can't come out until we talked (minju ♡)
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can't come out until we talked (minju ♡) | Dim 4 Déc - 1:06 Citer EditerSupprimer
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feat. @Jeon Min Ju
outfit — « Il se passe quoi avec Minju ? » La voix le sortit de ses pensées et Doyun tourna son attention vers celui qui venait de parler, lui lâchant un regard noir, sans prendre la peine de répondre. Il n’y avait rien avec elle. Ils avaient simplement dormi dans le même lit et s’étaient réveillés enlacés l’un à l’autre. Aucun n’avait mentionné cet incident et maintenant, ils ne pouvaient même plus se regarder sans être gênés. « Fais pas genre mec ! Vous discutiez pas mal et maintenant c’est plus le cas ! Il s’est passé quoi ? Elle t’a recalé ? » Doyun leva les yeux au ciel. Non elle ne l’avait pas recalé et de toute façon, leur relation n’était pas comme ça. Il n’y avait rien entre eux. « Y a rien. T’inventes des trucs parce que tu t’ennuies. Si tu veux tant que ça qu’il se passe quelque chose dans ta vie… Trouve toi une copine. » répliqua-t-il avant de se lever pour aller se chercher à boire. Il ne pouvait pas nier que la jeune femme était mignonne, elle lui plaisait. Mais il n’y avait rien de plus et il n’y aurait rien de plus. Doyun était, malheureusement, encore amoureux de Amara et ce même si ça faisait plusieurs mois qu’ils n’étaient plus ensemble. Mais elle était son premier amour et il n’arrivait pas à passer outre le fait qu’il n’avait pas réussi à lui faire ouvrir son cœur et qu’elle était amoureuse d’un autre pendant leur relation. Son égo en avait pris un coup et il était blessé par tout ça. Perdu dans ses pensées il se retourna pour parcourir la pièce du regard et tomba nez à nez avec Minju. Ils se regardèrent quelques instants avant que Doyun ne détourne les yeux. Il se rappela de leur réveil et rougit presque en y repensant. Il décida d’aller dans la salle de bains pour se rafraîchir sans se soucier du fait que son ami avait tout vu. Il se passa de l’eau sur le visage avant de sursauter en entendant la porte s’ouvrir. Encore une fois, ce fut le regard de Minju qu’il croisa. « Salut ! » murmura-t-il, détournant une nouvelle fois les yeux. Il ne savait pas comment se comporter avec la jeune femme. Il préféra donc la fuite. « Je vais te laisser la salle de bains… » dit-il, lui souriant légèrement maladroit. Il allait pour partir quand il vit dans l’embrasure de la porte son ami, la clé à la main. Il ferma ainsi à clé, le laissant bouche bée. « Putain, tu fais quoi du con ??? » Doyun s’acharna sur la porte qui ne semblait pas prête de s’ouvrir. « Règle ton problème avec Minju ! Et ensuite je t’ouvrirai. » entendit-il derrière le battant. Doyun allait l’étrangler à défaut de pouvoir le tuer. Il allait clairement lui payer tout ça.
Jeon Min Ju
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Re: can't come out until we talked (minju ♡) | Mer 11 Jan - 23:28 Citer EditerSupprimer
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outfit — « Viens danser, Min Ju ! » Assise sur le canapé, ton cocktail d'alcool dans la main, tu relèves la tête vers ton amie, la gratifiant de ce bref signe de la main que l'on pourrait facilement traduire par un « va voir ailleurs si j'y suis ! » Réponse assez surprenante de ta part, à vrai dire. Faut dire qu'en temps normal, tu n'aurais certainement pas hésité, buvant d'une traite ta boisson pour aller la rejoindre sur la piste de danse. Mais depuis que tu as franchi le pas de cet appartement, tu n'as pas bougé de ce canapé. Pas même d'un petit millimètre. A croire que tu n'as pas envie d'être ici...
Et pourtant, la vérité – la vraie vérité - c'est que cela fait plusieurs semaines maintenant que tu ressens comme un sentiment de malaise à l'égard de votre hôte de la soirée. Pourtant, vous n'avez fait que dormir ensemble, ce soir là. Rien de plus ! Il ne s'est absolument rien passé entre vous, si ce n'est que vous avez eu la surprise de vous réveiller le lendemain, enlacés l'un à l'autre. Mais c'est plus fort que toi et lorsque tu te revois dans les bras du jeune homme, son visage à seulement quelques centimètres du tien, tu ne peux t'empêcher de sentir le rouge te monter aux joues. De gêne, de honte, de... Tu ne sais pas trop de quoi, en fait... Et c'est pour cette raison que, depuis quelques temps, tu t'emploies soigneusement à éviter le jeune homme, faisant demi-tour quand tu l'aperçois au loin dans l'un des couloirs de l'université ou changeant de pièce lorsque celui-ci s'y trouve.
