatement et d'une agilité sans mesure. mes yeux se dirigèrent vers une jeune femme blonde, qui ne semblait pas d'ici, vu ses traits du visage, et qui venait de se redresser surprise de l'action qui venait de se dérouler. en voyant sa mine plutôt triste, j'ai plissé les yeux et me suis approché lentement. on dirait bien qu'elle pleure, mais je n'en suis pas certain. je n'ai eu une nouvelle fois pas vraiment le temps de l'appréhender, qu'elle venait de retomber au sol sous ma surprise, cette fois, comme si la stabilité ou bien même l'équilibre n'était pas son fort. actuellement au sol, serrant les poings, il se dégageait d'elle une volonté de gagner, une détermination assez hors-norme que je n'avais vu que chez très peu de joueurs. lorsqu'elle leva la voix pour s'excuser, elle me confirma par la même occasion sans vraiment le dire, qu'elle n'était pas d'ici, avec un coréen pas encore trop sûr. cette fille a quelque chose de spécial, mais je ne saurais pas dire quoi pour le moment. ça ne faisait que pousser ma curiosité à vif. soit, elle s'est entraînée pendant un long moment et elle est épuisée, soit elle a des jambes plus faibles que la normale. je me suis rapproché un peu plus, et me suis agenouillé auprès d'elle, le ballon toujours dans les mains. mystérieusement, je l'ai observé, attentivement, sans rien dire pendant quelques secondes. je n'avais pas forcément envie de me présenter tout de suite, car dans un sens, peut-être me connaissait-elle déjà en tant que pro ou bien capitaine du club de basket de yonsei, je n'en avais aucune idée mais toujours était-il que ce n'était pas ma priorité. je ne voulais pas forcément savoir qui elle était, j'avais surtout envie de voir autre chose. « une vraie joueuse n'abandonne jamais. » avais-je finis par rétorqué dans ma seconde langue anglaise, d'une voix grave. évidemment, je devais sûrement paraître froid, mais c'était ma façon de montrer mon intérêt. si elle jouait au basket, pourquoi n'était-elle pas dans mon club ? je ne sais pas ce qu'elle vaut, mais elle pourrait être une perle qui sait. j'ai finis par afficher un sourire taquin, n'enlevant cependant pas ma froideur incarnée. « mais si tu ne sais pas jouer, tu peux laisser ta place à quelqu'un d'autre. » mon sourire taquin était là pour rappeler que je la piquais, et que je voulais voir si mon regard m'avait trompé ou pas. si elle est vraiment si déterminée que ça, elle va prendre mes paroles aux mots. en même temps, je lui lançais un regard de défi. alors, vas-y, montres-moi ce que tu as dans le ventre puisque tu as commencé.
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Re: Never Give Up (feat;eren) | Dim 23 Fév - 15:41 Citer EditerSupprimer
ATihani avait toujours été connu comme étant une jeune femme pleine de vie et de détermination, et pourtant aujourd’hui celle-ci ne semblait plus qu’être l’ombre d’elle-même, ses espoirs s’amoindrissant à chaque fois que le ballon venait à taper bien trop loin de sa cible. Finalement, la fatigue et la douleur avaient tous les deux eut raison de sa personne et elle s’était laissée retomber au sol, jurant dans sa langue maternelle avant d’envoyer la balle au loin. Trop loin peut-être, car celle-ci tapa violemment sur le torse d’un jeune inconnu. Surprise, Tihani s’était alors redressée rapidement pour s’excuser auprès du jeune homme, mais tout aussi vite elle s’écroula une seconde fois au sol. Les larmes aux yeux elle vint essuyer rageusement ces perles d’eaux du revers de sa main en murmurant « Je suis désolé… » à ce même moment elle sentit sa présence à ses côtés et lorsqu’elle redressa la tête elle pu l’apercevoir agenouillé face à elle. Sous ses mots un triste sourire prit place sur le doux visage de l’ancienne surfeuse « Je n’abandonne pas … Mon corps m’abandonne. » lui dit-elle en venant à nouveau baisser les yeux, honteuse elle n’osa alors plus le regarder priant pour qu’il s’en aille et la laisse tranquille. Mais il ne le fit guère et les mots qu’il prononça firent voler en éclat toutes les pensées lugubres de Tihani. A nouveau, ses poings se serrèrent violemment tandis qu’elle répondit tout aussi froidement que son vis-à-vis « Je sais jouer. » lui répondit-elle tandis que son regard s’ancra dans le sien. « Peut-être mieux que toi. » lui dit-elle tandis qu’un sourire prit place sur ses lèvres, elle se redressa alors non sans quelques difficultés avant d’attraper la balle toujours entre les mains de l’inconnu.
