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Tae Ha Yoon - infinity
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Tae Ha Yoon - infinity | Sam 11 Déc - 15:15 Citer EditerSupprimer
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- décès - cigarette – alcool – mutilation
TAE HA YOON
dans mon esprit c'est walking dead ((chiloo))
Y aura-t-il une fin ? Mes iris arrêteront-elles de te chercher ? Mes lèvres arrêteront-elles de t’effleurer ? Mon coeur arrêtera-t-il de t’aimer ? Je t’en supplie, ne m’échappe pas, ne me laisse pas sans toi. Laisse-moi te le montrer, qu’un jour, ce sera notre éternité. C'est beau. Mais pas autant que toi, pas autant que cette pudeur que tu exultes, pas autant que cette avidité qui me consume. | IDENTITY CARD |
Il parait que... 1 // Hayoon a grandi uniquement avec l’amour de sa mère, elle n’a donc jamais eu de modèle masculin dans sa vie. Sa mère n’a jamais fréquenté un homme devant sa fille. 2 // Hayoon parle couramment l’anglais et le français, elle rêve d’emménager à Paris un jour pour commencer une nouvelle vie. 3 // Elle ne sait pas cuisiner, c’est pourquoi son frigo est toujours vide et préfèrera toujours manger à l’extérieur. 4 // Est une fan de la saga Harry Potter, et... Elle a un petit faible pour Drago. 5 // Hayoon n’a eu qu’un seul petit ami dans sa vie. 6 // Hayoon passe ses weekends à peindre dans son appartement, ce n’est pas surprenant de la voir avec de la peinture dans les cheveux. 7 // Elle préfèrera toujours une soirée Netflix + pizza, qu’un excellent restaurant. 8 // Elle a tendance à être un peu trop tactile avec les personnes qu’elle apprécie. 9 // Hayoon est une femme assez sportive, entre course à pied, natation et tennis, c’est une pile électrique. 10 // Est allergique au chat. 11 // A toujours été bonne élève, souvent première de sa classe. | Dis nous qui tu es ! KEYBORD : hypersensible + honnête + docile + naïve + gentille + ensuquée + maniaque + courageuse + fidèle + lunatique + maladroite + inexpérimentée + tactile + douce + aimante + détruite + solitude + possessive + jalouse. It starts with you, All I know, So unreal, Watch you go. Un pas dans le chaos, marchant sur une ligne entre la panique et la perte de ton esprit, embrassant la folie de tes démons chuchotant à ton oreille, t’assourdissant de chacune de tes peurs, tu vis dans un cauchemar. T’es un mélange de tout et n’importe quoi Hayoon. Un grand bordel versatile à toi seule d’une âme destructrice. Les brides de ton histoires cernées entre dix doigts, des mains écorchées, abîmées, bien trop endommagées pour croire en elles-mêmes. Devant les autres tu restes cette femme souriante que rien ne semble atteindre, parce que tu te forces à montrer le meilleur de toi-même. Douce et aimante, c’est l’image que tu donnes aux autres. Tu n’as pas envie d’être celle que l’on apprécie par pitié, celle trop amochée pour avancer sans l’aide d’autrui. Pourtant quand tu es seule c’est une autre facette de ta personnalité qui ressort, celle que peu de personne ont vu le reflet. Quand tu rentres chez toi, c’est le retour de bâton, le coup de massue bien trop violent qui s’abat sur toi. Larmes, hurlements, cauchemars sont le quotidien de tes nuits solitaires. Tu cours dans ce tunnel sans en voir le moindre rayon de lumière, sans voir la moindre issue, combien de temps cela va encore durer ? Les cicatrices de ton amour perdu teintées de violet sur ta peau de porcelaine te rappelant à quel point ça fait mal d’aimer. Promesse de museler l’organe vital pour le préserver de l’implosion une fois encore. |
TON PSEUDO Holà alors moi c’est C**** ! J’ai vingt-quatre ans, ewwwwwwwwwww. Je vis dans ma petite maison avec mon chien, voilà voilà, n'y a rien d’exceptionnel. Franchement rentré de Corée du Sud à cause du covid (j’ai la haine), le manque du pays m’a donné envie d’un fofo localisé là-bas... Et je suis tombée sur vous, sur vos bouilles d’amour, sauf celle de @Baek Geon Woo . Je vous love tous, tous, tous. Oh et je suis le pré-lien du magnifique, du somptueux : @Do Ji Yong ♡
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Re: Tae Ha Yoon - infinity | Sam 11 Déc - 15:15 Citer EditerSupprimer
Cold bones
Yeah, that's my love
She hides away like a ghost
Does she know that we bleed the same?
