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Sorry, I'm in love with you || PV Chuuya
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Re: Sorry, I'm in love with you || PV Chuuya | Dim 11 Sep - 3:58 Citer EditerSupprimer
Sorry, I'm in love with you
You remember your first love because they show you, prove to you, that you can love and be loved, that nothing in this world is deserved except for love, that love is both how you become a person and why.
ft. @Min Chuuya
ft. @Min Chuuya
Always in style || Alors que Chuuya est pourtant l’être le plus précieux de tout l’univers aux yeux du vietnamien, ce dernier ne semble même pas en avoir conscience. Comment est-ce possible ? Thiên Duyên n’a jamais caché son affection pour son meilleur crush. Certes, il en gardait pour lui les véritables profondeurs, mais ne passait-il pas la majorité de son temps à le complimenter et le câliner ? Au fond, qui arrivait-il à berner ? Personne. Seul le nippo-coréen semblait ne pas s’être rendu compte de cet amour que la drag queen pensait impossible. Donc non, il ne comprend pas trop comment le blond a pu se méprendre sur la manière dont il est perçu par lui.
-« Je… Je pensais que tu me voyais comme les autres… Désolé… d'avoir pensé ça. »
-« Je sais que je suis con, mais pas à ce point-là quand-même. » répliqua-t-il en plissant les yeux, essayant de ne pas se sentir insulté par cette erreur.
Comment Chuuya pouvait-il penser une telle chose ? Cette idée ne faisait absolument aucun sens à ses yeux, mais après tout, il n’est pas dans la tête du constellé. Malheureusement, les mots négatifs semblent l’avoir encore plus atteint que Thiên Duyên ne le pensait. Son coeur se serre à cette pensée, lui donnant d’autant plus envie de l’aimer et de le protéger du monde extérieur qui ne le comprend pas. Ce n’est pas qu’il ne ressent rien, simplement qu’il ne l’exprime pas comme la plupart des gens. Chuuya n’est pas un sans coeur comme les imbéciles le croient si aisément. Il trouve toutefois le courage (ou la folie) de passer outre et de plutôt demander à son meilleur crush s’il n’a pas envie de faire évoluer leur relation. Évidemment qu’il s’attendait à une réponse catégorique et définitive dans les mêmes sonorités que « NON », mais c’est son contraire qu’il reçoit. La stupéfaction mélangée à l’euphorie se dépeint sur ses traits. Son coeur s’emballe, son âme s’envole et éclate en magnifiques feux d’artifices. Jamais il n’aurait cru que ce serait possible. Enfin, il sait que plusieurs cons auraient aimé former un couple avec lui, hélas, le vietnamien n’a jamais voulu personne d’autre que lui. Il n’a donc jamais accepté moins que ça. Les larmes ne cessent pourtant pas sur les joues du constellé qui s’en excuse, éveillant quelques inquiétudes et douceurs chez son nouveau boulet personnel.
-« Ne t'inquiète pas. Ce n'est pas de ta faute si je pleure... »
Ce n’est pourtant pas la faute du voisin, hein ? C’est Thiên Duyên qui lui a fait si peur, en agissant comme le dernier des idiots alors qu’il avait laissé ses craintes l’aveugler ! Il l’assume, même s’il le regrette profondément. Souhaitant se rattraper, il lui demande tout naturellement ce qu’il peut faire.
-« Hum... M'embrasser...? »
Réponse qui le surprend à nouveau. Une teinte rosée apparaît timidement sur ses joues. Pourtant, il est habitué à entendre bien, bien, bien, biiiiiiiiiien pire ! Cependant, ces mots venant de Chuuya et non d’un autre, le plaisir est d’un niveau inattendu et qui lui avait été inconnu jusqu’à maintenant. Un grand sourire trahit d’ailleurs cette joie qu’il ne peut contenir.
