huricane and storm (rian)
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huricane and storm (rian) | Jeu 30 Juil - 0:27 Citer EditerSupprimer
« Qui a laissé sa merde dans la salle commune ? Vous faites chier ! Vous avez des chambres. » Hanbin leva la tête de ses cours pour regarder une fille s’énerver à propos de quelque chose qu’elle avait dans la main. De là où il était, il avait du mal à voir ce que c’était et n’était pas réellement intéressé par ce qu’elle disait. Ce n’était pas rare que les étudiants s’engueulent entre eux parce que quelqu’un n’avait pas rangé telle ou telle chose et que c’était le bazar. Contrairement aux fraternités, ici, il n’y avait pas de présidence pour faire régner l’ordre. Alors, c’était un peu le bordel et personne ne rangeait réellement. Ou plutôt devait-il dire que lui ne rangeait pas. Il n’était pas connu pour être le plus ordonné du dortoir et encore moins le plus enclin à faire le ménage. Il n’aimait clairement pas ça et faisait le moins d’effort possible. Après tout, il y avait toujours quelqu’un pour ranger à sa place. Et encore une fois, ça se confirmait. Hanbin haussa donc les épaules et retourna vers dans ses cours sans chercher plus loin. Il avait du boulot et même s’il n’était pas le plus assidu en cours, il voulait quand même passer l’année suivante.
Cependant, c’était sans compter sur la fille qui l’avait repéré. Elle savait qui il était et surtout comment il agissait. Alors, tout naturellement, elle s’approcha de lui et lui foutu sous le nez l’objet en question : une capote usagée. Une grimace de dégoût passa sur son visage avant de se remémorer que c’était sûrement une de siennes, vu qu’il avait couché avec une fille pas plus tard que la veille et qu’il avait potentiellement oublié de la foutre à la poubelle. La fille lâcha le préservatif sur les cours de Hanbin et il s’insurgea, le poussant du bout de son stylo avant de désinfecter son stylo. « T’es sérieuse ? » lâcha-t-il en colère tandis qu’il ne pouvait pas s’empêcher de la fusiller du regard. «Y a que toi pour faire ce genre de chose… » Hanbin eu l’air outré avant de tourner la tête dans tous les sens et désigner une jeune femme dont il ne connaissait pas le prénom. Il l’avait déjà vu par ici, mais ne lui avait jamais réellement parlé. Ce serait une bonne occasion de se servir de ça pour lui faire porter le chapeau.
« C’est pas moi putain. C’est elle là. Elle a oublié de la foutre à la poubelle hier quand on l’a fait. » Il se mettait dans la merde tout seul, cherchant le bâton pour se faire battre. « Sérieux t’aurais pu faire ce que tu avais dit… » grogna Hanbin tandis qu’il s’adressait directement à la jeune femme qui n’avait rien demandé et se retrouvait là sans savoir dans quoi elle allait être embarquée avec le plus jeune de la famille Yang.
Cependant, c’était sans compter sur la fille qui l’avait repéré. Elle savait qui il était et surtout comment il agissait. Alors, tout naturellement, elle s’approcha de lui et lui foutu sous le nez l’objet en question : une capote usagée. Une grimace de dégoût passa sur son visage avant de se remémorer que c’était sûrement une de siennes, vu qu’il avait couché avec une fille pas plus tard que la veille et qu’il avait potentiellement oublié de la foutre à la poubelle. La fille lâcha le préservatif sur les cours de Hanbin et il s’insurgea, le poussant du bout de son stylo avant de désinfecter son stylo. « T’es sérieuse ? » lâcha-t-il en colère tandis qu’il ne pouvait pas s’empêcher de la fusiller du regard. «
« C’est pas moi putain. C’est elle là. Elle a oublié de la foutre à la poubelle hier quand on l’a fait. » Il se mettait dans la merde tout seul, cherchant le bâton pour se faire battre. « Sérieux t’aurais pu faire ce que tu avais dit… » grogna Hanbin tandis qu’il s’adressait directement à la jeune femme qui n’avait rien demandé et se retrouvait là sans savoir dans quoi elle allait être embarquée avec le plus jeune de la famille Yang.
