Bien décidé à tirer un trait définitivement sur Malia, Euigeon avait voulu faire en sorte d’au moins connaitre la véritable raison de son départ. Depuis des mois, il n’arrêtait pas de se torturait l’esprit depuis des mois parce qu’il n’avait aucune nouvelle et aucune certitude de ce qui lui était arrivé. C’était sûrement débile de sa part de se focaliser sur ça, mais il savait qu’il ne pourrait pas avancer avant de savoir ce qui s’était passé. Le jeune homme avait cherché de son côté, faisant en sorte d’éplucher tout ce qu’il avait sur la main, mais il n’avait eu aucun résultat. Même ses amis n’avaient pas pu l’aider. Alors, en dernière solution, il avait demandé à un pyo, réputé pour être un hacker de trouver des trucs sur Malia. Il lui avait promis de le payer. Après tout, la fortune de Euigeon n’avait pas de limites, merci à son père. Il pouvait donc mettre autant d’argent qu’il le voulait pour trouver des informations sur la jeune femme. Il avait reçu un message pour l’informer qu’il avait trouvé quelque chose. Le plus vieux s’était donc empressé de se rendre devant sa porte pour obtenir les réponses à ses questions bien trop longtemps laissées sans. Euigeon avait sûrement mis plus d’efforts et d’argent dans cette quête que dans n’importe quoi d’autre. Même quand Narae l’avait trompé, il n’avait pas cherché à savoir qui était le mec derrière tout ça et avait accepté le fait sans broncher. Pour Malia ça avait été différent. Tout était différent avec elle. De l’amour qu’il lui avait porté à cette obsession de connaître la vérité. Il frappa à la porte pour enfin connaitre ce qui s’était réellement passer et enfin pouvoir oublier et passer à autre chose.

Il était plutôt rare de voir Nam Kyu au dortoir, ces derniers jours. Il avait préféré son appartement à sa fraternité. Un besoin de se retrouver seul avec lui-même, quelques jours. Son éternelle musique comme seule accompagnatrice. Il avait raté quelques cours, avait passé plus de temps à vendre sa drogue, et traîner ci et là. Cette dernière soirée passée avec son voisin lui avait fait voir les choses différemment, et il avait eu besoin d’un peu de temps pour l’assimiler. Pour autant, il n’en avait pas oublié la requête qu’un pyobeom lui avait faite. Celle de trouver des informations sur une ancienne étudiante. Il n’avait accepté que pour l’argent qu’on lui avait proposé, lui qui en manquait souvent cruellement. Ca n’avait pas été difficile de retrouver sa trace, finalement. Quelques heures passées sur ses ordinateurs, et il avait dégoté quelques photos, un lieu. Peut-être qu’Eui Geon allait vouloir avoir plus d’informations, mais il s’était décidé à lui présenter ce qu’il avait déjà trouvé. De retour au dortoir après ces quelques jours de silence, il était simplement parti dans sa chambre, avait allumé son ordinateur pour retrouver les fichiers qu’il avait trouvé. Il n’avait plus qu’à attendre que son camarade arrive, après lui avoir envoyé un message. En profitant pour manger le burger qu’il avait pris en route, il n’avait pas fallu longtemps avant que son invité du jour arrive. La bouche encore pleine, il avait ouvert la porte, tentant un léger sourire. « Salut, entre. » lançait-il simplement, avant de s’installer sur sa chaise de bureau, invitant Eui Geon à s’installer sur son lit. Finissant rapidement son burger, il le fixait simplement. « Bon, j’vais pas y aller par quatre chemins. J’ai trouvé quelques infos sur ta Malia. Hésite pas à m’dire si t’as besoin d’en savoir plus. » Comme à son habitude, Kyu ne prenait pas vraiment de pincettes, mais il était comme ça, à balancer tout ce qui lui venait. « J’ai trouvé là ou elle est, et des photos. Tu veux les voir ? »

