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one in a billion ((jiwoon))
Cho Jae Jin
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Re: one in a billion ((jiwoon)) | Mer 16 Aoû - 15:49 Citer EditerSupprimer
« C'est laquelle ta préférée ? », demandas-tu doucement, la curiosité tremblant un instant ta peau, faisant lever le coin de tes lèvres dans une esquisse à peine perceptible. L'envie d'aider que tu articulais tant cachait probablement une envie plus égoïste. Une proximité que tu avais tant cherchée enfin donnée. N'en profitais-tu pas un peu, aussi ? Probablement. Et probablement que tu allais te détester pour ça à chaque fois, de profiter ainsi de cette aide qu'il demandait pour savourer un moment qui n'existerait jamais autrement. « Oui ça paraît plus simple », et il serait alors moins évident de te perdre dans son regard ou de perdre tes mots pas vrai ? T'avais qu'à lire, comme une machine un peu idiote qui ne faisait que prononcer des paroles qu'on lui soufflait. Rien de bien compliqué. C'était un peu ce que tu allais devoir faire, plus tard. Répondre à tes questions par des mots bien calculés histoire de ne chagriner personne et de laisser place au rêve. Tu allais sans doute te donner un rôle, aussi. En attendant tu devais remplir celui-là mais tu le faisais mal. Trop mal. Et Ji Woon allait sans doute regretter alors que tes pensées te filaient entre les doigts, s'échappant contre tes lèvres. « Hein ? », que tu répondis à ton tour, les sourcils levés comme une biche prise en plein phare, feintant une innocence bien trop rougie pour paraître véritable. « Oui », tu confirmais bêtement, les pupilles brillantes tournées vers lui, la rougeur brûlant ta nuque et ton cou. « Vraiment ? », le questionnas-tu dans un chuchotement, la mine pleine d'espoir. Contre ta volonté, un léger son amusé t'échappa alors que tu secouais le visage contre son épaule. « Pas du tout », articulas-tu tendrement, trop sans doute. Et ce n'était pas l'air que devait donner le personnage mais tu ne pouvais te résoudre à le prononcer autrement. Et tu osas redresser ton regard vers le sien, le sourire fin aux lèvres. « Pas du tout », que tu répétas à nouveau sur le ton de la confidence, le sourire grandissant à peine. Les pommettes se colorant à nouveau tes doigts vinrent serrer les siens alors que tu approchais vos mains de ton torse, comme tu l'avais lu vaguement. Tu commençais à t'en sortir un peu mieux non ? Peut-être pas cela dit. Ton regard ne bougeait pas, restant sur son visage, le dos de sa main ressentant probablement les battements de ton cœur. T'étais pas sûr de bien faire néanmoins, les lèvres se mordant doucement dans le doute et la timidité. « Je le ferais sans hésiter »
@Hwa Ji Woon
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« C'est laquelle ta préférée ? », demandas-tu doucement, la curiosité tremblant un instant ta peau, faisant lever le coin de tes lèvres dans une esquisse à peine perceptible. L'envie d'aider que tu articulais tant cachait probablement une envie plus égoïste. Une proximité que tu avais tant cherchée enfin donnée. N'en profitais-tu pas un peu, aussi ? Probablement. Et probablement que tu allais te détester pour ça à chaque fois, de profiter ainsi de cette aide qu'il demandait pour savourer un moment qui n'existerait jamais autrement. « Oui ça paraît plus simple », et il serait alors moins évident de te perdre dans son regard ou de perdre tes mots pas vrai ? T'avais qu'à lire, comme une machine un peu idiote qui ne faisait que prononcer des paroles qu'on lui soufflait. Rien de bien compliqué. C'était un peu ce que tu allais devoir faire, plus tard. Répondre à tes questions par des mots bien calculés histoire de ne chagriner personne et de laisser place au rêve. Tu allais sans doute te donner un rôle, aussi. En attendant tu devais remplir celui-là mais tu le faisais mal. Trop mal. Et Ji Woon allait sans doute regretter alors que tes pensées te filaient entre les doigts, s'échappant contre tes lèvres. « Hein ? », que tu répondis à ton tour, les sourcils levés comme une biche prise en plein phare, feintant une innocence bien trop rougie pour paraître véritable. « Oui », tu confirmais bêtement, les pupilles brillantes tournées vers lui, la rougeur brûlant ta nuque et ton cou. « Vraiment ? », le questionnas-tu dans un chuchotement, la mine pleine d'espoir. Contre ta volonté, un léger son amusé t'échappa alors que tu secouais le visage contre son épaule. « Pas du tout », articulas-tu tendrement, trop sans doute. Et ce n'était pas l'air que devait donner le personnage mais tu ne pouvais te résoudre à le prononcer autrement. Et tu osas redresser ton regard vers le sien, le sourire fin aux lèvres. « Pas du tout », que tu répétas à nouveau sur le ton de la confidence, le sourire grandissant à peine. Les pommettes se colorant à nouveau tes doigts vinrent serrer les siens alors que tu approchais vos mains de ton torse, comme tu l'avais lu vaguement. Tu commençais à t'en sortir un peu mieux non ? Peut-être pas cela dit. Ton regard ne bougeait pas, restant sur son visage, le dos de sa main ressentant probablement les battements de ton cœur. T'étais pas sûr de bien faire néanmoins, les lèvres se mordant doucement dans le doute et la timidité. « Je le ferais sans hésiter »
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vmicorum.
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Hwa Ji Woon
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Re: one in a billion ((jiwoon)) | Mer 16 Aoû - 17:42 Citer EditerSupprimer
Redire que c'était un secret serait du vu et revu n'est ce pas ? Peut être fallait il t'ouvrir un peu, osé partager ce que tu avais pourtant peur de dire. Le jugement ne te faisais pas peur, le rejet ou l'abandon n'étant pas de réels problèmes pour toi, excepté quand ils venaient de quelqu'un que tu aimais, admirais.. Quand il venait de Jae Jin. "C'est ..plus simple. " Moins intéressant pour toi, qui voulait cette proximité interdite. Ou bien même simplement te bercer d'illusions en regardant ses joues s'empourprer. Toujours avec ce même espoir qu'un jour tu puisses avouer sincèrement ce que tu ressentais. Quand bien même il t'avait été difficile de te l'avouer, loin de trouver l'aveu simple. Peut être même que tu passais à côté de la vérité en laissant cette angoisse parler. Elle venait tordre la vérité, peut être même t'aveugler tandis que l'incompréhension se lisait sur vos visages. Sourcils haussés, les yeux grands ouverts ou le regard fixe. Plus rien ne semblait arrêter ton cerveau d'imaginer. Le cerveau se laissant au rêve un peu fou d'entendre cette affirmation pour toi. Une joie sourde venait alors étirer grandement tes lèvres, que tes ivoires venaient quelque peu mordre pour les tenir. "Promis." Que tu confirmais sans t'attendre à la suite de votre réplique. Il semblait parti sur un chemin glissant où les conversations personnelles se mêlaient étroitement à vos lignes. Comme une réponse indirect de Jae Jin, puis celle de SangWoo. L'écart était mince, et le sourire bien loin de l'expression d'écrite sur ce script. Mais tu ne lui en voulais pas, au contraire. Il arrivait à te faire perdre tes moyens, tout en gagnant en rêverie. Le sourire menaçant de percer, quand le souffle, lui, devenait plus rapide, plus fort. Le script n'était plus suivi, mais aucun de vous ne semblait le regretter. Ta main délicatement poser contre lui captant chaque battement comme une pulsion apaisante. Le rôle le prenait, ou bien... Ou bien demandait il un essai avec toi ? Si tu pouvais, tu le ferais sans hésiter non plus. Mais SangWoo, lui, était l'hésitation incarnée. "Ne l'évite pas... et ne l'ignore pas. " Même si ce n'était pas toi qui avait placé sa main contre sa poitrine, tu affirmais tes dires en serrant doucement sa main, le pouce caressant une parcelle de peau. Tout ça pour que cette même main se détache de la sienne un instant, plaquant alors sa paume contre son propre coeur. "Tu as juste à essayer et le ressentir. " Des lignes qui vous convenaient étrangement bien. Presque trop. Un moment de silence donné, un moment pour plongé de nouveau dans son regard, le corps presque penché, réduisant une nouvelle fois la distance entre vous. Son parfum chatouillant tes sens, l'espoir aux bords des lèvres, le coeur plongé dans une illusion tu tentais... tout en continuant tes lignes qui t'allaient parfaitement. "Tous tes doutes pourraient disparaître. "
@Cho Jae Jin
"..."