Sauf que là, tu es chez lui. Et tu regrettes presque d'avoir capitulé, lorsque tes amis ont insisté pour que tu les suives ici. Surtout quand, en te risquant à jeter quelques regards autour de toi, c'est le sien que tu finis par croiser. Tu aurais dû trouver une excuse. N'importe laquelle, mais tu aurais dû... Heureusement pour toi, le jeune homme détourne assez rapidement le regard et tu finis par reporter ton attention sur... Sur quoi ? Sur rien du tout en particulier. Le vide. Juste le vide... Toutefois, c'était sans compter sur cet abruti qui décide de s'asseoir – ou plutôt de sauter à côté de toi, te faisant renverser le verre que tu avais encore dans les mains. « Mais t'es sérieux ? » que tu t'exclames alors, lui lançant un regard noir. Et lui, tout ce qu'il trouve à te répondre, c'est un« Oops ! » que tu te retiens de lui faire ravaler, avant de baisser la tête vers ton pantalon. Celui-là même que tu avais acheté, pas plus tard qu'hier... « Espèce de bouffon... » finis-tu alors par siffler entre tes dents, avant de déposer rageusement ton verre sur la table basse. Te levant du canapé, tout en continuant de pester contre cet inconnu qui vient de tâcher ton nouveau pantalon, tu te diriges ensuite vers la salle de bain, ne te doutant pas un seul instant que celle-ci est déjà occupée, qui plus est par la personne que tu tentes désespérément d'éviter depuis des jours. Ton visage se charge alors d'une moue surprise quand celui-ci se tourne vers toi et, prise au dépourvu, tu retiens ton souffle pendant un court instant, avant de finalement laisser échapper un « Salut. » d'une petite voix. Puis, la surprise passée, et alors que le jeune homme s'apprête à te laisser la salle de bain, tu ajoutes : « Désolé... Je n'avais pas vu que c'était déjà occupé. » Mais, à peine ces quelques mots prononcés, tu te retournes brusquement en entendant la porte de la salle de bain se refermer et la voix d'un homme scander derrière cette dernière qu'il ne vous laissera pas sortir tant que Do Yun n'aura pas régler son problème avec toi. « QUOI ??? » Bouche bée, tu regardes Do Yun avec de gros yeux. « Il est sérieux, ton pote ? » A en croire l'expression perdue et choquée qu'arbore Do Yun, tu dirais bien que oui. Le poing serré, tu t'approches donc de la porte et c'est finalement à ton tour de tambouriner sur celle-ci de toutes tes forces, en menaçant l'ami de Do Yun. « Yah, espèce de trou d'balle ! Dépêche toi d'ouvrir cette porte ou je te jure que tu vas le regretter ! » Mais tu l'entends rire de l'autre côté du bois et tu comprends que ça ne servira à rien de le menacer. Alors tu te retournes de nouveau vers Do Yun. « Mais fais quelque chose ! C'est chez toi, non ?! » Oui, Min Ju, c'est chez lui... Mais t'as oublié qu'il était lui aussi enfermé et que la clé se trouve de l'autre côté.
Et pourtant, la vérité – la vraie vérité - c'est que cela fait plusieurs semaines maintenant que tu ressens comme un sentiment de malaise à l'égard de votre hôte de la soirée. Pourtant, vous n'avez fait que dormir ensemble, ce soir là. Rien de plus ! Il ne s'est absolument rien passé entre vous, si ce n'est que vous avez eu la surprise de vous réveiller le lendemain, enlacés l'un à l'autre. Mais c'est plus fort que toi et lorsque tu te revois dans les bras du jeune homme, son visage à seulement quelques centimètres du tien, tu ne peux t'empêcher de sentir le rouge te monter aux joues. De gêne, de honte, de... Tu ne sais pas trop de quoi, en fait... Et c'est pour cette raison que, depuis quelques temps, tu t'emploies soigneusement à éviter le jeune homme, faisant demi-tour quand tu l'aperçois au loin dans l'un des couloirs de l'université ou changeant de pièce lorsque celui-ci s'y trouve.
