last deal. ft jaehwa
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last deal. ft jaehwa | Jeu 22 Avr 2021 - 20:52 Citer EditerSupprimer
Im Khaliyan & @jeong jae hwa
L A S T D E A L
Détournant le regard, Srey retient une grimace. Elle savait que c’était dans ce monde qu’elle avait grandi, et que son enfant grandirait. Témoin de scène que le commun des mortels jugerait atroce, elle espérait que Yohan puisse se réveiller à temps … Parce que Srey savait qu’elle aurait besoin de lui, de sa présence, qu’il soit là, à ses côtés, qu’il soit le père dont aura cruellement besoin leur enfant. Elle n’était pas certaine de pouvoir s’en sortir seule. Mais le coma dans lequel était plongé son fiancé, désormais mari, semblait s’éterniser. Encore et encore … Fort heureusement elle arrivait encore à cacher sa grossesse mais malgré ses vêtements amples, ceux à l’œil le plus aguerri, arrivaient à deviner les courbes naissantes de son bas ventre. Chose dangereuse pour son milieu. Les suppliques de l’homme lui parvenaient à travers la porte fermée, assise en attendant que son oncle soit disponible, elle était encadrée de ses gardes du corps. Les cris de douleurs étaient choses communes dans son monde et pourtant Srey ne pouvait s’empêcher de grimacer. La violence était une chose pour laquelle elle n’avait aucun attrait, mais nécessaire pour punir. Elle l’avait appris en grandissant et son oncle n’était pas un homme qui levait la main facilement, mais il avait un code d’honneur qu’il respectait sans aucune exception. Les bleus sur le corps de Yohan en avaient été la preuve. Il pouvait les aimer comme ses propres enfants, les écarts du garçon n’avaient jamais été laissé impunis. Srey, elle, avait eu la chance de ne recevoir qu’une faible punition le jour où elle avait désobéi à son oncle pour protéger Yohan. A croire qu’il n’avait pas eu le cœur d’avoir la main trop lourde sur sa nièce, mais l’exemple avait été donné. Pas d’exception. Puis les cries cessent enfin pour ne laisser place qu’à des gémissements lointains. La porte s’ouvre, Srey se lève. Deux hommes dont la carrure en impose sortent en premier de la salle, suivit de son oncle qui essuie négligemment son poing ensanglanté. Le visage trop doux pour ce monde, Khaliyan affiche un sourire tendre malgré tout et s’approche de lui. « N’as-tu pas été trop sévère aujourd’hui mon oncle ? » Souffle-t-elle en l’aidant à reboutonner sa chemise qu’il avait sûrement dû ouvrir pour être plus à l’aise dans ses mouvements. Un sourire amusé au coin des lèvres, il ne répondra pas à cette question rhétorique. Il n’était pas un homme mauvais, et de tous, il était bien le seul dont Srey excusait le comportement. Sa loyauté envers son oncle était sans borne et qu’importe l’illégalité de leur échange, il avait été le seul à prendre soin d’elle ainsi. Nouant ce linge blanc autour de son poing pour lui prodiguer des premiers soins sommaires, la jeune femme peut sentir la main libre de son oncle se poser sur son ventre. « Comment se porte mon héritier ? » demande-t-il avec affection. Rare était les personnes au courant, et les gardes du corps présents étaient ceux dont la confiance était prouvée. « Bien, mon oncle. » sourit-elle en posant ses deux mains sur la sienne. « Je dois régler quelques affaires aujourd’hui, mais pourquoi ne pas venir diner à la maison ce soir ? » lui propose-t-elle en ajustant le col de sa chemise comme le ferait une fille avec son parent. « Madame, il est arrivé. » souffla alors un homme arrivé discrètement à l’attention de Khaliyan. « Bien, installez le dans le bureau, j’arrive. » dit-elle alors que son visage retrouvait sa froideur. Elle n’avait de douceur à offrir que pour ses proches et sa beauté n’en était que plus captivante ainsi. Elle avait alors traversé les locaux pour rejoindre le bureau qu’occupait d’ordinaire Yohan, son coma avait été tenu secret et Il Kyang se faisait passer pour lui au besoin. Entrant dans la pièce, elle lança d’une voix calme, presque douce « Bonjour M. Jeong. » avant de contourner le bureau pour s’asseoir dans le grand fauteuil.