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ATihani avait toujours été connu comme étant une jeune femme pleine de vie et de détermination, et pourtant aujourd’hui celle-ci ne semblait plus qu’être l’ombre d’elle-même, ses espoirs s’amoindrissant à chaque fois que le ballon venait à taper bien trop loin de sa cible. Finalement, la fatigue et la douleur avaient tous les deux eut raison de sa personne et elle s’était laissée retomber au sol, jurant dans sa langue maternelle avant d’envoyer la balle au loin. Trop loin peut-être, car celle-ci tapa violemment sur le torse d’un jeune inconnu. Surprise, Tihani s’était alors redressée rapidement pour s’excuser auprès du jeune homme, mais tout aussi vite elle s’écroula une seconde fois au sol. Les larmes aux yeux elle vint essuyer rageusement ces perles d’eaux du revers de sa main en murmurant « Je suis désolé… » à ce même moment elle sentit sa présence à ses côtés et lorsqu’elle redressa la tête elle pu l’apercevoir agenouillé face à elle. Sous ses mots un triste sourire prit place sur le doux visage de l’ancienne surfeuse « Je n’abandonne pas … Mon corps m’abandonne. » lui dit-elle en venant à nouveau baisser les yeux, honteuse elle n’osa alors plus le regarder priant pour qu’il s’en aille et la laisse tranquille. Mais il ne le fit guère et les mots qu’il prononça firent voler en éclat toutes les pensées lugubres de Tihani. A nouveau, ses poings se serrèrent violemment tandis qu’elle répondit tout aussi froidement que son vis-à-vis « Je sais jouer. » lui répondit-elle tandis que son regard s’ancra dans le sien. « Peut-être mieux que toi. » lui dit-elle tandis qu’un sourire prit place sur ses lèvres, elle se redressa alors non sans quelques difficultés avant d’attraper la balle toujours entre les mains de l’inconnu.
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Re: Never Give Up (feat;eren) | Lun 16 Mar - 15:49 Citer EditerSupprimer
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je restais là, à l'observer curieusement. elle avait prit un sourire triste en m'exprimant que ce n'était pas elle qui abandonnait mais son corps. mes yeux se sont baissés vers ses jambes qui semblaient encore tremblantes. d'ailleurs, quelque chose m'intriguait, quelque chose semblait différent mais je n'arrivais pas à savoir quoi exactement. pour autant, ma curiosité n'avait pas baissé, et j'attendais réellement de voir ce qu'elle avait dans le ventre. que son corps semble l'abandonner ou pas. je suis peut-être dur, mais ce que je ne dis pas non plus, c'est ce que si je remarque d'un coup d'oeil sportif que son corps ne peut vraiment plus, je l'arrêterai. pousser cette jeune inconnue dans ses retranchements me semblait être quelque chose que je devais absolument faire. elle avait l'air d'avoir du talent et de la détermination, tout ce dont une bonne joueuse avait besoin. alors, à l'entente de mes mots froids mais taquins en même temps, ses poings se sont serrés automatiquement de manière violente, pendant qu'elle me donnait en retour une réponse toute aussi glaçante que la mienne. lorsque mon regard noir, planté dans le sien, a vu ses yeux plus clairs s'y ancrés avec une forte envie de gagner, j'ai esquissé un sourire de vainqueur. peut-être mieux que toi. elle me prit le ballon des mains après s'être redressée. je me suis levé à mon tour, toujours un sourire malicieux aux lèvres, croisant les bras en la fixant. « c'est ça que je veux entendre. » ma voix grave n'était plus froide, mais gardait tout de même une once de droiture et d'autorité. j'ai montré du doigt le panier qu'elle avait l'air d'avoir tant de mal à marquer. « il n'est pas si inatteignable que ça. je ne dis pas ça parce que je suis grand. je dis ça parce que tu peux le faire. » encore une fois, mon but n'était pas de lui dire qui j'étais, simplement de la secouer, de lui montrer qu'elle a du potentiel et que si son esprit la lâche, son corps évidemment, ne suivra plus. j'étais venu pour m'entraîner à la base mais peut-être que mes plans allaient légèrement changer. j'ai attrapé un autre ballon de basket un peu plus loin qui m'attendait fièrement avant de partir en dribblant, aussi rapidement que je savais le faire. une seconde et demie plus tard, j'avais sauté sur le revers du panier et avait fait rentrer le ballon sans hésitations. j'ai repris mon ballon avant qu'il ne s'en aille trop loin et j'ai observé la jeune femme blonde de mes yeux noirs, sans rien dire. d'un silence qui signifiait, j'attends que tu me montre ce que tu sais faire.
