sombre
Le Deal du moment : -29%
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
Voir le deal
269.99 €


bong nina / prions pour un final qui nous fera pas revenir.

Invité
Invité
avatar
 
bong nina / prions pour un final qui nous fera pas revenir. | Mar 31 Mar - 5:38
Citer EditerSupprimer

bong nina
le coeur à mille watts
Nom : bong. Prénom(s) : nina. Surnom(s) : nin. Âge : vingt huit ans. Date et lieu de naissance : vingt mai à busan, corée du sud. Origines : coréennes et françaises. Nationalité : coréenne. Cursus universitaire : diplomée en art de l'audiovisuel. Métier : patronne et propriétaire d'un bar appelé " digital drunk ". Orientation sexuelle : pansexuelle. Classe sociale : modeste. Tu veux t'investir dans une fraternité ? non.
IDENTITY CARD
Il parait que...
Tu viens d’une famille très pauvre, une famille de pêcheurs à Busan / Tu as commencé à monter ton affaire lorsque tu étais encore en études, tu n’as fait que ta licence et tu as monté ton affaire à Busan. / Tes parents t’ont eu très jeunes, ils étaient en deuxième année de lycée, d’où votre situation précaire d’aujourd’hui. / Tu as toujours vécu avec beaucoup de gens dans la même maison, tu ne supportes donc pas la solitude. / Quand tu avais sept ans tu as voulu aller avec ton père sur le port pour le départ des bateaux avant l’aube, mais tu es tombée avec l’ancre qui t’as arraché une bonne partie de la peau du mollet, tu as donc une énorme cicatrice malgré la chirurgie réparatrice. / Tu as arrêté d’aller à l’école après ça, tu faisais l’école à la maison et tu aidais ton père sur le port, tu es donc très manuelle. / Tu parles couramment français ton père étant français, seul un petit accent coréen persiste sur quelques mots. / Tu es plutôt petite, 1m60. / Tu bois du café toute la journée et es donc sujette aux insomnies. / Tu fais pas mal de crises d’angoisse et tu es spasmophile. / Tu continues à produire du contenu vidéo ou cinématographique même avec ton affaire, tu as réussi à lier ces deux domaines. Mais tu te considères plus comme vidéaste expérimentale que réalisatrice. / Tu as rencontré pas mal d’idoles sur les tournages de webseries, tu ne les aimes pas du tout. / Tu manies très bien le couteau papillon et en porte un constament sur toi. / Tu as déjà tiré sur quelqu'un. / Tu es, à la vue de tout le monde, une jeune femme et naïve, mais le succès  et l’argent derrière ton bar cache un secret : tu fais partie d’une sorte de sous-branche de la mafia qui était basée à Busan, et tu as déménagé et relocalisé à Seoul pour y échapper. La tranquillité ne semble pas être là très longtemps. / De ce fait, tout ton dos est tatoué pour montrer ton appartenance au gang des Seven Stars.
Dis nous qui tu es !

LE CORPS COMME UNE FONTAINE GLACÉE

Tu as toujours été une petite fille facile à divertir, il faut dire que lorsque l’on vient d’une famille qui n’a rien, il faut faire avec ce qu’on a. Et cela n’a jamais été un problème pour toi, vivre au bord de la mer avec toute ta famille sont de très bons souvenirs. Tu es persuadée que ton éducation fut parfaite et qu’aujourd’hui, tout ça, a fait de toi une femme d’honneur et valeur. Droite, quelques fois tu te demandes. Quelques fois tu te sens tiraillée. Quelques fois, tu te rends compte que tu as mis les pieds dans un monde qui n’est pas le tiens et tu te dis que c’est trop tard, que tu as déjà plongé la tête dedans, autant vivre avec.

