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Et de fil en aiguille | Hakkun & Yujeong
Bae Yu Jeong
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Et de fil en aiguille | Hakkun & Yujeong | Mar 25 Avr - 11:20 Citer EditerSupprimer
Et de fil en aiguille
feat. @Noh Hak Kun
outfit ⏤ Parfois tu te demandes sincèrement comment tu as pu te laisser convaincre que des études de lettres étaient "parfaites" pour toi, et souvent tu te le demandes quand tu passes la porte de l'atelier de couture. Certes, tu aimes lire, mais les livres peuvent-ils combattre ton adoration pour le matériel haut de gamme présent dans cette pièce ? Sans hésitation, non.
Comme à ton habitude, tu es dans les premières à investir l'atelier et tu en profites pour investir ton espace de travail préféré, déposant tes carnets, rouleaux de tissus et autre matériel sur la table en sifflotant un air joyeux. Sans plus t'inquiéter de ce qui t'entoure, tes écouteurs dans les oreilles, tu commences à travailler, épinglant soigneusement ton tissu sur un mannequin, rectifiant certaines notes sur ton croquis. Tu pourrais passer des heures ainsi, à déplacer tes épingles, former les drapés, coller des strass, sans prêter attention au reste du monde. Tu observes ton travail en te tapotant la lèvre avec ton crayon. Mmh, il manque quelque chose. Les tissus ne sont pas bons, ce n'est pas l'effet que tu recherches, et tu n'as rien avec toi qui fasse l'affaire. Heureusement, il y a la réserve ! Vous y stockez toutes vos fins de rouleaux, il y aura peut-être quelque chose qui t'inspirera.
Et effectivement, à peine entrée, ton regard se pose sur un incroyable tissu. Et il y en a bien assez pour l'utiliser à la fois sur ta création et en doublure. Ravie, tu t'empares du rouleau et quittes la pièce. Comme tu es petite et que le rouleau est grand, l'image est comique et tu ne vois absolument pas où tu vas. Et avec tes écouteurs qui en plus t'empêchent d'entendre ce qui se passe autour de toi, il était évident qu'un accident arriverait. Deux têtes en l'air, et hop, ça fait une collision, tu viens de foncer dans quelqu'un. Tu en lâches ton tissu, et lui ses affaires. « Oh non, désolée ! Je ne faisais pas attention. Attendez, je vais vous aider... » Ton regard se pose sur l'objet le plus proche de toi : un carnet de croquis. Curieuse comme tu l'es, et comme il s'est ouvert en tombant, tu ne peux pas t'empêcher de jeter un coup d'oeil en ramassant le carnet, déchiffrant rapidement les notes admirant le croquis. « Oh, c'est magnifique ! Par contre, je ne pense que pas le tissu épinglé donnera l'effet escompté... » Puis tu te rends compte de ton impolitesse incroyable et tu lui rends presque timidement son carnet. « Désolée, je ne voulais pas... » Te mêler de ce qui ne te regarde pas ? Commenter le travail d'un pair ? Regarder son croquis sans autorisation ? Biffez la mention inutile.
Comme à ton habitude, tu es dans les premières à investir l'atelier et tu en profites pour investir ton espace de travail préféré, déposant tes carnets, rouleaux de tissus et autre matériel sur la table en sifflotant un air joyeux. Sans plus t'inquiéter de ce qui t'entoure, tes écouteurs dans les oreilles, tu commences à travailler, épinglant soigneusement ton tissu sur un mannequin, rectifiant certaines notes sur ton croquis. Tu pourrais passer des heures ainsi, à déplacer tes épingles, former les drapés, coller des strass, sans prêter attention au reste du monde. Tu observes ton travail en te tapotant la lèvre avec ton crayon. Mmh, il manque quelque chose. Les tissus ne sont pas bons, ce n'est pas l'effet que tu recherches, et tu n'as rien avec toi qui fasse l'affaire. Heureusement, il y a la réserve ! Vous y stockez toutes vos fins de rouleaux, il y aura peut-être quelque chose qui t'inspirera.
Et effectivement, à peine entrée, ton regard se pose sur un incroyable tissu. Et il y en a bien assez pour l'utiliser à la fois sur ta création et en doublure. Ravie, tu t'empares du rouleau et quittes la pièce. Comme tu es petite et que le rouleau est grand, l'image est comique et tu ne vois absolument pas où tu vas. Et avec tes écouteurs qui en plus t'empêchent d'entendre ce qui se passe autour de toi, il était évident qu'un accident arriverait. Deux têtes en l'air, et hop, ça fait une collision, tu viens de foncer dans quelqu'un. Tu en lâches ton tissu, et lui ses affaires. « Oh non, désolée ! Je ne faisais pas attention. Attendez, je vais vous aider... » Ton regard se pose sur l'objet le plus proche de toi : un carnet de croquis. Curieuse comme tu l'es, et comme il s'est ouvert en tombant, tu ne peux pas t'empêcher de jeter un coup d'oeil en ramassant le carnet, déchiffrant rapidement les notes admirant le croquis. « Oh, c'est magnifique ! Par contre, je ne pense que pas le tissu épinglé donnera l'effet escompté... » Puis tu te rends compte de ton impolitesse incroyable et tu lui rends presque timidement son carnet. « Désolée, je ne voulais pas... » Te mêler de ce qui ne te regarde pas ? Commenter le travail d'un pair ? Regarder son croquis sans autorisation ? Biffez la mention inutile.
Noh Hak Kun
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Re: Et de fil en aiguille | Hakkun & Yujeong | Mar 9 Mai - 18:40 Citer EditerSupprimer
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outfit ⏤ Si un jour on lui avait dit qu’il reprendrait le chemin de l’école, Hak Kun ne l’aurait pas cru. Pourtant, il s’est bel et bien inscrit à l’université pour cette nouvelle rentrée de mars. Il a toujours rêvé de travailler dans la mode, sans s’en donner les moyens. Hak Kun a laissé tomber la cours une fois son diplôme de fin de lycée en poche et il a commencé à travailler pour quitter au plus vite le foyer familial. Il ne supportait plus de vivre avec son père, qui en plus considérait que ce n’est pas la couture qui l’aiderait à gagner sa vie. Il ne l’a jamais dis de vive voix, mais Hak Kun sait très bien qu’il ne supportait juste pas l’idée qu’un de ses fils ai une passion qu’il considérait comme trop féminine. Il a économisé autant qu’il pouvait cette dernière année pour se payer ces études. Ses finances ne sont toujours pas parfaites, car Hak Kun n’est pas économe et il continue de travailler au cinéma quelques soirs par semaines, mais poussé par Soo Bin, il fait enfin un premier pas vers son rêve. Arrivé à l’université depuis seulement quelques jours, il a déjà trouvé son lieu favori : l’atelier. Reproduction à plus grande échelle de la petite pièce de leur appartement où il laisse traîner tissus et créations en cours au grand dam de Soo Bin. Il lui offre certaines pièces qu’il confectionne pour se faire pardonner. Il faut dire qu’elle est sa première source d’inspiration. Quand il a une idée, il débarque parfois de nulle-part et demande à sa petite-amie de prendre ses mesures, ce qui la fait toujours beaucoup rire. Elle dit qu’il a trop d’idées, mais qu’il n’est pas assez organisé. Ce qui est vrai. Il peut délaisser une création pendant des mois et subitement y revenir. Son excuse ? L’inspiration n’est pas linéaire, c’est fluctuant et il peut ne pas avoir d’idées merveilleuses sur le moment, mais une illumination des semaines plus tard. Les meilleures idées sont toujours inopinées. Son idée du moment ? Un bombers, légèrement oversize, pour lui donner un style un peu « boyfriend ». Soo Bin adore lui piquer ses vêtements après tout. Il l’imagine avec des fleurs de cerisier pour décorer les manches des épaules aux poignets, mais… Il hésite sur le tissu.
Perdu dans ses pensées, il ne regardait pas où il allait. Autant, si quelque chose ne l’intéresse pas, Hak Kun ne se gêne pas pour le montrer, mais s’il se prend de passion, il peut très vite être dans son monde. Son carnet à croquis, l’énième du grande collection, et son téléphone portable lui tombent des mains. Son calepin n’est pas grand, mais déjà bien épais de tous les échantillons de tissu et autres matières agrafés sur différentes pages. Il se penche pour ramasse le tissu que la jeune femme a fait tomber et lève la tête à sa remarque. Il aurait pu mal le prendre. Hak Kun est susceptible, mais… La jeune femme a l’air de s’y connaître et ce détail pique sa curiosité. Le carnet est tombé en s’ouvrant à la page du fameux bombers. Un sourire en coin étire les lèvres du jeune homme.
- Non, ce n’est rien.
Il se redresse, le rouleau de tissu toujours dans les mains. Il se rend compte alors que la jeune femme fait bien vingt centimètres de moins que lui et que vu sa taille, le rouleau ne devait pas être des plus pratiques à transporter.
- Tu t'y connais dans le domaine ?
Sa question peut sonner comme un test. Si elle répond que oui, il s’offusquera moins de sa remarque. Il ne prend pas la peine de la vouvoyer non plus. Elle a l'air d'avoir sensiblement le même âge que lui et d'être étudiante.
- Je peux t'aider à porter ça si tu veux.
Hak Kun a parfois des airs de badboy, il n’a pas toujours été des plus fréquentables, surtout au lycée. Il s’est calmé depuis qu’il est avec Soo Bin, mais il n’en oublie pas la galanterie. Encore moins avec une jolie femme. Si Soo Bin pouvait lire dans ses pensées, il se serait déjà pris une tape derrière la tête. Cependant, elle sait qu’il ne trouvera jamais aucune femme plus belle qu’elle. Il est passionnément et irrémédiablement amoureux.
