Keep out | Jun wan
Keep out | Jun wan | Jeu 6 Avr 2023 - 2:15 Citer EditerSupprimer
@CHA JUN WANUn jour de congé bien mérité. Je voudrais des tonnes comme celui-ci où l’inspiration est à son comble et motivée pour faire une toile sous le nom d’artiste : Lemon. Je suis motivée au point de me lever de bonne heure, prendre un petit-déjeuner bien banal, me doucher, me cogner le petit orteil, me vêtir et prendre tout mon matériel, pour peindre, puis aller en randonnée. Oui. Le soleil brille, les oiseaux chantent, le printemps est bien installé, la nature revit de l’hiver difficile. C’est ce qui est merveilleux. La flore qui respire enfin, revient parmi leur hibernation pour ensuite se réchauffer les feuilles grâce aux rayons du soleil. Mettant le pied dehors, le sourire aux lèvres, une petite pensée me vient à l’esprit : rien ne peut gâcher cette belle journée de repos. Je me suis levée du bon pied et tout va à merveille. Rien qui ne me permettrait de sortir de ma joie quotidienne, pas d’étudiants qui se chamaillent pour une fille, pas de popcorn devant un drama prévisible. Rien de tout ça. Uniquement cette journée merveilleuse, cet air frais dont je prends une grande inspiration et où un passant décide d’extérioriser sa fumée de sa cigarette dans mon visage. Ew.
Prenant le taxi, quittant légèrement la ville. Je vais où le vent m’emporte. Selon ce dernier, j’ai le sentiment que je vais peindre en montagne. Ce qui m’enchante de plus belle. Cet environnement magnifique, cette ambiance digne d’une musique de relaxation lors d’une insomnie. Loin de ses klaxons de voiture et de cette pollution sonore de la population. Ça sera la nature, mon art et moi. Ni plus ni moins. On pourrait clairement dire que je n’ai aucune vie sociale pour me balader comme ça sans avertir quiconque de mon itinéraire. Pourtant, ce n’est pas le cas. Comme je vous l’ai dit ; je vais au gré du vent et je n’ai pas peur de ce qui pourrait m’arriver. J’ai déjà été sans abri pendant un long moment et la survie, je connais ça, donc ça ne me fait pas peur de rester seule en forêt. Ce n’est pas comme si un psychopathe allait me sauter dessus, n’est-ce pas ? S’il savait qu’il n’a rien à gagner en me tuant. Ça serait une perte d’énergie. Ceci dit, revenons à cette belle forêt. Je suis en train de surchauffer mes mollets de plus belle puisque je ne les ai pas étirés adéquatement avant de faire la montée, mais tant pis. Je veux une vue splendide et je suis motivée pour peindre cette toile.
Un accès interdit se retrouve à ma gauche. J’arque un sourcil avant de me retourner pour voir la montée que j’ai faite. On est tout de même très haut, pourquoi cette signalisation ? Elle est nouvelle, je ne l’ai pas vu lorsque je venais ici pour faire mes randonnées. Un riche à l'ego surdimensionné a décidé d’acheter une partie de cette montagne pour mettre sa villa ? Je hausse les épaules. Ce n’est pas écrit terrain privé ou quoi que ce soit, ce sont sans doute les gardiens qui ont restreint l’accès afin de ne pas mettre les randonneurs en danger. Peu importe, je me rappelle une vue magnifique et d’un coin que je pourrais m’installer. Alors, j’y vais contre les indications. Ça n’a pas pris grand temps avant de voir la vue qui me tape littéralement à l’œil. Oh oui ! J’aime trop. Il faut que j’immortalise le tout, mais avant : une belle photo pour m’en souvenir si jamais je n’ai pas fini la toile et hop, on dépose mon équipement. J’installe le trépied bien stable, la toile, j’ouvre aussi toutes mes couleurs pour mettre des échantillons sur une palette de peinture. Voilà. Je suis installée, pinceau en main et je me lance !
Je ne suis pas près d’un ravin, je ne suis pas folle à ce point. On peut largement continuer son chemin pour descendre la montagne de l’autre côté. On pourrait dire que je suis en plein sentier, mais celui-ci possède une belle vue qui m’a permis d’arrêter pour immortaliser le tout. Je n’ai jamais vu mon pinceau chatouiller ma toile aussi frénétiquement. Je n’ai jamais été aussi émerveillée et inspirée par mon environnement hormis maintenant. Je ne cesserai pas de le dire, mais c’est une ravissante journée. Tout va bien, même trop bien. Toutefois, j’entends de l’agitation non loin de moi ce qui me fait sortir de ma rêverie. Je fronce les sourcils en allant me retourner pour vérifier ce qui se passait, mais j’ai eu à peine le temps de remarquer la silhouette noire foncer vers moi. « AAAAAAAH ! » hurlais-je en me protégeant le visage.
Pseudo : Lauly
Célébrité : Woo Do Hwan
Crédits : bambi (c)
Messages : 115
Âge : 29
@CHA JUN WANUn jour de congé bien mérité. Je voudrais des tonnes comme celui-ci où l’inspiration est à son comble et motivée pour faire une toile sous le nom d’artiste : Lemon. Je suis motivée au point de me lever de bonne heure, prendre un petit-déjeuner bien banal, me doucher, me cogner le petit orteil, me vêtir et prendre tout mon matériel, pour peindre, puis aller en randonnée. Oui. Le soleil brille, les oiseaux chantent, le printemps est bien installé, la nature revit de l’hiver difficile. C’est ce qui est merveilleux. La flore qui respire enfin, revient parmi leur hibernation pour ensuite se réchauffer les feuilles grâce aux rayons du soleil. Mettant le pied dehors, le sourire aux lèvres, une petite pensée me vient à l’esprit : rien ne peut gâcher cette belle journée de repos. Je me suis levée du bon pied et tout va à merveille. Rien qui ne me permettrait de sortir de ma joie quotidienne, pas d’étudiants qui se chamaillent pour une fille, pas de popcorn devant un drama prévisible. Rien de tout ça. Uniquement cette journée merveilleuse, cet air frais dont je prends une grande inspiration et où un passant décide d’extérioriser sa fumée de sa cigarette dans mon visage. Ew.
Prenant le taxi, quittant légèrement la ville. Je vais où le vent m’emporte. Selon ce dernier, j’ai le sentiment que je vais peindre en montagne. Ce qui m’enchante de plus belle. Cet environnement magnifique, cette ambiance digne d’une musique de relaxation lors d’une insomnie. Loin de ses klaxons de voiture et de cette pollution sonore de la population. Ça sera la nature, mon art et moi. Ni plus ni moins. On pourrait clairement dire que je n’ai aucune vie sociale pour me balader comme ça sans avertir quiconque de mon itinéraire. Pourtant, ce n’est pas le cas. Comme je vous l’ai dit ; je vais au gré du vent et je n’ai pas peur de ce qui pourrait m’arriver. J’ai déjà été sans abri pendant un long moment et la survie, je connais ça, donc ça ne me fait pas peur de rester seule en forêt. Ce n’est pas comme si un psychopathe allait me sauter dessus, n’est-ce pas ? S’il savait qu’il n’a rien à gagner en me tuant. Ça serait une perte d’énergie. Ceci dit, revenons à cette belle forêt. Je suis en train de surchauffer mes mollets de plus belle puisque je ne les ai pas étirés adéquatement avant de faire la montée, mais tant pis. Je veux une vue splendide et je suis motivée pour peindre cette toile.
