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my other half, I like you (ft Soo Jung)
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my other half, I like you (ft Soo Jung) | Mer 30 Sep - 22:36 Citer EditerSupprimer
my other half, I like you
Soo Jung + JiWoong
▼▲▼
@Park Soo JungTenue | Cela fait à peine quelques heures que tu as posé le pied à Séoul et tu n'as qu'une envie retrouver ton meilleur ami, celui qui t'a manqué pendant ces trois années d'infiltration. Tu n'as pas pu aller directement au Why Not. Ce n'est pas l'envie qui t'as manqué, simplement que tu avais un briefing à faire au commissariat. La bas tu as reçu ta nouvelle affection, dont on t'avait déjà parlé. Tu n'es pas resté une minute de plus que nécessaire. Après tout, tu seras encore là-bas demain et tout peut attendre, sauf Soo Jung. Tu n'aurais jamais cru qu'il avait une place si importante dans ton cœur et pourtant c'est le cas, tu as souffert de la distance entre vous ces dernières années. Il est celui qui te comprend le mieux, qui te complète et te ressemble en même temps. Tu as trouvé en lui un ami, surement le seul en qui tu as confiance. Tu avais beau être populaire au lycée, tu as compris que les gens étaient tous des manipulateurs. Tu en es devenu un toi-même en devant flic et en infiltrant les organisations criminelles. Il n'y qu'avec ce petit con qui te sert d'ami que tu peux être toi, un homme foufou, déconneur et insouciant. Enfin les années t'ont fait changer, tout comme Soo Jung, pourtant au fond vous restez encore les adolescents que vous étiez, révolté contre le monde et les règles stupides de cette société.
Quoi qu'il en soit dés que tu as été libre de tes mouvements, tu es retourné chez toi pour prendre une douche, te préparer et direction le Why Not ou tu es sûr de trouver Soo Jung. Certains seraient surement allé voir leur famille, dans ton cas tu n'y as même pas pensé. Ce n'est pas que tu ne les aimes pas, simplement que tes priorités sont ailleurs. Tu es en bon terme avec tes parents, malgré le carcan que tu leurs as fait subir pendant ta jeunesse. Tu as moins de contact avec tes sœurs, mais tu sais qu'elles suivent leurs études. Tu n'es pas du style à être tendu au téléphone, pour toi : pas de nouvelles, bonnes nouvelles. Il en va de même pour Soo Jung, tu ne lui as pas reparlé depuis trois ans, pourtant ton affection pour lui n'a pas diminué. Tu étais juste trop occupé et un appel comme ça aurait pu te couter ta couverture et donc la vie.
Aujourd'hui tout ça est derrière toi et tu comptes bien rattraper le temps perdu. En arrivant au Why Not, habillé comme un prince, tu as payé ton entrée. Tu ne veux pas te faire remarquer, pas tout de suite et pas devant la foule. Tu assumes entièrement ta sexualité, par contre vu ta prochaine mission, il ne faut pas que tu affiches les couleurs de la police partout. Tu as beau être dans ta ville natale, tu vas devoir redoubler d'efforts pour dissimuler ton identité. Une fois à l'intérieur, tu te diriges vers la maison close. En effet tu es au courant des activités illégales de ton meilleur ami et pour cause tu le soutiens à deux cents pour cents. C'est vrai tu es flic, c'est d'ailleurs pour ça que tu luttes contre les injustices de ce monde et la ségrégation des minorités en fait partie. Tu as toujours milité activement pour le mouvement, aujourd'hui ta maigre contribution est de fermer les yeux sur le double jeu de la boite de nuit.
Dans les couloirs de la MC, tu te sens chez toi. L'odeur de sexe et de sueur ne te dérange pas, c'est d'ailleurs quelque chose qui t'a presque manqué. Tu parcours les lieux des yeux, refusant en silence les partenaires qui se présentent à toi. Tu n'es pas là pour ça, enfin pas pour eux. La seule personne que tu veux voir c'est Soo Jung et visiblement le loup n'est pas dans la bergerie. Tu trouves donc un type de sécurité. Discrètement tu lui indiques ta plaque de flic, ajoutant que tu as besoin de voir le patron. Tu sais que cette carte va faire sortir le lapin du terrier. Tu n'as pas donné ton nom, juste pour jouer avec les nerfs de ton meilleur ami. Bien entendu son homme de main t'emmène dans son bureau et t'enferme à double tour. Tu en ris tout en prenant tes aises. Cela fait trois ans et même si les choses ont changé, tu connais assez Soo Jung pour savoir où il met ses meilleures bouteilles. Une fois deux verres sortis et un servi pour toi, tu t'es permis de t'installer confortablement dans le canapé, à demi allongé, les pieds sur la table basse, le regard tourné vers la porte, tu n'attends plus que lui en sirotant un bon whisky. Tu soupires de bonheur, le retour aux sources te fait réellement du bien. Après toutes les horreurs que tu as vu et faites, cela te fait bizarre de remettre les pieds ici. Tu n'es plus le même, quelque chose s'est brisé en toi, pourtant l'ambiance de ce bureau panse tes blessures et tu sais que lorsque Soo Jung entrera tu oublieras tout.
Quoi qu'il en soit dés que tu as été libre de tes mouvements, tu es retourné chez toi pour prendre une douche, te préparer et direction le Why Not ou tu es sûr de trouver Soo Jung. Certains seraient surement allé voir leur famille, dans ton cas tu n'y as même pas pensé. Ce n'est pas que tu ne les aimes pas, simplement que tes priorités sont ailleurs. Tu es en bon terme avec tes parents, malgré le carcan que tu leurs as fait subir pendant ta jeunesse. Tu as moins de contact avec tes sœurs, mais tu sais qu'elles suivent leurs études. Tu n'es pas du style à être tendu au téléphone, pour toi : pas de nouvelles, bonnes nouvelles. Il en va de même pour Soo Jung, tu ne lui as pas reparlé depuis trois ans, pourtant ton affection pour lui n'a pas diminué. Tu étais juste trop occupé et un appel comme ça aurait pu te couter ta couverture et donc la vie.
Aujourd'hui tout ça est derrière toi et tu comptes bien rattraper le temps perdu. En arrivant au Why Not, habillé comme un prince, tu as payé ton entrée. Tu ne veux pas te faire remarquer, pas tout de suite et pas devant la foule. Tu assumes entièrement ta sexualité, par contre vu ta prochaine mission, il ne faut pas que tu affiches les couleurs de la police partout. Tu as beau être dans ta ville natale, tu vas devoir redoubler d'efforts pour dissimuler ton identité. Une fois à l'intérieur, tu te diriges vers la maison close. En effet tu es au courant des activités illégales de ton meilleur ami et pour cause tu le soutiens à deux cents pour cents. C'est vrai tu es flic, c'est d'ailleurs pour ça que tu luttes contre les injustices de ce monde et la ségrégation des minorités en fait partie. Tu as toujours milité activement pour le mouvement, aujourd'hui ta maigre contribution est de fermer les yeux sur le double jeu de la boite de nuit.
Dans les couloirs de la MC, tu te sens chez toi. L'odeur de sexe et de sueur ne te dérange pas, c'est d'ailleurs quelque chose qui t'a presque manqué. Tu parcours les lieux des yeux, refusant en silence les partenaires qui se présentent à toi. Tu n'es pas là pour ça, enfin pas pour eux. La seule personne que tu veux voir c'est Soo Jung et visiblement le loup n'est pas dans la bergerie. Tu trouves donc un type de sécurité. Discrètement tu lui indiques ta plaque de flic, ajoutant que tu as besoin de voir le patron. Tu sais que cette carte va faire sortir le lapin du terrier. Tu n'as pas donné ton nom, juste pour jouer avec les nerfs de ton meilleur ami. Bien entendu son homme de main t'emmène dans son bureau et t'enferme à double tour. Tu en ris tout en prenant tes aises. Cela fait trois ans et même si les choses ont changé, tu connais assez Soo Jung pour savoir où il met ses meilleures bouteilles. Une fois deux verres sortis et un servi pour toi, tu t'es permis de t'installer confortablement dans le canapé, à demi allongé, les pieds sur la table basse, le regard tourné vers la porte, tu n'attends plus que lui en sirotant un bon whisky. Tu soupires de bonheur, le retour aux sources te fait réellement du bien. Après toutes les horreurs que tu as vu et faites, cela te fait bizarre de remettre les pieds ici. Tu n'es plus le même, quelque chose s'est brisé en toi, pourtant l'ambiance de ce bureau panse tes blessures et tu sais que lorsque Soo Jung entrera tu oublieras tout.
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Re: my other half, I like you (ft Soo Jung) | Dim 4 Oct - 21:51 Citer EditerSupprimer
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@Suh Ji WoongTenue | Un sourire crispé s'afficha sur mon visage. Je reculais et reculais encore jusqu'à ne plus trouver d'échappatoire possible : le mur derrière moi m'empêchait désormais de bouger. Malgré la distance, je sentais son haleine fétide pénétrer mes narines et sa main toucher mon torse. Je remettais en place les pans de ma veste pailletée pour dégager sa main d'une manière totalement innocente et courtoise, ma tête tournant légèrement de côté pour trouver un peu d'air pur. Ce qui n'était pas un luxe.
« Cela fait longtemps que l'on ne s'est pas amusé tous les deux… »
J'adorais mon boulot mais il y avait des soirs où ce n'était pas facile d'être le meilleur coup de la ville réclamé par ses clients. Me taper les idols et acteurs ne me posait pas de problème mais les hommes politiques à l'hygiène douteuse comme celui que j'avais en face de moi, c'était une torture quand je devais passer des moments intimes avec eux. Une queue est une queue me direz-vous. Mais il y en a certaines qu'on préfère mieux s'enfourner que d'autres. Et celle du député Lee Jin Soo était loin de faire partie de mes préférées.
