Page 1 sur 2 • 1, 2
Bang Nara !! BANGARANG
Invité
Invité
Bang Nara !! BANGARANG | Mer 14 Jan - 20:57 Citer EditerSupprimer
bang nara
Deuxième étoile à droite et tout droit jusqu'au matin.
#ENJOUEE | #NOLIMIT | #ATTENTIONEE | #JALOUSE | #INTELLIGENTE |
#FOUINEUSE | #PUERILE | #FARCEUSE | #RAUCUNIERE | #FORTE |
NOM : BANG! In your face. PRÉNOM : Nara, et nan si tu fais un parallèle avec le Roi Lion je t’en voudrai pas <3. ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 29 février 1992... bah y en faut bien quelques-uns… ORIGINES : ½ Coréenne, ½ allemande. NATIONALITÉ :Double nationalité, sud-africaine et coréenne. Je suis une afrikaner, comme Sharon Stone tu sais. CLASSE SOCIALE : Ricchhhhe….. ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuelle. CURSUS UNIVERSITAIRE : 4ème année de sciences de l'éducation (majeur) et arts du spectacle (mineur) MÉTIER : Aucun. Code du règlement : My anaconda
TU VEUX T'INVESTIR? : Je veux retourner chez mes panthèèèèères ! T_T
“ Rumour has it : je serais africaine vrai, en un sens + j’aurais peur des petites bêtes faux, j’ai deux rats + mon frère pèserait plusieurs millions de dollars faux, milliards plutôt aux dernière nouvelles + on dit que je portais un serre-tête et des jupes plissées à une époque vrai + on dit que je sais tout sur tout le monde vrai… et faux en fait + on dit que je suis promise à un fils de politique africain faux, à un fils de chef de tribu, enfin dans sa tête + le coup où toute la fac avait pissée bleue, ce serait encore un de mes sales tours vrai + on dit que je suis une fille facile faux + on dit que j’ai déjà joué contre Serena Williams et que je lui ai fait sa fête vrai, c’est pas parce qu’elle ma fichue une branlée que je n’allais pas lui offrir du champagne… + je mangerais des insectes et de la viande crue tout à fait vrai, mais pas comme tu l’imagines là tout de suite + on dit que ma famille revends des pierres précieuses et des cornes de rhinocéros au marché noir archi faux + on dit que je suis une noire albinos en fait ……, srsly ? faux j’aurais une fascination pour les choses moches… vrai…+ les membres de ma fraternité vérifieraient toujours s’il n’y a pas un de mes coussins péteurs sous les canapés où ils s’assoient faux, j’en suis pas arrivée là + je serais croyante vrai, « animiste ». + j’aurais joué dans un film porno faux, dans une campagne de prévention contre le sida plutôt osée +
TU VEUX T'INVESTIR? : Je veux retourner chez mes panthèèèèères ! T_T
“ Rumour has it : je serais africaine vrai, en un sens + j’aurais peur des petites bêtes faux, j’ai deux rats + mon frère pèserait plusieurs millions de dollars faux, milliards plutôt aux dernière nouvelles + on dit que je portais un serre-tête et des jupes plissées à une époque vrai + on dit que je sais tout sur tout le monde vrai… et faux en fait + on dit que je suis promise à un fils de politique africain faux, à un fils de chef de tribu, enfin dans sa tête + le coup où toute la fac avait pissée bleue, ce serait encore un de mes sales tours vrai + on dit que je suis une fille facile faux + on dit que j’ai déjà joué contre Serena Williams et que je lui ai fait sa fête vrai, c’est pas parce qu’elle ma fichue une branlée que je n’allais pas lui offrir du champagne… + je mangerais des insectes et de la viande crue tout à fait vrai, mais pas comme tu l’imagines là tout de suite + on dit que ma famille revends des pierres précieuses et des cornes de rhinocéros au marché noir archi faux + on dit que je suis une noire albinos en fait ……, srsly ? faux j’aurais une fascination pour les choses moches… vrai…+ les membres de ma fraternité vérifieraient toujours s’il n’y a pas un de mes coussins péteurs sous les canapés où ils s’assoient faux, j’en suis pas arrivée là + je serais croyante vrai, « animiste ». + j’aurais joué dans un film porno faux, dans une campagne de prévention contre le sida plutôt osée +