Ton caractère est très facile à vivre. Bien que tu ne sois pas la suiveuse mais bien celle qui va donner des directives, tu sais appréhender les gens avec bienveillance, car ce sont très intentions de base : bienveillance et altruisme. Tu sais très bien que tu es la leader, et ce n’est pas là une preuve de narcissisme pure, c’est juste quelque chose que tu as remarqué, un rôle que tu as dû prendre pour toi-même et pour les tiens.
Petite, tu avais toujours beaucoup d’amis à l’école, avec qui parler et jouer, mais tu étais finalement toujours seule. Pas de fêtes, pas de sorties. Toi, ce que tu aimais c’était aider ton père au port, aider ta mère à faire à manger, courir partout dans la cour de la maison familiale avec les chiens ou après les poulets. T’as toujours eu beaucoup d’energie et de force. Tu aimais te faire entendre, tu aimer crier et rigoler mais tu pleurais très peu. Bien sûr que certaines fois tu voulais pleurer, tu voulais t’énerver, tu n’es pas une marie-sue, mais cette option t’avait été comme retirée sans que tu puisses y faire quoi que ce soit. Tu n’avais pas le choix de pleurer ou pas, il fallait que tu sois forte pour tout le monde.

En grandissant, tu as gardé cette envie de faire des travaux manuels, et tu construisais toujours pleins de choses dans la cour de la maison, toute seule. Peu à peu tu t’es un peu replié sur toi-même sans pour autant devenir sauvage. Tu restais toujours la petite Nina souriant avec beaucoup d’humour, tu parlais juste beaucoup moins. Comme si tu gardais en toi des petits fragments de secrets de l’humanité, des choses très importantes et très mystérieuses. Ça se voyait sur ton visage, sur ton petit sourire timide mais très sincère. Même lui semblait secret. Quand on l’apercevait, c’était comme une petite victoire. C’était aussi l’effet de ce côté plus dur de ta personnalité. Tu as développé ce besoin de protection envers les gens que tu apprécies, ou juste ceux que tu pensais être des personnes respectables.

Avec le temps,  tu as fait des choix qui t’ont poussé à exacerber certains de ces traits. Peu à peu tu es devenue un peu plus dure et plus secrète. Tout ça coïncidait très bien avec le moment où tu as pu ouvrir ton bar dans Busan. Malheureusement, les quartiers autour des ports sont petits et tout se sait, très vite ta famille a pu entendre que l’argent pour ce bar ne venait pas d’une bourse d’étude mystérieuse, mais bien de la mafia. Et pour survivre dans ce milieu, surtout en tant que femme, il fallait que tu deviennes beaucoup plus impénétrable que tu ne l’étais avant. Tu es devenue très protectrice, tu prends toujours tout sur tes épaules, toutes les responsabilités, car tu ne veux pas que tes choix atteignent les personnes qui t’entourent. Mais étrangement, tu sembles cassée. Tu n'es pas heureuse, mais tu ne peux pas dire que tu es triste non plus. Tu es pile poil dans cette zone de flottement qui te rend léthargique. Tu détestes ça. Tu te détestes.

Tu es une personne déterminée qui travailler d’arrache pieds, jamais tu n’as laissé un de tes employés fermer le bar. C’était à toi de le faire, même si quelques un étaient même plus vieux que toi. Pour les protéger, leur faire vivre la vie la plus confortable sans risquer quoi que ce soit. Une intrusion d’un mec de la mafia à 5heure ? Peut-être, qui savait, c’était fort probable. Ces gars-là sont au dessus de tout ce que vous pouvez imaginer, alors tu te préparais à n’importe quoi. Toi-même, tu as fini par leur devoir le remboursement et donc, travailler pour eux. Tu t’occupais de livraisons clandestines par exemple, et tout ça derrière le dos de tes employés. Secret, dextérité, responsabilité, protection et rapidité sont devenus tes motos de vie.
Très peu de fois on t’a entendu crier. Jamais en fait. Il t’arrive d’être froide, dure, mais généralement tout cela va dans le sens de la personne que tu veux raisonner, car tu te sens obligée de garder ton sang froid. Tu n’as pas le droit de montrer tes sentiments, si tu le fais tout s’effondre. Il ne faut pas céder à la peur et à la panique. Cependant, en dehors de tous ces traits qui instaurent la peur et le respect, tu es aussi une jeune femme simple, tu n'aimes pas les simagrées et tu vas toujours droit au but. Spontané, probablement pas, tu réfléchis beaucoup avant d'agir ou même de manière générale, mais une fois que ton choix est fait, les doutes, très peu pour toi. Tu es très têtue et tu écoutes très peu les conseils qu'on peut te donner car tu as aussi beaucoup de fierté.
Mais malgré cela, t'avoir à proximité est toujours bon signe : bonne humeur, energie et comédie sont des adjectifs qui font de toi une patronne capable de défier toutes grandes chaines par l'importance que tu portes aux relations que tu as avec les gens.
 
