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"regarde derrière toi" (malia + jun)
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"regarde derrière toi" (malia + jun) | Lun 23 Mai - 22:51 
le jeune homme reste encore fixé quelques secondes sur la conversation affichée sur l'écran de son téléphone, il a un sourire en coin tant la situation l'amuse. est-ce véritablement de sa faute si la demoiselle possède tant de chargeurs de téléphone et qu'elle prétend les oublier à droite à gauche ? est-ce de sa faute si c'est lui et lui seul qui se trouve sur le chemin de l'un (ou dans ce cas précis, de plusieurs) de ces objets égarés, et qu'il est donc le seul à se dévouer pour prendre soin d'eux et leur donner une vie meilleure ? la réponse est oui, évidemment que c'est de sa faute. c'est lui qui aime tellement subtiliser les choses qui ne lui appartiennent pas, juste pour le plaisir d'en devenir le propriétaire à partir du moment où ce sont les autres qui oublient. la preuve en est, son téléphone dernier cri subtilisé lors de l'une des dernières soirées étudiantes. et là, il est fort probable que la tendance s'inverse. . .
la bibliothèque est très calme en cette matinée de mai, peu d'étudiants ont fait le déplacement pour se réserver les meilleures places. il y a bien évidemment toujours les habitués qui ont bien sécurisé leurs emplacements privilégiés, jun a déjà eu l'occasion de faire le tri des livres qui avaient été rendu dans la nuit. il a même déjà réussi à se faire offrir un café par une des étudiantes qui semble plus le regarder lui que ses révisions à elle, pauvre créature.
l'attention du jeune homme est cependant capté par des claquements de talons qui se font entendre plus loin, de même q'un raclement de gorge très significatif et qu'il reconnaît que trop bien. jun se retourne donc, comme indiqué dans le message encore affiché sur son écran, téléphone à la main. il découvre malia à quelques pas de lui qui semble s'approcher avec un air décider, aïe, le début des problèmes. enfin, le début, si seulement malia parvenait à rester debout sur ses pattes. en effet, il a simplement suffit qu'il se tourne de sa position pour pouvoir la regarder arriver vers lui, que la voilà qui se mange littéralement le sol en se tordant non pas une, mais bien les deux chevilles. au diable les règles de la bibliothèque, jun éclate de rire en voyant sa meilleure amie s'éclater à même le sol.
" c'est donc à ça qu'ont servi les menaces ? " lui demande-t-il quand il s'est approché et accroupi près de l'italienne pour le regarder de plus près. pour un peu, la situation était si comique qu'il en aurait les larmes aux yeux.
@KWON MALIA @YANG HYEON JUN
REGARDE DERRIERE TOI
malia & jun
le jeune homme reste encore fixé quelques secondes sur la conversation affichée sur l'écran de son téléphone, il a un sourire en coin tant la situation l'amuse. est-ce véritablement de sa faute si la demoiselle possède tant de chargeurs de téléphone et qu'elle prétend les oublier à droite à gauche ? est-ce de sa faute si c'est lui et lui seul qui se trouve sur le chemin de l'un (ou dans ce cas précis, de plusieurs) de ces objets égarés, et qu'il est donc le seul à se dévouer pour prendre soin d'eux et leur donner une vie meilleure ? la réponse est oui, évidemment que c'est de sa faute. c'est lui qui aime tellement subtiliser les choses qui ne lui appartiennent pas, juste pour le plaisir d'en devenir le propriétaire à partir du moment où ce sont les autres qui oublient. la preuve en est, son téléphone dernier cri subtilisé lors de l'une des dernières soirées étudiantes. et là, il est fort probable que la tendance s'inverse. . .
la bibliothèque est très calme en cette matinée de mai, peu d'étudiants ont fait le déplacement pour se réserver les meilleures places. il y a bien évidemment toujours les habitués qui ont bien sécurisé leurs emplacements privilégiés, jun a déjà eu l'occasion de faire le tri des livres qui avaient été rendu dans la nuit. il a même déjà réussi à se faire offrir un café par une des étudiantes qui semble plus le regarder lui que ses révisions à elle, pauvre créature.
l'attention du jeune homme est cependant capté par des claquements de talons qui se font entendre plus loin, de même q'un raclement de gorge très significatif et qu'il reconnaît que trop bien. jun se retourne donc, comme indiqué dans le message encore affiché sur son écran, téléphone à la main. il découvre malia à quelques pas de lui qui semble s'approcher avec un air décider, aïe, le début des problèmes. enfin, le début, si seulement malia parvenait à rester debout sur ses pattes. en effet, il a simplement suffit qu'il se tourne de sa position pour pouvoir la regarder arriver vers lui, que la voilà qui se mange littéralement le sol en se tordant non pas une, mais bien les deux chevilles. au diable les règles de la bibliothèque, jun éclate de rire en voyant sa meilleure amie s'éclater à même le sol.