“ Caractère :
A-DO-RA-BLE . Si mec. C’est ce qu’on dit de moi quand on me connait. En même temps je suis le genre de fille qui passera la nuit à apprendre à faire des cupcakes et à te faire une montagne de cupcakes si tu aimes ça et si tu as un coup de blues. Oué. Une mooonnntagne de cupcake. Nan, je n’ai absolument pas le sens de la mesure. S’il faut t’acheter la dernière Lamborgini pour te remonter le moral… je demanderai à mon frère avant mais je m’arrangerais. CA TE POSE PROBLEME !? J’ai tendance à faire que ce que je veux. Oué. Nan. C’est pas de l’inconscience figure-toi. Au contraire. Bref. On reviendra là-dessus plus tard. Je suis the best grande gamine du monde. Demande aux autres. Je suis du genre à faire des cadeaux à tout le monde, des pyjamas party, à avoir un tamagochi, à tirer la langue aux gens qui m’embête, à utiliser un vocabulaire de gosse (et très décomplexé ma foie, appelons un vagin un vagin) ou à venir imiter the grudge à côté de ton lit quand je n’arrive pas à dormir. Je suis aussi du genre à rejeter toute prise de responsabilité trop importante et à refuser de m’impliquer dans des tonnes de trucs. Aussi, on en me connait pas de véritable histoire d’amour. Si si j’y crois. Ou du moins j’y croirais quand je le verrais. En attendant je ne promets rien à personne. Enfin cela ne m’empêche pas d’être d’une grande loyauté envers les miens. Ma tribu. Ma meute. Mais dans la meute, je ne suis pas la chef naturelle. Plutôt le bouffon du roi. Celui que personne ne prend au sérieux et qui souffle la direction du royaume à sa majesté entre deux blagues de cul. Bref, je suis une ultra pile électrique. Du genre à me mettre à chanter ou à booty shaker pour montrer ma joie, que ce soit en amphi, dans une boutique, ou chez le vétérinaire. Je suis une pompom-girl dans l’âme. Toujours à motiver tout le monde et à essayer de faire des blagues pas drôles. Mais j’arrête pas. Rarement. Je rêve d’un home qui me gueulerait de m’asseoir et de la fermer…. (et que j’aurais envie d’écouter…. <.<). Voilà. En tout cas, si mes blagues ne sont pas foncièrement drôles, mes farces le sont plus. Enfin elles sont plus souvent angoissantes en fait. Mais j’aime bien. Ça me fait rire. Mais y a pas de soucis, je suis aussi très douée en farces bon enfant.
Donc, je cite (je me cite moi-même, c’estbolavie), « C’est pas de l’inconscience figure-toi. Au contraire. » et « Celui que personne ne prend au sérieux et qui souffle la direction du royaume à sa majesté entre deux blagues de cul. ». Figure-toi que je sais ééénormément de choses, dans à peu près tous les domaines. Même si j’avoue avoir une spécialité dans la simulation de symptômes de maladies plus ou moins grave grâce à ma maman. Ouép. Sinon grâce à mon frangin je suis pas mal calée en économie et politique aussi. Enfin, ce qui est le plus intéressant, c’est que je connais les secrets de pleins de gens. Je n’en fais jamais rien en général, c’est plutôt une assurance quand je me sens menacée. Ou alors si, contre mon frère, pour qu’il me mette plus d’argent sur mon compte. Ouéy, j’ai des tendances manipulatrices, calculatrice par moment, mais plus comme un jeu que pour arriver à de véritables fins. Je n’ai pas de véritable fin. Pas en Corée en tout cas. Je joue juste. Bref, je disais aussi que mon apparente inconscience n’en est pas. Je sais suffisamment de choses pour connaître toutes les conséquences de chacun de mes faits et gestes, alors tout ce que je fais, je le fais en parfaite connaissance de causes. Et même si ça vous parait quand même fou et dangereux, dîtes-vous que quand on vient d’Afrique du Sud, on a une conception du danger toute autre de celle des pays dits « évolués ».