Perdu dans ses pensées, il ne regardait pas où il allait. Autant, si quelque chose ne l’intéresse pas, Hak Kun ne se gêne pas pour le montrer, mais s’il se prend de passion, il peut très vite être dans son monde. Son carnet à croquis, l’énième du grande collection, et son téléphone portable lui tombent des mains. Son calepin n’est pas grand, mais déjà bien épais de tous les échantillons de tissu et autres matières agrafés sur différentes pages. Il se penche pour ramasse le tissu que la jeune femme a fait tomber et lève la tête à sa remarque. Il aurait pu mal le prendre. Hak Kun est susceptible, mais… La jeune femme a l’air de s’y connaître et ce détail pique sa curiosité. Le carnet est tombé en s’ouvrant à la page du fameux bombers. Un sourire en coin étire les lèvres du jeune homme.
- Non, ce n’est rien.
Il se redresse, le rouleau de tissu toujours dans les mains. Il se rend compte alors que la jeune femme fait bien vingt centimètres de moins que lui et que vu sa taille, le rouleau ne devait pas être des plus pratiques à transporter.
- Tu t'y connais dans le domaine ?
Sa question peut sonner comme un test. Si elle répond que oui, il s’offusquera moins de sa remarque. Il ne prend pas la peine de la vouvoyer non plus. Elle a l'air d'avoir sensiblement le même âge que lui et d'être étudiante.
- Je peux t'aider à porter ça si tu veux.
Hak Kun a parfois des airs de badboy, il n’a pas toujours été des plus fréquentables, surtout au lycée. Il s’est calmé depuis qu’il est avec Soo Bin, mais il n’en oublie pas la galanterie. Encore moins avec une jolie femme. Si Soo Bin pouvait lire dans ses pensées, il se serait déjà pris une tape derrière la tête. Cependant, elle sait qu’il ne trouvera jamais aucune femme plus belle qu’elle. Il est passionnément et irrémédiablement amoureux.
Still into you
“I should be over all the butterflies, but I'm into you and, baby, even on our worst nights, I'm into you. Let 'em wonder how we got this far, 'Cause I don't really need to wonder at all...”
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Re: Et de fil en aiguille | Hakkun & Yujeong | Mar 16 Mai - 20:50 Citer EditerSupprimer
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outfit ⏤ Pas le temps de reprendre tes esprit que ton regard est attiré tel un aimant par le carnet ouvert sur le sol. Le croquis est beau, la coupe du modèle est intéressante et ses tissus sont beaux, mais rien qu'à la maille tu vois bien que ça ne donnera pas l'effet escompté. Les mots t'échappent et tu t'excuses presque instantanément pour ton commentaire. Personnellement, tu aurais détesté qu'on critique ainsi ton travail, même si la personne a raison et que tu aurais fini par l'admettre.
Tu te relèves donc, lui tendant presque timidement son carnet. Il n'a pas l'air particulièrement vexé par ta remarque, il est même en train de sourire, ce qui te permet de te détendre un peu. À sa question, tu es prise par surprise et tu clignes des yeux, un instant confuse. Tu es... dans un atelier de couture. Avec un rouleau de tissu dans les mains. À la sortie de la réserve à tissu. Avec un bracelet porte-épingles autour du poignet. « Heu... je suppose qu'on peut dire ça, oui. » Tu couds depuis presque quinze ans, en tout cas, et la majorité de ta garde-robe a été confectionnée par tes soins.
Face à sa proposition de transporter l'imposant rouleau de tissu, tu hésites une seconde avant de doucement hocher la tête. « Ce serait adorable de ta part ! Tu ne fonceras dans personne, toi, au moins... » En même temps, quand tu fais la taille dudit rouleau... tu le guides donc jusqu'à ta table de travail et les monceaux de matériel déjà étalés, ton mannequin et ton tissu à moitié épinglé. Attrapant le tissu que... tiens, tu ne connais même pas son nom- truc, donc, a gentiment transporté pour toi, tu viens le placer à côté du mannequin et de la toile que tu as déjà commencé à épingler, en équilibre contre le bras de bois, avant de reculer de quelques pas. « Oh mon dieu oui, il sera parfait ! » C'était donc bien LA pépite dont tu avais besoin. Machinalement, tu te tournes vers ton camarade. « Qu'est-ce que tu en pen... oh pardon, je ne devrais pas t'embêter avec ça, tu as certainement du travail aussi. Vraiment désolée, j'ai tendance à me perdre quand je couds. » Tu laisses échapper un petit rire gêné alors que tu passes ta main dans tes cheveux, remettant en place tes mèches dérangées par votre collision. « Au fait ! Moi c'est Yu Jeong. Merci beaucoup pour ton aide, et encore désolée pour mon commentaire déplacé, je ne voulais pas critiquer ton travail... le modèle est magnifique en tout cas ! » Tu espères être dans les parages quand il le travaillera ou l'achèvera, tu veux voir ce que ça donne, même si tu es sincèrement dubitative sur les tissus épinglés.
Le modèle sur lequel Yujie travaille : www.
Tu te relèves donc, lui tendant presque timidement son carnet. Il n'a pas l'air particulièrement vexé par ta remarque, il est même en train de sourire, ce qui te permet de te détendre un peu. À sa question, tu es prise par surprise et tu clignes des yeux, un instant confuse. Tu es... dans un atelier de couture. Avec un rouleau de tissu dans les mains. À la sortie de la réserve à tissu. Avec un bracelet porte-épingles autour du poignet. « Heu... je suppose qu'on peut dire ça, oui. » Tu couds depuis presque quinze ans, en tout cas, et la majorité de ta garde-robe a été confectionnée par tes soins.
Face à sa proposition de transporter l'imposant rouleau de tissu, tu hésites une seconde avant de doucement hocher la tête. « Ce serait adorable de ta part ! Tu ne fonceras dans personne, toi, au moins... » En même temps, quand tu fais la taille dudit rouleau... tu le guides donc jusqu'à ta table de travail et les monceaux de matériel déjà étalés, ton mannequin et ton tissu à moitié épinglé. Attrapant le tissu que... tiens, tu ne connais même pas son nom- truc, donc, a gentiment transporté pour toi, tu viens le placer à côté du mannequin et de la toile que tu as déjà commencé à épingler, en équilibre contre le bras de bois, avant de reculer de quelques pas. « Oh mon dieu oui, il sera parfait ! » C'était donc bien LA pépite dont tu avais besoin. Machinalement, tu te tournes vers ton camarade. « Qu'est-ce que tu en pen... oh pardon, je ne devrais pas t'embêter avec ça, tu as certainement du travail aussi. Vraiment désolée, j'ai tendance à me perdre quand je couds. » Tu laisses échapper un petit rire gêné alors que tu passes ta main dans tes cheveux, remettant en place tes mèches dérangées par votre collision. « Au fait ! Moi c'est Yu Jeong. Merci beaucoup pour ton aide, et encore désolée pour mon commentaire déplacé, je ne voulais pas critiquer ton travail... le modèle est magnifique en tout cas ! » Tu espères être dans les parages quand il le travaillera ou l'achèvera, tu veux voir ce que ça donne, même si tu es sincèrement dubitative sur les tissus épinglés.
Le modèle sur lequel Yujie travaille : www.
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Re: Et de fil en aiguille | Hakkun & Yujeong | Lun 29 Mai - 19:24 Citer EditerSupprimer
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outfit ⏤ La question peut sembler idiote. La jeune femme coche toute les case pour être une parfaite petite fée couturière. Cependant, sur le moment, Hak Kun n’a pas fait attention au paraître. C’est la remarque de l’étudiante qui l’a fait tiquer. Il ne l’a pas mal pris, du moins pas encore. Si elle s’y connaît dans le domaine, il acceptera davantage la critique. Il a tout de même son caractère, il ne cède pas aussi facilement. Pas sans défendre ses idées avant.
- Il faudrait peut-être éviter une nouvelle collision effectivement, tous ne seront pas aussi sympathique que moi. Tu peux me tenir ça ? joignant un geste à sa question, il tend son carnet et ses affaires à la jeune femme.
Hak Kun et son numéro de charme… Il ne peut pas s’en empêcher, même s’il n’a aucune mauvaise intention. Il aime juste plaisanter. Il est en couple et parfaitement heureux, n’en doutez pas. Par contre, si un homme se comporte de la même façon avec Soo Bin, il serait le premier à faire la tête. L’esprit de contraction est souvent présent chez Hak Kun. Tout gentleman qu’il est -pas toujours-, Hak Kun transporte le rouleau de tissu jusqu’à l’un des ateliers. Au moins, il profite d’une visite guidée. Il risque de passer pas mal de son temps libre dans les environs. Le tissu est à peine posé, la jeune femme s’affaire déjà autour d’un mannequin. Puisqu’elle s’est permise de faire une remarque sur son travail, il peut bien observer le sien ? Il ne se serait pas gêné, même dans le cas contraire, on s’entend.
- Je n’ai rien d’extrêmement urgent à faire. Le tissu est joli. C’est original. J’aime beaucoup l’idée que tu as eu pour le décolleté et le tour de cou.
La jeune femme se présente enfin. Il faut dire qu’Hak Kun ne lui a pas donné son prénom non plus. Il récupère son carnet de Yu Jeong -il connaît son prénom maintenant- a posé sur une des tables pour aller récupérer son tissu.
- Et moi c’est Hak Kun. Ne t’en fais pas pour ça… Mais tu pourrais peut-être m’expliquer pourquoi tu penses que ça n’irait pas ? Je suis curieux de connaître les détails.
Non seulement parce que si elle a raison, cela pourrait lui permettre d’avancer, mais c’est aussi sa façon de la mettre au défi. Il jugera ensuite s’il accepte de lui faire confiance ou non.
- Je viens d’arriver à l’université. Je ne connais pas trop les locaux encore. Pour me remercier tu pourrais peut-être me faire visiter les environs ? Je suis en étude de stylisme, je pense que je vais passer pas mal de temps à fureter dans les ateliers et les réserves. D’ailleurs, tu fais ça juste pour le plaisir ou tu prépares un diplôme aussi ? En tout cas, vu ton modèle, tu as largement les capacités pour tirer ton épingle du jeu dans le domaine.
- Il faudrait peut-être éviter une nouvelle collision effectivement, tous ne seront pas aussi sympathique que moi. Tu peux me tenir ça ? joignant un geste à sa question, il tend son carnet et ses affaires à la jeune femme.
