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Mukai Yami ○ Les ténèbres du cœur
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Mukai Yami ○ Les ténèbres du cœur | Sam 22 Aoû - 23:09 Citer EditerSupprimer
Mukai Yami
Le graphisme dans les chaussettes, comme mon moral, mdr...
Il parait que... I. Yami aurait un tatouage représentant un serpent et une fleur de lotus qui lui couvre le dos fait à l'encre noire dans un style calligraphie (à vérifier si c'est vrai ou non). II. Elle serait gauchère, et pourrait écrire une dissertation de dix mille mots sur la discrimination que vit les gauchers au quotidien. III. Elle parle couramment coréen mais aurait une écriture affreuse qu'il serait difficile de lire ses écrits. IV. Elle galère financièrement une fois tous les trois mois mais continue de nourrir tous les chats du quartier. V. Il parait que le temps de quelques semaines, elle aurait joué au sugar baby, dans des bars, restaurants et boites douteuses, pour continuer de pouvoir payer son loyer. VI. Malgré ses journées très chargées, elle garde toujours du temps pour un peu de lecture, quitte à ne pas dormir. Paraitrait-il qu'elle ne soit plus vraiment humaine mais un corps errant. VII. Elle est l'aînée d'une famille de cinq : Elle, puis deux fois des jumeaux (deux garçons, Shouto et Shota, puis une fille et un garçon, Kokoro et Junpei). | Dis nous qui tu es ! Avec Yami, il y a tout et il y a rien en même temps. C’est la pipelette du fond de la classe comme la taciturne à qu’il manque quelques litres de café. Tout dépend de la personne qui se trouve en face. N’étant jamais à l’aise dans les premières rencontres et avec des personnes qui ne portent que le titre de ‘simple connaissance’, elle resterait d’un naturel calme, sans beaucoup parler. Pas qu’elle n’en voit pas l’intérêt mais elle est simplement timide. En plus d’être introvertie. Elle passerait plus de temps à préparer une conversation dans sa tête pour être sûre de ne rien dire de gênant plutôt que la conversation elle-même. Seulement, ce côté renfermé et calme peut être vu d’une autre manière depuis l’extérieur. Certains diront qu’elle est froide (c’est une fille, elle pourrait sourire non?), qu’elle vous donne l’impression de n’être pas assez bien pour elle (pour qui elle se prend celle-là?), qu’elle se place au-dessus des autres. Que de mensonges, qu’elle ne démentirait pas pour autant car elle verrait ça comme une perte de temps. Elle est ce qu’elle est, et tant que ses proches n’ont pas de fausses idées sur elle, tout ne peut que bien aller dans le meilleur des mondes. Car, une fois ouverte et à l’aise avec la personne, Yami ne s’arrête plus de parler, à tel point qu’elle en devient épuisante. Elle prête une attention toute particulière à ce que ses proches se sentent heureux, quitte à se plier en quatre pour eux parce qu’elle n’arrive pas à approcher ce bonheur elle-même. Elle était en dépression avant même de quitter son pays et sa famille, et malheureusement c’est une maladie dont elle n’arrive pas encore à se débarrasser. Elle fait des rechutes presque régulières à force s’il n’y a rien qui va déclencher une mauvaise réaction avant. De plus, elle a une vision de la vie et de la mort qui a sûrement été actrice de la maladie. Plusieurs fois elle a entendu des pensées tellement sombres qu’elles devenaient dangereuses, mais elle n’a jamais dépassé une certaine limite, bien qu’elle soit persuadé de la libération qu’offrirait la fin de toute vie. Trop intelligente pour rester innocente, elle aime beaucoup s’informer de tout ce qu’il se passe partout, seulement elle en est tombée dans un désenchantement qui lui a fait perdre foi en l’humanité. Alors elle est dans l’attente, d’un évènement, d’une simple action, de quelque chose qui mettrait fin à son tout. Elle est très méfiante, et il est difficile de gagner la confiance de la demoiselle qui, d’une seule intuition pourrait se tenir éloigner de certaines personnes. Cependant, elle essaye de faire de son mieux pour garder l’esprit ouvert et ne pas laisser ces intuitions dicter sa vie. |
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Re: Mukai Yami ○ Les ténèbres du cœur | Sam 22 Aoû - 23:09 Citer EditerSupprimer
It's my life...
