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end of the world (irie)
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end of the world (irie) | Mar 25 Jan - 15:32
// end of the fuck*ng world
Aliyyah cligne des yeux. Une fois, deux fois. « Putain, c’est quoi ce bordel ? ». Elle relit les sms pour être sûre, la gueule de bois doit lui jouer des tours, impossible autrement. Mais non, la relecture ne change rien. Les trois phrases sont toujours là, imprimées sur l’écran de son smartphone et à présent dans son esprit embrumé, attendant une réponse que Ali n’a clairement pas. Aucun souvenir. Ou en tout cas, aucun souvenir qui s’apparenterait à un rapprochement ‘chaud’ avec Elias. L’étudiante se souvient surtout de l’alcool qui coule à flot alors qu’elle rejoint le groupe d’étudiants de son âge ; des gens de sa promo, la groupe d’étudiants en médecine, d’anciens sangos et elle en passe. Irie. Heejun. Miran. Namsun. Et le fameux Elias. Les mémoires témoins de sa soirée sont maigres, presque inexistantes. Mais la future vétérinaire est dans son lit, sa chambre de dortoir et c’est un premier bon point – enfin, elle imagine. Et cela ne la rassure pas réellement sur les messages de son ami. Alors la jeune femme ignore son mal de crâne pour s’habiller en vitesse, le dortoir baekje n’est qu’à quelques minutes en vélo et plus vite elle y serait, plus vite Irie pourra l’éclairer. Quand la porte du dortoir s’ouvre, elle ignore les petits yeux fatigués des étudiants qui se remettent également de la soirée de la veille pour s’engouffrer dans le couloir des chambres. Sous sa poigne déterminée, la porte de la chambre du japonais s’ouvre pour s’écraser contre le mur. « Comment ça c’était ‘chaud avec Elias hier soir’ ?? » elle hurle à moitié, sans même penser à s’excuser de son intrusion indélicate dans la chambre de son meilleur ami. Aliyyah n’a pas traversé toute la digital city pour prendre des pincettes ; mais pour avoir des réponses, remettre de détails sur des images trop floues à son goût. Ses joues roses et ses yeux brillants sont signes de la panique, de l’embarras que lui causent les insinuations d’Irie dans les messages. Pourvu que ce soit une mauvaise blague.@saito irie
I R I E à A L I
Bien dis donc, c’était chaud avec Elias hier soir11:30
Je ne savais pas que tu sortais avec11:30
Et la fin de soirée du coup ?11:32
Aliyyah cligne des yeux. Une fois, deux fois. « Putain, c’est quoi ce bordel ? ». Elle relit les sms pour être sûre, la gueule de bois doit lui jouer des tours, impossible autrement. Mais non, la relecture ne change rien. Les trois phrases sont toujours là, imprimées sur l’écran de son smartphone et à présent dans son esprit embrumé, attendant une réponse que Ali n’a clairement pas. Aucun souvenir. Ou en tout cas, aucun souvenir qui s’apparenterait à un rapprochement ‘chaud’ avec Elias. L’étudiante se souvient surtout de l’alcool qui coule à flot alors qu’elle rejoint le groupe d’étudiants de son âge ; des gens de sa promo, la groupe d’étudiants en médecine, d’anciens sangos et elle en passe. Irie. Heejun. Miran. Namsun. Et le fameux Elias. Les mémoires témoins de sa soirée sont maigres, presque inexistantes. Mais la future vétérinaire est dans son lit, sa chambre de dortoir et c’est un premier bon point – enfin, elle imagine. Et cela ne la rassure pas réellement sur les messages de son ami. Alors la jeune femme ignore son mal de crâne pour s’habiller en vitesse, le dortoir baekje n’est qu’à quelques minutes en vélo et plus vite elle y serait, plus vite Irie pourra l’éclairer. Quand la porte du dortoir s’ouvre, elle ignore les petits yeux fatigués des étudiants qui se remettent également de la soirée de la veille pour s’engouffrer dans le couloir des chambres. Sous sa poigne déterminée, la porte de la chambre du japonais s’ouvre pour s’écraser contre le mur. « Comment ça c’était ‘chaud avec Elias hier soir’ ?? » elle hurle à moitié, sans même penser à s’excuser de son intrusion indélicate dans la chambre de son meilleur ami. Aliyyah n’a pas traversé toute la digital city pour prendre des pincettes ; mais pour avoir des réponses, remettre de détails sur des images trop floues à son goût. Ses joues roses et ses yeux brillants sont signes de la panique, de l’embarras que lui causent les insinuations d’Irie dans les messages. Pourvu que ce soit une mauvaise blague.