Qu’est-ce que je peux vous dire sinon… oui. SI, je suis une fille sensible ! Ce n’est pas parce que je ne pleure pas sur vos malheurs que je ne le suis pas. J’ai assez morflée plus jeune comme ça. Alors je me suis renforcée . Donc non, je ne pleurerais pas si tu me renverse un seau de sang de porc sur la tête au bal de promo. J’ai déjà donné dans le genre. Y en faut plus pour me faire du mal. Beaucoup plus. Mais ce n’est pas parce que je n’ai pas pleuré que tu ne vas pas sentir le retour de bâton. Un gros bâton. Un baobab in your face tu vois. Surtout si je connais tes petits secrets. Ou alors si j’ai accès à ta bouteille de shampooing.
A-DO-RA-BLE . Si mec. C’est ce qu’on dit de moi quand on me connait. En même temps je suis le genre de fille qui passera la nuit à apprendre à faire des cupcakes et à te faire une montagne de cupcakes si tu aimes ça et si tu as un coup de blues. Oué. Une mooonnntagne de cupcake. Nan, je n’ai absolument pas le sens de la mesure. S’il faut t’acheter la dernière Lamborgini pour te remonter le moral… je demanderai à mon frère avant mais je m’arrangerais. CA TE POSE PROBLEME !? J’ai tendance à faire que ce que je veux. Oué. Nan. C’est pas de l’inconscience figure-toi. Au contraire. Bref. On reviendra là-dessus plus tard. Je suis the best grande gamine du monde. Demande aux autres. Je suis du genre à faire des cadeaux à tout le monde, des pyjamas party, à avoir un tamagochi, à tirer la langue aux gens qui m’embête, à utiliser un vocabulaire de gosse (et très décomplexé ma foie, appelons un vagin un vagin) ou à venir imiter the grudge à côté de ton lit quand je n’arrive pas à dormir. Je suis aussi du genre à rejeter toute prise de responsabilité trop importante et à refuser de m’impliquer dans des tonnes de trucs. Aussi, on en me connait pas de véritable histoire d’amour. Si si j’y crois. Ou du moins j’y croirais quand je le verrais. En attendant je ne promets rien à personne. Enfin cela ne m’empêche pas d’être d’une grande loyauté envers les miens. Ma tribu. Ma meute. Mais dans la meute, je ne suis pas la chef naturelle. Plutôt le bouffon du roi. Celui que personne ne prend au sérieux et qui souffle la direction du royaume à sa majesté entre deux blagues de cul. Bref, je suis une ultra pile électrique. Du genre à me mettre à chanter ou à booty shaker pour montrer ma joie, que ce soit en amphi, dans une boutique, ou chez le vétérinaire. Je suis une pompom-girl dans l’âme. Toujours à motiver tout le monde et à essayer de faire des blagues pas drôles. Mais j’arrête pas. Rarement. Je rêve d’un home qui me gueulerait de m’asseoir et de la fermer…. (et que j’aurais envie d’écouter…. <.<). Voilà. En tout cas, si mes blagues ne sont pas foncièrement drôles, mes farces le sont plus. Enfin elles sont plus souvent angoissantes en fait. Mais j’aime bien. Ça me fait rire. Mais y a pas de soucis, je suis aussi très douée en farces bon enfant.
Donc, je cite (je me cite moi-même, c’estbolavie), « C’est pas de l’inconscience figure-toi. Au contraire. » et « Celui que personne ne prend au sérieux et qui souffle la direction du royaume à sa majesté entre deux blagues de cul. ». Figure-toi que je sais ééénormément de choses, dans à peu près tous les domaines. Même si j’avoue avoir une spécialité dans la simulation de symptômes de maladies plus ou moins grave grâce à ma maman. Ouép. Sinon grâce à mon frangin je suis pas mal calée en économie et politique aussi. Enfin, ce qui est le plus intéressant, c’est que je connais les secrets de pleins de gens. Je n’en fais jamais rien en général, c’est plutôt une assurance quand je me sens menacée. Ou alors si, contre mon frère, pour qu’il me mette plus d’argent sur mon compte. Ouéy, j’ai des tendances manipulatrices, calculatrice par moment, mais plus comme un jeu que pour arriver à de véritables fins. Je n’ai pas de véritable fin. Pas en Corée en tout cas. Je joue juste. Bref, je disais aussi que mon apparente inconscience n’en est pas. Je sais suffisamment de choses pour connaître toutes les conséquences de chacun de mes faits et gestes, alors tout ce que je fais, je le fais en parfaite connaissance de causes. Et même si ça vous parait quand même fou et dangereux, dîtes-vous que quand on vient d’Afrique du Sud, on a une conception du danger toute autre de celle des pays dits « évolués ».
