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Jang Ilian ► Jeffrey, remet nous des glaçons!
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Jang Ilian ► Jeffrey, remet nous des glaçons! | Sam 7 Fév - 19:08 Citer EditerSupprimer
Jang Ilian
C'est mon nouveau parfum, cannabis pour homme
#SYMPATHIQUE | #CASSE-COU | #INTELLIGENT | #INTRANSIGEANT | #CHARISMATIQUE |
#SARCASTIQUE | #DÉTENDU | #BAGARREUR | #DISTRAYANT | #FEIGNANT |
NOM : Jang. PRÉNOM : Ilian. Alors, on devine la nationalité là, non? ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 23 ans, né le 6 Avril 1991. ORIGINES : Franco/Hispano Coréen. NATIONALITÉ : Coréenne. CLASSE SOCIALE : On va dire qu'on galère pas à chaque fin de mois. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel confirmé. CURSUS UNIVERSITAIRE : 2ème année de master en médecine spécialité neurologie. MÉTIER : Prof remplaçant de Maths dans un collège. Code du règlement : J'vais voir si c'est toujours le cul de Minaj
TU VEUX T'INVESTIR? : J'ai déjà monclan .
“ Rumour has it : Il paraît qu'il a voyagé à mort dans sa vie (v) + Il serait adopté (f) + Une prof de son lycée était amoureuse de lui (v) mais cet amour n'étant pas réciproque, elle a démissionné (v) néanmoins, il l'a quand même sauté (f) + Il aurait fait partie d'un gang de Séoul et aurait été mêlé à des affaires de drogue (f) + il serait ceinture noire de judo (v) + il a perdu sa virginité avec la copine de son meilleur ami (v, le bâtard) + il aurait tendance à beaucoup boire (v mais ça dépend quand même les occasions), beaucoup fumer et se droguer (f) + c'est un gros sportif et bon footballeur (v), il a été membre du club junior de Séoul (v) + il serait maladroit avec les filles (v, parce qu'il leur met souvent des vents, monsieur préfère rester concentré sur ses études) + une fille lui aurait porté l'oeil après qu'il lui ait brisé le coeur (Possible) + il aurait bastonné un clown qui lui avait fait peur lors de son 10ème anniversaire (v) + c'est un délinquant qui se battrait souvent avec son père (f) + sa mère l'a abandonné (f) + il pratiquerait le free fight (v)
TU VEUX T'INVESTIR? : J'ai déjà mon
“ Rumour has it : Il paraît qu'il a voyagé à mort dans sa vie (v) + Il serait adopté (f) + Une prof de son lycée était amoureuse de lui (v) mais cet amour n'étant pas réciproque, elle a démissionné (v) néanmoins, il l'a quand même sauté (f) + Il aurait fait partie d'un gang de Séoul et aurait été mêlé à des affaires de drogue (f) + il serait ceinture noire de judo (v) + il a perdu sa virginité avec la copine de son meilleur ami (v, le bâtard) + il aurait tendance à beaucoup boire (v mais ça dépend quand même les occasions), beaucoup fumer et se droguer (f) + c'est un gros sportif et bon footballeur (v), il a été membre du club junior de Séoul (v) + il serait maladroit avec les filles (v, parce qu'il leur met souvent des vents, monsieur préfère rester concentré sur ses études) + une fille lui aurait porté l'oeil après qu'il lui ait brisé le coeur (Possible) + il aurait bastonné un clown qui lui avait fait peur lors de son 10ème anniversaire (v) + c'est un délinquant qui se battrait souvent avec son père (f) + sa mère l'a abandonné (f) + il pratiquerait le free fight (v)
“ Caractère :
Ilian, c'est le mec qu'on aime trop, parce qu'il est simple, intelligent, spontané et a une présence des plus rassurantes. En fait, c'est difficile de se passer de lui une fois qu'on le connaît, même si cela veut dire qu'il faut passer par ses défauts pour en arriver là. Et puis, c'est pas un trait de caractère, mais quand il sourit... Il s'en passe des choses dans le coeur d'une fille. Non, vraiment, il est génial. Il a les mots rassurants, il est tellement protecteur avec les gens qu'il aime, puis c'est un orateur hors paire et à chaque fois qu'il prend la parole, il parle avec une telle aisance qu'on est obligé de l'écouter. Tout ce qu'il dit sonne alors comme une évidence. - Mi Yeon, son ex petite amie.
Ilian est quelqu'un d'adulte, pragmatique, honnête et humble, qui sait où se trouvent ses limites. Même s'il vous poussera à bout parce qu'il ne vous aime pas, même s'il peut être le plus grand con de la planète, il garde une certaine lucidité. Il y a longtemps qu'il a combattu l'impulsivité, cependant, il reste un bagarreur, c'est vrai, il ne se laisse pas faire. Petit, il se battait toujours avec ses camarades. J'étais fatiguée de devoir m'excuser auprès des autres parents pour Ilian mais si je ne l'avais pas eu à mes côtés durant toute ma vie, je serais sûrement morte à l'heure qu'il est. Il m'a donné la force de me battre, il m'a toujours encouragé à surmonter les épreuves. La fille qui aura la chance de partager sa vie sera la plus heureuse des épouses. - sa mère.