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Re: end of the world (irie) | Jeu 27 Jan - 0:03
// end of the fuck*ng world
Les messages étaient partis tandis qu’un sourire amusé s’afficha sur ses lèvres. Il connaissait sa meilleure amie, il savait comment elle allait réagir. Dans quelques instants, elle débarquerait dans sa chambre comme une lionne enragée pour avoir des explications. Mais Irie n’était pas fou. Même s’il avait un peu exagéré les choses, Elias et Aliyyah s’étaient rapprochés lors de cette soirée. Il avait vu les regards échangés, les danses sensuelles, collés l’un à l’autre. Même si elle le niait, Lia était attiré par le nageur. Le japonais ne dirait pas qu’elle était amoureuse, mais c’était en bonne voie. Cependant, elle était trop réfractaire à ce genre de sentiments que ce ne serait pas étonnant qu’elle nie tout en bloc et même son attirance pour lui. Irie se leva de son lit et passa un jogging et un t-shirt et alla se laver les dents pour éviter d’accueillir la jeune femme dans un état lamentable. Il passa même de l’eau sur son visage, tentant d’effacer les traces de la soirée et du peu d’heures qu’il avait dormi. Il avait prévu de passer l’après-midi avec Liena, c’était la raison pour laquelle il s’était levé si tôt. Sinon, il aurait encore fait la larve dans son lit et aurait envoyé les messages à Aliyyah bien plus tard. Alors qu’il sortait de la salle de bains, la furie qu’était sa meilleure amie débarqua dans sa chambre, chambre qu’il avait déverrouillée pour qu’elle évite de tout casser pour entrer. Lia hurla presque et il leva les yeux au ciel, se massant les tempes. « Mais bonjour à toi aussi Lia… » grommela-t-il. Irie n’avait peut-être pas bu autant que ses amis, mais il avait quand même ingurgité assez d’alcool pour se taper un petit mal de crâne. « Tu veux pas t’asseoir et qu’on discute de ça calmement, sans que tu n’ameutes tout le dortoir dans ma chambre ? » Ça ne lui plaisait pas forcément que tous les baekje se précipitent dans sa chambre pour savoir ce qui se passait. « Tu veux peut-être une aspirine pour ton mal de crâne ? » demanda-t-il s’en prenant un pour lui. Après tout, Aliyyah avait bu plus que lui.@shim aliyyah
Les messages étaient partis tandis qu’un sourire amusé s’afficha sur ses lèvres. Il connaissait sa meilleure amie, il savait comment elle allait réagir. Dans quelques instants, elle débarquerait dans sa chambre comme une lionne enragée pour avoir des explications. Mais Irie n’était pas fou. Même s’il avait un peu exagéré les choses, Elias et Aliyyah s’étaient rapprochés lors de cette soirée. Il avait vu les regards échangés, les danses sensuelles, collés l’un à l’autre. Même si elle le niait, Lia était attiré par le nageur. Le japonais ne dirait pas qu’elle était amoureuse, mais c’était en bonne voie. Cependant, elle était trop réfractaire à ce genre de sentiments que ce ne serait pas étonnant qu’elle nie tout en bloc et même son attirance pour lui. Irie se leva de son lit et passa un jogging et un t-shirt et alla se laver les dents pour éviter d’accueillir la jeune femme dans un état lamentable. Il passa même de l’eau sur son visage, tentant d’effacer les traces de la soirée et du peu d’heures qu’il avait dormi. Il avait prévu de passer l’après-midi avec Liena, c’était la raison pour laquelle il s’était levé si tôt. Sinon, il aurait encore fait la larve dans son lit et aurait envoyé les messages à Aliyyah bien plus tard. Alors qu’il sortait de la salle de bains, la furie qu’était sa meilleure amie débarqua dans sa chambre, chambre qu’il avait déverrouillée pour qu’elle évite de tout casser pour entrer. Lia hurla presque et il leva les yeux au ciel, se massant les tempes. « Mais bonjour à toi aussi Lia… » grommela-t-il. Irie n’avait peut-être pas bu autant que ses amis, mais il avait quand même ingurgité assez d’alcool pour se taper un petit mal de crâne. « Tu veux pas t’asseoir et qu’on discute de ça calmement, sans que tu n’ameutes tout le dortoir dans ma chambre ? » Ça ne lui plaisait pas forcément que tous les baekje se précipitent dans sa chambre pour savoir ce qui se passait. « Tu veux peut-être une aspirine pour ton mal de crâne ? » demanda-t-il s’en prenant un pour lui. Après tout, Aliyyah avait bu plus que lui.