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Re: Never Give Up (feat;eren) | Sam 11 Avr - 0:39 Citer EditerSupprimer
Ils étaient là. Les terrifiants, les fameux, les destructeurs, les... Les tout en fait ! Ils étaient tout à la fois, mais surtout chiants. C'était la bande nommé "Trouble Maker". Un groupe composé de riches commères qui adoraient se servir de divers plans machiavéliques (la plus part du temps.) pour faire chier le monde. Ils adoraient créer des rumeurs sur des gens innocents mais surtout casser les moments romantiques ou sérieux. Après tout, ne faut il pas un grain de folie dans ce monde un peu trop sérieux ?
Ainsi, la belle petite bande de sportifs ne se contentaient pas seulement d'être bons dans le domaine du sport où ils pouvaient se défouler. Non, ce n'était pas suffisant. Ce beau petit monde avait décidé de créer en parallèle le "Journal de Yonsei", un club non officiel qui produisait pourtant des journaux avec un professionnalisme qui relevait clairement du génie. La lune venait d'imposer son manque de couleur et l'horizon noirâtre que la nuit faisait profiler sous la tête de chaque habitant du pays du matin calme et le groupe de journalistes amateurs n'avaient aucune news vendeuse à se mettre sous la dent pour cette fin de semaine et c'est dans cette optique que l'ensemble du club s'aventurait dans chacune des salles de l'établissement, jusqu'à tomber sur une cible potentielle. Un couple d'étudiants dans la salle de sport. Des amis ? Des connaissances ? Des amoureux ? Des plans culs ? Peu importe, la vérité n'a pas sa place dans le journal de Yonsei. L'important c'est que ça fasse vrai.
C'est alors que la dizaine de potes s'aventurèrent dans le gymnase en claquant des pieds en marchant à l'unisson comme une troupe de soldat. Ils marchèrent tous en synchronisation parfaite, prêt à hurler leur thème emblematique exporté et parodié tout droit de France par un membre phare de la troupe:
-ON EST DES TUB'S ON EST PAS DES POTS ! MAIS ON A TOUT CE QU'IL VOUS FAUT !
Aussitôt un autre membre du club se mit à crier la suite qui était répétée en écho par le reste du groupe:
-DES RAAAGOTS ! (DES RAAAAGOTS!) DU DRAAAAMAAA ! (DU DRAAAMAAA!) POUR LES NEWS DU BAHUT... C'EST GAGNÉ ! (C'EST GAGNÉ !)
La belle fanfare s'aventura près d'Ahn et Carter, un élève du nom de Nam avait un micro et s'apprêtait à converser avec un étudiant du faux nom de Kim qui portait une cagoule en même temps qu'un autre membre de la confrérie filmait en gros plan les misérables étudiants pris en flagrant délit, afin d'en faire une vidéo à poster sur youtube avec les visages floutés. Le lien de la vidéo serait transmis dans le journal au format digital ou retranscrit à l'écrit dans la version manuscrite de celui-ci. Le bel héritier prit son plus beau sourire et son air le plus charmeur pour attirer les téléspectateurs comme il se doit pendant sa prise de parole.
-Bonjour, bonsoir à toute l'université de Yonsei ici votre journaliste Kim en compagnie de notre très cher Nam national qui a accepté d'être interviewé par la TM ce soir afin de donner son avis sur la situation en tant que témoin.
-Effectivement journaliste Kim. Un enfant avorté, une trainée abandonnée, rien ne m'échappe.
-Vous m'en voyez véritablement subjugué Monsieur Nam ! Qu'avez-vous à nous dire sur la situation actuelle ?
-Eh bien, il semblerait qu'une personne dont le nom commence par A et le prénom par E serait en pleine embrouille de couple avec une belle blonde caucasienne dont les initiales sont C.T. Si vous voulez mon avis, cela ne me dit rien qui vaille. Ses yeux sont en larmes et elle semble blessée. Je pense que A.E ferait mieux d'apprendre comment traiter une femme correctement ou en tant que futur avocat, je vais vraiment m'énerver.