Don't wanna cry but I break that way
Il ne suffit parfois que d’un court instant avant de disparaitre, quelques secondes sont suffisantes pour dire un dernier au revoir au monde. Tu étais allongée dans ton lit, endormie, sans savoir que ta vie allait prendre un virage bien trop serré pour te laisser indemne. Téléphone s’allumant, vibrant à plusieurs reprises jusqu’à ce qu’il termine par tomber de cette petite table où s’était entassé une pile de bouquin, te forçant à te réveiller. Un son à peine inaudible s’échappa de tes lèvres alors que ton prénom venait d’être prononcé avec tristesse, trop brusquement tu venais de faire valser tes draps, tes deux jambes au sol manquant de vaciller. “J’arrive tout de suite.” Ne prenant même pas le temps de te vêtir convenablement, uniquement un manteau venait couvrir ton corps à demi-dévêtue avant que tu ne montes dans le premier taxi en direction de l’hôpital, tu ne savais rien hormis que l’homme dont tu étais éperdument amoureuse venait d’avoir un accident. Tes jambes cisaillant le sol de l’hôpital, cherchant cette chambre où t’attendaient ceux qui venaient de t’appeler quelques minutes auparavant. Pendant un long moment, le silence a régné, il n’y avait que le sifflement du monde qui ne voulait pas quitter tes oreilles. Un homme en blouse blanche est venu vers toi pour te dire que tout allait bien aller, tu l’as regardé d’un air idiot comme-ci tu te moquais de ses paroles. Tournant ton visage sans expression vers celui qui t'es familier, voyant le père de la famille Do que tu connais tant, pleurer la misère du monde. Sa misère à lui, se mordant le poing si fortement que tu as senti ton esprit quitter ton corps le temps d’un instant, incapable de comprendre ce qu’il venait de se passer. Tu es restée là, à le fixer pendant longtemps, tes jambes paralysées ancrées dans le sol, devenant de marbre. La peur, c’est ce sentiment qui a traversé ton être en une fraction de seconde. Aucun visage ne souriait. Uniquement des cris, des pleurs, des paroles terrifiantes sortir de la bouche du monde. T’étais incapable de comprendre, ou plutôt tu te forçais à ne pas vouloir comprendre ce qui se passait derrière ces murs blancs. Une main, celle de l’infirmier vient saisir ton poignet accompagné de quelques mots que l’on balance dans ce genre de circonstance : je suis désolé. Tu as faibli à ce moment, genoux venant s’écrouler contre le carrelage alors qu’aucun son ne daignait sortir de tes lèvres. La réalité en face de tes yeux, tu ne pouvais plus te mentir à toi-même Hayoon, tu étais obligé de comprendre que ces quelques mots ne signifiaient pas une bonne nouvelle, que les pleurs non loin de toi ne signifiaient pas une bonne nouvelle. “Non...” Le déni toujours présent, d’un coup sec tu venais de retirer l’emprise qu’il avait sur toi. “Je ne peux pas vous croire.” Les yeux noyés dans ce liquide salé qui prenait possession de tes iris, comment étais-ce possible ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi lui ? Une centaine de question venait envahir ton esprit dans un brouhaha incessant. Les mains allant à la rencontre du sol, incapable d’affronter le regard des parents de l’être aimé. Ces sourires que tu avais connus n’étaient plus qu’un tas de miette appartenant au passé, ces souvenirs allaient devenir des ombres à l’agonie.
I still remember, third of December, me in your sweater
You said it looked better on me than it did you
Only if you knew, how much I liked you
But I watch your eyes as she walks by
What a sight for sore eyes, brighter than a blue sky
She's got you mesmerized while I die
3h du matin. Poupée de porcelaine qui a volé en éclat en une nuit. Une envie de se vider la tête, de s’échapper d’une certaine partie de la réalité. On boit un verre, puis deux, puis trois et on fini par arrêter de les compter, on ne s’arrête plus. Il faisait noir, il faisait nuit, seules les lumières de ce bar miteux reflétaient sur ta peau blanche ainsi que sur la pile de verre que tu venais d’ingurgiter dans un temps record. Comme-ci c’était ça la solution à chacun de tes problèmes. Retirant le mégot qui se consume entre tes lèvres teintées de rouge, le jetant dans ton verre à moitié vide.