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Re: end of the world (irie) | Ven 11 Fév - 11:13
// end of the fuck*ng world C’est une catastrophe – bon, c’est peut-être un peu dramatique de sa part de penser ainsi… Mais cela fait des années qu’Aliyyah prend soin d’entretenir ses barrières avec Elias alors comment, pourquoi maintenant. La future vétérinaire observe un instant son meilleur ami en clignant vivement des yeux. « Bonjour ! » répond-t-elle rapidement, avant de commencer à faire les cents pas dans la chambre d’Irie. Le jeune homme était bien tranquille pour quelqu’un qui venait de chambouler la vie et la santé mentale de sa meilleure amie. « Comment ça calmement ? Je ne peux pas être calme, Irie ! Comment je peux être calme après tes messages ? » sa réponse est accompagnée de grands gestes de panique, son état est en total opposé avec la sérénité affichée du baekje. Calme n’est déjà pas un mot pour elle, mais aujourd’hui elle est à des années lumières de sa définition. Et la dernière chose dont elle a envie est de discuter calmement. « Tu sais très bien que je ne suis pas là pour de l’aspirine ! Je suis là pour que tu m’expliques… » râle-t-elle bien que son ton se fasse de plus en plus doux au fil des mots qu’elle prononce. Elle regarde Irie avec une petite bouille perdue sur ses lèvres alors qu’elle se remémore une nouvelle fois les sms qu’il lui a envoyé. Ali a beau creusé encore et encore dans son esprit, impossible d’y trouver un souvenir ou même un bout de souvenir concernant un rapprochement avec Elias. « Je me souviens de presque rien… Enfin surtout pas… Hm, de ce que tu as écrit. ». Non, parce qu’Aliyyah ne se sent pas de prononcer une seconde fois les mots à voix haute ; trop gênant. Elle couine en passant une main sur son visage plein de désespoir avant de finalement se jeter à plat ventre sur le lit d’Irie, secouant ses pieds comme une gamine – ou une adolescente qui fait face à son premier crush amoureux. @saito irie
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Re: end of the world (irie) | Lun 7 Mar - 21:36
// end of the fuck*ng world
Il s'était attendu à sa venue dans sa chambre et quand elle fit irruption dans la pièce et commença à l’agresser avec ses questions, Irie s’amusa presque à la faire attendre pour la suite. Il lui adressa une salutation et sourit un peu plus en entendant celle de la jeune femme. Le japonais lui intima même de se calmer parce qu’elle allait ramener tous les baekje dans sa chambre et il n’était pas réellement chaud pour cette option. « Parce qu’il n’y a aucune raison de paniquer et de crier ? Je ne vois pas pourquoi tu te mets dans cet état… » Il mentait. Irie savait très bien pourquoi elle se mettait dans un état pareil. Elle appréciait peut-être plus qu'elle ne voulait bien le dire Elias et elle n’était sûrement pas prête à se l’avouer. Malheureusement, il