Un accès interdit se retrouve à ma gauche. J’arque un sourcil avant de me retourner pour voir la montée que j’ai faite. On est tout de même très haut, pourquoi cette signalisation ? Elle est nouvelle, je ne l’ai pas vu lorsque je venais ici pour faire mes randonnées. Un riche à l'ego surdimensionné a décidé d’acheter une partie de cette montagne pour mettre sa villa ? Je hausse les épaules. Ce n’est pas écrit terrain privé ou quoi que ce soit, ce sont sans doute les gardiens qui ont restreint l’accès afin de ne pas mettre les randonneurs en danger. Peu importe, je me rappelle une vue magnifique et d’un coin que je pourrais m’installer. Alors, j’y vais contre les indications. Ça n’a pas pris grand temps avant de voir la vue qui me tape littéralement à l’œil. Oh oui ! J’aime trop. Il faut que j’immortalise le tout, mais avant : une belle photo pour m’en souvenir si jamais je n’ai pas fini la toile et hop, on dépose mon équipement. J’installe le trépied bien stable, la toile, j’ouvre aussi toutes mes couleurs pour mettre des échantillons sur une palette de peinture. Voilà. Je suis installée, pinceau en main et je me lance !
Je ne suis pas près d’un ravin, je ne suis pas folle à ce point. On peut largement continuer son chemin pour descendre la montagne de l’autre côté. On pourrait dire que je suis en plein sentier, mais celui-ci possède une belle vue qui m’a permis d’arrêter pour immortaliser le tout. Je n’ai jamais vu mon pinceau chatouiller ma toile aussi frénétiquement. Je n’ai jamais été aussi émerveillée et inspirée par mon environnement hormis maintenant. Je ne cesserai pas de le dire, mais c’est une ravissante journée. Tout va bien, même trop bien. Toutefois, j’entends de l’agitation non loin de moi ce qui me fait sortir de ma rêverie. Je fronce les sourcils en allant me retourner pour vérifier ce qui se passait, mais j’ai eu à peine le temps de remarquer la silhouette noire foncer vers moi. « AAAAAAAH ! » hurlais-je en me protégeant le visage.
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Cha Jun Wan
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Re: Keep out | Jun wan | Sam 13 Mai 2023 - 20:10 Citer EditerSupprimer
@Lim Ha Rin Pourquoi les gens n’écoutaient jamais lorsqu’un panneau indiquait que l’entrée était interdite, qu’il s’agissait d’un endroit privé ou dieu ne savait quelle autre prévention ? L’humain avait inventé les panneaux justement pour éviter les accidents, les potentiels dangers mais certains adoraient se lancer dans la gueule du loup sans réfléchir, ce n’était pas croyable. Toute l’équipe du tournage avait fait le nécessaire pour réserver et barricader les lieux, cela avait même été compliqué de trouver des dates pouvant convenir à tout le monde mais ils y étaient parvenus. L’emploi du temps de chacun était restreint, le tournage avait même pris quelque peu de retard donc ils essayaient tous de terminer dans le temps hors, évidemment, il fallait toujours qu’un imprévu vienne s’immiscer dans leur projet. Et cet imprévu, aujourd’hui, c’était une femme qui avait eu la merveilleuse idée de venir peindre là où Jun Wan était censé débarquer. Alors qu’il courrait, sautant à l’endroit où elle se trouvait, ses yeux s’étaient écarquillés sous la surprise de voir subitement quelqu’un devant lui. Dans son élan, il lui était compliqué de l’esquiver néanmoins il fit son possible, tentant de plonger sur le côté, non pas sans la bousculer légèrement malheureusement, avant de se rouler sur le sol pour éviter toute blessure puis se relever. La colère se lisait dans ses pupilles alors qu’il lui faisait finalement face « Non mais ça ne va pas bien dans votre tête ?! » S’exclama aussitôt le cascadeur, ne daignant pas à lui demander comment elle se portait. Il était trop hors de lui pour s’en soucier parce que cette demoiselle était tout bonnement inconsciente. « Vous ne savez pas lire ?! Vous n’aviez pas vu que c’était interdit ?! » Pourtant c’était bien écrit en gros.
Deux membres du staff arrivèrent à leur hauteur, l’un d’entre eux s’inclinait auprès de la jeune femme en guise d’excuse tandis que l’autre tentait vainement de calmer Jun Wan qui ne descendait toujours pas d’un cran. « Comment vous voulez que je me calme ?! Elle aurait pu se blesser comme me blesser ?! » Heureusement qu’il avait de bons réflexes néanmoins cela aurait réellement pu être dangereux. « Vous allez bien ? » L’interrogea posément l’un des garçons « C’est un lieu de tournage ici, vous ne pouvez pas rester là. » Le cascadeur ne cessait de la dévisager, un regard noir brillant sur sa figure avant qu’il ne grimace doucement, se massant légèrement le poignet. Peut-être était-il réellement mal tombé finalement ; ce qui le fit soupirer bien qu’il se doutait que ce n’était rien de grave et que cela s’arrangerait rapidement. « Apprenez à lire la prochaine fois. » Râla-t-il de plus bel, incapable de se retenir de lui faire des reproches ; certains se pensaient vraiment tout permis.
@Lim Ha Rin Pourquoi les gens n’écoutaient jamais lorsqu’un panneau indiquait que l’entrée était interdite, qu’il s’agissait d’un endroit privé ou dieu ne savait quelle autre prévention ? L’humain avait inventé les panneaux justement pour éviter les accidents, les potentiels dangers mais certains adoraient se lancer dans la gueule du loup sans réfléchir, ce n’était pas croyable. Toute l’équipe du tournage avait fait le nécessaire pour réserver et barricader les lieux, cela avait même été compliqué de trouver des dates pouvant convenir à tout le monde mais ils y étaient parvenus. L’emploi du temps de chacun était restreint, le tournage avait même pris quelque peu de retard donc ils essayaient tous de terminer dans le temps hors, évidemment, il fallait toujours qu’un imprévu vienne s’immiscer dans leur projet. Et cet imprévu, aujourd’hui, c’était une femme qui avait eu la merveilleuse idée de venir peindre là où Jun Wan était censé débarquer. Alors qu’il courrait, sautant à l’endroit où elle se trouvait, ses yeux s’étaient écarquillés sous la surprise de voir subitement quelqu’un devant lui. Dans son élan, il lui était compliqué de l’esquiver néanmoins il fit son possible, tentant de plonger sur le côté, non pas sans la bousculer légèrement malheureusement, avant de se rouler sur le sol pour éviter toute blessure puis se relever. La colère se lisait dans ses pupilles alors qu’il lui faisait finalement face « Non mais ça ne va pas bien dans votre tête ?! » S’exclama aussitôt le cascadeur, ne daignant pas à lui demander comment elle se portait. Il était trop hors de lui pour s’en soucier parce que cette demoiselle était tout bonnement inconsciente. « Vous ne savez pas lire ?! Vous n’aviez pas vu que c’était interdit ?! » Pourtant c’était bien écrit en gros.
Deux membres du staff arrivèrent à leur hauteur, l’un d’entre eux s’inclinait auprès de la jeune femme en guise d’excuse tandis que l’autre tentait vainement de calmer Jun Wan qui ne descendait toujours pas d’un cran. « Comment vous voulez que je me calme ?! Elle aurait pu se blesser comme me blesser ?! » Heureusement qu’il avait de bons réflexes néanmoins cela aurait réellement pu être dangereux. « Vous allez bien ? » L’interrogea posément l’un des garçons « C’est un lieu de tournage ici, vous ne pouvez pas rester là. » Le cascadeur ne cessait de la dévisager, un regard noir brillant sur sa figure avant qu’il ne grimace doucement, se massant légèrement le poignet. Peut-être était-il réellement mal tombé finalement ; ce qui le fit soupirer bien qu’il se doutait que ce n’était rien de grave et que cela s’arrangerait rapidement. « Apprenez à lire la prochaine fois. » Râla-t-il de plus bel, incapable de se retenir de lui faire des reproches ; certains se pensaient vraiment tout permis.