Hak Kun et son numéro de charme… Il ne peut pas s’en empêcher, même s’il n’a aucune mauvaise intention. Il aime juste plaisanter. Il est en couple et parfaitement heureux, n’en doutez pas. Par contre, si un homme se comporte de la même façon avec Soo Bin, il serait le premier à faire la tête. L’esprit de contraction est souvent présent chez Hak Kun. Tout gentleman qu’il est -pas toujours-, Hak Kun transporte le rouleau de tissu jusqu’à l’un des ateliers. Au moins, il profite d’une visite guidée. Il risque de passer pas mal de son temps libre dans les environs. Le tissu est à peine posé, la jeune femme s’affaire déjà autour d’un mannequin. Puisqu’elle s’est permise de faire une remarque sur son travail, il peut bien observer le sien ? Il ne se serait pas gêné, même dans le cas contraire, on s’entend.
- Je n’ai rien d’extrêmement urgent à faire. Le tissu est joli. C’est original. J’aime beaucoup l’idée que tu as eu pour le décolleté et le tour de cou.
La jeune femme se présente enfin. Il faut dire qu’Hak Kun ne lui a pas donné son prénom non plus. Il récupère son carnet de Yu Jeong -il connaît son prénom maintenant- a posé sur une des tables pour aller récupérer son tissu.
- Et moi c’est Hak Kun. Ne t’en fais pas pour ça… Mais tu pourrais peut-être m’expliquer pourquoi tu penses que ça n’irait pas ? Je suis curieux de connaître les détails.
Non seulement parce que si elle a raison, cela pourrait lui permettre d’avancer, mais c’est aussi sa façon de la mettre au défi. Il jugera ensuite s’il accepte de lui faire confiance ou non.
- Je viens d’arriver à l’université. Je ne connais pas trop les locaux encore. Pour me remercier tu pourrais peut-être me faire visiter les environs ? Je suis en étude de stylisme, je pense que je vais passer pas mal de temps à fureter dans les ateliers et les réserves. D’ailleurs, tu fais ça juste pour le plaisir ou tu prépares un diplôme aussi ? En tout cas, vu ton modèle, tu as largement les capacités pour tirer ton épingle du jeu dans le domaine.
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Re: Et de fil en aiguille | Hakkun & Yujeong | Mar 13 Juin - 11:36 Citer EditerSupprimer
Et de fil en aiguille
feat. @Noh Hak Kun
outfit ⏤ Vous êtes à peine revenus à l'atelier que déjà tu t'extasies sur ta trouvaille, admirant le tissu gentiment rapporté par tu-ne-connais-toujours-pas-son-nom, imaginant déjà les modifications que tu vas apporter à ta pièce pour utiliser au mieux ton nouveau rouleau. Tu n'es nullement dérangée quand tu le vois observer le fruit de ton travail, après tout c'est de bonne guerre puisque tu as regardé le sien, et de toute manière tu as toujours encouragé la curiosité artistique.
À ses mots, tu rayonnes tel un petit soleil. Tu adores avoir l'avis de tes camarades sur tes créations, qu'ils soient positifs ou négatifs, parce que tous les points de vue sont à prendre en compte. Évidemment, tu n'es qu'un être humain, tu préfères de loin les critiques positives, mais tu es depuis assez longtemps dans le domaine, tu as appris à avaler la pilule et prendre en compte les retours négatifs que l'on peut parfois te faire. « Merci ! C'est pour un défi sur le thème de l'illusion. Je suis partie sur une pièce qui donne l'impression d'être composée, mais en réalité ce n'en est qu'une seule. » Tout en parlant, tu écartes quelques ourlets pour lui montrer les jonctions cousues, l'art délicat de la couture cachée. Tu laisses échapper un soupir de satisfaction alors que tu joues distraitement avec un ourlet. « Avec ce tissu, ça va être incroyable... je compte l'utiliser en doublure, et sur les pièces de détail. » Tu as beau coudre depuis des années, tu ne t'es pas encore débarrassée de ton "jargon fait maison", qui à tes oreilles fait bien plus sens que le jargon professionnel parfois très... très opaque. L'important, c'est qu'on comprenne, c'est ton crédo.
Hak Kun. C'est joli comme prénom ! Tu ne l'avais encore jamais entendu. À sa question, tu te dandines un peu sur tes pieds, soudain hésitante. Tu as peur que ta réponse ne lui convienne pas. « Eh bien... le tissu dans ton carnet semble très fluide et très fragile. Or ce genre de veste demande une certaine... comment dire... raideur dans le tissu ? On peut utiliser un tissu fluide, bien sûr, mais il faut que sa maille soit un peu plus rigide et surtout qu'il supporte l'élasticité du bord-côte. Ta veste n'aura pas beaucoup de forme si tu utilises un tissu qui ne tient pas un minimum de lui-même. » Après, il ne recherche peut-être pas la forme traditionnel de ce type de veste. Mais outre la fluidité, c'est vraiment la fragilité du tissu qui t'inquiète. Si tu as bien lu ses notes, les bas de manche seront dans un tissu extensible, et c'est là que tu as peur que ça abîme le tissu rapidement. « Mais si ce tissu te tient vraiment à coeur, il y a certainement moyen d'utiliser une doublure plus rigide pour quand même avoir la forme, mais je n'ai jamais essayé, je ne garantis pas le résultat que ça pourrait donner... » Tu espères que tes explications ne sont pas trop confuses et que ce tu expliques fait sens. Tu es une passionnée, mais tu as toujours eu du mal à mettre en mots ce que tes doigts font par eux-mêmes.
Un nouveau ? Tu es toujours ravie d'accueillir une nouvelle tête au sein du cursus de stylisme et modélisme. Et comme chaque fois qu'on te complimente sur tes compétences, tes joues rosissent. « M-merci ! Oui, c'est pour le diplôme... Je suis en arts du spectacle, spécialité techniques de l'habillage, mais j'ai beaucoup de cours en commun avec les stylistes et modélistes ! On ne se croisera probablement pas en cours comme je suis en deuxième année, mais je squatte souvent les ateliers. » Pour ne pas dire que tu y passes la majeure partie de ton temps en journée. Tu profites pleinement de tout le matériel de pointe mis à disposition pour avancer dans tes projets et ne plus avoir que des finitions ou du travail manuel à faire le soir, ton but étant aussi de pouvoir passer du temps avec ton fils. « Va pour une visite guidée ! C'est vrai qu'on se perd vite ici, il y a tellement de couloirs et de salles et de trucs qui se ressemblent... même aujourd'hui je me perds encore parfois... » Attrapant ton sac à main et ton téléphone, parce que si tu n'as aucun problème à laisser tout ton barda sur ta place de travail, pas question de laisser ton téléphone à la vue de tous (tes photos d'Eunji sont trop précieuses), tu désignes à Hakkun l'espace disponible. « Dépose tes affaires et ton matériel si tu veux, personne n'y touchera. » Puis tu le guides en-dehors de l'atelier, commençant à lui présenter les différentes salles, le matériel, tout ce que Yonsei met à votre disposition, les petites coutumes des apprentis couturiers que vous êtes. « Et sinon, ça fait longtemps que tu couds ? En tout cas ça fait plaisir de voir un mec dans le cursus, ça change un peu. » C'est quelque chose que tu s toujours trouvé assez drôle, et qui s'applique à plein de domaines. La couture, c'est étrangement associé aux femmes, mais dès qu'il s'agit de haute couture, du business de la paillette et des stars, subitement ce sont des hommes qui sont sous les projecteurs. Pareil avec l'équitation, quand on y pense... enfin bref. Tu ne t'étonnes même plus de ce gnre de chose. « Bon, par contre, tu risques de te faire assaillir de demandes d'aide pour quand il faudra créer des pièces masculines, je te préviens ! » Un mannequin en tissu, c'est bien, mais un mannequin vivant, c'est encore mieux !
À ses mots, tu rayonnes tel un petit soleil. Tu adores avoir l'avis de tes camarades sur tes créations, qu'ils soient positifs ou négatifs, parce que tous les points de vue sont à prendre en compte. Évidemment, tu n'es qu'un être humain, tu préfères de loin les critiques positives, mais tu es depuis assez longtemps dans le domaine, tu as appris à avaler la pilule et prendre en compte les retours négatifs que l'on peut parfois te faire. « Merci ! C'est pour un défi sur le thème de l'illusion. Je suis partie sur une pièce qui donne l'impression d'être composée, mais en réalité ce n'en est qu'une seule. » Tout en parlant, tu écartes quelques ourlets pour lui montrer les jonctions cousues, l'art délicat de la couture cachée. Tu laisses échapper un soupir de satisfaction alors que tu joues distraitement avec un ourlet. « Avec ce tissu, ça va être incroyable... je compte l'utiliser en doublure, et sur les pièces de détail. » Tu as beau coudre depuis des années, tu ne t'es pas encore débarrassée de ton "jargon fait maison", qui à tes oreilles fait bien plus sens que le jargon professionnel parfois très... très opaque. L'important, c'est qu'on comprenne, c'est ton crédo.
Hak Kun. C'est joli comme prénom ! Tu ne l'avais encore jamais entendu. À sa question, tu te dandines un peu sur tes pieds, soudain hésitante. Tu as peur que ta réponse ne lui convienne pas. « Eh bien... le tissu dans ton carnet semble très fluide et très fragile. Or ce genre de veste demande une certaine... comment dire... raideur dans le tissu ? On peut utiliser un tissu fluide, bien sûr, mais il faut que sa maille soit un peu plus rigide et surtout qu'il supporte l'élasticité du bord-côte. Ta veste n'aura pas beaucoup de forme si tu utilises un tissu qui ne tient pas un minimum de lui-même. » Après, il ne recherche peut-être pas la forme traditionnel de ce type de veste. Mais outre la fluidité, c'est vraiment la fragilité du tissu qui t'inquiète. Si tu as bien lu ses notes, les bas de manche seront dans un tissu extensible, et c'est là que tu as peur que ça abîme le tissu rapidement. « Mais si ce tissu te tient vraiment à coeur, il y a certainement moyen d'utiliser une doublure plus rigide pour quand même avoir la forme, mais je n'ai jamais essayé, je ne garantis pas le résultat que ça pourrait donner... » Tu espères que tes explications ne sont pas trop confuses et que ce tu expliques fait sens. Tu es une passionnée, mais tu as toujours eu du mal à mettre en mots ce que tes doigts font par eux-mêmes.