Ha, ce mec... C'est difficile. Je saurais pas vous dire s'il est bien ou s'il est mauvais. En fait, ce que j'ai remarqué chez lui, c'est qu'il fait vite le tri dans ses relations, entre ceux qu'il aime, et ceux qu'il n'aime pas. Par sa franchise et son sarcasme, il s'attire plus d'ennemis que d'amis, parce qu'il est du genre à se foutre du qu'en dira-t-on, il ne montre aucun signe de culpabilité, et c'est à ce moment qu'on se met à le détester. Il n'est pas du genre à faire la misère mais il suffit de se trouver sous ses yeux un jour où il est mal luné pour se prendre deux trois remarques méchantes dans les dents. - un membre du club de free fight
Je peux pas être objective vu qu'il m'a mis un râteau. Quand j'ai dit à mes copines que je le trouvais introverti, elles m'ont ri au nez, et m'ont dit que non, il n'est pas introverti, il est juste très carriériste et pense plutôt à son avenir plutôt qu'aux amourettes. Enfin bref c'est pour les filles que je dis ça, si vous le trouvez à votre goût, oubliez le, il préférera ses bouquins à votre paire de seins. - une victime.
Voilà quelqu'un de franchement sympa. Sa simple présence fait du bien. Un peu speed sur les bords, toujours déconneur, distrayant, moi je l'aime bien ce gars. Alors oui il paraît qu'il est méchant quand il lance des piques mais en même temps, pour en arriver là, c'est qu'on l'a mérité. Je n'ai jamais eu de problèmes avec Ilian, ça a toujours été un jeune respectueux, bon ok certes feignant des fois puisque quand sa mère lui demandait de l'aider à faire le ménage, il trouvait un prétexte pour annuler. Mais il a cette simplicité et cette joie de vivre qui fait du bien. - son ancien coach de foot.
C'est une boule de nerfs qui a de suite été "prise en charge" à l'enfance. Mais pour Ilian, impossible de rester au même endroit plus d'une heure. C'est quelqu'un qui a soif de connaissance et de découverte, il faut que son esprit soit constamment en ébullition, sinon, il déprime. Je l'ai rarement vu déprimer, je l'ai toujours vu en train de bouger à gauche à droite. C'est une plaie, parce que je ne le trouve jamais là où il est censé être. C'est un petit globetrotter mine de rien, il a visité déjà plein de pays de lui-même par amour de la nature sauf que le jour où il devra s'arrêter de bouger et de faire du sport pour son travail, il tombera sûrement malade. - son meilleur ami.
Monsieur Jang... Il est super stricte quand même. Il a beaucoup d'attentes mais quand on ne lui rend pas les devoirs ou quand on oublie nos affaires, il nous punit. Puis il sait se faire respecter, on pensait qu'en étant nouveau, il se laisserait faire, mais pas du tout. La classe est silencieuse dans son cours. Et les maths ça paraît tellement évident avec lui. - une élève du collège.
Je garde un mauvais souvenir du passage d'Ilian dans ma vie. Il m'a ruiné la vie, il m'a volé ma petite-amie et à ça il n'a montré aucun remord. Je me suis battu avec lui, et je me souviens encore de la douleur des coups qu'il me mettait. J'ai envie de croire qu'il est le même que j'ai connu au lycée mais depuis cette histoire, nous ne nous parlons plus, nous avons rompu le contact. A ceux qui, à l'avenir, veulent se mettre Ilian à dos, réfléchissez-y à deux fois. Il fait mal, autant physiquement que mentalement. - son ancien meilleur ami.
Ilian est quelqu'un d'adulte, pragmatique, honnête et humble, qui sait où se trouvent ses limites. Même s'il vous poussera à bout parce qu'il ne vous aime pas, même s'il peut être le plus grand con de la planète, il garde une certaine lucidité. Il y a longtemps qu'il a combattu l'impulsivité, cependant, il reste un bagarreur, c'est vrai, il ne se laisse pas faire. Petit, il se battait toujours avec ses camarades. J'étais fatiguée de devoir m'excuser auprès des autres parents pour Ilian mais si je ne l'avais pas eu à mes côtés durant toute ma vie, je serais sûrement morte à l'heure qu'il est. Il m'a donné la force de me battre, il m'a toujours encouragé à surmonter les épreuves. La fille qui aura la chance de partager sa vie sera la plus heureuse des épouses. - sa mère.
Ha, ce mec... C'est difficile. Je saurais pas vous dire s'il est bien ou s'il est mauvais. En fait, ce que j'ai remarqué chez lui, c'est qu'il fait vite le tri dans ses relations, entre ceux qu'il aime, et ceux qu'il n'aime pas. Par sa franchise et son sarcasme, il s'attire plus d'ennemis que d'amis, parce qu'il est du genre à se foutre du qu'en dira-t-on, il ne montre aucun signe de culpabilité, et c'est à ce moment qu'on se met à le détester. Il n'est pas du genre à faire la misère mais il suffit de se trouver sous ses yeux un jour où il est mal luné pour se prendre deux trois remarques méchantes dans les dents. - un membre du club de free fight
Je peux pas être objective vu qu'il m'a mis un râteau. Quand j'ai dit à mes copines que je le trouvais introverti, elles m'ont ri au nez, et m'ont dit que non, il n'est pas introverti, il est juste très carriériste et pense plutôt à son avenir plutôt qu'aux amourettes. Enfin bref c'est pour les filles que je dis ça, si vous le trouvez à votre goût, oubliez le, il préférera ses bouquins à votre paire de seins. - une victime.