-« Et manger nos jjajangmyeons... Parce que tes efforts ne doivent pas être gâchés. »
-« M’embrasser passe vraiment avant les jjajangmyeons ?! » commenta-t-il d’autant plus surpris, avec un sourire amusé. « Je ne pensais même pas que juste ma présence passerait avant ça ! » admit-il très franchement avec un petit rire.
Chuuya et les jjajangmyeons, une plus belle histoire d’amour que Twilight. C’était l’avis de la drag queen. Il cessa toutefois de le taquiner, n’ayant pas envie de se faire frapper ou qu’il ne change d’avis et vint exaucer sa demande avant de le laisser répliquer. Ses lèvres contre les siennes, il ne pouvait s’empêcher de sourire alors qu’il goûtait délicatement aux plaisirs d’embrasser son premier (et dernier) petit ami. Son coeur s’emballant face à ce revirement de situation inattendu, Thiên Duyên avait du mal à concevoir combien il était heureux en cet instant précis. C’est sa femme qui allait bien lui répéter (encore et encore) qu’elle avait raison, mais si c’était pour ça, il l’écouterait sans trop râler (on y croit). Rompre le baiser est incroyablement difficile et c’est bien pourquoi il revient lui en voler un autre… et un petit dernier…. ou pas. C’est qu’il y a déjà pris goût, le grand con.
-« Tu réalises que j’étais déjà un pot de colle ? Mais que j’aurai toujours envie de faire ça, maintenant ? » demanda-t-il dans un murmure bien trop heureux, alors que son visage est encore si près du sien.
Il caresse sa joue avec tendresse, puis s’éloigne finalement, reprenant sa place.
-« Oh mais… tu veux que je réchauffe tes jjajangmyeons ? » proposa-t-il, réalisant que les pauvres avaient attendu si longtemps qu’ils devaient avoir refroidis.
Il pinça les lèvres en regardant leurs assiettes. Ça ne le dérangeait pas tant, personnellement, mais il trouvait dommage de ne pas servir mieux que ça Chuuya.
-« Il faudra qu’on prenne des photos aussi, après ! Je veux un nouveau fond d’écran pour célébrer ! » lança-t-il, d’humeur beaucoup trop joyeuse. « Mais quand j’aurai plus le visage bouffi… » marmonna-t-il, n’assumant pas vraiment combien il devait être moche après avoir pleuré.
Chuuya était toujours aussi beau, lui. Injustice de ce monde qui le rendait pourtant l’homme le plus chanceux du monde, puisqu’il pouvait maintenant affirmer être sien.
@made by ice and fire.-« Je… Je pensais que tu me voyais comme les autres… Désolé… d'avoir pensé ça. »
-« Je sais que je suis con, mais pas à ce point-là quand-même. » répliqua-t-il en plissant les yeux, essayant de ne pas se sentir insulté par cette erreur.
Comment Chuuya pouvait-il penser une telle chose ? Cette idée ne faisait absolument aucun sens à ses yeux, mais après tout, il n’est pas dans la tête du constellé. Malheureusement, les mots négatifs semblent l’avoir encore plus atteint que Thiên Duyên ne le pensait. Son coeur se serre à cette pensée, lui donnant d’autant plus envie de l’aimer et de le protéger du monde extérieur qui ne le comprend pas. Ce n’est pas qu’il ne ressent rien, simplement qu’il ne l’exprime pas comme la plupart des gens. Chuuya n’est pas un sans coeur comme les imbéciles le croient si aisément. Il trouve toutefois le courage (ou la folie) de passer outre et de plutôt demander à son meilleur crush s’il n’a pas envie de faire évoluer leur relation. Évidemment qu’il s’attendait à une réponse catégorique et définitive dans les mêmes sonorités que « NON », mais c’est son contraire qu’il reçoit. La stupéfaction mélangée à l’euphorie se dépeint sur ses traits. Son coeur s’emballe, son âme s’envole et éclate en magnifiques feux d’artifices. Jamais il n’aurait cru que ce serait possible. Enfin, il sait que plusieurs cons auraient aimé former un couple avec lui, hélas, le vietnamien n’a jamais voulu personne d’autre que lui. Il n’a donc jamais accepté moins que ça. Les larmes ne cessent pourtant pas sur les joues du constellé qui s’en excuse, éveillant quelques inquiétudes et douceurs chez son nouveau boulet personnel.