Et puis, te voilà à Seoul. Tu ne connais personne mais dans ta petite rue, tout le monde sait de quel genre de banditisme tu fais partie. Tu étais le visage que les projecteurs pouvaient viser pour permettre les actions illégales derrière. Alors bien sûr que dans le monde commerçant, on reconnaît souvent ta tête. Mais tu gardes la tête haute et tu continues de faire marcher ton petit bar. Qui pourrait croire qu’avec cette petite taille, ce visage juvénile et cette dégaine decontractée - qui donne ce sentiment réconfortant qui montre que tu te sens concernée par absolument toutes les causes et tous les maux mais que rien ne t’atteint -, t’es bel et bien la Madre. Et cette expression de menace constante sur ton visage ne laisse personne en douter.
DANS LE CLUB
g vingt deux ans et pas de sourcils. c'est une mascarade qui doit cesser.


Si ton personnage est inventé, remplis ce petit code :
Code:
<taken>hong ye eun (jvcki wai)</taken> ⇝ [url=http://www.shaketheworld.net/u1892]bong nina[/url]



ps; supprimez le code inutile.
Invité
Invité
avatar
 
Re: bong nina / prions pour un final qui nous fera pas revenir. | Mar 31 Mar - 5:40
Citer EditerSupprimer

It's my life...
tu m'vois comme le meilleur animal, tu m'vois comme ton avenir, ton amour
Tu es née à Busan. A l’époque, Busan n’était pas la ville populaire et developpée qu’elle est aujourd’hui et les opportunités ne fleurissaient pas beaucoup. C’est d’ailleurs encore un peu le cas, ce n’est pas pour rien que tout le monde va à Seoul pour construire une carrière, quelle qu’elle soit. Enfin bref, Busan. Ta mère y est née, y a vécu toute sa vie, elle même issue d’une famille plutôt pauvre, de pêcheurs. Mais celle-ci avait des rêves qui allaient bien plus haut que sa caste de prolétaire, elle voulait être une femme indépendante, forte, travailler dans les grands bâtiments brillants de Seoul. C’était une femme très libre lorsqu’elle était adolescente. Insolente, un peu violente, prête à tout pour arriver à ses fins. Rester dans cette bourgade ? Non merci, très peu pour elle. Elle aspirait à être grande. Elle a toujours voulu faire des choses par elle-même. Et c’est sûrement de là que vient ton côté solitaire, secret et protecteur. Ta mère a toujours été une femme droite mais forte.
Lorsque celle-ci est entrée au lycée, elle a rencontré ton père, qui venait aussi d’entrer au lycée en Corée du Sud, venu tout droit de Paris. Tes grand-parents étaient des diplomates plutôt reconnus et respectés, et ils avaient eu une chance de carrière en Corée du Sud, pays en plein développement. Pourquoi pas ? s’étaient-il dit. Ton père, une personne très conciliante ne s’y est pas opposé et les a suivis avec joie. Il avait toujours eu une belle vie, mais jamais il n’a pris ça comme acquis et a toujours tout fait pour agir de manière reconnaissante envers son mode de vie. Il est humble et travailleur, quelque chose qu’il t’a aussi légué.

Le coup de foudre, lorsqu’il a rencontré ta mère, pendant quelques mois il lui a couru après car celle-ci « trop libre » pour lui accorder de l’importance, digne d’un film romantique. Elle a fini par craquer et l’année d’après, deuxième année de lycée, ils t’ont eu. Un accident. C’était dramatique, ça aurait pu être tout aussi tragique. Heureusement pour toi, ils ont assumé. Ton père, renié par ses propres parents, a décidé d’arrêter les études pour subvenir au besoin de ta mère qui s’était faite jeter de la maison familiale, et toi.