faudrait bien qu’elle le fasse un jour parce qu’ils ne s'attendraient pas éternellement et que s’ils avaient des œillères sur les yeux, ça ne ferait pas avancer leur relation. Avant d’entrer dans le vif du sujet, il lui proposa quand même de quoi traiter son mal de tête tandis qu’il prenait une aspirine pour le sien. Il lui tendit néanmoins la boite ainsi qu’un verre d’eau qu’il avait préparé pour elle. « Prends le quand même ! T’en as besoin. Je suis sûr que t’as mal mais que tu dis pas forcément. T’as bu plus que moi Aliyyah. » lança-t-il avec un sourire amusé avant qu’elle ne lui avoue ne se souvenir de rien et qu’elle ne se jette sur son lit comme une enfant. Il se tourna dans sa direction et la regarda avec tendresse. « Ce serait si terrible que ça qu’il se soit passé quelque chose avec Elias ? T’as l’air de bien l’apprécier non ? Alors pourquoi tu réagis ainsi ? » Sûrement parce qu’elle était comme lui avant qu’il ne rencontre Liena, allergique à l’amour et toute manifestation d’affection qui n’était pas amicale.@shim aliyyah
Il s'était attendu à sa venue dans sa chambre et quand elle fit irruption dans la pièce et commença à l’agresser avec ses questions, Irie s’amusa presque à la faire attendre pour la suite. Il lui adressa une salutation et sourit un peu plus en entendant celle de la jeune femme. Le japonais lui intima même de se calmer parce qu’elle allait ramener tous les baekje dans sa chambre et il n’était pas réellement chaud pour cette option. « Parce qu’il n’y a aucune raison de paniquer et de crier ? Je ne vois pas pourquoi tu te mets dans cet état… » Il mentait. Irie savait très bien pourquoi elle se mettait dans un état pareil. Elle appréciait peut-être plus qu'elle ne voulait bien le dire Elias et elle n’était sûrement pas prête à se l’avouer. Malheureusement, il faudrait bien qu’elle le fasse un jour parce qu’ils ne s'attendraient pas éternellement et que s’ils avaient des œillères sur les yeux, ça ne ferait pas avancer leur relation. Avant d’entrer dans le vif du sujet, il lui proposa quand même de quoi traiter son mal de tête tandis qu’il prenait une aspirine pour le sien. Il lui tendit néanmoins la boite ainsi qu’un verre d’eau qu’il avait préparé pour elle. « Prends le quand même ! T’en as besoin. Je suis sûr que t’as mal mais que tu dis pas forcément. T’as bu plus que moi Aliyyah. » lança-t-il avec un sourire amusé avant qu’elle ne lui avoue ne se souvenir de rien et qu’elle ne se jette sur son lit comme une enfant. Il se tourna dans sa direction et la regarda avec tendresse. « Ce serait si terrible que ça qu’il se soit passé quelque chose avec Elias ? T’as l’air de bien l’apprécier non ? Alors pourquoi tu réagis ainsi ? » Sûrement parce qu’elle était comme lui avant qu’il ne rencontre Liena, allergique à l’amour et toute manifestation d’affection qui n’était pas amicale.