« C'est vrai, ça fait longtemps… ! » lui répondis-je avec le même sourire forcé collé depuis le début de notre rencontre fortuite dans le couloir. « Mais malheureusement, ça ne va pas être possible encore ce soir… » Il fit une mine triste qui révéla un triple menton qui me faisait penser aux bourrelets du SharPeï de mes parents. « Quel dommage… Moi qui comptais passer une nuit exceptionnelle… et y mettre le prix… » Aaah la technique des quelques billets en plus. Il y a encore deux ans, je n'aurais pas résisté à l'appât du gain mais c'était une chose révolue maintenant que le Why Not me rapportait beaucoup de fric. J'allais gentiment l'orienter vers l'un des hosts de la MC, ça allait lui faire un bon pourboire et me débarrasser au passage de cette sangsue à l'haleine pestilentielle. J'allais ouvrir la bouche lorsque je vis arriver du bout du couloir l'un de mes employés de l'équipe de sécurité. Il doubla son allure quand il croisa mon regard. Ca ne sentait jamais bon lorsqu'on me cherchait comme ça. « Le devoir m'appelle. » dis-je à mon invité en lui offrant une tape sur l'épaule. « Profitez du salon privé n°5, je vous fais parvenir notre meilleure bouteille de champagne et quelqu'un pour s'occuper de vous. » Au moins je venais de me débarrasser d'un problème mais je sentais qu'un autre allait poindre le bout de son nez…
« Boss… On a un souci…. » L'employé de la sécurité venait de me murmurer ça à l'oreille et je commençais déjà à longer le couloir avec mes grandes jambes vers l'endroit d'où il était venu. « Quel genre de souci ? » Il courait presque à côté de moi pour suivre ma cadence. « C'est la police… » Je me stoppais net. Fermant les paupières, je me frottais la tempe en espérant que ce n'était pas ce que je pensais et que la police était simplement intervenue pour une bagarre devant la boîte de nuit. « Quoi la police ? Va droit au but. » Je n'avais toujours pas rouvert les yeux et je sentais que je perdais patience. Pourquoi les gens aimaient-ils tant tourner toujours autour du pot ? « Un homme est venu me trouver et il m'a montré sa plaque. Il a demandé à vous voir. Alors je l'ai amené jusqu'à votre bureau, je l'ai enfermé dedans et je suis venu vous chercher… » Oh bon sang, j'allais vraiment finir par tuer quelqu'un ici. Pas un employé pour rattraper l'autre. « Tu as quoi… ? Tu as enfermé un flic dans mon bureau ? » Je rouvrais lentement les paupières pour plonger mon regard noir dans celui qui me faisait face. Il comprit de suite qu'il venait de faire une connerie et que j'allais sûrement plonger son corps dans de l'acide. « Imbécile… ! » Sans un regard de plus, je reprenais la direction de mon bureau. Un flic dans ma maison close. J'avais senti que les problèmes allaient arriver ce soir mais je ne pensais pas qu'il serait aussi énorme à gérer. Ce que je craignais le plus depuis quatre ans était en train de se passer… Mon activité illégale venait de se faire débusquer et j'allais être dans de beaux draps. Retour à la case prison sans aucun doute… Les juges allaient se faire un plaisir de me mettre au trou et je voyais déjà les titres de la presse à scandale qui allaient révéler les noms des clients de la MC. J'étais en sueur mais il y en a qui ne savait pas encore ce qui allait les attendre et il risquait d'être plus dans la merde que moi.
Je jetais un regard autour de moi. Tout ce pour quoi je m'étais battu depuis des années allait disparaître en une soirée. J'aurais pu m'enfuir à l'instant même, prendre le premier vol pour la destination la plus lointaine mais depuis toujours, j'étais un homme qui se battait pour ses convictions. J'allais faire face à tout ça et commencer par me confronter à ce flic que l'autre andouille avait enfermé dans mon bureau… Enfermer un représentant des forces de l'ordre à double tour… Si ça n'allait pas alourdir ma peine, j'allais être un sacré veinard.
Arrivé devant mon bureau, je réajustais ma veste et pris une profonde inspiration. Tournant la clef dans la serrure, j'actionnais la poignée et pénétrais dans les lieux, le torse en avant, la tête relevée. L'air fier. J'étais un homme qui n'avait pas peur des conséquences même si ça me faisait affreusement chier de me dire que le Why Not, c'était terminé.
La porte grande ouverte, je me stoppais tout à coup, mon regard tombant sur une silhouette que je ne connaissais que trop bien. Mes mains, mes yeux, mes lèvres, tous connaissaient par cœur cet homme au physique parfait qui était à moitié avachi dans mon cher canapé Chesterfield.
Ma langue passa lentement sur ma lèvre inférieure, un sourire, un vrai cette fois-ci, commençant à éclairer mon visage. Je refermais la porte derrière moi et enclenchais la sécurité. Finalement, c'était plutôt une bonne idée d'avoir un flic enfermé dans mon bureau.
« Petit con… Tu viens de me donner la frayeur de ma vie… » J'avais dit ça d'une voix basse, ayant encore du mal à croire que Woo Sung était en face de moi, en chair et en os. Le sourire sur mon visage s'élargit et je sautillais sur place, comme un gamin à qui l'on venait d'offrir le plus merveilleux des cadeaux. (gif de la scène) Un cri de joie s'échappa même de mes lèvres alors que je bondissais vers lui, pressé de pouvoir le toucher et m'assurer que je ne rêvais pas. « Yaaaaaa Ki Woo Sung !! J'ai cru que tu m'avais oublié ! » Cela faisait des mois, des années…. Tellement de temps que j'avais oublié de compter exactement combien ça faisait. Mon cerveau hyperactif s'imaginait déjà toutes les soirées qu'on allait devoir rattraper, toutes les nuits aussi. « Regarde moi ça le beau gosse que tu es… » Je le sifflais même tout en faisant jouer mes mains sur sa veste et mes doigts connaisseurs sentaient la perfection qui se cachait en dessous. Il était encore plus canon que dans mes souvenirs et les souvenirs, voyez-vous, il fallait parfois les dépoussiérer un peu. Ce n'était pas l'envie qui me manquait de lui arracher les boutons de sa chemise mais j'allais faire durer le plaisir. Une chose après l'autre. « C'est pour moi que tu t'es fait si beau Don Juan ? » Sourire aguicheur et clin d'œil appuyé, j'ouvrais les pans de sa veste pour admirer la superbe chemise en dessous et les formes de son torse musclé. Je relevais la tête pour croiser son regard. Rien que de voir sa tête de clown me redonnait le moral, comme si sa simple présence chassait tous les nuages qui s'étaient accumulés au dessus de ma tête depuis son absence. Mon meilleur ami était de retour et c'était sûrement la meilleure nouvelle de l'année. « Vous êtes peut-être venu pour m'arrêter Mr l'Agent ? » Je lui montrais mes poignets, prêts à être menottés. « Promis, je n'opposerai aucune résistance…! » ajoutais-je avec une voix de midinette. Je partis dans un rire avant de me laisser tomber dans le canapé. Un verre de whisky m'attendait sur la table basse et je l'attrapais, attendant que WooWoo me rejoigne pour faire trinquer nos verres. A nous. A notre amitié. A nos délires qui allaient reprendre de plus belle. Il m'avait manqué mais je n'avais pas besoin de le lui dire. Je voyais déjà dans ses yeux que c'était la même chose pour lui…
« Cela fait longtemps que l'on ne s'est pas amusé tous les deux… »
J'adorais mon boulot mais il y avait des soirs où ce n'était pas facile d'être le meilleur coup de la ville réclamé par ses clients. Me taper les idols et acteurs ne me posait pas de problème mais les hommes politiques à l'hygiène douteuse comme celui que j'avais en face de moi, c'était une torture quand je devais passer des moments intimes avec eux. Une queue est une queue me direz-vous. Mais il y en a certaines qu'on préfère mieux s'enfourner que d'autres. Et celle du député Lee Jin Soo était loin de faire partie de mes préférées.
« C'est vrai, ça fait longtemps… ! » lui répondis-je avec le même sourire forcé collé depuis le début de notre rencontre fortuite dans le couloir. « Mais malheureusement, ça ne va pas être possible encore ce soir… » Il fit une mine triste qui révéla un triple menton qui me faisait penser aux bourrelets du SharPeï de mes parents. « Quel dommage… Moi qui comptais passer une nuit exceptionnelle… et y mettre le prix… » Aaah la technique des quelques billets en plus. Il y a encore deux ans, je n'aurais pas résisté à l'appât du gain mais c'était une chose révolue maintenant que le Why Not me rapportait beaucoup de fric. J'allais gentiment l'orienter vers l'un des hosts de la MC, ça allait lui faire un bon pourboire et me débarrasser au passage de cette sangsue à l'haleine pestilentielle. J'allais ouvrir la bouche lorsque je vis arriver du bout du couloir l'un de mes employés de l'équipe de sécurité. Il doubla son allure quand il croisa mon regard. Ca ne sentait jamais bon lorsqu'on me cherchait comme ça. « Le devoir m'appelle. » dis-je à mon invité en lui offrant une tape sur l'épaule. « Profitez du salon privé n°5, je vous fais parvenir notre meilleure bouteille de champagne et quelqu'un pour s'occuper de vous. » Au moins je venais de me débarrasser d'un problème mais je sentais qu'un autre allait poindre le bout de son nez…
« Boss… On a un souci…. » L'employé de la sécurité venait de me murmurer ça à l'oreille et je commençais déjà à longer le couloir avec mes grandes jambes vers l'endroit d'où il était venu. « Quel genre de souci ? » Il courait presque à côté de moi pour suivre ma cadence. « C'est la police… » Je me stoppais net. Fermant les paupières, je me frottais la tempe en espérant que ce n'était pas ce que je pensais et que la police était simplement intervenue pour une bagarre devant la boîte de nuit. « Quoi la police ? Va droit au but. » Je n'avais toujours pas rouvert les yeux et je sentais que je perdais patience. Pourquoi les gens aimaient-ils tant tourner toujours autour du pot ? « Un homme est venu me trouver et il m'a montré sa plaque. Il a demandé à vous voir. Alors je l'ai amené jusqu'à votre bureau, je l'ai enfermé dedans et je suis venu vous chercher… » Oh bon sang, j'allais vraiment finir par tuer quelqu'un ici. Pas un employé pour rattraper l'autre. « Tu as quoi… ? Tu as enfermé un flic dans mon bureau ? » Je rouvrais lentement les paupières pour plonger mon regard noir dans celui qui me faisait face. Il comprit de suite qu'il venait de faire une connerie et que j'allais sûrement plonger son corps dans de l'acide. « Imbécile… ! » Sans un regard de plus, je reprenais la direction de mon bureau. Un flic dans ma maison close. J'avais senti que les problèmes allaient arriver ce soir mais je ne pensais pas qu'il serait aussi énorme à gérer. Ce que je craignais le plus depuis quatre ans était en train de se passer… Mon activité illégale venait de se faire débusquer et j'allais être dans de beaux draps. Retour à la case prison sans aucun doute… Les juges allaient se faire un plaisir de me mettre au trou et je voyais déjà les titres de la presse à scandale qui allaient révéler les noms des clients de la MC. J'étais en sueur mais il y en a qui ne savait pas encore ce qui allait les attendre et il risquait d'être plus dans la merde que moi.
Je jetais un regard autour de moi. Tout ce pour quoi je m'étais battu depuis des années allait disparaître en une soirée. J'aurais pu m'enfuir à l'instant même, prendre le premier vol pour la destination la plus lointaine mais depuis toujours, j'étais un homme qui se battait pour ses convictions. J'allais faire face à tout ça et commencer par me confronter à ce flic que l'autre andouille avait enfermé dans mon bureau… Enfermer un représentant des forces de l'ordre à double tour… Si ça n'allait pas alourdir ma peine, j'allais être un sacré veinard.
Arrivé devant mon bureau, je réajustais ma veste et pris une profonde inspiration. Tournant la clef dans la serrure, j'actionnais la poignée et pénétrais dans les lieux, le torse en avant, la tête relevée. L'air fier. J'étais un homme qui n'avait pas peur des conséquences même si ça me faisait affreusement chier de me dire que le Why Not, c'était terminé.
La porte grande ouverte, je me stoppais tout à coup, mon regard tombant sur une silhouette que je ne connaissais que trop bien. Mes mains, mes yeux, mes lèvres, tous connaissaient par cœur cet homme au physique parfait qui était à moitié avachi dans mon cher canapé Chesterfield.
Ma langue passa lentement sur ma lèvre inférieure, un sourire, un vrai cette fois-ci, commençant à éclairer mon visage. Je refermais la porte derrière moi et enclenchais la sécurité. Finalement, c'était plutôt une bonne idée d'avoir un flic enfermé dans mon bureau.
