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Ahn Da Hwon - My mind is not free and never was
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Ahn Da Hwon - My mind is not free and never was | Sam 6 Mar - 11:54 Citer EditerSupprimer
Ahn Da Hwon
Set me free or put me down
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Il parait que... - J’ai été élevé à l’écart de la société et que je n’ai reçu qu’une éducation rudimentaire. - Je n’ai pas été bien traité par mes parents et ça a conditionné mon comportement actuel et ma relation aux gens. - C’est en volant un carnet et des crayons que je me suis mis à dessiner. - Mes parents ne savent pas que j’ai commencé des études, ils ne savent rien depuis que je me suis enfui. Je ne sais plus rien d’eux non plus. - J’ai vendu mon corps pour payer mes études. C’est faux, si j’ai pas mal d’aventures à mon compteur c’est toujours pour mon plaisir et celui de mes partenaires. Pas pour payer quoi que ce soit. - Je suis stupide et illettré. Certes j’ai appris à écrire et lire tard, mais j’ai réussi à engranger des connaissances, ça me suffit à vivre même si je suis considérablement en retard. - Je serais parti avec les économies de mes parents. Je n’ai peut être pas une bonne conception du bien et du mal, mais tout de même… - Je ne sais pas comment me comporter en société. Pas comme un gamin. Mais beaucoup de choses m’intriguent encore. Mes comportements sont souvent exagérés, déplacés, parce qu’on ne m’a jamais appris quoi dire ou quoi faire. | Dis nous qui tu es ! Je sais ce que vous allez dire. Pauvre garçon. Comment il a fait. Et comment il va faire dans la vie avec ce genre d’état d’esprit ? Je dois avouer que je ne sais pas vraiment où je vais. Parce que ce monde je ne le connais pas vraiment. Je ne connais pas ses codes les plus élémentaires et les relations humaines restent compliquées, même si ça va mieux de ce côté je dois l’avouer. Par où commencer ? Je suis très naïf. J’ai du mal à ne pas croire les gens et ce qu’ils disent. Vous vous rendez compte à quel point c’est dangereux pour moi ? J’ai été élevé pour ne suivre que la voix de mes parents, pour répondre aux ordres et dire oui. Pas pour douter des gens et surtout pas de mes parents. Alors pourquoi je douterais des gens maintenant ? Ah je suis également assez réservé. Disons que comme je ne sais pas me comporter en société, c’est compliqué pour moi d’adopter les bons comportements avec les gens, du coup mes remarques, mes mots peuvent-être déplacés ou blessants. Du coup je me tiens à l’écart, je fais rarement le premier pas, laissant les gens venir me voir. Je suis également très craintif. Certaines images de mes parents me restent. Gravées à l’encre noire dans ma rétine et ce à jamais. Je ne pourrais jamais oublier ce qu’ils ont pu faire et maintenant que je prends du recul je pense que je ne serai jamais capable de les pardonner. Alors je reste dans la peur de personnes un peu comme eux, de personnes qui pourraient me faire du mal. Quand ça devient trop pour moi je me renferme automatiquement et ce n’est pas rare qu’une crise de panique s’en suive. Si vous me voyez comme ça, le mieux est encore de me laisser seul. Je ne voudrais pas m’en prendre à vous dans un moment de faiblesse. J’ai été conditionné pendant toute mon enfance. Conditionné à obéir. Alors même si vous me faites peur. Ce n’est pas très difficile de me faire faire vos quatre volontés. Même si j’ai plus de discernement là-dessus maintenant, je reste quelqu’un qui obéit facilement, même quand ce n’est pas vraiment dans mon intérêt. Quoi que. J’ai découvert aussi qu’obéir n’avait pas que de mauvais côté, dans certaines situations. Globalement, je suis quelqu’un de calme. Je m’emporte très rarement. Un autre côté de mon conditionnement j’imagine. Si je me mettais en colère, si je voulais me rebeller, la punition était cuisante. Alors on va dire que j’ai choisi la tranquillité aux vagues. Et puis je ne me vois pas être quelqu’un de méchant ou de colérique juste parce que c’est ce qu’il faut pour se faire respecter. Je suis qui je suis, et même si c’est pas facile, ça me suffit amplement. Calme et gentil. Obéissant et tendre. Sensuel aussi. C’est quelque chose que j’ai découvert chez moi. Que je pouvais séduire. Et même si ça reste très bancal chez moi, parce que je ne sais pas comment ça fonctionne. Mais je me suis vite rendu compte que je peux jouer de mon physique, de mon apparence et quelque part j’aime ça. C’est ma petite partie de libre arbitre de paraître comme je le veux. Pour finir je dirais que je porte un masque de tendresse. Parce que je veux être tout sauf ce que mes parents ont fait de moi. Mais au fond de moi il y a cette violence qui sommeille. Ce côté sombre que je dois à mon enfance. On élève pas un enfant de cette façon sans qu’il y ait de conséquences. La plupart du temps, ça se manifeste par des accès de violence, par des cris et des larmes. Quand cet alter ego sombre prend place, je ne me reconnais plus et pourtant je sais que c’est moi… Voilà ce que je suis, ne fuyez pas, encore aujourd’hui j’ai besoin de monde autour de moi, plus que jamais. |
Aeterni Hehe oui je suis de retour, je n'ai pas pu résister tellement je me sens bien ici. Merci de m'avoir si bien accueillie, je compte bien rester m'amuser ici pendant longtemps
ps; supprimez le code inutile. |
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Re: Ahn Da Hwon - My mind is not free and never was | Sam 6 Mar - 11:55 Citer EditerSupprimer
It's my life...