" c'est donc à ça qu'ont servi les menaces ? " lui demande-t-il quand il s'est approché et accroupi près de l'italienne pour le regarder de plus près. pour un peu, la situation était si comique qu'il en aurait les larmes aux yeux.
@KWON MALIA @YANG HYEON JUN
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Re: "regarde derrière toi" (malia + jun) | Sam 11 Juin - 18:45 
Des menaces ? Non. Des promesses.
Franchement, on pouvait facilement remettre en question son équilibre mental en la voyant enfiler ses chaussures pour aller régler ses comptes. Qu’avait donc fait cette personne ? Insulter ses parents ? Proféré des menaces ? Remis en question son intégrité ? Non. Parce que la personne qu’elle s’apprêtait à aller exploser était Jun. Et tout est prétexte pour exploser Jun. Pourquoi ? Eh bien, parce que c’est comme ça. Elle ne sait plus comment elle en est arrivée là, ni même pourquoi. Genre, vous voyez le frère avec qui vous vous chamaillez constamment et dont vous attendez le moindre faux pas pour lancer une bagarre ? Voilà, c’était exactement ça.
Cette fois-ci, c’était une histoire de chargeur. Un chargeur posé sur sa table basse en partant, disparu en rentrant. Un Jun qui avoue, un Jun qui minimise les faits et un Jun qui les collectionne au passage visiblement. Parce que son tiroir rempli de fils en tout genre ne l’est plus, étrangement vide et bizarrement le jeune homme commence à se pointer avec des chargeurs roses. Quelle audace. Le visage du culot.
C’était trop. Alors elle débarquait comme une bombe dans la bibliothèque déjà parce qu’elle est canon héhé et deuxièmement parce qu’il n’en sortira pas vivant. Il faut voir le boucan qu’elle ne faisait rien qu’avec son aura et le visage décomposé de l’employée quand elle la voit passer. Le visage qui dit : je sais, c’est la merde, je le sais. Pourtant, Malia n’a rien fait, elle n’a encore rien fait.
Alors elle localisait sa cible, verrouillait la cible dans sa tête. Cette tête de nœud qui lui tourne le dos, lisant très certainement le retourne toi qu’elle lui avait précédemment envoyé. Elle était prête à lui foutre la raclée du siècle, bibliothèque ou pas, ça n’avait aucune importance. Elle s’échauffait les poignets, minutieusement, préparant une de ses soumissions qu’il ne connait que trop bien quand elle se prend les pieds dans les sacs d’un type. … Quasiment immédiatement, la chanson Eyes of the tiger qui résonnait dans sa tête déraille. Et elle s’écrase. De tout son sol. Comme une merde. Comme une tartine au sol. Le mauvais côté de la tartine en plus. Celui avec de la confiture. …
C’était trop. La chute, cette humiliation. Le rire de Jun qui résonne dans ses oreilles et sa grosse tête qui se rapproche. Il faut croire que le propriétaire du sac a senti qu’elle était sur le point de se transformer en super saiyan vu la vitesse avec laquelle il s’est barré. Visiblement, certains ont un instinct de survie aiguisé. Visiblement, Jun n’en a pas. « Rend moi mon chargeur tout de suite sinon je t’égorge devant tout le monde même avec deux chevilles en moins. T’as vu Viking ? Tu connais Ivar le désossé ? » Bon. A la base, elle voulait le fracasser directement. Mais honnêtement, elle avait mal là …
@KWON MALIA @YANG HYEON JUN
REGARDE DERRIERE TOI
malia & jun
Des menaces ? Non. Des promesses.
Franchement, on pouvait facilement remettre en question son équilibre mental en la voyant enfiler ses chaussures pour aller régler ses comptes. Qu’avait donc fait cette personne ? Insulter ses parents ? Proféré des menaces ? Remis en question son intégrité ? Non. Parce que la personne qu’elle s’apprêtait à aller exploser était Jun. Et tout est prétexte pour exploser Jun. Pourquoi ? Eh bien, parce que c’est comme ça. Elle ne sait plus comment elle en est arrivée là, ni même pourquoi. Genre, vous voyez le frère avec qui vous vous chamaillez constamment et dont vous attendez le moindre faux pas pour lancer une bagarre ? Voilà, c’était exactement ça.
Cette fois-ci, c’était une histoire de chargeur. Un chargeur posé sur sa table basse en partant, disparu en rentrant. Un Jun qui avoue, un Jun qui minimise les faits et un Jun qui les collectionne au passage visiblement. Parce que son tiroir rempli de fils en tout genre ne l’est plus, étrangement vide et bizarrement le jeune homme commence à se pointer avec des chargeurs roses. Quelle audace. Le visage du culot.