Ton enfance n’a pas été si palpitante que ça. Une enfance normale voir même de celles qu’on envie même si la vie a quand même été clémente avec nous.
L’amour, la tolérance a toujours fait partie de ton entourage. Les parents de ta mère sont venus vivre avec vous avec sa grande sœur, tu vivais donc dans une maison familiale, grande bien que délabrée et pas isolée, pour un enfant c’était quand même le rêve. Il y avait beaucoup de place pour que tu puisses courir et t’amuser, il y avait aussi des poules, des chiens avec lesquels tu courais toute la journée. Et en grandissant, ça n’a pas changé. Tu as gardé cette énergie un peu mystique qui faisait la fierté de ta famille.
L’entraide était le mot d’ordre dans la maison alors il t’a semblé normal très rapidement d’aider tout le monde dans les tâches quotidiennes Ce que tu préférais c’était amener ton père le matin au port avant le départ des bateaux. A l’école tu as toujours été plus ou moins populaire. Disons que personne ne venait t’embêter et que tu aspirais très facilement et rapidement la sympathie des autres enfants. Mais étrangement, c’était quelque chose dont tu pouvais te passer. Toi ce que tu aimais c’était construire des choses inutiles avec ta famille à la maison.
Ce petit rêve à ton échelle a, quelque peu, pu être réalisé lorsque l’ancre du bateau de ton père est tombée un matin, et a emporté ton mollet et ta peau avec, laissant une ouverture énorme. En attendant d’avoir assez d’argent pour une chirurgie réparatrice, tu as été enlevée de l’école et tu as du suivre tes cours à la maison, tu avais alors sept ans. Mais cela ne t’a jamais dérangée, tu ne considères pas cela comme un traumatisme, que ce soit l’accident en lui-même ou tout ce que ça a engendré plus tard dans ta vie.
Tu n’es pas forcément devenue sauvage et tu n’as pas non plus nourrie une haine pour l’océan, tes parents se sont très bien occupés de toi et c’est même durant cette période que tu as pu nourrir cette qualité de leader et d’organisation. Tu prenais beaucoup sur toi pour soulager ta mère. Interdiction d’être un fardeau. Tu n’es d’ailleurs pas retournée physiquement à l’école jusqu’au jour du Suneung.

ADIEU MON AMOUR, JE T'AIME POUR LA DERNIERE FOIS

Le secret de ton détachement : ne pas avoir connu l’amour. Alors forcément, certaines limites que des personnes touchées par ce phénomène ont, tu ne les as pas. Tu es plus téméraire, plus inconsciente et tu tiens à peu de choses. C’est comme ça qu’après être sortie de ta licence d’art audio-visuel, tu as décidé d’ouvrir ton bar. Cette décision tu l’avais prise deux ou trois ans auparavant, tu avais déjà commencé à tout préparer pour que ça soit parfait. Comment faire quels papiers, etc, tu savais tout. La seule chose qui te manquait ? L’argent. Mais ce que tu avais, pour sûr, était le refus total de laisser l’argent se mettre en travers de ton chemin, et donc tu étais déjà capable de tout et bien sûr d’assumer n’importe quoi passer au dessus de cette barrière. Avantage – ou désavantage, d’être née dans la pauvreté.
Vingt ans. On dit que c’est l’âge de l’inconscience. On possède le pouvoir de l’être et pas assez de peur pour savoir mettre des limites. Tu en es la preuve. Vingt ans. Tu empruntes de l’argent à un gang local affilié aux Seven Stars, le réseau mafieux de Busan qui est depuis bien longtemps l’un des trois gangs principaux de Corée du Sud. Tu es inconsciente et tu ne te rends pas compte que cet argent a un coût. Un grand prix que tu devras payer de ta vie. Tu ne vas faire qu’escalader dans le danger, t’enfoncer dans le puits qui semble bientôt être sans fond.
Tu penses t’en sortir avec cet argent, ton bar marche bien, les affaires sont bonnes. Maintenant, il faut rembourser ce gang. Et la tâche se complique pour toi, les intérêts sont plus élevés que tes bénéfices, bientôt tu sens que tout va tomber à l’eau. On te menace, toi et ta famille. Alors tu décides de franchir la première étape : tu rejoins le gang « à temps partiel », tu travailles pour eux sans faire partie du lot, pour leur permettre d’avoir plus de mains sans payer plus. La contre-bande, tu caches, tu réceptionnes des marchandises clandestines quelles qu’elles soient. Drogues, armes … Femmes. Et c’est là où tes plus grands regrets se logent et fleurissent, ces souvenirs et ce fardeau d’avoir livrer d’autres femmes dans un trafic sexuel. Mais à cette époque tu ne pensais qu’à sortir la tête de l’eau et tu était capable de tout. Tu dissociais totalement pour pouvoir faire ce travail, ne nous leurrons pas, mais pas assez pour des années plus tard ne pas avoir de remords.