« Petit con… Tu viens de me donner la frayeur de ma vie… » J'avais dit ça d'une voix basse, ayant encore du mal à croire que Woo Sung était en face de moi, en chair et en os. Le sourire sur mon visage s'élargit et je sautillais sur place, comme un gamin à qui l'on venait d'offrir le plus merveilleux des cadeaux. (gif de la scène) Un cri de joie s'échappa même de mes lèvres alors que je bondissais vers lui, pressé de pouvoir le toucher et m'assurer que je ne rêvais pas. « Yaaaaaa Ki Woo Sung !! J'ai cru que tu m'avais oublié ! » Cela faisait des mois, des années…. Tellement de temps que j'avais oublié de compter exactement combien ça faisait. Mon cerveau hyperactif s'imaginait déjà toutes les soirées qu'on allait devoir rattraper, toutes les nuits aussi. « Regarde moi ça le beau gosse que tu es… » Je le sifflais même tout en faisant jouer mes mains sur sa veste et mes doigts connaisseurs sentaient la perfection qui se cachait en dessous. Il était encore plus canon que dans mes souvenirs et les souvenirs, voyez-vous, il fallait parfois les dépoussiérer un peu. Ce n'était pas l'envie qui me manquait de lui arracher les boutons de sa chemise mais j'allais faire durer le plaisir. Une chose après l'autre. « C'est pour moi que tu t'es fait si beau Don Juan ? » Sourire aguicheur et clin d'œil appuyé, j'ouvrais les pans de sa veste pour admirer la superbe chemise en dessous et les formes de son torse musclé. Je relevais la tête pour croiser son regard. Rien que de voir sa tête de clown me redonnait le moral, comme si sa simple présence chassait tous les nuages qui s'étaient accumulés au dessus de ma tête depuis son absence. Mon meilleur ami était de retour et c'était sûrement la meilleure nouvelle de l'année. « Vous êtes peut-être venu pour m'arrêter Mr l'Agent ? » Je lui montrais mes poignets, prêts à être menottés. « Promis, je n'opposerai aucune résistance…! » ajoutais-je avec une voix de midinette. Je partis dans un rire avant de me laisser tomber dans le canapé. Un verre de whisky m'attendait sur la table basse et je l'attrapais, attendant que WooWoo me rejoigne pour faire trinquer nos verres. A nous. A notre amitié. A nos délires qui allaient reprendre de plus belle. Il m'avait manqué mais je n'avais pas besoin de le lui dire. Je voyais déjà dans ses yeux que c'était la même chose pour lui…
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Re: my other half, I like you (ft Soo Jung) | Dim 4 Oct - 22:35 Citer EditerSupprimer
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@Park Soo JungTenue | A demi allongé sur ce canapé, ou tu as de bons souvenirs, tu te permets de te détendre. Il n'y a qu'entre ces murs ou tu peux te permettre d'être toi à présent. Si plus jeune, tu n'avais que faire du regard des autres, maintenant que tu es flic tes responsabilités sont différentes. Séoul est ta ville natale, un pur produit de la capitale et pourtant tu vas devoir arpenter les rues comme un étranger. Le travail d'infiltration est délicat et demande un doigté particulier, heureusement tu es maitre en matière. Il a bien fallu que tu t'adaptes lorsque tes supérieurs t'ont jeté aux loups. Aujourd'hui tu n'es plus le même qu'il y a trois ans et tes nuits sont remplies de cauchemars. Tu as vécu la peur au ventre, d'être découvert, découper en morceau et éparpiller en mer. Ce mode de vie et ce stress t'ont changé, cependant à cet instant, tu te sens à l'abri. C'est l'effet du Why Not mais surtout de Soo Jung. Tu as toujours soutenu ton meilleur ami dans son projet. Aujourd'hui tu vois qu'il a réussi à créer un petit paradis, loin du jugement de la société et des mœurs stupides des vieilles traditions. Qui aurait cru qu'il s'en sorte sans toi ? Tu te souviens de l'époque où vous étiez inséparable, comme les cinq doigts de la main, toujours sur la même longueur d'onde, toujours avec les mêmes idées farfelues et cette envie de dévorer le monde. Cette séparation forcée a été dure à vivre, heureusement que tu n'avais pas le temps de penser à lui.
Alors maintenant que tu es assis là, savourant ton petit numéro, tu te sens bien, entier, complet et à ta place, au côté de celui qui te connait le mieux. Le bruit de la serrure te sort de tes pensées et tu te redresses légèrement, juste assez pour lui offrir une vue attrayante. Dès que tu le vois, un fin sourire s'accroche à tes lèvres, comme jouissant de la frayeur que tu as du lui faire, car tu sais ce qu'il a dû penser, il te connait par cœur et l'inverse est vrai aussi. Tu n'es pas peu fier de ta petite blague et de sa réaction, qu'il avoue dans un murmure sexy. Oui cet homme est le dieu de la luxure. Tout son être dégage une attraction magnétique qui envouterait même le plus hétéro des mecs. En voyant sa langue sortir, tu te mords la lèvre, une lueur d'envie au fond des yeux. Il t'a terriblement manqué, mais tu te retiens de lui sauter dessus.
« C'était pour savoir si tu en avais toujours autant dans le pantalon. Visiblement c'est le cas. »
Tu arches un sourcil amusé, laissant ton regard le détailler. Lorsqu'il se met à sautiller tel un enfant, tu te mets à rire en ouvrant les bras pour le réceptionner. A sa réflexion, tu mimes d'être offensé une seconde.
« Ah Park Soo Jung, comment j'aurais pu t'oublier !!! Tu m'as manqué petit merdeux ! »
Tu lui ébouriffes vivement les cheveux avant de laisser ta main descendre sur sa nuque sensuellement puis vers son cou pour le caresser du pouce en affichant un sourire sincère et ravi. Lorsqu'il te dit que tu as changé, tu hausses les deux sourcils en même temps avec un sourire malin et provocateur. En effet tu as pris en carrure et en muscle, comme lui. Ta main effleurait sa joue alors que tu répliques un franc sourire toujours accroché sur son visage.
« Toi aussi tu t'es bonifié, comme un bon vin. Un 92 je dirais, hum....je me demande s'il ne te faut pas attendre encore un peu avant de te consommer...»
Tu pouffes de rire avant de lâcher un grognement lancinant en sentant ses mains parcourir ton torse. Décidément cet homme t'a manqué, personne ne pourrait comprendre votre relation. Tu l'aimes d'un amour particulier, de tout ton cœur et pourtant vous n'êtes pas en couple comme l'entend la plupart des gens. Vos âmes sont trop libres pour s'enchainer à quelqu'un, pourtant le lien qui vous unit est indescriptible, comme deux gamins complices, complémentaires et similaires. Il est clair que Soo jung à une place particulière dans ton cœur, celle de meilleur ami, de confident et de partenaire particulier. Il est un peu le frère que tu n'as jamais eu, avec l'avantage que tu peux t'envoyer en l'air avec lui. Tu lâches un soupire presque vexé en lui répondant.
« Pff, je suis toujours beau et sexy ! Qu'est-ce que tu as l'air de dire ? » Tu plonges un regard sérieux dans le sien avant de rire. « Ok t'as gagné, je voulais marquer le coup. »
Lorsqu'il te tend ses poignets, tu ricanes en te mordant le coin de la lèvre inférieure. Tu passes tes jambes sans mal derrière lui pour le coincer et le faire tomber sur toi. Dans cette position, tu t'approches dangereusement de lui, laissant tes lèvres à quelques centimètres des siennes. Tu ne comptes pas l'embrasser, car tu n'embrasses pas facilement lui non plus d'ailleurs. Pourtant tu adores jouer de ce fait et laisser planer le doute et l'inquiétude.
« Ne me tente pas...»
Tes lèvres se déplacent vers son oreille pour lui murmurer.
« Tu sais que j'ai ce qu'il faut...»
Tu te recules, le libérant de ton emprise, puis tu pouffes de rire en dansant comme si tu lui tirais dessus. En effet tu es toujours armé avec une paire de menottes sur toi et il le sait. Tu le laisses prendre son verre et tu t'assoies correctement, enfin autant que possible. Tu replies une jambe sous tes fesses, comme un enfant, avant de venir trinquer. Après une gorgée tu poses ton verre et tu plonges ton regard dans le sien.
« Alors qu'est-ce que tu deviens ? Toujours a virevolter à droite à gauche ? Raconte-moi tout.»
Tu t'es à nouveau avachis sur le canapé sans gêne, impatient d'écouter son récit, de boire ses paroles et d'apprendre tout ce qu'il a vécu pendant que tu n'étais pas là. Il vous faudra surement plus qu'une nuit pour rattraper le temps perdu, pourtant il faut bien commencer quelque part. Tu sais qu'il ne te parlera pas de ses problèmes, car comme toi à cet instant ces derniers sont loin. La joie de le retrouver à balayer tous tes soucis, il ne reste que l'allégresse de ces retrouvailles, tu as presque l'impression que cela ressemble au bonheur. Le plaisir intense de retrouver enfin ton meilleur ami et cela fait briller tes yeux d'une lueur de félicité
Alors maintenant que tu es assis là, savourant ton petit numéro, tu te sens bien, entier, complet et à ta place, au côté de celui qui te connait le mieux. Le bruit de la serrure te sort de tes pensées et tu te redresses légèrement, juste assez pour lui offrir une vue attrayante. Dès que tu le vois, un fin sourire s'accroche à tes lèvres, comme jouissant de la frayeur que tu as du lui faire, car tu sais ce qu'il a dû penser, il te connait par cœur et l'inverse est vrai aussi. Tu n'es pas peu fier de ta petite blague et de sa réaction, qu'il avoue dans un murmure sexy. Oui cet homme est le dieu de la luxure. Tout son être dégage une attraction magnétique qui envouterait même le plus hétéro des mecs. En voyant sa langue sortir, tu te mords la lèvre, une lueur d'envie au fond des yeux. Il t'a terriblement manqué, mais tu te retiens de lui sauter dessus.
« C'était pour savoir si tu en avais toujours autant dans le pantalon. Visiblement c'est le cas. »
Tu arches un sourcil amusé, laissant ton regard le détailler. Lorsqu'il se met à sautiller tel un enfant, tu te mets à rire en ouvrant les bras pour le réceptionner. A sa réflexion, tu mimes d'être offensé une seconde.
« Ah Park Soo Jung, comment j'aurais pu t'oublier !!! Tu m'as manqué petit merdeux ! »
Tu lui ébouriffes vivement les cheveux avant de laisser ta main descendre sur sa nuque sensuellement puis vers son cou pour le caresser du pouce en affichant un sourire sincère et ravi. Lorsqu'il te dit que tu as changé, tu hausses les deux sourcils en même temps avec un sourire malin et provocateur. En effet tu as pris en carrure et en muscle, comme lui. Ta main effleurait sa joue alors que tu répliques un franc sourire toujours accroché sur son visage.
« Toi aussi tu t'es bonifié, comme un bon vin. Un 92 je dirais, hum....je me demande s'il ne te faut pas attendre encore un peu avant de te consommer...»
Tu pouffes de rire avant de lâcher un grognement lancinant en sentant ses mains parcourir ton torse. Décidément cet homme t'a manqué, personne ne pourrait comprendre votre relation. Tu l'aimes d'un amour particulier, de tout ton cœur et pourtant vous n'êtes pas en couple comme l'entend la plupart des gens. Vos âmes sont trop libres pour s'enchainer à quelqu'un, pourtant le lien qui vous unit est indescriptible, comme deux gamins complices, complémentaires et similaires. Il est clair que Soo jung à une place particulière dans ton cœur, celle de meilleur ami, de confident et de partenaire particulier. Il est un peu le frère que tu n'as jamais eu, avec l'avantage que tu peux t'envoyer en l'air avec lui. Tu lâches un soupire presque vexé en lui répondant.
