la nuit est encore jeune (rian)
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la nuit est encore jeune (rian) | Mer 26 Aoû - 11:25 Citer EditerSupprimer
feat. @yeo rian ☾
De toutes les choses que j’aimerais accomplir dans les années qui arrivent, il y a bien un truc qui n’est absolument pas dans mes plans… C’est de trouver un petit ami. Après ce qui me parait être des lustres à chercher le grand amour, je me suis rendue compte que celui-ci n’existait pas. L’amour n’est qu’une forme d’affection et de confiance à mes yeux, une amitié améliorée en quelques sortes. Et trouver le candidat idéal, suffisamment méritant de ma confiance, n’est pas une mince à faire. Alors, plutôt que de perdre du temps à cela et blesser plus d’un homme lors de cette quête sans finalité, j’ai décidé de laisser le vent me porter. Sans attaches, sans sentiments. Sans craintes, sans remords. De la tendresse le temps d’un soir, c’est tout ce dont je pense avoir besoin pour le moment. Un instant de plaisir éphémère, loin de toutes complications. Bien sûr, il y a de rares exceptions mais comme il y en a dans tous les cas. C’est toujours pour cette raison que j’hésite à accepter les invitations de Rian. Les sorties à quatre, ces blind dates ne sont pas trop mon truc. Bien que sociable, je n’aime pas particulièrement ces conversations vides de sens que je suis obligée d’entretenir avec mon partenaire de la soirée. Femme d’action, je préfère charmer sur la piste de danse plutôt qu’avec des belles phrases ; surtout que mon coréen n’est pas tout à fait des plus poétiques. Bizarrement, malgré toutes mes protestations et toutes mes hésitations, je finis quasiment à chaque fois par accompagner ma jolie Rian à ces rendez-vous. Comme ce soir. En soupirant, je vérifie une nouvelle fois ma tenue du jour dans le miroir de ma chambre de dortoir. Pas trop classe, pas trop sexy mais pas trop bonne enfant non plus. Un style grunge mais légèrement habillé, un passe-partout peu importe ce qui peut se passer ce soir. Que l’on finisse au restaurant ou en boîte. Que j’ai besoin de séduire un homme au cours de la soirée ou pour finir la soirée seule avec mon amie. Cette tenue sera la parfaite armure en toutes circonstances. Prête à affronter cette nouvelle rencontre, j’envoie un sms à Rian pour lui indiquer que je la rejoins directement sur le point de rendez-vous ; non sans lui envoyer une photo drôle d’une de mes chats dans les trente secondes qui suivent. Un aurevoir aux sangos que je croise dans les couloirs du dortoir et je file dans le centre de la digital city. Nous devons nous retrouver devant le kurss bar un petit quart d’heure avant l’arrivée de nos prétendants du jour mais qui sait où la nuit nous mènera. J’arpente les ruelles d’un pas léger, bien que je sois en retard comme toujours, profitant de cette ambiance nocturne qui me plait tant ici. Profitant de cette petite marche sympathique, j’en profite même pour nous acheter deux twigims sur le chemin. C’est la silhouette élégante de mon amie qui m’indique que je suis au bon endroit et je ne perds pas une seconde pour la rejoindre. « Hey. » je la salue en souriant avant de lui tendre son petit beignet frit aux légumes. « J’espère que tu les as bien choisis ce soir, je compte bien m’amuser un peu. » façon peu délicate de lui indiquer que je souhaite passer la nuit avec l’un d’entre eux si possible. Mes nuits ont été bien tristes et solitaires ces derniers jours, il est temps que ça change.