Sauf que là, tu es chez lui. Et tu regrettes presque d'avoir capitulé, lorsque tes amis ont insisté pour que tu les suives ici. Surtout quand, en te risquant à jeter quelques regards autour de toi, c'est le sien que tu finis par croiser. Tu aurais dû trouver une excuse. N'importe laquelle, mais tu aurais dû... Heureusement pour toi, le jeune homme détourne assez rapidement le regard et tu finis par reporter ton attention sur... Sur quoi ? Sur rien du tout en particulier. Le vide. Juste le vide... Toutefois, c'était sans compter sur cet abruti qui décide de s'asseoir – ou plutôt de sauter à côté de toi, te faisant renverser le verre que tu avais encore dans les mains. « Mais t'es sérieux ? » que tu t'exclames alors, lui lançant un regard noir. Et lui, tout ce qu'il trouve à te répondre, c'est un
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Re: can't come out until we talked (minju ♡) | Sam 28 Jan - 15:51 Citer EditerSupprimer
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outfit — Il n’aurait jamais pensé qu’elle serait là pendant la soirée. Ils s'évitaient plus ou moins depuis cette fameuse nuit qu’ils avaient passé dans les bras l’un de l’autre. Doyun n’était même pas sûr de qui avait initié le contact. Toujours est-il qu’ils avaient fini par dormir collé à l’autre et que le jeune homme avait gardé ses bras autour du corps de Minju. Le regrettait-il ? C’était dur à dire. C’était bien la première fois qu’il ouvrait son lit à une femme sans aucune arrière pensée. Non pas que Minju ne lui plaise pas, au contraire, elle était bien mignonne. Mais c’était compliqué dans son cerveau et encore plus dans son cœur. Ce dernier était encore bien trop attaché à Amara tandis que son cerveau voulait avancer et bouger. Alors, il avait peut-être cru que c’était la jeune femme dans son lit insconciemment. Doyun ne savait pas mais maintenant, il refusait de croiser le regard de la Baekje et de lui parler. Et de ce qu’il avait compris, c’était également son cas. Alors il était d’autant plus étonné de la voir là. Mais pour le moment, il avait envie, besoin même, de respirer loin de son pote qui le faisait chier avec Minju. Il se réfugia donc dans la salle de bain après avoir croisé son regard dans la cuisine. Il ne pensait pas qu’elle serait là quelques minutes après lui. Il remarqua la tâche sur son pantalon et lui assura qu’il lui donnait l’accès à la salle de bains. « T’excuses pas… Je m’en vais… » lui dit-il, les yeux baissés et en tournant les talons.
Cependant, au moment où il allait sortir, la porte se referma à clé et Doyun comprit avant même que son débile de pote se mette à parler. Il regarda impuissant la porte fermée, gueulant quand même pour demander ce qui se passait. Quand il entendit qu’il devait résoudre ses problèmes avec la jeune femme à l’intérieur, il blémit légèrement. Il n’était pas prêt à cette confrontation, ni maintenant ni jamais. Il sentit le regard de Minju sur lui mais refusa de la regarder. « Apparemment oui… » lança-t-il, ayant envie d’étrangler son ami alors que d’ordinaire, il évitait tous les conflits. Peut-être pour cette raison qu’il ne désirait pas parler de ce qui s’était passé avec la Baekje. L’étudiant la laissa s’acharner sur le battant en bois et lorsqu’elle se retourna vers lui pour lui demander de faire quelque chose, il haussa simplement les épaules. « Tu veux que je fasse quoi Minju ? Oui c’est chez moi… Mais jusqu’à preuve du contraire, je suis bloqué ici avec toi non ? Et la clé est à l’extérieur avec mon DEBILE DE POTE ! » Un autre rire se fit entendre alors que l’insulte avait été crié un peu plus fort. Il avait entendu, c’était sûr sinon, il n’aurait pas ri.