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Re: huricane and storm (rian) | Jeu 30 Juil - 1:38 Citer EditerSupprimer
Question perturbatrice. Qui a laissé sa merde dans la salle commune ? Cette petite chose qui fait rire les idiots, rougir les innocents et qui horrifient les prudes. Lippes étirées en un simple sourire, ce doit être un de ces gamins dont la jeunesse frivole vie enfin. Opales qui se dirigent vers la furie, une demoiselle dont la colère fait rougir les joues, une comédie qui amuse, une comédie qui offre les torpeurs et le dégoûts de certaines. Et certains en rient, situation cocasse à leurs yeux, vices qui s’éveillent dans leurs sourires arrogants. Aucune règle parmi nous, l’ordre ne règne guère, alors les merdes comme celles-ci traînent et se promènent, âneries stupides. Il y a avait la jeunesse frivole, oui, puis il y avait la jeunesse assagie, la mienne. Cette fille, dont les joues pourpres ne cessent de prendre de couleur, doit très certainement faire partie de cette jeunesse. Lorsque l’on passe vingt-cinq-ans, qu’on découvre que les erreurs et remords de nos années folles font rire et exaspèrent nombre de gens autour de nous. Mais là, cette fille attire l’attention de tous, opales rivées sur l’objet de sa convoitise. Vous faites chier ? Oh, quel langage, le chaton sort les griffes, prêt à s’emparer de sa proie. Elle s’avance, pas déterminé, ses opales l’ont fixés, le pauvre est prêt à se faire déchiqueter par la colère de la demoiselle, rongée par le dégoût. Téméraire. Narratrice de mes propres émotions, j’observe et raconte ce que j’observe attentivement. Curiosité peut-être mal placée, et ceci me vaudra très certainement des ennuis. Trublion, coupable de la tragédie de la salle commune. Ce garçon connu pour ses mégardes, réputation à l’appui, toujours dans les pires situations, jamais connu pour ses exploits, ou peut-être pour les moindres exploits catastrophiques, ceux qui choquent, ceux qui marquent un peu trop. Lippes étirées dans le dégoût, les cours presque tâchés, même moi ça m’écœure. Opales qui observent, lunettes posées sur la table, crayon mordillé, j’observe la scène digne d’une mauvaise comédie comme celle que ma cadette aime tant regarder. Nombreuses étudiantes acquiescent, il est beau certes, jolie gueule d’ange qui sait berner les plus pures, mais il n’y a que lui pour susciter l’agacement. Et les ennuis commencent, la curiosité m’attire dans ses vices. Sourcil haussé, les regards me désignent comme lui le fait, se débrouille pour rejeter la faute à qui le voudrait bien. Rire qui glisse entre mes lèvres, opales qui questionnent : ils y croient à cette foutre comédie ? Crayon claqué contre la table, opales pourtant si douces, le foudroient, pour qui il se prend ? “ non mais vous pensez vraiment que je vais coucher avec un gamin comme lui ? ” nouveau rire. Caractère qui s’éveille, la fille qui s’assume. “ ce que je vais faire c’est te dire que tu vas jouer ailleurs, tu n’es pas assez grand pour me dire ce que je dois faire, et tu es assez grand pour ramasser tes conneries, et te défendre tout seul comme un grand garçon. ” sur la défensive, l’aînée, replace sa longue chevelure sur son épaule avant de se lever, de s’approcher de lui. “ je ne suis pas ta couverture, et vous arrêtez de croire qu’il s’est passé quelque chose, regardez-le ! ” c’est un enfant, qui sème le trouble dans ma vie alors qu’il n’était qu’un simple étudiant. Je me défends, caractère qui reprend le dessus, mais pour combien de temps ?
@made by ice and fire.
huricane and storm
Question perturbatrice. Qui a laissé sa merde dans la salle commune ? Cette petite chose qui fait rire les idiots, rougir les innocents et qui horrifient les prudes. Lippes étirées en un simple sourire, ce doit être un de ces gamins dont la jeunesse frivole vie enfin. Opales qui se dirigent vers la furie, une demoiselle dont la colère fait rougir les joues, une comédie qui amuse, une comédie qui offre les torpeurs et le dégoûts de certaines. Et certains en rient, situation cocasse à leurs yeux, vices qui s’éveillent dans leurs sourires arrogants. Aucune règle parmi nous, l’ordre ne règne guère, alors les merdes comme celles-ci traînent et se promènent, âneries stupides. Il y a avait la jeunesse frivole, oui, puis il y avait la jeunesse assagie, la mienne. Cette fille, dont les joues pourpres ne cessent de prendre de couleur, doit très certainement faire partie de cette jeunesse. Lorsque l’on passe vingt-cinq-ans, qu’on découvre que les erreurs et remords de nos années folles font rire et exaspèrent nombre de gens autour de nous. Mais là, cette fille attire l’attention de tous, opales rivées sur l’objet de sa convoitise. Vous faites chier ? Oh, quel langage, le chaton sort les griffes, prêt à s’emparer de sa proie. Elle s’avance, pas déterminé, ses opales l’ont fixés, le pauvre est prêt à se faire déchiqueter par la colère de la demoiselle, rongée par le dégoût. Téméraire. Narratrice de mes propres émotions, j’observe et raconte ce que j’observe attentivement. Curiosité peut-être mal placée, et ceci me vaudra très certainement des ennuis. Trublion, coupable de la tragédie de la salle commune. Ce garçon connu pour ses mégardes, réputation à l’appui, toujours dans les pires situations, jamais connu pour ses exploits, ou peut-être pour les moindres exploits catastrophiques, ceux qui choquent, ceux qui marquent un peu trop. Lippes étirées dans le dégoût, les cours presque tâchés, même moi ça m’écœure. Opales qui observent, lunettes posées sur la table, crayon mordillé, j’observe la scène digne d’une mauvaise comédie comme celle que ma cadette aime tant regarder. Nombreuses étudiantes acquiescent, il est beau certes, jolie gueule d’ange qui sait berner les plus pures, mais il n’y a que lui pour susciter l’agacement. Et les ennuis commencent, la curiosité m’attire dans ses vices. Sourcil haussé, les regards me désignent comme lui le fait, se débrouille pour rejeter la faute à qui le voudrait bien. Rire qui glisse entre mes lèvres, opales qui questionnent : ils y croient à cette foutre comédie ? Crayon claqué contre la table, opales pourtant si douces, le foudroient, pour qui il se prend ? “ non mais vous pensez vraiment que je vais coucher avec un gamin comme lui ? ” nouveau rire. Caractère qui s’éveille, la fille qui s’assume. “ ce que je vais faire c’est te dire que tu vas jouer ailleurs, tu n’es pas assez grand pour me dire ce que je dois faire, et tu es assez grand pour ramasser tes conneries, et te défendre tout seul comme un grand garçon. ” sur la défensive, l’aînée, replace sa longue chevelure sur son épaule avant de se lever, de s’approcher de lui. “ je ne suis pas ta couverture, et vous arrêtez de croire qu’il s’est passé quelque chose, regardez-le ! ” c’est un enfant, qui sème le trouble dans ma vie alors qu’il n’était qu’un simple étudiant. Je me défends, caractère qui reprend le dessus, mais pour combien de temps ?