今日から始まる
Petite fille de la campagne, d’un village situé au bord d’une rivière, perdu dans les montagnes, Yami est l’aînée de cinq enfants. Dont deux fois des jumeaux. Elle est cependant la seule qui n’avait pas partagé l’espace pendant les neuf mois dans le ventre de sa mère. Elle se disait donc plus unique dans la famille mais il lui arrivait encore de devenir jalouse en voyant les connexions qui liaient très étroitement les jumeaux de la famille. Elle ne disait rien et gardait tout en elle. Que pouvait-elle bien dire au juste ? Ce n’était pas de la faute de ses frères et sœur et encore moins celle de sa mère. Elle ne désirait pas installer une mauvaise ambiance et briser des liens familiaux. Au final, elle était surtout seule, mais ne disait rien.
La vie à la campagne était une vie très calme. Tout le monde se connaissait, tout le monde se saluait et s’échangeait de la nourriture, des objets et s’entraidaient. C’était une vie qui suffisait amplement à la jeune japonaise qui n’avait d’autres idées que celles déjà dictées par ses parents et la société. La famille possédait d’ailleurs un restaurant de nouilles dans le village (soit-disant le meilleur de Kawanehon mais peut-être le seul aussi) et la tradition disait que Yami était celle qui en hériterait et que ses frères ou sa sœur pouvaient l’aider s’ils le désiraient. Eux, avaient le choix, Yami ne l’avait pas. Or, ce n’était pas un problème pendant longtemps. La jeune aînée était d’ailleurs ravie de reprendre le restaurant et elle passait déjà beaucoup de temps dans les cuisines pour aider son paternel et le personnel. Elle apprit les techniques pour séparer les nouilles, le temps de cuisson pour que celles-ci soient parfaites et les ingrédients secrets des différentes soupes pour donner l’envie aux clients de revenir (c’était un village, tous les clients étaient déjà réguliers). Faire la cuisine l’amusait, elle adorait ça, mais ce n’était pas une passion assez forte pour en faire son métier.
Cependant, elle ne le remarqua que plus tard. Lors d’un voyage à Tokyo pendant sa scolarité secondaire où elle découvrit un nouveau monde. Le genre de monde où les gens s’ignoraient quand ils se croisaient, celui où il fallait toujours vérifier deux fois avant de traverser. Un monde beaucoup trop fou et changeant pour elle.
A cause d’un moment d’inattention, elle s’était perdue dans les rues de la capitale. Elle était seule parmi les sons et lumières incessantes de la métropole, parmi le monde qui la regardait de travers car une collégienne dans cette rue ? Que faisait-elle ici ? Avait-elle fugué ? Faisait-elle l’école buissonnière ? Elle ne se perdit pas longtemps mais ce fut assez pour être dévisagée ou dérangée. A croire que le destin lui envoyait un signe, alors qu’elle tournait dans une petite rue en ce début de soirée, elle tomba nez à nez avec l’entrée d’un club privé à Ginza. Elle y vit des choses simples et décentes car il s’agissait simplement de l’entrée du club, mais elle découvrit une vie en dehors de sa campagne. Un jeune hôte, mettant sans gêne son bras sur les épaules de la petite, lui demandait si elle était perdue. Elle ne répondit pas et partit en courant. Elle retrouva rapidement le chemin de son hôtel, indiquant l’adresse à la police qui la raccompagna.
Depuis ce voyage, Yami prit goût à la lecture. Elle lisait pendant des heures, des jours, dès qu’elle n’avait plus besoin de faire ses devoirs où d’aller aider en cuisine. Elle s’instruit ainsi, sortant de sa bulle de campagnarde, de japonaise construite pour entrer dans la société.