Poussant un soupir, Doyun baissa la cuvette des toilettes et la montra du doigt à Minju. « On en a pour pas mal de temps… Assieds toi. » Lui se laissa tomber dans la baignoire, ses pieds près du robinet comme s’il était en train de prendre un bain. « Je te préviens que si jamais tu laisses quelqu’un pisser ailleurs que dans les toilettes parce que t’es un abruti qui voudra pas leur ouvrir ! Je te fais lécher pour nettoyer. » Doyun le connaissait assez pour savoir qu’il n’ouvrirait pas même s’il y avait une urgence. Mais il était hors de question que quelqu’un fasse ses besoins dans ses plantes ou même dans une bouteille. Déchirés comme ils étaient, la plupart ne saurait viser juste. « ET PAS PAR LA FENETRE NON PLUS TROU DU CUL ! » ajouta-t-il toujours sans regarder Minju et soupira en entendant le nouveau rire derrière la porte. Ils étaient bloqués tous les deux et à moins que l’un d’eux ne brise le silence, ils resteraient ainsi longtemps.
Cependant, au moment où il allait sortir, la porte se referma à clé et Doyun comprit avant même que son débile de pote se mette à parler. Il regarda impuissant la porte fermée, gueulant quand même pour demander ce qui se passait. Quand il entendit qu’il devait résoudre ses problèmes avec la jeune femme à l’intérieur, il blémit légèrement. Il n’était pas prêt à cette confrontation, ni maintenant ni jamais. Il sentit le regard de Minju sur lui mais refusa de la regarder. « Apparemment oui… » lança-t-il, ayant envie d’étrangler son ami alors que d’ordinaire, il évitait tous les conflits. Peut-être pour cette raison qu’il ne désirait pas parler de ce qui s’était passé avec la Baekje. L’étudiant la laissa s’acharner sur le battant en bois et lorsqu’elle se retourna vers lui pour lui demander de faire quelque chose, il haussa simplement les épaules. « Tu veux que je fasse quoi Minju ? Oui c’est chez moi… Mais jusqu’à preuve du contraire, je suis bloqué ici avec toi non ? Et la clé est à l’extérieur avec mon DEBILE DE POTE ! » Un autre rire se fit entendre alors que l’insulte avait été crié un peu plus fort. Il avait entendu, c’était sûr sinon, il n’aurait pas ri.
Poussant un soupir, Doyun baissa la cuvette des toilettes et la montra du doigt à Minju. « On en a pour pas mal de temps… Assieds toi. » Lui se laissa tomber dans la baignoire, ses pieds près du robinet comme s’il était en train de prendre un bain. « Je te préviens que si jamais tu laisses quelqu’un pisser ailleurs que dans les toilettes parce que t’es un abruti qui voudra pas leur ouvrir ! Je te fais lécher pour nettoyer. » Doyun le connaissait assez pour savoir qu’il n’ouvrirait pas même s’il y avait une urgence. Mais il était hors de question que quelqu’un fasse ses besoins dans ses plantes ou même dans une bouteille. Déchirés comme ils étaient, la plupart ne saurait viser juste. « ET PAS PAR LA FENETRE NON PLUS TROU DU CUL ! » ajouta-t-il toujours sans regarder Minju et soupira en entendant le nouveau rire derrière la porte. Ils étaient bloqués tous les deux et à moins que l’un d’eux ne brise le silence, ils resteraient ainsi longtemps.
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Re: can't come out until we talked (minju ♡) | Jeu 23 Mar - 22:27 Citer EditerSupprimer
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feat. @Jung Do Yun
outfit — Le malaise est palpable, alors que tu te retrouves face au jeune homme. Et toi qui es pourtant si confiante, d'habitude, c'est limite si tu ne te liquéfies pas complètement sur place quand il finit par s'adresser à toi. T'es pas à l'aise. Vraiment pas... Et, à l'heure actuelle, la seule chose qui t'aide un tant soit peu à te sentir « mieux », c'est le fait de savoir que tu n'es pas seule dans ce cas et que le jeune homme est également tout aussi mal à l'aise que toi. Et, à vrai dire, t'es tellement pas à l'aise, Min Ju, qu'en tendant un minimum l'oreille, il est presque possible de t'entendre lâcher un léger soupir de soulagement quand Do Yun te dit qu'il s'en va. Mais c'était sans compter sur son idiot de pote qui, se sentant apparemment un peu trop concerné par quelque chose qui ne le concerne pourtant pas, décide de vous jouer un mauvais tour en vous enfermant dans la salle de bain. Et, sur le moment, tu captes pas tout de suite ce qu'il se passe. Ou, du moins, tu ne captes pas trop le pourquoi du comment. Parce que, évidemment, tu comprends assez vite que toi et Do Yun êtes coincés dans la salle de bain. Toutefois, ce que tu ne comprends pas, c'est pourquoi son pote a fait ça ?! Question à laquelle ce dernier finit toutefois par répondre assez rapidement et s'en suivent alors une ribambelle d'insultes à son égard et de nombreux coups contre la porte en bois qui, pauvre d'elle, n'a absolument rien demandé...