Le dialogue entre les deux pseudos journalistes continua sur la même lancée tandis que la capture vidéo faisait son petit bout de chemin sous les yeux ébahis d'Ahn et Carter qui regardèrent la petite troupe se retirer après l'ensemble de leur travail fourni. Décidément, l'établissement de Yonsei ne dormait jamais.
Trouble Makers.
The war has just begun.
Ils étaient là. Les terrifiants, les fameux, les destructeurs, les... Les tout en fait ! Ils étaient tout à la fois, mais surtout chiants. C'était la bande nommé "Trouble Maker". Un groupe composé de riches commères qui adoraient se servir de divers plans machiavéliques (la plus part du temps.) pour faire chier le monde. Ils adoraient créer des rumeurs sur des gens innocents mais surtout casser les moments romantiques ou sérieux. Après tout, ne faut il pas un grain de folie dans ce monde un peu trop sérieux ?
Ainsi, la belle petite bande de sportifs ne se contentaient pas seulement d'être bons dans le domaine du sport où ils pouvaient se défouler. Non, ce n'était pas suffisant. Ce beau petit monde avait décidé de créer en parallèle le "Journal de Yonsei", un club non officiel qui produisait pourtant des journaux avec un professionnalisme qui relevait clairement du génie. La lune venait d'imposer son manque de couleur et l'horizon noirâtre que la nuit faisait profiler sous la tête de chaque habitant du pays du matin calme et le groupe de journalistes amateurs n'avaient aucune news vendeuse à se mettre sous la dent pour cette fin de semaine et c'est dans cette optique que l'ensemble du club s'aventurait dans chacune des salles de l'établissement, jusqu'à tomber sur une cible potentielle. Un couple d'étudiants dans la salle de sport. Des amis ? Des connaissances ? Des amoureux ? Des plans culs ? Peu importe, la vérité n'a pas sa place dans le journal de Yonsei. L'important c'est que ça fasse vrai.
C'est alors que la dizaine de potes s'aventurèrent dans le gymnase en claquant des pieds en marchant à l'unisson comme une troupe de soldat. Ils marchèrent tous en synchronisation parfaite, prêt à hurler leur thème emblematique exporté et parodié tout droit de France par un membre phare de la troupe:
-ON EST DES TUB'S ON EST PAS DES POTS ! MAIS ON A TOUT CE QU'IL VOUS FAUT !
Aussitôt un autre membre du club se mit à crier la suite qui était répétée en écho par le reste du groupe:
-DES RAAAGOTS ! (DES RAAAAGOTS!) DU DRAAAAMAAA ! (DU DRAAAMAAA!) POUR LES NEWS DU BAHUT... C'EST GAGNÉ ! (C'EST GAGNÉ !)
La belle fanfare s'aventura près d'Ahn et Carter, un élève du nom de Nam avait un micro et s'apprêtait à converser avec un étudiant du faux nom de Kim qui portait une cagoule en même temps qu'un autre membre de la confrérie filmait en gros plan les misérables étudiants pris en flagrant délit, afin d'en faire une vidéo à poster sur youtube avec les visages floutés. Le lien de la vidéo serait transmis dans le journal au format digital ou retranscrit à l'écrit dans la version manuscrite de celui-ci. Le bel héritier prit son plus beau sourire et son air le plus charmeur pour attirer les téléspectateurs comme il se doit pendant sa prise de parole.
-Bonjour, bonsoir à toute l'université de Yonsei ici votre journaliste Kim en compagnie de notre très cher Nam national qui a accepté d'être interviewé par la TM ce soir afin de donner son avis sur la situation en tant que témoin.
-Effectivement journaliste Kim. Un enfant avorté, une trainée abandonnée, rien ne m'échappe.
-Vous m'en voyez véritablement subjugué Monsieur Nam ! Qu'avez-vous à nous dire sur la situation actuelle ?
-Eh bien, il semblerait qu'une personne dont le nom commence par A et le prénom par E serait en pleine embrouille de couple avec une belle blonde caucasienne dont les initiales sont C.T. Si vous voulez mon avis, cela ne me dit rien qui vaille. Ses yeux sont en larmes et elle semble blessée. Je pense que A.E ferait mieux d'apprendre comment traiter une femme correctement ou en tant que futur avocat, je vais vraiment m'énerver.
Le dialogue entre les deux pseudos journalistes continua sur la même lancée tandis que la capture vidéo faisait son petit bout de chemin sous les yeux ébahis d'Ahn et Carter qui regardèrent la petite troupe se retirer après l'ensemble de leur travail fourni. Décidément, l'établissement de Yonsei ne dormait jamais.
codage de whatsername.
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