Someone to free my mind, or to own it
TW// Cette histoire d'enfance maltraitée (sans entrer dans les détails, mais je veux prévenir pour les personnes les plus sensibles).
Est-ce qu’on peut appeler mon enfance une enfance ? Est-ce que mes parents m’ont vraiment élevé ? C’est une bonne question. Non ? Je me suis documenté sur le sujet. Et j’ai beaucoup lu comme quoi certaines personnes, pour se défendre, pour avancer, “décident” d’oublier. Leur cerveau efface provisoirement les événements pour ne pas se ressasser. Quelque part j’aurais voulu que ça se passe comme ça, parce que mes souvenirs sont un grand frein dans ma vie. Je n’ai pas vraiment connu le monde extérieur avant le collège. Je viens d’une famille influente vous voyez. Ce genre de famille qui fait tout pour contrôler tous les détails autour d’eux pour que tout se passe bien comme ils le souhaitent. Pour gagner encore plus d’influence. Encore plus d’argent et de pouvoir. Et j’étais un de ces petits détails à contrôler. Ma vie, un instrument dans leurs mains pour perpétuer l’héritage de la grande famille Ahn. Oh n’allez pas croire que je n’étais pas désiré. Au contraire. Mes parents voulaient de moi. Pour se servir de moi et de mon futur mais j’étais désiré. Mon enfance, si on peut l’appeler comme ça, a suivi une route bien déterminée. Je ne sortais pas ou alors juste dans le jardin. Je faisais les cours à la maison, ma mère m’enseignait tout ce qu’il fallait, tout ce que j’avais besoin de savoir selon elle. Et surtout, je devais obéir, dire oui à tout. J’ai essayé de tester les limites. De les pousser à bout en ne faisant pas ce qu’ils voulaient. J’ai vite arrêté. Je me souviens de leurs mots. Je me souviens de leurs gestes et je n’oublierai jamais. Je ne peux pas et je ne veux pas. Ma tête garde autant de séquelles que mon corps. Si j’ai décidé à continuer d’obéir c’est en gardant en tête le jour où je m’enfuirai. Loin d’eux. Pour toujours.
A un moment ils se sont rendus compte que l’éducation de ma mère ne suffirait pas. Pour eux tout allait bien. J’étais le parfait petit robot. J’obéissais, je ne parlais pas aux gens qui venaient à la maison, ou avec des formules toutes faites. Vide, j’étais vide. J’allais devoir sortir de chez moi pour la première fois. Aller au collège. Rencontrer des gens. Ça me faisait peur. Très peur. Mes premiers contacts sociaux. J’avais des règles strictes de la part de mes parents. Aller en cours, être performant, parler le moins possible. Sauf avec les personnes intéressantes socialement pour la famille. J’étais déréglé. Comme sortant d’une secte. J’avais des codes mais pas les bons. Bien entendu, j'étais en échec scolaire. Je ne savais rien à rien. Socialement parlant je veux dire. Je savais les choses en cours, mais j’étais incapable de bien travailler. Je me suis fais quelques amis. Sûrement pas les personnes que mes parents auraient aimé. Mais au moins c’était des gens qui comprennent ma situation. Tandis que d’autres ont bien compris que j’étais du genre à obéir au doigt et à l’oeil. C’est à ce moment là que je suis tombé amoureux d’un de mes amis. Du moins que j’ai expérimenté ce que les autres m’ont décrit comme de l’amour, car j’étais étranger à ce genre de concept. Je n’ai rien dit. Je ne voulais pas me faire juger. J’ai gardé ça pour moi. Je m’en foutais d’aimer autant les femmes que les hommes. Je ne voyais pas pourquoi certaines personnes n'apprécient pas. Pour moi c’est normal. Et la société que je découvrais petit à petit me semblait bien moche.