Voilà quelqu'un de franchement sympa. Sa simple présence fait du bien. Un peu speed sur les bords, toujours déconneur, distrayant, moi je l'aime bien ce gars. Alors oui il paraît qu'il est méchant quand il lance des piques mais en même temps, pour en arriver là, c'est qu'on l'a mérité. Je n'ai jamais eu de problèmes avec Ilian, ça a toujours été un jeune respectueux, bon ok certes feignant des fois puisque quand sa mère lui demandait de l'aider à faire le ménage, il trouvait un prétexte pour annuler. Mais il a cette simplicité et cette joie de vivre qui fait du bien. - son ancien coach de foot.
C'est une boule de nerfs qui a de suite été "prise en charge" à l'enfance. Mais pour Ilian, impossible de rester au même endroit plus d'une heure. C'est quelqu'un qui a soif de connaissance et de découverte, il faut que son esprit soit constamment en ébullition, sinon, il déprime. Je l'ai rarement vu déprimer, je l'ai toujours vu en train de bouger à gauche à droite. C'est une plaie, parce que je ne le trouve jamais là où il est censé être. C'est un petit globetrotter mine de rien, il a visité déjà plein de pays de lui-même par amour de la nature sauf que le jour où il devra s'arrêter de bouger et de faire du sport pour son travail, il tombera sûrement malade. - son meilleur ami.
Monsieur Jang... Il est super stricte quand même. Il a beaucoup d'attentes mais quand on ne lui rend pas les devoirs ou quand on oublie nos affaires, il nous punit. Puis il sait se faire respecter, on pensait qu'en étant nouveau, il se laisserait faire, mais pas du tout. La classe est silencieuse dans son cours. Et les maths ça paraît tellement évident avec lui. - une élève du collège.
Je garde un mauvais souvenir du passage d'Ilian dans ma vie. Il m'a ruiné la vie, il m'a volé ma petite-amie et à ça il n'a montré aucun remord. Je me suis battu avec lui, et je me souviens encore de la douleur des coups qu'il me mettait. J'ai envie de croire qu'il est le même que j'ai connu au lycée mais depuis cette histoire, nous ne nous parlons plus, nous avons rompu le contact. A ceux qui, à l'avenir, veulent se mettre Ilian à dos, réfléchissez-y à deux fois. Il fait mal, autant physiquement que mentalement. - son ancien meilleur ami.
“ Once upon a time :
Ainsi débuta ma vie. Le 6 Avril 1991 dans une maternité parisienne du 16ème arrondissement. Si pendant longtemps, j'ai cru venir d'un milieu bercé par l'amour et la bonne humeur, il n'en était rien. Mon père était un chirurgien urgentiste d'origine espagnole, installé en France depuis ses 10 ans, et qui aspirait à devenir un homme politicien influent. Il était beau, pas trop vieux, intelligent et charismatique, et surtout, il avait les femmes qu'il voulait à ses pieds. Il était marié, mais il ne pouvait s'empêcher d'aller voir ailleurs parfois, parce que l'argent lui permettait d'avoir tout ce qu'il voulait alors il ne lui manquait rien. Pourtant, un jour, il croisa le chemin d'une jeune coréenne, immigrée, ayant fui son pays quelques années auparavant avec sa famille qui tenait une supérette. Ma mère était une belle femme, qui pouvait faire pâlir toutes les conquêtes de mon père, et elle n'avait qu'à claquer les doigts pour le voir rappliquer à genoux. Je ne sais pas comment c'est arrivé mais il l'a payé pour qu'elle passe la nuit avec lui, et il devait savoir qu'elle cherchait à se faire de l'argent d'une façon ou d'une autre, alors elle a accepté. Il tombait amoureux mais il ne voulait pas le reconnaître, alors il a longtemps laissé trainer les choses mais souvent, il retournait la voir, et ils passaient un peu de temps ensemble. Ils avaient 10 ans d'écart et ma mère n'était qu'un maudit nom de plus sur son tableau de chasse, mais ça, c'était jusqu'à ce qu'elle tombe enceinte. Dès le moment où elle lui a annoncé qu'elle était enceinte, les choses ont commencé à changer. Mon père a entamé une procédure de divorce et a commencé à prévoir l'avenir. A trois.
Mon arrivée ne permit pas forcément l'officialisation du couple, puisque mon père tenait à préserver sa réputation. C'est pourquoi je n'eus même pas son nom de famille. Il refusa de me reconnaître, par contre, il s'était mis d'accord avec ma mère pour que je porte un prénom tout ce qu'il y a plus espagnol.