« Pff, je suis toujours beau et sexy ! Qu'est-ce que tu as l'air de dire ? » Tu plonges un regard sérieux dans le sien avant de rire. « Ok t'as gagné, je voulais marquer le coup. »
Lorsqu'il te tend ses poignets, tu ricanes en te mordant le coin de la lèvre inférieure. Tu passes tes jambes sans mal derrière lui pour le coincer et le faire tomber sur toi. Dans cette position, tu t'approches dangereusement de lui, laissant tes lèvres à quelques centimètres des siennes. Tu ne comptes pas l'embrasser, car tu n'embrasses pas facilement lui non plus d'ailleurs. Pourtant tu adores jouer de ce fait et laisser planer le doute et l'inquiétude.
« Ne me tente pas...»
Tes lèvres se déplacent vers son oreille pour lui murmurer.
« Tu sais que j'ai ce qu'il faut...»
Tu te recules, le libérant de ton emprise, puis tu pouffes de rire en dansant comme si tu lui tirais dessus. En effet tu es toujours armé avec une paire de menottes sur toi et il le sait. Tu le laisses prendre son verre et tu t'assoies correctement, enfin autant que possible. Tu replies une jambe sous tes fesses, comme un enfant, avant de venir trinquer. Après une gorgée tu poses ton verre et tu plonges ton regard dans le sien.
« Alors qu'est-ce que tu deviens ? Toujours a virevolter à droite à gauche ? Raconte-moi tout.»
Tu t'es à nouveau avachis sur le canapé sans gêne, impatient d'écouter son récit, de boire ses paroles et d'apprendre tout ce qu'il a vécu pendant que tu n'étais pas là. Il vous faudra surement plus qu'une nuit pour rattraper le temps perdu, pourtant il faut bien commencer quelque part. Tu sais qu'il ne te parlera pas de ses problèmes, car comme toi à cet instant ces derniers sont loin. La joie de le retrouver à balayer tous tes soucis, il ne reste que l'allégresse de ces retrouvailles, tu as presque l'impression que cela ressemble au bonheur. Le plaisir intense de retrouver enfin ton meilleur ami et cela fait briller tes yeux d'une lueur de félicité
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Re: my other half, I like you (ft Soo Jung) | Mar 6 Oct - 22:14 Citer EditerSupprimer
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@Suh Ji WoongTenue | C'était comme si un poids venait de s'envoler. Le deuxième depuis quelques semaines. J'avais du mal à réaliser le bonheur qui me submergeait. Woo Sung de retour dans ma vie. Je pensais m'y être préparé mais ce qui était en train de se passer dans mon cœur était loin de ce que je m'étais maintes et maintes fois imaginé. C'était une centaine de fois plus fort, plus intense. Il m'avait manqué.
Personne ne pouvait prétendre à prendre sa place dans ma vie. Il y a des gens qui arrivent à avoir plusieurs meilleurs amis mais pour moi il ne pouvait y en avoir qu'un, et c'était lui. Woo Sung. Il m'avait vu dans mes moments les plus sombres et il a été celui sur lequel j'ai pu compter, celui qui m'a aidé à me relever. J'étais devenu l'homme que j'étais grâce à lui. Et je ne l'avais jamais remercié pour tout ça. Mais il savait. Je lui étais redevable de tellement de choses. Je n'avais sûrement fait pour lui qu'un dixième de ce qu'il avait fait pour moi. Mais Woo Sung n'était pas du genre à exiger quoi que ce soit en retour. Et c'était comme ça qu'on reconnaissait un véritable ami.
J'avais besoin de lui à mes côtés, il était ma bulle d'air, ce pilier sur lequel m'appuyer, l'épaule réconfortante qui écoutait mes peines. Ces trois dernières années, ça avait été une sorte de parenthèse, une pause dans ma vie où j'ai dû continuer sans lui. Et bilan de ces quelques années : la vie n'avait pas la même saveur quand Woo Sung n'en faisait pas partie. J'étais tellement heureux qu'il soit là face à moi… Que je puisse redevenir moi-même. J'aimais cette image du boss qui me collait à la peau mais c'était un rôle que je m'étais créé. Le Soo Jung du boulot était loin d'être le Soo Jung de la vraie vie. Et ça faisait bien longtemps que je n'avais pas pu être moi-même. Woo Sung était sûrement le seul à me connaître ainsi, à connaître cette facette du Soo Jung insouciant qui aimait rire pour tout et n'importe quoi et profiter du moment présent.
Il était de retour et pour moi ça sonnait comme le début de la récréation. A la porte les problèmes de toutes sortes, j'allais pouvoir oublier le temps de sa présence entre mes murs.
Je n'avais pas tardé à me rapprocher et le toucher. Oui, c'était pour m'assurer que je n'hallucinais pas et qu'il était bien là mais c'était aussi pour toucher à nouveau ce corps qui m'avait fait vibrer de très nombreuses fois. Il avait dû en faire tourner des têtes et retourner des culs à l'école de police. Dire que cela faisait trois ans que je n'avais pas pu goûter à tout ça. Je pouffais de rire en même temps que lui à sa remarque. On avait mûri tous les deux, sûrement comme un bon vin, comme il venait de le souligner. Le temps avait fait son travail et nous étions encore plus sexy que lorsque nous nous étions quittés. Woo Sung se demandait s'il ne fallait pas attendre un peu avant de me consommer et je riais intérieurement à cette remarque. Il ne savait pas à quel point moi j'étais en train de me retenir pour ne pas lui sauter dessus. Il avait suffit simplement que mes mains touchent son torse pour embraser cette flamme qui ne s'était jamais éteinte. J'aimais les efforts qu'il avait faits juste parce qu'il savait qu'il allait me voir. Il avait sorti le grand jeu, habillé sur son 31, un parfum envoûtant entourant sa personne. Il fallait que j'arrive à contrôler mes pulsions, je ne pouvais tout de même pas lui sauter dessus sans lui avoir même demandé comment il allait et comment s'étaient passées ces années loin de moi. Je ne connaissais rien de mieux que l'humour pour détourner mes pensées lubriques alors je minaudais devant lui, voulant me faire arrêter par le méchant agent de police qu'il était. Chose que j'allais sûrement un jour lui demander de jouer au lit. Maintenant qu'il avait des menottes, il allait être obligé de me les faire tester.
Je m'amusais, mais je ne m'étais pas attendu à me retrouver tout à coup au dessus de lui et de ses yeux noisette. Woo Sung avait toujours ce charme incendiaire et ce regard de braise. Il ne fallait pas qu'il m'allume de trop, il ne savait pas à quel point j'étais en train de me retenir pour ne pas lui arracher ses fringues, surtout que ça faisait longtemps que ce canapé n'avait pas connu nos étreintes endiablées. Coincé contre son corps, je voyais sa tête se rapprocher dangereusement de la mienne. Avec n'importe qui, j'aurais eu un mouvement de recul. Mais pas avec lui, il savait mon choix de ne pas embrasser qui que ce soit. Ca ne l'empêchait pas de s'amuser avec ça et de venir à quelques millimètres de mes lèvres. Ne me tente pas, ose-t-il me dire. L'hôpital qui se fout de la charité. Lorsqu'il me sort ensuite qu'il a ce qu'il faut, un grognement sortit de ma gorge. Je le savais parfaitement qu'il avait ce qu'il fallait. Il parlait sûrement de ses menottes mais mon esprit pensait plus à la matraque qu'il avait entre les jambes...
Il valait mieux qu'on prenne un peu nos distances avant de se jeter comme des sauvages l'un sur l'autre. Même si ça ne me dérangerait pas le moins du monde de baiser d'abord et de parler ensuite. Mais un verre de whisky nous attendait et le minimum, c'était que nous trinquions au moins à nos retrouvailles. Je prenais place à côté de lui et souriais alors qu'il engageait la conversation. « T'as sorti la meilleure bouteille de ma planque, enfoiré… » dis-je dans un murmure après avoir pris une gorgée de mon verre. « Je réservais ça pour les grandes occasions… T'es assez prétentieux pour croire que t'es une grande occasion ? » Je le chambrais tout en le toisant de haut en bas. Son retour était la meilleure des occasions possibles pour ouvrir cette bouteille qui prenait la poussière. Je trinquais une deuxième, faisant tinter mon verre contre le sien. J'en avais des choses à lui raconter mais je ne savais même pas par où commencer. Il n'y avait pas tant de choses que ça qui s'étaient passées dans ma vie depuis son départ. A dire vrai, c'était un train train quotidien, je vivais la nuit et dormais le jour et cela sept jours sur sept dans la semaine. Mais il y avait des évènements marquants et je ne pouvais pas cesser de penser à Yoon Ji, ce frère que j'ignorais avoir il y a encore quelques jours de ça. Je me voyais mal en parler tout de suite à Woo Sung. Pas maintenant. Ce n'était pas un sujet que je voulais aborder comme ça, entre deux tranches de rigolade.
« Ce que je deviens ? Je suis devenu une véritable star. J'ai été élu Mister Meilleur Plan Q pour la deuxième année d'affilée. Tu as devant toi le meilleur coup de tout Séoul, mais tu le savais déjà non ? » Je pouffais de rire alors que je finissais en une dernière rasade ce qui me restait de whisky dans mon verre. « La boîte fonctionne bien, la maison close encore mieux, je ne pouvais pas rêver mieux… » A part peut-être le fait d'avoir mon meilleur pote à mes côtés mais c'était fini tout ça, il était enfin de retour. « Ce n'est pas plutôt toi qui devrais me raconter ce qu'est devenue ta vie maintenant ? T'es de retour pour de bon ? » Traduction : tu ne vas pas me laisser, hein ? « Ne me dis pas que t'es juste de passage et que tu dois partir en mission je ne sais pas où pendant des mois. Parce que si c'est ça, on baise d'abord et on parlera ensuite s'il nous reste du temps. »
Il ne fallait pas déconner avec les priorités, merde.
Personne ne pouvait prétendre à prendre sa place dans ma vie. Il y a des gens qui arrivent à avoir plusieurs meilleurs amis mais pour moi il ne pouvait y en avoir qu'un, et c'était lui. Woo Sung. Il m'avait vu dans mes moments les plus sombres et il a été celui sur lequel j'ai pu compter, celui qui m'a aidé à me relever. J'étais devenu l'homme que j'étais grâce à lui. Et je ne l'avais jamais remercié pour tout ça. Mais il savait. Je lui étais redevable de tellement de choses. Je n'avais sûrement fait pour lui qu'un dixième de ce qu'il avait fait pour moi. Mais Woo Sung n'était pas du genre à exiger quoi que ce soit en retour. Et c'était comme ça qu'on reconnaissait un véritable ami.
J'avais besoin de lui à mes côtés, il était ma bulle d'air, ce pilier sur lequel m'appuyer, l'épaule réconfortante qui écoutait mes peines. Ces trois dernières années, ça avait été une sorte de parenthèse, une pause dans ma vie où j'ai dû continuer sans lui. Et bilan de ces quelques années : la vie n'avait pas la même saveur quand Woo Sung n'en faisait pas partie. J'étais tellement heureux qu'il soit là face à moi… Que je puisse redevenir moi-même. J'aimais cette image du boss qui me collait à la peau mais c'était un rôle que je m'étais créé. Le Soo Jung du boulot était loin d'être le Soo Jung de la vraie vie. Et ça faisait bien longtemps que je n'avais pas pu être moi-même. Woo Sung était sûrement le seul à me connaître ainsi, à connaître cette facette du Soo Jung insouciant qui aimait rire pour tout et n'importe quoi et profiter du moment présent.