Qu’est-ce que je peux vous dire sinon… oui. SI, je suis une fille sensible ! Ce n’est pas parce que je ne pleure pas sur vos malheurs que je ne le suis pas. J’ai assez morflée plus jeune comme ça. Alors je me suis renforcée . Donc non, je ne pleurerais pas si tu me renverse un seau de sang de porc sur la tête au bal de promo. J’ai déjà donné dans le genre. Y en faut plus pour me faire du mal. Beaucoup plus. Mais ce n’est pas parce que je n’ai pas pleuré que tu ne vas pas sentir le retour de bâton. Un gros bâton. Un baobab in your face tu vois. Surtout si je connais tes petits secrets. Ou alors si j’ai accès à ta bouteille de shampooing.
“ Once upon a time :
J’ai une devinette pour toi. Que deviennent les enfants d’un chirurgien cardiaque coréen et d’une germanique commerciale atteint du syndrome de Münchhausen ?? Les futurs sauveurs de l’Afrique du Sud. Si mec. Je t’explique.
Il y a fort longtemps de cela, plus de 30 ans, mes parents se sont rencontrés, ont forniqué, et se sont marié. Bref, mon frangin est né. Et puis quand mon père s’est rendu compte qu’en fait, ma mère était très loin d’être saine d’esprit, il la convaincu de se faire poser un stérilet pour ne pas avoir d’autre enfant. La vie de la famille Bang était censée s’en tenir là. Avec un père grimpant les échelons jusqu’à diriger le département cardiaque d’un hôpital de Séoul, une mère jonglant entre ses séances de psychiatrie et ses séjours à l’hôpital, et un fils très bien éduqué par ses nourrices et percepteurs comme on disait dans le temps. Et le tout roula parfaitement bien pendant près de 15 ans. Et puis ma mère, ne trouvant plus de subterfuge pour se faire hospitalisé se dit « et tiens ! si j’avais un autre gosse ! ». Douée dans son domaine, elle réussit à se faire faire retirer son stérilet (chez quelqu’un qui prêtait visiblement peu d’attention aux antécédents médicaux et psychiatriques de ses patients) et à cacher sa grossesse suffisamment longtemps pour passer le délai légal d’avortement. Oué, je suis le fruit de l’amour mec. Le fruit de l’amour de ma mère pour les hostos.
Bref, je suis donc née. J’ai 16 ans d’écart avec mon frère. Autant dire que nous ne nous somme pas beaucoup côtoyés à cette époque. Pendant que j’apprenais à ne plus faire caca partout, lui arpentait les couloirs de la plus grande université de Corée, avec un double cursus improbable d’économie et d’informatique, dont il nous tira deux beaux doctorats, et deux années d’avance. Enfin, il se passa pas mal de trucs avant ça. Je vécue les huit premières années de ma vie chez mon père, qui après les frasques de ma mère s’en était séparé et avait bien sûr récupéré ma garde. J’étais en école privée, rien de sensas’. Mon frère, de son côté, s’était payé une année sabbatique en Afrique du Sud dont il ne revient jamais en fait. Il s’y installa et bâtit se bâtit un empire de logiciels informatiques là-bas. Mon père quant à lui, était passé à la tête de l’hôpital. Bref, j’étais seule. Enfin, seule avec des lettres de ma mère qui me donnait ses astuces. Je ne savais pas pourquoi, et je n’en parlais jamais à personne, je gardais ça pour moi. Peut-être parce que c’était la seule chose que j’avais de ma mère. Mais ce n’était pas joyeux. Ma vie n’était pas joyeuse. Et puis mon frère revint, une fois, pour les « vacances ». Je lui fis visiblement très pitié puisqu’il s’arrangea avec mon père pour récupérer ma garde. Et je m’envolai pour l’Afrique du Sud.