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Re: end of the world (irie) | Jeu 7 Avr - 14:57
// end of the fuck*ng world C’est hors de question qu’elle se calme ; pas tant qu’on ne lui a pas narré avec détails la soirée d’hier. Et elle compte bien sur Irie pour rétablir la vérité sur ses souvenirs flous. Après tout, le garçon ne peut croire qu’Aliyyah ne réclame pas une telle chose avec avoir lâché une bombe pareille dans ses sms. Et elle a toutes les raisons de paniquer – on parle d’un rapprochement supplémentaire avec Elias tout de même. Son ami. Son pote. Son poto. Qui devait rester un ami, un pote, un poto. « Pourquoi je me mets dans un état pareil ?? Mais Eli est mon ami ! » prononce-t-elle en insistant sur le mot ami comme elle le fait dans son propre esprit depuis de bien longues minutes. C’est même hallucinant pour elle que son meilleur ami pose la question, comme s’il n’a pas la moindre idée du problème ici. Ali pose nerveusement ses mains dans ses cheveux en grognant ; c’est un cauchemar. En ronchonnant, elle finit par attraper le cachet d’aspirine et le verre d’eau qu’elle descend d’une traite. Finalement, elle se jette sur le matelas sans demander de permission. « Parce que… Parce que… » commence-t-elle avant de se couper pour réfléchir. Parce que Eli et elle sont proches – proches comme des amis, de très bons amis et c’est très bien ainsi. Cela fait des années qu’ils travaillent tous les deux à ne jamais franchir la barrière de l’amitié. Et elle refusait de croire en la possibilité d’avoir jeté tous ces efforts à la poubelle en une soirée alcoolisée. Aliyyah tape des bras sur les draps en grognant comme une gamine. « Parce qu’au risque de me répéter… Elias et moi, on est amis. Si ce que tu dis est vrai… Tout va être bizarre maintenant. » râle-t-elle. Comme si leur attirance physique mutuelle n’est pas déjà assez difficile à gérer… Et c’est bien connu, Ali a bien longtemps décidé de ne plus jamais mélanger amitié et relations amoureuse ou juste physique. Pas moyen de tout remettre en question pour cet idiot de Seo Elias. @saito irie
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Re: end of the world (irie) | Dim 17 Avr - 22:30
// end of the fuck*ng world
Peut-être que Irie était idiot ? Peut-être qu’il ne comprenait pas ce que cela impliquait cette amitié pour Aliyyah et qu’elle ne voyait que la fin de cette dernière si quelque chose c’était réellement passé entre elle et Elias. Le japonais ne voyait vraiment pas le souci à avoir été amis et ensuite à sortir ensemble s’il y avait des sentiments entre eux. « Oui et ? L’un n’empêche pas l’autre… » finit-il par dire avant d’obliger sa meilleure amie à prendre un cachet pour son mal de crâne. Elle avait bu bien plus que lui et s’il avait mal à la tête, ça devait aussi être son cas. Lia était vraiment trop compliquée à comprendre, ou alors c’était parce que c’était une fille ? Irie ne savait pas vraiment, parce qu’il comprenait assez aisément sa petite amie. Mais clairement, Liena était bien moins compliquée que ne l’était sa meilleure amie. Il leva les yeux au ciel en la voyant s’étaler sur son matelas, mais ne fit pas de remarque. Il sentait que s’il disait quelque chose, elle lui sauterait à la gorge. Son instinct de survie s’était donc mis en marche. Il attendit néanmoins que Aliyyah formule sa pensée et une nouvelle fois, il haussa les épaules. « Et comme dis tout à l’heure… Je ne vois pas le problème. » Peut-être qu’elle avait des sentiments pour Elias pour réagir de la sorte ? En tout cas, il fallait qu’il y aille en douceur s’il ne voulait pas la braquer à parler d’amour avec le jeune homme. « Pourquoi ce serait bizarre entre vous si vous le vouliez tous les deux ? Okay vous aviez bu… Mais vous êtes des adultes, consentants dans la mesure du possible, et si ça s’est passé, c’était qu’au moins l’un de vous le désirait, si ce n’est les deux. » Irie s’installa sur sa chaise de bureau, la tournant dans la direction de sa meilleure amie. « A part découvrir une attirance mutuelle… Qu’est-ce que ça changera dans votre relation concrètement ? » Il demandait réellement, juste pour se faire une idée d’à quel point Lia refusait toute sorte de relation avec quelqu’un.@shim aliyyah