Elle commença à s’ennuyer au village, à voir de moins en moins les grand-mères et grand-pères pour leur donner des restes de soupes pour les réchauffer l’hiver car ils ne pouvaient plus se déplacer. Elle voyait une nouvelle vie. Une où elle n’était pas un mouton.
Arrivée au lycée, elle annonça à ses parents qu’elle ne voulait plus du restaurant. L’argent ne faisait pas le bonheur, mais il donnait le pouvoir et c’était exactement ce que Yami avait appris à vouloir posséder. Elle cherchait le confort, la vie où l’on avait pas besoin de se serrer la ceinture parce que la famille avait cinq enfants à charge et un simple restaurant pour ramener des revenus. La société tournait à l’argent et la jeune japonaise allait prendre du pouvoir dans cette société. Les banques contrôlaient le monde ? Et si elle contrôlait ces banques ? Alors elle chercha quel métier allait lui donner ce pouvoir.
Durant ses trois années au lycée, elle chercha dans les listes le métier qu’il la rendrait riche. Cependant cette nouvelle lubie décalée n’entrait pas dans la mentalité des Mukai pour laquelle le bonheur et les liens familiaux importaient plus que tout. L’argent ne faisait pas le bonheur. L’argent rendait même malheureux. Mais pas pour Yami. Elle se trouva un job étudiant dès sa deuxième année au lycée, après s’être battue des heures pour faire signer son contrat à ses parents. Mais, petit à petit elle s’approchait de son objectif. Elle pouvait laisser ses frères et sœur derrière, ils avaient leur jumeaux pour leur tenir compagnie, pour les consoler. Son père avait sa mère et vice versa. Alors elle ne culpabilisait pas le moins du monde à l’idée de prendre un chemin différent.
Cependant le problème du restaurant restait en suspend. Et il fut remit sur la table pendant l’été de sa troisième année de lycée. Il lui restait un semestre avant de passer aux études supérieures cependant elle avait déjà fait les démarches dans le plus grand des secrets pour une possible université. Il était hors de question qu’elle reprenne le restaurant. De plus, à force de se disputer pour cette raison, elle ne supportait plus de manger des nouilles.
Travailler pendant deux ans avait était bénéfique. Elle avait pu mettre assez de côté pour ses nouveaux plans. Elle n’avait pas d’aide de ses parents ni même leur soutien mais ce n’était pas grave, elle vivait pour elle. Elle quitta le village pour des études d’informatique à Kyoto, où elle continua de travailler en même temps. Elle ne vivait pas dans le luxe et enchaînait les heures entre ses cours et son travail, jusqu’à aller dégrader sa santé. Une fois sa licence en poche, elle se décida pour quitter le pays et tenter ailleurs. Elle avait appris à parler coréen et un peu chinois (en plus de l’anglais nécessaire pour ses études) et même si c’était loin d’être parfait, elle redoublerait d’efforts pour se faire comprendre.
La vie à la campagne était une vie très calme. Tout le monde se connaissait, tout le monde se saluait et s’échangeait de la nourriture, des objets et s’entraidaient. C’était une vie qui suffisait amplement à la jeune japonaise qui n’avait d’autres idées que celles déjà dictées par ses parents et la société. La famille possédait d’ailleurs un restaurant de nouilles dans le village (soit-disant le meilleur de Kawanehon mais peut-être le seul aussi) et la tradition disait que Yami était celle qui en hériterait et que ses frères ou sa sœur pouvaient l’aider s’ils le désiraient. Eux, avaient le choix, Yami ne l’avait pas. Or, ce n’était pas un problème pendant longtemps. La jeune aînée était d’ailleurs ravie de reprendre le restaurant et elle passait déjà beaucoup de temps dans les cuisines pour aider son paternel et le personnel. Elle apprit les techniques pour séparer les nouilles, le temps de cuisson pour que celles-ci soient parfaites et les ingrédients secrets des différentes soupes pour donner l’envie aux clients de revenir (c’était un village, tous les clients étaient déjà réguliers). Faire la cuisine l’amusait, elle adorait ça, mais ce n’était pas une passion assez forte pour en faire son métier.
