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1, 2, 3 Can you feel the love tonight (#JIAHOON)
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Re: Can you feel the love tonight (#JIAHOON) | Ven 30 Oct 2020 - 12:15
can you feel the love tonight // « Can you feel the love tonight? It is where we are. It's enough for this wide-eyed wanderer that we've got this far » — song link OOTD
Son regard est plongé dans celui de la jeune femme. Des dizaines de pensées se bousculent dans sa tête et son cerveau semble décidé à interpréter la moindre chose insignifiante comme un signe négatif (tiens elle a un peu haussé les sourcils, peut-être qu’elle le déteste ?). Quand il voit la bouche de Jia Xin s’entre-ouvrir pour parler, il déglutit et se force à être prêt à tout entendre, mais sait au fond de lui qu’il n’y a qu’une réponse qui peut le satisfaire.
Ce n’est pas la réponse qu’il entend.
Au fond, ce n’est pas comme si il était étonné. Il se doutait que Jia Xin n’allait pas lui sauter dans les bras et lui crier qu’elle l’aimait. En fait, il avait même passé plus de temps à s’imaginer un scénario où elle le rejette (plus ou moins directement) qu’un scénario où il est accepté. Il s’était dit qu’il était prêt à faire face à un rejet ou une hésitation sans difficulté. Il avait fait de son mieux, se disait-il, il avait fait tout ce qu’il pouvait, alors tout ce qu’il pouvait faire si elle n’acceptait pas sa déclaration, c’était accepter et attendre.
Mais la réalité est toujours différente de l’imagination et quand il entend la jeune femme lui dire ça, il réalise qu’il n’est pas du tout okay. Il sent quelque chose se briser à l’intérieur de lui, comme si un courant d’air gelé venait de le frapper en pleine tête, comme si on l’avait jeté dans un lac frigorifié. Pendant un instant, il en oublie même de respirer. Il n’est pas pris au dépourvu, il avait prévu et pourtant ça fait toujours aussi mal. Il est absolument convaincu qu’il a brisé quelque chose, touché quelque chose qu’il n’aurait pas dû toucher : l’ambiance était si agréable quelques secondes à peine auparavant et elle est devenue si froide, gênante.
Et surtout, il a été rejeté.
Il essaie de se dire que ce n’est pas un vrai rejet – elle n’a pas dit non, elle a dit qu’elle devait y réfléchir – mais il n’y arrive pas. Pour lui, c’est une façon polie de refuser, et ce même si au fond de lui, il est bien conscient qu’elle n’a pas l’habitude d’une telle situation et qu’il est évident qu’elle a besoin de réfléchir. Il comprend. Il sait. Mais malgré tout, il n’arrive pas à l’intégrer. « Oui, oui bien sûr tu as tout le temps que tu veux, je ne suis pas pressé » dit-il d’une voix aussi neutre que possible, faisant appel à tous ses talents d’acteur pour prétendre qu’il n’est pas du tout blessé par la situation. « Oui, oui bien sûr on peut rentrer » reprend-il de suite, inconscient qu’il répond presque la même chose. Il est aussi absent que tout à l’heure, mais pour une autre raison – il est comme frigorifié, et il est certain que même sa démarche n’est pas naturelle.
Il ne sait plus quoi dire, plus quoi faire, et même sourire semble hors de portée. Il s’en veut d’être comme ça d’ailleurs, parce qu’il est sûr que Jia Xin a compris à quel point il est touché, alors qu’il voudrait vraiment être à l’aise, il voudrait vraiment ne pas lui mettre la pression, il voudrait vraiment être capable d’agir comme avant.
Sans un mot, il rentre dans la voiture, allume le moteur, se met à conduire ; et même quand elle brise le silence pour le complimenter, il n’arrive pas à agir comme avant. Un léger sourire naît sur son visage, mais il ne fait pas l’imbécile comme il l’aurait normalement fait, il ne savoure pas le compliment comme il en a l’habitude, et répond simplement « Merci » d’une voix un peu trop triste pour être parfaitement sincère.
Le trajet semble interminable. Hoon est à la fois déchiré entre l’envie de rester avec elle, parce qu’il est convaincu qu’ils ne se verront plus jamais après s’être séparés aujourd’hui (sans savoir pourquoi il pense ça), et l’envie de fuir la situation, s’enfermer dans sa chambre et pleurer en silence. Quand il éteint enfin le moteur parce qu’il est arrivé devant le dortoir, il a l’impression que ça fait trois heures qu’il s’est déclaré. « Je vais dormir chez moi, il y a Choko qui m’attend là-bas » ment-il sans regarder Jia Xin dans les yeux, pour ne pas qu’elle s’attende à ce qu’il descende avec elle. ft : jiahoon
Son regard est plongé dans celui de la jeune femme. Des dizaines de pensées se bousculent dans sa tête et son cerveau semble décidé à interpréter la moindre chose insignifiante comme un signe négatif (tiens elle a un peu haussé les sourcils, peut-être qu’elle le déteste ?). Quand il voit la bouche de Jia Xin s’entre-ouvrir pour parler, il déglutit et se force à être prêt à tout entendre, mais sait au fond de lui qu’il n’y a qu’une réponse qui peut le satisfaire.
Ce n’est pas la réponse qu’il entend.
Au fond, ce n’est pas comme si il était étonné. Il se doutait que Jia Xin n’allait pas lui sauter dans les bras et lui crier qu’elle l’aimait. En fait, il avait même passé plus de temps à s’imaginer un scénario où elle le rejette (plus ou moins directement) qu’un scénario où il est accepté. Il s’était dit qu’il était prêt à faire face à un rejet ou une hésitation sans difficulté. Il avait fait de son mieux, se disait-il, il avait fait tout ce qu’il pouvait, alors tout ce qu’il pouvait faire si elle n’acceptait pas sa déclaration, c’était accepter et attendre.
Mais la réalité est toujours différente de l’imagination et quand il entend la jeune femme lui dire ça, il réalise qu’il n’est pas du tout okay. Il sent quelque chose se briser à l’intérieur de lui, comme si un courant d’air gelé venait de le frapper en pleine tête, comme si on l’avait jeté dans un lac frigorifié. Pendant un instant, il en oublie même de respirer. Il n’est pas pris au dépourvu, il avait prévu et pourtant ça fait toujours aussi mal. Il est absolument convaincu qu’il a brisé quelque chose, touché quelque chose qu’il n’aurait pas dû toucher : l’ambiance était si agréable quelques secondes à peine auparavant et elle est devenue si froide, gênante.
Et surtout, il a été rejeté.
Il essaie de se dire que ce n’est pas un vrai rejet – elle n’a pas dit non, elle a dit qu’elle devait y réfléchir – mais il n’y arrive pas. Pour lui, c’est une façon polie de refuser, et ce même si au fond de lui, il est bien conscient qu’elle n’a pas l’habitude d’une telle situation et qu’il est évident qu’elle a besoin de réfléchir. Il comprend. Il sait. Mais malgré tout, il n’arrive pas à l’intégrer. « Oui, oui bien sûr tu as tout le temps que tu veux, je ne suis pas pressé » dit-il d’une voix aussi neutre que possible, faisant appel à tous ses talents d’acteur pour prétendre qu’il n’est pas du tout blessé par la situation. « Oui, oui bien sûr on peut rentrer » reprend-il de suite, inconscient qu’il répond presque la même chose. Il est aussi absent que tout à l’heure, mais pour une autre raison – il est comme frigorifié, et il est certain que même sa démarche n’est pas naturelle.
