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oh, please no [libre]
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oh, please no [libre] | Dim 4 Oct - 8:12
— C'était une simple course. Elle avait eu besoin d'une nouvelle veste, ce n'était pas comme si ça lui avait pris des heures. Na Ri était toujours rapide et efficace dans ses shopping. Elle repérait, elle essayait, elle achetait, et elle repartait aussi vite qu'elle était venue. Simple et direct, pas besoin de traînasser pendant un temps interminable et futile. Le temps c'est de l'argent comme on dit, et Na Ri exploitait la moindre seconde. Alors que ça tombe sur elle, non vraiment, c'était le bouquet. Alors qu'elle allait repartir tranquillement, rentrer au dortoir et continuer sa vie réglée et millimétrée, la voilà coincée dans la porte tambour du centre commerciale. Franchement, on pouvait pas faire pire. Pourquoi avait-il fallut que cette fichue porte tombe en panne pile quand elle était à l'intérieur? Et pour être coincée elle était coincée, pas moyen de la faire bouger de force, ni même de se glisser à l'extérieur et s'enfuir. Un long soupir s'échappa de ses poumons. « C'est une blague... » Elle n'avait même pas remarqué que quelqu'un était avec elle, trop occupée à pester contre le mécanisme, poussant la porte vitrée même en sachant qu'elle ne bougerait pas d'un pouce. « Aller, bouge! J'ai pas que ça à faire! » Mais du haut de son mètre cinquante-six, elle ne faisait pas le poids, et ça l'exaspérait encore plus. Finalement, elle vit des passants au dehors, et commença à les menacer pour qu'ils fassent quelque chose. « Vous là! Allez chercher de l'aide au lieu de rester planté là! » Et avec ça, elle n'avait toujours pas capté l'autre personne coincée avec elle...
| | | oh, please no ; ft whoever comes first |
— C'était une simple course. Elle avait eu besoin d'une nouvelle veste, ce n'était pas comme si ça lui avait pris des heures. Na Ri était toujours rapide et efficace dans ses shopping. Elle repérait, elle essayait, elle achetait, et elle repartait aussi vite qu'elle était venue. Simple et direct, pas besoin de traînasser pendant un temps interminable et futile. Le temps c'est de l'argent comme on dit, et Na Ri exploitait la moindre seconde. Alors que ça tombe sur elle, non vraiment, c'était le bouquet. Alors qu'elle allait repartir tranquillement, rentrer au dortoir et continuer sa vie réglée et millimétrée, la voilà coincée dans la porte tambour du centre commerciale. Franchement, on pouvait pas faire pire. Pourquoi avait-il fallut que cette fichue porte tombe en panne pile quand elle était à l'intérieur? Et pour être coincée elle était coincée, pas moyen de la faire bouger de force, ni même de se glisser à l'extérieur et s'enfuir. Un long soupir s'échappa de ses poumons. « C'est une blague... » Elle n'avait même pas remarqué que quelqu'un était avec elle, trop occupée à pester contre le mécanisme, poussant la porte vitrée même en sachant qu'elle ne bougerait pas d'un pouce. « Aller, bouge! J'ai pas que ça à faire! » Mais du haut de son mètre cinquante-six, elle ne faisait pas le poids, et ça l'exaspérait encore plus. Finalement, elle vit des passants au dehors, et commença à les menacer pour qu'ils fassent quelque chose. « Vous là! Allez chercher de l'aide au lieu de rester planté là! » Et avec ça, elle n'avait toujours pas capté l'autre personne coincée avec elle...(c) SIAL ; icon kawaiinekoj
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Re: oh, please no [libre] | Jeu 22 Oct - 3:49
— Pestant et soupirant contre cette fichue porte et ce tambour qui restait bloqué malgré ses efforts, Na Ri s'agaçait de plus en plus. Elle était pourtant quelqu'un d'assez patient, quand les choses allaient dans son sens. Mais il y avait des jours où elle s'énervait facilement contre tout ce qui pouvait lui mettre des bâtons dans les roues. Et en l'occurrence, l'ensemble du centre commercial était victime de ses foudres. Une voix s'éleva soudainement derrière elle, et elle réalisa enfin qu'elle n'était pas seule. Elle jaugea le jeune homme de son mythique air hautain, avant de pouffer à sa remarque sur les passants dehors. Un sourire en coin, elle leur jeta un nouveau regard noir. « Des bons à rien, c'est peu de le dire, la plupart des gens ne sont bons qu'à jouer les ruminants qui regardent passer les trains... » Elle les observait comme si c'était eux qui s'étaient retrouvés sous verre, comme s'ils étaient des spécimens curieux et elle une scientifique prête à expérimenter sur ces rats de laboratoire. Si elle faisait peur? Parfois, le pire c'est qu'elle adorait ça. Elle reporta finalement son attention sur son compagnon de cellule, s'adossant contre la parois vitrée. « Vous n'êtes pas le seul à ne pas avoir le temps pour ces idioties... moi aussi je vais avoir deux mots à dire à la direction... » Cruella Diablesse était de mauvaise humeur, et cet incident n'arrangeait en rien la situation. Pourtant, d'avoir quelqu'un avec elle qui semblait partager son avis semblait l'amuser plus que de raison.