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I look inside myself and see my heart is black. I see my red door, I must have it painted black, maybe then I'll fade away and not have to face the facts. It's not easy facing up when your whole world is black. ☾☾
Re: Keep out | Jun wan | Ven 26 Mai 2023 - 18:47 Citer EditerSupprimer
@CHA JUN WANUn magnifique endroit pour peinturer. La vue est belle, la musique forestière enchanteresse. Une tranquillité sans limite. C’est la paix. Une paix qu’on ressent rarement dans la vie. Je la ressens actuellement avec un petit doute dans mon esprit. Pourquoi soudainement, il a un panneau d’accès interdit ? Ce n'est pas la première fois que je viens dans les alentours et il n'avait pas ce panneau. Pourquoi aussi soudain ? C’est ce que je me pose comme question. Peut-être qu’il a un riche propriétaire qui a décidé de revendiquer cette terre pour en faire sa propriété privée ou je ne sais pas quoi encore. Cependant, je ne veux pas le savoir de sitôt. Je ne veux pas tomber sur quelque chose et me faire réprimander pour avoir ignoré les indications. Et dire que j’ai pensé trop vite. Je pensais pouvoir peinturer tranquillement le temps de quelques heures avant de partir chez moi et de revenir un autre jour. Hélas, ça ne sera pas aujourd’hui ni un autre jour. En fait, je ne viendrais pas pour la simple raison qu’on m’a attaquée !
J’ai vu une silhouette noire se diriger vers moi dans mon angle mort. J’ai eu le réflexe de me protéger le visage, mais voilà, on me bouscule et j’ai tombé sur mon chevalet. Ce qui dit chevalet est égale à la peinture également. Oui, je me retrouve peinturée de part et d’autre sur mes vêtements, ma peau. Gâchent ainsi mes équipements, mais aussi mes vêtements. Je m’en balance des reproches de cette personne, tout ce que je vois, c’est que tout ça, c’est de l’argent jeté par les fenêtres. Mon chevalet est détruit et mes pinceaux cassés. Mes tubes de peinture sont écrasés et explosés sur le sol à cause de mon gros derrière. Peut-on parler de mes vêtements gâchés par ces derniers ? Ouais, finalement, j’aurais dû lire les indications et rester chez moi. « Rooooh arrêtez de gueuler une minute ! » Personne ne peut freiner l’âme d’une artiste et à sa conquête de son inspiration. Je ne serai pas la première ni la dernière qu’il rencontrera. Déjà, qu’est-ce qu’il fiche ici ?! Je n’ai pas eu le temps de lui poser la question du pourquoi et du comment, mais en voyant les autres hommes arrivés et s’incliner pour s’excuser, j’ai vite compris. « Oh. » Je suis sur un plateau de tournage. Ceci explique cela.
C’est un acteur ou un doubleur ? En tout cas advenant de son caractère, il n’ira pas très loin. « Vous n'aurez pas le choix de vous calmer à la fin ! Mes affaires sont détruites et je ne fais pas tout un drame contrairement à vous ! » Je risque même d’avoir un ou deux hématomes sur le corps, mais ça, je ne vais pas faire une histoire pour ça. Et puis quoi encore ? Je ne suis pas dramaqueen contrairement à monsieur. « Oui, oui, ça va, enfin, mes affaires non, mais ce n’est pas bien grave. Merci de vous en soucier. » Je vais économiser afin de nouveau acheter mes affaires et de peindre. Pour l’heure, je vais contenter de gribouillis sur des feuilles de papier. Je m’accroupis pour tout ramasser. Par contre, voilà que le dramaking s’y met encore à pester. « Apprenez à lire ? Ahahaha ! » Je me mets debout et de l’approcher : « Ne me dites pas que lorsque vous étiez gamin vous n’alliez pas dans des endroits où l’accès était interdit ? Faire le curieux, entendre des histoires d’horreur ou bien… » Je me mets à le regarder de haut en bas et de bas en haut tout en laissant ma phrase en suspens : « Ce que les adolescents faisaient quoi ! » Peu importe si c’était des choses perverses ou pas, enfin bref. « Ce n’était pas écrit tournage en cours et on ne résiste pas à l’appel de l’art ! » Je claque ma langue avant de retourner ramasser mes affaires brisées. « Apprenez à mieux tomber comme ça votre poignet ne serait pas blessé. »
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@CHA JUN WANUn magnifique endroit pour peinturer. La vue est belle, la musique forestière enchanteresse. Une tranquillité sans limite. C’est la paix. Une paix qu’on ressent rarement dans la vie. Je la ressens actuellement avec un petit doute dans mon esprit. Pourquoi soudainement, il a un panneau d’accès interdit ? Ce n'est pas la première fois que je viens dans les alentours et il n'avait pas ce panneau. Pourquoi aussi soudain ? C’est ce que je me pose comme question. Peut-être qu’il a un riche propriétaire qui a décidé de revendiquer cette terre pour en faire sa propriété privée ou je ne sais pas quoi encore. Cependant, je ne veux pas le savoir de sitôt. Je ne veux pas tomber sur quelque chose et me faire réprimander pour avoir ignoré les indications. Et dire que j’ai pensé trop vite. Je pensais pouvoir peinturer tranquillement le temps de quelques heures avant de partir chez moi et de revenir un autre jour. Hélas, ça ne sera pas aujourd’hui ni un autre jour. En fait, je ne viendrais pas pour la simple raison qu’on m’a attaquée !
J’ai vu une silhouette noire se diriger vers moi dans mon angle mort. J’ai eu le réflexe de me protéger le visage, mais voilà, on me bouscule et j’ai tombé sur mon chevalet. Ce qui dit chevalet est égale à la peinture également. Oui, je me retrouve peinturée de part et d’autre sur mes vêtements, ma peau. Gâchent ainsi mes équipements, mais aussi mes vêtements. Je m’en balance des reproches de cette personne, tout ce que je vois, c’est que tout ça, c’est de l’argent jeté par les fenêtres. Mon chevalet est détruit et mes pinceaux cassés. Mes tubes de peinture sont écrasés et explosés sur le sol à cause de mon gros derrière. Peut-on parler de mes vêtements gâchés par ces derniers ? Ouais, finalement, j’aurais dû lire les indications et rester chez moi. « Rooooh arrêtez de gueuler une minute ! » Personne ne peut freiner l’âme d’une artiste et à sa conquête de son inspiration. Je ne serai pas la première ni la dernière qu’il rencontrera. Déjà, qu’est-ce qu’il fiche ici ?! Je n’ai pas eu le temps de lui poser la question du pourquoi et du comment, mais en voyant les autres hommes arrivés et s’incliner pour s’excuser, j’ai vite compris. « Oh. » Je suis sur un plateau de tournage. Ceci explique cela.