« Abruti... » Les poings serrés, tu laisses échapper cette ultime « insulte » dans un soupir, avant de finalement te tourner vers Do Yun, ton dos collé contre la porte. Et, alors même que ce dernier n'y est pour rien, c'est sur lui que tu finis par passer tes nerfs, lui demandant de bien vouloir faire quelque chose. Mais quoi ? Telle est la question, celui-ci étant également enfermé avec toi. Chose que le jeune homme s'empresse d'ailleurs assez rapidement de te rappeler et tu finis alors par te mordiller la lèvre inférieure, te retenant de pester une nouvelle fois contre son « débile de pote ». Parce que tu sais pertinemment que cela ne servira à rien. Un constat des plus fâcheux qui t'arrache un léger grognement, d'ailleurs. Pour autant, tu n'as pas dit ton dernier mot et, alors que tu tapotes tes poches à la recherche de ton portable, tu te dis que si t'appelles l'un de tes potes présents, l'un d'eux daignera peut-être venir casser la gueule de votre ravisseur pour lui prendre les clés et vous libérer. Malheureusement, tu te rappelles ensuite que t'as laissé ton portable dans l'une des poches de ta veste qui se trouve – je vous le donne en mille - sur le canapé... « Génial... Il ne manquait plus que ça... » que tu lâches alors, en colère contre toi-même cette fois. Puis, complètement lasse et résignée, tu hoches simplement la tête quand Do Yun t'indique les toilettes sur lesquels il a préalablement rabaissé le battant, venant t'asseoir sur ces derniers. De toute façon, tu n'as pas trop le choix. Et tandis que le jeune homme s'installe dans la baignoire, tu te risques à jeter un coup d’œil vers lui, l'écoutant menacer son pote, avant de finalement détourner le regard...
Et puis, finalement, le silence... Pendant plusieurs minutes, plus aucun son ne sort de vos bouches, à tel point que l'on pourrait presque entendre les mouches voler s'il y en avait. Mais silence que tu te décides toutefois à briser, pas pour parler de ce qu'il s'est passé l'autre nuit mais juste pour raler, encore une fois. « Ton pote est au courant que ça pourrait être considéré comme de la séquestration ce qu'il est en train de faire et que je pourrais très bien porter plainte contre lui, pour ça ? » Évidemment, tu n'es pas sérieuse quand tu dis ça. Tu n'as pas l'intention de porter plainte. Mais tu jugeais toutefois bon de souligner le caractère illégal de la situation. « Ma grande sœur est avocate, en plus ! » finis-tu d'ailleurs par ajouter, comme si cela pouvait peser sur la balance. « Et puis, franchement, tu ne pouvais pas avoir des toilettes comme tout le monde ? Genre, des toilettes qui se ferment avec un verrou depuis l'intérieur, et non pas avec une clé que l'on peut aussi utiliser depuis l'extérieur ? » Croisant tes bras sur ta poitrine, la moue quelque peu boudeuse, tu laisses échapper un soupir. Une nouvelle fois, tu t'en prends à Do Yun alors qu'il n'y est absolument pour rien et, au fond, tu t'en veux un peu d'agir comme ça. Mais bon sang, t'es bloquée dans des chiottes ! Des putains de chiottes... « Je n'aurais vraiment pas dû venir... » Maudis soit le pote de Do Yun...