Il ne sait plus quoi dire, plus quoi faire, et même sourire semble hors de portée. Il s’en veut d’être comme ça d’ailleurs, parce qu’il est sûr que Jia Xin a compris à quel point il est touché, alors qu’il voudrait vraiment être à l’aise, il voudrait vraiment ne pas lui mettre la pression, il voudrait vraiment être capable d’agir comme avant.
Sans un mot, il rentre dans la voiture, allume le moteur, se met à conduire ; et même quand elle brise le silence pour le complimenter, il n’arrive pas à agir comme avant. Un léger sourire naît sur son visage, mais il ne fait pas l’imbécile comme il l’aurait normalement fait, il ne savoure pas le compliment comme il en a l’habitude, et répond simplement « Merci » d’une voix un peu trop triste pour être parfaitement sincère.
Le trajet semble interminable. Hoon est à la fois déchiré entre l’envie de rester avec elle, parce qu’il est convaincu qu’ils ne se verront plus jamais après s’être séparés aujourd’hui (sans savoir pourquoi il pense ça), et l’envie de fuir la situation, s’enfermer dans sa chambre et pleurer en silence. Quand il éteint enfin le moteur parce qu’il est arrivé devant le dortoir, il a l’impression que ça fait trois heures qu’il s’est déclaré. « Je vais dormir chez moi, il y a Choko qui m’attend là-bas » ment-il sans regarder Jia Xin dans les yeux, pour ne pas qu’elle s’attende à ce qu’il descende avec elle.
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Re: Can you feel the love tonight (#JIAHOON) | Ven 30 Oct 2020 - 12:49
can you feel the love tonight // « Can you feel the love tonight? It is where we are. It's enough for this wide-eyed wanderer that we've got this far » — song link OOTD
Jia Xin était surprise par sa déclaration. Même si, finalement, elle n’aurait pas du l’être tant que ça. Après tout, ils passaient de plus en plus de temps ensemble. Ils se voyaient bien plus souvent, régulièrement, même. Mais, pour elle, il ne la considérait que comme une amie. Elle aurait dû être contente qu’il éprouve les mêmes sentiments qu’elle, elle aurait dû lui sourire et lui dire oui mais, c’était tellement nouveau et inattendu que la sino-coréenne ne savait pas comment faire, quoi faire, quoi dire. Et tellement de questions se bousculaient dans sa tête…
Elle avait mis du temps à accepter sa présence, à ne pas être agacé dès qu’elle le voyait. Elle avait mis du temps à réaliser qu’elle l’appréciait et qu’il s’était fait une place dans son cœur. Elle avait mis du temps, aussi, à réaliser qu’elle l’aimait. Si elle l’aimait et qu’il l’aimait, où était le problème ? Le problème était qu’elle pensait à la suite. Ne se lasserait-il pas d’elle ? Et, s’ils en venaient, finalement, à rompre ? Avait-il aussi conscience qu’il allait être son tout premier petit ami et qu’elle était totalement inexpérimentée ? Qu’elle n’y connaissait absolument rien ? Des questions qui se bousculaient dans sa tête et l’empêchaient de réfléchir correctement.
La sango avait besoin de temps pour réfléchir. Elle avait besoin de temps pour mettre de l’ordre là-dedans. Alors, elle lui demanda si c’était possible, qu’il attende. Encore. Elle savait que ce n’était pas ce qu’il voulait, elle savait aussi qu’elle allait le blesser. Et même s’il tentait de le masquer, elle le voyait bien. Elle n’était pas dupe. Se pinçant les lèvres, elle réalisa qu’il était plus que blessé quand il répondit tel un robot. Le cœur de la jeune femme se serra douloureusement. Elle ne voulait pas être la source de sa tristesse.
Ils reprirent le chemin vers la voiture du garçon et s’installèrent silencieusement. Elle brisa le silence uniquement pour lui dire qu’il n’était pas saoulant. Ça faisait bien longtemps qu’elle ne le trouvait pas agaçant. Ou peut-être qu’elle le trouvait agaçant parce qu’il faisait battre son cœur beaucoup plus vite que tous les autres, peut-être aussi parce qu’il la faisait rougir dès qu’il la complimentait, peut-être parce qu’elle rougissait comme une idiote dès qu’elle le regardait un peu trop dans les yeux ou quand son visage était trop proche du sien, peut-être aussi parce que ses pensées étaient un peu trop tournées vers lui.
Silencieuse durant tout le trajet qui dura une éternité, Jia Xin releva la tête quand il coupa le moteur. Elle se pinça les lèvres. Jia Xin releva doucement la tête vers lui quand il prit la parole, l’informant qu’il ne rentrait pas au dortoir. « Ah, d’accord… » Souffla-t-elle, se mordant la lèvre. Elle n’avait pas envie de sortir, encore moins de le laisser. Elle n’avait pas envie de rentrer, parce qu’elle savait qu’il partirait et elle ne voulait pas qu’il parte. Elle ne voulait pas qu’il s’éloigne. Elle le voulait dans sa vie, près d’elle, avec elle. La sino-coréenne posa sa main sur la poignée mais ne l’ouvrit pas. Si elle descendait maintenant, c’était terminé. Elle se ravisa, resta assise, silencieuse. Ses mains serraient la lanière de son sac. Elle fixait droit devant elle.
« Oui, Hoon. » Dit-elle enfin, brisant le silence. Jia Xin tourna la tête vers lui, cherchant son regard, alors que ses joues devenaient rouges et brûlantes. « Oui, je veux sortir avec toi. » Ajouta-t-elle, se voulant plus clair. Elle se mordit la lèvre, baissant les yeux et la tête, ne pouvant le regarder plus longtemps. « C’est… C’est tout nouveau pour moi, tu sais. Et je… » Elle s’interrompit. « Je ne sais pas faire. » Avoua-t-elle à voix basse et quand elle ne savait pas faire, Jia Xin avait peur et ne se lançait pas. Pourtant, malgré sa peur, elle se lançait. Parce qu’elle aimait Hoon. Et qu’elle ne pouvait pas s’imaginer sans lui. « Je t’aime, Hoon… » Confia-t-elle dans un murmure, relevant les yeux vers lui, timidement.
ft : jiahoon
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Jia Xin était surprise par sa déclaration. Même si, finalement, elle n’aurait pas du l’être tant que ça. Après tout, ils passaient de plus en plus de temps ensemble. Ils se voyaient bien plus souvent, régulièrement, même. Mais, pour elle, il ne la considérait que comme une amie. Elle aurait dû être contente qu’il éprouve les mêmes sentiments qu’elle, elle aurait dû lui sourire et lui dire oui mais, c’était tellement nouveau et inattendu que la sino-coréenne ne savait pas comment faire, quoi faire, quoi dire. Et tellement de questions se bousculaient dans sa tête…
Elle avait mis du temps à accepter sa présence, à ne pas être agacé dès qu’elle le voyait. Elle avait mis du temps à réaliser qu’elle l’appréciait et qu’il s’était fait une place dans son cœur. Elle avait mis du temps, aussi, à réaliser qu’elle l’aimait. Si elle l’aimait et qu’il l’aimait, où était le problème ? Le problème était qu’elle pensait à la suite. Ne se lasserait-il pas d’elle ? Et, s’ils en venaient, finalement, à rompre ? Avait-il aussi conscience qu’il allait être son tout premier petit ami et qu’elle était totalement inexpérimentée ? Qu’elle n’y connaissait absolument rien ? Des questions qui se bousculaient dans sa tête et l’empêchaient de réfléchir correctement.