J'ai donc grandi dans les rues de Paris, dans les parcs qui la composent, entre le bureau de mon père et le magasin de mes grands-parents. J'ai apssé mon enfance à fouiller dans la bibliothèque médicale de mon père, ce qui explique pourquoi j'ai pris le chemin de la médecine moi aussi aujourd'hui. J'ai grandi entre mon père et ma mère, qui, malgré un enfant en commun, partageaient pas encore le même toit. Je ne voyais mon père que durant les week-end et les vacances, que nous passions soit en station de ski l'hiver, soit en Espagne l'été. Avoir un père riche et cultivé permet aussi de voyager un paquet de fois et donc de cultiver ses connaissances. Oui, mon père m'apportait beaucoup mais il manquait une chose cruciale dans l'éducation d'un enfant: l'amour. Je ne partageais rien avec mon père, mes anecdotes de l'école, c'est ma mère qui les réglait. C'est elle qui me prenait à coup de martinet quand le directeur de l'école primaire l'appelait pour lui dire "Ilian a frappé un de ses camarades parce qu'il n'a pas voulu lui prêter son crayon" ou "Ilian a insulté l'institutrice parce qu'elle lui demandait de venir se mettre en rang et d'arrêter de jouer". Mon grand-père m'a mis des roustes aussi, et c'était d'ailleurs lui qui conseilla à ma mère de m'inscrire à un sport de combat pour combler mes pulsions de bagarreur. Ainsi, je me retrouvai à 7 ans, inscrit dans un club de judo où j'allais passer 8 ans, et atteindre la ceinture noire. Mais comme d'habitude, mon père n'était pas là. Il ne venait jamais me chercher à l'école, il ne me menait jamais à mes compétitions, il... ne prenait pas part à mon enfance. Je posais les questions fâcheuses à ma mère mais cela devait lui faire si mal qu'elle refusait d'y répondre.
Pour en rajouter une couche, mon comportement à l'école lui causait beaucoup de soucis. Un instit' l'avait mise en garde et lui avait dit que j'allais être de ceux qui se croyaient au dessus de la loi et qui, par leur gabarie et leur facilité à se battre, allait en profiter pour tyranniser les autres. Parce que oui, en primaire, je les dépassais tous, mais ça ne faisait pas de moi un délinquant. Ces mots pourtant si anodins avaient fait pleurer ma mère et en la voyant se faire tant de soucis pour moi, je lui fis la promesse de devenir quelqu'un de bien.
La relation entre mes parents ne s'arrangea pas et c'est à l'âge de 15 ans que je quittai donc la France avec ma mère, qui décida de retourner vivre à Séoul. Elle voulait reprendre sa vie à zéro, avec moi, et oublier le mal qu'avait fait mon père. Quand elle m'expliqua enfin que j'étais issu d'une relation non officielle aux yeux de mon père, j'avais senti mon coeur se briser en mille morceaux. Je me sentais comme orphelin de père, je ne portais même pas son nom de famille, alors la colère me piqua au vif et je lui déballai tout ce que j'avais sur le coeur. J'avais employé les mots d'un jeune homme, pas ceux d'un gamin de 15 ans, des mots qui avaient couler une larme sur la joue de mon père. Sauf que je ne ressentis pas une once de regret, et j'étais parti en Corée du Sud ainsi, laissant mon père seul. Car même s'il avait son argent, il avait perdu sa famille. La seule qu'il avait réellement derrière tous ces sourires de faux-culs qui l'aidaient soit disant à se hisser vers le haut de l'affiche.
Il fut difficile pour moi de m'adapter à Séoul et ses habitants. Je ne parlais que deux mots de coréen mais heureusement, grâce à ma mère, tout rentra vite dans l'ordre. J'avais des amis, j'étais même populaire au lycée mais je ne savais pas pourquoi. Etait-ce pour mes traits caucasiens, mon prénom espagnol, mon palmarès sportif... Je l'ignorais. Ce que je savais, c'était ma popularité auprès des filles, qui me dérangeait puisqu'elle me rappelait amèrement mon père et sa facilité à avoir les femmes qu'il voulait. certaines me souriaient timidement, d'autres s'amusaient à imaginer des tas de choses à mon sujet. J'étais membre du club de foot junior de Séoul et j'avais pour projet de me lancer dans des études de médecine, parce que j'étais passionné de ça à cause de (ou grâce à) mon père. Ma mère m'encourageait quoiqu'il advenait alors que plus je grandissais, plus je ressemblais à celui qui lui avait brisé le coeur.
En 2007, alors que j'avais 16 ans, une nouvelle eut l'effet d'une bombe chez moi. En France, les élections présidentielles avaient propulsé mon père au rang de Premier Ministre. Là-bas, c'était la fête, chez nous, c'était une catastrophe. Ma mère semblait déprimée alors que moi, ça ne me faisait ni chaud ni froid... Quoique... Le voir en train de fêter ça, alors qu'à l'autre bout du monde, un fils qu'il cachait à tout le monde le regardait réussir et être heureux, me faisait ressentir de l'amertume. J'aurais voulu qu'il soit malheureux, j'aurais voulu qu'il échoue dans tout ce qu'il entreprenait mais la chance n'était pas de mon côté.