Cependant, elle ne le remarqua que plus tard. Lors d’un voyage à Tokyo pendant sa scolarité secondaire où elle découvrit un nouveau monde. Le genre de monde où les gens s’ignoraient quand ils se croisaient, celui où il fallait toujours vérifier deux fois avant de traverser. Un monde beaucoup trop fou et changeant pour elle.
A cause d’un moment d’inattention, elle s’était perdue dans les rues de la capitale. Elle était seule parmi les sons et lumières incessantes de la métropole, parmi le monde qui la regardait de travers car une collégienne dans cette rue ? Que faisait-elle ici ? Avait-elle fugué ? Faisait-elle l’école buissonnière ? Elle ne se perdit pas longtemps mais ce fut assez pour être dévisagée ou dérangée. A croire que le destin lui envoyait un signe, alors qu’elle tournait dans une petite rue en ce début de soirée, elle tomba nez à nez avec l’entrée d’un club privé à Ginza. Elle y vit des choses simples et décentes car il s’agissait simplement de l’entrée du club, mais elle découvrit une vie en dehors de sa campagne. Un jeune hôte, mettant sans gêne son bras sur les épaules de la petite, lui demandait si elle était perdue. Elle ne répondit pas et partit en courant. Elle retrouva rapidement le chemin de son hôtel, indiquant l’adresse à la police qui la raccompagna.
Depuis ce voyage, Yami prit goût à la lecture. Elle lisait pendant des heures, des jours, dès qu’elle n’avait plus besoin de faire ses devoirs où d’aller aider en cuisine. Elle s’instruit ainsi, sortant de sa bulle de campagnarde, de japonaise construite pour entrer dans la société.
Elle commença à s’ennuyer au village, à voir de moins en moins les grand-mères et grand-pères pour leur donner des restes de soupes pour les réchauffer l’hiver car ils ne pouvaient plus se déplacer. Elle voyait une nouvelle vie. Une où elle n’était pas un mouton.
Arrivée au lycée, elle annonça à ses parents qu’elle ne voulait plus du restaurant. L’argent ne faisait pas le bonheur, mais il donnait le pouvoir et c’était exactement ce que Yami avait appris à vouloir posséder. Elle cherchait le confort, la vie où l’on avait pas besoin de se serrer la ceinture parce que la famille avait cinq enfants à charge et un simple restaurant pour ramener des revenus. La société tournait à l’argent et la jeune japonaise allait prendre du pouvoir dans cette société. Les banques contrôlaient le monde ? Et si elle contrôlait ces banques ? Alors elle chercha quel métier allait lui donner ce pouvoir.
Durant ses trois années au lycée, elle chercha dans les listes le métier qu’il la rendrait riche. Cependant cette nouvelle lubie décalée n’entrait pas dans la mentalité des Mukai pour laquelle le bonheur et les liens familiaux importaient plus que tout. L’argent ne faisait pas le bonheur. L’argent rendait même malheureux. Mais pas pour Yami. Elle se trouva un job étudiant dès sa deuxième année au lycée, après s’être battue des heures pour faire signer son contrat à ses parents. Mais, petit à petit elle s’approchait de son objectif. Elle pouvait laisser ses frères et sœur derrière, ils avaient leur jumeaux pour leur tenir compagnie, pour les consoler. Son père avait sa mère et vice versa. Alors elle ne culpabilisait pas le moins du monde à l’idée de prendre un chemin différent.
Cependant le problème du restaurant restait en suspend. Et il fut remit sur la table pendant l’été de sa troisième année de lycée. Il lui restait un semestre avant de passer aux études supérieures cependant elle avait déjà fait les démarches dans le plus grand des secrets pour une possible université. Il était hors de question qu’elle reprenne le restaurant. De plus, à force de se disputer pour cette raison, elle ne supportait plus de manger des nouilles.