La sango avait besoin de temps pour réfléchir. Elle avait besoin de temps pour mettre de l’ordre là-dedans. Alors, elle lui demanda si c’était possible, qu’il attende. Encore. Elle savait que ce n’était pas ce qu’il voulait, elle savait aussi qu’elle allait le blesser. Et même s’il tentait de le masquer, elle le voyait bien. Elle n’était pas dupe. Se pinçant les lèvres, elle réalisa qu’il était plus que blessé quand il répondit tel un robot. Le cœur de la jeune femme se serra douloureusement. Elle ne voulait pas être la source de sa tristesse.
Ils reprirent le chemin vers la voiture du garçon et s’installèrent silencieusement. Elle brisa le silence uniquement pour lui dire qu’il n’était pas saoulant. Ça faisait bien longtemps qu’elle ne le trouvait pas agaçant. Ou peut-être qu’elle le trouvait agaçant parce qu’il faisait battre son cœur beaucoup plus vite que tous les autres, peut-être aussi parce qu’il la faisait rougir dès qu’il la complimentait, peut-être parce qu’elle rougissait comme une idiote dès qu’elle le regardait un peu trop dans les yeux ou quand son visage était trop proche du sien, peut-être aussi parce que ses pensées étaient un peu trop tournées vers lui.
Silencieuse durant tout le trajet qui dura une éternité, Jia Xin releva la tête quand il coupa le moteur. Elle se pinça les lèvres. Jia Xin releva doucement la tête vers lui quand il prit la parole, l’informant qu’il ne rentrait pas au dortoir. « Ah, d’accord… » Souffla-t-elle, se mordant la lèvre. Elle n’avait pas envie de sortir, encore moins de le laisser. Elle n’avait pas envie de rentrer, parce qu’elle savait qu’il partirait et elle ne voulait pas qu’il parte. Elle ne voulait pas qu’il s’éloigne. Elle le voulait dans sa vie, près d’elle, avec elle. La sino-coréenne posa sa main sur la poignée mais ne l’ouvrit pas. Si elle descendait maintenant, c’était terminé. Elle se ravisa, resta assise, silencieuse. Ses mains serraient la lanière de son sac. Elle fixait droit devant elle.
« Oui, Hoon. » Dit-elle enfin, brisant le silence. Jia Xin tourna la tête vers lui, cherchant son regard, alors que ses joues devenaient rouges et brûlantes. « Oui, je veux sortir avec toi. » Ajouta-t-elle, se voulant plus clair. Elle se mordit la lèvre, baissant les yeux et la tête, ne pouvant le regarder plus longtemps. « C’est… C’est tout nouveau pour moi, tu sais. Et je… » Elle s’interrompit. « Je ne sais pas faire. » Avoua-t-elle à voix basse et quand elle ne savait pas faire, Jia Xin avait peur et ne se lançait pas. Pourtant, malgré sa peur, elle se lançait. Parce qu’elle aimait Hoon. Et qu’elle ne pouvait pas s’imaginer sans lui. « Je t’aime, Hoon… » Confia-t-elle dans un murmure, relevant les yeux vers lui, timidement.
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Re: Can you feel the love tonight (#JIAHOON) | Ven 30 Oct 2020 - 15:19
can you feel the love tonight // « Can you feel the love tonight? It is where we are. It's enough for this wide-eyed wanderer that we've got this far » — song link OOTD
Hoon s’en veut de mentir comme ça. C’est faux de dire que Choko l’attend chez lui : il a demandé à un ami de le garder pour la soirée parce qu’il n’avait pas le coeur à le laisser seul pendant des heures, enfermé dans son loft. Mais il ne se sent pas capable de rentrer au dortoir, dans la chambre où il y aura ses colocataires, où il ne pourra pas déprimer seul. Puis, il préfère écourter le moment avec Jia Xin : il a l’impression de la mettre horriblement mal-à-l’aise et il déteste cette sensation. Il est persuadé que c’est mieux pour tout le monde qu’il la laisse partir maintenant ; en tout cas, jusqu’au moment où il remarque qu’elle ne descend pas de la voiture.
Quand il tourne la tête vers elle, perplexe, pour comprendre pourquoi elle ne descend pas, il la surprend particulièrement tendue. Le regard fixé droit devant elle, qui évite soigneusement celui de Hoon ; et il se demande ce qu’elle peut bien vouloir lui dire de plus. Si il s’apprête à le rejeter maintenant, de suite, avant de se séparer, il préférerait qu’elle ne dise rien. Qu’il nourrisse de faux espoirs au moins ce soir.
Même quand elle dit « oui » en tournant la tête vers lui, il ne comprend pas où elle veut en venir. Il continue de la fixer sans rien dire, ses yeux plongés dans ceux de l’étudiante. En fait, même quand elle lui dit clairement qu’elle veut sortir avec lui, l’information ne percute pas de suite son cerveau. Il doute de ce qu’il a entendu, se demande s’il ne s’est pas endormi au volant et s’il n’est pas en train de faire un doux rêve. Mais au bout de plusieurs secondes, après avoir entendu les quatre mots les plus clairs du monde (« je t’aime, hoon »), il ne peut plus se dire que ce n’est qu’un rêve.
Elle vient d’accepter de sortir avec lui.
À cette pensée, sa bouche s’entre-ouvre de surprise et il l’observe d’un air béas, surpris. Il a la sensation qu’un immense poids vient d’être enlevé : la sensation que quelque chose l’étouffait a complètement disparu. Il se sent léger. Son coeur bat toujours aussi vite qu’avant, mais cette fois-ci, ce n’est pas à cause de la peur d’être rejeté. Et il est absolument certain que cette sensation dans le ventre n’a rien avoir avec la peur aussi : bien au contraire. « Je… m’y attendais pas » confie t-il honnêtement, avec un petit rire timide qui contraste totalement avec l’expression pleine de tristesse qu’il avait avant. « Enfin, je veux dire, si, je me disais que j’avais peut-être une chance, après tout je suis plutôt charmant, mais je pensais quand même que tu allais me rejeter » explique t-il, avec encore une fois une sincérité inutile. Il n’y peut rien s’il parle toujours trop : il se sent tellement léger, là, dans l’immédiat, qu’il se remet à dire tout et n’importe quoi. « Pardon pour ça, je sais pas pourquoi je l’ai dit » se corrige t-il de suite, avant de reprendre : « Je voulais dire, je sais que c’est tout nouveau pour toi et, franchement, je suis déjà sortie avec des filles mais j’ai jamais aimé autant quelqu’un donc c’est un peu nouveau pour moi aussi, tu sais. » Il se remet à sourire en la regardant. « Ne te prends pas trop la tête avec tout ça… tu as juste besoin d’agir comme tu veux, et faire ce que tu veux, je n’attends pas plus de toi et tu me plais telle que tu es au quotidien » Son sourire s’agrandit tandis qu’il regarde tendrement Jia Xin en tendant la main vers elle. « Je peux ? » demande t-il en montrant du regard la main de Jia Xin. ft : jiahoon
Hoon s’en veut de mentir comme ça. C’est faux de dire que Choko l’attend chez lui : il a demandé à un ami de le garder pour la soirée parce qu’il n’avait pas le coeur à le laisser seul pendant des heures, enfermé dans son loft. Mais il ne se sent pas capable de rentrer au dortoir, dans la chambre où il y aura ses colocataires, où il ne pourra pas déprimer seul. Puis, il préfère écourter le moment avec Jia Xin : il a l’impression de la mettre horriblement mal-à-l’aise et il déteste cette sensation. Il est persuadé que c’est mieux pour tout le monde qu’il la laisse partir maintenant ; en tout cas, jusqu’au moment où il remarque qu’elle ne descend pas de la voiture.
