contre son grès, son corps se retrouvait installé auprès de ces vieilles figures. armée de son courage, de son mécontentement et de ces accoutrements ridicules. criant à l'injustice, se sentant exploitée. c'est finalement, accompagnée de sa plus proche amie qu'elle sera en mesure de prendre place au travers des ces terres, ces champs. semblable à ce cocoon familial longtemps dénigré, ôté de son quotidien. “ sérieusement ? „ du bout de ses doigts, sa tenue sera observée. d'une chemise à carreaux, agrémentée de ce vulgaire pantalon floral et d'un large couvre-chef. le résultat était sans équivoque : abominable. une mine désabusée s'aventure à prendre possession de son joli minois. “ notons que, c'est pour une cause humanitaire, une bonne cause. „ d'innombrables choux furent alors, distingués. elles se devaient de ramasser ceux-ci avec mégarde, délicatesse ; des gestes souples étaient alors, demandés. d'un ricanement cristallin, c'est un énième regard à l'intention de sa camarade. “ je ne sais pas si la reine du bal a toujours été si... classe et divine, mais cela te convient étrangement bien, comme tenue. „ d'une main apposée à l'encontre de la cambrure dorsale de son amie, du courage (il leur en faudrait aujourd'hui). car, ses nuits s'écourtaient au fil du temps qui défilait. des rendus, de l'art tardif et nocturne. rendant ainsi, ses guiboles en coton, ses bras en mousse et son échine fébrile. une activité physique sera-t-elle en mesure de lui redonner goût à la vie ? ou simplement, une fatigue d'avantage présente ?

ni une, ni deux : à pieds joints le champ sera rejoins. fièrement armée d'outillages et d'un large panier en osier. d'une main tendue, elle incitait sa camarade à la rejoindre. plus vite, rejoindraient-elles les vieilles figures ; plus vite, seront-elles en mesure de prendre la poudre d'escampette. la situation est ainsi, visualisée. souvenirs d'antan (désagréables). “ tu verra, c'est facile. même pour une novice telle que toi. „ en de tels mots, s'avouer connaisseuse d'un tel sujet. d'un haussement d'épaules, elle n'était aucunement en mesure de nier cet aspect. auprès de la demoiselle, son passé n'était guère jugé (du moins, elle l'espérait).

La venue dans cet endroit reculé n'avait pour but que de faire une bonne action. Aider son prochain ou son précédent. Apprendre la vie de la campagne les poumons se remplissant d'un air plus pur qui semblait avoir un effet sur ta fatigue. La journée ne faisait que commencer et ta tenue enfilée, tu avais l'étrange impression d'avoir toujours fait cela. Certes tu avais arboré bien plus de jogging que de pantalons à fleur, cependant ils étaient confortable. Cette chemise ne flattait aucun attribut mais ne semblait pas se déchirer sou l'adversité. Un look loin des magasines et des tenue de ville mais pratique pour ce travail qui vous avez été confié. Ton regard se tournant à ton tour vers ton amie tu te mis à rire doucement. " Disons que ça me va mieux que les robes. "Toi qui avait pris l'habitude de couvrir ta peau, de paraître plus masculine que féminine. Toi qui avait joué ce rôle pour ta mère découvrant lentement les plus de la féminité. Prenant goût pourtant à cette tenue presque grotesque. Le courage de ton amie venant remuer tes tripes déjà bien accrochée tu reprenais de l'énergie en ramenant tes bras vers toi, les pings serrés. " Allons y ! On va tout déchirer. " Il le fallait, pour toi , pour elle, pour ces gens qui comptaient sur vous et pour rentrer chez vous tout de même.