C’est un acteur ou un doubleur ? En tout cas advenant de son caractère, il n’ira pas très loin. « Vous n'aurez pas le choix de vous calmer à la fin ! Mes affaires sont détruites et je ne fais pas tout un drame contrairement à vous ! » Je risque même d’avoir un ou deux hématomes sur le corps, mais ça, je ne vais pas faire une histoire pour ça. Et puis quoi encore ? Je ne suis pas dramaqueen contrairement à monsieur. « Oui, oui, ça va, enfin, mes affaires non, mais ce n’est pas bien grave. Merci de vous en soucier. » Je vais économiser afin de nouveau acheter mes affaires et de peindre. Pour l’heure, je vais contenter de gribouillis sur des feuilles de papier. Je m’accroupis pour tout ramasser. Par contre, voilà que le dramaking s’y met encore à pester. « Apprenez à lire ? Ahahaha ! » Je me mets debout et de l’approcher : « Ne me dites pas que lorsque vous étiez gamin vous n’alliez pas dans des endroits où l’accès était interdit ? Faire le curieux, entendre des histoires d’horreur ou bien… » Je me mets à le regarder de haut en bas et de bas en haut tout en laissant ma phrase en suspens : « Ce que les adolescents faisaient quoi ! » Peu importe si c’était des choses perverses ou pas, enfin bref. « Ce n’était pas écrit tournage en cours et on ne résiste pas à l’appel de l’art ! » Je claque ma langue avant de retourner ramasser mes affaires brisées. « Apprenez à mieux tomber comme ça votre poignet ne serait pas blessé. »
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Cha Jun Wan
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Pseudo : Lauly
Célébrité : Woo Do Hwan
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Âge : 29
Re: Keep out | Jun wan | Ven 26 Mai 2023 - 21:51 Citer EditerSupprimer
@Lim Ha Rin Si Jun Wan s’emportait de cette façon c’était pour l’unique et bonne raison que quelque chose aurait pu arriver. La jeune femme avait eu beaucoup de chance que cela ne s’arrête qu’à une simple bousculade et une faible chute sur l’herbe, en plus du matériel gaspillé – un détail dont le cascadeur ne se souciait guère, des accessoires de peinture pouvaient toujours se racheter. Ce qui n’était pas forcément le cas pour les blessures d’une personne, que cela le concerne lui ou cette inconnue complètement inconsciente. S’il y avait des instructions qui indiquaient un accès interdit, elles n’étaient pas posées là pour faire jolie, il y avait obligatoirement une raison… Et c’était ce qui le mettait sincèrement hors de lui parce que c’était à cause de ce genre d’individu que les accidents sur les lieux de tournage arrivaient le plus souvent. Alors oui, il était en colère et, non, il ne parvenait pas à se calmer même si un membre du staff tentait vainement de le faire descendre d’un cran. La réaction de l’inconnue ne l’aida pas à apaiser les tensions, bien au contraire, son unique envie était de la secouer et tenter de lui faire réaliser son inconscience. N’était-on pas censé s’excuser dans de telles circonstances ? Non pas que Jun Wan attendait vraiment après ses excuses, parce qu’il ne se formalisait de ce genre de détails néanmoins, par respect pour les personnes qui travaillaient, pour celles qui s’étaient données autant de mal, n’était-ce pas la moindre des choses de demander pardon ? Il ne connaissait pas beaucoup de choses sur les formules de politesses toutefois de ce qu’il avait pu remarquer ces dernières années, de ce que lui avait répété son frère également, dans ce genre de situation, on était normalement censé faire profil bas et savoir un minimum où était sa place. Qui était en tort ici ? Certainement pas lui. Après tout, ce n’était pas lui qui n’avait pas respecté les règles et décidé de braver les interdits mais bel et bien cette jeune femme.
« Pardon ? » S’offusqua le cascadeur, une expression glaciale plaquée à sa figure. « Qu’est-ce que j’en ai à foutre de vos affaires ?! C’est vous qui n’aviez rien à faire ici à la base ! » Le culot de cette fille était incroyable, au point où elle parvenait même à faire naître un air choqué sur le visage du garçon. « Pour qui elle se prend celle-là ? » Grommela-t-il pour lui-même, tout en passant nerveusement sa main dans ses cheveux, son collègue à ses côtés essayait vainement dans le calmer sans réussir. A peine l’inconnue ouvrait la bouche qu’elle le mettait hors de lui et lui donnait la véritable envie de l’étriper. Elle avait tort dans cette histoire mais en plus elle se permettait de riposter… Ferait-elle autant la maligne si un accident était arrivé par sa faute ? Certes, ce n’était pas le cas cependant si elle adoptait cette même attitude à l’avenir, qui disait que cela ne risquait pas de se produire ? « Jamais. » Et de son visage impartial, il n’y avait nul doute que Jun Wan ne mentait même pas. L’adolescence qu’elle mentionnait, il ne l’avait certainement pas eu. Coincé la majorité de son temps dans une maison, à effectuer les différentes tâches que son père adoptif lui inculquait, à prendre soin de chaque enfant pour les rassurer, il n’avait eu à aucun moment la possibilité de s’amuser comme tout autre personne de son âge. Les interdits, s’il les franchissait, s’il n’écoutait pas les ordres de ses parents, les punitions reçues n’en étaient que plus cruelles alors, non, il n’avait jamais remis en question ce qu’on lui ordonnait et se contentait de suivre à la lettre ce qu’on lui demandait. La seule et unique fois où il avait osé tenir tête à son patriarche, ne réfléchissant même pas tandis qu’il faisait bouclier entre cette fillette et ce vieux pervers qui souhaitait se la procurer. Être spectateur d’une telle scène, évidemment que le garçon qu’il était n’avait pu rester impassible et il en avait affreusement payé le prix ce jour-là. « Parce que ce n’est pas écrit, c’est une bonne raison de se rendre dans un lieu interdit ?! » Qu’on lui explique car lui ne saisissait pas son raisonnement et encore moins l’audace dont elle faisait preuve. « L’incident aurait pu être beaucoup plus grave ! » Plus grave qu’une misérable blessure au poignet et, en soit, il ne parlait pas pour lui-même, se fichant entièrement de son propre état de santé. Il n’allait pas en mourir, il récupèrerait bien assez vite après avoir mis un peu de place ou quelques jours d’immobilisations si les dégâts étaient plus importants. Ce qui l’énervait était réellement cette foutue insouciance, le fait que la jeune femme ne paraissait même pas s’apercevoir de ses propres fautes et que tout aurait vraiment pu mal se terminer.
@Lim Ha Rin Si Jun Wan s’emportait de cette façon c’était pour l’unique et bonne raison que quelque chose aurait pu arriver. La jeune femme avait eu beaucoup de chance que cela ne s’arrête qu’à une simple bousculade et une faible chute sur l’herbe, en plus du matériel gaspillé – un détail dont le cascadeur ne se souciait guère, des accessoires de peinture pouvaient toujours se racheter. Ce qui n’était pas forcément le cas pour les blessures d’une personne, que cela le concerne lui ou cette inconnue complètement inconsciente. S’il y avait des instructions qui indiquaient un accès interdit, elles n’étaient pas posées là pour faire jolie, il y avait obligatoirement une raison… Et c’était ce qui le mettait sincèrement hors de lui parce que c’était à cause de ce genre d’individu que les accidents sur les lieux de tournage arrivaient le plus souvent. Alors oui, il était en colère et, non, il ne parvenait pas à se calmer même si un membre du staff tentait vainement de le faire descendre d’un cran. La réaction de l’inconnue ne l’aida pas à apaiser les tensions, bien au contraire, son unique envie était de la secouer et tenter de lui faire réaliser son inconscience. N’était-on pas censé s’excuser dans de telles circonstances ? Non pas que Jun Wan attendait vraiment après ses excuses, parce qu’il ne se formalisait de ce genre de détails néanmoins, par respect pour les personnes qui travaillaient, pour celles qui s’étaient données autant de mal, n’était-ce pas la moindre des choses de demander pardon ? Il ne connaissait pas beaucoup de choses sur les formules de politesses toutefois de ce qu’il avait pu remarquer ces dernières années, de ce que lui avait répété son frère également, dans ce genre de situation, on était normalement censé faire profil bas et savoir un minimum où était sa place. Qui était en tort ici ? Certainement pas lui. Après tout, ce n’était pas lui qui n’avait pas respecté les règles et décidé de braver les interdits mais bel et bien cette jeune femme.