« Abruti... » Les poings serrés, tu laisses échapper cette ultime « insulte » dans un soupir, avant de finalement te tourner vers Do Yun, ton dos collé contre la porte. Et, alors même que ce dernier n'y est pour rien, c'est sur lui que tu finis par passer tes nerfs, lui demandant de bien vouloir faire quelque chose. Mais quoi ? Telle est la question, celui-ci étant également enfermé avec toi. Chose que le jeune homme s'empresse d'ailleurs assez rapidement de te rappeler et tu finis alors par te mordiller la lèvre inférieure, te retenant de pester une nouvelle fois contre son « débile de pote ». Parce que tu sais pertinemment que cela ne servira à rien. Un constat des plus fâcheux qui t'arrache un léger grognement, d'ailleurs. Pour autant, tu n'as pas dit ton dernier mot et, alors que tu tapotes tes poches à la recherche de ton portable, tu te dis que si t'appelles l'un de tes potes présents, l'un d'eux daignera peut-être venir casser la gueule de votre ravisseur pour lui prendre les clés et vous libérer. Malheureusement, tu te rappelles ensuite que t'as laissé ton portable dans l'une des poches de ta veste qui se trouve – je vous le donne en mille - sur le canapé... « Génial... Il ne manquait plus que ça... » que tu lâches alors, en colère contre toi-même cette fois. Puis, complètement lasse et résignée, tu hoches simplement la tête quand Do Yun t'indique les toilettes sur lesquels il a préalablement rabaissé le battant, venant t'asseoir sur ces derniers. De toute façon, tu n'as pas trop le choix. Et tandis que le jeune homme s'installe dans la baignoire, tu te risques à jeter un coup d’œil vers lui, l'écoutant menacer son pote, avant de finalement détourner le regard...
Et puis, finalement, le silence... Pendant plusieurs minutes, plus aucun son ne sort de vos bouches, à tel point que l'on pourrait presque entendre les mouches voler s'il y en avait. Mais silence que tu te décides toutefois à briser, pas pour parler de ce qu'il s'est passé l'autre nuit mais juste pour raler, encore une fois. « Ton pote est au courant que ça pourrait être considéré comme de la séquestration ce qu'il est en train de faire et que je pourrais très bien porter plainte contre lui, pour ça ? » Évidemment, tu n'es pas sérieuse quand tu dis ça. Tu n'as pas l'intention de porter plainte. Mais tu jugeais toutefois bon de souligner le caractère illégal de la situation. « Ma grande sœur est avocate, en plus ! » finis-tu d'ailleurs par ajouter, comme si cela pouvait peser sur la balance. « Et puis, franchement, tu ne pouvais pas avoir des toilettes comme tout le monde ? Genre, des toilettes qui se ferment avec un verrou depuis l'intérieur, et non pas avec une clé que l'on peut aussi utiliser depuis l'extérieur ? » Croisant tes bras sur ta poitrine, la moue quelque peu boudeuse, tu laisses échapper un soupir. Une nouvelle fois, tu t'en prends à Do Yun alors qu'il n'y est absolument pour rien et, au fond, tu t'en veux un peu d'agir comme ça. Mais bon sang, t'es bloquée dans des chiottes ! Des putains de chiottes... « Je n'aurais vraiment pas dû venir... » Maudis soit le pote de Do Yun...
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Re: can't come out until we talked (minju ♡) | Lun 10 Avr - 15:22 Citer EditerSupprimer
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outfit — La colère et la frustration de Minju étaient totalement compréhensibles, mais cela ne voulait pas dire que Doyun acceptait son comportement face à lui. Il fallait qu’elle comprenne qu’il n’y était pour rien. Il avait l’impression d’être Troy Bolton, coincé par Sharpay Evans qui l’obligeait à chanter une chanson sur un rythme qui n’était pas le premier rythme de la chanson. Sauf que Sharpay n’était pas une belle blonde qui désirait gagner une stupide compétition de chant, mais son pote qui n’en avait rien à foutre de savoir qu’il y avait quelque chose de bizarre entre Minju et lui. Il sourit en entendant l’insulte passer la barrière de ses lèvres. Sourire qui se fana presque automatiquement parce que ce fut lui qui prit tout dans la gueule. Il l’observa chercher dans ses poches quelque chose, sans savoir ce que c’était. Peut-être son téléphone ? Mais lorsqu’elle se mit à pester sur elle-même, il se rendit compte que c’était sûrement ça. Elle avait voulu appeler quelqu’un pour la sortir de là. Mais apparemment, son téléphone n’était pas sur elle. Ça aurait pu les aider. Mais à la place, ils étaient obligés de rester à l’intérieur de cette pièce. Doyun se mit donc à l’aise dans sa baignoire, invitant Minju à faire de même où elle pouvait avant qu’il ne menace celui qui ne serait plus son pote après cette soirée.