Cette requête, payée bien entendu, était la dernière chose que Euigeon ferait par rapport à Malia. Il ne voulait pas rester encore plus attaché à la jeune femme qu’il ne l’était déjà. Il lui fallait avancer, faire en sorte de ne plus s’accrocher à un passé qui ne voulait plus de lui. Le pyobeom souhaitait plus que tout et allait de l’avant. Cependant, sans savoir ce qui lui était arrivé, il ne pourrait pas le faire. Ce fut pour cette raison qu’il fit appel aux talents de Namkyu pour la retrouver et passer à autre chose. Alors, après le message de ce dernier, il se rendit directement à sa chambre. Il n’avait pas le temps d’attendre ni même de faire autre chose et revenir plus tard. Il frappa à la porte et attendit que Kyu lui ouvre. Il le retrouva en train de manger et lui sourit légèrement, le saluant par la même occasion. « Salut. » dit-il simplement en entrant dans la pièce. Euigeon le laissa s’installer sur sa chaise de bureau et s’installa lui sur le lit, attendant qu’il finisse son hamburger. Ce qui était bien avec Namkyu, c’était qu’il ne passait pas par quatre chemins. Quand il eut finit la dernière bouchée de son repas et l’avala, il reprit la parole pour mentionner rapidement qu’il avait trouvé des informations sur Malia. Le soulagement put se lire sur son visage et il grimaça en même temps. Elle était donc bien en vie et surtout on pouvait la trouver aisément. Qu’était-il donc arrivé pour qu’elle parte de la sorte et ne lui donne pas de nouvelles ? Le plus vieux allait découvrir tout ça parce qu’il avait trouvé des photos ainsi que le lieu où elle se trouvait. « Ouais je veux bien voir tout ça. » Ce n’était peut-être pas une bonne idée mais au moins, il saurait qu’elle était en vie et en bonne santé. « Et à part ça, t’as trouvé quoi d’autre ? » Peut-être un numéro, un boulot, une adresse ? Tout ce qui pourrait l’aider à entrer en contact avec elle. Est-ce qu’il le ferait ? Ce n’était pas sûr du tout. « Je te paierai en conséquence. » Ce n’était pas l’argent qui lui manquait, juste les compétences pour trouver les informations comme Kyu venait de le faire.

Il était rare, qu’on lui demande une telle chose. Qu’il recherche quelqu’un qui avait — semble-t-il — disparu de la circulation. Non pas qu’il n’en était pas capable, mais il n’était pas le genre de mec à mener des enquêtes. S’il avait appris à hacker des comptes, des informations, c’était simplement pour mieux connaître des personnes qui, à un moment donné, avaient pris trop de place dans sa vie. Il l’avait aussi fait pour pouvoir dégoter le dossier judiciaire comprenant toutes les informations sur le décès de sa mère, le procès de son père. Pour connaître toute la vérité sur ce père qu’il avait renié, après cette nuit tragique. Pour autant, il avait accepté d’aider Eui Geon. Et il pouvait avouer sans difficultés qu’il l’avait uniquement fait pour l’argent qu’il lui avait proposé. Parce que ça l’aiderait à payer ses études, son appartement. Lui qui courrait toujours après quelques billets, avait l’occasion de se donner un peu de répit avec une seule mission. C’était gagnant gagnant pour les deux pyobeoms, au final. « J’ai fait un dossier avec quelques photos, j’te les envoie sur ton téléphone. » Et déjà, il se tournait vers son écran. En quelques clics, les fichiers se retrouvaient en possession de son camarade. « Y’avait pas mal de photos avec le même mec, j’les ai pas toutes mises, mais j’peux t’envoyer les autres aussi si tu veux. » ajoutait-il en se retournant à nouveau vers lui. Cet air quelque peu nonchalant, il s’enfonçait dans sa chaise, croisait ses mains sur son ventre tout en l’observant. « J’peux te dire qu’elle est à New York, et qu’elle traîne pas mal dans un bar. Peut-être qu’elle y bosse, j’peux checker et te confirmer ça si tu veux. Ca prendra pas beaucoup de temps. » répondait-il à sa question. Il se doutait, qu’il pouvait paraître un peu brusque, mais savait aussi qu’Eui Geon n’était là que pour avoir les informations qu’il lui avait demandé. Alors il était plus simple pour lui de tout lui déballer rapidement, au lieu de tourner autour du pot trop longtemps. « J’ai peut-être un numéro de téléphone, et j’peux essayer de te donner accès à sa messagerie kakao si tu veux. » Des choses qu’il savait faire aisément, des informations qu’il pourrait avoir à quelques portées de clics, s’il le souhaitait, alors qu’il avait déjà réussi à accéder à plusieurs informations la concernant.