Venant alors suivre les pas assurés de son acolyte du jours, qui parcourait le champ telle une vieille terre connue tu hochais doucement la tête accélérant le pas. Tu connaissais son passé et rien dans ce qu'elle ne t'avait dit n'avait posé chez toi un problème. Rien n'avait demandé un traitement spécial et aujourd'hui tu partageais le quotidien de gens qui devaient probablement croire que ceux de la ville étaient fous. Suivre un rythme effréné. Chaque jour se lever, aller dans les transports blindés. Respirer de la pollution, s'étouffer dans un air malsain, n'observer les rayons du soleil que de temps à autre quand notre pause nous l'octroyait. Une vie d'esclave pour certains. "Pourquoi tu as souvent fait ça ? " TU en apprenais tous les jours. Cependant tu observais simplement comment faire, répétant des mouvements assurés des autres, demandant conseil de temps à autre. "Comme ça ? " Le mouvement venant, la tâche serait plus facile. Même si ton dos commençait à crier une douleur que tu ne connaissais pas réellement, même avec tes séances de danse secrète. " Dis moi.. comment on s'est retrouvées ici déjà ? " Vous aviez accepté quoi ? C'était pour la bonne cause, ne cessais tu de te répéter alors que tu prenais un certain plaisir de sentir tes muscles se fatiguer au fur et à mesure. " "C'est drôle. une pointe de folie surement.

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ses jolies bottes de pluie jaunes, s'enfonçait alors, au creux de ces larges étendues boueuses que représentaient : les champs de choux. c'était cruel, sans équivoque un choix qui fut en mesure de jouer à l'encontre de ses nerfs et de sa patiente. néanmoins, elle remerçiait chaque instant qu'il fut d'être accompagnée de sa plus proche camarade au travers de la fraternité, du dortoir, de son quotidien d'étudiante. aussi différentes ; soient-elles. “ j'aurais préféré les animaux, en guise d'occupation. „ d'un ton dédaigneux, c'était son occupation secondaire (hormis, l'art). s'occuper de ces figures animales, leur redonner confiance envers l'espèce humaine et courage au travers de leurs quotidiens. tâches difficiles, mais agréables une fois le résultat observé. “ je dois souligner le fait que tu es étrangement douée à la tâche, peut-être devrais-je te laisser et aller m'amuser seule au LOTTE WORLD. „ de ces mots, résident un désir égoïste de prendre la poudre d'escampette afin de rejoindre un lieu ; totalement différent. digne d'un des plus grands KR évènementiel, une folie des grandeurs. attractions, couleurs vives et pastelles, cris et animations multiples. loins de ces regards vieillards détournés à leurs égards. l'enfer.

“ je rigole, évidemment et, oui. j'ai souvent fait ça, mon père, le voisinage, quiconque dans le village avait besoin d'aide. „ c'était un petit village, bien trop petit pour parvenir à se faire oublier ne serait-ce qu'un court instant. le moindre fait et geste est observé, analysé et retenu. contre son grès, c'était une véritable cage au sein de laquelle elle fut longuement enfermée avant que la capitale ne devienne son asile. “ accroupis-toi correctement, je ne compte pas te ramasser à la petite cuillière lorsque ton dos sera brisé en mille morceaux. „ à ces mots, la position qu'elle effectuait fut démontré. le travail physique demandait d'avantage qu'un simple coup de main et une volonté de fer. le tout se jouait dans les détails, aussi futiles pouvaient-ils être.

Peut être que la prochaine fois que tu entendais "aider " devais tu regarder la mission proposer. Non pas que tu avais peur de te casser un ongle déja court, ou que la sensation de ta botte s'enfonçant ne te déplaise mais tu te sentais un peu perdue dans ce grand champ. Heureusement que tes yeux revenaient toujours vers une silhouette familière. Différente d'accoutumer mais connue. " Bien sûr les animaux c'est toujours préféré. " Mais tu allais avouer que manger était une bonne raison de se battre, ou d'aider son prochain non ? Bien que tu aurais préféré également les animaux, sans faire la fine bouche. Tu n'allais pas nier que ton emploi du temps ne te permettait pas beaucoup d'extra. Des occupations telles qu'elle le faisait n'était pas forcément possible entre ton travail et tes études de plus en plus chronophage. Tout comme tu profitais de tes temps libres pour faire du sport. Voire te plonger dans cette passion cachée. Cependant tu avais réussi à trouver un créneau unique et à te voir faire, cela te plaisait. " Teuteuteu, je suis peut être douée mais si on est toutes les deux douées alors on rentrera plus tôt pas question de t'amuser solo. "Ta gentillesse avait des limites et tu ne voulais pas être seule à tirer ces choux de terre, à travailler jusqu'à sentir quelques gouttes de sueur rouler doucement sur ton front. Tu visualisais la fin et ça te donnait de l'énergie. Imaginer ce verre après toute cette journée passée à aider, à travailler, à t'épuiser.