Il était de retour et pour moi ça sonnait comme le début de la récréation. A la porte les problèmes de toutes sortes, j'allais pouvoir oublier le temps de sa présence entre mes murs.
Je n'avais pas tardé à me rapprocher et le toucher. Oui, c'était pour m'assurer que je n'hallucinais pas et qu'il était bien là mais c'était aussi pour toucher à nouveau ce corps qui m'avait fait vibrer de très nombreuses fois. Il avait dû en faire tourner des têtes et retourner des culs à l'école de police. Dire que cela faisait trois ans que je n'avais pas pu goûter à tout ça. Je pouffais de rire en même temps que lui à sa remarque. On avait mûri tous les deux, sûrement comme un bon vin, comme il venait de le souligner. Le temps avait fait son travail et nous étions encore plus sexy que lorsque nous nous étions quittés. Woo Sung se demandait s'il ne fallait pas attendre un peu avant de me consommer et je riais intérieurement à cette remarque. Il ne savait pas à quel point moi j'étais en train de me retenir pour ne pas lui sauter dessus. Il avait suffit simplement que mes mains touchent son torse pour embraser cette flamme qui ne s'était jamais éteinte. J'aimais les efforts qu'il avait faits juste parce qu'il savait qu'il allait me voir. Il avait sorti le grand jeu, habillé sur son 31, un parfum envoûtant entourant sa personne. Il fallait que j'arrive à contrôler mes pulsions, je ne pouvais tout de même pas lui sauter dessus sans lui avoir même demandé comment il allait et comment s'étaient passées ces années loin de moi. Je ne connaissais rien de mieux que l'humour pour détourner mes pensées lubriques alors je minaudais devant lui, voulant me faire arrêter par le méchant agent de police qu'il était. Chose que j'allais sûrement un jour lui demander de jouer au lit. Maintenant qu'il avait des menottes, il allait être obligé de me les faire tester.
Je m'amusais, mais je ne m'étais pas attendu à me retrouver tout à coup au dessus de lui et de ses yeux noisette. Woo Sung avait toujours ce charme incendiaire et ce regard de braise. Il ne fallait pas qu'il m'allume de trop, il ne savait pas à quel point j'étais en train de me retenir pour ne pas lui arracher ses fringues, surtout que ça faisait longtemps que ce canapé n'avait pas connu nos étreintes endiablées. Coincé contre son corps, je voyais sa tête se rapprocher dangereusement de la mienne. Avec n'importe qui, j'aurais eu un mouvement de recul. Mais pas avec lui, il savait mon choix de ne pas embrasser qui que ce soit. Ca ne l'empêchait pas de s'amuser avec ça et de venir à quelques millimètres de mes lèvres. Ne me tente pas, ose-t-il me dire. L'hôpital qui se fout de la charité. Lorsqu'il me sort ensuite qu'il a ce qu'il faut, un grognement sortit de ma gorge. Je le savais parfaitement qu'il avait ce qu'il fallait. Il parlait sûrement de ses menottes mais mon esprit pensait plus à la matraque qu'il avait entre les jambes...
Il valait mieux qu'on prenne un peu nos distances avant de se jeter comme des sauvages l'un sur l'autre. Même si ça ne me dérangerait pas le moins du monde de baiser d'abord et de parler ensuite. Mais un verre de whisky nous attendait et le minimum, c'était que nous trinquions au moins à nos retrouvailles. Je prenais place à côté de lui et souriais alors qu'il engageait la conversation. « T'as sorti la meilleure bouteille de ma planque, enfoiré… » dis-je dans un murmure après avoir pris une gorgée de mon verre. « Je réservais ça pour les grandes occasions… T'es assez prétentieux pour croire que t'es une grande occasion ? » Je le chambrais tout en le toisant de haut en bas. Son retour était la meilleure des occasions possibles pour ouvrir cette bouteille qui prenait la poussière. Je trinquais une deuxième, faisant tinter mon verre contre le sien. J'en avais des choses à lui raconter mais je ne savais même pas par où commencer. Il n'y avait pas tant de choses que ça qui s'étaient passées dans ma vie depuis son départ. A dire vrai, c'était un train train quotidien, je vivais la nuit et dormais le jour et cela sept jours sur sept dans la semaine. Mais il y avait des évènements marquants et je ne pouvais pas cesser de penser à Yoon Ji, ce frère que j'ignorais avoir il y a encore quelques jours de ça. Je me voyais mal en parler tout de suite à Woo Sung. Pas maintenant. Ce n'était pas un sujet que je voulais aborder comme ça, entre deux tranches de rigolade.
« Ce que je deviens ? Je suis devenu une véritable star. J'ai été élu Mister Meilleur Plan Q pour la deuxième année d'affilée. Tu as devant toi le meilleur coup de tout Séoul, mais tu le savais déjà non ? » Je pouffais de rire alors que je finissais en une dernière rasade ce qui me restait de whisky dans mon verre. « La boîte fonctionne bien, la maison close encore mieux, je ne pouvais pas rêver mieux… » A part peut-être le fait d'avoir mon meilleur pote à mes côtés mais c'était fini tout ça, il était enfin de retour. « Ce n'est pas plutôt toi qui devrais me raconter ce qu'est devenue ta vie maintenant ? T'es de retour pour de bon ? » Traduction : tu ne vas pas me laisser, hein ? « Ne me dis pas que t'es juste de passage et que tu dois partir en mission je ne sais pas où pendant des mois. Parce que si c'est ça, on baise d'abord et on parlera ensuite s'il nous reste du temps. »
Il ne fallait pas déconner avec les priorités, merde.
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Re: my other half, I like you (ft Soo Jung) | Dim 11 Oct - 13:28 Citer EditerSupprimer
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@Park Soo JungTenue | Soo Jung a marqué ta vie de façon indélébile. Tu as toujours été un énergumène, seulement lors tu l'as rencontré tu as eu l'impression d'avoir trouvé une perle avec le même pète au casque, le même grain de folie et c'est ce qui t'a permis de t'épanouir, de t'accepter et renforcer sa personnalité, déjà pourtant bien déjanté. C'est vrai que tu l'as rencontré dans un moment compliqué de sa vie, tu l'as aidé à se relever, cependant ce qu'il ne sait pas c'est qu'il t'a apporté beaucoup aussi. C'est grâce à lui que tu as compris quel était ta vocation : aider les autres. Il a été le premier et c'est suite à son incarcération que tu as réalisé qu'il fallait que tu donnes un sens à ta vie. Si lui avait décidé d'ouvrir un paradis ou les gens pouvaient être eux même, toi tu as décidé de te mettre aux services des gens, pour protéger et servir. Au final les choses ne sont pas passées comme tu l'espérais, néanmoins tu ne regrettes pas ton choix, car tu n'es pas du genre à vivre avec des remords. Une philosophie de vie que tu partages avec ton meilleur ami, la vie est un jeu et personne n'en sort vivant alors autant ne pas trop la prendre au sérieux.
D'ailleurs ton partenaire de jeu préféré c'est bien lui...lui qui fait naitre un brasier en toi...lui pour qui tu brules d'une passion ardente...lui qui représente tant de choses, ton passé, ton présent et ton futur. Car oui tu ne t'imagines pas vivre sans lui à tes côtés. Tu l'as fait pendant trois ans, enfin tu as survécu et pourtant tu ne l'as jamais oublié et aujourd'hui le bonheur que tu ressens de le retrouver est indescriptible. Lorsque tu l'as titillé, t'approchant dangereuse, vos corps serrés l'un contre l'autre, tu as eu du mal à te détacher. Il est clair qu'il t'a manqué, pas uniquement sa compagnie, sa bonne humeur et son humour, non son corps, ses baisers, ses mains, son sexe. Tu ne t'es jamais senti autant combler que lorsqu'il est en toi. En réalité pendant ces trois années loin de lui, tu n'as pas trouvé de partenaire à sa hauteur. Tu n'avais pas réellement le temps de penser à ça, tu as fait une croix sur les plaisirs de la vie, celui de boire un verre avec un ami avant de profiter de son corps, celui de danser jusqu'au bout de la nuit de l'alcool dans le sang en terminant au lit. Tout cela t'a été interdit pendant ton infiltration, aussi ces retrouvailles sont synonymes de bonheur et aussi de luxure. Ton corps le réclame et il doit s'en rendre compte, autant que toi en voyant la lueur de désir illuminer son regard. Cependant tu aimes faire durer le plaisir, soumettre vos envies à la tentation sans les assouvir.
Tu as envie de profiter de cette sensation enivrante, être consumé par le désir ardent, cet appétit qui noue l'estomac et l'euphorie d'être à deux doigts de céder à chaque instant. Tu es fébrile, brouillant, tu as l'impression que ta peau pourrait s'enflammer à la moindre de ses caresses. Son grognement te donne le vertige alors que tu te noyais dans son regard le temps d'un instant. Tu te mords l'intérieur la lèvre pour éviter de retourner la situation, l'allonge sur le canapé pour déchirer ces vêtements qui couvrent le graal. Non, au lieu de ça, tu as esquissé un sourire rempli de sous-entendu, avant de t'installer à nouveau sur le canapé pour discuter. Il y a une époque où tu n'aurais pas hésité, tu n'aurais pas résisté à autant de sex-appeal. Aujourd'hui tu es passé tellement proche de la mort que tu apprécies te languir de lui et te faire désirer. Comme d'un commun accord, vous avez lancé le jeu du qui cédera le premier, qui viendra quémander la première caresse, qui sortira la lance à incendie avant l'autre. Il n'y a qu'avec lui que tu peux te permettre un tel jeu, car entre vous il n'y a pas de rapport de force, que ce soit lui ou toi qui craque n'a aucune importance. Tu sais qu'il est aussi émoustillé que toi et en vous retenant la suite ne sera que meilleure, comme cette glace qu'on refuse à un enfant et qu'on lui offre en fin de journée. Cette glace n'a pas le même gout lorsqu'elle nous a fait saliver pendant des heures. C'est exactement ce qu'il passe, malgré votre proximité, chacun salive d'avance en imaginant les folies qui se passeront après avoir bu quelques verres. Pour l'instant tu hausses les épaules en riant à son insulte.
« Ouais je crois que je suis l'occasion parfaite ! Tu n'aurais pas trouvé meilleur partenaire pour le déguster ! »
Tu sais qu'il plaisante, tu le connais bien et c'est ce que tu apprécies avec lui, vos conversations simples, sans prise de tête, sans lutte de pouvoir, sans manipulation. Il n'y qu'en sa compagnie que tu peux être naturel, sans jouer de rôle, sans réfléchir à deux fois avant de parler. Le vrai toi, la vraie vie c'est à ces côtés que tu le trouves et tu ne pourras jamais assez le remercier pour ça. Après ton regard taquin, tu t'installes en buvant une gorgée du fameux breuvage. Tu lâches un soupire, exquis comme toujours, tu lèves ton verre avec un signe de tête pour lui indiquer ton avis sur la bouteille. Tu l'écoutes ensuite te répondre. Tu lâches un rire spontané lorsqu'il se présente comme le meilleur coup de la ville.