L’argent ne manquait pas à Euigeon. Il aurait pu engager un détective privé pour retrouver la trace de la jeune femme. Il aurait été tout aussi efficace que Namkyu, mais il n’avait pas voulu le faire. Déjà parce que ça lui aurait coûté plus cher, mais également parce que le pyobeom était un peu comme sa famille donc, il préférait donner son argent à sa famille. Heureusement, il eut des résultats et dès que ce fut le cas, le plus vieux frappa à la porte de son cadet pour les avoir. Kyu avait trouvé des photos et son lieu de travail. Il avait ces photos en sa possession et il lui demanda s’il voulait les avoir. Euigeon les voulait. Il voulait savoir si elle était en bonne santé. Il attendit qu’il lui envoie pour commencer son exploration. Sa mâchoire se crispa en voyant le visage du mec. C’était son ex petit ami, celui qui avait été violent avec elle. Le pseudo détective lui avoua la présence d’autres photos et lui demanda s’il voulait les voir. « Je veux bien les photos. Tout celles que tu as. » Le ton de Euigeon avait quelque peu changé. Il n’était plus aussi neutre qu’il aurait aimé le faire croire. Malia l’avait quitté sans un mot, sans une explication pour retourner avec ce type. Son sang bouillonnait mais il n’avait pas à s’en prendre à Namkyu qui n’y était pour rien. D’ailleurs, le jeune homme recommença à parler et lui donna plus d’informations sur l’endroit où elle était et ce qu’elle faisait. « Non pas ma peine que tu regardes ça. Elle doit y travailler. C’est le genre de métier qu’elle ferait si elle devait gagner de l’argent. » Argent que son cher et tendre devait lui prendre pour qu’elle évite de repartir et reprendre son envol. Il avait du mal vivre le fait qu’elle se casse. Euigeon soupira et demanda finalement un moyen de la contacter. Il paierait Kyu en fonction de ses trouvailles et il ne serait pas radin. « Tout ce que tu pourras trouver. » Il n’était pas difficile et voulait tout. Autant pour savoir ce qui lui était arrivé que pour mettre un terme à sa torture. Avec ça, il espérait qu’il pourrait enfin tourner la page sur toute cette histoire pour pouvoir commencer une nouvelle. Le voulait-il réellement ? Pas vraiment, mais c’était nécessaire. Sinon, il resterait bloqué sur Malia et ne se fermerait à d’autres opportunités, même si ce n’était clairement pas ce qu’il voulait. « Toute information me sera utile. Donc si tu peux aussi fouiner sur le type aussi… Mark il s’appelle, je te donnerai le double de ce qui était prévu. » Il voulait aussi des renseignements sur ce Mark pour avoir quelque chose contre lui et potentiellement libérer Malia de son emprise. Il pourrait lui envoyer tout ça et elle se débrouillerait avec.