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Re: huricane and storm (rian) | Dim 16 Aoû - 13:17 Citer EditerSupprimer
C’était clairement le genre de chose que Hanbin pouvait laisser dans le dortoir des étudiants, parce qu’il se foutait de tout et qu’il n’en avait que faire de choquer les gens. Cependant qu’elle vienne d’elle-même l’accuser de ça le mettait hors de lui. Certes, c’était peut-être à lui mais qu’on vienne l’accuser sans preuves, ça l’énervait plus qu’autre chose. Alors, il allait totalement faire en sorte de ne pas tomber seul. De toute façon, pour faire l’amour, il fallait être deux. Ses yeux cherchèrent donc la proie idéale pour qu’il ne plonge pas en solo et ils tombèrent sur une jeune femme. Il ne la connaissait pas vraiment et ne lui avait jamais parlé et pourtant, il l’amenait avec elle dans sa merde. Tant pis, il s’excuserait plus tard, si jamais il le faisait. Il commença donc à l’accuser de ne pas l’avoir foutu à la poubelle comme elle avait dit qu’elle le ferait. Avait-il des remords par rapport à ça ? Absolument aucun. Hanbin se foutait pas mal de la mettre elle aussi dans la merde elle aussi. Puis il ne pouvait pas nier qu’elle était canon et qu’il aurait très bien pu se la taper dans d’autres circonstances. Donc, ça restait totalement et complètement plausible son histoire. Il savait qu’elle n’entrerait pas dans son jeu et ça l’emmerdait un peu.
Et ça commençait déjà. Elle nia toute action sexuelle avec lui et ça le fit sourire un peu plus. Finalement, ça allait servir ses intérêts. Elle se débattait tellement pour de dépêtrer de l’histoire qu’il avait inventé que finalement, ça en devenait crédible. Il la laissa finir et un nouveau sourire s’afficha sur ses lèvres. « Le gamin comme tu dis, hier, il t’a fait grimper au septième ciel. » Insolent gamin qui se foutait clairement de ce qu’elle, elle pouvait ressentir ou même ne pas vouloir, Hanbin continuait de la regarder avec ce sourire arrogant et suffisant qu’il arborait en permanence. « J’étais assez grand pour te faire gémir et jouir ma belle. Maintenant, que tout le monde sait que tu t’es tapé un jeune, t’as honte ? Pourquoi ? Parce que t’es vieille ? » L’étudiant se foutait que tout le monde pensait qu’ils avaient couché ensemble. Ça l’aiderait avec son histoire et c’était parfait. « Maintenant, prends ce truc là et jette le à la poubelle comme tu as dit que tu le ferais hier. »
Il allait l’énerver avec son comportement, c’était sûr et ça lui convenait parfaitement. Plus elle s’énerverait et plus les gens le croiraient lui parce qu’ils auraient l’impression qu’elle avait honte et ne voulait pas que ça se sache. Le jeune homme était même plutôt fier de lui parce que c’était parfait pour son plan ça de ne pas tomber seul. De plus, il ne savait même pas si c’était à lui, cette capote que l’étudiante avait dans la main. Ça pourrait être le cas, mais il ne se souvenait pas de l’avoir fait avec qui que ce soit récemment. Peut-être après avoir bu, mais il n’avait pas touché à la bouteille depuis quelques jours. Donc à moins qu’elle ne soit là depuis des jours, ce qui serait dégueulasse, lui-même en convenait, ce préservatif n’était définitivement pas à lui et il n’allait pas payer pour quelque chose qu’il n’avait pas fait.
Et ça commençait déjà. Elle nia toute action sexuelle avec lui et ça le fit sourire un peu plus. Finalement, ça allait servir ses intérêts. Elle se débattait tellement pour de dépêtrer de l’histoire qu’il avait inventé que finalement, ça en devenait crédible. Il la laissa finir et un nouveau sourire s’afficha sur ses lèvres. « Le gamin comme tu dis, hier, il t’a fait grimper au septième ciel. » Insolent gamin qui se foutait clairement de ce qu’elle, elle pouvait ressentir ou même ne pas vouloir, Hanbin continuait de la regarder avec ce sourire arrogant et suffisant qu’il arborait en permanence. « J’étais assez grand pour te faire gémir et jouir ma belle. Maintenant, que tout le monde sait que tu t’es tapé un jeune, t’as honte ? Pourquoi ? Parce que t’es vieille ? » L’étudiant se foutait que tout le monde pensait qu’ils avaient couché ensemble. Ça l’aiderait avec son histoire et c’était parfait. « Maintenant, prends ce truc là et jette le à la poubelle comme tu as dit que tu le ferais hier. »
Il allait l’énerver avec son comportement, c’était sûr et ça lui convenait parfaitement. Plus elle s’énerverait et plus les gens le croiraient lui parce qu’ils auraient l’impression qu’elle avait honte et ne voulait pas que ça se sache. Le jeune homme était même plutôt fier de lui parce que c’était parfait pour son plan ça de ne pas tomber seul. De plus, il ne savait même pas si c’était à lui, cette capote que l’étudiante avait dans la main. Ça pourrait être le cas, mais il ne se souvenait pas de l’avoir fait avec qui que ce soit récemment. Peut-être après avoir bu, mais il n’avait pas touché à la bouteille depuis quelques jours. Donc à moins qu’elle ne soit là depuis des jours, ce qui serait dégueulasse, lui-même en convenait, ce préservatif n’était définitivement pas à lui et il n’allait pas payer pour quelque chose qu’il n’avait pas fait.
