Les carottes sont cuites. (Namkyung)
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Les carottes sont cuites. (Namkyung) | Dim 2 Aoû 2020 - 22:51 Citer EditerSupprimer
les carottes sont cuites
#NAMKYUNG #YESEO
C'était pas le but ! surtout pas de s'attirer les foudres de son camarade après que sa brillante idée de lancer la première offensive au rayon jus de fruits ait menacé de lancer une terrible guerre froide – mais Ye Seo, manifestement, n'avait que de bonnes idées de ce genre pour s'occuper. Alors, il était temps de se faire pardonner. Pardonner parce que le voir assis tout seul sur son banc dans un petit coin à l'ombre du jardin lui faisait terriblement de peine. Aussi parce qu'elle était curieuse de savoir ce qu'il faisait, autrement que de lui jeter pas si subtilement que ça de petits regards sombres et prometteurs de mille et unes revanches chaque fois que leurs chemins venaient à se croiser.
Son ombre traître qui s'immisce entre lui et le soleil annonce sa présence, la chaleur un peu moins insoutenable qu'ailleurs grâce aux arbres pour les protéger d'une insolation ou d'un méchant coup de soleil. Avant qu'il ne remarque sa présence, elle lui tend une brique de jus encore fraîche d'avoir passé le nuit dans le frigo, cette même nuit qui porte conseil et lui avait justement chuchoté au creux de l'oreille d'apaiser le courroux dévastateur d'un homme bafoué ; un homme que son ego meurtri erre sans but défini... un homme injustement privé de son jus de carottes.
« Tu fais quoi ? » Demande-t-elle avec entrain et naturel, prenant la place libre à ses côtés et plantant l'air de rien sa paille dans une deuxième briquette de jus – la sienne.
#NAMKYUNG #YESEO
C'était pas le but ! surtout pas de s'attirer les foudres de son camarade après que sa brillante idée de lancer la première offensive au rayon jus de fruits ait menacé de lancer une terrible guerre froide – mais Ye Seo, manifestement, n'avait que de bonnes idées de ce genre pour s'occuper. Alors, il était temps de se faire pardonner. Pardonner parce que le voir assis tout seul sur son banc dans un petit coin à l'ombre du jardin lui faisait terriblement de peine. Aussi parce qu'elle était curieuse de savoir ce qu'il faisait, autrement que de lui jeter pas si subtilement que ça de petits regards sombres et prometteurs de mille et unes revanches chaque fois que leurs chemins venaient à se croiser.
Son ombre traître qui s'immisce entre lui et le soleil annonce sa présence, la chaleur un peu moins insoutenable qu'ailleurs grâce aux arbres pour les protéger d'une insolation ou d'un méchant coup de soleil. Avant qu'il ne remarque sa présence, elle lui tend une brique de jus encore fraîche d'avoir passé le nuit dans le frigo, cette même nuit qui porte conseil et lui avait justement chuchoté au creux de l'oreille d'apaiser le courroux dévastateur d'un homme bafoué ; un homme que son ego meurtri erre sans but défini... un homme injustement privé de son jus de carottes.
« Tu fais quoi ? » Demande-t-elle avec entrain et naturel, prenant la place libre à ses côtés et plantant l'air de rien sa paille dans une deuxième briquette de jus – la sienne.