AVENGEDINCHAINS
Détournant le regard, Srey retient une grimace. Elle savait que c’était dans ce monde qu’elle avait grandi, et que son enfant grandirait. Témoin de scène que le commun des mortels jugerait atroce, elle espérait que Yohan puisse se réveiller à temps … Parce que Srey savait qu’elle aurait besoin de lui, de sa présence, qu’il soit là, à ses côtés, qu’il soit le père dont aura cruellement besoin leur enfant. Elle n’était pas certaine de pouvoir s’en sortir seule. Mais le coma dans lequel était plongé son fiancé, désormais mari, semblait s’éterniser. Encore et encore … Fort heureusement elle arrivait encore à cacher sa grossesse mais malgré ses vêtements amples, ceux à l’œil le plus aguerri, arrivaient à deviner les courbes naissantes de son bas ventre. Chose dangereuse pour son milieu. Les suppliques de l’homme lui parvenaient à travers la porte fermée, assise en attendant que son oncle soit disponible, elle était encadrée de ses gardes du corps. Les cris de douleurs étaient choses communes dans son monde et pourtant Srey ne pouvait s’empêcher de grimacer. La violence était une chose pour laquelle elle n’avait aucun attrait, mais nécessaire pour punir. Elle l’avait appris en grandissant et son oncle n’était pas un homme qui levait la main facilement, mais il avait un code d’honneur qu’il respectait sans aucune exception. Les bleus sur le corps de Yohan en avaient été la preuve. Il pouvait les aimer comme ses propres enfants, les écarts du garçon n’avaient jamais été laissé impunis. Srey, elle, avait eu la chance de ne recevoir qu’une faible punition le jour où elle avait désobéi à son oncle pour protéger Yohan. A croire qu’il n’avait pas eu le cœur d’avoir la main trop lourde sur sa nièce, mais l’exemple avait été donné. Pas d’exception. Puis les cries cessent enfin pour ne laisser place qu’à des gémissements lointains. La porte s’ouvre, Srey se lève. Deux hommes dont la carrure en impose sortent en premier de la salle, suivit de son oncle qui essuie négligemment son poing ensanglanté. Le visage trop doux pour ce monde, Khaliyan affiche un sourire tendre malgré tout et s’approche de lui. « N’as-tu pas été trop sévère aujourd’hui mon oncle ? » Souffle-t-elle en l’aidant à reboutonner sa chemise qu’il avait sûrement dû ouvrir pour être plus à l’aise dans ses mouvements. Un sourire amusé au coin des lèvres, il ne répondra pas à cette question rhétorique. Il n’était pas un homme mauvais, et de tous, il était bien le seul dont Srey excusait le comportement. Sa loyauté envers son oncle était sans borne et qu’importe l’illégalité de leur échange, il avait été le seul à prendre soin d’elle ainsi. Nouant ce linge blanc autour de son poing pour lui prodiguer des premiers soins sommaires, la jeune femme peut sentir la main libre de son oncle se poser sur son ventre. « Comment se porte mon héritier ? » demande-t-il avec affection. Rare était les personnes au courant, et les gardes du corps présents étaient ceux dont la confiance était prouvée. « Bien, mon oncle. » sourit-elle en posant ses deux mains sur la sienne. « Je dois régler quelques affaires aujourd’hui, mais pourquoi ne pas venir diner à la maison ce soir ? » lui propose-t-elle en ajustant le col de sa chemise comme le ferait une fille avec son parent. « Madame, il est arrivé. » souffla alors un homme arrivé discrètement à l’attention de Khaliyan. « Bien, installez le dans le bureau, j’arrive. » dit-elle alors que son visage retrouvait sa froideur. Elle n’avait de douceur à offrir que pour ses proches et sa beauté n’en était que plus captivante ainsi. Elle avait alors traversé les locaux pour rejoindre le bureau qu’occupait d’ordinaire Yohan, son coma avait été tenu secret et Il Kyang se faisait passer pour lui au besoin. Entrant dans la pièce, elle lança d’une voix calme, presque douce « Bonjour M. Jeong. » avant de contourner le bureau pour s’asseoir dans le grand fauteuil.