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TW: Agression, menace, rabaissement, insulte envers les Américains.

Lecture, écriture, relecture.
Il n’a pas une seconde qui s’échappe sans qu’une femme à la chevelure d’or ne quitte son écran. Laissant ses doigts tapoter les touches noires d’un clavier. Un claquement devenant énervant dans ce café populaire. Autour d’elle, les gens se rassemblent pour discuter tendis que d’autres travail sur des projets. Pour cette demoiselle, il était loin le temps des études. Non qu’elle ne marche pas la tête haute dans l’une des prestigieuses universités de la Corée du Sud. Mais plutôt que son focus n’était pas destiné à ses travaux scolaires dont elle avait l’habitude. Le dernier ouvrage de sa sage littéraire était publié. Le commentaire était divers. Plusieurs négatifs et d’autres très positifs. L’opinion des gens ne peut pas être toute similaire. Valentina n’est pas rancunière sur ce point. Disons plutôt qu’elle est enchantée d’améliorer ses écrits avec le temps. Pour le moment, il s’agissait pas d’amélioration. Elle était plutôt plongée dans un univers imaginaire. Laissant le récit prendre forme dans sa tête. Imaginant le personnage principal et celui qui fera battre son cœur. S’inspirant de sa propre aventure. Une étrangère plongeant tête première dans le pays loin du sien. Tout semblait si facile. V était assis sur cette chaise depuis trois heures. Accumulant les cafés au coin de celle-ci. Souriant à une connaissance qui y travaillait. Puis tout s’écroule. L’univers céda à une tout autre réalité, la sienne. V sursaute lorsque le téléphone posé sur sa table se met à sonner. Il faut dire qu’il ne sonne jamais d’habitude, alors elle est surprise par ce son strident et horrifique qui casse l’ambiance du lieu. Adieu petite musique douce à l’allure de jazz et bonjour son ténébreux sortant d’un film. Dire que la chanson du générique des Marvel venait de surprendre tout le monde. Résonnant au milieu du café moyennement silencieux. Honteuse, elle s’excuse en rajoutant sa fameuse carte de l’étrangère. Pouvait-il encore la pardonner avec ses allures de fée clochette. Ne répondant aucunement, elle déclina l’appel inconnu et ferma le volume de l’appareil. Valentina reposa le téléphone et glissa la pâtisserie qui reposa depuis des lustres sur sa table vers elle. Le bout de la fourchette s’enfonça dans ce gâteau chocolaté. Écrasant la garniture blanche pour se rendre entrent les lèvres de la demoiselle. Heureuse de pouvoir combler cette fringale. Ce n’est pas bon pour sa ligne. La diète devait être mise de l’avant et pourtant la demoiselle aimait un peu trop la bonne nourriture. Prise par cet instant de pure joie gustative. Trop prise par ce moment de délice pécheresse, la jeune écrivaine n’aperçut à peine la scène qui se déroula au coin de l’œil. Les voix s’élèvent.  Autour d’eux personne ne réagit. Toutes surpris par l’affront et le comportement des étrangers. Deux hommes blancs se tiennent debout près du troisième homme. L’insultant et attrapant celui-ci par le collet du chandail. Les insultes qu’il prononce sont bien trop communes pour Valentina. Des expressions typiques de chez elle. Se levant en marchant d’un pas rapide vers eux. Elle posa la main sur l’américain. « Calme-toi ! » L’inconnu la repousse. « Ferme là ! » Prise de panique. La demoiselle posa les yeux sur le coréen. L’américain continua à l’insulter en lui disant qu’un imbécile mal éduqué devrait apprendre les bonnes manières. « Hey ! Tu n’es pas dans ton pays de merde ! Tu es en Corée sale pourriture ! Alors tu te calmes ! Tu es une vraie honte pour les Américains ! » Valentina tente de lui faire lâcher prise, mais son ami s’approche et la repousse en lui ordonnant de laisser les hommes gérer cela. Elle serre les poings pris d’une colère noire d’être prise pour une lavette. La blonde se retient de lui coller une droite. Elle n’a pas envie de s’assoir sur une chaise dans un commissariat et appelée les deux seules personnes qui peut la sortir de là. Calme-toi, doux, doux tente-t-elle de se dire pour se détendre.