C’était trop. Alors elle débarquait comme une bombe dans la bibliothèque déjà parce qu’elle est canon héhé et deuxièmement parce qu’il n’en sortira pas vivant. Il faut voir le boucan qu’elle ne faisait rien qu’avec son aura et le visage décomposé de l’employée quand elle la voit passer. Le visage qui dit : je sais, c’est la merde, je le sais. Pourtant, Malia n’a rien fait, elle n’a encore rien fait.
Alors elle localisait sa cible, verrouillait la cible dans sa tête. Cette tête de nœud qui lui tourne le dos, lisant très certainement le retourne toi qu’elle lui avait précédemment envoyé. Elle était prête à lui foutre la raclée du siècle, bibliothèque ou pas, ça n’avait aucune importance. Elle s’échauffait les poignets, minutieusement, préparant une de ses soumissions qu’il ne connait que trop bien quand elle se prend les pieds dans les sacs d’un type. … Quasiment immédiatement, la chanson Eyes of the tiger qui résonnait dans sa tête déraille. Et elle s’écrase. De tout son sol. Comme une merde. Comme une tartine au sol. Le mauvais côté de la tartine en plus. Celui avec de la confiture. …
C’était trop. La chute, cette humiliation. Le rire de Jun qui résonne dans ses oreilles et sa grosse tête qui se rapproche. Il faut croire que le propriétaire du sac a senti qu’elle était sur le point de se transformer en super saiyan vu la vitesse avec laquelle il s’est barré. Visiblement, certains ont un instinct de survie aiguisé. Visiblement, Jun n’en a pas. « Rend moi mon chargeur tout de suite sinon je t’égorge devant tout le monde même avec deux chevilles en moins. T’as vu Viking ? Tu connais Ivar le désossé ? » Bon. A la base, elle voulait le fracasser directement. Mais honnêtement, elle avait mal là …
@KWON MALIA @YANG HYEON JUN
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Re: "regarde derrière toi" (malia + jun) | Mar 19 Juil - 20:30
jun, connu comme la bête noire du campus, et aussi ce drôle de couteau suisse dont le personnel a bien du mal à se passer. celui qui, en dépit de sa présence dans un lieu dans lequel il faut juste fermer son clapet et avoir un doctorat en asmr pour pouvoir être un minimum respecté, laisse sa gorge, et tout le niveau de la bibliothèque, entendre sa voix tant la chute à laquelle il vient d'assister est mémorable. Il aurait dû filmer tout ça, l'envoyer à seorina, se faire tatouer la vidéo sur le front, même. merde alors, encore une occasion de loupée pour se foutre éternellement de la gueule de l'italienne.
il ne flanche pas sous les regards outrés de celui qui vient de briser le silence sacré, sous les sourcils haussés par la surprise et dont la concentration avait été dérangée par le plat monumental à même le sol de la bibliothèque. au lieu de cela, il abandonne lâchement sa tâche de passer au scanner les livres qui viennent de lui être rendus, et il s'approche de la pauvre créature qui, restée au sol sûrement pour garder un minimum de classe et de dignité, ressemble de plus en plus à une baleine échouée sur le sable. le simple fait qu'elle ait encore la force pour pouvoir tenter de se sauver la face est tellement hilarant, le géant ne peut plus s'empêcher d'être secoué à nouveau par un rire, qu'il garde un peu mieux cette fois, faut pas déconner non plus, il y a des gens autour d'eux qui doivent étudier pour avoir un métier, jun, lui, son métier était de se foutre de la gueule de celle qui vient de se manger le sol avec une classe incomparable, et très peu de dignité.
" oui oui, ivar " pouffe-t-il alors. " et en attendant j'ai réussi à faire un biz de fou avec tes chargeur, imagine ! J'suis devenu millionnaire, comme Donatien de Montazac, faut que j'aille le dire aux informations ! " entre les menaces, il arrive quand même à voir qu'elle sourit à sa blague. sourire qui est remplacé rapidement par une grimace, ah mais oui c'est vrai ! elle vient de s'exploser la gueule par terre, normal du coup qu'elle fasse un peu la tronche ! " tu peux marcher ? " lui demande-t-il alors avec un pointe d'inquiétude dans la voix quand il la regarde se remettre sur ses genoux. elle semble réfléchir à ses prochains mouvements, sûrement pour essayer de trouver ceux qui vont atténuer la douleur, il ouvre naturellement les bras avant même qu'elle ne se mette à faire ses grabby hands dont elle a l'habitude. " c'mere you baby. "
@KWON MALIA @YANG HYEON JUN
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malia & jun
jun, connu comme la bête noire du campus, et aussi ce drôle de couteau suisse dont le personnel a bien du mal à se passer. celui qui, en dépit de sa présence dans un lieu dans lequel il faut juste fermer son clapet et avoir un doctorat en asmr pour pouvoir être un minimum respecté, laisse sa gorge, et tout le niveau de la bibliothèque, entendre sa voix tant la chute à laquelle il vient d'assister est mémorable. Il aurait dû filmer tout ça, l'envoyer à seorina, se faire tatouer la vidéo sur le front, même. merde alors, encore une occasion de loupée pour se foutre éternellement de la gueule de l'italienne.