« C'est parce que t'as eu un bon prof ça ! Ton titre est remis en jeu avec mon retour…»
Tu lui fais un clin d'œil en haussant les sourcils d'un air provocateur. Tu sirottes ton verre en écoutant la suite. Tu affiches un sourire sincère, ravi d'entendre que son entreprise se porte bien. Le Why Not, la boite de nuit ou la maison close, ont toujours été importante à tes yeux. Tu as compris très tôt ton orientation sexuelle particulière et tu l'as longtemps caché, préférant éviter de faire honte à ta famille. C'est avec Soo Jung que tu as commencé à entièrement assumer, criant même ça à qui voulait l'entendre, n'hésitant pas à t'afficher avec Soo Jung, juste pour provoquer des réactions. Combien de fois vous vous êtes assis sur les genoux de l'autre au restaurant pour faire enrager les gens et leur apprendre que l'amour n'a pas de lois. Aujourd'hui la loi c'est toi et tu n'es pas un représentant très intègre et moral. En effet tu fermes les yeux sur les activités de ton ami, l'encouragement même dans cette voix, car tu es convaincu que son établissement ne devrait pas être illégale. Tu as vu les bas fond de la société et le commerce illégal du sexe. A tes yeux il devrait être réglementé et géré pour éviter les écarts qui incombent aux milieux criminels. Tu lances un regard ravi à Soo Jung, inutile de lui dire que tu es heureux pour lui, il va le lire dans tes yeux. Souvent entre vous deux, il n'y a pas besoin de mots. A sa question et surtout la réflexion finale tu pouffes de rire, ce qui est assez ironique en réalité. Tu as terminé ton verre avant de le reposer sur la table, le regard voilé de tristesse.
« Pour être honnête je pensais qu'être flic s'était plus drôle. Je me voyais déjà courir après les crapules, défendre la veuve et l'orphelin, mais je suis bien loin de tout ça…»
Tu es venu te glisser sous le bras de Soo Jung, tel un chat, t'installant au creux de son épaule en miaulant comme si tu râlais. En effet tu n'as pas envie de parler de tout ce que tu as vécu, des horreurs que tu as vu et faites. Il doit le comprendre lorsque tu lèves les yeux vers lui. Dans cette position tu as l'impression d'être à l'abri de tes démons. La chaleur du corps de ton meilleur ami t'envahit, chassant tes idées noires. Tes mains viennent se poser sur son corps, l'une sur son torse, s'accrochant à sa chemise alors que l'autre se glisse sur sa cuisse, tes doigts pianotent en remontant sur sa cuisse. Sans le lâcher du regard, tu as repris d'une voix mielleuse.
« T'en fais pas, tu vas m'avoir sur le dos encore un moment....On aura tout le temps de discuter…plus tard…»
D'ailleurs ton partenaire de jeu préféré c'est bien lui...lui qui fait naitre un brasier en toi...lui pour qui tu brules d'une passion ardente...lui qui représente tant de choses, ton passé, ton présent et ton futur. Car oui tu ne t'imagines pas vivre sans lui à tes côtés. Tu l'as fait pendant trois ans, enfin tu as survécu et pourtant tu ne l'as jamais oublié et aujourd'hui le bonheur que tu ressens de le retrouver est indescriptible. Lorsque tu l'as titillé, t'approchant dangereuse, vos corps serrés l'un contre l'autre, tu as eu du mal à te détacher. Il est clair qu'il t'a manqué, pas uniquement sa compagnie, sa bonne humeur et son humour, non son corps, ses baisers, ses mains, son sexe. Tu ne t'es jamais senti autant combler que lorsqu'il est en toi. En réalité pendant ces trois années loin de lui, tu n'as pas trouvé de partenaire à sa hauteur. Tu n'avais pas réellement le temps de penser à ça, tu as fait une croix sur les plaisirs de la vie, celui de boire un verre avec un ami avant de profiter de son corps, celui de danser jusqu'au bout de la nuit de l'alcool dans le sang en terminant au lit. Tout cela t'a été interdit pendant ton infiltration, aussi ces retrouvailles sont synonymes de bonheur et aussi de luxure. Ton corps le réclame et il doit s'en rendre compte, autant que toi en voyant la lueur de désir illuminer son regard. Cependant tu aimes faire durer le plaisir, soumettre vos envies à la tentation sans les assouvir.
Tu as envie de profiter de cette sensation enivrante, être consumé par le désir ardent, cet appétit qui noue l'estomac et l'euphorie d'être à deux doigts de céder à chaque instant. Tu es fébrile, brouillant, tu as l'impression que ta peau pourrait s'enflammer à la moindre de ses caresses. Son grognement te donne le vertige alors que tu te noyais dans son regard le temps d'un instant. Tu te mords l'intérieur la lèvre pour éviter de retourner la situation, l'allonge sur le canapé pour déchirer ces vêtements qui couvrent le graal. Non, au lieu de ça, tu as esquissé un sourire rempli de sous-entendu, avant de t'installer à nouveau sur le canapé pour discuter. Il y a une époque où tu n'aurais pas hésité, tu n'aurais pas résisté à autant de sex-appeal. Aujourd'hui tu es passé tellement proche de la mort que tu apprécies te languir de lui et te faire désirer. Comme d'un commun accord, vous avez lancé le jeu du qui cédera le premier, qui viendra quémander la première caresse, qui sortira la lance à incendie avant l'autre. Il n'y a qu'avec lui que tu peux te permettre un tel jeu, car entre vous il n'y a pas de rapport de force, que ce soit lui ou toi qui craque n'a aucune importance. Tu sais qu'il est aussi émoustillé que toi et en vous retenant la suite ne sera que meilleure, comme cette glace qu'on refuse à un enfant et qu'on lui offre en fin de journée. Cette glace n'a pas le même gout lorsqu'elle nous a fait saliver pendant des heures. C'est exactement ce qu'il passe, malgré votre proximité, chacun salive d'avance en imaginant les folies qui se passeront après avoir bu quelques verres. Pour l'instant tu hausses les épaules en riant à son insulte.
« Ouais je crois que je suis l'occasion parfaite ! Tu n'aurais pas trouvé meilleur partenaire pour le déguster ! »
Tu sais qu'il plaisante, tu le connais bien et c'est ce que tu apprécies avec lui, vos conversations simples, sans prise de tête, sans lutte de pouvoir, sans manipulation. Il n'y qu'en sa compagnie que tu peux être naturel, sans jouer de rôle, sans réfléchir à deux fois avant de parler. Le vrai toi, la vraie vie c'est à ces côtés que tu le trouves et tu ne pourras jamais assez le remercier pour ça. Après ton regard taquin, tu t'installes en buvant une gorgée du fameux breuvage. Tu lâches un soupire, exquis comme toujours, tu lèves ton verre avec un signe de tête pour lui indiquer ton avis sur la bouteille. Tu l'écoutes ensuite te répondre. Tu lâches un rire spontané lorsqu'il se présente comme le meilleur coup de la ville.
« C'est parce que t'as eu un bon prof ça ! Ton titre est remis en jeu avec mon retour…»
Tu lui fais un clin d'œil en haussant les sourcils d'un air provocateur. Tu sirottes ton verre en écoutant la suite. Tu affiches un sourire sincère, ravi d'entendre que son entreprise se porte bien. Le Why Not, la boite de nuit ou la maison close, ont toujours été importante à tes yeux. Tu as compris très tôt ton orientation sexuelle particulière et tu l'as longtemps caché, préférant éviter de faire honte à ta famille. C'est avec Soo Jung que tu as commencé à entièrement assumer, criant même ça à qui voulait l'entendre, n'hésitant pas à t'afficher avec Soo Jung, juste pour provoquer des réactions. Combien de fois vous vous êtes assis sur les genoux de l'autre au restaurant pour faire enrager les gens et leur apprendre que l'amour n'a pas de lois. Aujourd'hui la loi c'est toi et tu n'es pas un représentant très intègre et moral. En effet tu fermes les yeux sur les activités de ton ami, l'encouragement même dans cette voix, car tu es convaincu que son établissement ne devrait pas être illégale. Tu as vu les bas fond de la société et le commerce illégal du sexe. A tes yeux il devrait être réglementé et géré pour éviter les écarts qui incombent aux milieux criminels. Tu lances un regard ravi à Soo Jung, inutile de lui dire que tu es heureux pour lui, il va le lire dans tes yeux. Souvent entre vous deux, il n'y a pas besoin de mots. A sa question et surtout la réflexion finale tu pouffes de rire, ce qui est assez ironique en réalité. Tu as terminé ton verre avant de le reposer sur la table, le regard voilé de tristesse.
« Pour être honnête je pensais qu'être flic s'était plus drôle. Je me voyais déjà courir après les crapules, défendre la veuve et l'orphelin, mais je suis bien loin de tout ça…»
Tu es venu te glisser sous le bras de Soo Jung, tel un chat, t'installant au creux de son épaule en miaulant comme si tu râlais. En effet tu n'as pas envie de parler de tout ce que tu as vécu, des horreurs que tu as vu et faites. Il doit le comprendre lorsque tu lèves les yeux vers lui. Dans cette position tu as l'impression d'être à l'abri de tes démons. La chaleur du corps de ton meilleur ami t'envahit, chassant tes idées noires. Tes mains viennent se poser sur son corps, l'une sur son torse, s'accrochant à sa chemise alors que l'autre se glisse sur sa cuisse, tes doigts pianotent en remontant sur sa cuisse. Sans le lâcher du regard, tu as repris d'une voix mielleuse.
« T'en fais pas, tu vas m'avoir sur le dos encore un moment....On aura tout le temps de discuter…plus tard…»
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Re: my other half, I like you (ft Soo Jung) | Ven 30 Oct - 23:41 Citer EditerSupprimer
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@Suh Ji WoongTenue | Ce petit sourire sur mon visage semblait incrusté maintenant que Woo Sung était de retour. Je n'arrivais pas à le décrocher de là et il allait très certainement rester tout le temps où j'allais l'avoir dans mon radar. J'avais pris sur moi depuis mon entrée dans le bureau de ne pas lui sauter dessus mais Woo Sung me donnait toutes les excuses possibles pour que je craque. De un, il était bien trop sexy. J'avais toujours aimé son côté mystérieux de beau brun ténébreux et encore plus quand on se chevauchait dans un lit (ou ailleurs). Mes mains avaient compris tout de suite qu'il avait gagné en muscles dès que j'avais touché son torse et je n'avais qu'une envie, lui enlever cette chemise pour vérifier que j'avais raison. Et sexuellement, il m'avait manqué aussi. Si la couette ne volait pas dès le début de nos ébats, il y avait de grandes chances pour qu'elle finisse en cendres tellement nos corps à corps pouvaient être incendiaires. Raison pour laquelle Woo Sung était devenu flic et non pompier, il était plus le genre à vous foutre le feu qu'à vous l'éteindre.