la nuit est encore jeune
De toutes les choses que j’aimerais accomplir dans les années qui arrivent, il y a bien un truc qui n’est absolument pas dans mes plans… C’est de trouver un petit ami. Après ce qui me parait être des lustres à chercher le grand amour, je me suis rendue compte que celui-ci n’existait pas. L’amour n’est qu’une forme d’affection et de confiance à mes yeux, une amitié améliorée en quelques sortes. Et trouver le candidat idéal, suffisamment méritant de ma confiance, n’est pas une mince à faire. Alors, plutôt que de perdre du temps à cela et blesser plus d’un homme lors de cette quête sans finalité, j’ai décidé de laisser le vent me porter. Sans attaches, sans sentiments. Sans craintes, sans remords. De la tendresse le temps d’un soir, c’est tout ce dont je pense avoir besoin pour le moment. Un instant de plaisir éphémère, loin de toutes complications. Bien sûr, il y a de rares exceptions mais comme il y en a dans tous les cas. C’est toujours pour cette raison que j’hésite à accepter les invitations de Rian. Les sorties à quatre, ces blind dates ne sont pas trop mon truc. Bien que sociable, je n’aime pas particulièrement ces conversations vides de sens que je suis obligée d’entretenir avec mon partenaire de la soirée. Femme d’action, je préfère charmer sur la piste de danse plutôt qu’avec des belles phrases ; surtout que mon coréen n’est pas tout à fait des plus poétiques. Bizarrement, malgré toutes mes protestations et toutes mes hésitations, je finis quasiment à chaque fois par accompagner ma jolie Rian à ces rendez-vous. Comme ce soir. En soupirant, je vérifie une nouvelle fois ma tenue du jour dans le miroir de ma chambre de dortoir. Pas trop classe, pas trop sexy mais pas trop bonne enfant non plus. Un style grunge mais légèrement habillé, un passe-partout peu importe ce qui peut se passer ce soir. Que l’on finisse au restaurant ou en boîte. Que j’ai besoin de séduire un homme au cours de la soirée ou pour finir la soirée seule avec mon amie. Cette tenue sera la parfaite armure en toutes circonstances. Prête à affronter cette nouvelle rencontre, j’envoie un sms à Rian pour lui indiquer que je la rejoins directement sur le point de rendez-vous ; non sans lui envoyer une photo drôle d’une de mes chats dans les trente secondes qui suivent. Un aurevoir aux sangos que je croise dans les couloirs du dortoir et je file dans le centre de la digital city. Nous devons nous retrouver devant le kurss bar un petit quart d’heure avant l’arrivée de nos prétendants du jour mais qui sait où la nuit nous mènera. J’arpente les ruelles d’un pas léger, bien que je sois en retard comme toujours, profitant de cette ambiance nocturne qui me plait tant ici. Profitant de cette petite marche sympathique, j’en profite même pour nous acheter deux twigims sur le chemin. C’est la silhouette élégante de mon amie qui m’indique que je suis au bon endroit et je ne perds pas une seconde pour la rejoindre. « Hey. » je la salue en souriant avant de lui tendre son petit beignet frit aux légumes. « J’espère que tu les as bien choisis ce soir, je compte bien m’amuser un peu. » façon peu délicate de lui indiquer que je souhaite passer la nuit avec l’un d’entre eux si possible. Mes nuits ont été bien tristes et solitaires ces derniers jours, il est temps que ça change.
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Re: la nuit est encore jeune (rian) | Ven 4 Sep - 14:34 Citer EditerSupprimer
Léger de sens, et le jeu amusant des rencontres, comme le carrousel qui tourne sans cesse, et le manège que l’on change. Sans arrêt, aucune limite, et les visages qui défilent, quand on s’entiche de certains, et lorsque l’on délaisse les autres, lassant petite comédie qui n’appartient qu’aux maîtres du jeu. Et de ce que la vie nous offre, l’enfant solaire se permet de se sentir différente, à s’amuser des hommes qui se perdent à corps perdus dans les opales envoûtantes, à désirer le corps qui appelle, et autant s’y égarer, dans la folie des corps, de l’amour sous toutes ses formes. Et le plaisir des chairs, pourvu que ce soit bon, pourvu qu’on y perde pieds. Mais ce soir, lorsque la nuit règne en reine des ténébres, que les rues s’animent, que la jeunesse frivole déjà éméchée se libère, et adieu les chaînes, je contemple les tenues, les pas qui se mêlent, les chemins qui se bousculent, et le destin qui oeuvre. Et c’est un corps en vie qui patiente, qui pense, songe à ce que cette soirée pourrait offrir, au