il ne flanche pas sous les regards outrés de celui qui vient de briser le silence sacré, sous les sourcils haussés par la surprise et dont la concentration avait été dérangée par le plat monumental à même le sol de la bibliothèque. au lieu de cela, il abandonne lâchement sa tâche de passer au scanner les livres qui viennent de lui être rendus, et il s'approche de la pauvre créature qui, restée au sol sûrement pour garder un minimum de classe et de dignité, ressemble de plus en plus à une baleine échouée sur le sable. le simple fait qu'elle ait encore la force pour pouvoir tenter de se sauver la face est tellement hilarant, le géant ne peut plus s'empêcher d'être secoué à nouveau par un rire, qu'il garde un peu mieux cette fois, faut pas déconner non plus, il y a des gens autour d'eux qui doivent étudier pour avoir un métier, jun, lui, son métier était de se foutre de la gueule de celle qui vient de se manger le sol avec une classe incomparable, et très peu de dignité.
" oui oui, ivar " pouffe-t-il alors. " et en attendant j'ai réussi à faire un biz de fou avec tes chargeur, imagine ! J'suis devenu millionnaire, comme Donatien de Montazac, faut que j'aille le dire aux informations ! " entre les menaces, il arrive quand même à voir qu'elle sourit à sa blague. sourire qui est remplacé rapidement par une grimace, ah mais oui c'est vrai ! elle vient de s'exploser la gueule par terre, normal du coup qu'elle fasse un peu la tronche ! " tu peux marcher ? " lui demande-t-il alors avec un pointe d'inquiétude dans la voix quand il la regarde se remettre sur ses genoux. elle semble réfléchir à ses prochains mouvements, sûrement pour essayer de trouver ceux qui vont atténuer la douleur, il ouvre naturellement les bras avant même qu'elle ne se mette à faire ses grabby hands dont elle a l'habitude. " c'mere you baby. "
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Re: "regarde derrière toi" (malia + jun) | Dim 31 Juil - 15:37
La chute d’une reine. Qui a osé poser ce sac ici ? Comment osent-ils tous la regarder sans proposer leur aide ? Comment Jun ose-t-il encore trouver l’audace de rire ? Oui non, lui c’est normal, il est complètement suicidaire. Contrairement au propriétaire du sac qui après avoir récupérer l’objet du crime précipitamment a mit les voiles à toute vitesse. Ouais, ouais, elle préfère ça …
Mais on fait quoi maintenant Malia ? Que ferait Queen B après s’être tapée la chute du siècle ? Et la reine Elizabeth ? Elle se mit alors à proférer des menaces, comme d’habitude. Enfin, Malia proférait des menaces, pas la reine d’Angleterre. Non parce que il fallait bien qu’elle fasse oublier sa chute (impossible) et qu’elle garde la tête haute. Garder la tête haute en restant au sol et en mentionnant Ivar le désossé ? Exactement. Pourtant, elle aurait dû se douter que ça ne fonctionnerai pas. Elle n’est même pas crédible lorsqu’elle est debout alors après s’être étalée de tout son long, forcément qu’il ne la prendrait pas au sérieux.
Il fallait voir le seum dans ses yeux lorsqu’il venait la narguer. Un seum profond, dans lequel elle sombrait de plus en plus. 50 Nuances de seum. « Millionnaire mais bientôt mort, imagine le flash news juste après qui balance mon avis de recherche. » Un corps sans vie a été retrouvé à l’arrière de la bibliothèque, plusieurs chargeurs ont été insérés dans son orifice anal, une femme est recherchée … C’EST QUOI CETTE PHOTO ?