Je l'avais dans la peau et ce n'était même pas une phrase de style à la con, genre métaphore. Les souvenirs des quelques heures précédant son départ étaient toujours bien présentes dans mon esprit, même si on s'était mis une sacrée mine cette nuit là. L'alcool avait bien aidé mais je ne regrettais pas ce qui s'était passé. Je devais sûrement être l'un des rares mecs sur terre à être content d'un tatouage fait un soir de beuverie. Woo Sung était complètement saoul et moi j'avais trouvé, qu'à quatre heures du matin, avec trois grammes dans chaque oeil, c'était le meilleur moment pour qu'il laisse un souvenir indélébile sur mon corps. Je pouvais même pas le blâmer parce que l'idée à la con venait de moi. Merde, il allait partir pour plusieurs années et je ne savais même pas quand exactement on allait pouvoir se revoir. Alors je lui avais demandé entre deux shots de vodka qu'il me laisse un souvenir de lui et j'avais ramené le nécessaire sur la table pour qu'il me tatoue quelque chose. Je me souviens qu'on avait utilisé mon verre de vodka pour stériliser l'aiguille, que j'avais gueulé comme un putois parce qu'il voulait tatouer un truc sur ma main et que je voulais pas. Et il m'avait regardé avec ce regard là, celui du beau mec ténébreux complètement pété qui ne sait même plus où il habite et il m'avait dit en butant sur chaque début de mot qu'il voulait que je le vois ce putain de tatouage et que je pense à lui dès que je regarde ma main. On ne sait pas par quel miracle il avait réussi à faire un truc qui ressemblait réellement à quelque chose mais il était là ce tatouage, et à chaque fois que mes yeux regardaient ma main gauche, un léger sourire s'étendait sur mes lèvres, pas aussi grand que le sourire que ce smiley qu'il m'avait dessiné affichait. « Pour que tu penses parfois à sourire, même si je suis pas là » m'avait-il dit et je m'étais mis à faire tout le contraire et à pleurer comme un con parce que je ne voulais pas qu'il s'en aille. Ca avait été notre dernière nuit à tous les deux et maintenant il était de retour. Et j'avais une raison de sourire enfin comme le smiley.
Je le sens venir se faufiler sous mon bras, surpris par ses paroles. Il avait été tellement sûr de lui à l'époque sur son avenir en tant que flic que j'étais triste de l'entendre maintenant plein de désillusions. Je ne lui répondis rien, je savais très bien que lui et moi on en discuterait à un moment et qu'on avait des choses sérieuses à se dire. Mais on laissait ça de côté, ni l'un ni l'autre ne voulions entacher notre soirée de retrouvailles. Son regard me fait de la peine et je sens mon étreinte se resserrer autour de lui, comme pour lui signifier que j'étais là, que mes bras étaient sa maison, qu'il pouvait compter sur moi. Je lui offris un sourire avant de déposer un bisou bien sonore sur son front pour détendre l'ambiance. « MOUAAAH ! » Je pensais qu'on était parti pour se raconter des trucs funs, délirer, passer notre nuit à picoler comme des trous mais les mains de Woo Sung se baladant sur mon corps m'avaient vite fait comprendre qu'il avait une autre idée derrière la tête…
« J'aime t'avoir sur mon dos et pas que pour discuter… » J'arquais un sourcil, lui indiquant ainsi que j'entrais dans le jeu. Ses mains ne m'avaient touché que depuis quelques secondes que je sentais chaque cellule de ma peau en dessous bouillonner à leur passage. J'étais tellement impatient car je savais la nuit qui allait m'attendre et qu'elle serait parfaite. Que j'allais prendre mon pied. J'avais envie de faire durer les choses et de faire monter le désir mais mes mains ne semblaient plus vouloir m'écouter, je touchais à mon tour l'une de ses jambes, serpentant de son genou jusqu'au haut de sa cuisse. « Y a plein de choses qu'on peut faire plus tard mais là, va falloir qu'on gère une urgence… » Je me levais tout à coup pour me placer à califourchon au dessus de lui, faisant basculer son corps contre le dossier du canapé. J'allais être dans la bonne position pour faire ce que je rêvais de faire depuis que je l'avais vu. Ma respiration était déjà haletante, je laissais toute mon envie pulser dans mes veines, salivant sur ce corps que j'allais pouvoir déguster à nouveau. Mes mains glissèrent le long de sa chemise au toucher soyeux, je laissais un grognement satisfait sortir de mes lippes lorsque mes mains passèrent au dessus de ses abdos parfaitement dessinés. N'y tenant plus, mes doigts s'approchèrent des pans de sa veste et je commençais à l'ôter de ses épaules. « Enlève-moi ça tout de suite… » grommelais-je entre mes dents alors que mes mains partaient déjà s'occuper une bonne fois pour toute de sa chemise. Les boutons sautèrent en une fois, signe que je ne m'étais pas montré très doux avec ce pauvre morceau de tissu qui n'avait rien demandé. Satisfait de la vue qui s'offrait à moi, je passais ma langue sur mes lèvres. « Je savais que ce qui se cachait en dessous n'allait pas me décevoir… » Mes mains commencèrent à toucher son torse et mon bassin à onduler au dessus du sien. J'ouvrais en grand sa chemise pour avoir une vision parfaite de ce torse dessiné par ce que je savais être des heures de musculation. « On a quelques souvenirs à raviver toi et moi… » Me penchant vers son oreille que je vins gratifier d'un léger coup de langue, je me mis à lui murmurer d'une voix remplie de luxure : « Déshabille-moi Woo Sung… »
Je l'avais dans la peau et ce n'était même pas une phrase de style à la con, genre métaphore. Les souvenirs des quelques heures précédant son départ étaient toujours bien présentes dans mon esprit, même si on s'était mis une sacrée mine cette nuit là. L'alcool avait bien aidé mais je ne regrettais pas ce qui s'était passé. Je devais sûrement être l'un des rares mecs sur terre à être content d'un tatouage fait un soir de beuverie. Woo Sung était complètement saoul et moi j'avais trouvé, qu'à quatre heures du matin, avec trois grammes dans chaque oeil, c'était le meilleur moment pour qu'il laisse un souvenir indélébile sur mon corps. Je pouvais même pas le blâmer parce que l'idée à la con venait de moi. Merde, il allait partir pour plusieurs années et je ne savais même pas quand exactement on allait pouvoir se revoir. Alors je lui avais demandé entre deux shots de vodka qu'il me laisse un souvenir de lui et j'avais ramené le nécessaire sur la table pour qu'il me tatoue quelque chose. Je me souviens qu'on avait utilisé mon verre de vodka pour stériliser l'aiguille, que j'avais gueulé comme un putois parce qu'il voulait tatouer un truc sur ma main et que je voulais pas. Et il m'avait regardé avec ce regard là, celui du beau mec ténébreux complètement pété qui ne sait même plus où il habite et il m'avait dit en butant sur chaque début de mot qu'il voulait que je le vois ce putain de tatouage et que je pense à lui dès que je regarde ma main. On ne sait pas par quel miracle il avait réussi à faire un truc qui ressemblait réellement à quelque chose mais il était là ce tatouage, et à chaque fois que mes yeux regardaient ma main gauche, un léger sourire s'étendait sur mes lèvres, pas aussi grand que le sourire que ce smiley qu'il m'avait dessiné affichait. « Pour que tu penses parfois à sourire, même si je suis pas là » m'avait-il dit et je m'étais mis à faire tout le contraire et à pleurer comme un con parce que je ne voulais pas qu'il s'en aille. Ca avait été notre dernière nuit à tous les deux et maintenant il était de retour. Et j'avais une raison de sourire enfin comme le smiley.
Je le sens venir se faufiler sous mon bras, surpris par ses paroles. Il avait été tellement sûr de lui à l'époque sur son avenir en tant que flic que j'étais triste de l'entendre maintenant plein de désillusions. Je ne lui répondis rien, je savais très bien que lui et moi on en discuterait à un moment et qu'on avait des choses sérieuses à se dire. Mais on laissait ça de côté, ni l'un ni l'autre ne voulions entacher notre soirée de retrouvailles. Son regard me fait de la peine et je sens mon étreinte se resserrer autour de lui, comme pour lui signifier que j'étais là, que mes bras étaient sa maison, qu'il pouvait compter sur moi. Je lui offris un sourire avant de déposer un bisou bien sonore sur son front pour détendre l'ambiance. « MOUAAAH ! » Je pensais qu'on était parti pour se raconter des trucs funs, délirer, passer notre nuit à picoler comme des trous mais les mains de Woo Sung se baladant sur mon corps m'avaient vite fait comprendre qu'il avait une autre idée derrière la tête…
« J'aime t'avoir sur mon dos et pas que pour discuter… » J'arquais un sourcil, lui indiquant ainsi que j'entrais dans le jeu. Ses mains ne m'avaient touché que depuis quelques secondes que je sentais chaque cellule de ma peau en dessous bouillonner à leur passage. J'étais tellement impatient car je savais la nuit qui allait m'attendre et qu'elle serait parfaite. Que j'allais prendre mon pied. J'avais envie de faire durer les choses et de faire monter le désir mais mes mains ne semblaient plus vouloir m'écouter, je touchais à mon tour l'une de ses jambes, serpentant de son genou jusqu'au haut de sa cuisse. « Y a plein de choses qu'on peut faire plus tard mais là, va falloir qu'on gère une urgence… » Je me levais tout à coup pour me placer à califourchon au dessus de lui, faisant basculer son corps contre le dossier du canapé. J'allais être dans la bonne position pour faire ce que je rêvais de faire depuis que je l'avais vu. Ma respiration était déjà haletante, je laissais toute mon envie pulser dans mes veines, salivant sur ce corps que j'allais pouvoir déguster à nouveau. Mes mains glissèrent le long de sa chemise au toucher soyeux, je laissais un grognement satisfait sortir de mes lippes lorsque mes mains passèrent au dessus de ses abdos parfaitement dessinés. N'y tenant plus, mes doigts s'approchèrent des pans de sa veste et je commençais à l'ôter de ses épaules. « Enlève-moi ça tout de suite… » grommelais-je entre mes dents alors que mes mains partaient déjà s'occuper une bonne fois pour toute de sa chemise. Les boutons sautèrent en une fois, signe que je ne m'étais pas montré très doux avec ce pauvre morceau de tissu qui n'avait rien demandé. Satisfait de la vue qui s'offrait à moi, je passais ma langue sur mes lèvres. « Je savais que ce qui se cachait en dessous n'allait pas me décevoir… » Mes mains commencèrent à toucher son torse et mon bassin à onduler au dessus du sien. J'ouvrais en grand sa chemise pour avoir une vision parfaite de ce torse dessiné par ce que je savais être des heures de musculation. « On a quelques souvenirs à raviver toi et moi… » Me penchant vers son oreille que je vins gratifier d'un léger coup de langue, je me mis à lui murmurer d'une voix remplie de luxure : « Déshabille-moi Woo Sung… »
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Re: my other half, I like you (ft Soo Jung) | Lun 2 Nov - 21:38 Citer EditerSupprimer
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@Park Soo JungTenue | Le baiser sur ton front te fait éclater de rire et éloigne instantanément tes pensées négatives. Il n'y a que lui qui a ce pouvoir sur toi. Tu ne touches pas à la drogue, par principe, et ton corps est trop habitué à l'alcool pour que tu arrives à noyer tes démons avec. Il ne reste que le sexe, seulement tu n'as jamais trouvé une personne à la hauteur de ton meilleur ami. A sa réflexion, tu affiches un sourire amusé, acquissent légèrement pour lui faire comprendre qu'il n'y échappera pas ce soir. Il va passer à la casserole et tu comptes bien lui prouver que tu n'as pas perdu la main, comme une bouteille de vin qui s'améliore avec les années. Cependant le temps peut aussi pervertir le breuvage et a trop laisser la bouteille dans le noir, le vin peut tourner et flétrir. Oh tu es sûr qu'il a sorti le loup, comme toi, peut-être plus. En réalité, les années ont passé et le terrain de chasse n'est plus le même, à moins que ce soit toi, le chasseur, qui ait changé. La vie t'a laissé un gout amer que tu veux faire passer. C'est bien ça que tu es venu chercher près lui, une saveur connue, une valeur sûre, un partenaire d'exception. Tu espères te retrouver entre ses bras, car en réalité ces trois dernières années tu t'es étiolé, comme une fleur qui a progressivement égaré ses pétales et perdu de son éclat. Heureusement la présence de Soo Jung ravive ton âme et tu réalises à quel point il est important pour toi.