| | | oh, please no ; ft @Im Seong Hwan |
— Pestant et soupirant contre cette fichue porte et ce tambour qui restait bloqué malgré ses efforts, Na Ri s'agaçait de plus en plus. Elle était pourtant quelqu'un d'assez patient, quand les choses allaient dans son sens. Mais il y avait des jours où elle s'énervait facilement contre tout ce qui pouvait lui mettre des bâtons dans les roues. Et en l'occurrence, l'ensemble du centre commercial était victime de ses foudres. Une voix s'éleva soudainement derrière elle, et elle réalisa enfin qu'elle n'était pas seule. Elle jaugea le jeune homme de son mythique air hautain, avant de pouffer à sa remarque sur les passants dehors. Un sourire en coin, elle leur jeta un nouveau regard noir. « Des bons à rien, c'est peu de le dire, la plupart des gens ne sont bons qu'à jouer les ruminants qui regardent passer les trains... » Elle les observait comme si c'était eux qui s'étaient retrouvés sous verre, comme s'ils étaient des spécimens curieux et elle une scientifique prête à expérimenter sur ces rats de laboratoire. Si elle faisait peur? Parfois, le pire c'est qu'elle adorait ça. Elle reporta finalement son attention sur son compagnon de cellule, s'adossant contre la parois vitrée. « Vous n'êtes pas le seul à ne pas avoir le temps pour ces idioties... moi aussi je vais avoir deux mots à dire à la direction... » Cruella Diablesse était de mauvaise humeur, et cet incident n'arrangeait en rien la situation. Pourtant, d'avoir quelqu'un avec elle qui semblait partager son avis semblait l'amuser plus que de raison.(c) SIAL ; icon kawaiinekoj
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Re: oh, please no [libre] | Dim 13 Déc - 18:47
— Les imprévus de ce genre, franchement, elle s'en passerait bien. Déjà que ces derniers temps, rien n'allait comme il faudrait, de se retrouver coincée de la sorte, c'était la goutte qui faisait déborder le vase. C'était typiquement le genre de situation à lui donner des envies de meurtre - au sens propre comme au figuré. Il valait mieux ne pas la contrarier quand elle était dans cette humeur-là, sauf si on avait des tendances suicidaires, là on pouvait se lâcher! Elle poussa un énième soupir agacé quand elle regarda sa montre. Sérieusement, combien de temps ils allaient rester enfermés? Encore heureux qu'aucun d'eux n'était claustrophobe, il ne manquerait plus que de devoir gérer une crise de panique en plus de ça. Quoique... si les techniciens voyaient quelqu'un en détresse, peut-être qu'ils se bougeraient plus rapidement? Simuler une crise? Pourquoi pas, Na Ri pouvait être plutôt douée comme actrice, à avoir joué les potiches aux soirées étant enfant, ça lui servait encore de temps en temps. Perdue dans ses plans pseudo machiavéliques, ses yeux commençaient à fatiguer. Décidément cette explosion lui pourrissait la vie même encore maintenant... Elle remarqua silencieusement son colocataire de fortune qui tentait d'ouvrir les portes à son tour, et elle ne put retenir un sourire narquois en le voyant échouer lui aussi. Ego mal placé? Absolument. Toujours adossée à la baie vitrée, bras croisés, son air aimable sur le visage, elle fixait le jeune homme s'asseoir et se présenter. Quitte à rester coincés là autant faire connaissance hein? Elle marqua une pause, pesant le pour et le contre de l'utilité d'une telle conversation, avant de se résoudre aux faits : elle n'avait rien de mieux à proposer pour le moment. « Na Ri » Court et efficace. Les small talk n'avaient jamais été sa tasse de thé. Et cette lumière qui commençait vraiment à lui faire mal aux yeux. Heureusement pour elle, elle était prévoyante. Fouillant dans son sac, elle trouva une paire de lunettes de soleil et les mit sur son nez immédiatement. Ça allait déjà mieux...