Bon, avant de hurler face à la photo de son avis de recherche, il fallait tout de même se lever. … Elle essayait de se relever, misérablement. Bordel, cela faisait un mal de chien. « Ne t’inquiète pas, j’ai la tête dure. » Peut-être, mais des chevilles en mousse et un ami qui ne l’aide pas. La vérité c’est qu’il avait raison de ne pas le faire, elle avait déjà préparé son attaque. PUTAIN RIEN N’ALLAIT AUJOURD’HUI. Bon réfléchis Malia, qu’est-ce que tu pourrais faire ? Un plaquage ? On est dans une bibliothèque quand même … Oh regarde, il essaye finalement de te venir en aide … A L’ATTAQUE ! A peine debout sur ses deux jambes qu’elle l’enchainait de petites tapes. « Tout ça c’est de ta faute ! Partage les gains ! Moitié-moitié, mout-mout ! » Bon, on l’a déjà connue plus féroce mais … Putain elle avait trop mal …
@KWON MALIA @YANG HYEON JUN
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La chute d’une reine. Qui a osé poser ce sac ici ? Comment osent-ils tous la regarder sans proposer leur aide ? Comment Jun ose-t-il encore trouver l’audace de rire ? Oui non, lui c’est normal, il est complètement suicidaire. Contrairement au propriétaire du sac qui après avoir récupérer l’objet du crime précipitamment a mit les voiles à toute vitesse. Ouais, ouais, elle préfère ça …
Mais on fait quoi maintenant Malia ? Que ferait Queen B après s’être tapée la chute du siècle ? Et la reine Elizabeth ? Elle se mit alors à proférer des menaces, comme d’habitude. Enfin, Malia proférait des menaces, pas la reine d’Angleterre. Non parce que il fallait bien qu’elle fasse oublier sa chute (impossible) et qu’elle garde la tête haute. Garder la tête haute en restant au sol et en mentionnant Ivar le désossé ? Exactement. Pourtant, elle aurait dû se douter que ça ne fonctionnerai pas. Elle n’est même pas crédible lorsqu’elle est debout alors après s’être étalée de tout son long, forcément qu’il ne la prendrait pas au sérieux.
Il fallait voir le seum dans ses yeux lorsqu’il venait la narguer. Un seum profond, dans lequel elle sombrait de plus en plus. 50 Nuances de seum. « Millionnaire mais bientôt mort, imagine le flash news juste après qui balance mon avis de recherche. » Un corps sans vie a été retrouvé à l’arrière de la bibliothèque, plusieurs chargeurs ont été insérés dans son orifice anal, une femme est recherchée … C’EST QUOI CETTE PHOTO ?
Bon, avant de hurler face à la photo de son avis de recherche, il fallait tout de même se lever. … Elle essayait de se relever, misérablement. Bordel, cela faisait un mal de chien. « Ne t’inquiète pas, j’ai la tête dure. » Peut-être, mais des chevilles en mousse et un ami qui ne l’aide pas. La vérité c’est qu’il avait raison de ne pas le faire, elle avait déjà préparé son attaque. PUTAIN RIEN N’ALLAIT AUJOURD’HUI. Bon réfléchis Malia, qu’est-ce que tu pourrais faire ? Un plaquage ? On est dans une bibliothèque quand même … Oh regarde, il essaye finalement de te venir en aide … A L’ATTAQUE ! A peine debout sur ses deux jambes qu’elle l’enchainait de petites tapes. « Tout ça c’est de ta faute ! Partage les gains ! Moitié-moitié, mout-mout ! » Bon, on l’a déjà connue plus féroce mais … Putain elle avait trop mal …
@KWON MALIA @YANG HYEON JUN
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Re: "regarde derrière toi" (malia + jun) | Mar 9 Aoû - 14:12
il pouffe encore, l'imbécile, quand il l'entend raconter des âneries plus grosses qu'elle même. déjà qu'elle était pas bien grande l'italienne... ouais, alors des âneries au moins plus grandes que lui, ça collait mieux. et puis il roule des yeux, de façon très exagérée, comme ses deux meilleures amies ont l'habitude de faire quand c'est lui qui raconte les histoires à dormir debout des soirées étudiantes dans lesquelles il est parvenu à s'immiscer. il la laisse déblatérer son venin et ses excuses pourries pour que la princesse échouée à ses pieds sauvé sa face le temps de quelques secondes. à force de la connaître, il est prêt à parier que d'ici quelques minutes, une fois qu'elle sera remise sur pieds, elle va commencer à se plaindre comme un bébé et lui, trop bon et trop con, s'occupera de combler ses besoins sans être capable de lui refuser quoi que ce soit. " la tête dure, peut être, mais les chevilles en carton... "
ses mains puissantes se glisse ainsi sous les bras de la demoiselle pour pouvoir la redresser. c'est par automatisme qu'il garde les mains non loin de sa taille et qu'il scanne rapidement la petite figure face à lui pour vérifier que ses jambes ne lui fassent pas défaut. ça serait quand même un comble que son amie fasse une deuxième Shy'm... une pluie de coups s'abat sur son bras et son torse, enfin une pluie, de la bruine plutôt, vu la force de mouche dans les petits bras de l'italienne. et voilà jun qui glousse encore. " on va voir c'que j'peux faire.. faut déjà que je prépare un voyage en Turquie pour une greffe depuis cette putain de session d'épilation de l'autre fois... j'vous ai pas oubliées, hein. " parce que oui, depuis cette fameuse soirée, dont il se souvient de quelques bribes très peu cohérentes, jun a gardé une certaine rancœur envers les demoiselles qui partagent son quotidien. plus jamais il ne se laisserait berner de la sorte. déjà qu'il avait failli se casser le nez... trop de dingueries tuent les dingueries.