« Pardon ? » S’offusqua le cascadeur, une expression glaciale plaquée à sa figure. « Qu’est-ce que j’en ai à foutre de vos affaires ?! C’est vous qui n’aviez rien à faire ici à la base ! » Le culot de cette fille était incroyable, au point où elle parvenait même à faire naître un air choqué sur le visage du garçon. « Pour qui elle se prend celle-là ? » Grommela-t-il pour lui-même, tout en passant nerveusement sa main dans ses cheveux, son collègue à ses côtés essayait vainement dans le calmer sans réussir. A peine l’inconnue ouvrait la bouche qu’elle le mettait hors de lui et lui donnait la véritable envie de l’étriper. Elle avait tort dans cette histoire mais en plus elle se permettait de riposter… Ferait-elle autant la maligne si un accident était arrivé par sa faute ? Certes, ce n’était pas le cas cependant si elle adoptait cette même attitude à l’avenir, qui disait que cela ne risquait pas de se produire ? « Jamais. » Et de son visage impartial, il n’y avait nul doute que Jun Wan ne mentait même pas. L’adolescence qu’elle mentionnait, il ne l’avait certainement pas eu. Coincé la majorité de son temps dans une maison, à effectuer les différentes tâches que son père adoptif lui inculquait, à prendre soin de chaque enfant pour les rassurer, il n’avait eu à aucun moment la possibilité de s’amuser comme tout autre personne de son âge. Les interdits, s’il les franchissait, s’il n’écoutait pas les ordres de ses parents, les punitions reçues n’en étaient que plus cruelles alors, non, il n’avait jamais remis en question ce qu’on lui ordonnait et se contentait de suivre à la lettre ce qu’on lui demandait. La seule et unique fois où il avait osé tenir tête à son patriarche, ne réfléchissant même pas tandis qu’il faisait bouclier entre cette fillette et ce vieux pervers qui souhaitait se la procurer. Être spectateur d’une telle scène, évidemment que le garçon qu’il était n’avait pu rester impassible et il en avait affreusement payé le prix ce jour-là. « Parce que ce n’est pas écrit, c’est une bonne raison de se rendre dans un lieu interdit ?! » Qu’on lui explique car lui ne saisissait pas son raisonnement et encore moins l’audace dont elle faisait preuve. « L’incident aurait pu être beaucoup plus grave ! » Plus grave qu’une misérable blessure au poignet et, en soit, il ne parlait pas pour lui-même, se fichant entièrement de son propre état de santé. Il n’allait pas en mourir, il récupèrerait bien assez vite après avoir mis un peu de place ou quelques jours d’immobilisations si les dégâts étaient plus importants. Ce qui l’énervait était réellement cette foutue insouciance, le fait que la jeune femme ne paraissait même pas s’apercevoir de ses propres fautes et que tout aurait vraiment pu mal se terminer.
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I look inside myself and see my heart is black. I see my red door, I must have it painted black, maybe then I'll fade away and not have to face the facts. It's not easy facing up when your whole world is black. ☾☾
Re: Keep out | Jun wan | Sam 10 Juin 2023 - 3:55 Citer EditerSupprimer
@CHA JUN WANLes lieux interdits, je les ai visités bien malgré moi. Tout d’abord, mon adolescence, l’envie de visiter des lieux où des légendes ou bien des rumeurs étaient intéressantes. Visiter ces endroits pour essayer de se faire peur et de prouver son courage envers les autres copains. Le petit insigne d’accès interdit ne fait pas peur à personne et au contraire, attise davantage la curiosité. Se demandant pour quelle raison de ce refus d’y accéder. Ensuite, lorsque j’étais sans abri, c’étaient ses endroits qui me permettaient de survivre aux froids de l’hiver. Cela me permettait de me couper du froid et de chercher une source de chaleur. Certes, c’est peut-être stupide pour certains, mais lorsque nous n’avions pas le choix, les interdictions et plus encore, n’existe pas. La survie était en jeu. Il avait bien des nuits – qui étaient si froides – que j’aurais pu y passer si je n’avais pas écouté mon bon sens. C’est aussi sur cette logique que je gagne un peu plus ma vie en peignant mes tableaux pour les vendre par la suite. Mes fins de mois ne sont pas très généreuses et mon matériel dispendieux, donc je n’ai pas d’autres choix de continuer ce que je fais pour vendre des tableaux réussis et avoir de l’argent pour vivre adéquatement sans me serrer la ceinture. C’est cette vue qui me permet de gagner un peu plus. Les artistes ne se soucient peu de ces indications. J’aurais peut-être pensé à deux fois si une affiche “lieu de tournage” ou “tournage en cours” était indiquée, mais ce n’est pas le cas. Normalement, ils le font. Pourquoi pas maintenant ?
Suis-je en tort ? Oui, parfaitement. Je peux m’excuser et arrêter de faire des histoires, mais monsieur fait son dramaking pour quelque chose d’insignifiant. Personne n’est blessé - enfin gravement – n'est-ce pas ? Pourquoi en faire tout un plat ? Je ne fais pas de drame concernant mon matériel de peinture. Je ne tombe pas à genoux, je ne me roule pas à terre, je ne pleure pas ni gueuler et plus encore parce que j’ai taché mes vêtements et mon tableau est fichu. Toutefois, monsieur ne comprend pas mon raisonnement et préfère me remettre la faute au visage. Je sais que j’ai fait une erreur, mais ça suffit me pointer du doigt ! J’ai horreur lorsqu’on ne cesse pas de me pointer du doigt pour quelque chose de stupide. Ce n’est pas brillant et alors ? On peut tourner la page et regarder le soleil briller de mille feux ? J’aimerais prendre mes “déchets” avec dignité au lieu qu’on m’enfonce sans cesse et aussi gratuitement. Cet acteur est définitivement une personne malcommode. En tout cas, à part son joli minois, je ne serai certainement pas une de ses fans. Les personnes qui se croient supérieures, se valorisant ou même en jouant la victime, elles sont les plus insupportables. « Chuuuuuuuut. On a compris que je n’ai rien à faire ici, mais vous allez vous calmer ?! » Après, on se demande qui de nous deux est raisonnable. Sur cette pensée, je tourne mes yeux avant de soupirer de plus belle. Je pensais une si belle journée.
« Triste. » Pauvre type. Ne pas avoir eu la chance d’expérimenter son adolescence de cette façon, c’est triste. Je grimace sur ce sujet. Peut-être que c’est un gamin à papa ou je-ne-sais-quoi, mais je m’en fiche. Il a ses raisons d’être “obéissant” envers ses parents. Ceci dit, il n’a pas compris le concept d’artiste. Je regarde les deux autres personnes qui nous accompagnent et je fronce les sourcils. Attends, il blague ? Tout le monde sait que la plupart des lieux interdits sont la plupart du temps ; inédits. Regardez vos fonds d’écrans des montagnes à perte de vues. Est-ce que vous croyez que des photographes ont joliment demandé la permission à qui que ce soit pour prendre cette photo même si les lieux sont interdits ? Non. Même si le danger est quelque part, bien souvent ça devient des œuvres d’art. Enfin, je regarde les deux hommes comme si je cherchais quelqu’un pour m’aider, mais c’est surtout pour observer leurs réactions. Je secoue la tête négativement. Je ne dois pas embarquer sur des explications comme ça si personne ne connaît à la vie d’artiste. Une déception ! « Normalement, on affiche "tournage en cours"... » Fis-je en soupirant avant de secouer la main. « Je suis désolée, ça vous va ? Désolée d’avoir pu blesser votre petit poignet, désolée d’être celle qui vient régulièrement faire une balade dans le coin et de remarquer un accès interdit étrangement à cet endroit. Désolée d’être celle qui vous a freiné dans votre course. Désolée d’être un dommage collatéral et de m’avoir éclaté une fesse sur une pierre. J’en rajoute ? » Dès mes affaires brisées ramasser, je me lève pour partir. « Petit conseil ; descendez de vos grands chevaux. Ça vaut mieux pour votre carrière. Tout mon travail est fichu, contrairement à vous, petite étoile. » Et oui, il va falloir tout racheter et de trouver une nouvelle source d’inspiration.