Redire que c'était un secret serait du vu et revu n'est ce pas ? Peut être fallait il t'ouvrir un peu, osé partager ce que tu avais pourtant peur de dire. Le jugement ne te faisais pas peur, le rejet ou l'abandon n'étant pas de réels problèmes pour toi, excepté quand ils venaient de quelqu'un que tu aimais, admirais.. Quand il venait de Jae Jin. "C'est ..plus simple. " Moins intéressant pour toi, qui voulait cette proximité interdite. Ou bien même simplement te bercer d'illusions en regardant ses joues s'empourprer. Toujours avec ce même espoir qu'un jour tu puisses avouer sincèrement ce que tu ressentais. Quand bien même il t'avait été difficile de te l'avouer, loin de trouver l'aveu simple. Peut être même que tu passais à côté de la vérité en laissant cette angoisse parler. Elle venait tordre la vérité, peut être même t'aveugler tandis que l'incompréhension se lisait sur vos visages. Sourcils haussés, les yeux grands ouverts ou le regard fixe. Plus rien ne semblait arrêter ton cerveau d'imaginer. Le cerveau se laissant au rêve un peu fou d'entendre cette affirmation pour toi. Une joie sourde venait alors étirer grandement tes lèvres, que tes ivoires venaient quelque peu mordre pour les tenir. "Promis." Que tu confirmais sans t'attendre à la suite de votre réplique. Il semblait parti sur un chemin glissant où les conversations personnelles se mêlaient étroitement à vos lignes. Comme une réponse indirect de Jae Jin, puis celle de SangWoo. L'écart était mince, et le sourire bien loin de l'expression d'écrite sur ce script. Mais tu ne lui en voulais pas, au contraire. Il arrivait à te faire perdre tes moyens, tout en gagnant en rêverie. Le sourire menaçant de percer, quand le souffle, lui, devenait plus rapide, plus fort. Le script n'était plus suivi, mais aucun de vous ne semblait le regretter. Ta main délicatement poser contre lui captant chaque battement comme une pulsion apaisante. Le rôle le prenait, ou bien... Ou bien demandait il un essai avec toi ? Si tu pouvais, tu le ferais sans hésiter non plus. Mais SangWoo, lui, était l'hésitation incarnée. "Ne l'évite pas... et ne l'ignore pas. " Même si ce n'était pas toi qui avait placé sa main contre sa poitrine, tu affirmais tes dires en serrant doucement sa main, le pouce caressant une parcelle de peau. Tout ça pour que cette même main se détache de la sienne un instant, plaquant alors sa paume contre son propre coeur. "Tu as juste à essayer et le ressentir. " Des lignes qui vous convenaient étrangement bien. Presque trop. Un moment de silence donné, un moment pour plongé de nouveau dans son regard, le corps presque penché, réduisant une nouvelle fois la distance entre vous. Son parfum chatouillant tes sens, l'espoir aux bords des lèvres, le coeur plongé dans une illusion tu tentais... tout en continuant tes lignes qui t'allaient parfaitement. "Tous tes doutes pourraient disparaître. "
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Re: one in a billion ((jiwoon)) | Mer 16 Aoû - 18:19 Citer EditerSupprimer
Tu n'allais pas refuser l'idée si c'était plus simple. Si cela te permettait de t'évader un peu plus tout en restant présent, les idées devenant des illusions, presque des rêves éveillés. Mais ça te convenait, tu n'allais pas dire le contraire, même si le talent pour la comédie te manquait cruellement, Ji Woon ne semblait pas t'en vouloir autant que tu t'en voulais. A force de répéter, peut-être que les phrases allaient te rester en mémoire, ou peut-être allais-tu improviser. Tu te situais plutôt de ce côté-là, sur l'improvisation alors que les mots dépassaient ta pensée, allant beaucoup plus vite et venant s'articuler. Soulagé qu'il ne regrette pas tu ne pouvais cependant réduire la crainte que ce soit réellement le cas. Peut-être ne trouvait-il personne d'autre – ton cerveau tentant de trouver des raisons plausibles à ta présence ici alors que ton palpitant s'extasiait de chaque seconde, loupant des battements ou venant cogner plus fort. Le texte semblait te filer à nouveau entre les doigts et pourtant tu ne t'en éloignais pas tant que ça. Le ton n'était probablement pas le même que celui attendu mais l'idée était là, pas vrai ? Tu espérais bien faire tout de même, te perdant dans des vérités incontrôlées et un rêve discret. Tu continuais de le regarder, secouant simplement la tête – tu n'évitais rien, tu n'ignorais rien. C'était bien la première fois que tu ne tentais pas de masquer les choses, le regard brillant sans trop pour la scène actuelle, ton palpitant battant bien trop. Ta peau frissonnait à chaque contact, un sourire mordant discrètement tes lèvres, tes phalanges serrant les siennes avant que tu ne sentes ton propre cœur contre ta paume. Chaque pulsation était comme une confirmation de tes propres espoirs. Tu ne dis rien, suivant le script sans le savoir ou bien en avais-tu conscience ? Et tu pouvais presque sentir la chaleur de son corps et son parfum tant il était près. Tu ne savais plus ce que le personnage devait dire – tu te souvenais à peine du nom de ce dernier à présent. Le silence aux lèvres, ton nez venait délicatement cogner le sien, ta main libre venant se poser sur son cœur avec douceur, comme si tu craignais l'effrayer. « Les tiens aussi », tes lèvres effleurant les siennes dans ces souffles articulés, tu vins finalement déposer ta bouche contre sa pommette. Geste délicat et aérien, le coin des lèvres faiblement levé alors que tu reculais un peu ton visage pour pouvoir à nouveau l'observer, les joues brûlantes. Tu n'arrivais pas à savoir si ce que tu lisais dans ses pupilles était ses émotions à vif ou bien celles du personnage qu'il interprétait. Tu ne savais pas si les gestes étaient inscrits sur le script ou bien s'il improvisait – ou peut-être voyais-tu trop loin, peut-être imaginais-tu trop de choses. Peut-être rêvais-tu un peu trop. L'espoir brillant dans les ombres de l'esquisse tendre posée sur ta bouche, ton front se plaça contre le sien, ton nez bousculant à peine son semblable dans un léger son amusé. Et tu fermas les yeux, cachant tes pupilles explosant d'émotions dans l'envie de profiter du contact égoïstement, tes doigts serrant le tissu de son haut dans une requête muette ; qu'il ne recule pas.
@Hwa Ji Woon
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Tu n'allais pas refuser l'idée si c'était plus simple. Si cela te permettait de t'évader un peu plus tout en restant présent, les idées devenant des illusions, presque des rêves éveillés. Mais ça te convenait, tu n'allais pas dire le contraire, même si le talent pour la comédie te manquait cruellement, Ji Woon ne semblait pas t'en vouloir autant que tu t'en voulais. A force de répéter, peut-être que les phrases allaient te rester en mémoire, ou peut-être allais-tu improviser. Tu te situais plutôt de ce côté-là, sur l'improvisation alors que les mots dépassaient ta pensée, allant beaucoup plus vite et venant s'articuler. Soulagé qu'il ne regrette pas tu ne pouvais cependant réduire la crainte que ce soit réellement le cas. Peut-être ne trouvait-il personne d'autre – ton cerveau tentant de trouver des raisons plausibles à ta présence ici alors que ton palpitant s'extasiait de chaque seconde, loupant des battements ou venant cogner plus fort. Le texte semblait te filer à nouveau entre les doigts et pourtant tu ne t'en éloignais pas tant que ça. Le ton n'était probablement pas le même que celui attendu mais l'idée était là, pas vrai ? Tu espérais bien faire tout de même, te perdant dans des vérités incontrôlées et un rêve discret. Tu continuais de le regarder, secouant simplement la tête – tu n'évitais rien, tu n'ignorais rien. C'était bien la première fois que tu ne tentais pas de masquer les choses, le regard brillant sans trop pour la scène actuelle, ton palpitant battant bien trop. Ta peau frissonnait à chaque contact, un sourire mordant discrètement tes lèvres, tes phalanges serrant les siennes avant que tu ne sentes ton propre cœur contre ta paume. Chaque pulsation était comme une confirmation de tes propres espoirs. Tu ne dis rien, suivant le script sans le savoir ou bien en avais-tu conscience ? Et tu pouvais presque sentir la chaleur de son corps et son parfum tant il était près. Tu ne savais plus ce que le personnage devait dire – tu te souvenais à peine du nom de ce dernier à présent. Le silence aux lèvres, ton nez venait délicatement cogner le sien, ta main libre venant se poser sur son cœur avec douceur, comme si tu craignais l'effrayer. « Les tiens aussi », tes lèvres effleurant les siennes dans ces souffles articulés, tu vins finalement déposer ta bouche contre sa pommette. Geste délicat et aérien, le coin des lèvres faiblement levé alors que tu reculais un peu ton visage pour pouvoir à nouveau l'observer, les joues brûlantes. Tu n'arrivais pas à savoir si ce que tu lisais dans ses pupilles était ses émotions à vif ou bien celles du personnage qu'il interprétait. Tu ne savais pas si les gestes étaient inscrits sur le script ou bien s'il improvisait – ou peut-être voyais-tu trop loin, peut-être imaginais-tu trop de choses. Peut-être rêvais-tu un peu trop. L'espoir brillant dans les ombres de l'esquisse tendre posée sur ta bouche, ton front se plaça contre le sien, ton nez bousculant à peine son semblable dans un léger son amusé. Et tu fermas les yeux, cachant tes pupilles explosant d'émotions dans l'envie de profiter du contact égoïstement, tes doigts serrant le tissu de son haut dans une requête muette ; qu'il ne recule pas.