il tapote doucement le haut du crâne de malia quand il voit qu'elle est prête à reprendre du service. dans le même temps, il jette un coup d'œil à l'horaire affiché sur son téléphone -volé- portable. " bon j'termine le taf d'ici dix minutes, on bouge après ? "
@KWON MALIA @YANG HYEON JUN
REGARDE DERRIERE TOI
malia & jun
il pouffe encore, l'imbécile, quand il l'entend raconter des âneries plus grosses qu'elle même. déjà qu'elle était pas bien grande l'italienne... ouais, alors des âneries au moins plus grandes que lui, ça collait mieux. et puis il roule des yeux, de façon très exagérée, comme ses deux meilleures amies ont l'habitude de faire quand c'est lui qui raconte les histoires à dormir debout des soirées étudiantes dans lesquelles il est parvenu à s'immiscer. il la laisse déblatérer son venin et ses excuses pourries pour que la princesse échouée à ses pieds sauvé sa face le temps de quelques secondes. à force de la connaître, il est prêt à parier que d'ici quelques minutes, une fois qu'elle sera remise sur pieds, elle va commencer à se plaindre comme un bébé et lui, trop bon et trop con, s'occupera de combler ses besoins sans être capable de lui refuser quoi que ce soit. " la tête dure, peut être, mais les chevilles en carton... "
ses mains puissantes se glisse ainsi sous les bras de la demoiselle pour pouvoir la redresser. c'est par automatisme qu'il garde les mains non loin de sa taille et qu'il scanne rapidement la petite figure face à lui pour vérifier que ses jambes ne lui fassent pas défaut. ça serait quand même un comble que son amie fasse une deuxième Shy'm... une pluie de coups s'abat sur son bras et son torse, enfin une pluie, de la bruine plutôt, vu la force de mouche dans les petits bras de l'italienne. et voilà jun qui glousse encore. " on va voir c'que j'peux faire.. faut déjà que je prépare un voyage en Turquie pour une greffe depuis cette putain de session d'épilation de l'autre fois... j'vous ai pas oubliées, hein. " parce que oui, depuis cette fameuse soirée, dont il se souvient de quelques bribes très peu cohérentes, jun a gardé une certaine rancœur envers les demoiselles qui partagent son quotidien. plus jamais il ne se laisserait berner de la sorte. déjà qu'il avait failli se casser le nez... trop de dingueries tuent les dingueries.
il tapote doucement le haut du crâne de malia quand il voit qu'elle est prête à reprendre du service. dans le même temps, il jette un coup d'œil à l'horaire affiché sur son téléphone -volé- portable. " bon j'termine le taf d'ici dix minutes, on bouge après ? "
@KWON MALIA @YANG HYEON JUN
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Re: "regarde derrière toi" (malia + jun) | Sam 20 Aoû - 16:35
Il y avait volonté de lui nuire, elle en était certaine. Tout cela n’était qu’un vaste coup monté, d’ailleurs, qu’est-ce qui lui disait que Jun n’avait pas payé ce type exprès pour poser le sac à cet endroit précis ? Rien du tout : rien pour l’affirmer mais rien non plus pour contredire sa théorie loufoque. Toute personne normalement constituée se dirait qu’il s’agit, de ce fait, d’un simple hasard. Non. Parce que toutes les raisons sont bonnes pour garder sa dignité. Il ne s’agissait pas là d’un accident, d’une erreur mais bel et bien d’un plan machiavélique. Ecoutez, on se réconforte tous comme on peut …
Mais elle ne se laissait pas abattre. Oh non. Le jour elle laissera ce pauvre Jun gagner des combats dans lequel il ignorait littéralement être impliqué, n’arrivera probablement jamais. C’est pour cela qu’une fois relevée grâce à son aide, elle lançait l’assaut. … Bon franchement, on a déjà connu une Malia plus combattive. Pour vous donner une idée, un moustique qui fonce sur votre pare-brise en pleine autoroute avait sûrement une force de frappe plus important qu’elle. Bon, pour le coup, cela était uniquement dû au fait qu’elle venait de s’étaler de tout son long et que ses chevilles hurlaient à son cerveau : j’ai mal. Sinon elle dépasse certainement le niveau moustique. … Enfin j’espère ?