Pseudo : Lauly
Célébrité : Woo Do Hwan
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Âge : 29
@CHA JUN WANLes lieux interdits, je les ai visités bien malgré moi. Tout d’abord, mon adolescence, l’envie de visiter des lieux où des légendes ou bien des rumeurs étaient intéressantes. Visiter ces endroits pour essayer de se faire peur et de prouver son courage envers les autres copains. Le petit insigne d’accès interdit ne fait pas peur à personne et au contraire, attise davantage la curiosité. Se demandant pour quelle raison de ce refus d’y accéder. Ensuite, lorsque j’étais sans abri, c’étaient ses endroits qui me permettaient de survivre aux froids de l’hiver. Cela me permettait de me couper du froid et de chercher une source de chaleur. Certes, c’est peut-être stupide pour certains, mais lorsque nous n’avions pas le choix, les interdictions et plus encore, n’existe pas. La survie était en jeu. Il avait bien des nuits – qui étaient si froides – que j’aurais pu y passer si je n’avais pas écouté mon bon sens. C’est aussi sur cette logique que je gagne un peu plus ma vie en peignant mes tableaux pour les vendre par la suite. Mes fins de mois ne sont pas très généreuses et mon matériel dispendieux, donc je n’ai pas d’autres choix de continuer ce que je fais pour vendre des tableaux réussis et avoir de l’argent pour vivre adéquatement sans me serrer la ceinture. C’est cette vue qui me permet de gagner un peu plus. Les artistes ne se soucient peu de ces indications. J’aurais peut-être pensé à deux fois si une affiche “lieu de tournage” ou “tournage en cours” était indiquée, mais ce n’est pas le cas. Normalement, ils le font. Pourquoi pas maintenant ?
Suis-je en tort ? Oui, parfaitement. Je peux m’excuser et arrêter de faire des histoires, mais monsieur fait son dramaking pour quelque chose d’insignifiant. Personne n’est blessé - enfin gravement – n'est-ce pas ? Pourquoi en faire tout un plat ? Je ne fais pas de drame concernant mon matériel de peinture. Je ne tombe pas à genoux, je ne me roule pas à terre, je ne pleure pas ni gueuler et plus encore parce que j’ai taché mes vêtements et mon tableau est fichu. Toutefois, monsieur ne comprend pas mon raisonnement et préfère me remettre la faute au visage. Je sais que j’ai fait une erreur, mais ça suffit me pointer du doigt ! J’ai horreur lorsqu’on ne cesse pas de me pointer du doigt pour quelque chose de stupide. Ce n’est pas brillant et alors ? On peut tourner la page et regarder le soleil briller de mille feux ? J’aimerais prendre mes “déchets” avec dignité au lieu qu’on m’enfonce sans cesse et aussi gratuitement. Cet acteur est définitivement une personne malcommode. En tout cas, à part son joli minois, je ne serai certainement pas une de ses fans. Les personnes qui se croient supérieures, se valorisant ou même en jouant la victime, elles sont les plus insupportables. « Chuuuuuuuut. On a compris que je n’ai rien à faire ici, mais vous allez vous calmer ?! » Après, on se demande qui de nous deux est raisonnable. Sur cette pensée, je tourne mes yeux avant de soupirer de plus belle. Je pensais une si belle journée.
« Triste. » Pauvre type. Ne pas avoir eu la chance d’expérimenter son adolescence de cette façon, c’est triste. Je grimace sur ce sujet. Peut-être que c’est un gamin à papa ou je-ne-sais-quoi, mais je m’en fiche. Il a ses raisons d’être “obéissant” envers ses parents. Ceci dit, il n’a pas compris le concept d’artiste. Je regarde les deux autres personnes qui nous accompagnent et je fronce les sourcils. Attends, il blague ? Tout le monde sait que la plupart des lieux interdits sont la plupart du temps ; inédits. Regardez vos fonds d’écrans des montagnes à perte de vues. Est-ce que vous croyez que des photographes ont joliment demandé la permission à qui que ce soit pour prendre cette photo même si les lieux sont interdits ? Non. Même si le danger est quelque part, bien souvent ça devient des œuvres d’art. Enfin, je regarde les deux hommes comme si je cherchais quelqu’un pour m’aider, mais c’est surtout pour observer leurs réactions. Je secoue la tête négativement. Je ne dois pas embarquer sur des explications comme ça si personne ne connaît à la vie d’artiste. Une déception ! « Normalement, on affiche "tournage en cours"... » Fis-je en soupirant avant de secouer la main. « Je suis désolée, ça vous va ? Désolée d’avoir pu blesser votre petit poignet, désolée d’être celle qui vient régulièrement faire une balade dans le coin et de remarquer un accès interdit étrangement à cet endroit. Désolée d’être celle qui vous a freiné dans votre course. Désolée d’être un dommage collatéral et de m’avoir éclaté une fesse sur une pierre. J’en rajoute ? » Dès mes affaires brisées ramasser, je me lève pour partir. « Petit conseil ; descendez de vos grands chevaux. Ça vaut mieux pour votre carrière. Tout mon travail est fichu, contrairement à vous, petite étoile. » Et oui, il va falloir tout racheter et de trouver une nouvelle source d’inspiration.
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Cha Jun Wan
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Re: Keep out | Jun wan | Lun 17 Juil 2023 - 16:17 Citer EditerSupprimer
@Lim Ha Rin Avec son sale caractère, on avait tendance à se méprendre sur façon de penser, et même sa façon d’agir, puis on le prenait pour quelqu’un qu’il n’était pas. Sa froideur n’avait rien d’une arrogance, Jun Wan ne se considérait pas supérieur à qui que ce soit, cependant dans cette situation, oui, il était en colère contre cette femme qui n’avait rien à faire ici. Parce qu’ils auraient tous pu se blesser, parce qu’elle aussi aurait pu grièvement être blessé et qu’elle ne semblait pas vouloir se remettre en question. Qu’était-ce si compliqué à comprendre sur un panneau qui indiquait une interdiction ? Cela ne lui traverserait pas l’esprit d’enfreindre les règles, car le peu de fois où il avait essayé, il en avait atrocement payé le prix. Certes, il ne disait pas ne pas être aventurier néanmoins il réfléchissait toujours à deux fois avant de faire quelque chose, et s’il était en tort dans l’histoire, il ne passait pas des heures à chipoter. Sa colère, le jeune homme ne parvenait à s’en défaire, puisque son interlocutrice ne cessait de hausser le ton, et continuer de le prendre de haut, sans jamais se poser les bonnes questions. Elle l’interrogeait sur son passé, sans rien connaître de son histoire, et Jun Wan y répondit, fidèle à lui-même, par un simple mot. Il ne faisait pas partie de ces personnes qui avaient eu la chance d’avoir une enfance normale, il n’avait jamais connu ces moments d’insouciance, étant obligé de grandir trop vite. Beaucoup trop vite.