Quand il tourne la tête vers elle, perplexe, pour comprendre pourquoi elle ne descend pas, il la surprend particulièrement tendue. Le regard fixé droit devant elle, qui évite soigneusement celui de Hoon ; et il se demande ce qu’elle peut bien vouloir lui dire de plus. Si il s’apprête à le rejeter maintenant, de suite, avant de se séparer, il préférerait qu’elle ne dise rien. Qu’il nourrisse de faux espoirs au moins ce soir.
Même quand elle dit « oui » en tournant la tête vers lui, il ne comprend pas où elle veut en venir. Il continue de la fixer sans rien dire, ses yeux plongés dans ceux de l’étudiante. En fait, même quand elle lui dit clairement qu’elle veut sortir avec lui, l’information ne percute pas de suite son cerveau. Il doute de ce qu’il a entendu, se demande s’il ne s’est pas endormi au volant et s’il n’est pas en train de faire un doux rêve. Mais au bout de plusieurs secondes, après avoir entendu les quatre mots les plus clairs du monde (« je t’aime, hoon »), il ne peut plus se dire que ce n’est qu’un rêve.
Elle vient d’accepter de sortir avec lui.
À cette pensée, sa bouche s’entre-ouvre de surprise et il l’observe d’un air béas, surpris. Il a la sensation qu’un immense poids vient d’être enlevé : la sensation que quelque chose l’étouffait a complètement disparu. Il se sent léger. Son coeur bat toujours aussi vite qu’avant, mais cette fois-ci, ce n’est pas à cause de la peur d’être rejeté. Et il est absolument certain que cette sensation dans le ventre n’a rien avoir avec la peur aussi : bien au contraire. « Je… m’y attendais pas » confie t-il honnêtement, avec un petit rire timide qui contraste totalement avec l’expression pleine de tristesse qu’il avait avant. « Enfin, je veux dire, si, je me disais que j’avais peut-être une chance, après tout je suis plutôt charmant, mais je pensais quand même que tu allais me rejeter » explique t-il, avec encore une fois une sincérité inutile. Il n’y peut rien s’il parle toujours trop : il se sent tellement léger, là, dans l’immédiat, qu’il se remet à dire tout et n’importe quoi. « Pardon pour ça, je sais pas pourquoi je l’ai dit » se corrige t-il de suite, avant de reprendre : « Je voulais dire, je sais que c’est tout nouveau pour toi et, franchement, je suis déjà sortie avec des filles mais j’ai jamais aimé autant quelqu’un donc c’est un peu nouveau pour moi aussi, tu sais. » Il se remet à sourire en la regardant. « Ne te prends pas trop la tête avec tout ça… tu as juste besoin d’agir comme tu veux, et faire ce que tu veux, je n’attends pas plus de toi et tu me plais telle que tu es au quotidien » Son sourire s’agrandit tandis qu’il regarde tendrement Jia Xin en tendant la main vers elle. « Je peux ? » demande t-il en montrant du regard la main de Jia Xin.
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Re: Can you feel the love tonight (#JIAHOON) | Ven 30 Oct 2020 - 16:05
can you feel the love tonight // « Can you feel the love tonight? It is where we are. It's enough for this wide-eyed wanderer that we've got this far » — song link OOTD
Jia Xin était tendue. Ses doigts serraient fortement la lanière de son sac. Elle ne voulait pas descendre de la voiture, pas sans lui avoir donné sa réponse. Réponse à laquelle elle avait réfléchi durant le trajet mais ses questions, ses doutes, se bousculaient toujours. Ce n’est que quand il arrêta la voiture, coupa le moteur et l’informa qu’il ne rentrait pas avec elle, qu’elle eut le déclic. Ne pas être avec lui lui était insupportable. Alors, la sino-coréenne se lança. Elle répondit à sa demande, positivement. Elle tourna la tête, le regardant, le lui disant plus clairement. Mais il ne réagissait pas plus. Elle se pinça les lèvres, un peu déboussolée, avant de lui confier que c’était tout nouveau pour elle et qu’elle ne savait pas faire. La sango baissa la tête, ne pouvant pas le regarder droit dans les yeux, et lui avoua l’aimer. Elle releva timidement le regard vers lui, attendant une réaction.
Il semblait surpris. Pourtant, ce n’était pas ce qu’il voulait ? Il devait s’y attendre, non ? Jia Xin se mordit la lèvre, discrètement, attendant qu’il dise quelque chose. Elle commençait intérieurement à paniquer. Avait-elle dit quelque chose de mal ? Ou, peut-être que, parce que c’était nouveau pour elle et qu’elle ne savait pas faire, il ne voulait plus sortir avec elle ? L’étudiante se posait beaucoup trop de questions et il finit par prendre la parole, la faisant revenir sur Terre. L’entendre de nouveau rire lui réchauffait le cœur. L’entendre lui dire qu’il était plutôt charmant lui fit lever les yeux au ciel mais, il n’avait clairement pas tort. Il se remit à parler, beaucoup, beaucoup trop, mais c’était comme ça qu’elle l’aimait. Le garçon ne lui laissait pas le temps d’en placer une et Jia Xin pencha doucement la tête sur le côté, le regardant, patientant. Elle fronça les sourcils quand il mentionna d’autres filles, se pinçant les lèvres, tandis qu’elle regardait ailleurs. Il n’avait pas besoin de le lui rappeler. Mais la suite la fit rougir. Jia Xin le regarda de nouveau et son sourire fit battre son cœur encore un peu plus vite. Elle lui retourna son sourire, des papillons dans le ventre. Tout ce qu’il lui disait la rassurait. « D’accord… » Souffla-t-elle en le regardant, lui souriant toujours. « Merci de me dire tout ça, ça… me rassure. » Confia-t-elle en se pinçant les lèvres. Elle baissa les yeux vers la main tendue de Hoon avant de relever le regard. « Euh… Oui, bien sûr… » Dit-elle en posant timidement sa main dans celle du garçon et la serrant. Si, pourtant, elle avait déjà pris sa main, ce n’était pas dans les mêmes circonstances. Cette fois-ci, elle lui prenait la main en étant sa petite-amie et non juste une amie. Elle regarda leurs mains, souriant timidement, avant de lever les yeux vers Hoon et d’ancrer son regard au sien. « Tu n’es pas obligé de demander la permission, tu sais ? » Dit-elle en replaçant une mèche de ses cheveux derrière son oreille, le regardant toujours.
ft : jiahoon
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Jia Xin était tendue. Ses doigts serraient fortement la lanière de son sac. Elle ne voulait pas descendre de la voiture, pas sans lui avoir donné sa réponse. Réponse à laquelle elle avait réfléchi durant le trajet mais ses questions, ses doutes, se bousculaient toujours. Ce n’est que quand il arrêta la voiture, coupa le moteur et l’informa qu’il ne rentrait pas avec elle, qu’elle eut le déclic. Ne pas être avec lui lui était insupportable. Alors, la sino-coréenne se lança. Elle répondit à sa demande, positivement. Elle tourna la tête, le regardant, le lui disant plus clairement. Mais il ne réagissait pas plus. Elle se pinça les lèvres, un peu déboussolée, avant de lui confier que c’était tout nouveau pour elle et qu’elle ne savait pas faire. La sango baissa la tête, ne pouvant pas le regarder droit dans les yeux, et lui avoua l’aimer. Elle releva timidement le regard vers lui, attendant une réaction.