Au lycée, j'étais un parfait inconnu pour mes amis, en tout cas, pas le fils du premier ministre français. Je n'avais pas besoin de lui pour être populaire, je l'étais à ma façon. Si les filles s'intéressaient presque toutes à moi, moi, je n'étais intéressé que par une seule: Mi Yeon. Mais elle était déjà prise, par mon meilleur ami en plus. Mais ça m'énervait, elle était parfaite, trop belle à mes yeux pour que je puisse faire comme si de rien n'était quand elle était à mes côtés. Elle m'obsédait et comme je tenais beaucoup à mon amitié avec son copain, je me suis mis à les fuir. Mais plus je fuyais, plus elle me suivait et j'avais beau la repousser, elle continuait. Alors je lui imposai un choix à faire, soit elle craquait maintenant, soit elle m'oubliait, pour toujours. J'avais été un égoïste, ou un connard, ça dépend comment vous voyez la chose, mais je n'avais pas forcément pensé à elle à ce moment-là. Ca lui avait fait du mal mais elle avait fini par choisir, et par craquer pour moi. Ainsi, elle trompa son petit ami avec moi, et par cet acte, je perdis plusieurs choses. D'abord ma virginité, puis l'amitié la plus chère à mes yeux. J'avais brisé un couple, j'avais perdu mon plus fidèle ami mais j'avais gagné un amour qui m'avait rendu plus fort, plus mature, plus apte à affronter les aléas de la vie.
Une anecdote sentimentale qui a aussi marqué ma vie, c'est celle d'un amour naissant d'une prof pour moi. En effet, un jour, j'ai eu l'agréable surprise de trouver un mot d'amour mais j'appris, quelques jours plus tard, qu'il s'agissait de ma prof d'Anglais. La pauvre disait ne plus pouvoir vivre avec ça sur les épaules et ainsi, je ne pouvais pas la faire espérer plus longtemps que ça. Peut-être était-ce trop difficile pour elle de vivre avec ce refus sur les épaules, alors, quelques jours plus tard, la nouvelle comme quoi elle avait posé sa démission fit le tour des élèves.
Je me sentais coupable mais je n'ai jamais raconté cette histoire à qui que ce soit. Même si j'avais fait pleurer cette prof, je me sentais coupable, et peu fier.
Par la suite, Mi Yeon et moi, ça n'a pas duré malheureusement parce que je pensais un peu trop sérieusement à mes études. Pourtant, j'étais amoureux, mais je l'avais laissé partir dans les bras d'un garçon qui prendrait plus soin d'elle. Parallèlement, en Septembre 2012, mon père débarqua à Séoul après le changement de gouvernement et qu'il ait donc rendu son poste de Premier Ministre. Son but était de reconquérir le coeur de ma mère, chose qui ne fut pas difficile, mais qui s'avérait plus coriace pour moi. Mon père obtint un poste de chirurgien urgentiste à l'hôpital de la ville et ma mère l'accepta à nouveau dans sa vie, naïvement. Ca m'avait rendu fou mais je ne pouvais pas la forcer à renoncer à lui, elle était si amoureuse...
Pourtant aujourd'hui, mes relations avec mon père se sont nettement amélioré. Vous vous demandez comment cela a pu arriver n'est-ce pas? C'est simple. Il sauva la vie de la seule fille qui ait compté à mes yeux dans ma vie. Les médecins avaient décelé chez Mi Yeon une tumeur cérébrale qui devait être traitée au plus vite au risque qu'elle perde la vie. Durant toute sa période où les questions se psoaient sur son état de santé, j'avais été présent pour elle. C'est moi qui la ramassais quand elle trébuchait, c'est sur mon épaule qu'elle pleurait, c'est moi qui lui tenait les cheveux quand elle vomissait. C'est moi qui tenais ses mains et qui l'écoutais me demander de ne jamais l'abandonner. C'est pourquoi, le soir il m'annonça qu'il l'avait sauvé, j'avais fondu en larmes dans ses bras. Je crois que j'avais laissé sortir toutes les émotions retenues jusqu'ici, la souffrance d'un fils qui n'avait pas son père, ou de l'homme amoureux qui voyait la fille qu'il aimait mourir à petit feu. C'est suite à cet épisode que je pris la décision de me lancer dans des études neurologique, afin de pouvoir à mon tour soigner les personnes souffrant des défaillances de leur cerveau.
J'aurais voulu pouvoir sauver Mi Yeon à la place de mon père, mais quelque part, c'était presque pareil. C'était mon père qui l'avait sauvé, c'était mon sang.
Aujourd'hui, ma vie, ça donne... Etudiant en 2ème année de master médecine spécialité neurologie, fervant membre des Pyobeom, célibataire et jeune homme qui renoue petit à petit avec son père. De retour d'un voyage de 4 mois au Brésil puis en Russie (j'étais parti faire de l'humanitaire au Brésil. Pour les deux dernières semaines en Russie, j'ai une bonne raison, j'avais une compétition de ski). Depuis mon retour, j'ai décroché un poste de prof remplaçant de Maths dans un collège de la banlieue de Séoul. En attendant de finir mes études, ça suffira...