déroulement, si mystérieux, avec qui la nuit se terminera, si elle sera passionnée, si la fille solaire rentrera seule, ira se coucher avec des rêves plein la tête, comme à son habitude. Là n’est guère l’envie d’être prise, rien n’envie les amoureux qui se bécotte, à ceux qui épousent leurs lippes jusqu’à en perdre le souffle, à se répéter l’amour quand le temps leur appartient, à faire vivre leur monde, pourvu que ça dure. Mais à si seulement le monde pouvait arrêter de tourner autour de moi, à m’en donner les surprises divulguées, à en offrir les passions, et que ce soir, je ne suis pas seule, à jouer le jeu, à s’offrir le droit à s’amuser, et c’est ensembles que les hommes nous appartiennent, pour une soirée. Avec une amie avec cette amie, et cette délicieuse odeur de pain frit, le rictus étire les lippes. Les opales demandent, interrogent, et les homme que nous allons voir, se questionnent, eux aussi, le déroulement de la soirée appartient encore au destin. “ tu crois vraiment que je suis capable de pas amener des jolis garçons ? ils le sont toujours ! ” et c’est l’éclat de rire, les pas qui amènent devant la grande baie vitrée du café, là où l’on discute à en perdre les mots, là où on s’autorise de perdre pieds quelques fois, pour une nuit à s’en remémorer les souffles saccadés, et à s’en rappeler l’extase en harmonie. Et les opales qui les observent, les grands bruns au sourire à s’en faire fondre comme le chocolat, où à s’en perdre les doigts les doigts dans leurs épaisses chevelures. Les lippes au goût salé s’étendent dans un rictus amusé, et le coude dérange l’amie. “ tu vois qu’ils sont mignons. ” ne jamais douter de l’amie, celle qui enivre les nuits.
@made by ice and fire.
la nuit est encore jeune
@Shim Aliyyah & Yeo Rian
Léger de sens, et le jeu amusant des rencontres, comme le carrousel qui tourne sans cesse, et le manège que l’on change. Sans arrêt, aucune limite, et les visages qui défilent, quand on s’entiche de certains, et lorsque l’on délaisse les autres, lassant petite comédie qui n’appartient qu’aux maîtres du jeu. Et de ce que la vie nous offre, l’enfant solaire se permet de se sentir différente, à s’amuser des hommes qui se perdent à corps perdus dans les opales envoûtantes, à désirer le corps qui appelle, et autant s’y égarer, dans la folie des corps, de l’amour sous toutes ses formes. Et le plaisir des chairs, pourvu que ce soit bon, pourvu qu’on y perde pieds. Mais ce soir, lorsque la nuit règne en reine des ténébres, que les rues s’animent, que la jeunesse frivole déjà éméchée se libère, et adieu les chaînes, je contemple les tenues, les pas qui se mêlent, les chemins qui se bousculent, et le destin qui oeuvre. Et c’est un corps en vie qui patiente, qui pense, songe à ce que cette soirée pourrait offrir, au déroulement, si mystérieux, avec qui la nuit se terminera, si elle sera passionnée, si la fille solaire rentrera seule, ira se coucher avec des rêves plein la tête, comme à son habitude. Là n’est guère l’envie d’être prise, rien n’envie les amoureux qui se bécotte, à ceux qui épousent leurs lippes jusqu’à en perdre le souffle, à se répéter l’amour quand le temps leur appartient, à faire vivre leur monde, pourvu que ça dure. Mais à si seulement le monde pouvait arrêter de tourner autour de moi, à m’en donner les surprises divulguées, à en offrir les passions, et que ce soir, je ne suis pas seule, à jouer le jeu, à s’offrir le droit à s’amuser, et c’est ensembles que les hommes nous appartiennent, pour une soirée. Avec une amie avec cette amie, et cette délicieuse odeur de pain frit, le rictus étire les lippes. Les opales demandent, interrogent, et les homme que nous allons voir, se questionnent, eux aussi, le déroulement de la soirée appartient encore au destin. “ tu crois vraiment que je suis capable de pas amener des jolis garçons ? ils le sont toujours ! ” et c’est l’éclat de rire, les pas qui amènent devant la grande baie vitrée du café, là où l’on discute à en perdre les mots, là où on s’autorise de perdre pieds quelques fois, pour une nuit à s’en remémorer les souffles saccadés, et à s’en rappeler l’extase en harmonie. Et les opales qui les observent, les grands bruns au sourire à s’en faire fondre comme le chocolat, où à s’en perdre les doigts les doigts dans leurs épaisses chevelures. Les lippes au goût salé s’étendent dans un rictus amusé, et le coude dérange l’amie. “ tu vois qu’ils sont mignons. ” ne jamais douter de l’amie, celle qui enivre les nuits.