Mis à part l’être humain qui a la chance d’avoir la parole ? On s’en sert pour aider ou nuire à autrui. La parole a une centaine de couleur, divagant du noir au blanc, dépendant du pourquoi ainsi que de la façon de s’en servir. Et toi, ce soir, l’haleine empestant la vodka, tu allais prendre la parole. Machinalement, tu balayes l’écran de ton téléphone pour appeler le seul homme présent dans ta vie. Tu raccroches. Tu appelles une seconde fois, avant de raccrocher à nouveau. Et ainsi de suite jusqu’à tomber sur sa messagerie et tu le sais, tu fais une erreur.
“Je suis désolée. Je ne sais pas où j’en suis et je sais que à cause de ça... Les choses deviennent compliqués à gérer. Ça fait maintenant plusieurs mois que je ne suis plus avec lui mais c’est une page difficile à tourner... Il apparaît parfois dans mes cauchemars pour me rappeler que l’amour c’est quelque chose qui peut faire mal. Puis, il y a toi. Bordel, si tu savais ce que ça me fait de te voir, je ne peux pas, je n’y arrive plus. Le soir, j’attends que tu m’écrives, j’attends que tu m’appelles. Inutile de se le cacher plus longtemps, ce que je ressens pour toi c’est quelque chose que je ne peux pas nier. Ma colère monte quand tu t’éloignes, quand je te vois avec d’autres... Parfois j’ai envie d’être celle que tu désires, la seule pour qui tu donnerais du temps... C’est bizarre n’est-ce pas ?” Un léger rire nerveux venant interrompre tes paroles. “La petite amie de ton frère qui finit par t’avouer ses sentiments... C’est ridicule. Je ne peux pas franchir cette ligne, c’est malsain... Mais je n’arrive pas à faire semblant. Mon cœur s’emballe quand il te voit au point où je me retrouve à détourner les yeux pour ne pas qu’il s’emporte. Pourquoi il a fallu que ça tombe sur toi ? Peut-être que c’est la facilité, que je me raccroche à quelque chose qui a existé, pour continuer dans cette souffrance au lieu de prendre le risque de souffrir une deuxième fois mais... Qu’est-ce que je peux faire ? Je n’ai plus que toi et... Non ça ne peut pas se passer comme ça. Je suis perdue... J’ai l’impression d’être dans un putain de labyrinthe espérant te voir toi à la sortie... Je sais que je dois prendre mes distances avec toi, mais je ne peux pas... Je ne le veux pas... Aide moi s’il te plaît... Il y a tellement de chose que tu ne sais pas... Sais-tu que je passe mes soirées à boire dans des bars pour ne pas être en état de réfléchir quand je m’endors seule ? Est-ce que tu me reconnaitrais si tu me voyais là tout de suite ? Si tu me voyais... Je... Mais maintenant ça m’importe peu. Je n’arrive pas à ignorer mes sentiments comme tu ignores les tiens. Si mes lèvres sont calmes... Regarde dans mes yeux, et lis l’enfer qui s’y cache... Je sais dans quel cauchemar tu vis... Car j’y suis aussi...”
Comme-ci l’on venait d’hurler ton prénom dans un silence des plus profond, tu levas la tête et c’est alors que tu aperçus le soleil, ton nouveau soleil pousser cette porte avec fracas. Do Ji Yong. Ton doigt glissant sur le chiffre 3. Message effacé.
It's my life...
et là une petite citation...
Cold bones
Yeah, that's my love
She hides away like a ghost
Does she know that we bleed the same?