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Re: huricane and storm (rian) | Dim 16 Aoû - 14:24 Citer EditerSupprimer
La colère qui picore l’épiderme, la fille solaire dont les opales, d’habitude chaleureuses, deviennent le berceau d’une colère soudaine. Gamin qui joue avec les mystères derrière les eaux douces. Quand le mauvais caractère se dévoile, efface les songes de l’ange innocent. Le joli visage qui se tend, putain de scandale. Petite dame qui pulse contre les barreaux de la sérénité : parce qu’actuellement tout fout le camp. Quand l’esprit n’est guère plus le havre de paix, quand les doigts se serre, quand le poing contracte les muscles. Ô déesse des ouragans, te voilà devant le trublion de ces demoiselles, quand les opales sont juges dans le théâtre de l’absurde. Dans ce théâtre de misère dans lequel je fais partie, comédienne forcée à jouer, piètre danseuse dans ce bal infernale. Et les mots qui butent contre les lippes, venin sorti de nul part, quand l’esprit bouillonne, quand ce sont les démons qui s’amusent à discuter, crier des paroles que l’on ne pense guère, échappe au raisonnable. De nature si calme, l’aînée. De nature si douce, la demoiselle. Et là, quand la colère m’emporte, délicieuse tentation à laquelle je ne résiste guère, mon corps s’abandonne à la bêtise. Rictus nerveux sur les lippes, lèvre inférieure mordue, alors qu’éclate un rire. Hypocrite son, comédie, tragédie, peu m’importe, les nerfs gonflent, tentent de contenir la rage qui explose, putain de guerre en moi. Les pas qui s’approchent, lentement. Pauvre gamin, arrogant qui plus est, l’insupportable être misérable que les filles s’arrachent par les fantasmes loufoques du mauvais garçon. Ô que tu plais, le putain de cliché de ces dames. La langue qui roule à l’intérieur de la joue, les opales qui observent les curieux spectateurs, ceux qui rient, ceux qui choquent - ou ceux qui sont choqués -. Proximité oubliée, à quelques centimètres, quand la vipère crache son venin. “ gémir et jouir ? tu ne tiendrais même pas trois secondes, jouir ça doit être ton truc, à peine entré ça vient déjà, vu le gamin que tu es, ça doit être dur de ne pas jouir quand une fille t’approche. ” ô ma jolie vipère, comme ton reflet ne te reconnaît guère. Jeu lancé, la balle au centre ? Oh, non, comme l’équation serait bien trop simple. Les étudiants huent, ils en redemandent, friands des petits potins. Se débattre était avoué la vérité mensonge. Dés lancés, coup de poker, le corps qui recule, tenir loin le corps haineux du trublion. Peu sûre de moi, montre le contraire, guère habituée à détester, habituée à aimer. Les doigts qui attrapent le préservatif, le dégoût en moi, ne montre guère l’émotion nerveuse. S’approche de nouveau, prend la main du jeune homme, écrasé l’horreur contre celle-ci, rictus arrogant au coin des lèvres. Et que l’on pète le scandale. “ eh bien ? tu m’as dit de le jeter à la poubelle, c’est ce que je fais. ” déesse de l’orage, sourit une dernière fois, sourire hypocrite, retourne à sa place, les étudiants qui se taisent. Les opales qui se dirigent vers lui, et moi qui me dépêche de laver mes mains immédiatement, gel hydroalcoolique sur l’épiderme, frotté par l’énervement. Fière du petit jeu, l’histoire qui se répète, se susurre dans les oreilles des uns, se discute à vive voix dans la bouche des autres. Regard jeté dans le coin de l’œil, aucun remord, nulle peur des représailles, le gamin qui récolte ce qu’il a semé.
@made by ice and fire.
huricane and storm
La colère qui picore l’épiderme, la fille solaire dont les opales, d’habitude chaleureuses, deviennent le berceau d’une colère soudaine. Gamin qui joue avec les mystères derrière les eaux douces. Quand le mauvais caractère se dévoile, efface les songes de l’ange innocent. Le joli visage qui se tend, putain de scandale. Petite dame qui pulse contre les barreaux de la sérénité : parce qu’actuellement tout fout le camp. Quand l’esprit n’est guère plus le havre de paix, quand les doigts se serre, quand le poing contracte les muscles. Ô déesse des ouragans, te voilà devant le trublion de ces demoiselles, quand les opales sont juges dans le théâtre de l’absurde. Dans ce théâtre de misère dans lequel je fais partie, comédienne forcée à jouer, piètre danseuse dans ce bal infernale. Et les mots qui butent contre les lippes, venin sorti de nul part, quand l’esprit bouillonne, quand ce sont les démons qui s’amusent à discuter, crier des paroles que l’on ne pense guère, échappe au raisonnable. De nature si calme, l’aînée. De nature si douce, la demoiselle. Et là, quand la colère m’emporte, délicieuse tentation à laquelle je ne résiste guère, mon corps s’abandonne à la bêtise. Rictus nerveux sur les lippes, lèvre inférieure mordue, alors qu’éclate un rire. Hypocrite son, comédie, tragédie, peu m’importe, les nerfs gonflent, tentent de contenir la rage qui explose, putain de guerre en moi. Les pas qui s’approchent, lentement. Pauvre gamin, arrogant qui plus est, l’insupportable être misérable que les filles s’arrachent par les fantasmes loufoques du mauvais garçon. Ô que tu plais, le putain de cliché de ces dames. La langue qui roule à l’intérieur de la joue, les opales qui observent les curieux spectateurs, ceux qui rient, ceux qui choquent - ou ceux qui sont choqués -. Proximité oubliée, à quelques centimètres, quand la vipère crache son venin. “ gémir et jouir ? tu ne tiendrais même pas trois secondes, jouir ça doit être ton truc, à peine entré ça vient déjà, vu le gamin que tu es, ça doit être dur de ne pas jouir quand une fille t’approche. ” ô ma jolie vipère, comme ton reflet ne te reconnaît guère. Jeu lancé, la balle au centre ? Oh, non, comme l’équation serait bien trop simple. Les étudiants huent, ils en redemandent, friands des petits potins. Se débattre était avoué la vérité mensonge. Dés lancés, coup de poker, le corps qui recule, tenir loin le corps haineux du trublion. Peu sûre de moi, montre le contraire, guère habituée à détester, habituée à aimer. Les doigts qui attrapent le préservatif, le dégoût en moi, ne montre guère l’émotion nerveuse. S’approche de nouveau, prend la main du jeune homme, écrasé l’horreur contre celle-ci, rictus arrogant au coin des lèvres. Et que l’on pète le scandale. “ eh bien ? tu m’as dit de le jeter à la poubelle, c’est ce que je fais. ” déesse de l’orage, sourit une dernière fois, sourire hypocrite, retourne à sa place, les étudiants qui se taisent. Les opales qui se dirigent vers lui, et moi qui me dépêche de laver mes mains immédiatement, gel hydroalcoolique sur l’épiderme, frotté par l’énervement. Fière du petit jeu, l’histoire qui se répète, se susurre dans les oreilles des uns, se discute à vive voix dans la bouche des autres. Regard jeté dans le coin de l’œil, aucun remord, nulle peur des représailles, le gamin qui récolte ce qu’il a semé.