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Re: la nuit est encore jeune (rian) | Mer 16 Sep - 16:26 Citer EditerSupprimer
feat. @yeo rian ☾
Liberté. Concept étrange mais si poétique et prometteur. L’ouverture des possibles, on lui court après pendant des années, voulant échapper aux restrictions d’une famille ou bien d’une société. Et quand on l’a dans les mains, adultes que l’on est, on ne sait bizarrement plus quoi en faire. Restreints par la vie active, les responsabilités accablantes et le temps qui nous manque de plus en plus, la liberté nous devient presque futile, inutile. Et peut-être bien que les années étudiantes sont alors les plus propices pour jouir de cette occasion dorée d’être ce que l’on veut, quand on veut, où l’on veut et avec qui on le veut. Reine de ma propre vie, je choisis la façon dont je profite des joies des relations amoureuses et surtout des relations physiques. Après avoir perdu mon cœur dans des choix impossibles, me tiraillée entre l’amour et l’amitié, l’envie de tout simplifier a grandi. Celle de suivre le désir du corps sans maltraiter le cœur. Déchaîner les passions sans déchirer l’âme. Alors je ne résiste pas à ces courbes qui m’appellent et qui me font succomber le temps d’une nuit. Perdue dans l’illusion que cela durera éternellement combien même je sais qu’il faudra tout oublier au petit matin. Rattraper par cette envie humaine de tout partager avec un être cher. C’est pour cette raison, cette unique raison, que j’accepte d’accompagner mon amie à ces rendez-vous arrangés. Vivre le bonheur à deux, satisfaire le besoin de bercer sa vie avec une moitié. Juste pour une soirée. Mais je ne suis pas une joueuse facile, la sélection pour bénéficier de la chaleur que je peux offrir est rude. Le physique est important alors je taquine Rian avant de croquer dans mon beignet, elle a raison cependant, nous avons toujours eu la chance de tomber sur des bonnes surprises plutôt que sur des mauvaises. J’hausse les épaules poussant la taquinerie plus loin et la jolie femme à mes côtés rit aux éclats. Nos pas nous mènent vers le café où nous devons retrouver nos princes d’un soir et mes yeux glissent sur les deux hommes qui n’attendent que nous. “Plutôt canons. En espérant que la personnalité suive.”. Un rire quitte mes lèvres quand je reçois un coup de coude de mon amie, un sourire fleurit ensuite sur mon visage. Je me laisse alors sombrer à l’intérieur du café, invitant mon acolyte à faire de même d’un geste de la main. La démarche assurée, le mode séduction activé, je me délecte avec grand plaisir des regards bouillants sur Rian et moi. Deux belles femmes, quels chanceux. J’adresse un sourire taquin à mon amie avant de fondre dans le regard d’un grand brun à la mâchoire ciselé, mes phalanges caressent délicatement le bois brut de la table de nos hommes. “Aliyyah, enchantée.”. Mes dents jouent avec mes lèvres, un premier élan de séduction qui ne les laisse jamais de marbre.