Quand il parle d'urgence, tu pouffes de rire avant de siffler de plaisir alors que sa main se balade sur ta cuisse. Tu viens lui attraper celle-ci, pour la déposer plus haut en lui lançant un regard envieux. Il a cette capacité à dégager une sensualité excitante sans effort. Tu sais qu'il joue avec toi, te faisant languir comme tu l'as fait précédemment et tu jubiles, sentant ton corps frétiller d'impatience.
« J'espère que t'as rien prévu de la soirée...hum non....bloque plutôt ton emploi du temps pour les trois jours à venir, je vais m'occuper de ton cas...»
Tu savais qu'il n'en faudrait pas plus pour qu'il se décide et sa réaction t'enchante. Si tu as affirmé t'occuper de lui, c'est plutôt toi qui a besoin d'attention et lorsque ses mains commencent un itinéraire touriste sur toi, tu te mords la lèvre, te laissant envahir par le frisson de l'excitation et du désir. Tu laisses ton accompagnateur faire sa visite, t'exécutant lorsqu'il d'ordonne d'enlever ta veste. Tu la jettes plus loin, sans te soucier d'où elle finit. Comment souvent entre vous, les vêtements volent et ce n'est pas rare que vous terminez nu sans aucune gêne. Combien de fois vous avez baisé comme des animaux, avant de vous remettre à boire, sans remettre le moindre morceau de tissus, s'amusant avec vos corps et un tas d'autres choses. Tu adores Soo Jung, tu l'aimes, pas d'un sentiment d'amour, non ! Vous êtes d'accord sur ce point, les sentiments sont un fardeau donc vous vous passez. En amitié comme en amour tu es tâtions et tu n'as jamais ressenti le besoin de t'attacher. Soo Jung remplit les deux rôles à la perfection sans s'encombrer de superflu. Tantôt sensuelle, tantôt sauvage, tantôt amant, tantôt ami, votre relation n'a aucune logique et qu'une constance : le plaisir.
Chacun à sa définition du plaisir et ces préférences. Toi tu aimes les êtres délicats, plus légers que toi avec des traits fins. C'est pour ça que tu aimes aussi les filles et leurs corps fragiles. Tu n'es pas le genre d'homme à aller voir des sportifs à la musculature imposante. Non ce qui te fait vibrer sont les courbes élancés et gracieuses que tu aimes parfois brutaliser ou dévorer sensuellement. Tu adores voir ces êtres frêles devenir sauvages et passionnels comme lorsqu'il t'arrache ta chemise sans vergogne. Si tu aimes donner, tu apprécies aussi recevoir, surtout si c'est Soo Jung qui t'allume et coincé sous lui tu es le plus heureux. Tu suis la chorégraphie de son bassin, appréciant son entrée en matière, à la fois franche mais retenue. Tu lui grognes à l'oreille pour toutes réponses. Tu aimes quand tu te parles comme ça et tu ne vas pas te faire prier.
Si précédemment, il t'a sauvagement mis à nu, toi tu arraches chaque bouton de sa chemise minutieusement et lentement, le faisant languir de s'extirper de cette enveloppe gênante. Tu jettes chaque fois le pauvre bouton sur la table basse en riant. Le cliquetis de chacun te fait sourire, comme un compte à rebours. Tu lui lances des regards provocateurs, accompagné de petits signes de tête négatifs. Non il n'a pas le droit de s'impatienter. Tout en œuvrant lentement à le débarrasser sa chemise tu es venu lui embrasser le cou. Tu as laissé tes dents mordiller sans épaule alors que tes mains l'ont enfin libéré de son vêtement. Tes mains sont venues glisser sur son torse, descendant petit à petit, parfois laissant quelques marques d'ongles. En arrivant près de son nombril et de son tatouage, tu as ri, laissant ton doigt faire le tour d'un air amusé.
« T'as pas un peu grossi toi ? Est-ce qui se passe, t'avais pas de partenaires pour te faire transpirer ? Heureusement que je suis de retour, tu aurais fini par t'empoter mon cher. »
Tu hausses un sourcils en lui pinçant un peu le ventre. Maintenant qu'il est torse nu, reste le bas. Tu le soulèves sans mal pour t'allonger, l'aidant à se remettre sur toi. D'un signe de tête, tu lui fais comprendre ton envie. Tu accompagnes le tout d'un signe du doigt que tu fais tourner, lui indiquant de se retourner comme un ordre : tête bêche et que ça saute. En effet tu as envie de préliminaires particuliers ce soir. Tu veux vibrer sous ses coups de langue, mais tu as aussi envie de le sentir frétiller sous les tiens. Comme ça sera lui au-dessus, tu ris en le taquinant.
« Ça te fera un peu d'exercice...»
D'une main habile tu as détaché ton pantalon et le sien. Tu as été plus rapide à lui glisser en bas des jambes qu'à lui enlever sa chemise. Il faut dire que ton envie ne peut plus être caché. Son souffle haletant, ses caresses appuyés et son jeu de langue sur ta peau ne te suffisent plus. Maintenant tu as le champ libre et tes mains sont venues claquer sur ses fesses avec un regard malin, tu ne t'es pas attaqué à son intimité tout de suite, tu as d'abord laisser ta bouche lui mordiller les cuisses, remontant doucement. Une de tes mains est venue le saisir pour commencer à jouer délicatement. C'est le début d'un jeu alternant douceur et ardeur.
Quand il parle d'urgence, tu pouffes de rire avant de siffler de plaisir alors que sa main se balade sur ta cuisse. Tu viens lui attraper celle-ci, pour la déposer plus haut en lui lançant un regard envieux. Il a cette capacité à dégager une sensualité excitante sans effort. Tu sais qu'il joue avec toi, te faisant languir comme tu l'as fait précédemment et tu jubiles, sentant ton corps frétiller d'impatience.
« J'espère que t'as rien prévu de la soirée...hum non....bloque plutôt ton emploi du temps pour les trois jours à venir, je vais m'occuper de ton cas...»
Tu savais qu'il n'en faudrait pas plus pour qu'il se décide et sa réaction t'enchante. Si tu as affirmé t'occuper de lui, c'est plutôt toi qui a besoin d'attention et lorsque ses mains commencent un itinéraire touriste sur toi, tu te mords la lèvre, te laissant envahir par le frisson de l'excitation et du désir. Tu laisses ton accompagnateur faire sa visite, t'exécutant lorsqu'il d'ordonne d'enlever ta veste. Tu la jettes plus loin, sans te soucier d'où elle finit. Comment souvent entre vous, les vêtements volent et ce n'est pas rare que vous terminez nu sans aucune gêne. Combien de fois vous avez baisé comme des animaux, avant de vous remettre à boire, sans remettre le moindre morceau de tissus, s'amusant avec vos corps et un tas d'autres choses. Tu adores Soo Jung, tu l'aimes, pas d'un sentiment d'amour, non ! Vous êtes d'accord sur ce point, les sentiments sont un fardeau donc vous vous passez. En amitié comme en amour tu es tâtions et tu n'as jamais ressenti le besoin de t'attacher. Soo Jung remplit les deux rôles à la perfection sans s'encombrer de superflu. Tantôt sensuelle, tantôt sauvage, tantôt amant, tantôt ami, votre relation n'a aucune logique et qu'une constance : le plaisir.
Chacun à sa définition du plaisir et ces préférences. Toi tu aimes les êtres délicats, plus légers que toi avec des traits fins. C'est pour ça que tu aimes aussi les filles et leurs corps fragiles. Tu n'es pas le genre d'homme à aller voir des sportifs à la musculature imposante. Non ce qui te fait vibrer sont les courbes élancés et gracieuses que tu aimes parfois brutaliser ou dévorer sensuellement. Tu adores voir ces êtres frêles devenir sauvages et passionnels comme lorsqu'il t'arrache ta chemise sans vergogne. Si tu aimes donner, tu apprécies aussi recevoir, surtout si c'est Soo Jung qui t'allume et coincé sous lui tu es le plus heureux. Tu suis la chorégraphie de son bassin, appréciant son entrée en matière, à la fois franche mais retenue. Tu lui grognes à l'oreille pour toutes réponses. Tu aimes quand tu te parles comme ça et tu ne vas pas te faire prier.
Si précédemment, il t'a sauvagement mis à nu, toi tu arraches chaque bouton de sa chemise minutieusement et lentement, le faisant languir de s'extirper de cette enveloppe gênante. Tu jettes chaque fois le pauvre bouton sur la table basse en riant. Le cliquetis de chacun te fait sourire, comme un compte à rebours. Tu lui lances des regards provocateurs, accompagné de petits signes de tête négatifs. Non il n'a pas le droit de s'impatienter. Tout en œuvrant lentement à le débarrasser sa chemise tu es venu lui embrasser le cou. Tu as laissé tes dents mordiller sans épaule alors que tes mains l'ont enfin libéré de son vêtement. Tes mains sont venues glisser sur son torse, descendant petit à petit, parfois laissant quelques marques d'ongles. En arrivant près de son nombril et de son tatouage, tu as ri, laissant ton doigt faire le tour d'un air amusé.
« T'as pas un peu grossi toi ? Est-ce qui se passe, t'avais pas de partenaires pour te faire transpirer ? Heureusement que je suis de retour, tu aurais fini par t'empoter mon cher. »
Tu hausses un sourcils en lui pinçant un peu le ventre. Maintenant qu'il est torse nu, reste le bas. Tu le soulèves sans mal pour t'allonger, l'aidant à se remettre sur toi. D'un signe de tête, tu lui fais comprendre ton envie. Tu accompagnes le tout d'un signe du doigt que tu fais tourner, lui indiquant de se retourner comme un ordre : tête bêche et que ça saute. En effet tu as envie de préliminaires particuliers ce soir. Tu veux vibrer sous ses coups de langue, mais tu as aussi envie de le sentir frétiller sous les tiens. Comme ça sera lui au-dessus, tu ris en le taquinant.
« Ça te fera un peu d'exercice...»
D'une main habile tu as détaché ton pantalon et le sien. Tu as été plus rapide à lui glisser en bas des jambes qu'à lui enlever sa chemise. Il faut dire que ton envie ne peut plus être caché. Son souffle haletant, ses caresses appuyés et son jeu de langue sur ta peau ne te suffisent plus. Maintenant tu as le champ libre et tes mains sont venues claquer sur ses fesses avec un regard malin, tu ne t'es pas attaqué à son intimité tout de suite, tu as d'abord laisser ta bouche lui mordiller les cuisses, remontant doucement. Une de tes mains est venue le saisir pour commencer à jouer délicatement. C'est le début d'un jeu alternant douceur et ardeur.
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Re: my other half, I like you (ft Soo Jung) | Ven 13 Nov - 23:21 Citer EditerSupprimer
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Re: my other half, I like you (ft Soo Jung) | Sam 14 Nov - 18:56 Citer EditerSupprimer
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Re: my other half, I like you (ft Soo Jung) | Jeu 10 Déc - 0:21 Citer EditerSupprimer
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