Peut-être qu’il se sentait utile, quelque part. Qu’il avait le sentiment de pouvoir aider un membre de cette famille qu’il avait choisi. Et c’était une bonne chose pour Kyu, lui qui faisait de son mieux pour être présent pour ses proches. Certes, il ne connaissait pas vraiment Eui Geon, mais les deux avaient choisi la même fraternité. Les deux s’étaient retrouvés dans cette même grande demeure. Et même s’ils n’avaient jamais véritablement eu l’occasion de parler, d’apprendre à se connaître, ils devaient s’entraider. Aux yeux de Kyu, c’était l’intérêt même de ce choix qu’il avait fait en arrivant à la Yonsei. Alors, il faisait de son mieux, et si un des pyobeom appelait au secours, il ferait en sorte d’être là pour aider, même si ses manières frôlaient bien souvent la légalité. Il le prouvait encore une fois, une petite moue sur son visage. Sans répondre, il envoyait le reste des photos qu’il avait trouvé à son camarade. Il acquiesçait à ses mots, attendait la suite. S’il voulait plus d’informations, il ferait en sorte de les lui donner, mais se contenterait toujours de rester à sa place, de ne pas aller plus loin que ce qu’il voudrait. « Laisse moi cinq minutes. » lançait-il finalement, se retournant à nouveau vers son ordinateur, pianotant sur les touches de son clavier. Concentré, il farfouillait dans les informations qu’il avait déjà trouvées pour en sortir le numéro de téléphone de cette fameuse Malia, qu’il transférait immédiatement sur son téléphone. Quelques minutes de plus, et il lui envoyait les identifiants pour accéder à ses discussions sur kakaotalk. Sa tête tournée vers son camarade, il fronçait légèrement ses sourcils, l’observait quelques secondes. Une autre demande qui pourrait lui faire gagner plus d’argent, c’était difficile de refuser. « Euuh... Ouais d’accord. Tu veux quoi ? Ses conversations, son adresse ? » demandait-il, pour savoir ou chercher, par quoi commencer. Il se doutait bien, que ce n’était pas une demande banale, mais préférait ne pas poser de questions. Après tout, ce n’était pas vraiment ses affaires, il ne faisait que l’aider, en renflouant ses comptes. Chacun était gagnant dans l’histoire.

Euigeon lui laisserait le temps qu’il avait besoin, s’il obtenait les réponses à ses questions et les informations qu’il cherchait. C’était sûrement intrusif et il serait probablement qualifié de stalker si jamais ça venait à se savoir, mais il s’en moquait. Malia n’avait qu’à pas le laisser de cette façon, sans rien dire et sans donner de nouvelles. Le jeune homme s’était tellement fait de films dans sa tête qu’il avait imaginé tout et n’importe quoi. De l’enlèvement, à la fugue, en passant par le suicide et le meurtre. Il était donc heureux qu’elle soit toujours en vie et ce même si ce n’était pas avec lui et dans un autre pays. Est-ce qu’il lui en voulait d’être retournée avec son ex ? Oui, il n’allait pas mentir. Mais Euigeon se disait qu’elle devait avoir une bonne raison de le faire, parce qu’elle se disait amoureuse de lui et finalement, elle retournait avec le mec qui l’avait maltraité. Il ne comprenait pas et ne comprendrait potentiellement jamais s’il n’avait pas le courage de l’appeler. Pour le moment, il ne savait pas s’il le ferait, ni même ce qu’il ferait de toutes les informations que Namkyu lui donnait. Il les garderait précieusement et verrait le moment venu. D’ailleurs, ce dernier lui envoya tout ce qu’il avait demandé et Euigeon se permit une dernière requête, lui promettant de l’argent pour lui donner ce qu’il voulait : ce qu’il pouvait trouver sur l’ex et de nouveau petit ami de Malia, Mark. « Ouais. Puis ses réseaux sociaux peut-être ? Enfin tout ce que tu pourras trouver. » Euigeon se moquait bien d’être intrusif dans sa vie à lui. Il souhaitait seulement trouver quelque chose qui pourrait être compromettant et potentiellement donner les informations à Malia si jamais elle voulait se sortir de cette relation. « T’as moyen de creuser dans le criminel ? Genre un casier judiciaire ou alors des affaires louches ? » Ce n’était pas la même chose qu’il avait demandé depuis le départ, mais il avait quand même envie de voir si ça pouvait le faire, parce qu’il voulait se venger de lui avoir repris Malia et encore plus s’il l’avait forcé.