Peut-être que Irie était idiot ? Peut-être qu’il ne comprenait pas ce que cela impliquait cette amitié pour Aliyyah et qu’elle ne voyait que la fin de cette dernière si quelque chose c’était réellement passé entre elle et Elias. Le japonais ne voyait vraiment pas le souci à avoir été amis et ensuite à sortir ensemble s’il y avait des sentiments entre eux. « Oui et ? L’un n’empêche pas l’autre… » finit-il par dire avant d’obliger sa meilleure amie à prendre un cachet pour son mal de crâne. Elle avait bu bien plus que lui et s’il avait mal à la tête, ça devait aussi être son cas. Lia était vraiment trop compliquée à comprendre, ou alors c’était parce que c’était une fille ? Irie ne savait pas vraiment, parce qu’il comprenait assez aisément sa petite amie. Mais clairement, Liena était bien moins compliquée que ne l’était sa meilleure amie. Il leva les yeux au ciel en la voyant s’étaler sur son matelas, mais ne fit pas de remarque. Il sentait que s’il disait quelque chose, elle lui sauterait à la gorge. Son instinct de survie s’était donc mis en marche. Il attendit néanmoins que Aliyyah formule sa pensée et une nouvelle fois, il haussa les épaules. « Et comme dis tout à l’heure… Je ne vois pas le problème. » Peut-être qu’elle avait des sentiments pour Elias pour réagir de la sorte ? En tout cas, il fallait qu’il y aille en douceur s’il ne voulait pas la braquer à parler d’amour avec le jeune homme. « Pourquoi ce serait bizarre entre vous si vous le vouliez tous les deux ? Okay vous aviez bu… Mais vous êtes des adultes, consentants dans la mesure du possible, et si ça s’est passé, c’était qu’au moins l’un de vous le désirait, si ce n’est les deux. » Irie s’installa sur sa chaise de bureau, la tournant dans la direction de sa meilleure amie. « A part découvrir une attirance mutuelle… Qu’est-ce que ça changera dans votre relation concrètement ? » Il demandait réellement, juste pour se faire une idée d’à quel point Lia refusait toute sorte de relation avec quelqu’un.
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Re: end of the world (irie) | Mar 31 Mai - 16:52
// end of the fuck*ng world Il faut la comprendre… Aliyyah a de très bonnes raisons de ne jamais vouloir mélanger attirance, amour ou toutes les merdes dans le genre avec l’amitié. D’excellentes raisons. D’expériences ou non, elle sait parfaitement que mixer ces deux choses est le début des emmerdes, c’est jeter les bras ouverts dans une mer de problèmes. Et si Ali est une sirène qui se jette volontairement dans l’océan en temps normal, elle préfère éviter les soucis avec ses amis – surtout avec ses amis. Et Irie plus que personne ne devrait comprendre sa position, son embarras, sa panique bon dieu. L’étudiante trouve son meilleur ami bien calme compte-tenu du silence radio qu’ils ont tous les deux vécus à cause d’une situation qui pourrait ressembler à celle-ci. « Euh, je te rappelle que la dernière fois que j’ai été attirée – ou non, que j’ai cru être attirée – par un ami… On ne s’est pas parlé pendant un an, Irie. » dit-elle en fronçant les sourcils. Ce n’est pas qu’elle tient tant à lui rappeler la raison pour laquelle elle ne l’a jamais contacté une fois en nouvelle zélande mais bon, il lui semble que le garçon à la mémoire courte. En soit, Ali n’a aucune honte à être attiré par quelqu’un, elle ne cache pas ses prises plus que régulières quand elle sort. Des histoires sans lendemain. Mais les choses ne sont jamais aussi simples quand elle applique une personne proche ou juste une personne que l’on voit souvent. Et si leurs amis les taquinaient à chaque fois ? Et si c’était uniquement l’alcool qui les avait rapprochés ? Et si… « Je ne veux pas perdre mon amitié avec Elias pour une histoire aussi bête. » souffle-t-elle contre l’oreiller du baekje. Parce que oui, quelque part dans sa tête l’attirance, les relations amoureuses ou juste sexuelles ne valent pas le coup de risquer une amitié. Aliyyah tient bien plus à ses amis qu’elle ne tient à ses relations amoureuses, et elle l’a prouvé à maintes reprises. L’amour est une perte de temps, et de liberté. @saito irie
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