"Des petits pieds dodus, des joues à croquer, 3,720kg de pur bonheur, Ilian a pointé le bout de son nez le 6 Avril et nous fait nager en plein bonheur."
Ainsi débuta ma vie. Le 6 Avril 1991 dans une maternité parisienne du 16ème arrondissement. Si pendant longtemps, j'ai cru venir d'un milieu bercé par l'amour et la bonne humeur, il n'en était rien. Mon père était un chirurgien urgentiste d'origine espagnole, installé en France depuis ses 10 ans, et qui aspirait à devenir un homme politicien influent. Il était beau, pas trop vieux, intelligent et charismatique, et surtout, il avait les femmes qu'il voulait à ses pieds. Il était marié, mais il ne pouvait s'empêcher d'aller voir ailleurs parfois, parce que l'argent lui permettait d'avoir tout ce qu'il voulait alors il ne lui manquait rien. Pourtant, un jour, il croisa le chemin d'une jeune coréenne, immigrée, ayant fui son pays quelques années auparavant avec sa famille qui tenait une supérette. Ma mère était une belle femme, qui pouvait faire pâlir toutes les conquêtes de mon père, et elle n'avait qu'à claquer les doigts pour le voir rappliquer à genoux. Je ne sais pas comment c'est arrivé mais il l'a payé pour qu'elle passe la nuit avec lui, et il devait savoir qu'elle cherchait à se faire de l'argent d'une façon ou d'une autre, alors elle a accepté. Il tombait amoureux mais il ne voulait pas le reconnaître, alors il a longtemps laissé trainer les choses mais souvent, il retournait la voir, et ils passaient un peu de temps ensemble. Ils avaient 10 ans d'écart et ma mère n'était qu'un maudit nom de plus sur son tableau de chasse, mais ça, c'était jusqu'à ce qu'elle tombe enceinte. Dès le moment où elle lui a annoncé qu'elle était enceinte, les choses ont commencé à changer. Mon père a entamé une procédure de divorce et a commencé à prévoir l'avenir. A trois.
Mon arrivée ne permit pas forcément l'officialisation du couple, puisque mon père tenait à préserver sa réputation. C'est pourquoi je n'eus même pas son nom de famille. Il refusa de me reconnaître, par contre, il s'était mis d'accord avec ma mère pour que je porte un prénom tout ce qu'il y a plus espagnol.
J'ai donc grandi dans les rues de Paris, dans les parcs qui la composent, entre le bureau de mon père et le magasin de mes grands-parents. J'ai apssé mon enfance à fouiller dans la bibliothèque médicale de mon père, ce qui explique pourquoi j'ai pris le chemin de la médecine moi aussi aujourd'hui. J'ai grandi entre mon père et ma mère, qui, malgré un enfant en commun, partageaient pas encore le même toit. Je ne voyais mon père que durant les week-end et les vacances, que nous passions soit en station de ski l'hiver, soit en Espagne l'été. Avoir un père riche et cultivé permet aussi de voyager un paquet de fois et donc de cultiver ses connaissances. Oui, mon père m'apportait beaucoup mais il manquait une chose cruciale dans l'éducation d'un enfant: l'amour. Je ne partageais rien avec mon père, mes anecdotes de l'école, c'est ma mère qui les réglait. C'est elle qui me prenait à coup de martinet quand le directeur de l'école primaire l'appelait pour lui dire "Ilian a frappé un de ses camarades parce qu'il n'a pas voulu lui prêter son crayon" ou "Ilian a insulté l'institutrice parce qu'elle lui demandait de venir se mettre en rang et d'arrêter de jouer". Mon grand-père m'a mis des roustes aussi, et c'était d'ailleurs lui qui conseilla à ma mère de m'inscrire à un sport de combat pour combler mes pulsions de bagarreur. Ainsi, je me retrouvai à 7 ans, inscrit dans un club de judo où j'allais passer 8 ans, et atteindre la ceinture noire. Mais comme d'habitude, mon père n'était pas là. Il ne venait jamais me chercher à l'école, il ne me menait jamais à mes compétitions, il... ne prenait pas part à mon enfance. Je posais les questions fâcheuses à ma mère mais cela devait lui faire si mal qu'elle refusait d'y répondre.
Pour en rajouter une couche, mon comportement à l'école lui causait beaucoup de soucis. Un instit' l'avait mise en garde et lui avait dit que j'allais être de ceux qui se croyaient au dessus de la loi et qui, par leur gabarie et leur facilité à se battre, allait en profiter pour tyranniser les autres. Parce que oui, en primaire, je les dépassais tous, mais ça ne faisait pas de moi un délinquant. Ces mots pourtant si anodins avaient fait pleurer ma mère et en la voyant se faire tant de soucis pour moi, je lui fis la promesse de devenir quelqu'un de bien.