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Liberté. Concept étrange mais si poétique et prometteur. L’ouverture des possibles, on lui court après pendant des années, voulant échapper aux restrictions d’une famille ou bien d’une société. Et quand on l’a dans les mains, adultes que l’on est, on ne sait bizarrement plus quoi en faire. Restreints par la vie active, les responsabilités accablantes et le temps qui nous manque de plus en plus, la liberté nous devient presque futile, inutile. Et peut-être bien que les années étudiantes sont alors les plus propices pour jouir de cette occasion dorée d’être ce que l’on veut, quand on veut, où l’on veut et avec qui on le veut. Reine de ma propre vie, je choisis la façon dont je profite des joies des relations amoureuses et surtout des relations physiques. Après avoir perdu mon cœur dans des choix impossibles, me tiraillée entre l’amour et l’amitié, l’envie de tout simplifier a grandi. Celle de suivre le désir du corps sans maltraiter le cœur. Déchaîner les passions sans déchirer l’âme. Alors je ne résiste pas à ces courbes qui m’appellent et qui me font succomber le temps d’une nuit. Perdue dans l’illusion que cela durera éternellement combien même je sais qu’il faudra tout oublier au petit matin. Rattraper par cette envie humaine de tout partager avec un être cher. C’est pour cette raison, cette unique raison, que j’accepte d’accompagner mon amie à ces rendez-vous arrangés. Vivre le bonheur à deux, satisfaire le besoin de bercer sa vie avec une moitié. Juste pour une soirée. Mais je ne suis pas une joueuse facile, la sélection pour bénéficier de la chaleur que je peux offrir est rude. Le physique est important alors je taquine Rian avant de croquer dans mon beignet, elle a raison cependant, nous avons toujours eu la chance de tomber sur des bonnes surprises plutôt que sur des mauvaises. J’hausse les épaules poussant la taquinerie plus loin et la jolie femme à mes côtés rit aux éclats. Nos pas nous mènent vers le café où nous devons retrouver nos princes d’un soir et mes yeux glissent sur les deux hommes qui n’attendent que nous. “Plutôt canons. En espérant que la personnalité suive.”. Un rire quitte mes lèvres quand je reçois un coup de coude de mon amie, un sourire fleurit ensuite sur mon visage. Je me laisse alors sombrer à l’intérieur du café, invitant mon acolyte à faire de même d’un geste de la main. La démarche assurée, le mode séduction activé, je me délecte avec grand plaisir des regards bouillants sur Rian et moi. Deux belles femmes, quels chanceux. J’adresse un sourire taquin à mon amie avant de fondre dans le regard d’un grand brun à la mâchoire ciselé, mes phalanges caressent délicatement le bois brut de la table de nos hommes. “Aliyyah, enchantée.”. Mes dents jouent avec mes lèvres, un premier élan de séduction qui ne les laisse jamais de marbre.
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Re: la nuit est encore jeune (rian) | Dim 20 Sep - 15:17 Citer EditerSupprimer
Peut-être est-ce la folie. Cet envie qui fulmine, à en brûler l’épiderme, échapper à ces chaînes qui croquent la peau, à devoir s’échapper dans un ailleurs qui m’est inconnu. Et à cette liberté dont ne sait guère que faire, le crâne rempli d’étincelles, à ne guère se reconnaître dans cette danse lascive d’émotions. Peut-être est-ce la folie que de vouloir être accompagnée lorsque le crépuscule s’étend, offre les plus intenses désirs, aux pulpeuses qui sussurent les mots qui attirent, le feu ardent qui naît, à en brûler le squelette. Peut-être est-ce le rêve d’un amour éphémère, à croire que l’éternel pourrait y naître, et la sensation d’un corps frêle dans la chute vertigineuse, à y refléter la liberté si soudaine, à en désir chaque parcelle, à en embrasser les vices. Et partager ça avec elle, un soir de plus, peut-être une nuit à découvrir que le temps m’appartient, moi, et un autre. Entre les draps chiffonnés, les souffles qui s’animent, les bassins qui se bousculent, enfin libératrice, la vie. Et les sourires figés dans le temps, le délice des opales qui observent la beauté masculine, à l’attente qui les ronge, impatients gamins à qui l’on promet l’amour sous toutes ses formes. Et à faire taire les élans de l’innocence, s’autoriser peut-être l’amour autrement, devoir se libérer, être ailleurs un nouveau soir, partager la nuit, peut-être finir seule, à se remémorer ce qui ne s’est guère déroulé, et le lendemain s‘empresser de raconter la loufoque aventure. “ si la personnalité ne suit pas, alors autant finir la soirée seules. ” et le clin d’œil, l’épaule qui gentiment bouscule, avec le rictus curieux sur les lippes. Les lèvres pincées, observer le charmant jeu séducteur de mon amie, le corps qui émane cette délicieuse attraction, et les opales qui observent avec merveille. Et les miennes, qui observent dans le détail, le blond au sourire envoûtant, et pourtant l’alchimie qui ne se fait guère, tandis qu’il m’observe avec attention, et à tenter d’imaginer. “ rian, enchantée. ” le corps qui n’est guère attiré, à se pencher vers mon amie, le murmure qui n’est que pour elle. “ je ne suis pas tentée… ” à hausser les épaules, le rictus presque désolé, et à tenter la nature charmante, les jambes croisées, à observer les deux hommes, à engager la discussion à peut-être s’y plaire, finalement.