Un nouveau ? Tu es toujours ravie d'accueillir une nouvelle tête au sein du cursus de stylisme et modélisme. Et comme chaque fois qu'on te complimente sur tes compétences, tes joues rosissent. « M-merci ! Oui, c'est pour le diplôme... Je suis en arts du spectacle, spécialité techniques de l'habillage, mais j'ai beaucoup de cours en commun avec les stylistes et modélistes ! On ne se croisera probablement pas en cours comme je suis en deuxième année, mais je squatte souvent les ateliers. » Pour ne pas dire que tu y passes la majeure partie de ton temps en journée. Tu profites pleinement de tout le matériel de pointe mis à disposition pour avancer dans tes projets et ne plus avoir que des finitions ou du travail manuel à faire le soir, ton but étant aussi de pouvoir passer du temps avec ton fils. « Va pour une visite guidée ! C'est vrai qu'on se perd vite ici, il y a tellement de couloirs et de salles et de trucs qui se ressemblent... même aujourd'hui je me perds encore parfois... » Attrapant ton sac à main et ton téléphone, parce que si tu n'as aucun problème à laisser tout ton barda sur ta place de travail, pas question de laisser ton téléphone à la vue de tous (tes photos d'Eunji sont trop précieuses), tu désignes à Hakkun l'espace disponible. « Dépose tes affaires et ton matériel si tu veux, personne n'y touchera. » Puis tu le guides en-dehors de l'atelier, commençant à lui présenter les différentes salles, le matériel, tout ce que Yonsei met à votre disposition, les petites coutumes des apprentis couturiers que vous êtes. « Et sinon, ça fait longtemps que tu couds ? En tout cas ça fait plaisir de voir un mec dans le cursus, ça change un peu. » C'est quelque chose que tu s toujours trouvé assez drôle, et qui s'applique à plein de domaines. La couture, c'est étrangement associé aux femmes, mais dès qu'il s'agit de haute couture, du business de la paillette et des stars, subitement ce sont des hommes qui sont sous les projecteurs. Pareil avec l'équitation, quand on y pense... enfin bref. Tu ne t'étonnes même plus de ce gnre de chose. « Bon, par contre, tu risques de te faire assaillir de demandes d'aide pour quand il faudra créer des pièces masculines, je te préviens ! » Un mannequin en tissu, c'est bien, mais un mannequin vivant, c'est encore mieux !
Noh Hak Kun
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Re: Et de fil en aiguille | Hakkun & Yujeong | Mer 19 Juil - 17:25 Citer EditerSupprimer
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Et de fil en aiguille
feat. @Noh Hak Kun
outfit ⏤ C’est plus fort que lui, Hak Kun ne peut pas s’empêcher de jeter un coup d’œil à la création de la jeune femme et donner son avis, même si on ne le lui a pas demandé. Le couturier ne fait pas dans la dentelle, sans mauvais jeux de mots. Il dit ce qu’il pense, si ça ne plaît pas tant pis. Il a bien le droit de ne pas aimer une pièce. Il a aussi le droit d’y mettre les formes, ce qu’il ne fait pas toujours. Alors, quand il dit à Yu Jeong qu’il apprécie son travail, c’est sincère. Il trouve l’idée particulièrement bien trouvée pour le décolleter, ça change. Le tissu est original aussi. Il ne plaira pas à tout le monde, c’est certain, mais un peu d’audace pour renouveler la créativité, ça ne fait pas de mal.
- C’est une bonne idée.
Il écoute attentivement ses explications. Hak Kun ne fait pas non plus semblant de s’intéresser à ce qui l’ennui profondément. Le projet de Yu Jeong a piqué sa curiosité… Suffisamment pour ne pas s’offusquer lorsque la jeune femme lui donne son avis au sujet de la veste dessinée dans son carnet. Enfin, surtout le tissu épinglé pour la réaliser. Il la juge légitime de pouvoir donner son avis. Oui, il se permet de juger ce critère. Il lui pose lui-même la question en réalité. Il est curieux de savoir ce qu’elle va répondre… C’est un peu un autre test qu’il lui fait passer. Hak Kun adore tester les gens et parfois les mettre dans l’embarras. Surtout quand il trouve que son interlocuteur prend des airs supérieurs et condescendants. C’est sa façon de le faire redescendre sur Terre. Yu Jeong ne lui a pas donné cette impression, alors il n’a pas formulé sa question pour lui causer du tort. Il est sincèrement intrigué.
- Je vois. Je prends note. Je testerai et je pourrais te dire si ça a fonctionné ou pas.
Si le résultat l’intéresse. Yu Jeong a dit elle-même qu’elle n’avait jamais essayé un tel procédé, elle voudrait peut-être savoir ce que cela pourrait donner. C’est toujours intéressant de piocher des idées par-ci, par-là pour des créations futures. Parfois la couture, c’est un peu comme la cuisine, on fait des tests et on voit ce qui est possible ou non. Il y a eu des ratés dans tous les tests que Hak Kun a pu entreprendre dans sa vie en terme de couture, beaucoup. C’est ce qui l’aide à progresser aussi.
Alors comme ça Yu jeong est une sunbae. Elle n’a pas l’air bien vieille pourtant. Elle pourrait avoir son âge ou être plus jeune que lui. Il faut dire qu’Hak Kun a beau être en première année, il se rapproche plus de la trentaine que de la vingtaine. La faute à une reprise d’études tardive.
- Ce doit être intéressant aussi comme cursus.
Yu Jeong aurait pu refuser cette visite guidée pour tout un tas de raison. Elle avait l’air occupée avant qu’il ne débarque, ils ne se connaissent pas… Hak Kun se débarrasse de ses affaires sur une des tables de l’atelier, il ne garde que son téléphone et son porte-feuille dans une poche de sa veste. Puis, il suit la jeune femme dans le couloir. Il aurait très bien pu se débrouiller tout seul, mais c’est l’occasion de faire connaissance.
- Je ne sais plus exactement… J’ai toujours vu ma mère coudre et ça m’intriguais. Je crois que j’ai toujours voulu l’imiter, ce que je n’avais pas le droit de faire quand j’étais enfant pour des raisons évidentes de sécurités.
Ne demandez pas comment c’est arrivé, mais Hak Kun s’est déjà piqué le droit avec l’aiguille de la machine et c’est arrivé alors qu’il était adulte, il a manqué de prudence. Alors imaginé s’il était plus jeune.
- Je crois qu’elle a commencé à m’apprendre quand j’avais sept ou huit ans.
Ce que son père n’appréciait pas trop… Son fils aîné qui perdait du temps dans une activité aussi futile et féminine… Heureusement que sa maman n’a pas abandonné l’idée de lui apprendre à coudre. Ce n’est pas comme si elle lui imposait, Hak Kun le réclamait lui-même.
- C’est vrai que je n’en ai pas croisé beaucoup, mais ça ne me dérange pas d’être une spécimen unique, dit-il avec son éternel sourire mutin aux coins des lèvres. Si tu as besoin d’un mannequin, n’hésite pas à me demander, tu auras la priorité.
Yu Jeong va définitivement finir par croire qu’il flirt avec elle. Alors que ce n’est absolument pas le cas. Enfin, Hak Kun est charmeur, on ne peut pas le nier, mais c’est tout à fait innocent. Il est en couple, fidèle et amoureux. Il aime juste taquiner et jouer de ses charmes, il faut bien le reconnaître. Il apprécie Yu Jeong aussi, bien qu’il la connaisse à peine. Elle a l’air sympathique et bonne couturière. Si un jour elle a besoin d’un mannequin masculin, il peut bien lui rendre service le temps des essayage, pour prendre des mesures ou bâtir le projet avant de passer à la couture.
- Qu’est-ce que tu préfères coudre ? il demande, alors qu’ils tournent au coin d’un couloir.
Hak Kun suit Yu Jeong entre les différentes salles et ateliers. Ça le change de la petite pièce où il entrepose son bazar dans leur appartement. Il faut dire qu’avec la couture, il y a rapidement du tissu et autre accessoire un peu partout. Hak Kun a tendance à vouloir acheter beaucoup de choses en ayant une idée sur le coup, ou pas parfois, mais il remet la réalisation à plus tard, car il entreprend trop de choses en même temps...
- C’est une bonne idée.
Il écoute attentivement ses explications. Hak Kun ne fait pas non plus semblant de s’intéresser à ce qui l’ennui profondément. Le projet de Yu Jeong a piqué sa curiosité… Suffisamment pour ne pas s’offusquer lorsque la jeune femme lui donne son avis au sujet de la veste dessinée dans son carnet. Enfin, surtout le tissu épinglé pour la réaliser. Il la juge légitime de pouvoir donner son avis. Oui, il se permet de juger ce critère. Il lui pose lui-même la question en réalité. Il est curieux de savoir ce qu’elle va répondre… C’est un peu un autre test qu’il lui fait passer. Hak Kun adore tester les gens et parfois les mettre dans l’embarras. Surtout quand il trouve que son interlocuteur prend des airs supérieurs et condescendants. C’est sa façon de le faire redescendre sur Terre. Yu Jeong ne lui a pas donné cette impression, alors il n’a pas formulé sa question pour lui causer du tort. Il est sincèrement intrigué.
- Je vois. Je prends note. Je testerai et je pourrais te dire si ça a fonctionné ou pas.
Si le résultat l’intéresse. Yu Jeong a dit elle-même qu’elle n’avait jamais essayé un tel procédé, elle voudrait peut-être savoir ce que cela pourrait donner. C’est toujours intéressant de piocher des idées par-ci, par-là pour des créations futures. Parfois la couture, c’est un peu comme la cuisine, on fait des tests et on voit ce qui est possible ou non. Il y a eu des ratés dans tous les tests que Hak Kun a pu entreprendre dans sa vie en terme de couture, beaucoup. C’est ce qui l’aide à progresser aussi.