En tout cas, Jun n’avait clairement pas l’air impressionné. Quel affront. La jeune femme fronçait alors légèrement les sourcils en l’écoutant. « Tu vas rien voir du tout, j’suis ta fournisseuse. Tu dois me payer. » Donc déjà qu’elle s’était ramassée devant lui alors qu’elle était censée régler son compte, lui donnant bien malgré elle une large opportunité de sa foutre de sa gueule et EN PLUS, il ne comptait pas partager les gains ? « T’es vraiment fragile comme mec, tu ne l’as vécu qu’une seule fois et tu te plains. » Parce que t’es à plaindre avec tes sessions lasers Malia toi ? PEU IMPORTE. « En plus c’est un giga service qu’on t’a rendu, t’es même pas reconnaissant. Franchement t’abuse. » Quoi, il n’a même pas dit merci après avoir été épilé de force ? Ça dégoûte …
Elle poussait un léger soupire en s’asseyant à une table en l’écoutant lui proposer dans dix minutes. « Ok. Dépêche-toi, je t’attends. » Genre, il avait pas remarqué. Dix minutes, c’est long non ? Dix minutes dans une bibliothèque c’est, genre, dix minutes de silence non ? … Alors pour essayer de respecter cette fameuse règle, elle se contentait alors de le fixer l’air blasé et de faire taper ses ongles machinalement sur la table pour montrer son impatience. Ou pour l’emmerder. Plus pour l’emmerder oui.
@KWON MALIA @YANG HYEON JUN
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malia & jun
Il y avait volonté de lui nuire, elle en était certaine. Tout cela n’était qu’un vaste coup monté, d’ailleurs, qu’est-ce qui lui disait que Jun n’avait pas payé ce type exprès pour poser le sac à cet endroit précis ? Rien du tout : rien pour l’affirmer mais rien non plus pour contredire sa théorie loufoque. Toute personne normalement constituée se dirait qu’il s’agit, de ce fait, d’un simple hasard. Non. Parce que toutes les raisons sont bonnes pour garder sa dignité. Il ne s’agissait pas là d’un accident, d’une erreur mais bel et bien d’un plan machiavélique. Ecoutez, on se réconforte tous comme on peut …
Mais elle ne se laissait pas abattre. Oh non. Le jour elle laissera ce pauvre Jun gagner des combats dans lequel il ignorait littéralement être impliqué, n’arrivera probablement jamais. C’est pour cela qu’une fois relevée grâce à son aide, elle lançait l’assaut. … Bon franchement, on a déjà connu une Malia plus combattive. Pour vous donner une idée, un moustique qui fonce sur votre pare-brise en pleine autoroute avait sûrement une force de frappe plus important qu’elle. Bon, pour le coup, cela était uniquement dû au fait qu’elle venait de s’étaler de tout son long et que ses chevilles hurlaient à son cerveau : j’ai mal. Sinon elle dépasse certainement le niveau moustique. … Enfin j’espère ?
En tout cas, Jun n’avait clairement pas l’air impressionné. Quel affront. La jeune femme fronçait alors légèrement les sourcils en l’écoutant. « Tu vas rien voir du tout, j’suis ta fournisseuse. Tu dois me payer. » Donc déjà qu’elle s’était ramassée devant lui alors qu’elle était censée régler son compte, lui donnant bien malgré elle une large opportunité de sa foutre de sa gueule et EN PLUS, il ne comptait pas partager les gains ? « T’es vraiment fragile comme mec, tu ne l’as vécu qu’une seule fois et tu te plains. » Parce que t’es à plaindre avec tes sessions lasers Malia toi ? PEU IMPORTE. « En plus c’est un giga service qu’on t’a rendu, t’es même pas reconnaissant. Franchement t’abuse. » Quoi, il n’a même pas dit merci après avoir été épilé de force ? Ça dégoûte …
Elle poussait un léger soupire en s’asseyant à une table en l’écoutant lui proposer dans dix minutes. « Ok. Dépêche-toi, je t’attends. » Genre, il avait pas remarqué. Dix minutes, c’est long non ? Dix minutes dans une bibliothèque c’est, genre, dix minutes de silence non ? … Alors pour essayer de respecter cette fameuse règle, elle se contentait alors de le fixer l’air blasé et de faire taper ses ongles machinalement sur la table pour montrer son impatience. Ou pour l’emmerder. Plus pour l’emmerder oui.