Travailler pendant deux ans avait était bénéfique. Elle avait pu mettre assez de côté pour ses nouveaux plans. Elle n’avait pas d’aide de ses parents ni même leur soutien mais ce n’était pas grave, elle vivait pour elle. Elle quitta le village pour des études d’informatique à Kyoto, où elle continua de travailler en même temps. Elle ne vivait pas dans le luxe et enchaînait les heures entre ses cours et son travail, jusqu’à aller dégrader sa santé. Une fois sa licence en poche, elle se décida pour quitter le pays et tenter ailleurs. Elle avait appris à parler coréen et un peu chinois (en plus de l’anglais nécessaire pour ses études) et même si c’était loin d’être parfait, elle redoublerait d’efforts pour se faire comprendre.
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Re: Mukai Yami ○ Les ténèbres du cœur | Sam 22 Aoû - 23:11 Citer EditerSupprimer
Salut toi
Je t'aime
Et va falloir qu'on se trouve un joli lien
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Kong Yeong Hun
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : Helvia
Célébrité : Lee Ju Yeon (THE BOYZ)
Messages : 26401
Âge : 26
Re: Mukai Yami ○ Les ténèbres du cœur | Sam 22 Aoû - 23:36 Citer EditerSupprimer
omg. sua. je...
c'est un si bon choix d'avatar, je m'en remets pas suaaaaaa
l'insomnia en moi est vraiment TRES contente en plus, ma bias... ah, tu me rends si heureuse **
bienvenue et bon courage pour ta fiche
________________________________
c'est un si bon choix d'avatar, je m'en remets pas suaaaaaa
l'insomnia en moi est vraiment TRES contente en plus, ma bias... ah, tu me rends si heureuse **
bienvenue et bon courage pour ta fiche
head in the dust ♒︎ Feeling used but I'm still missing you and I can't see the end of this. Just wanna feel your kiss against my lips and now all this time is passing by but I still can't seem to tell you why. ©️ endlesslove.
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Re: Mukai Yami ○ Les ténèbres du cœur | Dim 23 Aoû - 0:10 Citer EditerSupprimer
Bienvenue à toi
Je sais pas si c'est toi qui cherchais OÙ jouer sua sur Asian café sur fb? ^^
Je sais pas si c'est toi qui cherchais OÙ jouer sua sur Asian café sur fb? ^^
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Re: Mukai Yami ○ Les ténèbres du cœur | Dim 23 Aoû - 0:26 Citer EditerSupprimer
@Park Hyun Tae -- Quand tu veux pour le lien.
@Lee Mi Young -- Contente de te rendre heureuse avec mon avatar.
@Yoon Nam Sun -- Non ce n'est pas moi, je suis trop rarement sur FB pour ça.
@Lee Mi Young -- Contente de te rendre heureuse avec mon avatar.
@Yoon Nam Sun -- Non ce n'est pas moi, je suis trop rarement sur FB pour ça.
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Re: Mukai Yami ○ Les ténèbres du cœur | Dim 23 Aoû - 0:31 Citer EditerSupprimer
suaaaa bienvenue sur shake intéressant le prénom, hâte de lire la suite de la fiche bon courage pour la fiche, j'espère que tu te plairas parmi nous
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Re: Mukai Yami ○ Les ténèbres du cœur | Dim 23 Aoû - 10:36 Citer EditerSupprimer
Quel bon petit choix **
Bienvenue parmi nous
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Eoh Min Jae
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Célébrité : jung wooyoung (ateez).
Crédits : sohaline (ava) & me (signa).
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Re: Mukai Yami ○ Les ténèbres du cœur | Dim 23 Aoû - 10:54 Citer EditerSupprimer
Bienvenue par ici
Super choix de vava !
J'espère que tu te plairas bien parmi nous
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Super choix de vava !
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we play dumb but we know exactly what we're doing ...
kooah ♡
- the selfies couple ♡ ♡ ♡ ♡:
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Re: Mukai Yami ○ Les ténèbres du cœur | Dim 23 Aoû - 11:02 Citer EditerSupprimer
Bienvenue parmi nous et bonne continuation pour terminer ta fiche
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