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Re: huricane and storm (rian) | Sam 5 Sep - 19:03 Citer EditerSupprimer
Hanbin jouait avec le feu en la foutant dans cette merde avec lui. Ce n’était même pas son préservatif. Il n’avait aucune idée de qui était le propriétaire de cette capote. Donc, il emporta avec lui une jeune femme au hasard. Une qui n’était pas trop désagréable à regarder pour que ça ne paraisse pas suspect. Il n’aurait par exemple par pris la jeune femme qui lui présentait la capote parce qu’elle n’était pas à son goût. En revanche celle qui se démenait pour expliquer qu’elle n’avait pas couché avec lui, était parfaite. Plus elle se débattait et plus elle se rendait suspecte. Hanbin ne pouvait pas s’empêcher de sourire, insolemment. Ça lui plaisait de la voir essayer de se sortir de la merde dans laquelle il l’avait mise. Il avait l’impression de voir une mouche se débattre dans la toile d’une araignée. Lui étant bien entendu l’araignée qui avait tissé sa toile et avait attendu de trouver la proie parfaite. Regrettait-il de la foutre dans la merde ? Absolument pas. Le show était parfait à regarder et ça le divertissait un peu. Aurait-il du se débrouiller seul et faire en sorte de ne pas inclure quelqu’un d’autre dans l’équation ? Potentiellement, mais il s’en foutait, c’était trop tard maintenant.
Il se mit à rire quand elle reprit la parole. Elle pensait vraiment qu’en le traitant comme un précoce, elle allait le blesser. Il n’y avait que la vérité qui blessait et ce n’était pas vrai, donc il s’en moquait totalement. « C’est pour ça que j’ai pas joui en trois secondes hier, parce que je te considère pas comme une fille. » Encore une fois, il la cherchait, jouait avec elle. Mais plus elle tentait de faire en sorte que tout le monde pense qu’elle ne l’avait pas laissé entre ses cuisses et plus c’était ce qui se passait. Un nouveau sourire s’afficha sur ses lèvres tandis qu’elle récupérait le préservatif. Elle allait sûrement faire ce qu’il avait demandé, le mettre à la poubelle. Cependant, le sourire si arrogant et suffisant de Hanbin fana quand il se rendit compte de ce que l’étudiante faisait. Il la regarda outré par son geste, son cerveau mettant quelques instants à analyser la situation. Il la suivit des yeux quand elle partit se laver les mains et une grimace de dégoût s’afficha sur ses lèvres tandis qu’il se leva rapidement pour mettre lui-même à la poubelle le préservatif.
La jeune femme qui l’avait dérangé dans ce qu’il faisait le laissa alors tranquille, ayant eu ce qu’elle voulait : l’objet dans une poubelle. Hanbin se précipita dans la cuisine pour se laver les mains et lança un regard noir à la jeune femme. « Sérieusement ? T’étais obligée de me la foutre dans la main. Encore un peu de cette petite dispute et elle la mettait seule. T’es vraiment dégueulasse. » Le jeune homme avait vu l’autre étudiante, celle qui l’avait dérangé, perdre patience. Elle allait la mettre elle-même dans la poubelle et ça lui convenait parfaitement. « Ça te coûtait quoi d’attendre deux secondes de plus ? » grogna-t-il la fusillant à nouveau du regard.
Il se mit à rire quand elle reprit la parole. Elle pensait vraiment qu’en le traitant comme un précoce, elle allait le blesser. Il n’y avait que la vérité qui blessait et ce n’était pas vrai, donc il s’en moquait totalement. « C’est pour ça que j’ai pas joui en trois secondes hier, parce que je te considère pas comme une fille. » Encore une fois, il la cherchait, jouait avec elle. Mais plus elle tentait de faire en sorte que tout le monde pense qu’elle ne l’avait pas laissé entre ses cuisses et plus c’était ce qui se passait. Un nouveau sourire s’afficha sur ses lèvres tandis qu’elle récupérait le préservatif. Elle allait sûrement faire ce qu’il avait demandé, le mettre à la poubelle. Cependant, le sourire si arrogant et suffisant de Hanbin fana quand il se rendit compte de ce que l’étudiante faisait. Il la regarda outré par son geste, son cerveau mettant quelques instants à analyser la situation. Il la suivit des yeux quand elle partit se laver les mains et une grimace de dégoût s’afficha sur ses lèvres tandis qu’il se leva rapidement pour mettre lui-même à la poubelle le préservatif.
La jeune femme qui l’avait dérangé dans ce qu’il faisait le laissa alors tranquille, ayant eu ce qu’elle voulait : l’objet dans une poubelle. Hanbin se précipita dans la cuisine pour se laver les mains et lança un regard noir à la jeune femme. « Sérieusement ? T’étais obligée de me la foutre dans la main. Encore un peu de cette petite dispute et elle la mettait seule. T’es vraiment dégueulasse. » Le jeune homme avait vu l’autre étudiante, celle qui l’avait dérangé, perdre patience. Elle allait la mettre elle-même dans la poubelle et ça lui convenait parfaitement. « Ça te coûtait quoi d’attendre deux secondes de plus ? » grogna-t-il la fusillant à nouveau du regard.