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Re: "regarde derrière toi" (malia + jun) | Ven 16 Déc - 16:58
c’est bizarrement quand une personne cherche à mettre jun dans une position inconfortable qu’il se sert de sa demi-surdité. il arrive très bien à entendre l’italienne, ce n’est même pas le problème, mais c’est juste qu’il n’a clairement pas envie de continuer la discussion sur cette fameuse soirée trop arrosée où les filles se sont lâchées pour lui faire endurer les pires souffrances humaines. parce que oui, pour jun, l’épilation ressemble à de la torture tout droit sortie du moyen-âge. et comme il se trouve qu’on vit au vingt et unième siècle, faut clairement pas abuser sur les trucs trop vieux. alors le garçon montre de son doigt son oreille atrophiée, celle habilement cachée par ses mèches noires, celle qu’il sait que son amie sait ce qu’elle représente, puis il hausse les épaules de manière fataliste et de sorte à le faire passer, à nouveau pour le roi des connards.
mais c’est comme ça qu’on l’aime jun, pas vrai ?
il laisse la blonde s’installer à une table pour qu’elle arrête de gesticuler dans tous les sens pendant les dernières minutes de ses heures de travail. aussi peut être parce qu’il aimerait bien qu’elle soit en état de marcher avec lui quand ils quitteront le campus, non pas qu’il est déjà gavé à l’idée de la porter sur son dos si elle venait à avoir encore trop mal, mais parce qu’avec sa façade de débile profond, jun reste malgré tout particulièrement attaché à sa compagne et qu’il ne lui souhaiterait jamais véritablement de mal.
elle lui fait remarquer sa présence et son impatience avec le bruit de ses ongles qui claquent sur le bois, et lui, l’air de rien, est retourné à son petit bureau pour ranger les derniers ouvrages qu’il était en train de trier. les dix minutes passent à une folle allure, le café qu’on lui avait offert à son arrivée à son poste est vite envoyé dans la poubelle. le grand gaillard enfile alors sa veste en quatrième vitesse pour éviter le groupe d’étudiantes qui s’approchait de son bureau, pour emprunter des livres ou pour essayer de taper la causette avec lui probablement, et il s’arrête à hauteur de la table occupée par malia. il prend appui sur le rebord de la table en jetant en consultant son téléphone. " tu sèches cet après midi pour qu’on aille à la salle d’arcade ? my treat. "
@KWON MALIA @YANG HYEON JUN
REGARDE DERRIERE TOI
malia & jun
c’est bizarrement quand une personne cherche à mettre jun dans une position inconfortable qu’il se sert de sa demi-surdité. il arrive très bien à entendre l’italienne, ce n’est même pas le problème, mais c’est juste qu’il n’a clairement pas envie de continuer la discussion sur cette fameuse soirée trop arrosée où les filles se sont lâchées pour lui faire endurer les pires souffrances humaines. parce que oui, pour jun, l’épilation ressemble à de la torture tout droit sortie du moyen-âge. et comme il se trouve qu’on vit au vingt et unième siècle, faut clairement pas abuser sur les trucs trop vieux. alors le garçon montre de son doigt son oreille atrophiée, celle habilement cachée par ses mèches noires, celle qu’il sait que son amie sait ce qu’elle représente, puis il hausse les épaules de manière fataliste et de sorte à le faire passer, à nouveau pour le roi des connards.
mais c’est comme ça qu’on l’aime jun, pas vrai ?
il laisse la blonde s’installer à une table pour qu’elle arrête de gesticuler dans tous les sens pendant les dernières minutes de ses heures de travail. aussi peut être parce qu’il aimerait bien qu’elle soit en état de marcher avec lui quand ils quitteront le campus, non pas qu’il est déjà gavé à l’idée de la porter sur son dos si elle venait à avoir encore trop mal, mais parce qu’avec sa façade de débile profond, jun reste malgré tout particulièrement attaché à sa compagne et qu’il ne lui souhaiterait jamais véritablement de mal.
elle lui fait remarquer sa présence et son impatience avec le bruit de ses ongles qui claquent sur le bois, et lui, l’air de rien, est retourné à son petit bureau pour ranger les derniers ouvrages qu’il était en train de trier. les dix minutes passent à une folle allure, le café qu’on lui avait offert à son arrivée à son poste est vite envoyé dans la poubelle. le grand gaillard enfile alors sa veste en quatrième vitesse pour éviter le groupe d’étudiantes qui s’approchait de son bureau, pour emprunter des livres ou pour essayer de taper la causette avec lui probablement, et il s’arrête à hauteur de la table occupée par malia. il prend appui sur le rebord de la table en jetant en consultant son téléphone. " tu sèches cet après midi pour qu’on aille à la salle d’arcade ? my treat. "
@KWON MALIA @YANG HYEON JUN
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