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Re: one in a billion ((jiwoon)) | Mer 16 Aoû - 19:04 Citer EditerSupprimer
Il aurait pu tout découvrir. La raison de sa venue ici, de ta demande qui aurait pu être motivée par le professionnalisme mais qui n'était là que pour t'animer de cette situation. L'imaginer n'était plus assez vrai et les rougeurs sur ses joues devenaient une obsession. D'un crush qui avait su te faire sourire, il passait à un être que tu voulais à tes côtés. Chaque jour. Les emplois du temps se confondant dans des piles d'heures passées à satisfaire les autres, tu semblais pouvoir être toi. Sans pour autant l'être totalement, l'honnêteté pure t'amenant sûrement à le perdre définitivement. Il allait courir dans la direction opposée pour des raisons qu'on ne saurait citer tant il y en avait. Et pourtant, aujourd'hui dans son regard tu semblais y lire une émotion. Tu voulais lire des sentiments. C'était peut être ce qui t'induisais en erreur. Transformant une lueur en interprétation tout à fait personnelle. Sa manière de bouger, laissant chaque geste devenir une caresse qui venait faire frissonner ta peau. Chaque parole, un murmure que tu voulais ancrer. Aussi long que cela pouvait sembler, le temps paraissait également ralentir. Un contraste écrasant qui faisait arrêter les secondes lorsqu'il te répondit. Rien dans le script, rien que tu pouvais te souvenir. L'esprit ailleurs, déjà parti vers un monde où ce genre de geste n'aurait rien de jouer, tu te posais alors les mêmes questions ? Est ce que tu avais peur ? Est ce que tu ne voulais pas être honnête avec toi même ? Un moment, un instant ? Et si tout ne marchait pas comme pour ces deux protagonistes parfaitement écrits pour finir ensemble ? Et si tout ce rapprochement qui faisait tambouriner ton palpitant n'était qu'un bref moment de pure comédie ? Les réponses étaient faciles à avoir, mais douloureuses à attendre. Du moins celles que tu attendais de ses lèvres. La proximité aidant, son corps frôlant le tien sans jamais l'embrasser réellement, c'est une frustration et une énergie extatique qui venait trembler dans tes veines. Un souffle s'échappait contre ses pulpeuses qui frôlaient les tiennes avec douceur. Self contrôle. C'était tout ce à quoi tu pensais malgré son recul, puis son retour. Tu aurais pu partir, te lever et mettre fin à cette répétition qui n'en était plus une. La scène finie, le coeur déboussolé, il aurait été normal de mettre un terme à ce doux supplice que cachait ses iris. Et pourtant. La confiance du moment, le silence réconfortant mais la tension qui y naissait brisa cette proximité. S'il n'avait que frôler, tes lèvres, elles, venaient caresser leurs jumelles. Impatientes ou bien imprudentes c'est pourtant ton propre corps que tu ne maîtrisais plus, qui venait de se poser sur le sien. Délicat, s'attendant presque au rejet, tes paupières se fermaient afin de juste imaginer, attendant la chute pendant que ton coeur explosait.
@Cho Jae Jin
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Il aurait pu tout découvrir. La raison de sa venue ici, de ta demande qui aurait pu être motivée par le professionnalisme mais qui n'était là que pour t'animer de cette situation. L'imaginer n'était plus assez vrai et les rougeurs sur ses joues devenaient une obsession. D'un crush qui avait su te faire sourire, il passait à un être que tu voulais à tes côtés. Chaque jour. Les emplois du temps se confondant dans des piles d'heures passées à satisfaire les autres, tu semblais pouvoir être toi. Sans pour autant l'être totalement, l'honnêteté pure t'amenant sûrement à le perdre définitivement. Il allait courir dans la direction opposée pour des raisons qu'on ne saurait citer tant il y en avait. Et pourtant, aujourd'hui dans son regard tu semblais y lire une émotion. Tu voulais lire des sentiments. C'était peut être ce qui t'induisais en erreur. Transformant une lueur en interprétation tout à fait personnelle. Sa manière de bouger, laissant chaque geste devenir une caresse qui venait faire frissonner ta peau. Chaque parole, un murmure que tu voulais ancrer. Aussi long que cela pouvait sembler, le temps paraissait également ralentir. Un contraste écrasant qui faisait arrêter les secondes lorsqu'il te répondit. Rien dans le script, rien que tu pouvais te souvenir. L'esprit ailleurs, déjà parti vers un monde où ce genre de geste n'aurait rien de jouer, tu te posais alors les mêmes questions ? Est ce que tu avais peur ? Est ce que tu ne voulais pas être honnête avec toi même ? Un moment, un instant ? Et si tout ne marchait pas comme pour ces deux protagonistes parfaitement écrits pour finir ensemble ? Et si tout ce rapprochement qui faisait tambouriner ton palpitant n'était qu'un bref moment de pure comédie ? Les réponses étaient faciles à avoir, mais douloureuses à attendre. Du moins celles que tu attendais de ses lèvres. La proximité aidant, son corps frôlant le tien sans jamais l'embrasser réellement, c'est une frustration et une énergie extatique qui venait trembler dans tes veines. Un souffle s'échappait contre ses pulpeuses qui frôlaient les tiennes avec douceur. Self contrôle. C'était tout ce à quoi tu pensais malgré son recul, puis son retour. Tu aurais pu partir, te lever et mettre fin à cette répétition qui n'en était plus une. La scène finie, le coeur déboussolé, il aurait été normal de mettre un terme à ce doux supplice que cachait ses iris. Et pourtant. La confiance du moment, le silence réconfortant mais la tension qui y naissait brisa cette proximité. S'il n'avait que frôler, tes lèvres, elles, venaient caresser leurs jumelles. Impatientes ou bien imprudentes c'est pourtant ton propre corps que tu ne maîtrisais plus, qui venait de se poser sur le sien. Délicat, s'attendant presque au rejet, tes paupières se fermaient afin de juste imaginer, attendant la chute pendant que ton coeur explosait.
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Re: one in a billion ((jiwoon)) | Mer 16 Aoû - 20:44 Citer EditerSupprimer
S'il y avait bien une personne que tu voulais garder à tes côtés, c'était lui. Tu te sentais mieux en sa présence, moins démuni par le poids de ta propre existence quand ton regard croisait le sien. C'était comme si l'air était plus frais et tu respirais enfin. Sans que tu ne t'en rendes compte, il avait su se frayer un chemin, apparaissant dans ta vie comme une constante donc tu ne pourrais plus te passer désormais. Et si tu gâchais tout ? Tu t'étais souvent posé la question, la tournant et la retournant, supposant que jamais les sentiments ne devraient être susurrés. Comme un secret que tu comptais garder et tant pis si tu souffrais, persuadé qu'il saurait trouver mieux ailleurs. Et si tu brisais tout ? Toute vérité n'était pas forcément bonne à entendre et peut-être qu'il n'avait pas envie d'entendre la tienne. La possibilité qu'il ait envie de la partager était minime et tu ne comptais pas sur tes chances pour t'y accrocher. Pourtant aujourd'hui c'était exactement ce que tu faisais. L'espoir faisait vivre qu'on t'avait dit un jour mais tu supposais qu'il pouvait aussi anéantir. Il n'y avait rien de pire qu'un espoir brisé, pas vrai ? Tu pourras mettre ça sur ces répétitions alors. Un rôle que tu avais interprété un peu trop égoïstement, un rôle dans lequel tu t'étais perdu. Les excuses étaient nombreuses. C'était sans doute pour cela que tu te laissais guider par les battements de ton cœur. Peut-être que sans ces excuses déjà prêtes, tu n'aurais jamais tenté, encore moins espéré. Ce qui prouvait bien ta lâcheté. Alors tu jouais avec tes propres sentiments, peu téméraire pour les dessiner directement de tes lèvres. Tu savourais le moment, égoïstement, les doigts sur son vêtement comme si tu essayais de t'agripper à la raison elle-même. Ou peut-être à l'espoir lui-même. Et tu fermais les yeux, fermant le rideau avant que le spectacle ne puisse commencer, refusant d'observer directement ses réactions – refusant de le voir s'éloigner. Tu supposais que tout allait prendre fin, sans doute étais-tu allé trop loin. La scène était finie, n'est-ce pas ? Un son surpris vint mourir dans ta gorge, tes paupières se rouvrant au contact, tes phalanges se crispant sur le tissu un moment. La chaleur sur tes joues s'intensifia, venant faire bouillir ton cœur dans des battements rapides. L'une de tes mains, hésitante, vint se caler contre sa joue alors que l'autre gardait son vêtement prisonnier alors que tu essayais de le rapprocher un peu plus de toi. Tes lèvres retrouvèrent les siennes dans une première pression délicate et timide – et tu sentais tes propres mains trembler et ton cœur s'arrêter et ta respiration s'accrocher. Une autre pression, toujours aussi douce mais plus appuyée et tu semblais te perdre dans des rêves infinis. Et une troisième dans une innocence presque brûlante alors qu'elle semblait durer un peu plus longtemps. Tu rouvris les paupières, les pupilles brillant d'émotions que tu ne contrôlais plus, le rouge de tes pommettes leur apportant un semblant de couleurs. Et l'une de tes mains passa sur sa nuque, délaissant sa joue, l'autre la rejoignant distraitement, un soupçon embarrassée tandis que tu le suppliais en silence de ne pas s'en aller, tes pulpeuses redécouvrant les siennes avec pudeur dans une esquisse mesurée mais contentée, articulant les syllabes que tu ne disais pas. Tu espérais là que le jeu n'était plus, et tu le regardais comme s'il détenait toutes les réponses de l'univers et bien plus encore, te rapprochant de lui si c'était encore possible.