Il semblait surpris. Pourtant, ce n’était pas ce qu’il voulait ? Il devait s’y attendre, non ? Jia Xin se mordit la lèvre, discrètement, attendant qu’il dise quelque chose. Elle commençait intérieurement à paniquer. Avait-elle dit quelque chose de mal ? Ou, peut-être que, parce que c’était nouveau pour elle et qu’elle ne savait pas faire, il ne voulait plus sortir avec elle ? L’étudiante se posait beaucoup trop de questions et il finit par prendre la parole, la faisant revenir sur Terre. L’entendre de nouveau rire lui réchauffait le cœur. L’entendre lui dire qu’il était plutôt charmant lui fit lever les yeux au ciel mais, il n’avait clairement pas tort. Il se remit à parler, beaucoup, beaucoup trop, mais c’était comme ça qu’elle l’aimait. Le garçon ne lui laissait pas le temps d’en placer une et Jia Xin pencha doucement la tête sur le côté, le regardant, patientant. Elle fronça les sourcils quand il mentionna d’autres filles, se pinçant les lèvres, tandis qu’elle regardait ailleurs. Il n’avait pas besoin de le lui rappeler. Mais la suite la fit rougir. Jia Xin le regarda de nouveau et son sourire fit battre son cœur encore un peu plus vite. Elle lui retourna son sourire, des papillons dans le ventre. Tout ce qu’il lui disait la rassurait. « D’accord… » Souffla-t-elle en le regardant, lui souriant toujours. « Merci de me dire tout ça, ça… me rassure. » Confia-t-elle en se pinçant les lèvres. Elle baissa les yeux vers la main tendue de Hoon avant de relever le regard. « Euh… Oui, bien sûr… » Dit-elle en posant timidement sa main dans celle du garçon et la serrant. Si, pourtant, elle avait déjà pris sa main, ce n’était pas dans les mêmes circonstances. Cette fois-ci, elle lui prenait la main en étant sa petite-amie et non juste une amie. Elle regarda leurs mains, souriant timidement, avant de lever les yeux vers Hoon et d’ancrer son regard au sien. « Tu n’es pas obligé de demander la permission, tu sais ? » Dit-elle en replaçant une mèche de ses cheveux derrière son oreille, le regardant toujours.
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Re: Can you feel the love tonight (#JIAHOON) | Ven 30 Oct 2020 - 17:08
can you feel the love tonight // « Can you feel the love tonight? It is where we are. It's enough for this wide-eyed wanderer that we've got this far » — song link OOTD
Les yeux de Hoon sont bloqués sur Jia Xin, tantôt sur ses yeux, tantôt sur les lèvres qu’elle pince. Une habitude qu’il connaît chez la jeune femme. Elle le fait dès qu’elle est embarrassée et il a toujours trouvé ça particulièrement adorable. « Je suis content que ça te rassure, alors » répond-il en hochant la tête, sans jamais perdre son sourire.
Puis, il tend sa main vers Jia Xin, demande patiemment si il a le droit de lui tenir et serre la main de l’étudiante dans la sienne quand elle approuve. Ce n’est pas la première fois qu’il lui prend la main, mais à chaque fois, il avait une excuse qui l’autorisait à le faire : la première fois, c’était pour ne pas la perdre dans les rues nocturnes et bondées de Séoul. La deuxième fois, c’était pour le consoler après sa dispute avec Lucas.
La troisième fois, ils sont enfin en couple.
Cette simple pensée le réjouit plus qu’il ne l’aurait cru. Il se voit déjà envoyer des messages à tous ses amis pour annoncer la nouvelle et s’en vanter au monde entier ; mais pour l’instant, toute son attention est concentrée sur Jia Xin. Sur la main qu’il sert dans la sienne, sur le visage de la jeune femme, ses yeux, ses lèvres. Ses lèvres sur lesquelles il a louché plus d’une fois ; celles qu’il a imaginé embrasser tout autant de fois. « Ah bon ? » répond-il avec un rictus taquin sur le visage. Discrètement, de sa main libre, Hoon défait sa ceinture de sécurité. Puis, il se penche vers le siège passager, où est Jia Xin, rapproche lentement leur visage, dépose, sans jamais perdre son sourire, un bref bisou sur les lèvres de Jia Xin avant de s’écarter de quelques centimètres. « Même pour ça ? » murmure Hoon, d’une voix provocatrice – mais il n’attend pas la réponse pour combler de nouveau l’espace qui les sépare.
Cette fois-ci, il dépose délicatement ses lèvres sur celles de l’étudiante, commence à les bouger lentement pour ne pas la brusquer, et sa main serre celle de Jia Xin avec plus de force qu’avant. Il sent son coeur battre bruyamment, il sent le souffle chaud de Jia Xin sur son visage, ses douces lèvres sur les siennes, et chaque ressenti le rend fou, mais il fait en sorte de ne pas aller trop vite. Il ne sait pas si elle a déjà embrassé quelqu’un, alors il reste délibérément timide dans son baiser, n’ose pas encore utiliser sa main libre pour serrer l’étudiante contre lui. ft : jiahoon
Les yeux de Hoon sont bloqués sur Jia Xin, tantôt sur ses yeux, tantôt sur les lèvres qu’elle pince. Une habitude qu’il connaît chez la jeune femme. Elle le fait dès qu’elle est embarrassée et il a toujours trouvé ça particulièrement adorable. « Je suis content que ça te rassure, alors » répond-il en hochant la tête, sans jamais perdre son sourire.
Puis, il tend sa main vers Jia Xin, demande patiemment si il a le droit de lui tenir et serre la main de l’étudiante dans la sienne quand elle approuve. Ce n’est pas la première fois qu’il lui prend la main, mais à chaque fois, il avait une excuse qui l’autorisait à le faire : la première fois, c’était pour ne pas la perdre dans les rues nocturnes et bondées de Séoul. La deuxième fois, c’était pour le consoler après sa dispute avec Lucas.
La troisième fois, ils sont enfin en couple.
Cette simple pensée le réjouit plus qu’il ne l’aurait cru. Il se voit déjà envoyer des messages à tous ses amis pour annoncer la nouvelle et s’en vanter au monde entier ; mais pour l’instant, toute son attention est concentrée sur Jia Xin. Sur la main qu’il sert dans la sienne, sur le visage de la jeune femme, ses yeux, ses lèvres. Ses lèvres sur lesquelles il a louché plus d’une fois ; celles qu’il a imaginé embrasser tout autant de fois. « Ah bon ? » répond-il avec un rictus taquin sur le visage. Discrètement, de sa main libre, Hoon défait sa ceinture de sécurité. Puis, il se penche vers le siège passager, où est Jia Xin, rapproche lentement leur visage, dépose, sans jamais perdre son sourire, un bref bisou sur les lèvres de Jia Xin avant de s’écarter de quelques centimètres. « Même pour ça ? » murmure Hoon, d’une voix provocatrice – mais il n’attend pas la réponse pour combler de nouveau l’espace qui les sépare.