" Ohhh donc tu es une experte non ? " Cela devrait donc vous aider. Tu imaginais cependant la dureté de la vie quotidienne si il était monnaie courante de faire cela. Peut être n'était ce pas si mauvais pour les autres, toi tu éprouvais simplement de la fatigue bien qu'habituée aux sports. Une autre forme de vie supposais tu. "Ahh .. d'accord..attends " Observant ton acolyte ton esprit se mit à mimer ses gestes et sa posture soupirant de bien être en sentant ton dos être soulagé. Enfin, quelques instants. N'allons pas dire que ce travail était des plus confortable et agréable. Ton corps se tendant rapidement aux gestes répétitifs. quelques coups d'oeil avisés vers ton amie pour observer ses gestes et tu corrigeais, ta posture, ou bien cette façon de faire qu'ils semblaient tous ici maîtriser. La seule et unique fille de la ville. Tu pouvais presque être fière de toi n'est ce pas? " Et du coup on doit faire ça jusqu'à quelle heure ? " LEs renseignements avaient du t'échapper, la réponse facile accusée.

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une unité, un duo imparfait. ainsi, sont-elles nommées. contre leur grès, celui d'autrui et des figures âgées des alentours ; elles seront acharnées à réaliser les tâches quémandées (aussi difficile, cela semble-t-il être). à l'aide d'une once d'aisance, souvenirs d'antan et gestuelles répétitives. “ est-ce que tu souhaites entendre la bonne, ou la mauvaise nouvelle ? „ d'un coup d'oeil, sa montre sera observée. le bout du nez redressé envers sa camarade, une mine désolée s'offrait le loisir d'être démontrée. “ la bonne nouvelle, c'est un repas gratuit. la mauvaise, c'est qu'il faut s'occuper du champ entier avant de l'obtenir. „ donnant-donnant, avaient-ils répliqués. le choix n'est guère offert en de telles circonstances ; les demoiselles se devaient d'agir en connaissance de cause. aider la population dont le besoin se fait ressentir. aider son prochain, son aîné.

“ j'espère que tu n'avais pas un rencard de prévu, car il tombe dans les choux. „ c'est une blague, à demi-mot.  “ je te revaudrais ça, c'est juré. „ de son auriculaire fièrement dressé vers le ciel, c'est une promesse qui sera faite au-delà des astres et du joli minois de son amie. “ à première vue, on se débrouille bien. à première vue... „ de son regard planté vers les alentours, observer autrui. leurs paniers réunis et bien remplis, déjà. c'est une infime victoire qui se devait d'être silencieusement célébrée à l'aide d'un léger rictus. se contente de peu, si peu. pour parvenir à poursuivre ces gestes de manière répétitive. une heure s'est à présent écoulée et, son ventre hurle famine.

Le travail de groupe est plus rapide quand tous y mette la même énergie, alors tu ne comptes pas baisser les bras, bien au contraire, tu prends tes muscles et ta motivation pour les imiter dans des gestes de plus en plus précis, au fur et à mesure du temps. Celle qui t'accompagnait semblait retrouvé les automatisme d'un passé différent du tien, alors tu la copies, tout en lui souriant. Le nez retroussé tu la regardais cependant à cette question annonçant une mauvaise nouvelle. "Les deux. " Après tout nul ne suffisait de se désespérer ni même de rester dans un déni sans faille. Jetant un coup d'oeil au champ, étendu, tu soupirais légèrement. " Quel genre de repas offrent-ils ? " Travailler pour un repas te semblait juste, mais tu espérais qu'il soit consistant après ce sport intensif. Même si ton but ici n'était pas de gagner des choses pour toi mais de donner de ta personne.