Alors comme ça Yu jeong est une sunbae. Elle n’a pas l’air bien vieille pourtant. Elle pourrait avoir son âge ou être plus jeune que lui. Il faut dire qu’Hak Kun a beau être en première année, il se rapproche plus de la trentaine que de la vingtaine. La faute à une reprise d’études tardive.
- Ce doit être intéressant aussi comme cursus.
Yu Jeong aurait pu refuser cette visite guidée pour tout un tas de raison. Elle avait l’air occupée avant qu’il ne débarque, ils ne se connaissent pas… Hak Kun se débarrasse de ses affaires sur une des tables de l’atelier, il ne garde que son téléphone et son porte-feuille dans une poche de sa veste. Puis, il suit la jeune femme dans le couloir. Il aurait très bien pu se débrouiller tout seul, mais c’est l’occasion de faire connaissance.
- Je ne sais plus exactement… J’ai toujours vu ma mère coudre et ça m’intriguais. Je crois que j’ai toujours voulu l’imiter, ce que je n’avais pas le droit de faire quand j’étais enfant pour des raisons évidentes de sécurités.
Ne demandez pas comment c’est arrivé, mais Hak Kun s’est déjà piqué le droit avec l’aiguille de la machine et c’est arrivé alors qu’il était adulte, il a manqué de prudence. Alors imaginé s’il était plus jeune.
- Je crois qu’elle a commencé à m’apprendre quand j’avais sept ou huit ans.
Ce que son père n’appréciait pas trop… Son fils aîné qui perdait du temps dans une activité aussi futile et féminine… Heureusement que sa maman n’a pas abandonné l’idée de lui apprendre à coudre. Ce n’est pas comme si elle lui imposait, Hak Kun le réclamait lui-même.
- C’est vrai que je n’en ai pas croisé beaucoup, mais ça ne me dérange pas d’être une spécimen unique, dit-il avec son éternel sourire mutin aux coins des lèvres. Si tu as besoin d’un mannequin, n’hésite pas à me demander, tu auras la priorité.
Yu Jeong va définitivement finir par croire qu’il flirt avec elle. Alors que ce n’est absolument pas le cas. Enfin, Hak Kun est charmeur, on ne peut pas le nier, mais c’est tout à fait innocent. Il est en couple, fidèle et amoureux. Il aime juste taquiner et jouer de ses charmes, il faut bien le reconnaître. Il apprécie Yu Jeong aussi, bien qu’il la connaisse à peine. Elle a l’air sympathique et bonne couturière. Si un jour elle a besoin d’un mannequin masculin, il peut bien lui rendre service le temps des essayage, pour prendre des mesures ou bâtir le projet avant de passer à la couture.
- Qu’est-ce que tu préfères coudre ? il demande, alors qu’ils tournent au coin d’un couloir.
Hak Kun suit Yu Jeong entre les différentes salles et ateliers. Ça le change de la petite pièce où il entrepose son bazar dans leur appartement. Il faut dire qu’avec la couture, il y a rapidement du tissu et autre accessoire un peu partout. Hak Kun a tendance à vouloir acheter beaucoup de choses en ayant une idée sur le coup, ou pas parfois, mais il remet la réalisation à plus tard, car il entreprend trop de choses en même temps...
Still into you
“I should be over all the butterflies, but I'm into you and, baby, even on our worst nights, I'm into you. Let 'em wonder how we got this far, 'Cause I don't really need to wonder at all...”
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Re: Et de fil en aiguille | Hakkun & Yujeong | Dim 20 Aoû - 21:53 Citer EditerSupprimer
Et de fil en aiguille
feat. @Noh Hak Kun
outfit ⏤ Devant son appréciation de ton travail et de tes idées, tu rayonnes tel un petit soleil. Il n'y a rien de mieux que l'approbation d'un pair, qu'importe qu'il soit débutant ou grand couturier. Entre vous, vous vous comprenez, c'est naturel.
Tu es rassurée qu'il ne s'offusque pas de tes commentaires et idées concernant son projet de couture, et qu'il semble réellement prendre en compte ce que tu dis. C'est vrai que parfois c'est frustrant de trouver un tissu pour lequel on a un coup de cœur, mais qu'il ne soit pas fait pour le projet qu'on a en tête. Tu l'as vécu bien trop de fois, tu comprends. Et tu t'es bien trop souvent entêtée à vouloir quand même suivre tes idées, pensant pouvoir contourner le problème, tout ça pour finalement juste gâcher du tissu splendide, et avoir un vêtement à peine potable, aux formes étranges, au tombé disgracieux. Tu n'as pas envie qu'il vive la même frustration et déconvenue que toi, juste pour un tissu. « Oh, je serais ravie de voir le résultat final, oui ! » Qui sait, il aura peut-être plus de chance que toi avec tout ça ! En tout cas tu as très envie de voir le passage du croquis sur papier au modèle cousu.
Comme toujours quand tu parles de ton cursus, tu t'emballes un peu trop, et surtout un peu trop vite. Les yeux brillants de fierté et d'amour pour ce que tu fais, tu te mets à babiller. « C'est incroyable ! Les techniques d'habillage scénique sont vraiment différentes des techniques pour les vêtements de tous les jours, ce sont de vrais petits challenges qu'on se lance. » Comme le montre le modèle sur lequel tu travailles actuellement. Clairement, à part pour une soirée à thème ou un gala de luxe, personne ne porterait un truc pareil. C'est trop particulier. « Et toi, tu es dans quelle filière ? Stylisme et modélisme ? »
Devant ses explications de pourquoi il s'est mis à la couture, tu émets un petit rire amusé. Ah oui, tu comprends bien les "raisons de sécurité", tu as eu droit aux mêmes. « J'imagine bien, oui... j'ai souvent essayé d'attraper l'aiguille quand ma grand-mère était en train de coudre. » Plus d'une fois, tu t'es fait taper sur les doigts pour ça. « Oh, c'est jeune encore. Je n'ai pas commencé si tôt... » Tu avais quoi... dix ans peut-être, quand tu as cousu tes premiers points. Absolument pas droits, absolument pas égaux ni tendus, mais tu avais été si fière ! Tu as un sourire nostalgique en y repensant. Quel trajet tu as parcourus depuis...
Tu souris doucement devant sa proposition, tout en continuant à avancer dans les couloirs. C'est plus fort que toi mais tes joues rougissent légèrement. Est-il en train de flirter ? Tu n'es pas certaine. Vous ne vous connaissez que depuis quelques minutes à peine. Puis, s'il flirtait vraiment, tu serais obligée de lui dire que tu n'es pas intéressée. Certes, il est beau, il a une beauté assez iréelle qui t'intrigue, mais tu sens, tu sais qu'il n'est pas pour toi. Même s'il est gentil, il a une aura autour de lui, le genre d'aura un peu trop charismatique et sûr de lui que tu cherches à tout prix à éviter. « Je ne suis pas très douée pour les coupes masculines, mais je ferai appel à toi si besoin ! » Tu ne cracheras pas sur un mannequin de qualité, surtout si tu peux discuter du projet avec lui. « Et pareil si tu as besoin d'un mannequin féminin, alors. »
À sa question, ton pas ralenti légèrement alors que tu réfléchis. Ce que tu préfères coudre ? Dur à dire... « J'adore... coudre des robes. Mais genre, des robes de gala, des robes de princesse à faire pâlir Disney de jalousie... le genre de truc qu'on ne sort de sa garde-robe qu'une fois dans sa vie. » Et des vêtements pour enfants, aussi. Tu adores coudre des modèles miniatures pour ton fils, lui faire des vêtements réellement taillés sur mesure. Mais tu te vois mal expliquer ça à Hakkun, out of the blue, parce que c'est bizarre de dire que l'on aime coudre des vêtements pour enfant comme ça, et tu n'as pas envie de parler d'Eunji dès la première demi-heure. « Sinon je couds beaucoup d'accessoires, des trucs non portables. Des couvertures, des housses de coussins, ce genre de chose... Et toi, dans quoi tu es spécialisé ? » Tu es curieuse, c'est la première fois que tu as l'occasion de discuter avec un couturier de ton âge, qui ne soit pas une tête de pointe dans une grande maison, ou ce genre de chose. Tu parles avec un égal, et ça te plaît. Tu penses que tu pourrais devenir amie avec lui.
Tu continues la visite des diverses salles, lui expliquant un peu tout ce qui te passe par la tête au fur et à mesure que vous vous promenez. « On a beaucoup de matériel à disposition ici mais les plus belles pièces partent toujours très vite... personnellement, j'ai pris l'habitude d'aller faire mon shopping dans une petite mercerie pas loin. Elle n'est pas très connue mais on y trouve de vraies merveilles ! Et à prix abordable. Je te donnerai l'adresse, si ça t'intéresse. » Le summum de l'entente entre couturiers, c'est de se partager ses bonnes adresses, non ?
Tu es rassurée qu'il ne s'offusque pas de tes commentaires et idées concernant son projet de couture, et qu'il semble réellement prendre en compte ce que tu dis. C'est vrai que parfois c'est frustrant de trouver un tissu pour lequel on a un coup de cœur, mais qu'il ne soit pas fait pour le projet qu'on a en tête. Tu l'as vécu bien trop de fois, tu comprends. Et tu t'es bien trop souvent entêtée à vouloir quand même suivre tes idées, pensant pouvoir contourner le problème, tout ça pour finalement juste gâcher du tissu splendide, et avoir un vêtement à peine potable, aux formes étranges, au tombé disgracieux. Tu n'as pas envie qu'il vive la même frustration et déconvenue que toi, juste pour un tissu. « Oh, je serais ravie de voir le résultat final, oui ! » Qui sait, il aura peut-être plus de chance que toi avec tout ça ! En tout cas tu as très envie de voir le passage du croquis sur papier au modèle cousu.