Don't wanna cry but I break that way
Il ne suffit parfois que d’un court instant avant de disparaitre, quelques secondes sont suffisantes pour dire un dernier au revoir au monde. Tu étais allongée dans ton lit, endormie, sans savoir que ta vie allait prendre un virage bien trop serré pour te laisser indemne. Téléphone s’allumant, vibrant à plusieurs reprises jusqu’à ce qu’il termine par tomber de cette petite table où s’était entassé une pile de bouquin, te forçant à te réveiller. Un son à peine inaudible s’échappa de tes lèvres alors que ton prénom venait d’être prononcé avec tristesse, trop brusquement tu venais de faire valser tes draps, tes deux jambes au sol manquant de vaciller. “J’arrive tout de suite.” Ne prenant même pas le temps de te vêtir convenablement, uniquement un manteau venait couvrir ton corps à demi-dévêtue avant que tu ne montes dans le premier taxi en direction de l’hôpital, tu ne savais rien hormis que l’homme dont tu étais éperdument amoureuse venait d’avoir un accident. Tes jambes cisaillant le sol de l’hôpital, cherchant cette chambre où t’attendaient ceux qui venaient de t’appeler quelques minutes auparavant. Pendant un long moment, le silence a régné, il n’y avait que le sifflement du monde qui ne voulait pas quitter tes oreilles. Un homme en blouse blanche est venu vers toi pour te dire que tout allait bien aller, tu l’as regardé d’un air idiot comme-ci tu te moquais de ses paroles. Tournant ton visage sans expression vers celui qui t'es familier, voyant le père de la famille Do que tu connais tant, pleurer la misère du monde. Sa misère à lui, se mordant le poing si fortement que tu as senti ton esprit quitter ton corps le temps d’un instant, incapable de comprendre ce qu’il venait de se passer. Tu es restée là, à le fixer pendant longtemps, tes jambes paralysées ancrées dans le sol, devenant de marbre. La peur, c’est ce sentiment qui a traversé ton être en une fraction de seconde. Aucun visage ne souriait. Uniquement des cris, des pleurs, des paroles terrifiantes sortir de la bouche du monde. T’étais incapable de comprendre, ou plutôt tu te forçais à ne pas vouloir comprendre ce qui se passait derrière ces murs blancs. Une main, celle de l’infirmier vient saisir ton poignet accompagné de quelques mots que l’on balance dans ce genre de circonstance : je suis désolé. Tu as faibli à ce moment, genoux venant s’écrouler contre le carrelage alors qu’aucun son ne daignait sortir de tes lèvres. La réalité en face de tes yeux, tu ne pouvais plus te mentir à toi-même Hayoon, tu étais obligé de comprendre que ces quelques mots ne signifiaient pas une bonne nouvelle, que les pleurs non loin de toi ne signifiaient pas une bonne nouvelle. “Non...” Le déni toujours présent, d’un coup sec tu venais de retirer l’emprise qu’il avait sur toi. “Je ne peux pas vous croire.” Les yeux noyés dans ce liquide salé qui prenait possession de tes iris, comment étais-ce possible ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi lui ? Une centaine de question venait envahir ton esprit dans un brouhaha incessant. Les mains allant à la rencontre du sol, incapable d’affronter le regard des parents de l’être aimé. Ces sourires que tu avais connus n’étaient plus qu’un tas de miette appartenant au passé, ces souvenirs allaient devenir des ombres à l’agonie.
I still remember, third of December, me in your sweater
You said it looked better on me than it did you
Only if you knew, how much I liked you
But I watch your eyes as she walks by
What a sight for sore eyes, brighter than a blue sky
She's got you mesmerized while I die
3h du matin. Poupée de porcelaine qui a volé en éclat en une nuit. Une envie de se vider la tête, de s’échapper d’une certaine partie de la réalité. On boit un verre, puis deux, puis trois et on fini par arrêter de les compter, on ne s’arrête plus. Il faisait noir, il faisait nuit, seules les lumières de ce bar miteux reflétaient sur ta peau blanche ainsi que sur la pile de verre que tu venais d’ingurgiter dans un temps record. Comme-ci c’était ça la solution à chacun de tes problèmes. Retirant le mégot qui se consume entre tes lèvres teintées de rouge, le jetant dans ton verre à moitié vide.
Mis à part l’être humain qui a la chance d’avoir la parole ? On s’en sert pour aider ou nuire à autrui. La parole a une centaine de couleur, divagant du noir au blanc, dépendant du pourquoi ainsi que de la façon de s’en servir. Et toi, ce soir, l’haleine empestant la vodka, tu allais prendre la parole. Machinalement, tu balayes l’écran de ton téléphone pour appeler le seul homme présent dans ta vie. Tu raccroches. Tu appelles une seconde fois, avant de raccrocher à nouveau. Et ainsi de suite jusqu’à tomber sur sa messagerie et tu le sais, tu fais une erreur.