Tu te rends très vite compte que beaucoup de choses ne jouent pas en ta faveur, tu es une jeune femme de vingt et un ans, tu possèdes un commerce et tu travailles pour la mafia sans faire partie d’un gang. En d’autres mots, tu es la cible parfaite pour que d’autres organisations criminelles s’en prennent à toi. Cependant, ce bar n’était pas juste un petit caprice de jeunesse, c’était et c’est toujours ton petit rêve de vie tranquille, vivant de ce que tu aimes et t’amuser sans devoir quoi que ce soit à qui que ce soit. Avouons nous que le dernier point, pour l’instant, est raté, mais tu trouveras une solution. Pour l’instant ta préoccupation c’était de protéger ta propriétés, tes employés, ta famille. La peur d’un jour, recevoir un coup de téléphone t’apprenant la mort de quelqu’un de ta famille te terrifiait et c’est là que tu as upgrade ton jeune. Tu ne pouvais pas acheter ta protection, tu croulais déjà sous les dettes, le seul moyen était donc de les rejoindre. La liberté a un prix, et si je dois la payer de ma propre conscience, qu’il en soit ainsi. Et tu t’es résiliée, tu as pu entrer dans le fameux gang des Seven Stars, gang le plus puissant de Busan, l’un des trois principaux de Corée du Sud.
Toutes ces choses horribles que tu as faites à Busan et toutes les vies que tu as mises en danger, pour toi il s’agissait maintenant de les libérer de ta mémoire et recommencer à zéro. Être reglo, dès le début. Ici trop de gens connaissaient ton visage, trop de gens savaient ce que tu avais fait et trop de gens pouvait te mettre encore dans des situations complexes. Alors tu es partie, un peu en solitaire. Mais cela n’a jamais signifié que tu es sorti du gang des Seven Stars. Car on ne quitte la mafia que quand notre corps rend les armes.

Tu plaques tout, tu fermes ton bar et tu t’en vas sans dire à tes parents ce qu’il se passe. Tu disparais de la circulation de Busan. Comme si tu n’avais pas jamais existée. Comme si tu n’avais été qu’une hallucination.
A Seoul, les bâtiments brillent et les néons constant des rues peuvent facilement détourner l’attention, trop de choses s’y passent. Trop de cris déjà présents, pour qu’on entende ceux que tu vas provoquer dans le futur. Bon choix, malgré la présence d’un gang plus ou moins influent déjà présent. Tu n’as qu’à te faire petite, il  n’y a que toi ici de toutes manières, on ne te soupçonnera pas de faire partie d’un autre gang. Quelle genre de brebis inconsciente s’égarerait de son troupeau pour se jeter dans la fosse aux loups ? Aucune. Sauf celles qui n’ont plus rien à perdre, probablement.