Cette fois-ci, il dépose délicatement ses lèvres sur celles de l’étudiante, commence à les bouger lentement pour ne pas la brusquer, et sa main serre celle de Jia Xin avec plus de force qu’avant. Il sent son coeur battre bruyamment, il sent le souffle chaud de Jia Xin sur son visage, ses douces lèvres sur les siennes, et chaque ressenti le rend fou, mais il fait en sorte de ne pas aller trop vite. Il ne sait pas si elle a déjà embrassé quelqu’un, alors il reste délibérément timide dans son baiser, n’ose pas encore utiliser sa main libre pour serrer l’étudiante contre lui.
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Re: Can you feel the love tonight (#JIAHOON) | Ven 30 Oct 2020 - 18:09
can you feel the love tonight // « Can you feel the love tonight? It is where we are. It's enough for this wide-eyed wanderer that we've got this far » — song link OOTD
Jia Xin baissa les yeux vers la main qu’il lui tendait. Il lui demandait l’autorisation et elle trouvait ça vraiment mignon de sa part. Il avait toujours fait attention à ne pas la mettre mal à l’aise mais maintenant qu’il n’avait plus vraiment de raison de lui demander, il continuait tout de même. Elle balbutia sa réponse, timide, parce que c’était dans un tout autre contexte que les autres fois. La sino-coréenne posa délicatement sa main dans celle du garçon et la serra doucement. Elle regarda leurs mains liées, sourit, et leva les yeux vers Hoon. Elle ancra son regard au sien, continuant toujours de sourire. Elle sentait ses joues rougir, parce que rien que le regard du sango la rendait fébrile et lui donnait chaud. Elle l’informa qu’il n’avait pas besoin de son autorisation pour lui prendre la main. Après tout, maintenant, elle était sa petite-amie alors il n’avait aucune raison de se retenir. « Oui. » Souffla-t-elle simplement. Mais au vu du rictus taquin qu’il abordait, elle n'aurait peut-être pas dû dire ça. Jia Xin déglutit discrètement.
Elle ne bougea pas de sa place alors qu’il défaisait sa ceinture et commençait à se pencher vers elle. Il avança lentement son visage du sien, le regard de Jia Xin ne quittait pas ses lèvres et elle commença à fermer les yeux quand elle sentit son souffle sur ses lèvres. Il déposa ses lèvres contre les siennes, son coeur loupa un battement. Un baiser chaste, doux, rapide, car il se recula presque aussitôt. La sino-coréenne ouvrit les yeux et plongea son regard dans celui de son petit-ami. Même pour ça voulut-elle répondre mais le sango ne lui laissa pas l’occasion de le faire. Il revint l’embrasser mais cette fois-ci, ses lèvres restèrent bien plus longtemps contre les siennes. Elle appréciait de sentir ses lèvres contre les siennes, même si ça rendait ses joues rouges et brûlantes, que son coeur battait à toute vitesse, et que Jia Xin ne savait pas vraiment quoi faire, comment le faire et faisait son possible pour suivre le mouvement. Elle n’avait jamais embrassé un garçon de toute sa vie et c’était la toute première fois. Elle était timide dans ses mouvements, hésitante aussi car elle ne savait pas du tout faire. Elle faisait son possible pour chasser ses pensées de sa tête : est-ce que ça lui plaisait ? faisait-elle ça bien ? Ses doigts agrippèrent délicatement sa chemise, la serrant et le ramenant vers elle sans vraiment s’en rendre compte. Son autre main tenait toujours celle de Hoon et elle sentait qu’il la serait plus fort qu’auparavant.
ft : jiahoon
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Jia Xin baissa les yeux vers la main qu’il lui tendait. Il lui demandait l’autorisation et elle trouvait ça vraiment mignon de sa part. Il avait toujours fait attention à ne pas la mettre mal à l’aise mais maintenant qu’il n’avait plus vraiment de raison de lui demander, il continuait tout de même. Elle balbutia sa réponse, timide, parce que c’était dans un tout autre contexte que les autres fois. La sino-coréenne posa délicatement sa main dans celle du garçon et la serra doucement. Elle regarda leurs mains liées, sourit, et leva les yeux vers Hoon. Elle ancra son regard au sien, continuant toujours de sourire. Elle sentait ses joues rougir, parce que rien que le regard du sango la rendait fébrile et lui donnait chaud. Elle l’informa qu’il n’avait pas besoin de son autorisation pour lui prendre la main. Après tout, maintenant, elle était sa petite-amie alors il n’avait aucune raison de se retenir. « Oui. » Souffla-t-elle simplement. Mais au vu du rictus taquin qu’il abordait, elle n'aurait peut-être pas dû dire ça. Jia Xin déglutit discrètement.
Elle ne bougea pas de sa place alors qu’il défaisait sa ceinture et commençait à se pencher vers elle. Il avança lentement son visage du sien, le regard de Jia Xin ne quittait pas ses lèvres et elle commença à fermer les yeux quand elle sentit son souffle sur ses lèvres. Il déposa ses lèvres contre les siennes, son coeur loupa un battement. Un baiser chaste, doux, rapide, car il se recula presque aussitôt. La sino-coréenne ouvrit les yeux et plongea son regard dans celui de son petit-ami. Même pour ça voulut-elle répondre mais le sango ne lui laissa pas l’occasion de le faire. Il revint l’embrasser mais cette fois-ci, ses lèvres restèrent bien plus longtemps contre les siennes. Elle appréciait de sentir ses lèvres contre les siennes, même si ça rendait ses joues rouges et brûlantes, que son coeur battait à toute vitesse, et que Jia Xin ne savait pas vraiment quoi faire, comment le faire et faisait son possible pour suivre le mouvement. Elle n’avait jamais embrassé un garçon de toute sa vie et c’était la toute première fois. Elle était timide dans ses mouvements, hésitante aussi car elle ne savait pas du tout faire. Elle faisait son possible pour chasser ses pensées de sa tête : est-ce que ça lui plaisait ? faisait-elle ça bien ? Ses doigts agrippèrent délicatement sa chemise, la serrant et le ramenant vers elle sans vraiment s’en rendre compte. Son autre main tenait toujours celle de Hoon et elle sentait qu’il la serait plus fort qu’auparavant.
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Re: Can you feel the love tonight (#JIAHOON) | Ven 30 Oct 2020 - 23:07
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Les yeux fermés, les lèvres se mouvant délicatement contre celles de Jia Xin, Hoon n’a plus aucune notion du temps. Dix secondes comme vingt-cinq minutes peuvent bien s’être écoulées depuis qu’il l’embrasse, il n’en a pas la moindre idée. En fait, c’est comme si tout autour de lui s’était arrêté, comme si le monde était resté en suspend au moment où leurs lèvres se sont touchées. Pour être parfaitement honnête, Hoon avait embrassé plusieurs filles, tellement de fois qu’il ne pourrait pas dire combien exactement, mais il n’a jamais partagé de baiser aussi doux et rempli d’amour. Son premier baiser remonte à si longtemps qu’il en a oublié ce que c’était de ne pas savoir quoi faire, mais il fait de son mieux pour prendre en considération Jia Xin et ne pas aller trop vite. C’est pour ça qu’il se retient d’être trop tactile, qu’il essaie d’aller à son rythme – mais ça n’a rien de souffrant ou de difficile, car le simple fait de partager un baiser avec elle est une explosion de joie pour Hoon.
