Là où tout à commencé... Ft KalHi
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Là où tout à commencé... Ft KalHi | Mar 22 Sep - 22:58 Citer EditerSupprimer
Là où tout à commencé... Kalhi
Il y avait des jours avec et des jours sans, aujourd’hui était un jour sans de toute évidence. Si en temps normal j’étais du genre optimiste et toujours souriante, ne me laissant jamais abattre, je devais admettre qu’en ce nouveau jour d’échec j’étais légèrement.. Énervée. J’avais eu mon diplôme d’architecture très récemment et je cherchais donc une entreprise où m’installer, pas forcément pour toujours mes pour faire mes premières armes. Il s’avéra que ce fut plus compliqué que ce que je ne l’aurait cru. Le milieu de l’architecture était presque exclusivement masculin, le fait d’être une femme était donc déjà en soit un handicape. Et même si j’avais terminé mes études avec des notes excellente et de très bonnes recommandations de mes professeurs, j’essuyais encore et toujours des refus pour être embauchée. Au moins aujourd’hui le recruteur avait eu la gentillesse d’être cache avec moi, on évite d’embaucher une femme, surtout jeune et jolie parce qu’elle va forcément finir par se marier et quitter l’entreprise pour se consacrer à sa famille… Vision complètement archaïque et discriminatoire qui me valu à nouveau de voir une chance d’être embaucher me passer sous le nez. C’est donc en soupirant que je passait la porte de l’appartement où je logeait depuis le début de mes études. J’essayais de me redonner le morale en me disant qu’une entreprise aussi fermée d’esprit ne méritait pas que je m’y intéresse plus que ça. « Kalei ? » Appelais-je en me déshabillant, ne sachant pas si l’homme qui partageait ma vie était présent en ce moment. J’avoue avoir envie de le voir là, maintenant toujours remontée par cette injustice sans nom qui commençait à me taper sérieusement sur les nerfs. Je m’arrêtais une seconde pour respirer, pour me calmer. Je n’avais pas l’habitude de ressentir autant de négativité, j’avais donc un mal fou à contrôler mes émotions pour qu’elles ne me submerge pas bêtement. Mais si seulement il n’y avait que cette histoire d’embauche…
Depuis quelques temps maintenant, en dehors du côté professionnel, c’était du côté personnelle qu’il y avait un soucis. Enfin pas d’apparence, car tout semblait aller, mais en réalité ce n’était pas le cas. Kalei s’était murer dans un silence presque religieux depuis plusieurs jours maintenant. S’il n’était pas du genre à être bavard de base, c’était encore pire en ce moment, il était plus taciturne que jamais signe que quelque chose le tracassait, et ce devait être important. J’avais même pu surprendre une de ses conversation qui parlait de justice, je crois que c’était la police mais je n’en était pas certaine et je ne préférais pas commencer à psychoter et m’inquiéter pour pas grand-chose. Après tout s’il y avait quelque chose de grave il m’en aurait parlé pas vrai ? J’essayais tant bien que mal de me persuader de cela, mais je n’en était qu’à moitié convaincu. Cependant, comme à mon habitude j’avais été patiente et compréhensive, préférant le laisser venir vers moi pour m’en parler plutôt que de l’assaillir de question comme s’il passait un interrogatoire, ce n’était pas mon genre. Pour autant, j’avoue commencer à trouver le temps long, et ce mutisme lourd à supporter au quotidien. De plus, en mon fort intérieur je sentais que quelque chose n’allait pas. Je ne pus retenir un nouveau soupire, décidément ce n’était pas la période et rien ne semblait aller en ce moment. J’espérais que ce ne serait qu’une mauvaise période à passé et que les choses allaient vite s’arranger… Si seulement j’avais su...
:copyright:️ Justayne
Il y avait des jours avec et des jours sans, aujourd’hui était un jour sans de toute évidence. Si en temps normal j’étais du genre optimiste et toujours souriante, ne me laissant jamais abattre, je devais admettre qu’en ce nouveau jour d’échec j’étais légèrement.. Énervée. J’avais eu mon diplôme d’architecture très récemment et je cherchais donc une entreprise où m’installer, pas forcément pour toujours mes pour faire mes premières armes. Il s’avéra que ce fut plus compliqué que ce que je ne l’aurait cru. Le milieu de l’architecture était presque exclusivement masculin, le fait d’être une femme était donc déjà en soit un handicape. Et même si j’avais terminé mes études avec des notes excellente et de très bonnes recommandations de mes professeurs, j’essuyais encore et toujours des refus pour être embauchée. Au moins aujourd’hui le recruteur avait eu la gentillesse d’être cache avec moi, on évite d’embaucher une femme, surtout jeune et jolie parce qu’elle va forcément finir par se marier et quitter l’entreprise pour se consacrer à sa famille… Vision complètement archaïque et discriminatoire qui me valu à nouveau de voir une chance d’être embaucher me passer sous le nez. C’est donc en soupirant que je passait la porte de l’appartement où je logeait depuis le début de mes études. J’essayais de me redonner le morale en me disant qu’une entreprise aussi fermée d’esprit ne méritait pas que je m’y intéresse plus que ça. « Kalei ? » Appelais-je en me déshabillant, ne sachant pas si l’homme qui partageait ma vie était présent en ce moment. J’avoue avoir envie de le voir là, maintenant toujours remontée par cette injustice sans nom qui commençait à me taper sérieusement sur les nerfs. Je m’arrêtais une seconde pour respirer, pour me calmer. Je n’avais pas l’habitude de ressentir autant de négativité, j’avais donc un mal fou à contrôler mes émotions pour qu’elles ne me submerge pas bêtement. Mais si seulement il n’y avait que cette histoire d’embauche…
Depuis quelques temps maintenant, en dehors du côté professionnel, c’était du côté personnelle qu’il y avait un soucis. Enfin pas d’apparence, car tout semblait aller, mais en réalité ce n’était pas le cas. Kalei s’était murer dans un silence presque religieux depuis plusieurs jours maintenant. S’il n’était pas du genre à être bavard de base, c’était encore pire en ce moment, il était plus taciturne que jamais signe que quelque chose le tracassait, et ce devait être important. J’avais même pu surprendre une de ses conversation qui parlait de justice, je crois que c’était la police mais je n’en était pas certaine et je ne préférais pas commencer à psychoter et m’inquiéter pour pas grand-chose. Après tout s’il y avait quelque chose de grave il m’en aurait parlé pas vrai ? J’essayais tant bien que mal de me persuader de cela, mais je n’en était qu’à moitié convaincu. Cependant, comme à mon habitude j’avais été patiente et compréhensive, préférant le laisser venir vers moi pour m’en parler plutôt que de l’assaillir de question comme s’il passait un interrogatoire, ce n’était pas mon genre. Pour autant, j’avoue commencer à trouver le temps long, et ce mutisme lourd à supporter au quotidien. De plus, en mon fort intérieur je sentais que quelque chose n’allait pas. Je ne pus retenir un nouveau soupire, décidément ce n’était pas la période et rien ne semblait aller en ce moment. J’espérais que ce ne serait qu’une mauvaise période à passé et que les choses allaient vite s’arranger… Si seulement j’avais su...