Riant alors presque de manière forcée tu la regardais en levant le pouce. "Belle blague, et pour les choux et pour un rencard. Moi avoir un date... et puis quoi ? La probabilité que je récolte des choux est plus élevée. " la preuve tu le faisais en ce moment même. "T'en fais pas.. c'est drôle ça fait sortir, et ça fait faire du sport. On sort un peu de la ville et de la pollution. " Voir le positif, ici c'était mieux qu'enfermer entre quatre murs, et la fatigue de cette nuit balayera toutes tes inquiétudes. Observant les alentours tu confirmes ses dires en hochant alors la tête. "Yoshhhh c'est parti on continue on lâche rien ! "Tu étais coach ou quoi ? Tu continuais tes mouvements vérifiant toujours ceux de tes paires pour reprendre les faux mouvements, évitant ainsi de te faire mal et de détruire ce pauvre champ. "J'ai faimmmm " Dis tu avec un moue triste bien que tes mouvements s'accéléraient. "ON est loin de la fin ? Faim.. FIN hahah " Peut être que le soleil tapait trop fort sur ton crâne.


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s'aventurer au-delà de la capitale. un soulagement, en l'esprit de sa camarade. un calvaire, au sein du sien. au-delà des ces couleurs frivoles, ces buildings et autres folies résident, ce qu'elle n'a jamais possédé jusqu'à ce jour. de la vie, de l'animation. c'est alors, une mine désabusée qui sera dévoilé ; désapprouver ces paroles. un égarement, émanant de son amie (se disait-elle). “ je préférerais être assise sur ces chaises inconfortables, vieilles et usées de l'amphithéâtre, plutôt que d'être ici. „ à ces mots, se redresser délicatement (difficilement et douloureusement). observer les alentours, à nouveau. “ je dirais qu'il est temps de sonner l'heure de la fin, la faim. debout, agricultrice novice. „ à ces mots, l'une de ses mains fut tendues à son amie. l'aider à se redresser en un tel geste, qui se souhaitait amical en amont.

“ le repas sera rudimentaire, mais pas mauvais. c'est déjà ça de gagné. „ à son humble avis, le repas ne serait aucunement autre que du riz, du choux fermenté (plus communément connu sous le nom de “ kimchi „) et du poulet. en dessert, d'éventuels fruits récoltés. suite à leurs gestes, autrui suivait. il était temps pour quiconque le souhaitait de sustenter à ces désirs humains. “ madame, votre repas est servis. „ à l'instar d'innombrables tables boisées, les repas étaient servis ici et là, il ne restait plus qu'à s'installer et déguster sa part.

Deux passés différents amenaient forcément deux sentiments différents. Tu étais ravie de voir ce que tu n'avais jamais connue profitant de cette expérience comme chose unique, nouvelle. Pour ton amie, la redondance, l'ennui et le passé lui revenant tu concevais son mécontentement même si tu aurais aimé qu'elle se sente différemment afin de pouvoir l'aider à passer le temps. "Tu y retourneras bien vite ne t'en fais pas. Et puis tu auras le prof qui parlera pendant des siècles et tu voudras revenir ici, dans le silence. "Un petit rire t'échappant pour lui permettre de sourire. Le temps passait vite, et cela prit tout son sens lorsqu'elle t'indiquait qu'il était l'heure de manger, prenant alors sa main pour te relever comme une vieille. Le dos douloureux, les jambes en compote tu comprenais le vrai sens de sport en ce moment même. " Yeah il est temps.. Omg j'ai mal partout " Une douche chaude, un bain, un rien pour détendre tes muscles et tu serais au paradis.