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S'il y avait bien une personne que tu voulais garder à tes côtés, c'était lui. Tu te sentais mieux en sa présence, moins démuni par le poids de ta propre existence quand ton regard croisait le sien. C'était comme si l'air était plus frais et tu respirais enfin. Sans que tu ne t'en rendes compte, il avait su se frayer un chemin, apparaissant dans ta vie comme une constante donc tu ne pourrais plus te passer désormais. Et si tu gâchais tout ? Tu t'étais souvent posé la question, la tournant et la retournant, supposant que jamais les sentiments ne devraient être susurrés. Comme un secret que tu comptais garder et tant pis si tu souffrais, persuadé qu'il saurait trouver mieux ailleurs. Et si tu brisais tout ? Toute vérité n'était pas forcément bonne à entendre et peut-être qu'il n'avait pas envie d'entendre la tienne. La possibilité qu'il ait envie de la partager était minime et tu ne comptais pas sur tes chances pour t'y accrocher. Pourtant aujourd'hui c'était exactement ce que tu faisais. L'espoir faisait vivre qu'on t'avait dit un jour mais tu supposais qu'il pouvait aussi anéantir. Il n'y avait rien de pire qu'un espoir brisé, pas vrai ? Tu pourras mettre ça sur ces répétitions alors. Un rôle que tu avais interprété un peu trop égoïstement, un rôle dans lequel tu t'étais perdu. Les excuses étaient nombreuses. C'était sans doute pour cela que tu te laissais guider par les battements de ton cœur. Peut-être que sans ces excuses déjà prêtes, tu n'aurais jamais tenté, encore moins espéré. Ce qui prouvait bien ta lâcheté. Alors tu jouais avec tes propres sentiments, peu téméraire pour les dessiner directement de tes lèvres. Tu savourais le moment, égoïstement, les doigts sur son vêtement comme si tu essayais de t'agripper à la raison elle-même. Ou peut-être à l'espoir lui-même. Et tu fermais les yeux, fermant le rideau avant que le spectacle ne puisse commencer, refusant d'observer directement ses réactions – refusant de le voir s'éloigner. Tu supposais que tout allait prendre fin, sans doute étais-tu allé trop loin. La scène était finie, n'est-ce pas ? Un son surpris vint mourir dans ta gorge, tes paupières se rouvrant au contact, tes phalanges se crispant sur le tissu un moment. La chaleur sur tes joues s'intensifia, venant faire bouillir ton cœur dans des battements rapides. L'une de tes mains, hésitante, vint se caler contre sa joue alors que l'autre gardait son vêtement prisonnier alors que tu essayais de le rapprocher un peu plus de toi. Tes lèvres retrouvèrent les siennes dans une première pression délicate et timide – et tu sentais tes propres mains trembler et ton cœur s'arrêter et ta respiration s'accrocher. Une autre pression, toujours aussi douce mais plus appuyée et tu semblais te perdre dans des rêves infinis. Et une troisième dans une innocence presque brûlante alors qu'elle semblait durer un peu plus longtemps. Tu rouvris les paupières, les pupilles brillant d'émotions que tu ne contrôlais plus, le rouge de tes pommettes leur apportant un semblant de couleurs. Et l'une de tes mains passa sur sa nuque, délaissant sa joue, l'autre la rejoignant distraitement, un soupçon embarrassée tandis que tu le suppliais en silence de ne pas s'en aller, tes pulpeuses redécouvrant les siennes avec pudeur dans une esquisse mesurée mais contentée, articulant les syllabes que tu ne disais pas. Tu espérais là que le jeu n'était plus, et tu le regardais comme s'il détenait toutes les réponses de l'univers et bien plus encore, te rapprochant de lui si c'était encore possible.
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Hwa Ji Woon
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Re: one in a billion ((jiwoon)) | Mer 16 Aoû - 22:50 Citer EditerSupprimer
C'était presque idiot de ne rien voir. Tant tes visites à répétitions malgré tes sorties rares de ton service militaire. A ces attentions toute particulières pour celui qui partageait beaucoup trop de temps avec toi. Il savait beaucoup, beaucoup trop certains diront. Rien que cette journée marquait un tournant énorme par l'évocation de ton orientation. Quand bien même il avait le choix. Ignorer ou comprendre ce que tu venais à dire. Tout comme les gens savaient faire les idiots pour ignorer les sentiments des autres lorsqu'ils devenaient encombrants, tu espérais simplement qu'il fasse de même avec les tiens, si c'était trop lourd à porter. Tandis que ton esprit se jouait une comédie en toute hypocrisie. L'inviter à répéter, pour combler un manque dont tu n'osais pas parler. S'inventer une interprétation de son regard, ses gestes. L'égoïsme n'avait plus de limites quand on parlait de vous. Parfois tu semblais confiant, presque persuadé de voir quelque chose dans son regard, de le comprendre. Son sourire t'offrant des réponses que tu n'aurais imaginer. Et d'autres jours tu venais à douter, à prendre peur de tes interprétations. Tu doutais, parce que tu étais connu, un peu, et qu'il allait être placardé sur toutes publicités. Son talent ne faisait aucun doute, il viendrait donc à t'échapper. Le temps vous manquerait et naturellement, il t'oublierait. Ne serait-ce que l'ami, il finirait par ne plus en avoir besoin. Ces pensées là tu aimais les faire disparaître, comme tu le faisais aujourd'hui. Et dès qu'elles réapparaissaient, Jae Jin semblait le comprendre et te redonner cet espoir dans un souffle court. Comme celui que vous partagiez. Beaucoup trop près pour cette scène, trop près pour une répétition. S'il avait fait les premiers pas, ce n'était que sûrement son interprétation de la scène. Peut être qu'il n'avait pas eu les informations nécessaires pour comprendre que son personnage était réticent. Ni même la scène précédente qui indiquait clairement leur attirance, mais son rejet. Tout ceci ne lui était pas connu, alors il avait pu l'interpréter. Et malgré cette logique raisonnable tu finissais par oublier. Oublier le caractère, le personnage et tout ce qui venait avec. Oublier ton métier qui consistait à inventer, imaginer et jouer. Tu laissais le masque tomber pour laisser Ji Woon prendre le dessus. Cet homme plus confiant mais peureux à la fois. Cet homme qui avait attendu trop longtemps et qui maintenant osait, peut-être même trop. Les lèvres contre les siennes sans oser le détailler. Chacun allant bon train dans son interprétation tu t'attendais presque à une claque. La joue chauffée. C'est bien sa main qui fit frissonner ton corps, tressaillant d'une action anticipée, mais ce n'est pas celle ci qui te repoussa. Au contraire, ton corps venait de nouveau contre le sien, plus proche encore, ignorant quand cela allait prendre fin. Chaque pression sur tes lèvres te faisaient revenir plus rapidement, sans brusquer pour autant. Chaque éloignement te laissait agar à l'observer, le rêve difficilement distinct de la réalité. Quelques baisers encore qui étirèrent tes lèvres dans un sentiment de chaleur et de confort. Le drama n'était plus, et tu pouvais crier à ce moment précis que tu n'en avais rien à faire. C'est d'ailleurs, à sa deuxième main qui venait sur ta nuque pour la faire frissonner que tu jetais le scripts nonchalamment. Clairement plus intéressée par les onyx qui te détaillait. La proximité ne semblait jamais assez, laissant une frustration s'installée. Bien que vos lèvres ne cessaient de se rencontrer, il t'en fallait plus. Quittant son torse pour de bon, tu laissas tes mains tombées sur ses hanches, une force que tu leur insuffla pour le ramener contre toi. Un seul mouvement était requis pour l'avoir sur toi, effaçant pour de bon la distance qui vous séparait. "C'est pas dans le script. " Que tu précisais avant de fondre une nouvelle fois sur ses pulpeuses, le souffle plus court, le rouge plus présent.
@Cho Jae Jin
"..."