| | | oh, please no ; ft @Im Seong Hwan |
— Les imprévus de ce genre, franchement, elle s'en passerait bien. Déjà que ces derniers temps, rien n'allait comme il faudrait, de se retrouver coincée de la sorte, c'était la goutte qui faisait déborder le vase. C'était typiquement le genre de situation à lui donner des envies de meurtre - au sens propre comme au figuré. Il valait mieux ne pas la contrarier quand elle était dans cette humeur-là, sauf si on avait des tendances suicidaires, là on pouvait se lâcher! Elle poussa un énième soupir agacé quand elle regarda sa montre. Sérieusement, combien de temps ils allaient rester enfermés? Encore heureux qu'aucun d'eux n'était claustrophobe, il ne manquerait plus que de devoir gérer une crise de panique en plus de ça. Quoique... si les techniciens voyaient quelqu'un en détresse, peut-être qu'ils se bougeraient plus rapidement? Simuler une crise? Pourquoi pas, Na Ri pouvait être plutôt douée comme actrice, à avoir joué les potiches aux soirées étant enfant, ça lui servait encore de temps en temps. Perdue dans ses plans pseudo machiavéliques, ses yeux commençaient à fatiguer. Décidément cette explosion lui pourrissait la vie même encore maintenant... Elle remarqua silencieusement son colocataire de fortune qui tentait d'ouvrir les portes à son tour, et elle ne put retenir un sourire narquois en le voyant échouer lui aussi. Ego mal placé? Absolument. Toujours adossée à la baie vitrée, bras croisés, son air aimable sur le visage, elle fixait le jeune homme s'asseoir et se présenter. Quitte à rester coincés là autant faire connaissance hein? Elle marqua une pause, pesant le pour et le contre de l'utilité d'une telle conversation, avant de se résoudre aux faits : elle n'avait rien de mieux à proposer pour le moment. « Na Ri » Court et efficace. Les small talk n'avaient jamais été sa tasse de thé. Et cette lumière qui commençait vraiment à lui faire mal aux yeux. Heureusement pour elle, elle était prévoyante. Fouillant dans son sac, elle trouva une paire de lunettes de soleil et les mit sur son nez immédiatement. Ça allait déjà mieux...(c) SIAL ; icon kawaiinekoj
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Re: oh, please no [libre] | Dim 4 Avr - 1:38
— Il fallait croire qu’il y avait vraiment des jours où il valait mieux rester couché. Cette journée n’avait pourtant pas si mal commencé. Alors pourquoi tout d’un coup ? Est-ce que le sort avait soudainement décidé de s’acharner contre elle ? Ou alors elle s’était retrouvée au mauvais endroit au mauvais moment, et celui qui n’avait pas de chance, c’était celui coincé avec elle. Ah ça y est… Na Ri commençait à partir dans des théories fumeuses. Il fallait qu’elle arrête de regarder autant de séries, ça rendait son cerveau paranoïaque. Un nouveau soupir qui s’échappait. Son impatience se transformait doucement en résilience. Et son compagnon de cellule ne semblait pas plus optimiste qu’elle. Dehors ces gens qui continuaient leur vie comme si de rien n’était. Elle n’aimait vraiment pas cette situation. Elle aussi elle avait des choses à faire. Une vie à mener. Alors pourquoi on lui infligeait de rester sur place comme ça ? Bloquée. Sans aucun contrôle sur la situation. Elle détestait ça. Fusillait du regard le personnel du magasin qui passait par là, comme si elle pouvait leur transmettre par télépathie son avis sur leur incompétence. Des présentations qui se firent malgré eux. Après tout, si ces fichues portes ne s’étaient pas bloquées, jamais ils ne se seraient parlé. Ils n’auraient probablement fait que croiser le chemin l’un de l’autre, et ça aurait été terminé. « Merveilleux oui… confortable, avec vue panoramique sur la faune locale… » Ironie partagée. Au moins elle n’était pas piégée avec un de ces hyper enthousiastes qui vivent dans le monde des bisounours. « Ne manquerait