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Re: huricane and storm (rian) | Dim 20 Sep - 14:50 Citer EditerSupprimer
Le caractère vilain, à s’emporter pour obtenir gain de cause. Cependant les opales qui jugent, témoins de cette inutile plaidoirie, à observer la culpabilité prendre place auprès de l’innocence, à ce combat où tous les coups sont permis, et les murmures autour de moi, insignifiants et pourtant si envahissants. L’on conte nos aventures, aux reins entre mes cuisses, à ces bassins qui fulminent ensembles, à s’en faire cramer le squelette. Ce sont les autres qui susurre le charnel, à l’imagination loufoque qui s’allume, cogne contre le crâne, aux pensées sombres, peut-être le vice qui s’y cache, s’y love, dans l'imagination des pauvres gamins. Et y vivre, dans cette drôle de sensation, à devenir la coupable, le jeu de ce pauvre gamin sans intérêt, le diable s’immisce, et le rictus arrogant sur le bout des lippes, à tomber dans la spirale infernale, la colère à son paroxysme, la langue qui se délie, vole place aux pensées, chastes demoiselles rougissantes, et les lippes qui déversent le poison coupable, à devoir être la condamnée avant la victime. Et le rire abstrait, comme écho dans la salle, l’épiderme qui s’échauffe, les opales sombres, à défaut de la douce demoiselle, adieu les jolis rêves d’une femme humaine, la langue qui glissent sur la peau fine des pulpeuses, prête à rétorquer, et à ne guère se reconnaître dans ces insultes incessantes, à ne guère comprendre cette journée infernale. “ au moins, tu avoues que les garçons t’attirent aussi, ce qui est bien, de nos jours je trouve ce sujet trop tabou mais si c’est un gars que tu t’es tapé, ne te cache pas derrière une fille, ose dire que tu aimes les hommes, ce n’est pas une honte. ” et à dire la vérité, ne guère rejeter l’amour sous toutes ses formes, ne guère faire taire le myocarde qui s’entiche de tous. Pourtant presque le remord, et la fierté comme rictus mal contrôlé. C’est à se demander si une autre fille n’est guère moi, à réveiller la déesse intérieure qui fulmine, la haine sous sa plus jolie forme, à celle qui anime l’innocence contre l’épiderme, à celle qui prend le dessus sur le naturel charmeur, peut-être l’obsession de redevenir perle rare, à ceux qui s’imaginaient les contes délicieux, et guère les scènes charnelles qui excitent et envoûtent plus d’un. Et les mains qui frottent, qui se caressent, les opales qui observent l’eau perler sur l’épiderme, et le rictus insupportable sur les lippes, à se retourner brusquement, ne guère supporter une minute de plus l’enfant qui jacasse. “ écoute-moi bien, t’as choisi la mauvaise fille, je ne suis pas ton jouet, même si clairement tu penses être le maître du jeu. t’as mérité cette capote, et boude pas, c’est un sperme comme un autre. ” les opales qui l’observent attentivement, à s’y plaire dans cette colère. Le corps qui s’échappe, ne guère accorder plus d’attention, retourner étudier, à détourner les regards des autres, le soupire qui glisse entre les lèvres, dans l’espoir que le gamin ne reviendra guère dans cette bataille qu’il semble avoir perdu.
@made by ice and fire.
huricane and storm
Le caractère vilain, à s’emporter pour obtenir gain de cause. Cependant les opales qui jugent, témoins de cette inutile plaidoirie, à observer la culpabilité prendre place auprès de l’innocence, à ce combat où tous les coups sont permis, et les murmures autour de moi, insignifiants et pourtant si envahissants. L’on conte nos aventures, aux reins entre mes cuisses, à ces bassins qui fulminent ensembles, à s’en faire cramer le squelette. Ce sont les autres qui susurre le charnel, à l’imagination loufoque qui s’allume, cogne contre le crâne, aux pensées sombres, peut-être le vice qui s’y cache, s’y love, dans l'imagination des pauvres gamins. Et y vivre, dans cette drôle de sensation, à devenir la coupable, le jeu de ce pauvre gamin sans intérêt, le diable s’immisce, et le rictus arrogant sur le bout des lippes, à tomber dans la spirale infernale, la colère à son paroxysme, la langue qui se délie, vole place aux pensées, chastes demoiselles rougissantes, et les lippes qui déversent le poison coupable, à devoir être la condamnée avant la victime. Et le rire abstrait, comme écho dans la salle, l’épiderme qui s’échauffe, les opales sombres, à défaut de la douce demoiselle, adieu les jolis rêves d’une femme humaine, la langue qui glissent sur la peau fine des pulpeuses, prête à rétorquer, et à ne guère se reconnaître dans ces insultes incessantes, à ne guère comprendre cette journée infernale. “ au moins, tu avoues que les garçons t’attirent aussi, ce qui est bien, de nos jours je trouve ce sujet trop tabou mais si c’est un gars que tu t’es tapé, ne te cache pas derrière une fille, ose dire que tu aimes les hommes, ce n’est pas une honte. ” et à dire la vérité, ne guère rejeter l’amour sous toutes ses formes, ne guère faire taire le myocarde qui s’entiche de tous. Pourtant presque le remord, et la fierté comme rictus mal contrôlé. C’est à se demander si une autre fille n’est guère moi, à réveiller la déesse intérieure qui fulmine, la haine sous sa plus jolie forme, à celle qui anime l’innocence contre l’épiderme, à celle qui prend le dessus sur le naturel charmeur, peut-être l’obsession de redevenir perle rare, à ceux qui s’imaginaient les contes délicieux, et guère les scènes charnelles qui excitent et envoûtent plus d’un. Et les mains qui frottent, qui se caressent, les opales qui observent l’eau perler sur l’épiderme, et le rictus insupportable sur les lippes, à se retourner brusquement, ne guère supporter une minute de plus l’enfant qui jacasse. “ écoute-moi bien, t’as choisi la mauvaise fille, je ne suis pas ton jouet, même si clairement tu penses être le maître du jeu. t’as mérité cette capote, et boude pas, c’est un sperme comme un autre. ” les opales qui l’observent attentivement, à s’y plaire dans cette colère. Le corps qui s’échappe, ne guère accorder plus d’attention, retourner étudier, à détourner les regards des autres, le soupire qui glisse entre les lèvres, dans l’espoir que le gamin ne reviendra guère dans cette bataille qu’il semble avoir perdu.