En toute franchise, il était quelqu’un de relativement rationnel, capable de prendre du recul puis reconnaître lorsqu’il allait trop loin. Le pourquoi il aurait sûrement pu se calmer, arrêter cette conversation qui menait nulle part, sauf que l’attitude de sa vis-à-vis l’empêchait de se détendre. Au contraire, elle ne faisait que l’agacer un peu plus, et pourtant il fallait énormément pour faire sortir ce garçon de ses gongs. « Mais à un moment, votre travail vous ne vous en prenez qu’à vous-même ! » Qui était-elle pour tenter de le culpabiliser, quand elle était clairement celle en tort ? Un soupir traversa ses lèvres, tandis qu’il continuait de se masser discrètement le poignet, non pas sans l’observer discrètement du coin de l’œil. Parce qu’elle avait mentionné s’être fait mal, et que c’était la raison principale de son énervement : le fait que, par sa stupidité, quelqu’un aurait réellement pu en payer le prix. Il ne parlait pas pour lui-même, ni pour sa blessure futile à la main – cette dernière serait soignée en quelques jours – mais bien des autres. « De toute manière, on ne fait que tourner en rond. Prenez simplement vos affaires et allez-vous-en. » Il n’avait plus envie de se prendre la tête, il en avait assez de cette discussion de sourd ; cette femme et lui n’étaient pas fait pour s’entendre, voilà tout.
@Lim Ha Rin Avec son sale caractère, on avait tendance à se méprendre sur façon de penser, et même sa façon d’agir, puis on le prenait pour quelqu’un qu’il n’était pas. Sa froideur n’avait rien d’une arrogance, Jun Wan ne se considérait pas supérieur à qui que ce soit, cependant dans cette situation, oui, il était en colère contre cette femme qui n’avait rien à faire ici. Parce qu’ils auraient tous pu se blesser, parce qu’elle aussi aurait pu grièvement être blessé et qu’elle ne semblait pas vouloir se remettre en question. Qu’était-ce si compliqué à comprendre sur un panneau qui indiquait une interdiction ? Cela ne lui traverserait pas l’esprit d’enfreindre les règles, car le peu de fois où il avait essayé, il en avait atrocement payé le prix. Certes, il ne disait pas ne pas être aventurier néanmoins il réfléchissait toujours à deux fois avant de faire quelque chose, et s’il était en tort dans l’histoire, il ne passait pas des heures à chipoter. Sa colère, le jeune homme ne parvenait à s’en défaire, puisque son interlocutrice ne cessait de hausser le ton, et continuer de le prendre de haut, sans jamais se poser les bonnes questions. Elle l’interrogeait sur son passé, sans rien connaître de son histoire, et Jun Wan y répondit, fidèle à lui-même, par un simple mot. Il ne faisait pas partie de ces personnes qui avaient eu la chance d’avoir une enfance normale, il n’avait jamais connu ces moments d’insouciance, étant obligé de grandir trop vite. Beaucoup trop vite.
En toute franchise, il était quelqu’un de relativement rationnel, capable de prendre du recul puis reconnaître lorsqu’il allait trop loin. Le pourquoi il aurait sûrement pu se calmer, arrêter cette conversation qui menait nulle part, sauf que l’attitude de sa vis-à-vis l’empêchait de se détendre. Au contraire, elle ne faisait que l’agacer un peu plus, et pourtant il fallait énormément pour faire sortir ce garçon de ses gongs. « Mais à un moment, votre travail vous ne vous en prenez qu’à vous-même ! » Qui était-elle pour tenter de le culpabiliser, quand elle était clairement celle en tort ? Un soupir traversa ses lèvres, tandis qu’il continuait de se masser discrètement le poignet, non pas sans l’observer discrètement du coin de l’œil. Parce qu’elle avait mentionné s’être fait mal, et que c’était la raison principale de son énervement : le fait que, par sa stupidité, quelqu’un aurait réellement pu en payer le prix. Il ne parlait pas pour lui-même, ni pour sa blessure futile à la main – cette dernière serait soignée en quelques jours – mais bien des autres. « De toute manière, on ne fait que tourner en rond. Prenez simplement vos affaires et allez-vous-en. » Il n’avait plus envie de se prendre la tête, il en avait assez de cette discussion de sourd ; cette femme et lui n’étaient pas fait pour s’entendre, voilà tout.
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Re: Keep out | Jun wan | Mar 8 Aoû 2023 - 2:35 Citer EditerSupprimer
@CHA JUN WANJe suis au mauvais endroit au mauvais moment. Il ne cesse de me rappeler de mon « erreur ». Je sais, je ne devrais pas être là. Je devrais être à des kilomètres d’ici en train de peinturer ailleurs une vue bien plus intéressante. Je devrais être en train de peinturer une œuvre au lieu de lui faire descendre de son piédestal. En fait, je devrais plutôt être celle qui devrait faire les boutiques et payer au crédit. Quand j’y pense de cette idée, je n'apprécie pas trop. Je pourrais demander un dédommagement, mais je suis celle qui est en tort dans cette histoire. Pas besoin du monde entier pour me le dire, je sais clairement. Je sais que je ne devrais pas être là, mais je ne peux pas ne pas écouter l’appel de l’art. C’est plus fort que moi. En plus, ayant vécu dans la rue, les lieux interdits sont des lieux intéressants. Des pépites. Ça, personne ne comprendra mon point de vue sur ce sujet. Ce n’est pas tous les jours qu’on vit dans la rue et qu’on s’en sort du jour au lendemain.
Et chacun possède son passé ayant des épisodes de dramas. Ce fut mon cas lorsque ma mère s’est mise en couple avec un autre homme et mon père refusait de me garder. Je n'avais pas le choix de la suivre, mais au lieu, je me retrouvais victime d’un complot pour me retrouver seule et démunie. Dans le cas de la petite étoile, il s’est sûrement passé quelque chose dans sa vie. Peut-être un garçon redoutant la colère de ses parents et docilement, il faisait tout ce que ses parents lui dictaient de faire. D’où le pourquoi, il n’a pas cette idée de s’aventurer sur des lieux interdits. Alors, c’était un enfant sans histoire et respectant les règles. Quel ennui, d’une certaine façon. L’adolescence, c’est une période où tu te cherches. Tu souhaites être rebelle, etc. Enfin, ça ne surprend pas en le regardant. Il est si coincé, on dirait qu’il a un balai dans le cul.
« Chuuuuuut ! Ce n’est pas vous qui paie difficilement mes comptes. Et on ne refuse pas à l’appel de l’art. » C’est comme le sexe. On prend quand cela arrive. Ça ne se refuse pas ! Il devrait le comprendre, c’est un homme et on sait que les hommes ont un deuxième cerveau, il est au niveau de l’entrejambe. Bref, je ne me fis jamais à mon revenu en tant que prof, j’ai aussi un autre métier sous un autre nom afin de vivre plus facilement. Bon, je suis pauvre peu importe ce que je fais, mais j’ai un appartement contrairement à avant où je ne possédais rien. En tout cas, mes affaires en main, je commence à marcher pour m’éloigner. Je grimace en sortant une douleur sur mon fessier. Ouf ! Je sens que je vais avoir une grosse ecchymose. Je vais avoir du mal à m’asseoir également. Le karma est sans pitié avec moi. « Ouais, ouais, je m’en vais monsieur muscles. Vous dégagez des mauvaises ondes et ce n’est pas bon pour mon inspiration. » D’ailleurs, je m’arrête brusquement avant de prendre mon portable et de prendre plusieurs clichés du paysage : « Ça ne sera pas long, je veux la vue idéale… » J’en abuse un peu, mais au moins, j’ai une dizaine de photo que je pourrais utiliser pour ma prochaine toile. Satisfaite, je fais un gros sourire à tout le monde. « Souris petite étoile, tu vas faire peur à tes futurs fans. » Vite avant de me retrouver avec un soulier derrière la tête !
