le cruor bouillonnait en lui tel un volcan prêt à déverser sa lave. nul doute que yanjun était peu remis de l'attaque qu'avait subi sa fraternité. c'était trop. beaucoup trop pour rester serein et passer outre. un ressenti visiblement partagé de tous, puis qu'ils étaient à présent tous réunis, non loin de l'entrée des beolsaes, à attendre le moment opportun pour commettre leurs méfaits. et ô, quelle liste avaient-ils préparé ! les oranges s'apprêtaient à le regretter amèrement.


le sourire figé aux lèvres, lueur d'une mesquinerie qui tambourinait dans son crâne. d'un geste de ses mains, il réajusta le bandana hautement noué autour de son crâne, avant de regarder ses camarades. prêts ? parce que lui, il l'était, le sac à dos férocement gardé contre son torse. va falloir forcer l'entrée. qui se lance ?

  Le bruit tire Daeul de sa lecture. La première pensée qu’il eut fut la suivante : qui était le crétin qui avait oublié comment d’ouvrir la porte ? Pour autant, s’il s’aventura en pantoufle hors de sa chambre, il remonta bien vite les escaliers pour lancer l’alarme à ses camarades. « Réveillez-vous les gars… je crois qu’on a de la visite ? ». L’attaque de la veille était encore fraiche, il ne s’attendait pas à ce que les représailles puissent avoir lieu aussi tôt, ou qu’une autre fraternité profite du moment pour y mettre son grain de sel. Pour le moment, il lui était impossible de déterminer qui était les parfaits étrangers. Le jeune homme se dépêche de frapper à toutes les portes de l’étage pour réveiller chaque Beolsae qui n’avait pas encore pris le train pour voir Morphée.

Réussite : Daeul met la main sur un mégaphone et lance officiellement l’alerte.
Echec : Daeul ne trouve rien et est obligé de frapper à toutes les portes.