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@Shim Aliyyah & Yeo Rian
Peut-être est-ce la folie. Cet envie qui fulmine, à en brûler l’épiderme, échapper à ces chaînes qui croquent la peau, à devoir s’échapper dans un ailleurs qui m’est inconnu. Et à cette liberté dont ne sait guère que faire, le crâne rempli d’étincelles, à ne guère se reconnaître dans cette danse lascive d’émotions. Peut-être est-ce la folie que de vouloir être accompagnée lorsque le crépuscule s’étend, offre les plus intenses désirs, aux pulpeuses qui sussurent les mots qui attirent, le feu ardent qui naît, à en brûler le squelette. Peut-être est-ce le rêve d’un amour éphémère, à croire que l’éternel pourrait y naître, et la sensation d’un corps frêle dans la chute vertigineuse, à y refléter la liberté si soudaine, à en désir chaque parcelle, à en embrasser les vices. Et partager ça avec elle, un soir de plus, peut-être une nuit à découvrir que le temps m’appartient, moi, et un autre. Entre les draps chiffonnés, les souffles qui s’animent, les bassins qui se bousculent, enfin libératrice, la vie. Et les sourires figés dans le temps, le délice des opales qui observent la beauté masculine, à l’attente qui les ronge, impatients gamins à qui l’on promet l’amour sous toutes ses formes. Et à faire taire les élans de l’innocence, s’autoriser peut-être l’amour autrement, devoir se libérer, être ailleurs un nouveau soir, partager la nuit, peut-être finir seule, à se remémorer ce qui ne s’est guère déroulé, et le lendemain s‘empresser de raconter la loufoque aventure. “ si la personnalité ne suit pas, alors autant finir la soirée seules. ” et le clin d’œil, l’épaule qui gentiment bouscule, avec le rictus curieux sur les lippes. Les lèvres pincées, observer le charmant jeu séducteur de mon amie, le corps qui émane cette délicieuse attraction, et les opales qui observent avec merveille. Et les miennes, qui observent dans le détail, le blond au sourire envoûtant, et pourtant l’alchimie qui ne se fait guère, tandis qu’il m’observe avec attention, et à tenter d’imaginer. “ rian, enchantée. ” le corps qui n’est guère attiré, à se pencher vers mon amie, le murmure qui n’est que pour elle. “ je ne suis pas tentée… ” à hausser les épaules, le rictus presque désolé, et à tenter la nature charmante, les jambes croisées, à observer les deux hommes, à engager la discussion à peut-être s’y plaire, finalement.
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Re: la nuit est encore jeune (rian) | Jeu 1 Oct - 21:35 Citer EditerSupprimer
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Un sourire s’étend sur mon visage aux mots que prononcent Rian, mon amie a tellement raison. Bien sûr, à nos âges, presque encore adolescentes avides de profiter de la beauté du monde et de celle des descendants d’Adam, le physique joue un rôle important du hasard de l’amour, dans ce jeu des rencontres nocturnes… Mais nous sommes aussi assez grandes et matures pour chercher un peu plus qu’un joli minois, un besoin de conversation pleine de sens et une personnalité en or sont aujourd’hui des critères non négligeables dans le choix de nos partenaires, même s’ils joueront les éphémères avec nous que le temps d’un soir. Si de loin ces jeunes hommes ont l’air de remplir nos standings en matière d’apparence, il nous reste à juger de caractère avant de faire notre choix final : seules ou accompagnées. Rian et moi n’avons aucune peine à imaginer finir notre soirée toutes les deux, elle n’en sera pas moins belle, seulement peut-être moins mémorable, mais de grands sages ont dit un jour : « mieux vaut être seul que mal accompagné. ». Et nous appliquons ce proverbe à la perfection. Des électrons libres qui choisissent quand et où ils décident de s’attacher à un atome. Animée par un léger coup d’épaule que mon amie, je me glisse dans l’enceinte du café suivie de près par Rian. Ainsi commence le jeu de charme qui les emprisonneront dans mes filets. Je jette mon