Quand Hoon sent la jeune femme agripper légèrement sa chemise, le serrer contre elle, il s’autorise à placer sa main libre derrière le cou de l’étudiante, caressant délicatement ses cheveux par la même occasion. Puis, au bout d’un moment, quand l’air a commencé à manquer sans doute, Hoon s’est obligé de mettre fin à leur baiser en reculant de quelques centimètres – mais en restant délibérément proche d’elle, sa main serrant toujours celle de Jia Xin et l’autre toujours placée derrière son cou, comme dans l’espoir de faire durer les sensations un peu plus longtemps. « Tu es toute rouge, Jia » murmure t-il avec un rictus taquin sur le visage, incapable de ne pas l’embêter un peu – mais même si lui ne rougit pas, il sait qu’elle peut sentir son souffle saccadé contre son visage, et peut-être même entendre les battements de son coeur tellement ils sont bruyants. ft : jiahoon
Les yeux fermés, les lèvres se mouvant délicatement contre celles de Jia Xin, Hoon n’a plus aucune notion du temps. Dix secondes comme vingt-cinq minutes peuvent bien s’être écoulées depuis qu’il l’embrasse, il n’en a pas la moindre idée. En fait, c’est comme si tout autour de lui s’était arrêté, comme si le monde était resté en suspend au moment où leurs lèvres se sont touchées. Pour être parfaitement honnête, Hoon avait embrassé plusieurs filles, tellement de fois qu’il ne pourrait pas dire combien exactement, mais il n’a jamais partagé de baiser aussi doux et rempli d’amour. Son premier baiser remonte à si longtemps qu’il en a oublié ce que c’était de ne pas savoir quoi faire, mais il fait de son mieux pour prendre en considération Jia Xin et ne pas aller trop vite. C’est pour ça qu’il se retient d’être trop tactile, qu’il essaie d’aller à son rythme – mais ça n’a rien de souffrant ou de difficile, car le simple fait de partager un baiser avec elle est une explosion de joie pour Hoon.
Quand Hoon sent la jeune femme agripper légèrement sa chemise, le serrer contre elle, il s’autorise à placer sa main libre derrière le cou de l’étudiante, caressant délicatement ses cheveux par la même occasion. Puis, au bout d’un moment, quand l’air a commencé à manquer sans doute, Hoon s’est obligé de mettre fin à leur baiser en reculant de quelques centimètres – mais en restant délibérément proche d’elle, sa main serrant toujours celle de Jia Xin et l’autre toujours placée derrière son cou, comme dans l’espoir de faire durer les sensations un peu plus longtemps. « Tu es toute rouge, Jia » murmure t-il avec un rictus taquin sur le visage, incapable de ne pas l’embêter un peu – mais même si lui ne rougit pas, il sait qu’elle peut sentir son souffle saccadé contre son visage, et peut-être même entendre les battements de son coeur tellement ils sont bruyants.
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Re: Can you feel the love tonight (#JIAHOON) | Dim 1 Nov 2020 - 11:07
can you feel the love tonight // « Can you feel the love tonight? It is where we are. It's enough for this wide-eyed wanderer that we've got this far » — song link OOTD
Jia Xin découvrait de toutes nouvelles sensations, de nouvelles émotions. Ses lèvres suivant celles de Hoon, la jeune femme faisait au mieux. C’était son premier baiser et elle ne savait vraiment pas faire. Cependant, elle appréciait vraiment le contact des lèvres du garçon contre les siennes. Même si ça lui avait fait un peu peur et que des questions se bousculaient dans sa tête, elle oubliait tout maintenant. L’étudiant était d’une extrême douceur avec elle, ne la brusquant absolument pas. Elle ne savait pas depuis combien de temps ses lèvres étaient contre les siennes, à se mouvoir, mais elle s’en moquait bien, elle profitait de ce premier baiser. La sino-coréenne agrippa sans s’en rendre compte la chemise du garçon et le ramena vers elle. Elle aurait pu se sentir brusqué quand il plaça sa main derrière son cou mais pas le moins du monde parce qu’Hoon était toujours très doux et avait attendu qu’elle fasse le premier pas vers lui. L’air leur manquant, ils finirent par se détacher l’un de l’autre. La jeune femme ouvrit lentement les yeux, son regard s’ancrant aussitôt à celui du garçon. Elle se pinça les lèvres, pas parce qu’elle était mal à l’aise, mais bien parce qu’elle voulait garder le goût et les sensations des lèvres du sango. « Quoi ? » Souffla-t-elle, clignant des yeux, avant de réaliser. Elle se recula brusquement, lâchant sa chemise, réalisant que maintenant qu’elle la tenait. Elle le regarda avec de grands yeux, gênée, avant de se tourner et regarder par la vitre de la voiture, utilisant ses longs cheveux pour cacher son visage. « Tu n’étais pas obligée de le dire. » Marmonna-t-elle. Elle était incapable de se calmer, de ralentir les battements de son cœur, d’effacer les rougeurs de ses joues brûlantes qu’elle touchait du bout des doigts. Elle était incapable de masquer ce qu'elle ressentait et qu'il l'ait vu si facilement... Jia Xin se détacha, regardant toujours à l’opposé de Hoon, et ouvrit légèrement la portière. L’air lui fit du bien. « Je ne te retiens pas plus longtemps. Choko t’attend. » Dit-elle en tournant un peu la tête vers lui, le regardant timidement, lui et ses lèvres qu'elle avait envie de regoûter.
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Jia Xin découvrait de toutes nouvelles sensations, de nouvelles émotions. Ses lèvres suivant celles de Hoon, la jeune femme faisait au mieux. C’était son premier baiser et elle ne savait vraiment pas faire. Cependant, elle appréciait vraiment le contact des lèvres du garçon contre les siennes. Même si ça lui avait fait un peu peur et que des questions se bousculaient dans sa tête, elle oubliait tout maintenant. L’étudiant était d’une extrême douceur avec elle, ne la brusquant absolument pas. Elle ne savait pas depuis combien de temps ses lèvres étaient contre les siennes, à se mouvoir, mais elle s’en moquait bien, elle profitait de ce premier baiser. La sino-coréenne agrippa sans s’en rendre compte la chemise du garçon et le ramena vers elle. Elle aurait pu se sentir brusqué quand il plaça sa main derrière son cou mais pas le moins du monde parce qu’Hoon était toujours très doux et avait attendu qu’elle fasse le premier pas vers lui. L’air leur manquant, ils finirent par se détacher l’un de l’autre. La jeune femme ouvrit lentement les yeux, son regard s’ancrant aussitôt à celui du garçon. Elle se pinça les lèvres, pas parce qu’elle était mal à l’aise, mais bien parce qu’elle voulait garder le goût et les sensations des lèvres du sango. « Quoi ? » Souffla-t-elle, clignant des yeux, avant de réaliser. Elle se recula brusquement, lâchant sa chemise, réalisant que maintenant qu’elle la tenait. Elle le regarda avec de grands yeux, gênée, avant de se tourner et regarder par la vitre de la voiture, utilisant ses longs cheveux pour cacher son visage. « Tu n’étais pas obligée de le dire. » Marmonna-t-elle. Elle était incapable de se calmer, de ralentir les battements de son cœur, d’effacer les rougeurs de ses joues brûlantes qu’elle touchait du bout des doigts. Elle était incapable de masquer ce qu'elle ressentait et qu'il l'ait vu si facilement... Jia Xin se détacha, regardant toujours à l’opposé de Hoon, et ouvrit légèrement la portière. L’air lui fit du bien. « Je ne te retiens pas plus longtemps. Choko t’attend. » Dit-elle en tournant un peu la tête vers lui, le regardant timidement, lui et ses lèvres qu'elle avait envie de regoûter.