Peut-être que c’était plaisant, quelque part, d’être utile ainsi. De pouvoir rendre service. Même si généralement, ce type d’aide, il l’offrait surtout à ses plus proches amis. Ce n’était pas que l’appât du gain qui le poussait à agir, mais ce besoin de réellement se sentir utile à quelque chose. Ce n’était pas en vendant de la drogue qu’il y parviendrait, le savait depuis longtemps. Mais pour une fois, il pouvait aider; alors qu’importe, il le faisait. Concentré sur cet échange, il pianotait déjà sur le clavier de son ordinateur, à la recherche d’informations qu’eux Geon voulait. Ce n’était pas difficile de trouver les réseaux sociaux, un numéro de téléphone, une fois qu’il avait trouvé un nom. Rien de sorcier après avoir farfouillé dans la vie de cette Malia. Sourcils froncés, il répondait à peine à son comparse, commençant déjà à lister les informations de base qu’il trouvait sur ce fameux Mark. « J’peux checker son casier s’tu veux, même t’en envoyer une copie. » Il ne s’était autorisé qu’une seule fois, ces tentatives de hack, et uniquement pour lui, pour retrouver le dossier de son géniteur. Des années après la mort tragique de sa mère, et un refus total d’aller voir ce dernier en prison, il avait eu besoin de réponses malgré tout. Réponses que personne n’osait lui donner. Alors il était allé les chercher lui-même, avec pour simple résultat, une haine plus féroce encore, à l’égard de celui qui lui avait donné la vie. « Tu veux aussi que j’regarde s’il est impliqué dans certaines affaires ? » Demandait-il, même s’il se doutait de la réponse. « J’peux rien promettre, mais j’peux essayer. » ajoutait-il simplement, pour ne pas donner de faux espoirs. Même s’il connaissait son niveau en hack, il ne voulait pas prendre de risques démesurés. Pour autant, il ferait de son mieux pour donner à Lui Geon toutes les informations qu’il voudrait.

Euigeon allait sûrement trop loin. Ce n’était pas à lui de faire ce genre de chose. Mais il ne le faisait pas vraiment que pour lui. C’était ce dont il essayait de se convaincre alors qu’il pensait faire les choses pour la jeune femme qu’il avait aimé. Ce n’était pas une chose à faire, il le savait. Mais sans ça, il ne pourrait pas oublier Malia. « Si c’est possible ouais je veux bien. » Il le voulait mais il avait conscience que c’était aussi quelque chose qui pourrait lui apporter des ennuis et bien qu’il veuille plus que tout au monde avoir ce genre d’informations, il n’avait clairement pas envie que Namkyu se retrouve dans la merde à cause de lui. « Mais si ça va te créer des problèmes, laisse tomber. Ça ne vaut pas le coup. » Ce n’était pas parce que Euigeon en avait envie qu’il fallait absolument le faire, surtout s’il pouvait terminer derrière les barreaux. Ce n’était pas ce que le pyo cherchait pour son camarade. Certes, il voulait le plus d’informations possibles sur ce Max, mais sans les mettre eux dans la merde. Il n’était pas si désespéré que ça. « Alors, si tu peux ça, ouais je veux bien. Sinon, laisse tomber. J’ai bien plus que ce que j’aurai pu espérer. » Parce que seul, il n’avait rien trouvé mais avec l’aide de Namkyu il avait la ville où elle était, ce qu’elle faisait, le moyen de la contacter. Donc c’était bien plus que ce qu’il avait pu espérer. « Merci. » Lui dit-il tandis qu’il attendait que le pyobeom lui donne ce qu’il lui avant demandé. Sinon, ce n’était pas grave. Il se contenterait de ce qu’il avait déjà en main. C’était beaucoup et ça lui convenait. Là, c’était juste un plus.