“Je suis désolée. Je ne sais pas où j’en suis et je sais que à cause de ça... Les choses deviennent compliqués à gérer. Ça fait maintenant plusieurs mois que je ne suis plus avec lui mais c’est une page difficile à tourner... Il apparaît parfois dans mes cauchemars pour me rappeler que l’amour c’est quelque chose qui peut faire mal. Puis, il y a toi. Bordel, si tu savais ce que ça me fait de te voir, je ne peux pas, je n’y arrive plus. Le soir, j’attends que tu m’écrives, j’attends que tu m’appelles. Inutile de se le cacher plus longtemps, ce que je ressens pour toi c’est quelque chose que je ne peux pas nier. Ma colère monte quand tu t’éloignes, quand je te vois avec d’autres... Parfois j’ai envie d’être celle que tu désires, la seule pour qui tu donnerais du temps... C’est bizarre n’est-ce pas ?” Un léger rire nerveux venant interrompre tes paroles. “La petite amie de ton frère qui finit par t’avouer ses sentiments... C’est ridicule. Je ne peux pas franchir cette ligne, c’est malsain... Mais je n’arrive pas à faire semblant. Mon cœur s’emballe quand il te voit au point où je me retrouve à détourner les yeux pour ne pas qu’il s’emporte. Pourquoi il a fallu que ça tombe sur toi ? Peut-être que c’est la facilité, que je me raccroche à quelque chose qui a existé, pour continuer dans cette souffrance au lieu de prendre le risque de souffrir une deuxième fois mais... Qu’est-ce que je peux faire ? Je n’ai plus que toi et... Non ça ne peut pas se passer comme ça. Je suis perdue... J’ai l’impression d’être dans un putain de labyrinthe espérant te voir toi à la sortie... Je sais que je dois prendre mes distances avec toi, mais je ne peux pas... Je ne le veux pas... Aide moi s’il te plaît... Il y a tellement de chose que tu ne sais pas... Sais-tu que je passe mes soirées à boire dans des bars pour ne pas être en état de réfléchir quand je m’endors seule ? Est-ce que tu me reconnaitrais si tu me voyais là tout de suite ? Si tu me voyais... Je... Mais maintenant ça m’importe peu. Je n’arrive pas à ignorer mes sentiments comme tu ignores les tiens. Si mes lèvres sont calmes... Regarde dans mes yeux, et lis l’enfer qui s’y cache... Je sais dans quel cauchemar tu vis... Car j’y suis aussi...”
Comme-ci l’on venait d’hurler ton prénom dans un silence des plus profond, tu levas la tête et c’est alors que tu aperçus le soleil, ton nouveau soleil pousser cette porte avec fracas. Do Ji Yong. Ton doigt glissant sur le chiffre 3. Message effacé.
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Re: Tae Ha Yoon - infinity | Sam 11 Déc - 15:53 Citer EditerSupprimer
j'édite après, j'ai juste marqué mon territoire ;;
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Re: Tae Ha Yoon - infinity | Sam 11 Déc - 15:58 Citer EditerSupprimer
oh hello you
toi et moi faudra qu'on parle y a moyen de faire de grandes choses
en tout cas, très bon choix de pl en plus avec gowon ce choix parfait
bienvenue ici et si tu as un souci, n'hésite pas à contacter un membre du staff
bon courage pour ta fiche
toi et moi faudra qu'on parle y a moyen de faire de grandes choses
en tout cas, très bon choix de pl en plus avec gowon ce choix parfait
bienvenue ici et si tu as un souci, n'hésite pas à contacter un membre du staff
bon courage pour ta fiche
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Re: Tae Ha Yoon - infinity | Sam 11 Déc - 16:00 Citer EditerSupprimer
@Baek Geon Woo
Hello you ~
Oh toi, je t'attends bien au chaud dans mes dms alors.
T'es un amour, merci beaucoup
Hello you ~
Oh toi, je t'attends bien au chaud dans mes dms alors.
T'es un amour, merci beaucoup
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Re: Tae Ha Yoon - infinity | Sam 11 Déc - 16:01 Citer EditerSupprimer
daaaaaaaaarcy gowon méga cutie alert
bref il nous faut un lien
hâte de vous voir à l'oeuvre tous les deux
bref il nous faut un lien
hâte de vous voir à l'oeuvre tous les deux
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Re: Tae Ha Yoon - infinity | Sam 11 Déc - 16:48 Citer EditerSupprimer
@Khan Mina
LA TRIX BLONDE C'EST MOIIIIIIIIII
Oh mais avec grand plaisir bébé, je te veux dans mes liens ~
Merci à toi, coeur sur toi
LA TRIX BLONDE C'EST MOIIIIIIIIII
Oh mais avec grand plaisir bébé, je te veux dans mes liens ~
Merci à toi, coeur sur toi
Gahn Seorina
☆☆☆ FIRST WIN SHAKER
Pseudo : omoi.namida
Célébrité : kim chung ha
Crédits : ralhiel (avatar) ; drake (signature)
Messages : 935
Âge : 27
Re: Tae Ha Yoon - infinity | Sam 11 Déc - 16:54 Citer EditerSupprimer
rebienvenuuuue
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something wrong with us
Imagination, of course, can open any door - turn the key and let terror walk right in.
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