C'était presque idiot de ne rien voir. Tant tes visites à répétitions malgré tes sorties rares de ton service militaire. A ces attentions toute particulières pour celui qui partageait beaucoup trop de temps avec toi. Il savait beaucoup, beaucoup trop certains diront. Rien que cette journée marquait un tournant énorme par l'évocation de ton orientation. Quand bien même il avait le choix. Ignorer ou comprendre ce que tu venais à dire. Tout comme les gens savaient faire les idiots pour ignorer les sentiments des autres lorsqu'ils devenaient encombrants, tu espérais simplement qu'il fasse de même avec les tiens, si c'était trop lourd à porter. Tandis que ton esprit se jouait une comédie en toute hypocrisie. L'inviter à répéter, pour combler un manque dont tu n'osais pas parler. S'inventer une interprétation de son regard, ses gestes. L'égoïsme n'avait plus de limites quand on parlait de vous. Parfois tu semblais confiant, presque persuadé de voir quelque chose dans son regard, de le comprendre. Son sourire t'offrant des réponses que tu n'aurais imaginer. Et d'autres jours tu venais à douter, à prendre peur de tes interprétations. Tu doutais, parce que tu étais connu, un peu, et qu'il allait être placardé sur toutes publicités. Son talent ne faisait aucun doute, il viendrait donc à t'échapper. Le temps vous manquerait et naturellement, il t'oublierait. Ne serait-ce que l'ami, il finirait par ne plus en avoir besoin. Ces pensées là tu aimais les faire disparaître, comme tu le faisais aujourd'hui. Et dès qu'elles réapparaissaient, Jae Jin semblait le comprendre et te redonner cet espoir dans un souffle court. Comme celui que vous partagiez. Beaucoup trop près pour cette scène, trop près pour une répétition. S'il avait fait les premiers pas, ce n'était que sûrement son interprétation de la scène. Peut être qu'il n'avait pas eu les informations nécessaires pour comprendre que son personnage était réticent. Ni même la scène précédente qui indiquait clairement leur attirance, mais son rejet. Tout ceci ne lui était pas connu, alors il avait pu l'interpréter. Et malgré cette logique raisonnable tu finissais par oublier. Oublier le caractère, le personnage et tout ce qui venait avec. Oublier ton métier qui consistait à inventer, imaginer et jouer. Tu laissais le masque tomber pour laisser Ji Woon prendre le dessus. Cet homme plus confiant mais peureux à la fois. Cet homme qui avait attendu trop longtemps et qui maintenant osait, peut-être même trop. Les lèvres contre les siennes sans oser le détailler. Chacun allant bon train dans son interprétation tu t'attendais presque à une claque. La joue chauffée. C'est bien sa main qui fit frissonner ton corps, tressaillant d'une action anticipée, mais ce n'est pas celle ci qui te repoussa. Au contraire, ton corps venait de nouveau contre le sien, plus proche encore, ignorant quand cela allait prendre fin. Chaque pression sur tes lèvres te faisaient revenir plus rapidement, sans brusquer pour autant. Chaque éloignement te laissait agar à l'observer, le rêve difficilement distinct de la réalité. Quelques baisers encore qui étirèrent tes lèvres dans un sentiment de chaleur et de confort. Le drama n'était plus, et tu pouvais crier à ce moment précis que tu n'en avais rien à faire. C'est d'ailleurs, à sa deuxième main qui venait sur ta nuque pour la faire frissonner que tu jetais le scripts nonchalamment. Clairement plus intéressée par les onyx qui te détaillait. La proximité ne semblait jamais assez, laissant une frustration s'installée. Bien que vos lèvres ne cessaient de se rencontrer, il t'en fallait plus. Quittant son torse pour de bon, tu laissas tes mains tombées sur ses hanches, une force que tu leur insuffla pour le ramener contre toi. Un seul mouvement était requis pour l'avoir sur toi, effaçant pour de bon la distance qui vous séparait. "C'est pas dans le script. " Que tu précisais avant de fondre une nouvelle fois sur ses pulpeuses, le souffle plus court, le rouge plus présent.
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Cho Jae Jin
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Re: one in a billion ((jiwoon)) | Mer 16 Aoû - 23:34 Citer EditerSupprimer
Et si tu trompais ? Et si tu voyais trop loin ? Et si la fin était plus proche que tu ne le pensais ? Des questions à chaque courbe de tes pensées, des interrogations où les réponses étaient effrayantes et l'ignorance presque bienveillante. Ne pas savoir, se mentir, espérer ; était-ce mieux que de se retrouver face à la réalité ? En cet instant tu avais envie de dire que oui. Que rêver restait une bonne chose. Mais tu voulais taire ces doutes et croire cette étincelle dans ses pupilles. Tu voulais croire en la personne qu'il était et sa douceur mais aussi croire en cet apaisement qu'il t'apportait à chaque fois qu'il te regardait. Le cœur ne mentait pas – ton cœur ne mentait pas mais peut-être imaginais-tu entendre les battements du sien pour continuer à rêver un peu plus. Tu ne saurais pas ce quoi faire s'il en venait à s'éloigner, là, maintenant. S'il se mettait à dire que la scène était terminée et que vous pouviez passer à la suivante comme si de rien n'était. Parce qu'après tout c'était ainsi que tout avait commencé pas vrai ? Des répétitions. Mais tu ne pouvais pas croire que Ji Woon était ainsi, à laisser l'espoir s'immiscer pour le briser en un souffle. Avait-il conscience du rêve qu'il te faisait imaginer ou étais-tu trop plongé dans tes illusions ? Tu l'ignorais, tu ne voulais pas savoir, préférant savourer l'instant présent. Tu ne savais même plus ce qui était inscrit sur les pages du script, tu ne savais même pas comment le personnage devait réagir. Et celui de Ji Woon ? Devait-il réagir ainsi ? Jouait-il, en cet instant, ou avait-il arrêté au même moment que toi ? Ses lèvres contre les tiennes vinrent éteindre les flammes de ces questions alors que tu te sentais pousser des ailes, imitant le contact en plusieurs pressions délicates, goûtant ses lèvres plus que tu ne l'aurais espéré. Tu laissais ton corps agir, gardant sa chaleur contre la tienne. Tu entendis à peine le script tomber sur le sol, bien trop enivré par ses prunelles et ses lèvres pour ne serait-ce que t'en inquiéter. Ta bouche copiant soigneusement une esquisse, se pliant ensuite dans une ombre confuse, tes doigts s'accrochant au col de son haut dans l'angoisse de le voir s'éloigner. Tu ne fis que le retrouver, à ton plus grand soulagement, les doigts glissant sur la peau de sa nuque à nouveau. Et tu le contemplais en silence, les pommettes brillant d'un rouge léger alors que le coin de tes lèvres se haussait dans un air rêveur. Les phalanges trouvant leur place dans ses cheveux, un souffle contenté vint t'échapper alors que vos lèvres se rejoignaient une nouvelle fois. Ta peau brûlait, le cœur dansant dans de douces flammes qui l'animaient, tes lèvres ne cherchant qu'à retrouver leurs semblables à peine étaient-elles séparées. Le bout de tes doigts dansait sur son cou, sa nuque ou même ses joues, comme si tu cherchais à graver chaque détail dans ta mémoire. Comme si tu cherchais à t'assurer que tout était vrai. Et tu reculas un peu ton visage, le souffle perturbé, les lèvres se pressant entre elles pour savourer la chaleur des siennes, tes prunelles plongeant dans les siennes. « Je suivais plus le script depuis un moment », vins-tu confier dans des chuchotements contre sa bouche, les pouces cajolant ses joues, les pupilles le contemplant comme s'il était la plus belle œuvre d'art que tu aies pu contempler. « Est-ce que... », repris-tu, les prunelles se déviant un instant, le doute retrouvant ton cœur. Tu te mordis la lèvre, hésitant, les doigts retrouvant sa nuque pour garder vos fronts collés. « C'est pas que pour aujourd'hui, hein ? Pas que cette fois... », le sens des mots t'échappait encore, les phalanges tremblant sur sa peau. Et si tout ça n'allait pas durer ? Tu auras goûté pour ne plus jamais pouvoir et c'était là sans doute plus cruel que le reste. Tu le regardais, l'espoir et la panique dans les pupilles, le palpitant au bord des lèvres. « J'ai pas envie que ce soit juste aujourd'hui », parvins-tu à susurrer, tes lèvres effleurant les siennes comme si elles ne pouvaient s'en empêcher, l'incertitude plaquée sur le visage alors que la rougeur s'étendait sur tes joues. Soit tu pouvais rester, soit il te fera t'en aller.