Etrangement, ou pas en fait, il n’était pas bête l’animal, mon frangin m’envoya dans une école publique. Et autant dire que cela n’enchanta aucun de mes petits camarades de voir une blanche neige friquée débarquer dans leur milieu. Ma première semaine fut absolument affreuse, et quand elle finit, je rentrai chez moi recouverte de sang de poulet. Si mon frère se demanda une fraction de secondes s’il n’avait pas fait une grosse boulette, il changea rapidement d’avis quand il vit que la naine ensanglantée avait plus la rage qu’autre chose. Je fis donc l’école de la rue. Œil pour œil, dent pour dent. Même si j’étais censée être riche. Et je lui en suis extrêmement reconnaissante. Sinon je n’aurais jamais sû ce qu’était l’Afrique du Sud, même en y vivant 10 ans. Donc oué, petite je jouais pieds nus avec des jouets cassés et des chiens errants avec mes camarades de classe, après leur avoir clairement montré que s’ils continuaient à me montrer les dents, je les boufferai. Et je fus heureuse. Comme quoi. Bon, mon père, fort inquiet de la barbarie dans laquelle nous vivions insista pour que je vienne passer une année sur deux en Corée, je finis pas négocier un semestre. Je n’avais rien contre la Corée. Mais je préférais l’Afrique quand même.
Et puis quand viens le lycée, je me lançais dans l’événementiel. J’allais toujours au lycée, hein, mais j’organisais des galas, des raves et des concerts, le tout pour récolter des fonds pour l’ONG de mon frère, pour l’éducation. OH JE VOUS ARRETE TOUT DE SUITE ! Moi je disais juste ce que je voulais à des employés que je taxais à mon frère, et c’était eux qui faisaient tout. Faut pas rêver. Je vous ai dit que je ne m’engage dans rien. En plus, si ça tournait mal, ça n’était « pas ma faute ». Et puis j’ouvris une boîte de nuit. Si, si mec. Je gérais une, et puis deux boîtes là-bas. Enfin pareil hein, « gérer » était tout à fait relatif. Tout ça pour « arnaquer » les autres riches et refiler leur tunes, toujours via l’ONG. Et pi’ j’ai tourné dans un spots d préventions contre le sida. Un très chaud où, une fois les deux protagonistes à poil au lit, je colle une balle dans la tête du mec. Bref.
Je passais cependant l’intégralité de ma dernière année de lycée à Séoul pour avoir un diplôme reconnu là-haut. Le but étant d’intégrer Yonsei, ou mon frère commençait à investir. Oué, j’y allais un peu pour espionner. Et puis pour avoir des diplômes pour me rendre crédible aux yeux des autres dans ma vie future. Puisque je compte, à terme, ouvrir des écoles et des écoles d’arts en Afrique du Sud. Donc il me fallait d’autres moyens à mes ambitions que les sous de mon brother. Pareil, je ne fus pas très bien accueillie mes premiers jours. Mais j’avais été forgée à bonne école. Et puis après avoir collé une raclée au caïd fils à papa du lycée, on me foutait la paix. Oui, il faut savoir que les arts martiaux africains sont moins « classes », ils sont extrêmement violents. Et puis volà après un diplôme en bonne et due forme, j’intégrais la désormais célèbre Yonsei. Et les choses s’y passèrent beaucoup mieux. Comme sur des roulettes même. Enfin jusqu’à ce que je pète une dépression au bout de trois ans (le mal du pays t’sais), et que je reparte en Afrique pour quelques semaines, qui se transformèrent en un an. Oups. Bon. Voilà. Et puis bah fallait bien y retourner, hein !
Il y a fort longtemps de cela, plus de 30 ans, mes parents se sont rencontrés, ont forniqué, et se sont marié. Bref, mon frangin est né. Et puis quand mon père s’est rendu compte qu’en fait, ma mère était très loin d’être saine d’esprit, il la convaincu de se faire poser un stérilet pour ne pas avoir d’autre enfant. La vie de la famille Bang était censée s’en tenir là. Avec un père grimpant les échelons jusqu’à diriger le département cardiaque d’un hôpital de Séoul, une mère jonglant entre ses séances de psychiatrie et ses séjours à l’hôpital, et un fils très bien éduqué par ses nourrices et percepteurs comme on disait dans le temps. Et le tout roula parfaitement bien pendant près de 15 ans. Et puis ma mère, ne trouvant plus de subterfuge pour se faire hospitalisé se dit « et tiens ! si j’avais un autre gosse ! ». Douée dans son domaine, elle réussit à se faire faire retirer son stérilet (chez quelqu’un qui prêtait visiblement peu d’attention aux antécédents médicaux et psychiatriques de ses patients) et à cacher sa grossesse suffisamment longtemps pour passer le délai légal d’avortement. Oué, je suis le fruit de l’amour mec. Le fruit de l’amour de ma mère pour les hostos.