-« Ne t'inquiète pas. Ce n'est pas de ta faute si je pleure... »
Ce n’est pourtant pas la faute du voisin, hein ? C’est Thiên Duyên qui lui a fait si peur, en agissant comme le dernier des idiots alors qu’il avait laissé ses craintes l’aveugler ! Il l’assume, même s’il le regrette profondément. Souhaitant se rattraper, il lui demande tout naturellement ce qu’il peut faire.
-« Hum... M'embrasser...? »
Réponse qui le surprend à nouveau. Une teinte rosée apparaît timidement sur ses joues. Pourtant, il est habitué à entendre bien, bien, bien, biiiiiiiiiien pire ! Cependant, ces mots venant de Chuuya et non d’un autre, le plaisir est d’un niveau inattendu et qui lui avait été inconnu jusqu’à maintenant. Un grand sourire trahit d’ailleurs cette joie qu’il ne peut contenir.
-« Et manger nos jjajangmyeons... Parce que tes efforts ne doivent pas être gâchés. »
-« M’embrasser passe vraiment avant les jjajangmyeons ?! » commenta-t-il d’autant plus surpris, avec un sourire amusé. « Je ne pensais même pas que juste ma présence passerait avant ça ! » admit-il très franchement avec un petit rire.
Chuuya et les jjajangmyeons, une plus belle histoire d’amour que Twilight. C’était l’avis de la drag queen. Il cessa toutefois de le taquiner, n’ayant pas envie de se faire frapper ou qu’il ne change d’avis et vint exaucer sa demande avant de le laisser répliquer. Ses lèvres contre les siennes, il ne pouvait s’empêcher de sourire alors qu’il goûtait délicatement aux plaisirs d’embrasser son premier (et dernier) petit ami. Son coeur s’emballant face à ce revirement de situation inattendu, Thiên Duyên avait du mal à concevoir combien il était heureux en cet instant précis. C’est sa femme qui allait bien lui répéter (encore et encore) qu’elle avait raison, mais si c’était pour ça, il l’écouterait sans trop râler (on y croit). Rompre le baiser est incroyablement difficile et c’est bien pourquoi il revient lui en voler un autre… et un petit dernier…. ou pas. C’est qu’il y a déjà pris goût, le grand con.
-« Tu réalises que j’étais déjà un pot de colle ? Mais que j’aurai toujours envie de faire ça, maintenant ? » demanda-t-il dans un murmure bien trop heureux, alors que son visage est encore si près du sien.
Il caresse sa joue avec tendresse, puis s’éloigne finalement, reprenant sa place.
-« Oh mais… tu veux que je réchauffe tes jjajangmyeons ? » proposa-t-il, réalisant que les pauvres avaient attendu si longtemps qu’ils devaient avoir refroidis.
Il pinça les lèvres en regardant leurs assiettes. Ça ne le dérangeait pas tant, personnellement, mais il trouvait dommage de ne pas servir mieux que ça Chuuya.
-« Il faudra qu’on prenne des photos aussi, après ! Je veux un nouveau fond d’écran pour célébrer ! » lança-t-il, d’humeur beaucoup trop joyeuse. « Mais quand j’aurai plus le visage bouffi… » marmonna-t-il, n’assumant pas vraiment combien il devait être moche après avoir pleuré.
Chuuya était toujours aussi beau, lui. Injustice de ce monde qui le rendait pourtant l’homme le plus chanceux du monde, puisqu’il pouvait maintenant affirmer être sien.
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