Mauvaises notes, mauvaises fréquentations. Mes parents n’ont pas du tout apprécié. Puni une nouvelle fois. Menacé d’être à nouveau coupé du monde. J’ai dû redoubler d’effort pour passer les différentes années du calvaire qu'ont été les années du collège. Ce qui m’a aidé à tenir c’est ce petit carnet. Un jour dans une boutique j’ai volé un carnet de dessin et des crayons. J’ai commencé à dessiner en autodidacte. Comme ça, sur un coup de tête. C’est devenu une passion. Puis une bouteille d’oxygène nécessaire à ma survie.
Arrive le lycée. Je suis un peu plus libre. En apparences bien entendu. Mes parents gardant un oeil sur moi. C’est à ce moment-là que j’ai découvert que je pouvais séduire. J’étais un peu plus ouvert aux codes de la société et j’ai appris certaines choses. Que je plaisais. Que je pouvais m’en servir. Je n’ai jamais plus connu l’amour. Mais j’ai appris qu’obéir avait aussi des côtés plaisants. J’ai pu m’ouvrir sur moi-même pendant cette période. Mais l’Épée de Damoclès est retombée sur ma tête. Mes parents m’ont interdits d’Université. Travailler pour eux. Pour leur gloire c’est ce que je devais faire. Intégrer l’entreprise à leur service. Comme un bon soldat. J’allais accepter quand j’ai tilté. J’avais commencé à vendre des portraits et je me suis fais un peu d’argent. Alors du jour au lendemain. Sans un mot sans rien je suis parti. Adieu Busan. Bonjour Séoul. Loin. Je suis parti loin sans aucune chance de succès. Je suis arrivé à la capitale. Mes résultats du lycée m’ont permis d’avoir une bourse pour mes études. Et me voilà. En art. La risée de ma famille. Je ne sais même pas si mes parents me cherchent ou si je leur manque. Et je m’en fiche. Ma vie est entre mes mains. Peut-être que je trouverais quelqu’un pour libérer mon âme… Ou pour la voler…
Est-ce qu’on peut appeler mon enfance une enfance ? Est-ce que mes parents m’ont vraiment élevé ? C’est une bonne question. Non ? Je me suis documenté sur le sujet. Et j’ai beaucoup lu comme quoi certaines personnes, pour se défendre, pour avancer, “décident” d’oublier. Leur cerveau efface provisoirement les événements pour ne pas se ressasser. Quelque part j’aurais voulu que ça se passe comme ça, parce que mes souvenirs sont un grand frein dans ma vie. Je n’ai pas vraiment connu le monde extérieur avant le collège. Je viens d’une famille influente vous voyez. Ce genre de famille qui fait tout pour contrôler tous les détails autour d’eux pour que tout se passe bien comme ils le souhaitent. Pour gagner encore plus d’influence. Encore plus d’argent et de pouvoir. Et j’étais un de ces petits détails à contrôler. Ma vie, un instrument dans leurs mains pour perpétuer l’héritage de la grande famille Ahn. Oh n’allez pas croire que je n’étais pas désiré. Au contraire. Mes parents voulaient de moi. Pour se servir de moi et de mon futur mais j’étais désiré. Mon enfance, si on peut l’appeler comme ça, a suivi une route bien déterminée. Je ne sortais pas ou alors juste dans le jardin. Je faisais les cours à la maison, ma mère m’enseignait tout ce qu’il fallait, tout ce que j’avais besoin de savoir selon elle. Et surtout, je devais obéir, dire oui à tout. J’ai essayé de tester les limites. De les pousser à bout en ne faisant pas ce qu’ils voulaient. J’ai vite arrêté. Je me souviens de leurs mots. Je me souviens de leurs gestes et je n’oublierai jamais. Je ne peux pas et je ne veux pas. Ma tête garde autant de séquelles que mon corps. Si j’ai décidé à continuer d’obéir c’est en gardant en tête le jour où je m’enfuirai. Loin d’eux. Pour toujours.
A un moment ils se sont rendus compte que l’éducation de ma mère ne suffirait pas. Pour eux tout allait bien. J’étais le parfait petit robot. J’obéissais, je ne parlais pas aux gens qui venaient à la maison, ou avec des formules toutes faites. Vide, j’étais vide. J’allais devoir sortir de chez moi pour la première fois. Aller au collège. Rencontrer des gens. Ça me faisait peur. Très peur. Mes premiers contacts sociaux. J’avais des règles strictes de la part de mes parents. Aller en cours, être performant, parler le moins possible. Sauf avec les personnes intéressantes socialement pour la famille. J’étais déréglé. Comme sortant d’une secte. J’avais des codes mais pas les bons. Bien entendu, j'étais en échec scolaire. Je ne savais rien à rien. Socialement parlant je veux dire. Je savais les choses en cours, mais j’étais incapable de bien travailler. Je me suis fais quelques amis. Sûrement pas les personnes que mes parents auraient aimé. Mais au moins c’était des gens qui comprennent ma situation. Tandis que d’autres ont bien compris que j’étais du genre à obéir au doigt et à l’oeil. C’est à ce moment là que je suis tombé amoureux d’un de mes amis. Du moins que j’ai expérimenté ce que les autres m’ont décrit comme de l’amour, car j’étais étranger à ce genre de concept. Je n’ai rien dit. Je ne voulais pas me faire juger. J’ai gardé ça pour moi. Je m’en foutais d’aimer autant les femmes que les hommes. Je ne voyais pas pourquoi certaines personnes n'apprécient pas. Pour moi c’est normal. Et la société que je découvrais petit à petit me semblait bien moche.