dévolu sur le grand brun dont les yeux vadrouillent déjà sur mes courbes. La belle n’est pas en reste et elle semble attirer l’œil curieux que l’autre jeune homme, un sourire renversant qui devrait plaire. Je remarque instantanément que la jeune femme à mes côtés n’est pas séduite, les soupçons se confirment alors qu’elle chuchote à mon oreille son manque d’intérêt. Pourtant, la voilà à s’installer sur une chaise à mes côtés, prête à percer le mystère de ces deux inconnus. Sûrement que Rian espère que son ressenti s’améliorera au fil de la conversation, qu’elle sera un peu plus charmée quand le garçon l’envoutera avec ses belles paroles. Les questions se font simplettes, les langues se délivrent mais la flamme ne se s’allume jamais, ni pour elle, ni pour moi. Peu importe l’envie de rêver dans mes draps avec ce bel homme, l’évidence est qu’il est d’un ennui mortel et son ami n’est pas tellement plus vibrant. Je m’obstine cherchant une particularité qui m’attira tel un aimant mais rien n’y fait. Un soupir s’échappe de mes lèvres alors que je me rapproche de mon amie. « Et si on s’en allait, hm ? » je lui glisse le plus discrètement possible. Nul besoin de perdre plus de temps à faire semblant de s’intéresser à ses discussions sans âme.
la nuit est encore jeune
Un sourire s’étend sur mon visage aux mots que prononcent Rian, mon amie a tellement raison. Bien sûr, à nos âges, presque encore adolescentes avides de profiter de la beauté du monde et de celle des descendants d’Adam, le physique joue un rôle important du hasard de l’amour, dans ce jeu des rencontres nocturnes… Mais nous sommes aussi assez grandes et matures pour chercher un peu plus qu’un joli minois, un besoin de conversation pleine de sens et une personnalité en or sont aujourd’hui des critères non négligeables dans le choix de nos partenaires, même s’ils joueront les éphémères avec nous que le temps d’un soir. Si de loin ces jeunes hommes ont l’air de remplir nos standings en matière d’apparence, il nous reste à juger de caractère avant de faire notre choix final : seules ou accompagnées. Rian et moi n’avons aucune peine à imaginer finir notre soirée toutes les deux, elle n’en sera pas moins belle, seulement peut-être moins mémorable, mais de grands sages ont dit un jour : « mieux vaut être seul que mal accompagné. ». Et nous appliquons ce proverbe à la perfection. Des électrons libres qui choisissent quand et où ils décident de s’attacher à un atome. Animée par un léger coup d’épaule que mon amie, je me glisse dans l’enceinte du café suivie de près par Rian. Ainsi commence le jeu de charme qui les emprisonneront dans mes filets. Je jette mon dévolu sur le grand brun dont les yeux vadrouillent déjà sur mes courbes. La belle n’est pas en reste et elle semble attirer l’œil curieux que l’autre jeune homme, un sourire renversant qui devrait plaire. Je remarque instantanément que la jeune femme à mes côtés n’est pas séduite, les soupçons se confirment alors qu’elle chuchote à mon oreille son manque d’intérêt. Pourtant, la voilà à s’installer sur une chaise à mes côtés, prête à percer le mystère de ces deux inconnus. Sûrement que Rian espère que son ressenti s’améliorera au fil de la conversation, qu’elle sera un peu plus charmée quand le garçon l’envoutera avec ses belles paroles. Les questions se font simplettes, les langues se délivrent mais la flamme ne se s’allume jamais, ni pour elle, ni pour moi. Peu importe l’envie de rêver dans mes draps avec ce bel homme, l’évidence est qu’il est d’un ennui mortel et son ami n’est pas tellement plus vibrant. Je m’obstine cherchant une particularité qui m’attira tel un aimant mais rien n’y fait. Un soupir s’échappe de mes lèvres alors que je me rapproche de mon amie. « Et si on s’en allait, hm ? » je lui glisse le plus discrètement possible. Nul besoin de perdre plus de temps à faire semblant de s’intéresser à ses discussions sans âme.
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