"Il n'y a pas besoin d'être fancy pour être bon et nourrir donc tout me va. "Et comme réponse tu allais chercher ces aliments qui raviraient ton estomac désespérément vide. "Yeahhh merci. " Venant alors t'asseoir comme toutes les personnes ici tu commençais à manger avec appétit remerciant ceux qui les avaient préparé pour cet effort. "Du coup après on a fini ou on continu ? " Perdue quant à l'emploi du temps flou tu cherchais non pas un moyen de fuir mais plutôt de réfléchir à ta journée. Le repas te réchauffant te préparant pour d'autres longues heures de travail.

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d'une place choisie, son acolyte s'installe. avec mégarde, s'installer auprès de son amie. observer les alentours, les sources nourricières disposées à l'encontre de ces innombrables tables et son bol de riz. d'une main habile et curieuse, dénicher de quelconques légumes. déguster ces souvenirs d'antan, plats reconnus, aimés et aussitôt, un manque. diable, que le temps défile. des jours, des semaines, des mois à présent qu'elle n'avait osé pointer le bout de son nez au sein de sa terre natale. parents inquiets, frère aîné dépassé et sœur cadette désintéressée. coincée, au milieu d'une mascarade. “ hm. „ hésitation suspectée ; se redresser et observer les parcelles légumineuses dressées à leurs encontres. un travail acharné fut réalisé et elles seraient très certainement congédiées suite à ce repas. “ bonne nouvelle, ce repas est notre dernier effort. „ à ces mots, des légumes seront apportés au sein du bol de son amie. “ félicitations pour ce travail, tu mérites amplement. mon prochain tableau sera à ton éfigie, la déesse des choux. „ d'un ricanement cristallin naissant une plaisanterie enfantine. un éclat de joie, suite à ce mécontentement matinal.

“ bus, après ? „ d'un questionnement fut démontré l'arrêt de bus, guère éloigné de l'endroit où elles se trouvaient. bus, offrant à la population le loisir de rejoindre la capitale suite à de longues minutes de trajet. rien de tel, afin de clôturer une journée en bon et dû forme. “ promis, ce soir je me coucherais tôt. „ contrairement à ses habitudes nocturnes d'insomniaque, la fatigue pointait le bout de son nez.

Qeu savais tu ? Des autres? De toi même? Que savais tu des peines pour arriver dans un endroit qu'on ne connaissait pas. Des choix qu'il fallait faire, des sacrifices qu'on se démenaient à abdiquer. Que savais tu? Quand tu te persuadais que la danse n'était qu'un passe temps, que rien ne pouvait venir trahir ta tranquillité, quand ton corps réclamait cette moitié. Un regard qui observait un nouveau paysage, agrémenter d'une chaleur digne d'une famille. Un repas simple mais réconfortant qui donnait à ton corps de quoi sourire, de quoi taquiner ta camarade devenue amie. " C'est une bonne nouvelle. La prochaine fois ça te dit qu'on revienne pour un week-end ? Sans travail juste du repos ? " Pour tout recommencer, partir de rien, écouter la nature, juste vous. Tu en avais besoin. Sentir ton être, l'écouter au lieu de tous ces bruits parasites. Tu avais besoin de prendre du temps pour toi. De tout abandonner pour mieux le retrouver. Un rire accompagné pour ces quelques légumes partagés. La pense remplie tu oubliais, un peu, le reste, le tout. " Merci fais le par un bon artiste alors s'il te plait. avec une couronne de choux. "

L'arrêt pointé tu l'observas un instant. Bol vidé de tout son contenu tu venais lentement te lever et quitter un accoutrement qui n'était pas tien. "Bus. " Lentement prête pour reprendre la voie de la ville tu saluais cependant toutes ces personnes, tous ces gens que tu ne reverrais pas de si tôt, un dernier sourire aux lèvres. "C'est pour ça que j'aime le sport, on peut dormir tôt, et on dort bien. " malgré les courbatures qui venaient entraver chaque position du sommeil. " Pourquoi tu es venue aider ici ? " Que valait il cette peine? Quitte à attendre un bus autant apprendre plus encore de celle qui t'accompagnait. "Dis.. tu aimes quelqu'un toi ? " Surement sorti de nul part, et pourtant brûlant des lèvres timides.

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