Long Syuhei ▬ I HATE MY HATERS, OBVIOUSLY
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Long Syuhei ▬ I HATE MY HATERS, OBVIOUSLY | Lun 12 Jan - 16:23 Citer EditerSupprimer
POUR UN PERSONNAGE INVENTÉ :
▲▼KIM KI BUM (KEY, SHINee) ✎ Long Syuhei
Long Syuhei
already being someone big
#SURDOUÉ | #ARROGANT | #DÉTERMINÉ | #JALOUX | #ENTIER |
#PERSÉVÉRANT | #CAPRICIEUX | #TÊTU | #BORNÉ | #RECONNAISSANT |
NOM : LONG, oui, caractère du Dragon. PRÉNOM : Syuhei; le prénom de base est Shûhei, mais, ses parents ont trouvé que c'était bien plus unique ainsi. ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 22; 092391. ORIGINES : Père Taiwanais, mère Japonaise. NATIONALITÉ : Taiwanais et Japonais. CLASSE SOCIALE : actuellement, aisée.. ORIENTATION SEXUELLE : pansexuel. CURSUS UNIVERSITAIRE : doctorat en design options création et architecture EN ALTERNANCE MÉTIER : designer pour Ashida Shûji, stagiaire architecte dans une agence de développement privée. GROUPE: citizen Code du règlement : blablabla, c'moi qui l'ai écrit non?.
“ Rumour has it : fils bâtard de la femme du propriétaire de Shiseido (v) + extrêmement insupportable et arrogant, il peut se mettre à gueuler parce qu'on ne le sert pas assez vite dans un magasin (f) + se sent largement supérieur aux autres et a déjà tenu tête à certaines célébrités (v) + ne supporte pas son président et veut prendre sa place (f) + plein aux as, il n'a besoin de rien faire pour vivre aisément (f) + lors de ses premières années de fac, il enchainait les fêtes, les conquêtes, et les drogues (v/f) + on dit qu'il frappe les femmes (v) + ne sait pas se défendre et est un pleurnichard (FAUX)
“ Rumour has it : fils bâtard de la femme du propriétaire de Shiseido (v) + extrêmement insupportable et arrogant, il peut se mettre à gueuler parce qu'on ne le sert pas assez vite dans un magasin (f) + se sent largement supérieur aux autres et a déjà tenu tête à certaines célébrités (v) + ne supporte pas son président et veut prendre sa place (f) + plein aux as, il n'a besoin de rien faire pour vivre aisément (f) + lors de ses premières années de fac, il enchainait les fêtes, les conquêtes, et les drogues (v/f) + on dit qu'il frappe les femmes (v) + ne sait pas se défendre et est un pleurnichard (FAUX)
“ Caractère :
Exécrable. S’il y a bien un mot pour definir la personnalité de Syuhei, ce serait bien celui là. Insupportable, arrogant, impatient, insolent. Les adjectifs négatifs ne peuvent que se succéder au vu de l’image qu’il donne de lui. Mais tout a explication ; trop longtemps incompris, trop longtemps rabaissé, il refuse catégoriquement de retourner à cette époque où il était la victime. Maintenant, les victimes, ce sont tout simplement les autres. Syuhei est devenu un homme avec des principes et des valeurs bien claires ; il ne change pas d’avis, il ne fait que très peu d’exceptions quand il s’agit de relations humaines. Il est asocial. Il aime choisir ses fréquentations, il aime faire le tri. Violent, impulsif, il peut réfléchir tout en écrasant son poing dans la gueule de quelqu'un, pour lui, ce n'est pas bien compliqué. Cependant, ce n’est pas un robot. Le métisse aime rire, il aime passer du temps avec ses amis, il aime sortir, il adore faire la fête. Ses addictions et son passé ont fait de lui quelqu’un qui aime vivre malgré tout. Bien entendu sa maladie ne lui donne aucun répit, mais il apprend à vivre avec. Il a longtemps vécu dans le déni ; maintenant il évolue.
Même si monsieur Long est des plus hautains, un de ses passe-temps préférés étant de rabaisser autrui, il garde une part humaine. C’est son frère qui lui a inculquée. C’est grâce à Shûji que Syuhei est quelqu’un de loyal et droit. Ce n’est pas le genre de mec à se taper quelqu’un juste pour une nuit. Ce n’est pas le genre de mec qui trahirait ses amis, ou leur mentirait. C’est impossible. Fidèle, de confiance, même s’il ne mâchera pas ses mots quand il faudra dire quelque chose, il ne laissera jamais tomber quelqu’un qui a besoin d’une épaule sur laquelle se reposer.
Excentrique, exubérant, hautain, tel est le Syuhei du côté face, attentif, rieur, blagueur, tel est le Syuhei du côté pile. Mais, en plus de cela, ses périodes de dépression le font s’éloigner de tous sans raison et explication. Long Syuhei a un grand cœur, mais enfoui et caché entre les problèmes et les blessures ; un peu comme un dragon à l’abri dans sa grotte.