Bref, je suis donc née. J’ai 16 ans d’écart avec mon frère. Autant dire que nous ne nous somme pas beaucoup côtoyés à cette époque. Pendant que j’apprenais à ne plus faire caca partout, lui arpentait les couloirs de la plus grande université de Corée, avec un double cursus improbable d’économie et d’informatique, dont il nous tira deux beaux doctorats, et deux années d’avance. Enfin, il se passa pas mal de trucs avant ça. Je vécue les huit premières années de ma vie chez mon père, qui après les frasques de ma mère s’en était séparé et avait bien sûr récupéré ma garde. J’étais en école privée, rien de sensas’. Mon frère, de son côté, s’était payé une année sabbatique en Afrique du Sud dont il ne revient jamais en fait. Il s’y installa et bâtit se bâtit un empire de logiciels informatiques là-bas. Mon père quant à lui, était passé à la tête de l’hôpital. Bref, j’étais seule. Enfin, seule avec des lettres de ma mère qui me donnait ses astuces. Je ne savais pas pourquoi, et je n’en parlais jamais à personne, je gardais ça pour moi. Peut-être parce que c’était la seule chose que j’avais de ma mère. Mais ce n’était pas joyeux. Ma vie n’était pas joyeuse. Et puis mon frère revint, une fois, pour les « vacances ». Je lui fis visiblement très pitié puisqu’il s’arrangea avec mon père pour récupérer ma garde. Et je m’envolai pour l’Afrique du Sud.
Etrangement, ou pas en fait, il n’était pas bête l’animal, mon frangin m’envoya dans une école publique. Et autant dire que cela n’enchanta aucun de mes petits camarades de voir une blanche neige friquée débarquer dans leur milieu. Ma première semaine fut absolument affreuse, et quand elle finit, je rentrai chez moi recouverte de sang de poulet. Si mon frère se demanda une fraction de secondes s’il n’avait pas fait une grosse boulette, il changea rapidement d’avis quand il vit que la naine ensanglantée avait plus la rage qu’autre chose. Je fis donc l’école de la rue. Œil pour œil, dent pour dent. Même si j’étais censée être riche. Et je lui en suis extrêmement reconnaissante. Sinon je n’aurais jamais sû ce qu’était l’Afrique du Sud, même en y vivant 10 ans. Donc oué, petite je jouais pieds nus avec des jouets cassés et des chiens errants avec mes camarades de classe, après leur avoir clairement montré que s’ils continuaient à me montrer les dents, je les boufferai. Et je fus heureuse. Comme quoi. Bon, mon père, fort inquiet de la barbarie dans laquelle nous vivions insista pour que je vienne passer une année sur deux en Corée, je finis pas négocier un semestre. Je n’avais rien contre la Corée. Mais je préférais l’Afrique quand même.
Et puis quand viens le lycée, je me lançais dans l’événementiel. J’allais toujours au lycée, hein, mais j’organisais des galas, des raves et des concerts, le tout pour récolter des fonds pour l’ONG de mon frère, pour l’éducation. OH JE VOUS ARRETE TOUT DE SUITE ! Moi je disais juste ce que je voulais à des employés que je taxais à mon frère, et c’était eux qui faisaient tout. Faut pas rêver. Je vous ai dit que je ne m’engage dans rien. En plus, si ça tournait mal, ça n’était « pas ma faute ». Et puis j’ouvris une boîte de nuit. Si, si mec. Je gérais une, et puis deux boîtes là-bas. Enfin pareil hein, « gérer » était tout à fait relatif. Tout ça pour « arnaquer » les autres riches et refiler leur tunes, toujours via l’ONG. Et pi’ j’ai tourné dans un spots d préventions contre le sida. Un très chaud où, une fois les deux protagonistes à poil au lit, je colle une balle dans la tête du mec. Bref.