@Hwa Ji Woon
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Et si tu trompais ? Et si tu voyais trop loin ? Et si la fin était plus proche que tu ne le pensais ? Des questions à chaque courbe de tes pensées, des interrogations où les réponses étaient effrayantes et l'ignorance presque bienveillante. Ne pas savoir, se mentir, espérer ; était-ce mieux que de se retrouver face à la réalité ? En cet instant tu avais envie de dire que oui. Que rêver restait une bonne chose. Mais tu voulais taire ces doutes et croire cette étincelle dans ses pupilles. Tu voulais croire en la personne qu'il était et sa douceur mais aussi croire en cet apaisement qu'il t'apportait à chaque fois qu'il te regardait. Le cœur ne mentait pas – ton cœur ne mentait pas mais peut-être imaginais-tu entendre les battements du sien pour continuer à rêver un peu plus. Tu ne saurais pas ce quoi faire s'il en venait à s'éloigner, là, maintenant. S'il se mettait à dire que la scène était terminée et que vous pouviez passer à la suivante comme si de rien n'était. Parce qu'après tout c'était ainsi que tout avait commencé pas vrai ? Des répétitions. Mais tu ne pouvais pas croire que Ji Woon était ainsi, à laisser l'espoir s'immiscer pour le briser en un souffle. Avait-il conscience du rêve qu'il te faisait imaginer ou étais-tu trop plongé dans tes illusions ? Tu l'ignorais, tu ne voulais pas savoir, préférant savourer l'instant présent. Tu ne savais même plus ce qui était inscrit sur les pages du script, tu ne savais même pas comment le personnage devait réagir. Et celui de Ji Woon ? Devait-il réagir ainsi ? Jouait-il, en cet instant, ou avait-il arrêté au même moment que toi ? Ses lèvres contre les tiennes vinrent éteindre les flammes de ces questions alors que tu te sentais pousser des ailes, imitant le contact en plusieurs pressions délicates, goûtant ses lèvres plus que tu ne l'aurais espéré. Tu laissais ton corps agir, gardant sa chaleur contre la tienne. Tu entendis à peine le script tomber sur le sol, bien trop enivré par ses prunelles et ses lèvres pour ne serait-ce que t'en inquiéter. Ta bouche copiant soigneusement une esquisse, se pliant ensuite dans une ombre confuse, tes doigts s'accrochant au col de son haut dans l'angoisse de le voir s'éloigner. Tu ne fis que le retrouver, à ton plus grand soulagement, les doigts glissant sur la peau de sa nuque à nouveau. Et tu le contemplais en silence, les pommettes brillant d'un rouge léger alors que le coin de tes lèvres se haussait dans un air rêveur. Les phalanges trouvant leur place dans ses cheveux, un souffle contenté vint t'échapper alors que vos lèvres se rejoignaient une nouvelle fois. Ta peau brûlait, le cœur dansant dans de douces flammes qui l'animaient, tes lèvres ne cherchant qu'à retrouver leurs semblables à peine étaient-elles séparées. Le bout de tes doigts dansait sur son cou, sa nuque ou même ses joues, comme si tu cherchais à graver chaque détail dans ta mémoire. Comme si tu cherchais à t'assurer que tout était vrai. Et tu reculas un peu ton visage, le souffle perturbé, les lèvres se pressant entre elles pour savourer la chaleur des siennes, tes prunelles plongeant dans les siennes. « Je suivais plus le script depuis un moment », vins-tu confier dans des chuchotements contre sa bouche, les pouces cajolant ses joues, les pupilles le contemplant comme s'il était la plus belle œuvre d'art que tu aies pu contempler. « Est-ce que... », repris-tu, les prunelles se déviant un instant, le doute retrouvant ton cœur. Tu te mordis la lèvre, hésitant, les doigts retrouvant sa nuque pour garder vos fronts collés. « C'est pas que pour aujourd'hui, hein ? Pas que cette fois... », le sens des mots t'échappait encore, les phalanges tremblant sur sa peau. Et si tout ça n'allait pas durer ? Tu auras goûté pour ne plus jamais pouvoir et c'était là sans doute plus cruel que le reste. Tu le regardais, l'espoir et la panique dans les pupilles, le palpitant au bord des lèvres. « J'ai pas envie que ce soit juste aujourd'hui », parvins-tu à susurrer, tes lèvres effleurant les siennes comme si elles ne pouvaient s'en empêcher, l'incertitude plaquée sur le visage alors que la rougeur s'étendait sur tes joues. Soit tu pouvais rester, soit il te fera t'en aller.
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I want you to learn Every little thing about our love Illuminate the night Breathe into my soul One little Spark is all I need A fire burning for something new One little Spark and you set me free Now one becomes two Only takes one little Spark And we’re igniting
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Re: one in a billion ((jiwoon)) | Jeu 17 Aoû - 0:09 Citer EditerSupprimer
Les doutes n'avaient plus leur place. Tu ne voulais plus leur laisser de place. Comme un rejet, un déni tu semblais confiant. Et pourtant au fond, on restait tous humains à se questionner jusqu'aux dernières secondes à se demander si tout ceci avait une date de fin. Si on se jouait de nous ou bien si notre esprit osait nous faire miroiter l'impossible. Un esprit bien perdu, bien créatif. Deux esprits qui dans l'ombre de leurs pensées se torturaient comme pas permis. La preuve devant les yeux mais incapables de profiter de cette vue, cherchant alors le moment où tout tomberait. Des esprits bien négatifs qui pourtant se réunissait. Le sourire étiré, tu le gardas un moment, cherchant simplement à le rapprocher. Le corps encore un ébullition tout en cherchant un rempart qui t'empêcherait d'être blessé. Le jeu était fini, tu voulais mettre un terme officiellement à cette répétition qui n'en avait jamais eu la forme. Oublier les rôles, les phrases, c'était là tout ce que tu demandais en passant une de tes mains sur son dos. La peau frissonnant, les veines diffusant une chaleur égale mais élevée dans tout ton corps. Il avait ce pouvoir d'hypnotiser ton regard, d'électriser l'air qui n'avait jamais eu cette épaisseur avant. Loin de te mettre mal à l'aise il te poussait à devenir de plus en plus toi, celui qu'il n'avait vu que comme un ami depuis tout ce temps. La joie candide que tu éprouvais se mêlait parfaitement à cette impatience dont tes lèvres venaient dispenser les siennes. "Heureusement.. " Que tu ponctuais, un rire léger mais présent dans la gorge. Son regard te redonnait confiance, comme jamais on ne t'avait prouvé ta valeur, la gorge doucement serrée de trouver tout ce que tu avais rêvé si proche de toi. Le sourire grandissait pour laisser une fossette légère se dessiner, pour finalement s'effacer, éclipser par la peur de ces mots à moitié prononcer. Voulait il expliquer son point de vue qui n'était en rien semblable au tien ? Une tension qui fit battre ton coeur trop fort, une douleur sourde appuyant sur ta poitrine. Et s'il fut déclencheur il était également le remède, libérant ce poids avec quelques mots. Des lettres mis bout à bout pour te faire sourire, soupirer de soulagement tandis que tu fermais les yeux, soudainement trop soulagé, trop fatigué d'une tension qui te quittait. Les lèvres sellées par leurs jumelles une nouvelle fois tu pris quelques minutes pour rouvrir les yeux, pour combler le silence qui venait de s'installer progressivement, sans pour autant te déranger tandis que le pauvre Jae Jin attendait une réponse. Tu comprenais maintenant l'inquiétude qui pouvait grandir au creux de son estomac, le coeur chamboulé de devoir tout laisser avant même d'avoir tout eu. "Aujourd'hui, demain... et tous les autres jours après. J'ai pas envie que se soit qu'aujourd'hui non plus. " Le rassurais tu sans pour autant savoir ce que vous étiez. Couple ? C'était sûrement trop tôt. Amis ? Le stade venait d'être dépassé. Plus rien ne semblait vous correspondre. Ce qui ne t'empêchait pas de venir de nouveau contre ses lèvres, ton ivoire pinçant avec douceur sa lèvres inférieure. "Oses me dire que tu n'as rien vu. Tu crois que je garde des "secrets" avec toi ? " Une douce référence à ces nombreux secrets dont il parlait tant plus tôt dans la journée.
@Cho Jae Jin
"..."