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Re: huricane and storm (rian) | Ven 2 Oct - 18:49 Citer EditerSupprimer
Leur conversation tournait au ridicule. Il le savait et pourtant, il ne pouvait pas faire autrement. Plus elle essayait de s’échapper de son emprise et plus il avait envie de l’y faire replonger encore. Il avait l’impression de voir un animal blessé tenter de se sortir d’un piège et de se refaire encore plus mal. Personne ne la croyait quand elle disait que ce n’était pas avec Hanbin qu’elle avait utilisé cette capote et pourtant, elle avait raison et c’était lui, l’imposteur. Ça le faisait sourire parce qu’il aimait bien cette sensation qu’il possédait un peu d’emprise sur la jeune femme. Sa réflexion quand il mentionna le fait qu’il ne la considérait pas comme une fille, le fit sourire. Ce n’était pas vraiment un secret qu’il aimait les filles et les garçons, mais elle semblait vouloir le piéger sur ça. Dommage pour elle, Hanbin n’avait honte de rien. « Pourquoi ne se contenter que d’un sexe, quand l’autre nous attend aussi ? Franchement, faut varier les plaisirs. Tu devrais essayer les filles un jour. Crois moi, les seins c’est la vie. » Hanbin aimait les deux sexes, mais pour rien au monde il ne renoncerait à une poitrine ou un vagin. C’était ce qu’il avait le plus connu et ça lui convenait très bien.
La jeune femme fit alors quelque chose qu’il n’aurait jamais pensé possible et il manqua de vomir alors qu’il allait mettre à la poubelle la capote avant de se diriger rapidement vers la cuisine pour se laver les mains. Il y retrouva sa belle inconnue qui avait eu la même idée que lui et il ne put s’empêcher de lui faire la morale sur le fait qu’elle aurait pu tenir un peu plus. Il avait remarqué que la première fille qui l’avait importuné, était à deux doigts de la foutre elle-même dans les ordures. Alors, il ne voyait pas l’intérêt de lui imposer ce geste dégueulasse. Sa réaction encore une fois le fit sourire et après s’être lavé les mains, il se tourna vers elle, un sourire arrogant sur le visage. « C’est dommage que tu ne sois pas mon jouet. Je t’aurai fait crier plus fort que n’importe qui… Je suis doué. » Il ne mentait pas. Sinon, pourquoi on serait venu directement lui donner le préservatif alors qu’il n’avait pas couché avec quelqu’un depuis des jours. Hanbin ne voyait que cette raison pour qu’on vienne lui donner l’objet en question.
« C’est un sperme comme un autre dis-tu. Alors, que dirais-tu d’avoir le mien en toi ? » Il sourit un peu plus et se lécha les lèvres en la dévorant des yeux. Elle n’était pas dégueulasse à regarder et il en ferait bien son quatre heure. « Après tout, c’est un sperme comme un autre. » dit-il en imitant sa voix ainsi que ses mimiques. Hanbin jouait clairement avec le feu et il avait quelques idées de comment elle allait réagir, et ça lui plaisait. Il aimait les challenges et elle en représentait un à elle seule.
La jeune femme fit alors quelque chose qu’il n’aurait jamais pensé possible et il manqua de vomir alors qu’il allait mettre à la poubelle la capote avant de se diriger rapidement vers la cuisine pour se laver les mains. Il y retrouva sa belle inconnue qui avait eu la même idée que lui et il ne put s’empêcher de lui faire la morale sur le fait qu’elle aurait pu tenir un peu plus. Il avait remarqué que la première fille qui l’avait importuné, était à deux doigts de la foutre elle-même dans les ordures. Alors, il ne voyait pas l’intérêt de lui imposer ce geste dégueulasse. Sa réaction encore une fois le fit sourire et après s’être lavé les mains, il se tourna vers elle, un sourire arrogant sur le visage. « C’est dommage que tu ne sois pas mon jouet. Je t’aurai fait crier plus fort que n’importe qui… Je suis doué. » Il ne mentait pas. Sinon, pourquoi on serait venu directement lui donner le préservatif alors qu’il n’avait pas couché avec quelqu’un depuis des jours. Hanbin ne voyait que cette raison pour qu’on vienne lui donner l’objet en question.
« C’est un sperme comme un autre dis-tu. Alors, que dirais-tu d’avoir le mien en toi ? » Il sourit un peu plus et se lécha les lèvres en la dévorant des yeux. Elle n’était pas dégueulasse à regarder et il en ferait bien son quatre heure. « Après tout, c’est un sperme comme un autre. » dit-il en imitant sa voix ainsi que ses mimiques. Hanbin jouait clairement avec le feu et il avait quelques idées de comment elle allait réagir, et ça lui plaisait. Il aimait les challenges et elle en représentait un à elle seule.