Je passais cependant l’intégralité de ma dernière année de lycée à Séoul pour avoir un diplôme reconnu là-haut. Le but étant d’intégrer Yonsei, ou mon frère commençait à investir. Oué, j’y allais un peu pour espionner. Et puis pour avoir des diplômes pour me rendre crédible aux yeux des autres dans ma vie future. Puisque je compte, à terme, ouvrir des écoles et des écoles d’arts en Afrique du Sud. Donc il me fallait d’autres moyens à mes ambitions que les sous de mon brother. Pareil, je ne fus pas très bien accueillie mes premiers jours. Mais j’avais été forgée à bonne école. Et puis après avoir collé une raclée au caïd fils à papa du lycée, on me foutait la paix. Oui, il faut savoir que les arts martiaux africains sont moins « classes », ils sont extrêmement violents. Et puis volà après un diplôme en bonne et due forme, j’intégrais la désormais célèbre Yonsei. Et les choses s’y passèrent beaucoup mieux. Comme sur des roulettes même. Enfin jusqu’à ce que je pète une dépression au bout de trois ans (le mal du pays t’sais), et que je reparte en Afrique pour quelques semaines, qui se transformèrent en un an. Oups. Bon. Voilà. Et puis bah fallait bien y retourner, hein !
charlie
baby’s on fire !
je vous ai manqué avouez
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
POUR UN PERSONNAGE INVENTÉ :
▲▼ERIKO NAKAO ✎ Bang Nara
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
▲▼
- Code:
[url=http://shaketheworld.tropfun.net/u277 [b]▲[/b][/url]▼ <taken>ERIKO NAKAO</taken> ✎ Bang Nara
Invité
Invité
Invité
Invité
Re: Bang Nara !! BANGARANG | Mer 14 Jan - 20:59 Citer EditerSupprimer
Bienvenueee/Rebienveuuuue parmis-nous !!! :pixi:
Invité
Invité
Re: Bang Nara !! BANGARANG | Mer 14 Jan - 21:05 Citer EditerSupprimer
J'aime beaucoup ton caractère et ton histoire. Vraiment. C'est... magnifique à lire.
Bref, rebienvenue en espérant que tu tiennes plus avec ce personnage.
Bref, rebienvenue en espérant que tu tiennes plus avec ce personnage.
Invité
Invité
Re: Bang Nara !! BANGARANG | Mer 14 Jan - 21:06 Citer EditerSupprimer
CHEN CHENNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN **
- oui c'est plus d'actualité mais c'est ma façon de te dire je t'aime ♥ -
- oui c'est plus d'actualité mais c'est ma façon de te dire je t'aime ♥ -
Invité
Invité
Re: Bang Nara !! BANGARANG | Mer 14 Jan - 21:12 Citer EditerSupprimer
OMG MAIS TES QUI MAIS JE TAIME MAIS OMG REBIENVENUE CHARLIIIIIIIIE on se sentait démuni sans toi :'(
Invité
Invité
Re: Bang Nara !! BANGARANG | Mer 14 Jan - 21:27 Citer EditerSupprimer
MA PRINCESSE DE MOI MA PETITE CHERIE
REBIENVENUE PARMI NOUS
REBIENVENUE PARMI NOUS
Invité
Invité
Re: Bang Nara !! BANGARANG | Mer 14 Jan - 21:29 Citer EditerSupprimer
Wooooooooooooaw............................................Le vava est d'enfer J'aime son style
Elle va promettre en tout cas, bon retour
Elle va promettre en tout cas, bon retour
Invité
Invité
Re: Bang Nara !! BANGARANG | Mer 14 Jan - 21:34 Citer EditerSupprimer
même si je suis nouveau, je plussoooooie! pouce vert pour toi!
je pense que je parle pour tous les pyo en te disant :
" la porte est grande ouverte chérie "
re-bienvenue et courage pour le reste de ta fiche!
Je veux retourner chez mes panthèèèèères ! T_T
même si je suis nouveau, je plussoooooie! pouce vert pour toi!
je pense que je parle pour tous les pyo en te disant :
" la porte est grande ouverte chérie "
re-bienvenue et courage pour le reste de ta fiche!
Invité
Invité
Re: Bang Nara !! BANGARANG | Mer 14 Jan - 21:38 Citer EditerSupprimer
GRAVE ! Je plussoie Malee, on peut te valider sur le champs je pense, nan ? BREF ! En tout cas contente de te revoir parmi nous aussi vite et tout et tout, j'espère que ce perso t'inspireras plus.
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 2 • 1, 2