Même si monsieur Long est des plus hautains, un de ses passe-temps préférés étant de rabaisser autrui, il garde une part humaine. C’est son frère qui lui a inculquée. C’est grâce à Shûji que Syuhei est quelqu’un de loyal et droit. Ce n’est pas le genre de mec à se taper quelqu’un juste pour une nuit. Ce n’est pas le genre de mec qui trahirait ses amis, ou leur mentirait. C’est impossible. Fidèle, de confiance, même s’il ne mâchera pas ses mots quand il faudra dire quelque chose, il ne laissera jamais tomber quelqu’un qui a besoin d’une épaule sur laquelle se reposer.
Excentrique, exubérant, hautain, tel est le Syuhei du côté face, attentif, rieur, blagueur, tel est le Syuhei du côté pile. Mais, en plus de cela, ses périodes de dépression le font s’éloigner de tous sans raison et explication. Long Syuhei a un grand cœur, mais enfoui et caché entre les problèmes et les blessures ; un peu comme un dragon à l’abri dans sa grotte.
“ Once upon a time :
Syuhei est le second enfant. Sauf qu’il ne l’a pas su tout de suite. Son père ne le savait pas non plus. C’est étrange, une famille comme ça. Né à Taipei, il est très proche de son père, qui l’encourage toujours, dans sa différence, dans son excentricité, dans ses passe temps. Syuhei est très vite repéré comme un enfant surdoué, pour ne pas dire virtuose. A trois ans, il est totalement bilingue, il peut communiquer en chinois de taiwan, et en japonais, il sait jouer du violon, et de la batterie. Syuhei est un enfant avec beaucoup de facilités, avec beaucoup d’énergie, avec trop de vie en lui.
Six ans. Il avait six ans lorsque les premières douleurs se sont manifestées. Il avait mal à la tête, sans raison. Il repérait des choses que personne ne remarquait. Le nombre d’oiseaux dans le ciel d’un simple coup d’œil, la couleur des yeux d’une femme derrière ses lunettes, les notes exactes formant la mélodie qu’on diffuse dans la superette d’en bas de chez lui. Sa famille est modeste, sa mère rêve de plus, elle ne semble pas être attachée à son père. Le père aime son enfant de tout cœur. C’est toujours lui qui a tenu Syuhei dans ses bras quand les migraines le frappaient, qui lui cachait les yeux pour le plonger dans le noir et l’empêcher de voir des choses que son cerveau s’empresserait de retenir. Syuhei a une mémoire absolue.
Deux évènements vont tout changer. Syu se plaît dans sa différence même si son crâne le torture. Syuhei aime passer du temps avec son père à regarder les vêtements dans les vitrines de Taipei. Mais le divorce tombe, comme un coup de massue. Le jeune métisse ne l’avait pas vu venir. Il savait que la relation entre ses parents était particulière. Mais, il ne voulait pas de ce divorce. Son père était gay. Sa mère avait un enfant au Japon. Comment peut-on garder ce genre de secret ? Et surtout, comment pouvait-on cacher cela pendant dix ans à son enfant ? Père Long perd la garde de Syuhei. Chose que le jeune n’a jamais pardonné à sa mère.
Japon. Nouvelle vie. Mais il est un « gaijin » malgré son métissage. Sa mère n’a jamais oublié cet homme qu’il a rencontré dans son pays natal. Syuhei a un grand frère, Shûji. Syuhei a quitté son père, le seul qui ait toujours couvert ses arrières. Ce grand frère qu’il ne connaissait pas, l’a pris dans ses bras, sous son aile. Il a calmé ses cauchemars et ses peurs, il a soigné ses blessures et a cousu ses vêtements. Ce grand frère du même sang que lui, est soudainement devenu un modèle pour Syuhei.
Mis à l’écart, moqué, Syuhei a du mal à s’intégrer à l’école. Il est aux yeux de tous trop efféminé, trop différent, et même s’il n’a pas d’accent, son métissage fait de lui une cible à abattre. Syuhei se renferme sur lui-même, avec ses migraines et ses peurs. Mais Shûji est toujours là, le protégeant, le gâtant.
Le jeune homme n’a jamais été réellement accepté dans la famille Ashida. Il n’a jamais échangé plus que quelques mots avec son beau père. Il n’a jamais accepté son argent non plus. Soudainement, il était le beau-fils du propriétaire de Shiseido. Mais personne ne devait le savoir. Une existence dans l’ombre qu’il a acceptée, malgré lui. Se japonisant, comme toute chose entrant dans le territoire du soleil levant, Syu s’est créée une carapace dure à casser.