plus que de quoi boire et grignoter et on y resterait des heures… » Rire amer qui s’échappe de ses lèvres, visage dur qui laisse place à un sourire moqueur. Sauf que ce n’était pas elle qui se moquait, mais plutôt le hasard qui aimait trop s’amuser d’eux, pauvres humains à sa merci. Elle se décolla finalement de la baie vitrée. Posa son sac par terre. De toute façon ce n’était pas comme s’ils allaient se dépêcher n’est-ce pas ? Retira même sa veste avant de la poser sur son sac. S’étirait les bras et le dos. Elle avait presque l’impression que ça faisait déjà une heure qu’ils étaient coincés là. Un coup d’œil sur sa montre lui fit prendre conscience que ça ne devait faire qu’une quinzaine de minutes à peine. Dehors des gamins qui passaient et qui s’amusaient de leur situation. Leur firent des grimacent et prirent des photos, comme s’ils se pensaient dans un zoo. Na ri qui leur jeta son regard le plus noir accompagné d’un doigt d’honneur. C’était rare pour elle de lâcher ce genre de geste, mais là elle n’en avait plus grand-chose à faire.
| | | oh, please no ; ft @Im Seong Hwan |
— Il fallait croire qu’il y avait vraiment des jours où il valait mieux rester couché. Cette journée n’avait pourtant pas si mal commencé. Alors pourquoi tout d’un coup ? Est-ce que le sort avait soudainement décidé de s’acharner contre elle ? Ou alors elle s’était retrouvée au mauvais endroit au mauvais moment, et celui qui n’avait pas de chance, c’était celui coincé avec elle. Ah ça y est… Na Ri commençait à partir dans des théories fumeuses. Il fallait qu’elle arrête de regarder autant de séries, ça rendait son cerveau paranoïaque. Un nouveau soupir qui s’échappait. Son impatience se transformait doucement en résilience. Et son compagnon de cellule ne semblait pas plus optimiste qu’elle. Dehors ces gens qui continuaient leur vie comme si de rien n’était. Elle n’aimait vraiment pas cette situation. Elle aussi elle avait des choses à faire. Une vie à mener. Alors pourquoi on lui infligeait de rester sur place comme ça ? Bloquée. Sans aucun contrôle sur la situation. Elle détestait ça. Fusillait du regard le personnel du magasin qui passait par là, comme si elle pouvait leur transmettre par télépathie son avis sur leur incompétence. Des présentations qui se firent malgré eux. Après tout, si ces fichues portes ne s’étaient pas bloquées, jamais ils ne se seraient parlé. Ils n’auraient probablement fait que croiser le chemin l’un de l’autre, et ça aurait été terminé. « Merveilleux oui… confortable, avec vue panoramique sur la faune locale… » Ironie partagée. Au moins elle n’était pas piégée avec un de ces hyper enthousiastes qui vivent dans le monde des bisounours. « Ne manquerait plus que de quoi boire et grignoter et on y resterait des heures… » Rire amer qui s’échappe de ses lèvres, visage dur qui laisse place à un sourire moqueur. Sauf que ce n’était pas elle qui se moquait, mais plutôt le hasard qui aimait trop s’amuser d’eux, pauvres humains à sa merci. Elle se décolla finalement de la baie vitrée. Posa son sac par terre. De toute façon ce n’était pas comme s’ils allaient se dépêcher n’est-ce pas ? Retira même sa veste avant de la poser sur son sac. S’étirait les bras et le dos. Elle avait presque l’impression que ça faisait déjà une heure qu’ils étaient coincés là. Un coup d’œil sur sa montre lui fit prendre conscience que ça ne devait faire qu’une quinzaine de minutes à peine. Dehors des gamins qui passaient et qui s’amusaient de leur situation. Leur firent des grimacent et prirent des photos, comme s’ils se pensaient dans un zoo. Na ri qui leur jeta son regard le plus noir accompagné d’un doigt d’honneur. C’était rare pour elle de lâcher ce genre de geste, mais là elle n’en avait plus grand-chose à faire.(c) SIAL ; icon kawaiinekoj
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