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Re: Can you feel the love tonight (#JIAHOON) | Dim 1 Nov 2020 - 11:23
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Son visage toujours à quelques centimètres de celui de la jeune femme, une main qui tient celle de Jia Xin et l’autre sur sa nuque, Hoon voit les moindres détails du visage de l’étudiante. Ce n’est pas vraiment la première fois que c’est le cas, mais c’est la première fois qu’il est à ce point proche d’elle et aussi la première fois qu’elle est aussi rouge ; et il ne résiste pas à la tentation de la taquiner. Quand elle comprend ce qu’il vient de lui dire, elle se met à rougir encore plus (dans la mesure du possible), à lâcher sa chemise comme si l’agripper avait été une erreur fatale, et à tourner la tête vers la fenêtre pour ne plus qu’il puisse la voir. Face à cette réaction très typique de Jia Xin, Hoon ne peut pas s’empêcher de rire. Puis, il se replace sur son fauteuil pour laisser un peu d’espace à l’étudiante. « Ce n’était pas un reproche, c’est mignon de rougir autant » reprend-il sans arrêter de la regarder (et même si elle a la tête tournée vers l’extérieur).
Quand elle ouvre la portière et l’invite gentiment à partir rejoindre son chien, Hoon réalise qu’il n’a pas du tout envie de rentrer chez lui. Surtout que Choko ne l’attend pas du tout – il a dit ça pour écourter leur rencontre au moment où il était persuadé qu’elle allait le rejeter. « Ah, oui, Choko » répète t-il sans la lâcher du regard, mais en perdant son sourire. Bien sûr, il peut admettre que c’était un mensonge, mais c’est beaucoup lui en demander. « Euh, ben… bonne nuit alors » s’exclame t-il, sentant son coeur se serrer pour deux raisons : la première, parce qu’il n’a pas du tout envie de se séparer de Jia Xin ; la deuxième, parce qu’il s’en veut de se punir lui-même en étant incapable de reconnaître son mensonge. Il espère silencieusement qu’elle comprenne toute seule qu’il a menti, mais visiblement, ce n’est pas prêt d’arriver. ft : jiahoon
Son visage toujours à quelques centimètres de celui de la jeune femme, une main qui tient celle de Jia Xin et l’autre sur sa nuque, Hoon voit les moindres détails du visage de l’étudiante. Ce n’est pas vraiment la première fois que c’est le cas, mais c’est la première fois qu’il est à ce point proche d’elle et aussi la première fois qu’elle est aussi rouge ; et il ne résiste pas à la tentation de la taquiner. Quand elle comprend ce qu’il vient de lui dire, elle se met à rougir encore plus (dans la mesure du possible), à lâcher sa chemise comme si l’agripper avait été une erreur fatale, et à tourner la tête vers la fenêtre pour ne plus qu’il puisse la voir. Face à cette réaction très typique de Jia Xin, Hoon ne peut pas s’empêcher de rire. Puis, il se replace sur son fauteuil pour laisser un peu d’espace à l’étudiante. « Ce n’était pas un reproche, c’est mignon de rougir autant » reprend-il sans arrêter de la regarder (et même si elle a la tête tournée vers l’extérieur).
Quand elle ouvre la portière et l’invite gentiment à partir rejoindre son chien, Hoon réalise qu’il n’a pas du tout envie de rentrer chez lui. Surtout que Choko ne l’attend pas du tout – il a dit ça pour écourter leur rencontre au moment où il était persuadé qu’elle allait le rejeter. « Ah, oui, Choko » répète t-il sans la lâcher du regard, mais en perdant son sourire. Bien sûr, il peut admettre que c’était un mensonge, mais c’est beaucoup lui en demander. « Euh, ben… bonne nuit alors » s’exclame t-il, sentant son coeur se serrer pour deux raisons : la première, parce qu’il n’a pas du tout envie de se séparer de Jia Xin ; la deuxième, parce qu’il s’en veut de se punir lui-même en étant incapable de reconnaître son mensonge. Il espère silencieusement qu’elle comprenne toute seule qu’il a menti, mais visiblement, ce n’est pas prêt d’arriver.
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Re: Can you feel the love tonight (#JIAHOON) | Dim 1 Nov 2020 - 11:41
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Jia Xin se recula, encore plus rouge qu’avant – si cela était possible – et tourna vivement la tête vers l’extérieur. Elle se pinça les lèvres quand il rit et tenta de masquer ses joues avec ses cheveux, marmonnant qu’il aurait pu se retenir de le lui dire. « Si tu le dis… » Souffla-t-elle. Elle ne le prenait pas comme un reproche, mais elle ne trouvait pas ça spécialement mignon non plus. La sino-coréenne ouvrit un peu la portière, respirant un peu mieux, cependant son cœur ne se calmait pas plus. Elle ne voulait pas qu’il parte, elle aurait préféré qu’il rentre avec elle au dortoir mais la jeune femme ne voulait pas le retenir et changer ses plans. Elle se mordit discrètement la lèvre avant de tourner la tête vers lui, le regardant timidement. « Bonne nuit. » Dit-elle doucement, lui adressant un maigre sourire. Elle le regarda quelques secondes, hésitante, avant de se raviser et décider à sortir de la voiture. Mais à peine un pied posé au sol, qu’elle se ravisa encore une fois et changea d’avis. Elle se réinstalla sur le siège et fit face à son petit-ami. La sino-coréenne prit son courage à deux mains et avança son visage vers le sien. Elle déposa ses lèvres contre les siennes, pour un bref baiser, et se recula. « On se voit demain ? » Dit-elle en lui offrant un sourire timide. Cette fois-ci, elle descendit vraiment de la voiture. Elle mit du temps à fermer la portière, ayant très peu envie de se séparer de lui. Elle avait envie de lui demander de rester, de rentrer avec elle mais elle s’abstint, resta silencieuse.
ft : jiahoon
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Jia Xin se recula, encore plus rouge qu’avant – si cela était possible – et tourna vivement la tête vers l’extérieur. Elle se pinça les lèvres quand il rit et tenta de masquer ses joues avec ses cheveux, marmonnant qu’il aurait pu se retenir de le lui dire. « Si tu le dis… » Souffla-t-elle. Elle ne le prenait pas comme un reproche, mais elle ne trouvait pas ça spécialement mignon non plus. La sino-coréenne ouvrit un peu la portière, respirant un peu mieux, cependant son cœur ne se calmait pas plus. Elle ne voulait pas qu’il parte, elle aurait préféré qu’il rentre avec elle au dortoir mais la jeune femme ne voulait pas le retenir et changer ses plans. Elle se mordit discrètement la lèvre avant de tourner la tête vers lui, le regardant timidement. « Bonne nuit. » Dit-elle doucement, lui adressant un maigre sourire. Elle le regarda quelques secondes, hésitante, avant de se raviser et décider à sortir de la voiture. Mais à peine un pied posé au sol, qu’elle se ravisa encore une fois et changea d’avis. Elle se réinstalla sur le siège et fit face à son petit-ami. La sino-coréenne prit son courage à deux mains et avança son visage vers le sien. Elle déposa ses lèvres contre les siennes, pour un bref baiser, et se recula. « On se voit demain ? » Dit-elle en lui offrant un sourire timide. Cette fois-ci, elle descendit vraiment de la voiture. Elle mit du temps à fermer la portière, ayant très peu envie de se séparer de lui. Elle avait envie de lui demander de rester, de rentrer avec elle mais elle s’abstint, resta silencieuse.
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