daddy buy me nice ring elle ne s'y attendait pas. hyo jung y croyait même pas pour être tout à fait honnête. d'accord papa avait perdu son boulot mais c'était pas la mort ! non ? il avait qu'à retrouver autre chose. il a retrouvé autre chose, mais ça payait beaucoup moins bien. après son accident, le père de hyo jung n'avait plus vraiment de motivation a trouvé quoi que ce soit, trop déprimé. c'est sa femme qui l'a poussé un peu à droite à gauche, maintenant il est employé de bureau comme tout le monde. elle s'en fichait un peu au début hyo jung, c'était pas vraiment sa vie, jusqu'à ce qu'on ne puisse plus lui payer ce qu'elle voulait. on lui a fait vite comprendre que maintenant, il fallait se débrouiller un peu de son côté. et elle déteste ça, la jalousie prend facilement le dessus quand elle crois ceux qui ont sa vie d'avant, quelque chose qu'elle ne pourra sûrement pas récupérer et qu'elle déteste au plus haut point. En y réfléchissant c'est peut-être à partir de là que quelque chose à l'intérieur s'est débranché le temps de se détourner un peu du droit chemin. 

honey in your eyes drop, drop it elle se justifiera d'abord par un tu peux pas comprendre parce qu'il y avait rien à comprendre. il a rien fait de mal, il a rien fait pour qu'elle puisse croiser le chemin d'un autre homme le temps d'une nuit. elle se souvient très bien comment elle l'a regardé, comme s'il était bien stupide, que c'était de sa faute à lui. ô hyo jung a rarement été amoureuse et il a bien été le dernier. mais après voir perdu son confort de vie, elle a eu peur de le perdre et lui et d'avoir mal à ce coeur qu'elle lui avait doucement ouvert. alors quitte à ce que ça se termine, elle ne voulait être celle qui souffrait.
sûrement que maintenant on la trouverait bête et hypocrite à revenir vers lui comme une fleur. mais elle en est certaine, un claquement de doigts et il lui fera face sans broncher. il est presque révolu le temps où elle s'intéressait au premier venu juste pour une fois dans le simple but de l'oublier lui. hyo jung a envie de rester dans un coin de sa tête, d'être le visage qu'on voit dans ces douloureuses insomnies.