La relation entre mes parents ne s'arrangea pas et c'est à l'âge de 15 ans que je quittai donc la France avec ma mère, qui décida de retourner vivre à Séoul. Elle voulait reprendre sa vie à zéro, avec moi, et oublier le mal qu'avait fait mon père. Quand elle m'expliqua enfin que j'étais issu d'une relation non officielle aux yeux de mon père, j'avais senti mon coeur se briser en mille morceaux. Je me sentais comme orphelin de père, je ne portais même pas son nom de famille, alors la colère me piqua au vif et je lui déballai tout ce que j'avais sur le coeur. J'avais employé les mots d'un jeune homme, pas ceux d'un gamin de 15 ans, des mots qui avaient couler une larme sur la joue de mon père. Sauf que je ne ressentis pas une once de regret, et j'étais parti en Corée du Sud ainsi, laissant mon père seul. Car même s'il avait son argent, il avait perdu sa famille. La seule qu'il avait réellement derrière tous ces sourires de faux-culs qui l'aidaient soit disant à se hisser vers le haut de l'affiche.
Il fut difficile pour moi de m'adapter à Séoul et ses habitants. Je ne parlais que deux mots de coréen mais heureusement, grâce à ma mère, tout rentra vite dans l'ordre. J'avais des amis, j'étais même populaire au lycée mais je ne savais pas pourquoi. Etait-ce pour mes traits caucasiens, mon prénom espagnol, mon palmarès sportif... Je l'ignorais. Ce que je savais, c'était ma popularité auprès des filles, qui me dérangeait puisqu'elle me rappelait amèrement mon père et sa facilité à avoir les femmes qu'il voulait. certaines me souriaient timidement, d'autres s'amusaient à imaginer des tas de choses à mon sujet. J'étais membre du club de foot junior de Séoul et j'avais pour projet de me lancer dans des études de médecine, parce que j'étais passionné de ça à cause de (ou grâce à) mon père. Ma mère m'encourageait quoiqu'il advenait alors que plus je grandissais, plus je ressemblais à celui qui lui avait brisé le coeur.
En 2007, alors que j'avais 16 ans, une nouvelle eut l'effet d'une bombe chez moi. En France, les élections présidentielles avaient propulsé mon père au rang de Premier Ministre. Là-bas, c'était la fête, chez nous, c'était une catastrophe. Ma mère semblait déprimée alors que moi, ça ne me faisait ni chaud ni froid... Quoique... Le voir en train de fêter ça, alors qu'à l'autre bout du monde, un fils qu'il cachait à tout le monde le regardait réussir et être heureux, me faisait ressentir de l'amertume. J'aurais voulu qu'il soit malheureux, j'aurais voulu qu'il échoue dans tout ce qu'il entreprenait mais la chance n'était pas de mon côté.
Au lycée, j'étais un parfait inconnu pour mes amis, en tout cas, pas le fils du premier ministre français. Je n'avais pas besoin de lui pour être populaire, je l'étais à ma façon. Si les filles s'intéressaient presque toutes à moi, moi, je n'étais intéressé que par une seule: Mi Yeon. Mais elle était déjà prise, par mon meilleur ami en plus. Mais ça m'énervait, elle était parfaite, trop belle à mes yeux pour que je puisse faire comme si de rien n'était quand elle était à mes côtés. Elle m'obsédait et comme je tenais beaucoup à mon amitié avec son copain, je me suis mis à les fuir. Mais plus je fuyais, plus elle me suivait et j'avais beau la repousser, elle continuait. Alors je lui imposai un choix à faire, soit elle craquait maintenant, soit elle m'oubliait, pour toujours. J'avais été un égoïste, ou un connard, ça dépend comment vous voyez la chose, mais je n'avais pas forcément pensé à elle à ce moment-là. Ca lui avait fait du mal mais elle avait fini par choisir, et par craquer pour moi. Ainsi, elle trompa son petit ami avec moi, et par cet acte, je perdis plusieurs choses. D'abord ma virginité, puis l'amitié la plus chère à mes yeux. J'avais brisé un couple, j'avais perdu mon plus fidèle ami mais j'avais gagné un amour qui m'avait rendu plus fort, plus mature, plus apte à affronter les aléas de la vie.
Une anecdote sentimentale qui a aussi marqué ma vie, c'est celle d'un amour naissant d'une prof pour moi. En effet, un jour, j'ai eu l'agréable surprise de trouver un mot d'amour mais j'appris, quelques jours plus tard, qu'il s'agissait de ma prof d'Anglais. La pauvre disait ne plus pouvoir vivre avec ça sur les épaules et ainsi, je ne pouvais pas la faire espérer plus longtemps que ça. Peut-être était-ce trop difficile pour elle de vivre avec ce refus sur les épaules, alors, quelques jours plus tard, la nouvelle comme quoi elle avait posé sa démission fit le tour des élèves.
Je me sentais coupable mais je n'ai jamais raconté cette histoire à qui que ce soit. Même si j'avais fait pleurer cette prof, je me sentais coupable, et peu fier.
Par la suite, Mi Yeon et moi, ça n'a pas duré malheureusement parce que je pensais un peu trop sérieusement à mes études. Pourtant, j'étais amoureux, mais je l'avais laissé partir dans les bras d'un garçon qui prendrait plus soin d'elle. Parallèlement, en Septembre 2012, mon père débarqua à Séoul après le changement de gouvernement et qu'il ait donc rendu son poste de Premier Ministre. Son but était de reconquérir le coeur de ma mère, chose qui ne fut pas difficile, mais qui s'avérait plus coriace pour moi. Mon père obtint un poste de chirurgien urgentiste à l'hôpital de la ville et ma mère l'accepta à nouveau dans sa vie, naïvement. Ca m'avait rendu fou mais je ne pouvais pas la forcer à renoncer à lui, elle était si amoureuse...