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@CHA JUN WANJe suis au mauvais endroit au mauvais moment. Il ne cesse de me rappeler de mon « erreur ». Je sais, je ne devrais pas être là. Je devrais être à des kilomètres d’ici en train de peinturer ailleurs une vue bien plus intéressante. Je devrais être en train de peinturer une œuvre au lieu de lui faire descendre de son piédestal. En fait, je devrais plutôt être celle qui devrait faire les boutiques et payer au crédit. Quand j’y pense de cette idée, je n'apprécie pas trop. Je pourrais demander un dédommagement, mais je suis celle qui est en tort dans cette histoire. Pas besoin du monde entier pour me le dire, je sais clairement. Je sais que je ne devrais pas être là, mais je ne peux pas ne pas écouter l’appel de l’art. C’est plus fort que moi. En plus, ayant vécu dans la rue, les lieux interdits sont des lieux intéressants. Des pépites. Ça, personne ne comprendra mon point de vue sur ce sujet. Ce n’est pas tous les jours qu’on vit dans la rue et qu’on s’en sort du jour au lendemain.
Et chacun possède son passé ayant des épisodes de dramas. Ce fut mon cas lorsque ma mère s’est mise en couple avec un autre homme et mon père refusait de me garder. Je n'avais pas le choix de la suivre, mais au lieu, je me retrouvais victime d’un complot pour me retrouver seule et démunie. Dans le cas de la petite étoile, il s’est sûrement passé quelque chose dans sa vie. Peut-être un garçon redoutant la colère de ses parents et docilement, il faisait tout ce que ses parents lui dictaient de faire. D’où le pourquoi, il n’a pas cette idée de s’aventurer sur des lieux interdits. Alors, c’était un enfant sans histoire et respectant les règles. Quel ennui, d’une certaine façon. L’adolescence, c’est une période où tu te cherches. Tu souhaites être rebelle, etc. Enfin, ça ne surprend pas en le regardant. Il est si coincé, on dirait qu’il a un balai dans le cul.
« Chuuuuuut ! Ce n’est pas vous qui paie difficilement mes comptes. Et on ne refuse pas à l’appel de l’art. » C’est comme le sexe. On prend quand cela arrive. Ça ne se refuse pas ! Il devrait le comprendre, c’est un homme et on sait que les hommes ont un deuxième cerveau, il est au niveau de l’entrejambe. Bref, je ne me fis jamais à mon revenu en tant que prof, j’ai aussi un autre métier sous un autre nom afin de vivre plus facilement. Bon, je suis pauvre peu importe ce que je fais, mais j’ai un appartement contrairement à avant où je ne possédais rien. En tout cas, mes affaires en main, je commence à marcher pour m’éloigner. Je grimace en sortant une douleur sur mon fessier. Ouf ! Je sens que je vais avoir une grosse ecchymose. Je vais avoir du mal à m’asseoir également. Le karma est sans pitié avec moi. « Ouais, ouais, je m’en vais monsieur muscles. Vous dégagez des mauvaises ondes et ce n’est pas bon pour mon inspiration. » D’ailleurs, je m’arrête brusquement avant de prendre mon portable et de prendre plusieurs clichés du paysage : « Ça ne sera pas long, je veux la vue idéale… » J’en abuse un peu, mais au moins, j’ai une dizaine de photo que je pourrais utiliser pour ma prochaine toile. Satisfaite, je fais un gros sourire à tout le monde. « Souris petite étoile, tu vas faire peur à tes futurs fans. » Vite avant de me retrouver avec un soulier derrière la tête !
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Re: Keep out | Jun wan | Mer 30 Aoû 2023 - 15:35 Citer EditerSupprimer
@Lim Ha Rin Effectivement, c’était une perte de temps de discuter avec une telle personne qui semblait refuser de reconnaître ses torts. Jun Wan perdait patience cependant il prenait sur lui pour ne pas craquer, il le faisait déjà assez en s’emportant de la sorte. Certainement la raison pour laquelle, il ne s’entêta pas plus longtemps à lui répondre, alors qu’elle mentionnait l’appel de l’art ou dieu ne savait quoi d’autre… Non, le cascadeur n’était pas en mesure de comprendre, parce qu’il n’était pas à sa place et que jamais ça ne lui traverserait l’esprit de franchir les interdits, uniquement pour une vulgaire peinture. Plutôt que s’attarder à discuter, il lui demanda donc de s’en aller, puisqu’il avait bien saisi qu’ils ne faisaient que tourner en rond à cet instant précis. Les paroles de la jeune femme ne l’atteignirent pas, il lui en fallait plus pour l’offenser, hors il était plus dérangé par son attitude. Voilà que maintenant elle prenait des photos, n’en avait-elle pas marre ? C’était clairement un manque de respect toutefois, à nouveau, Jun Wan ne souleva pas, ayant compris qu’essayer de se faire entendre avec une telle énergumène était impossible. Puis, elle avait dit que cela ne serait pas long, il voulait bien patienter mais si elle tardait trop longtemps, il ne se gênerait sûrement pas à la faire décamper par ses propres moyens.
Ne la quittant pas du regard, fidèle à lui-même, il ne mima aucune expression, la fixant simplement en silence, tandis qu’elle lui demandait de sourire. Geste qu’il ne savait pas faire, ou très peu, et la majorité du temps, le garçon ne s’apercevait même pas qu’il souriait… Puis, surtout, il n’était pas cette petite étoile qu’elle mentionnait, il n’avait pas de fans non plus, car son visage n’apparaissait jamais à la caméra. Un détail qu’elle ne pouvait pas deviner, croyant certainement que Jun Wan était acteur, quand il était en réalité seulement cascadeur. Hors, elle n’avait pas besoin de le savoir, ce n’était pas comme s’il se reverrait un jour puis, de toute manière, il ne lui devait rien.
@Lim Ha Rin Effectivement, c’était une perte de temps de discuter avec une telle personne qui semblait refuser de reconnaître ses torts. Jun Wan perdait patience cependant il prenait sur lui pour ne pas craquer, il le faisait déjà assez en s’emportant de la sorte. Certainement la raison pour laquelle, il ne s’entêta pas plus longtemps à lui répondre, alors qu’elle mentionnait l’appel de l’art ou dieu ne savait quoi d’autre… Non, le cascadeur n’était pas en mesure de comprendre, parce qu’il n’était pas à sa place et que jamais ça ne lui traverserait l’esprit de franchir les interdits, uniquement pour une vulgaire peinture. Plutôt que s’attarder à discuter, il lui demanda donc de s’en aller, puisqu’il avait bien saisi qu’ils ne faisaient que tourner en rond à cet instant précis. Les paroles de la jeune femme ne l’atteignirent pas, il lui en fallait plus pour l’offenser, hors il était plus dérangé par son attitude. Voilà que maintenant elle prenait des photos, n’en avait-elle pas marre ? C’était clairement un manque de respect toutefois, à nouveau, Jun Wan ne souleva pas, ayant compris qu’essayer de se faire entendre avec une telle énergumène était impossible. Puis, elle avait dit que cela ne serait pas long, il voulait bien patienter mais si elle tardait trop longtemps, il ne se gênerait sûrement pas à la faire décamper par ses propres moyens.
Ne la quittant pas du regard, fidèle à lui-même, il ne mima aucune expression, la fixant simplement en silence, tandis qu’elle lui demandait de sourire. Geste qu’il ne savait pas faire, ou très peu, et la majorité du temps, le garçon ne s’apercevait même pas qu’il souriait… Puis, surtout, il n’était pas cette petite étoile qu’elle mentionnait, il n’avait pas de fans non plus, car son visage n’apparaissait jamais à la caméra. Un détail qu’elle ne pouvait pas deviner, croyant certainement que Jun Wan était acteur, quand il était en réalité seulement cascadeur. Hors, elle n’avait pas besoin de le savoir, ce n’était pas comme s’il se reverrait un jour puis, de toute manière, il ne lui devait rien.
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