Tu as 27 ans, tu n’as plus l’âge de faire partie de « la jeunesse triste et désœuvrée ». Tu es juste le triste rêve de tant de gens qui a mal tourné. Tu es la limite même qui sépare les rêves et ambitions des cauchemars.
« Digital Drunk » ouvre ses portent dans une rue bondée en centre ville. Tu es un mystère, on se demande comment une jeune fille a pu financer ça seule, dis donc, quelle femme remarquable ! Disent les gérants des commerces qui entourent le tiens. Quelle ténacité.
Si vous saviez les vies que j’ai détruites pour conserver la mienne, tu te dis doucement, comme un cri à l’aide qui n’atteindra jamais la surface.
Invité
Invité
avatar
 
Re: bong nina / prions pour un final qui nous fera pas revenir. | Mar 31 Mar - 5:49
Citer EditerSupprimer
Coucou bienvenue à toi :hi:

Bon courage pour ta fiche :06:
Invité
Invité
avatar
 
Re: bong nina / prions pour un final qui nous fera pas revenir. | Mar 31 Mar - 6:13
Citer EditerSupprimer
ohhh c'est la première fois que je la vois jouer sur un forum ???
en tout cas, je pense que ta nana & théo ont quelques points en commun. son père est français et a laissé tomber la nationalité française pour garder celle qui est coréenne du coup. qui plus est, théo souhaite se lancer dans des courts métrages :russe: je viendrais sûrement t'embêter !

bon courage pour ta fiche et bienvenue parmi nous :shy:
Invité
Invité
avatar
 
Re: bong nina / prions pour un final qui nous fera pas revenir. | Mar 31 Mar - 6:19
Citer EditerSupprimer
namsun - merci beaucoup !
théo - ohhh intéressant, je t'attendrai du coup hihi merci beaucoup !
Invité
Invité
avatar
 
Re: bong nina / prions pour un final qui nous fera pas revenir. | Mar 31 Mar - 6:22
Citer EditerSupprimer
Kisuuuuuuuuum :hot:
Bienvenue parmi nous :heart:
Très mystérieux ces histoires de mafia en soumsoum derrière le bar, hâte d'en savoir plus :y:
Invité
Invité
avatar
 
Re: bong nina / prions pour un final qui nous fera pas revenir. | Mar 31 Mar - 7:40
Citer EditerSupprimer
OMG KISUUUUM :aah: :aah: :aah: jolem tellement cette fille :plz: ça fait trop plaisir de la voir sur un forum :plz:
bienvenue parmi nous la belle! trop hâte de voir la suite, j'suis trop curieuse là j'avoue, et je plussoie yeseo, les histoires de mafia cachée, ça donne des airs de cachette secrète dans la cave du bar :y:
oh et puis, elle a grandit et vécu à busan? j'vais probablement venir quémander un lien avec eunmi :cute:
bon courage pour ta fiiiiche :06:
Invité
Invité
avatar
 
Re: bong nina / prions pour un final qui nous fera pas revenir. | Mar 31 Mar - 9:09
Citer EditerSupprimer
ye seo - merciiiii !! j'espère que ça va pas vous décevoir j'essaie d'étoffer ça en rendant ça précis et accurate mdr. ( mon historique internet qui devient grave suspect rip)
eunmi - merci ! :hehe:  et oui ça me fait bader on la voit jamais sur les forums c'est dingue. du coup toi aussi jt'attends sur ma fiche de liens hihi ? :hehe:
Invité
Invité
avatar
 
Re: bong nina / prions pour un final qui nous fera pas revenir. | Mar 31 Mar - 12:07
Citer EditerSupprimer
j'aime beaucoup ce que je lis, et très bon choix de vava, ça donne envie d'en savoir encore plus :heart:
bienvenue parmi nous ma douce et bonne chance pour le reste de ta fiche :cute:
Invité
Invité
avatar
 
Re: bong nina / prions pour un final qui nous fera pas revenir. | Mar 31 Mar - 14:53
Citer EditerSupprimer
Bienvenue parmi nous !

J'espère que tu te plaira ici :3
En attendant bon courage pour la fin de la fiche de ta miss :06:
Contenu sponsorisé
 
Re: bong nina / prions pour un final qui nous fera pas revenir. | 
Citer EditerSupprimer

Une petite réponse rapide