Persévérant, travailleur, il a rapidement fini le lycée, sans jamais accepter un seul yen de son beau père. Par contre, Shûji a toujours rempli le porte feuille de Syuhei sans lui demander son avis. Dix huit ans. Il avait dix huit ans lorsqu’il a eu son premier diplôme universitaire. Et une bourse. De Meiji, il a fini à Yonsei. Il a eu du mal à s’y faire, à changer une nouvelle fois de pays, à apprendre une nouvelle langue. Grâce aux équivalences, après sa licence d’ingénierie, il a pu passer directement en troisième année de design. Syuhei a du mal à accepter d’être à l’étranger. Il a du mal à accepter toute cette différence autour de lui. Mais, les mots de son père reviennent à lui. « La différence est une force. » C’est en Corée que l’excentricité de Syuhei revient.
Maintenant, malgré les migraines constantes et les sauts d’humeur, certainement dûes à une maladie qu'il ignore encore, il travaille, il gagne son propre argent, il a toujours sa bourse, parce que ses résultats sont excellents, il crée des vêtements merveilleux pour la marque de son frère, et il aspire à être un des meilleurs architectes d’Asie. Le Dragon a fini par vaincre.
Six ans. Il avait six ans lorsque les premières douleurs se sont manifestées. Il avait mal à la tête, sans raison. Il repérait des choses que personne ne remarquait. Le nombre d’oiseaux dans le ciel d’un simple coup d’œil, la couleur des yeux d’une femme derrière ses lunettes, les notes exactes formant la mélodie qu’on diffuse dans la superette d’en bas de chez lui. Sa famille est modeste, sa mère rêve de plus, elle ne semble pas être attachée à son père. Le père aime son enfant de tout cœur. C’est toujours lui qui a tenu Syuhei dans ses bras quand les migraines le frappaient, qui lui cachait les yeux pour le plonger dans le noir et l’empêcher de voir des choses que son cerveau s’empresserait de retenir. Syuhei a une mémoire absolue.
Deux évènements vont tout changer. Syu se plaît dans sa différence même si son crâne le torture. Syuhei aime passer du temps avec son père à regarder les vêtements dans les vitrines de Taipei. Mais le divorce tombe, comme un coup de massue. Le jeune métisse ne l’avait pas vu venir. Il savait que la relation entre ses parents était particulière. Mais, il ne voulait pas de ce divorce. Son père était gay. Sa mère avait un enfant au Japon. Comment peut-on garder ce genre de secret ? Et surtout, comment pouvait-on cacher cela pendant dix ans à son enfant ? Père Long perd la garde de Syuhei. Chose que le jeune n’a jamais pardonné à sa mère.
Japon. Nouvelle vie. Mais il est un « gaijin » malgré son métissage. Sa mère n’a jamais oublié cet homme qu’il a rencontré dans son pays natal. Syuhei a un grand frère, Shûji. Syuhei a quitté son père, le seul qui ait toujours couvert ses arrières. Ce grand frère qu’il ne connaissait pas, l’a pris dans ses bras, sous son aile. Il a calmé ses cauchemars et ses peurs, il a soigné ses blessures et a cousu ses vêtements. Ce grand frère du même sang que lui, est soudainement devenu un modèle pour Syuhei.
Mis à l’écart, moqué, Syuhei a du mal à s’intégrer à l’école. Il est aux yeux de tous trop efféminé, trop différent, et même s’il n’a pas d’accent, son métissage fait de lui une cible à abattre. Syuhei se renferme sur lui-même, avec ses migraines et ses peurs. Mais Shûji est toujours là, le protégeant, le gâtant.
Le jeune homme n’a jamais été réellement accepté dans la famille Ashida. Il n’a jamais échangé plus que quelques mots avec son beau père. Il n’a jamais accepté son argent non plus. Soudainement, il était le beau-fils du propriétaire de Shiseido. Mais personne ne devait le savoir. Une existence dans l’ombre qu’il a acceptée, malgré lui. Se japonisant, comme toute chose entrant dans le territoire du soleil levant, Syu s’est créée une carapace dure à casser.
Persévérant, travailleur, il a rapidement fini le lycée, sans jamais accepter un seul yen de son beau père. Par contre, Shûji a toujours rempli le porte feuille de Syuhei sans lui demander son avis. Dix huit ans. Il avait dix huit ans lorsqu’il a eu son premier diplôme universitaire. Et une bourse. De Meiji, il a fini à Yonsei. Il a eu du mal à s’y faire, à changer une nouvelle fois de pays, à apprendre une nouvelle langue. Grâce aux équivalences, après sa licence d’ingénierie, il a pu passer directement en troisième année de design. Syuhei a du mal à accepter d’être à l’étranger. Il a du mal à accepter toute cette différence autour de lui. Mais, les mots de son père reviennent à lui. « La différence est une force. » C’est en Corée que l’excentricité de Syuhei revient.
Maintenant, malgré les migraines constantes et les sauts d’humeur, certainement dûes à une maladie qu'il ignore encore, il travaille, il gagne son propre argent, il a toujours sa bourse, parce que ses résultats sont excellents, il crée des vêtements merveilleux pour la marque de son frère, et il aspire à être un des meilleurs architectes d’Asie. Le Dragon a fini par vaincre.
HENKA BIATCH
IMMA BORN HATER
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