Comme toujours quand tu parles de ton cursus, tu t'emballes un peu trop, et surtout un peu trop vite. Les yeux brillants de fierté et d'amour pour ce que tu fais, tu te mets à babiller. « C'est incroyable ! Les techniques d'habillage scénique sont vraiment différentes des techniques pour les vêtements de tous les jours, ce sont de vrais petits challenges qu'on se lance. » Comme le montre le modèle sur lequel tu travailles actuellement. Clairement, à part pour une soirée à thème ou un gala de luxe, personne ne porterait un truc pareil. C'est trop particulier. « Et toi, tu es dans quelle filière ? Stylisme et modélisme ? »
Devant ses explications de pourquoi il s'est mis à la couture, tu émets un petit rire amusé. Ah oui, tu comprends bien les "raisons de sécurité", tu as eu droit aux mêmes. « J'imagine bien, oui... j'ai souvent essayé d'attraper l'aiguille quand ma grand-mère était en train de coudre. » Plus d'une fois, tu t'es fait taper sur les doigts pour ça. « Oh, c'est jeune encore. Je n'ai pas commencé si tôt... » Tu avais quoi... dix ans peut-être, quand tu as cousu tes premiers points. Absolument pas droits, absolument pas égaux ni tendus, mais tu avais été si fière ! Tu as un sourire nostalgique en y repensant. Quel trajet tu as parcourus depuis...
Tu souris doucement devant sa proposition, tout en continuant à avancer dans les couloirs. C'est plus fort que toi mais tes joues rougissent légèrement. Est-il en train de flirter ? Tu n'es pas certaine. Vous ne vous connaissez que depuis quelques minutes à peine. Puis, s'il flirtait vraiment, tu serais obligée de lui dire que tu n'es pas intéressée. Certes, il est beau, il a une beauté assez iréelle qui t'intrigue, mais tu sens, tu sais qu'il n'est pas pour toi. Même s'il est gentil, il a une aura autour de lui, le genre d'aura un peu trop charismatique et sûr de lui que tu cherches à tout prix à éviter. « Je ne suis pas très douée pour les coupes masculines, mais je ferai appel à toi si besoin ! » Tu ne cracheras pas sur un mannequin de qualité, surtout si tu peux discuter du projet avec lui. « Et pareil si tu as besoin d'un mannequin féminin, alors. »
À sa question, ton pas ralenti légèrement alors que tu réfléchis. Ce que tu préfères coudre ? Dur à dire... « J'adore... coudre des robes. Mais genre, des robes de gala, des robes de princesse à faire pâlir Disney de jalousie... le genre de truc qu'on ne sort de sa garde-robe qu'une fois dans sa vie. » Et des vêtements pour enfants, aussi. Tu adores coudre des modèles miniatures pour ton fils, lui faire des vêtements réellement taillés sur mesure. Mais tu te vois mal expliquer ça à Hakkun, out of the blue, parce que c'est bizarre de dire que l'on aime coudre des vêtements pour enfant comme ça, et tu n'as pas envie de parler d'Eunji dès la première demi-heure. « Sinon je couds beaucoup d'accessoires, des trucs non portables. Des couvertures, des housses de coussins, ce genre de chose... Et toi, dans quoi tu es spécialisé ? » Tu es curieuse, c'est la première fois que tu as l'occasion de discuter avec un couturier de ton âge, qui ne soit pas une tête de pointe dans une grande maison, ou ce genre de chose. Tu parles avec un égal, et ça te plaît. Tu penses que tu pourrais devenir amie avec lui.
Tu continues la visite des diverses salles, lui expliquant un peu tout ce qui te passe par la tête au fur et à mesure que vous vous promenez. « On a beaucoup de matériel à disposition ici mais les plus belles pièces partent toujours très vite... personnellement, j'ai pris l'habitude d'aller faire mon shopping dans une petite mercerie pas loin. Elle n'est pas très connue mais on y trouve de vraies merveilles ! Et à prix abordable. Je te donnerai l'adresse, si ça t'intéresse. » Le summum de l'entente entre couturiers, c'est de se partager ses bonnes adresses, non ?
Noh Hak Kun
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Re: Et de fil en aiguille | Hakkun & Yujeong | Jeu 21 Sep - 10:20 Citer EditerSupprimer
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feat. @Noh Hak Kun
outfit ⏤ Certains vous diront qu’Hak Kun est susceptible et n’accepte pas la critique. Cela peut être vrai, disons qu’il ne l’accepte pas venant de n’importe qui et selon comment c’est dit… Yu Jeong lui a simplement donné un conseil. De plus, elle semble suivre un cursus similaire au sien, ils seront peut-être amenés à se croiser dans les ateliers. Soo Bin serait soulagée de voir qu’il essaie de ne pas se faire d’ennemie dès ses premiers jours, pense-t-il amusé.
- Je pourrais te montrer le résultat final. Et comme tu as commencé à me donner des conseils, si j’ai un autre problème avec cette pièce, il faudra t’attendre à de nouveau être dérangée, il conclut avec un léger sourire taquin.
L’enthousiasme de Yu Jeong le fait sourire. Elle a l’air de se plaire dans son cursus et c’est une bonne chose. Il plains sincèrement tous ceux qui se forcent à suivre des études pour se plier aux exigences de leurs parents, de la société… Alors oui, ils auront peut-être, plus tard, une bonne situation, mais ce n’est pas garantie… Pourquoi bafouer ses principes et sa santé mentale pour des incertitudes ? Du moins, ce n’est pas sa façon de voir les choses. Hak Kun n’a pas hésité à tenir tête à son père, ni à tourner le dos à sa famille pour vivre sa vie comme il l’entend. Il a blessée sa mère dans cette histoire, il le sait. Il ne pouvait pas se résoudre à suivre la vie que son père voulait lui imposer. Il ne supporte pas son paternel et encore moins ses mœurs arriérés. Il se fera un nom dans la mode et il lui prouvera qu’il avait tort.
- C’est ça. Je viens de commencer ma première année.
Malgré son âge qui approche lentement de la trentaine. Il faut dire qu’il a un parcours plutôt… Atypique. Hak Kun a laissé tomber les études après le lycée pour travailler. Il a enchaîné les petits boulots jusqu’à aujourd’hui. Il travaille toujours à côté de ses études, car il n’a pas le choix, mais il reprend son avenir en mains dirons nous.
- Mes débuts en couture ont été progressifs. J’ai commencé jeune, mais ce n’était pas très régulier et ma mère supervisait tout avec beaucoup d’attention. Disons que j’ai commencé à me passionner de couture à cet âge et progressivement j’ai pratiqué plus régulièrement.
Au grand dam de son père… S’il savait qu’Hak Kun s’est inscrit à l’université, il serait certainement fier, jusqu’à ce qu’il sache dans quel domaine… Il n’a plus de contact avec ses parents, alors évidemment, il ne les a pas mis au courant. Hak Kun est certain que sa mère le soutiendrait. Elle n’a jamais cherché à étouffer son intérêt pour la mode, le tissu, la création… Bien au contraire.
Yu Jeong ne se trompe pas. Hak Kun a tendance à flirter naturellement. Il en joue beaucoup. Ce n’est pas pour autant que l’idée de tromper Soo Bin lui traversera l’esprit, il est bien trop amoureux. Il aime juste jouer… Il a déjà été contraint de briser des cœurs, mais Hak Kun n’a pas changé pour autant.
- C’est gentil, il répond avec un sourire.
En général, quand il a besoin d’un mannequin féminin, il demande à Soo Bin. Elle se prête volontiers au jeu.
La réponse de Yu Jeong concernant ce qu’elle préfère coudre ne l’étonne pas tant que ça… Hak Kun trouve que cela va bien à la personnalité qu’elle semble dégager. Il ne peut pas prétendre la connaître, ils ne discutent que depuis quelques minutes, mais c’est ce qu’il ressent.
- Hm… J’aime bien coudre des vêtements féminins, c’est ce qui m’inspire le plus. Et ma petite-amie est ravie de ne pas toujours avoir besoin de faire les boutiques, si elle repère quelque chose qui lui plaît et que je suis capable de faire quelque chose dans le même style, je suis son couturier personnel. En échange, c’est souvent elle qui me sert de cobaye pour les essayages ou pour prendre des mesures quand j’ai besoin d’un modèle. Je ne sais pas si j’ai vraiment de spécialité, j’aime tout tester, différentes coupes, différents types de tissus, différentes pièces… Ce n’est pas toujours une réussite évidemment, mais c’est en faisant des tests et des erreurs qu’on apprend. Je couds aussi des accessoires de temps en temps, des choses qui peuvent être pratiques, mais mon premier amour reste la confection de vêtement je pense, que ce soit les dessiner ou les créer. Parfois mon esprit s’emballe et je me rends compte après le dessin, que tout ne sera techniquement pas possible…
D’autant plus qu’Hak Kun ne prétend pas tout savoir. Il y a des choses qu’il ne sait pas coudre avec ses compétences actuelles, mais il ne demande qu’à apprendre. C’est pour cela qu’il s’est inscrit à l’université après tout.
- Je ne sais pas encore si je préférerai être styliste ou modéliste plus tard… Trouver un poste qui mélange les deux serait l’idéal je pense.
Si Hak Kun va jusqu’au bout de son ambition, il aimerait travailler dans la haute couture et pourquoi pas… Lancer sa propre marque. Il a confiance, avec du travail il peut y arriver, mais il faut laisser du temps au temps.
- Je veux bien l’adresse. C’est toujours utile.
La visite continue et Hak Kun reste attentif, Yu Jeong prend la peine de l’aider à se repérer dans le bâtiment, autant en profiter.
- Et donc plus tard tu voudrais faire quoi ? Créer des costumes pour des grandes productions ? Plutôt au cinéma, au théâtre ? Ou peut-être que je me trompe complètement, il demande pour relancer la conversation.
- Je pourrais te montrer le résultat final. Et comme tu as commencé à me donner des conseils, si j’ai un autre problème avec cette pièce, il faudra t’attendre à de nouveau être dérangée, il conclut avec un léger sourire taquin.