Les doutes n'avaient plus leur place. Tu ne voulais plus leur laisser de place. Comme un rejet, un déni tu semblais confiant. Et pourtant au fond, on restait tous humains à se questionner jusqu'aux dernières secondes à se demander si tout ceci avait une date de fin. Si on se jouait de nous ou bien si notre esprit osait nous faire miroiter l'impossible. Un esprit bien perdu, bien créatif. Deux esprits qui dans l'ombre de leurs pensées se torturaient comme pas permis. La preuve devant les yeux mais incapables de profiter de cette vue, cherchant alors le moment où tout tomberait. Des esprits bien négatifs qui pourtant se réunissait. Le sourire étiré, tu le gardas un moment, cherchant simplement à le rapprocher. Le corps encore un ébullition tout en cherchant un rempart qui t'empêcherait d'être blessé. Le jeu était fini, tu voulais mettre un terme officiellement à cette répétition qui n'en avait jamais eu la forme. Oublier les rôles, les phrases, c'était là tout ce que tu demandais en passant une de tes mains sur son dos. La peau frissonnant, les veines diffusant une chaleur égale mais élevée dans tout ton corps. Il avait ce pouvoir d'hypnotiser ton regard, d'électriser l'air qui n'avait jamais eu cette épaisseur avant. Loin de te mettre mal à l'aise il te poussait à devenir de plus en plus toi, celui qu'il n'avait vu que comme un ami depuis tout ce temps. La joie candide que tu éprouvais se mêlait parfaitement à cette impatience dont tes lèvres venaient dispenser les siennes. "Heureusement.. " Que tu ponctuais, un rire léger mais présent dans la gorge. Son regard te redonnait confiance, comme jamais on ne t'avait prouvé ta valeur, la gorge doucement serrée de trouver tout ce que tu avais rêvé si proche de toi. Le sourire grandissait pour laisser une fossette légère se dessiner, pour finalement s'effacer, éclipser par la peur de ces mots à moitié prononcer. Voulait il expliquer son point de vue qui n'était en rien semblable au tien ? Une tension qui fit battre ton coeur trop fort, une douleur sourde appuyant sur ta poitrine. Et s'il fut déclencheur il était également le remède, libérant ce poids avec quelques mots. Des lettres mis bout à bout pour te faire sourire, soupirer de soulagement tandis que tu fermais les yeux, soudainement trop soulagé, trop fatigué d'une tension qui te quittait. Les lèvres sellées par leurs jumelles une nouvelle fois tu pris quelques minutes pour rouvrir les yeux, pour combler le silence qui venait de s'installer progressivement, sans pour autant te déranger tandis que le pauvre Jae Jin attendait une réponse. Tu comprenais maintenant l'inquiétude qui pouvait grandir au creux de son estomac, le coeur chamboulé de devoir tout laisser avant même d'avoir tout eu. "Aujourd'hui, demain... et tous les autres jours après. J'ai pas envie que se soit qu'aujourd'hui non plus. " Le rassurais tu sans pour autant savoir ce que vous étiez. Couple ? C'était sûrement trop tôt. Amis ? Le stade venait d'être dépassé. Plus rien ne semblait vous correspondre. Ce qui ne t'empêchait pas de venir de nouveau contre ses lèvres, ton ivoire pinçant avec douceur sa lèvres inférieure. "Oses me dire que tu n'as rien vu. Tu crois que je garde des "secrets" avec toi ? " Une douce référence à ces nombreux secrets dont il parlait tant plus tôt dans la journée.
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Re: one in a billion ((jiwoon)) | Jeu 17 Aoû - 0:45 Citer EditerSupprimer
Que resterait-il, si tout se brisait maintenant ? L'imagination avait une force sourde mais si dévastatrice que la seule illusion floue de cette possibilité te coupait le souffle. Comme une partie de toi qu'on viendrait retirer, tu devrais vivre avec – ou plutôt sans, avançant chaque jour comme tu l'avais fait jusqu'à aujourd'hui. Voire d'une façon pire encore. Tu craignais un retour brutal à la réalité tout en t'enfonçant un peu plus dans le rêve, ne souhaitant en sortir. Mais était-ce un rêve ? Une illusion parfaitement pensée par tes idées chamboulées ? N'imaginais-tu donc rien ? Tu savais sa peau contre la tienne, ses lèvres contre les tiennes et ton cœur qui s'emballait – et tu étais convaincu qu'il ne pouvait s'agir d'un rêve. D'un sommet tu passais à une précipice, les doutes se glissant sournoisement dans tes veines allant jusqu'à bercer ton cœur pour disparaître à nouveau. Un rire discret vibra dans ta gorge en réponse au sien, le nez se retroussant dans un amusement discret. Non que tu trouvais la situation amusante même si elle l'était, dans un sens. Tu te sentais bien – et c'était une sensation étrange que de ne pas sentir le poids des doutes sur ton palpitant. Si bien que tu te forças à les ramener, les mots tentant de passer entre tes lèvres. Tu devais savoir si l'illusion allait prendre fin. Si tu devais te préparer à la chute brutale et à la fuite. Où pourrais-tu te réfugier quand les bras qui te serraient te semblaient être le meilleur endroit pour te cacher ? Une nouvelle fois, rien que de l'imaginer te tordait l'estomac et te nouait la gorge, ces idées idiotes te faisaient douter de toi, de ta place, de lui et peut-être même de vous. Tu ne souhaitais y mettre fin – mais tu devais l'entendre de sa propre bouche aussi. Ne pas simplement espérer ou rêver. Tu voulais en être assuré. Et tu patientas en silence, les pupilles cavalant sur son visage à la recherche d'une réponse, ses paupières closes ne t'aidant en rien à savoir. Tu pris peur alors, voyant déjà la fin avant même que le début ne soit arrivé. Imaginant déjà ta chute alors que tu t'étais à peine relevé. Mais cette paume contre ton dos semblait te rassurer, sa chaleur parvenant à passer à travers tes vêtements. Et tu étais soulagé des mots qui lui échappaient. L'esprit apaisé, le cœur léger même s'il tambourinait d'une force brûlante sous ta peau, tu te sentais bien. Pour la première fois depuis longtemps. Ses lèvres savaient te réconforter sans même que tu n'aies besoin de demander, un sourire venant faire bouger tes lèvres alors que tes pupilles s'illuminaient toujours un peu plus, les émotions y dansant de manière trop brusque. Le contact électrisait un peu plus ton cœur et ton corps, qui cherchait à ne laisser aucun espace entre vous alors que tes doigts s'accrochaient littéralement à son cou, tes lèvres agrippées aux siennes. « J'ose dire que je n'ai rien vu », tu bougeas faiblement la tête de haut en bas, l'ombre d'un sourire mutin aux lèvres. Tu penchas un peu la tête ensuite, l'index frôlant son cou, sa mâchoire, sa nuque. « Ce serait normal d'en garder, on en a tous », dis-tu, songeant à la question dans un contexte trop sérieux peut-être. « Mais j'ai compris celui-ci... je pense », osas-tu te vanter dans un son amusé, l'index cavalant sur sa peau dans des formes diverses. Tu restas silencieux, laissant tes doigts danser sur sa peau un instant pour finalement laisser tes lèvres retrouver les siennes, l'air contenté, rêveur. Une pression. Deux. Puis trois. C'était comme si tu ne pouvais t'empêcher. « Est-ce que tu auras d'autres scènes à répéter ? », vins-tu prononcer contre sa bouche, un brin malicieux, un brin amusé.
@Hwa Ji Woon
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Que resterait-il, si tout se brisait maintenant ? L'imagination avait une force sourde mais si dévastatrice que la seule illusion floue de cette possibilité te coupait le souffle. Comme une partie de toi qu'on viendrait retirer, tu devrais vivre avec – ou plutôt sans, avançant chaque jour comme tu l'avais fait jusqu'à aujourd'hui. Voire d'une façon pire encore. Tu craignais un retour brutal à la réalité tout en t'enfonçant un peu plus dans le rêve, ne souhaitant en sortir. Mais était-ce un rêve ? Une illusion parfaitement pensée par tes idées chamboulées ? N'imaginais-tu donc rien ? Tu savais sa peau contre la tienne, ses lèvres contre les tiennes et ton cœur qui s'emballait – et tu étais convaincu qu'il ne pouvait s'agir d'un rêve. D'un sommet tu passais à une précipice, les doutes se glissant sournoisement dans tes veines allant jusqu'à bercer ton cœur pour disparaître à nouveau. Un rire discret vibra dans ta gorge en réponse au sien, le nez se retroussant dans un amusement discret. Non que tu trouvais la situation amusante même si elle l'était, dans un sens. Tu te sentais bien – et c'était une sensation étrange que de ne pas sentir le poids des doutes sur ton palpitant. Si bien que tu te forças à les ramener, les mots tentant de passer entre tes lèvres. Tu devais savoir si l'illusion allait prendre fin. Si tu devais te préparer à la chute brutale et à la fuite. Où pourrais-tu te réfugier quand les bras qui te serraient te semblaient être le meilleur endroit pour te cacher ? Une nouvelle fois, rien que de l'imaginer te tordait l'estomac et te nouait la gorge, ces idées idiotes te faisaient douter de toi, de ta place, de lui et peut-être même de vous. Tu ne souhaitais y mettre fin – mais tu devais l'entendre de sa propre bouche aussi. Ne pas simplement espérer ou rêver. Tu voulais en être assuré. Et tu patientas en silence, les pupilles cavalant sur son visage à la recherche d'une réponse, ses paupières closes ne t'aidant en rien à savoir. Tu pris peur alors, voyant déjà la fin avant même que le début ne soit arrivé. Imaginant déjà ta chute alors que tu t'étais à peine relevé. Mais cette paume contre ton dos semblait te rassurer, sa chaleur parvenant à passer à travers tes vêtements. Et tu étais soulagé des mots qui lui échappaient. L'esprit apaisé, le cœur léger même s'il tambourinait d'une force brûlante sous ta peau, tu te sentais bien. Pour la première fois depuis longtemps. Ses lèvres savaient te réconforter sans même que tu n'aies besoin de demander, un sourire venant faire bouger tes lèvres alors que tes pupilles s'illuminaient toujours un peu plus, les émotions y dansant de manière trop brusque. Le contact électrisait un peu plus ton cœur et ton corps, qui cherchait à ne laisser aucun espace entre vous alors que tes doigts s'accrochaient littéralement à son cou, tes lèvres agrippées aux siennes. « J'ose dire que je n'ai rien vu », tu bougeas faiblement la tête de haut en bas, l'ombre d'un sourire mutin aux lèvres. Tu penchas un peu la tête ensuite, l'index frôlant son cou, sa mâchoire, sa nuque. « Ce serait normal d'en garder, on en a tous », dis-tu, songeant à la question dans un contexte trop sérieux peut-être. « Mais j'ai compris celui-ci... je pense », osas-tu te vanter dans un son amusé, l'index cavalant sur sa peau dans des formes diverses. Tu restas silencieux, laissant tes doigts danser sur sa peau un instant pour finalement laisser tes lèvres retrouver les siennes, l'air contenté, rêveur. Une pression. Deux. Puis trois. C'était comme si tu ne pouvais t'empêcher. « Est-ce que tu auras d'autres scènes à répéter ? », vins-tu prononcer contre sa bouche, un brin malicieux, un brin amusé.