Mauvaises notes, mauvaises fréquentations. Mes parents n’ont pas du tout apprécié. Puni une nouvelle fois. Menacé d’être à nouveau coupé du monde. J’ai dû redoubler d’effort pour passer les différentes années du calvaire qu'ont été les années du collège. Ce qui m’a aidé à tenir c’est ce petit carnet. Un jour dans une boutique j’ai volé un carnet de dessin et des crayons. J’ai commencé à dessiner en autodidacte. Comme ça, sur un coup de tête. C’est devenu une passion. Puis une bouteille d’oxygène nécessaire à ma survie.
Arrive le lycée. Je suis un peu plus libre. En apparences bien entendu. Mes parents gardant un oeil sur moi. C’est à ce moment-là que j’ai découvert que je pouvais séduire. J’étais un peu plus ouvert aux codes de la société et j’ai appris certaines choses. Que je plaisais. Que je pouvais m’en servir. Je n’ai jamais plus connu l’amour. Mais j’ai appris qu’obéir avait aussi des côtés plaisants. J’ai pu m’ouvrir sur moi-même pendant cette période. Mais l’Épée de Damoclès est retombée sur ma tête. Mes parents m’ont interdits d’Université. Travailler pour eux. Pour leur gloire c’est ce que je devais faire. Intégrer l’entreprise à leur service. Comme un bon soldat. J’allais accepter quand j’ai tilté. J’avais commencé à vendre des portraits et je me suis fais un peu d’argent. Alors du jour au lendemain. Sans un mot sans rien je suis parti. Adieu Busan. Bonjour Séoul. Loin. Je suis parti loin sans aucune chance de succès. Je suis arrivé à la capitale. Mes résultats du lycée m’ont permis d’avoir une bourse pour mes études. Et me voilà. En art. La risée de ma famille. Je ne sais même pas si mes parents me cherchent ou si je leur manque. Et je m’en fiche. Ma vie est entre mes mains. Peut-être que je trouverais quelqu’un pour libérer mon âme… Ou pour la voler…
Han Kyung Ho
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Re: Ahn Da Hwon - My mind is not free and never was | Sam 6 Mar - 12:01 Citer EditerSupprimer
Ah le voilà enfin
Rebienvenue et quel bon choix (mais ça, tu le sais déjà MDR )
Bon courage pour ta fiche
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Rebienvenue et quel bon choix (mais ça, tu le sais déjà MDR )
Bon courage pour ta fiche
Stay here with me
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Re: Ahn Da Hwon - My mind is not free and never was | Sam 6 Mar - 12:06 Citer EditerSupprimer
Hehe oui il est enfin là ce petit cutie ** J'ai cru comprendre que tu aimais pas mal ce petit monsieur oui (a) Merci beaucoup, je fini ma fiche ce soir et demain pour venir vous embêter rapidement avec lui hehe
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Re: Ahn Da Hwon - My mind is not free and never was | Sam 6 Mar - 12:29 Citer EditerSupprimer
le voilà
rebienvenu parmi nous
je ne peux qu'approuver changmin en avatar
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Re: Ahn Da Hwon - My mind is not free and never was | Sam 6 Mar - 21:57 Citer EditerSupprimer
Ayayayaya Rebienvenue par ici, je suis curieuse de lire la suite car ces rumeurs m'intriguent beaucoup sur son parcours Bonne continuation et amuse-toi bien petit requiiiiin
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Re: Ahn Da Hwon - My mind is not free and never was | Sam 6 Mar - 23:00 Citer EditerSupprimer
Re bienvenue à toi
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Re: Ahn Da Hwon - My mind is not free and never was | Dim 7 Mar - 7:52 Citer EditerSupprimer
rebienvenue
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Re: Ahn Da Hwon - My mind is not free and never was | Dim 7 Mar - 22:43 Citer EditerSupprimer
rebienvenue ici
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Re: Ahn Da Hwon - My mind is not free and never was | Dim 7 Mar - 22:47 Citer EditerSupprimer
Rebienvenue
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