L’enthousiasme de Yu Jeong le fait sourire. Elle a l’air de se plaire dans son cursus et c’est une bonne chose. Il plains sincèrement tous ceux qui se forcent à suivre des études pour se plier aux exigences de leurs parents, de la société… Alors oui, ils auront peut-être, plus tard, une bonne situation, mais ce n’est pas garantie… Pourquoi bafouer ses principes et sa santé mentale pour des incertitudes ? Du moins, ce n’est pas sa façon de voir les choses. Hak Kun n’a pas hésité à tenir tête à son père, ni à tourner le dos à sa famille pour vivre sa vie comme il l’entend. Il a blessée sa mère dans cette histoire, il le sait. Il ne pouvait pas se résoudre à suivre la vie que son père voulait lui imposer. Il ne supporte pas son paternel et encore moins ses mœurs arriérés. Il se fera un nom dans la mode et il lui prouvera qu’il avait tort.
- C’est ça. Je viens de commencer ma première année.
Malgré son âge qui approche lentement de la trentaine. Il faut dire qu’il a un parcours plutôt… Atypique. Hak Kun a laissé tomber les études après le lycée pour travailler. Il a enchaîné les petits boulots jusqu’à aujourd’hui. Il travaille toujours à côté de ses études, car il n’a pas le choix, mais il reprend son avenir en mains dirons nous.
- Mes débuts en couture ont été progressifs. J’ai commencé jeune, mais ce n’était pas très régulier et ma mère supervisait tout avec beaucoup d’attention. Disons que j’ai commencé à me passionner de couture à cet âge et progressivement j’ai pratiqué plus régulièrement.
Au grand dam de son père… S’il savait qu’Hak Kun s’est inscrit à l’université, il serait certainement fier, jusqu’à ce qu’il sache dans quel domaine… Il n’a plus de contact avec ses parents, alors évidemment, il ne les a pas mis au courant. Hak Kun est certain que sa mère le soutiendrait. Elle n’a jamais cherché à étouffer son intérêt pour la mode, le tissu, la création… Bien au contraire.
Yu Jeong ne se trompe pas. Hak Kun a tendance à flirter naturellement. Il en joue beaucoup. Ce n’est pas pour autant que l’idée de tromper Soo Bin lui traversera l’esprit, il est bien trop amoureux. Il aime juste jouer… Il a déjà été contraint de briser des cœurs, mais Hak Kun n’a pas changé pour autant.
- C’est gentil, il répond avec un sourire.
En général, quand il a besoin d’un mannequin féminin, il demande à Soo Bin. Elle se prête volontiers au jeu.
La réponse de Yu Jeong concernant ce qu’elle préfère coudre ne l’étonne pas tant que ça… Hak Kun trouve que cela va bien à la personnalité qu’elle semble dégager. Il ne peut pas prétendre la connaître, ils ne discutent que depuis quelques minutes, mais c’est ce qu’il ressent.
- Hm… J’aime bien coudre des vêtements féminins, c’est ce qui m’inspire le plus. Et ma petite-amie est ravie de ne pas toujours avoir besoin de faire les boutiques, si elle repère quelque chose qui lui plaît et que je suis capable de faire quelque chose dans le même style, je suis son couturier personnel. En échange, c’est souvent elle qui me sert de cobaye pour les essayages ou pour prendre des mesures quand j’ai besoin d’un modèle. Je ne sais pas si j’ai vraiment de spécialité, j’aime tout tester, différentes coupes, différents types de tissus, différentes pièces… Ce n’est pas toujours une réussite évidemment, mais c’est en faisant des tests et des erreurs qu’on apprend. Je couds aussi des accessoires de temps en temps, des choses qui peuvent être pratiques, mais mon premier amour reste la confection de vêtement je pense, que ce soit les dessiner ou les créer. Parfois mon esprit s’emballe et je me rends compte après le dessin, que tout ne sera techniquement pas possible…
D’autant plus qu’Hak Kun ne prétend pas tout savoir. Il y a des choses qu’il ne sait pas coudre avec ses compétences actuelles, mais il ne demande qu’à apprendre. C’est pour cela qu’il s’est inscrit à l’université après tout.
- Je ne sais pas encore si je préférerai être styliste ou modéliste plus tard… Trouver un poste qui mélange les deux serait l’idéal je pense.
Si Hak Kun va jusqu’au bout de son ambition, il aimerait travailler dans la haute couture et pourquoi pas… Lancer sa propre marque. Il a confiance, avec du travail il peut y arriver, mais il faut laisser du temps au temps.
- Je veux bien l’adresse. C’est toujours utile.
La visite continue et Hak Kun reste attentif, Yu Jeong prend la peine de l’aider à se repérer dans le bâtiment, autant en profiter.
- Et donc plus tard tu voudrais faire quoi ? Créer des costumes pour des grandes productions ? Plutôt au cinéma, au théâtre ? Ou peut-être que je me trompe complètement, il demande pour relancer la conversation.
Still into you
“I should be over all the butterflies, but I'm into you and, baby, even on our worst nights, I'm into you. Let 'em wonder how we got this far, 'Cause I don't really need to wonder at all...”
Bae Yu Jeong
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Re: Et de fil en aiguille | Hakkun & Yujeong | Sam 4 Nov - 21:44 Citer EditerSupprimer
Et de fil en aiguille
feat. @Noh Hak Kun
outfit ⏤ Tu rayonnes quand il te dit qu'il te montrera le résultat final. Oh, tu as hâte ! « Ce n'est jamais du dérangement quand c'est pour de la couture. » Tes mots sont sincères, tu es toujours d'attaque quand il s'agit de couture, d'aider quelqu'un dans le domaine. Bon, évidemment, il y a des moments où tu seras plus embêtée, parce que tu as des travaux à rendre et tout ça, mais tu feras toujours ton possible pour aider.
En première année, comme tu l'avais deviné. Tu ne peux pas t'empêcher de sourire fièrement quand il confirme tes pensées. Tu écoutes ses explications, hochant la tête doucement à ses mots. Initié par sa mère ? C'est adorable. C'est le genre de lien que tu aurais aimé avoir ta propre mère. Tu ne peux pas t'empêcher de t'interroger sur la raison pour laquelle sa mère a commencé à l'initier à la couture, il faut dire que ce n'est pas particulièrement commun comme hobby pour un homme, la couture étant traditionnellement associée aux femmes. Enfin, sauf quand on parle de haute couture, mais mieux vaut ne pas te lancer sur le sujet.
La discussion part naturellement sur ce que vous préférez coudre, et tu es surprise d'apprendre qu'il a une copine, vu son attitude flirty. Mais en l'entendant parler, tu comprends assez intuitivement qu'entre eux c'est du sérieux, et un sourire doux vient étirer tes lèvres. Tu admets, tu es un peu jalouse, toi aussi tu voudrais quelqu'un dans ta vie qui te permette de vivre pleinement ta passion et de partager tes créations et tes compétences. Un rire amusé t'échappe sur la fin de sa déclaration. « Bienvenue au club ! C'est fréquent et frustrant mais ça m'arrive aussi souvent d'imaginer des tenues, de commencer à dessiner les patrons... avant de me rendre compte qu'en fait ça ne tiendra pas la route. » Une déception que tu connais bien, et pour preuve tu as une farde pleine de ces croquis trop rêveurs, que tes compétences ou les techniques actuelles ne peuvent pas rendre réels.
Sortant ton téléphone, tu ouvres ta map personnalisées et sélectionnes rapidement l'adresse que tu cherches, l'affichant en grand pour montrer à Hakkun. « Tiens, enregistre le QR code, tu auras toutes les infos ! » Ah, la magie de la technologie. Tu ne pourrais pas t'en passer, honnêtement...
Ce que tu voudrais faire plus tard ? « C'est vraiment compliqué comme question, ça... » La vérité est que ton coeur oscille entre tellement de choses et elles ne semblent pas réellement compatibles. D'un côté, tu adores coudre des vêtements de tous les jours, tu es même fière de dire que ta garde-robe et celle d'Eunji sont à nonante pourcent cousus main... mais tu aimes aussi les paillettes et le glamour, créer des tenues époustouflantes qui ont plus leur place sur un tapis rouge ou une scène de film qu'autre chose. « Je pense que j'adorerais travailler dans le monde des costumes de scène et des tenues glamour... mais c'est un domaine tellement bouché déjà... » C'est compliqué de se faire un nom dans un monde aussi rempli de jeunes talents prêts à tout pour se démarquer. Pour rebondir sur ses propres interrogations, à savoir s'il veut plus aller en stylisme ou modélisme, voire dans un milieu permettant les deux, tu lances avec un sourire complice : « Si tu veux un monde qui concile les deux, je pense que tu devrais fonder ta propre marque alors ! » Petite boutade typique de couturiers qui veulent trop en faire, et c'est normal.
« Et bien, nous avons fait le tour des installations principales. Tu verras, on trouve rapidement nos marques ici. » Et au pire il y a toujours des gens dans le coin qui pourront l'aider. Et toi, aussi. Faut dire que tu passes un certain temps ici. « N'hésite pas si tu as la moindre question,que ce soit sur la section ou même l'université de manière générale. » Il faut bien que tes nombreuses années passées à Yonsei servent, parfois.
En première année, comme tu l'avais deviné. Tu ne peux pas t'empêcher de sourire fièrement quand il confirme tes pensées. Tu écoutes ses explications, hochant la tête doucement à ses mots. Initié par sa mère ? C'est adorable. C'est le genre de lien que tu aurais aimé avoir ta propre mère. Tu ne peux pas t'empêcher de t'interroger sur la raison pour laquelle sa mère a commencé à l'initier à la couture, il faut dire que ce n'est pas particulièrement commun comme hobby pour un homme, la couture étant traditionnellement associée aux femmes. Enfin, sauf quand on parle de haute couture, mais mieux vaut ne pas te lancer sur le sujet.
La discussion part naturellement sur ce que vous préférez coudre, et tu es surprise d'apprendre qu'il a une copine, vu son attitude flirty. Mais en l'entendant parler, tu comprends assez intuitivement qu'entre eux c'est du sérieux, et un sourire doux vient étirer tes lèvres. Tu admets, tu es un peu jalouse, toi aussi tu voudrais quelqu'un dans ta vie qui te permette de vivre pleinement ta passion et de partager tes créations et tes compétences. Un rire amusé t'échappe sur la fin de sa déclaration. « Bienvenue au club ! C'est fréquent et frustrant mais ça m'arrive aussi souvent d'imaginer des tenues, de commencer à dessiner les patrons... avant de me rendre compte qu'en fait ça ne tiendra pas la route. » Une déception que tu connais bien, et pour preuve tu as une farde pleine de ces croquis trop rêveurs, que tes compétences ou les techniques actuelles ne peuvent pas rendre réels.