Le silence se fit entre eux et le jeune homme garda son regard droit devant lui, sur un point imaginaire, comme si la baekje n’était pas à ses côtés dans cette pièce. On pouvait même presque entendre les mouches voler tellement ils se taisaient et tentaient de faire comme si l’autre n’existait pas. Ça convenait parfaitement à Doyun qui n’était pas réellement bavard. Il savait qu’il pouvait rester ainsi pendant de longues minutes. Mais ce n’était pas le cas de la jeune femme qui reprit la parole. Lentement, son regard se porta sur elle et il l’écouta se plaindre, parler de porter plainte, de sa sœur avocate et lui reprocher ses toilettes. Il leva les yeux au ciel devant ses mots et soupira. « Alors pourquoi tu es venue Minju ? » demanda-t-il laissant de côté le reste de ses paroles. Il y reviendrait peut-être plus tard. « Je ne t’ai pas forcé à venir à cette soirée, pas plus que tes amis soient le genre à arriver à te faire faire quelque chose que tu ne veux pas. Alors pourquoi t’es venue si tu regrettes tant d’être là. » Il se redressa, quittant la baignoire pour se mettre face à elle mais cette fois-ci debout. « Tu savais que je serais là. C’est chez moi… Donc tu peux pas regretter en sachant ce que tu trouverais en venant ici. »
Doyun n’était pas réellement en colère, juste agacé par le comportement de la jeune femme, comme si tout ce qui lui arrivait était de sa faute. Sa seule faute avait été d’être ami avec le connard qui les avait enfermé dans cette salle de bain. « J’ai pas choisi le meilleur des potes, j’en conviens. Mais j’ai pas non plus choisi comment ma salle de bain s’ouvrait ou se fermait. Je te rappelle que j’ai pas acheté mais que je loue… Alors arrête de t’en prendre à moi. » Le jeune homme soupira avant de se détourner d’elle. D’ordinaire, il n’était pas si bavard, mais elle avait le don de le faire sortir de ses gongs. « Je suis aussi une victime de ce connard, je te rappelle. » ne put-il s’empêcher de rajouter pour qu’elle intègre bien qu’il n’y était malheureusement pour rien et qu’il était tout autant bloqué qu’elle dans cette salle de bains.
Le silence se fit entre eux et le jeune homme garda son regard droit devant lui, sur un point imaginaire, comme si la baekje n’était pas à ses côtés dans cette pièce. On pouvait même presque entendre les mouches voler tellement ils se taisaient et tentaient de faire comme si l’autre n’existait pas. Ça convenait parfaitement à Doyun qui n’était pas réellement bavard. Il savait qu’il pouvait rester ainsi pendant de longues minutes. Mais ce n’était pas le cas de la jeune femme qui reprit la parole. Lentement, son regard se porta sur elle et il l’écouta se plaindre, parler de porter plainte, de sa sœur avocate et lui reprocher ses toilettes. Il leva les yeux au ciel devant ses mots et soupira. « Alors pourquoi tu es venue Minju ? » demanda-t-il laissant de côté le reste de ses paroles. Il y reviendrait peut-être plus tard. « Je ne t’ai pas forcé à venir à cette soirée, pas plus que tes amis soient le genre à arriver à te faire faire quelque chose que tu ne veux pas. Alors pourquoi t’es venue si tu regrettes tant d’être là. » Il se redressa, quittant la baignoire pour se mettre face à elle mais cette fois-ci debout. « Tu savais que je serais là. C’est chez moi… Donc tu peux pas regretter en sachant ce que tu trouverais en venant ici. »
Doyun n’était pas réellement en colère, juste agacé par le comportement de la jeune femme, comme si tout ce qui lui arrivait était de sa faute. Sa seule faute avait été d’être ami avec le connard qui les avait enfermé dans cette salle de bain. « J’ai pas choisi le meilleur des potes, j’en conviens. Mais j’ai pas non plus choisi comment ma salle de bain s’ouvrait ou se fermait. Je te rappelle que j’ai pas acheté mais que je loue… Alors arrête de t’en prendre à moi. » Le jeune homme soupira avant de se détourner d’elle. D’ordinaire, il n’était pas si bavard, mais elle avait le don de le faire sortir de ses gongs. « Je suis aussi une victime de ce connard, je te rappelle. » ne put-il s’empêcher de rajouter pour qu’elle intègre bien qu’il n’y était malheureusement pour rien et qu’il était tout autant bloqué qu’elle dans cette salle de bains.
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