Pourtant aujourd'hui, mes relations avec mon père se sont nettement amélioré. Vous vous demandez comment cela a pu arriver n'est-ce pas? C'est simple. Il sauva la vie de la seule fille qui ait compté à mes yeux dans ma vie. Les médecins avaient décelé chez Mi Yeon une tumeur cérébrale qui devait être traitée au plus vite au risque qu'elle perde la vie. Durant toute sa période où les questions se psoaient sur son état de santé, j'avais été présent pour elle. C'est moi qui la ramassais quand elle trébuchait, c'est sur mon épaule qu'elle pleurait, c'est moi qui lui tenait les cheveux quand elle vomissait. C'est moi qui tenais ses mains et qui l'écoutais me demander de ne jamais l'abandonner. C'est pourquoi, le soir il m'annonça qu'il l'avait sauvé, j'avais fondu en larmes dans ses bras. Je crois que j'avais laissé sortir toutes les émotions retenues jusqu'ici, la souffrance d'un fils qui n'avait pas son père, ou de l'homme amoureux qui voyait la fille qu'il aimait mourir à petit feu. C'est suite à cet épisode que je pris la décision de me lancer dans des études neurologique, afin de pouvoir à mon tour soigner les personnes souffrant des défaillances de leur cerveau.
J'aurais voulu pouvoir sauver Mi Yeon à la place de mon père, mais quelque part, c'était presque pareil. C'était mon père qui l'avait sauvé, c'était mon sang.
Aujourd'hui, ma vie, ça donne... Etudiant en 2ème année de master médecine spécialité neurologie, fervant membre des Pyobeom, célibataire et jeune homme qui renoue petit à petit avec son père. De retour d'un voyage de 4 mois au Brésil puis en Russie (j'étais parti faire de l'humanitaire au Brésil. Pour les deux dernières semaines en Russie, j'ai une bonne raison, j'avais une compétition de ski). Depuis mon retour, j'ai décroché un poste de prof remplaçant de Maths dans un collège de la banlieue de Séoul. En attendant de finir mes études, ça suffira...
Falco
case une citation de ton choix juste ici
Ici Falco, alias Bobo (oui, BBW c'est fini, vous pouvez oublier )
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
POUR UN PERSONNAGE INVENTÉ :
▲▼LEE JONGHYUN (CNBLUE) ✎ Jang Ilian
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Re: Jang Ilian ► Jeffrey, remet nous des glaçons! | Sam 7 Fév - 19:24 Citer EditerSupprimer
cannabis pour homme rebienvenue beauté fatale
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Re: Jang Ilian ► Jeffrey, remet nous des glaçons! | Sam 7 Fév - 19:45 Citer EditerSupprimer
J'ATTENDS NOTRE LIEN
PTAIN, J'SUIS TROP CONTENTE ! J'AI TROP HATE QUE TU TERMINES TA FICHE !
J'ETAIS DEJA EN MODE « OMG OMG OMG » EN LISANT LES RUMEURS, tu me vends du rêve j'ai trop hâte de lire l'histoire complète ! Puis t'es aussi belle sous cette forme que sous l'autre, comment fais-tu ?
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PTAIN, J'SUIS TROP CONTENTE ! J'AI TROP HATE QUE TU TERMINES TA FICHE !
J'ETAIS DEJA EN MODE « OMG OMG OMG » EN LISANT LES RUMEURS, tu me vends du rêve j'ai trop hâte de lire l'histoire complète ! Puis t'es aussi belle sous cette forme que sous l'autre, comment fais-tu ?
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Re: Jang Ilian ► Jeffrey, remet nous des glaçons! | Sam 7 Fév - 20:46 Citer EditerSupprimer
Reeeee
Te revoilààààà enfin avec la tête d'homme qui te va si bien Ah ce CNblue, j'suis trop contente que tu le ressortes Il me tarde de voir ce que tu vas en faire !
Fighting pour ta fiche
Te revoilààààà enfin avec la tête d'homme qui te va si bien Ah ce CNblue, j'suis trop contente que tu le ressortes Il me tarde de voir ce que tu vas en faire !
Fighting pour ta fiche
Et plus de glaçon sous le tee-shirt, non mais
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Re: Jang Ilian ► Jeffrey, remet nous des glaçons! | Sam 7 Fév - 21:56 Citer EditerSupprimer
il est canon tonton ilian
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Re: Jang Ilian ► Jeffrey, remet nous des glaçons! | Sam 7 Fév - 22:03 Citer EditerSupprimer
mdrrr la citation, how high rpz han, jonghyun quoi, ce mec est tellement parfait rebienvenue wsh j'ai hâte de lire le reste, ilian m'intrigue
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Re: Jang Ilian ► Jeffrey, remet nous des glaçons! | Sam 7 Fév - 22:05 Citer EditerSupprimer
Bon pareil que pour Lee Gon, si t'engrosse une élève tu sais qui venir voir
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