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Hwa Ji Woon
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Pseudo : Stitchy (( elle ))
Célébrité : Lee Jun Young
Crédits : ava: @Bambi // Signa: @mingicode
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Âge : 26
Re: one in a billion ((jiwoon)) | Mer 30 Aoû - 23:48 Citer EditerSupprimer
La solitude sourde qui avait poussé à tout ce cinéma venait de partir pour te rattraper. Le doute s'y mêlant elle semblait avoir une emprise si forte qu'elle coupait l'air, t'empêchant de respirer. Si tout ceci n'était qu'une idée préconçue de ta réalité. Celle ci même qui n'existait que dans des songes dont personne n'osait parler. Le regarder chaque jour n'avait pas été mince affaire. La joie s'imprégnant de culpabilité au fil du temps. Le palpitant battant férocement tu avais pensé à lui dire. A tout avouer durant un de ces moments partagés. Et pourtant, encore aujourd'hui tu n'avais eu de cesse que de repousser la vérité par des secrets à peine déguisés. Pour finalement goûter à des lèvres que tu pensais hors de portée. Une première qui fit naître un espoir trop grand, trop rapide. Un espoir qui pouvait se rompre du bout des lèvres, un mot et tout finirait. Rien n'aurait commencé et l'ambiance changerait. Un mot, un geste et il pouvait briser tout ce que tu avais construit. Une personnalité imprenable, dissimulant ses pensées, calculant chaque mouvement. Il y avait toujours eu cette possibilité dans tes calculs, celle qui te donnait le sourire, qui te faisait sentir en vie. Malheureusement la probabilité mince, tu avais décidé de jouer intelligent, annihilant tes sentiments. Une peine perdue que tu te prenais en plein fouet à ce moment. Trouvant avec l'espoir, la peur, la joie, la douleur. Tout ce qui faisait de ce sentiment particulier la victime et le bourreau. Jae Jin était admirable. Il balayait avec cette détermination tous les doutes qui s'immisçaient. Les lèvres étirées c'est ta paume qui renouait le contact jamais réellement perdu. La chaleur se dissipant sous forme de fourmis qui titillaient chaque cellule de ta peau. Tout comme vous rompiez toujours plus la distance qui ne devenait qu'une fine épaisseur laissant la chaleur passée. Le souffle contre ses lèvres, tu les quittais un instant glissant sur son cou. Le sourire amusé se mélangeant au souffle qui ne cessait de caresser sa peau, tout comme tes lèvres qui prenaient le relai un instant. "Disons que je n'aurai pas avancer la conversation si j'avais eu des secrets... vraiment secrets. " le rire doux, le regard de nouveau plongé dans le sien, tu osais croire qu'il avait compris. Les indices menant à une réponse simple. Un jeu de piste qu'il venait de gagner non sans ta participation. Le résultat était pourtant au delà de tes attentes, les lèvres étirées dans un sourire contre des larmes dans ton imagination. La réciprocité contre la haine que cela aurait pu provoqué. Les frissons d'un plaisir muet contre ceux d'un dégoût qui aurait pu l'habiter. Ce qui aurait été un crime au vue de vos lèvres qui ne cessaient de se rencontrer. Une évidence que tu voulais garder, allant clore sa demande d'un baiser plus long. "Oh.. si tu savais. Je pense qu'il va falloir que je répète.. beaucoup !" Riant doucement tu revenais contre ses lèvres, son cou couvert de ta main pour le rapprocher encore, sentir son coeur battre contre ta peau, une sensation inconnue qui venait de te rendre doucement accroc. "Ah... je dois quand même préciser. Si cette scène est hors scénario.. la première est bien dedans. Spoiler alerte, je vais devoir embrasser mon collègue. " Ca sonnait comme une excuse bidon d'infidélité, et pourtant. Ton boulot consistait à faire croire aux autres que tout ceci était vrai. Tandis que ta vie personnelle devenait problématique si révélée. "Je veux pas que tu sois touché par ça... si c'est trop je comprendrais.. " Comprendre mais pas l'accepter. Tu retrouvais cette douce peur qui tordait ton estomac. Si rien ne semblait se voir, si tes mots avaient été aussi directs c'était bien à cause de cette peur qui te rendait presque robotique.
@Cho Jae Jin
"..."
La solitude sourde qui avait poussé à tout ce cinéma venait de partir pour te rattraper. Le doute s'y mêlant elle semblait avoir une emprise si forte qu'elle coupait l'air, t'empêchant de respirer. Si tout ceci n'était qu'une idée préconçue de ta réalité. Celle ci même qui n'existait que dans des songes dont personne n'osait parler. Le regarder chaque jour n'avait pas été mince affaire. La joie s'imprégnant de culpabilité au fil du temps. Le palpitant battant férocement tu avais pensé à lui dire. A tout avouer durant un de ces moments partagés. Et pourtant, encore aujourd'hui tu n'avais eu de cesse que de repousser la vérité par des secrets à peine déguisés. Pour finalement goûter à des lèvres que tu pensais hors de portée. Une première qui fit naître un espoir trop grand, trop rapide. Un espoir qui pouvait se rompre du bout des lèvres, un mot et tout finirait. Rien n'aurait commencé et l'ambiance changerait. Un mot, un geste et il pouvait briser tout ce que tu avais construit. Une personnalité imprenable, dissimulant ses pensées, calculant chaque mouvement. Il y avait toujours eu cette possibilité dans tes calculs, celle qui te donnait le sourire, qui te faisait sentir en vie. Malheureusement la probabilité mince, tu avais décidé de jouer intelligent, annihilant tes sentiments. Une peine perdue que tu te prenais en plein fouet à ce moment. Trouvant avec l'espoir, la peur, la joie, la douleur. Tout ce qui faisait de ce sentiment particulier la victime et le bourreau. Jae Jin était admirable. Il balayait avec cette détermination tous les doutes qui s'immisçaient. Les lèvres étirées c'est ta paume qui renouait le contact jamais réellement perdu. La chaleur se dissipant sous forme de fourmis qui titillaient chaque cellule de ta peau. Tout comme vous rompiez toujours plus la distance qui ne devenait qu'une fine épaisseur laissant la chaleur passée. Le souffle contre ses lèvres, tu les quittais un instant glissant sur son cou. Le sourire amusé se mélangeant au souffle qui ne cessait de caresser sa peau, tout comme tes lèvres qui prenaient le relai un instant. "Disons que je n'aurai pas avancer la conversation si j'avais eu des secrets... vraiment secrets. " le rire doux, le regard de nouveau plongé dans le sien, tu osais croire qu'il avait compris. Les indices menant à une réponse simple. Un jeu de piste qu'il venait de gagner non sans ta participation. Le résultat était pourtant au delà de tes attentes, les lèvres étirées dans un sourire contre des larmes dans ton imagination. La réciprocité contre la haine que cela aurait pu provoqué. Les frissons d'un plaisir muet contre ceux d'un dégoût qui aurait pu l'habiter. Ce qui aurait été un crime au vue de vos lèvres qui ne cessaient de se rencontrer. Une évidence que tu voulais garder, allant clore sa demande d'un baiser plus long. "Oh.. si tu savais. Je pense qu'il va falloir que je répète.. beaucoup !" Riant doucement tu revenais contre ses lèvres, son cou couvert de ta main pour le rapprocher encore, sentir son coeur battre contre ta peau, une sensation inconnue qui venait de te rendre doucement accroc. "Ah... je dois quand même préciser. Si cette scène est hors scénario.. la première est bien dedans. Spoiler alerte, je vais devoir embrasser mon collègue. " Ca sonnait comme une excuse bidon d'infidélité, et pourtant. Ton boulot consistait à faire croire aux autres que tout ceci était vrai. Tandis que ta vie personnelle devenait problématique si révélée. "Je veux pas que tu sois touché par ça... si c'est trop je comprendrais.. " Comprendre mais pas l'accepter. Tu retrouvais cette douce peur qui tordait ton estomac. Si rien ne semblait se voir, si tes mots avaient été aussi directs c'était bien à cause de cette peur qui te rendait presque robotique.
"..."
vmicorum.
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