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Re: huricane and storm (rian) | Sam 31 Oct - 23:27 Citer EditerSupprimer
Comme deux gamins en manque d'attention, le spectacle est complet, l’on murmure des foutaises, l’on susurre le mensonge qui se dévoile, et la victime devient bourreau, tandis que le bourreau devient l’agneau, pauvre bête fragile prête à se faire dévorer. Et autour de moi, la foule valse, à ces voix qui accusent, et le rictus arrogant au coin de ses lèvres, le gamin perfide qui semble prendre plaisir, bien plus bon qu’une danse ardente, bien plus intense qu’une partie de jambes en l’air dont on l’accuse. Les rires font écho, et s’écrasent comme mon crâne, à aimer l’amour sous toutes ses formes, à goûter toutes les chairs, à cette fantaisie qui le possède, je m’y égare. Peut-être est-ce l’innocence qui l’échappe, à celle qui m’étreint, lorsque l’esprit semble s‘en être allé. Souffle long, profond, c’est par le geste écoeurant que je réponds, au rictus fier au coin des lippes, et ce regard sombre, jamais l’attitude de l’aînée de la famille n’a été plus empoisonnée par une colère certaine. C’est comme un jeu, un coup de poker qui n’en finit guère, à surenchérir plus encore, on augmente la mise, et ça devient plus excitant. L’un et l’autre, à ce casse-tête pour se blesser mutuellement, quand deux inconnus qui se chamaillent, peut-être comme s’ils avaient l’habitud, l’un avec l’autre. Et le buste qui se redresse, le cou qui se contracte, l’aura pesante qui se dégage de l’un comme de l’autre, et les envies primaires qui reprennent le dessus sur le gamin avide des chairs, et le sourire hypocrite au coin des lèvres, l’air si doux lorsque la tempête dévaste le corps entier. Quelques pas, je m’approche, dangereuse jeune fille qui clame l’innocence, à coller le corps contre la paroi dure, et lorsque les regards curieux ne désirent guère en voir plus, lorsque les mystères leurs sont interdits, je joue, enfin posséder le pauvre garçon en manque de ces envies ardentes. “ si doué que ça ? et en quoi je devrais croire un petit con comme toi ? ” aux visages qui s’approchent, comme l’aimant qui s’attire à l’autre, et le feu qui tente les plus braves, et peut-être dans le secret, les innocents qui colorent leurs pommettes, à l’envie d’autre chose. Les souffles qui se mélangent, à jouer avec le feu, à attiser ce qui naît. “ c’est ça que tu veux ? posséder n’importe qui te donne envie de baiser ? c’est si simple pour toi ? ” du bout des doigts, remonter sur sa gorge, y tracer un chemin qui désire posséder l’épiderme, et sur la joue, y déposer quelques petites claques, reculer brusquement le corps qui s’échauffe, hausser les épaules, le sourire arrogant sur les pulpeuses. “ tu peux toujours rêver, tu ne m’auras jamais de ta vie. ” le jeu est plaisant, mais peut-être est-ce juste une idée farfelue, une chose impossible à avoir.
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huricane and storm
Comme deux gamins en manque d'attention, le spectacle est complet, l’on murmure des foutaises, l’on susurre le mensonge qui se dévoile, et la victime devient bourreau, tandis que le bourreau devient l’agneau, pauvre bête fragile prête à se faire dévorer. Et autour de moi, la foule valse, à ces voix qui accusent, et le rictus arrogant au coin de ses lèvres, le gamin perfide qui semble prendre plaisir, bien plus bon qu’une danse ardente, bien plus intense qu’une partie de jambes en l’air dont on l’accuse. Les rires font écho, et s’écrasent comme mon crâne, à aimer l’amour sous toutes ses formes, à goûter toutes les chairs, à cette fantaisie qui le possède, je m’y égare. Peut-être est-ce l’innocence qui l’échappe, à celle qui m’étreint, lorsque l’esprit semble s‘en être allé. Souffle long, profond, c’est par le geste écoeurant que je réponds, au rictus fier au coin des lippes, et ce regard sombre, jamais l’attitude de l’aînée de la famille n’a été plus empoisonnée par une colère certaine. C’est comme un jeu, un coup de poker qui n’en finit guère, à surenchérir plus encore, on augmente la mise, et ça devient plus excitant. L’un et l’autre, à ce casse-tête pour se blesser mutuellement, quand deux inconnus qui se chamaillent, peut-être comme s’ils avaient l’habitud, l’un avec l’autre. Et le buste qui se redresse, le cou qui se contracte, l’aura pesante qui se dégage de l’un comme de l’autre, et les envies primaires qui reprennent le dessus sur le gamin avide des chairs, et le sourire hypocrite au coin des lèvres, l’air si doux lorsque la tempête dévaste le corps entier. Quelques pas, je m’approche, dangereuse jeune fille qui clame l’innocence, à coller le corps contre la paroi dure, et lorsque les regards curieux ne désirent guère en voir plus, lorsque les mystères leurs sont interdits, je joue, enfin posséder le pauvre garçon en manque de ces envies ardentes. “ si doué que ça ? et en quoi je devrais croire un petit con comme toi ? ” aux visages qui s’approchent, comme l’aimant qui s’attire à l’autre, et le feu qui tente les plus braves, et peut-être dans le secret, les innocents qui colorent leurs pommettes, à l’envie d’autre chose. Les souffles qui se mélangent, à jouer avec le feu, à attiser ce qui naît. “ c’est ça que tu veux ? posséder n’importe qui te donne envie de baiser ? c’est si simple pour toi ? ” du bout des doigts, remonter sur sa gorge, y tracer un chemin qui désire posséder l’épiderme, et sur la joue, y déposer quelques petites claques, reculer brusquement le corps qui s’échauffe, hausser les épaules, le sourire arrogant sur les pulpeuses. “ tu peux toujours rêver, tu ne m’auras jamais de ta vie. ” le jeu est plaisant, mais peut-être est-ce juste une idée farfelue, une chose impossible à avoir.
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