Sortant ton téléphone, tu ouvres ta map personnalisées et sélectionnes rapidement l'adresse que tu cherches, l'affichant en grand pour montrer à Hakkun. « Tiens, enregistre le QR code, tu auras toutes les infos ! » Ah, la magie de la technologie. Tu ne pourrais pas t'en passer, honnêtement...
Ce que tu voudrais faire plus tard ? « C'est vraiment compliqué comme question, ça... » La vérité est que ton coeur oscille entre tellement de choses et elles ne semblent pas réellement compatibles. D'un côté, tu adores coudre des vêtements de tous les jours, tu es même fière de dire que ta garde-robe et celle d'Eunji sont à nonante pourcent cousus main... mais tu aimes aussi les paillettes et le glamour, créer des tenues époustouflantes qui ont plus leur place sur un tapis rouge ou une scène de film qu'autre chose. « Je pense que j'adorerais travailler dans le monde des costumes de scène et des tenues glamour... mais c'est un domaine tellement bouché déjà... » C'est compliqué de se faire un nom dans un monde aussi rempli de jeunes talents prêts à tout pour se démarquer. Pour rebondir sur ses propres interrogations, à savoir s'il veut plus aller en stylisme ou modélisme, voire dans un milieu permettant les deux, tu lances avec un sourire complice : « Si tu veux un monde qui concile les deux, je pense que tu devrais fonder ta propre marque alors ! » Petite boutade typique de couturiers qui veulent trop en faire, et c'est normal.
« Et bien, nous avons fait le tour des installations principales. Tu verras, on trouve rapidement nos marques ici. » Et au pire il y a toujours des gens dans le coin qui pourront l'aider. Et toi, aussi. Faut dire que tu passes un certain temps ici. « N'hésite pas si tu as la moindre question,que ce soit sur la section ou même l'université de manière générale. » Il faut bien que tes nombreuses années passées à Yonsei servent, parfois.
Noh Hak Kun
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Célébrité : Yoon Jeong Han (Seventeen).
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Âge : 27
Célébrité : Yoon Jeong Han (Seventeen).
Crédits : Cosmic.
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Re: Et de fil en aiguille | Hakkun & Yujeong | Dim 26 Nov - 13:12 Citer EditerSupprimer
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Et de fil en aiguille
feat. @Noh Hak Kun
outfit ⏤ Cette passion commune pour la couture ravi Hak Kun. Il ne pouvait pas espérer mieux comme première rencontre à l’université. Il espère croiser de nouveau Yu Jeong dans les couloirs, mais quelque chose lui dit que s’il passe lui aussi du temps dans l’atelier, il la reverra. Il pourra même en profiter pour lui demander conseil. Sa précédente remarque était pertinente. Hak Kun déteste l es prétentieux, qui pensent tout savoir mieux que tout le monde et qui se permettent des critiques sans aucun fondement. Quand c’est comme ça, Hak Kun a tendance à se braquer. Il faut dire qu’il n’est pas toujours ouvert à la critique. Tout dépend de comment cela est fait… Yu Jeong a eu assez de tact et elle lui a bien prouvé qu’elle s’y connaissait dans le domaine. Puisqu’il y a aussi une autre catégorie de personnes qu’Hak Kun méprise : ceux qui se croient supérieurs alors qu’ils n’ont pas les compétences qui vont avec. C’est bien connu, le talent et la connaissance, c’est comme la confiture moins on en a plus ou l’étale. Sur cette petite note philosophique, Hak Kun explique la jeune femme comment il en est arrivé à faire de la couture. En parler le rend nostalgique… Il n’a pas adressé la parole à sa mère depuis longtemps maintenant…
- C’est frustrant, mais aussi challengeant. C’est motivant pour apprendre de nouvelles techniques et enfin tenter de réaliser des pièces qui au départ nous paraissaient trop ambitieuses.
La curiosité d’Hak Kun est piquée lorsque Yu Jeong lui parle d’une boutique, qui semble être sa favorite. A l’écouter parler, cette mercerie est une pépite de la capitale sud-coréenne.
- Merci !
Le précieux QR code enregistré dans son téléphone, Hak Kun se promet d’y faire un saut bientôt. Il adore découvrir de nouvelles boutiques et passer au peigne fin leur stock de tissu, boutons, breloques, et autres accessoires pour laisser libre court à sa créativité en couture. Soo Bin lui dit souvent qu’il devrait arrêter d’acheter et utiliser d’abord tout ce qu’il range dans de multiples boites à la maison. Sauf qu’Hak Kun est un acheteur compulsif et qu’il a toujours de très bonnes idées pour utiliser tel ou tel objets sur le moment. Malheureusement, il a tellement d’idées qu’il ne peut pas tout concrétiser et les superbes boutons achetés pile pour confectionner une veste précise, dorment dans un tiroir. Il doit aussi reconnaître qu’il y a de ces achats où il trouve tout simplement un tissu magnifique, sans savoir quoi en faire, mais « il trouvera bien une idée originale », pour finalement ne les utiliser qu’un ou deux ans plus tard.
- C’est vrai que ce doit être un milieu passionnant et pouvoir confectionner ces magnifiques tenues, un réel plaisir. Tu ne devrais pas baisser les bras, si tu n’essaies pas, tu ne sauras jamais si ça fonctionnera ou pas, il tente pour l’encourager.
Il a lui-même faillit ne jamais concrétiser ses ambitions de travailler dans la mode. Certes, il n’en est pas encore là, mais s’inscrire à ce cursus, est déjà un premier pas dans cette direction. Chaque chose en son temps, c’est ce que Soo Bin lui répète toujours, quand elle fait face au tempérament impatient de son petit-ami.
- Honnêtement, c’est mon ambition à long terme, mais tu sais tout comme moi que c’est un long processus. Je ne désespère pas pour autant, un jour j’aurais ma propre marque.
Soyons clairs, Hak Kun n’a pas l’intention de rivaliser avec les plus grandes marques de haute-couture comme Yves Saint-Laurent, Prada ou encore Armani. Du moins, pas au départ… Petit à petit, qui sait… Il ne faut pas s’interdire de rêver en grand, ça pousse à aller de l’avant, du moins, avec Hak Kun ça fonctionne.
- Merci pour ton aide, que ce soit avec mon croquis ou la visite des locaux. Je te revaudrais ça. Si tu as besoin d’aide un jour, je devrais aussi passer pas mal de temps dans les environs, alors on devrait se croiser de temps en temps !
Sinon, pour garder contact, il y a aussi le téléphone, mais ils se connaissent à peine, ce serait un peu bizarre de lui demander son numéro maintenant ?
- Je ne vais pas te retenir plus longtemps, je vais te laisser retourner travailler sur cette jolie veste. J’espère que j’aurais le droit de l’admirer une fois terminée !
- C’est frustrant, mais aussi challengeant. C’est motivant pour apprendre de nouvelles techniques et enfin tenter de réaliser des pièces qui au départ nous paraissaient trop ambitieuses.
La curiosité d’Hak Kun est piquée lorsque Yu Jeong lui parle d’une boutique, qui semble être sa favorite. A l’écouter parler, cette mercerie est une pépite de la capitale sud-coréenne.
- Merci !
Le précieux QR code enregistré dans son téléphone, Hak Kun se promet d’y faire un saut bientôt. Il adore découvrir de nouvelles boutiques et passer au peigne fin leur stock de tissu, boutons, breloques, et autres accessoires pour laisser libre court à sa créativité en couture. Soo Bin lui dit souvent qu’il devrait arrêter d’acheter et utiliser d’abord tout ce qu’il range dans de multiples boites à la maison. Sauf qu’Hak Kun est un acheteur compulsif et qu’il a toujours de très bonnes idées pour utiliser tel ou tel objets sur le moment. Malheureusement, il a tellement d’idées qu’il ne peut pas tout concrétiser et les superbes boutons achetés pile pour confectionner une veste précise, dorment dans un tiroir. Il doit aussi reconnaître qu’il y a de ces achats où il trouve tout simplement un tissu magnifique, sans savoir quoi en faire, mais « il trouvera bien une idée originale », pour finalement ne les utiliser qu’un ou deux ans plus tard.
- C’est vrai que ce doit être un milieu passionnant et pouvoir confectionner ces magnifiques tenues, un réel plaisir. Tu ne devrais pas baisser les bras, si tu n’essaies pas, tu ne sauras jamais si ça fonctionnera ou pas, il tente pour l’encourager.
Il a lui-même faillit ne jamais concrétiser ses ambitions de travailler dans la mode. Certes, il n’en est pas encore là, mais s’inscrire à ce cursus, est déjà un premier pas dans cette direction. Chaque chose en son temps, c’est ce que Soo Bin lui répète toujours, quand elle fait face au tempérament impatient de son petit-ami.
- Honnêtement, c’est mon ambition à long terme, mais tu sais tout comme moi que c’est un long processus. Je ne désespère pas pour autant, un jour j’aurais ma propre marque.
Soyons clairs, Hak Kun n’a pas l’intention de rivaliser avec les plus grandes marques de haute-couture comme Yves Saint-Laurent, Prada ou encore Armani. Du moins, pas au départ… Petit à petit, qui sait… Il ne faut pas s’interdire de rêver en grand, ça pousse à aller de l’avant, du moins, avec Hak Kun ça fonctionne.
- Merci pour ton aide, que ce soit avec mon croquis ou la visite des locaux. Je te revaudrais ça. Si tu as besoin d’aide un jour, je devrais aussi passer pas mal de temps dans les environs, alors on devrait se croiser de temps en temps !
Sinon, pour garder contact, il y a aussi le téléphone, mais ils se connaissent à peine, ce serait un peu bizarre de lui demander son numéro maintenant ?
- Je ne vais pas te retenir plus longtemps, je vais te laisser retourner travailler sur cette jolie veste. J’espère que j’aurais le droit de l’admirer une fois terminée !
Still into you
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