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L’injustice n’est pas un mot qui doit figurer sur les pages du dictionnaire de le jeune espagnol. Bien qu’il s’agisse d’un mépris ou d’un jugement non fondé. Il n’en reste pas le moindre que cette action qui se déroule devant ses yeux la répugne. Elle ne pourrait mentir sur l’image que certains Américains viennent à refléter par leurs cupidités, leurs manques de savoir-vivre et le complexe de Napoléon. Sans oublier que plusieurs d’entre eux porteraient une couronne des crânes beaucoup trop enflé pour être retenus correctement. Ce drapeau qui a accueilli ses défunts parents est certainement l’un des pays les plus racismes et méprisent qu’elle a vu. Chaque contrée possède une vision bien différente des gens ‘’étranger’’. Soupirant et ce levant prise par le désir d’intervenir tel un super héros nullissime à devenir. Valentina tente bien que mal d’intervenir en se faisant repousser par le signe. Voulant séparer le primate de l’homme. Ce n’est pas un succès qui se présente devant elle. Une grande carrure devant la fine qui est sienne. Sa position de perdante allait devenir réalité. « Non, mais vous avez commencé ! Sortez votre cul d’ici. » Leurs rires montent en niveau sonore. Méprisant encore plus l’innocent. L’insultant de plus belle. Sous l’étouffement de surprise. V aperçut un revirement de situation. Il traine à l’extérieur le débile blond pour laisser un libre de mouvement. Le deuxième prend la pâtisserie de l’inconnu et lui claque au visage. Il rigole en balançant un commentaire des plus raciste envers ses origines. Plus personne ne parla. Pas personnes osèrent agir. Avançant en prenant le poignet de Jeong Hui, la blonde tenta de retenir. « Laisse faire les touristes. Les Américains se croient tout permis. » Son coréen fut entouré de ce gros accent qui lui appartient. L’émotion ne l’aidait à rien. Pour toute réponse, l’idiot se moque de lui encore plus. Son compagnon leva ses deux majeurs devant la fenêtre de la porte..

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Il y a quelques minutes auparavant, sa présence dans ce lieu mythique était simplement pour se reposer. Trouver un instant de répit pour s'assoir et laisser son imagination prendre place pour la nouvelle périphérie qui prenait forme sur word. Hélasse, un groupe d'enfants ou adolescent sorti de leurs majorités ont prient la chance de festoyer sous les menaces ridicules. L'un d'eux venait tout juste de se faire à la porte du commerce que l'autre ne rajoutait un grain de sel. À toute évidence, nous ne sommes pas au New York ou dans une ville populaire d'un des cinquante états. Roulant des yeux sous le réconfort qu'elle trouve malgré tout de cette situation. V peut remercier Dieu que nous ne sommes pas aux États-Unis, car depuis belle lurette il aurait une arme braquer sur le coréen. « HEY ! Ne viens pas me mettre dans le même sac de merde qu’eux ! » Est-ce une insulte pour cette blonde qui tente bien que mal de devenir coréenne d’adoption. Elle ne pourrait jamais l’être à cent pour cent. C’est la triste réalité derrière cette claque invisible. Valentina voulait tendre la main pour tenter de nouveau de le calmer, mais le jeune homme s’approcha de son assaillant pour lui coller une droite. Jurant comme un homme de chantier. Elle avança alors que l’autre idiot vient en aide à son ami. Grognant entre ses lèvres en ne réfléchissant pas. La fée clochette fonce sur le premier idiot, lui sautant au cou. Lui balançant des insultes en anglais, espagnol et coréen. C’était déjà trop tard, un employé parlait au téléphone et les appareils téléphoniques pointaient droit devant eux.

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La parole vient de nouveau la poignarder directement où ça fait mal. La vérité n’aurait pas être plus déstabilisante que celle venant d’être prononcée. Née de parents migrants et obtenant dès la naissance cette nation sans son avis. Toute sa jeunesse, il avait eu se mal de s’identifier. Celle de rejeter un pays qu’elle trouve misogyne, dégradante et imbue de lui-même. Toutes les valeurs qu’elle ne souhaite aucunement être identifiée. Pourtant voilà que l’image de la bannière étoilée lui colle à la peau. Devenir un rejet pour son groupe ethnique pour ses différences n’est pas  plaisant. Ce n’est pas la première fois. Elle devait avoir l’habitude pourtant ce genre de commentaire la déstabilise toujours autant. Elle est fière de ses origines ! La génétique lui a offert de magnifiques traits. Sauf qu’elle est attachée à ce lieu. Valentina marche dans les rues de la ville en ayant la tête levée. Imaginant pouvoir un jour trouver sa véritable place. Sauf que pour le moment, il venait de l’envoyer promener. Jurant entre ses lèvres tout en lançant dans ses langues. La fauve au pelage d’or fonça sur l’autre adversaire. Frappant sur sa tête et ses épaules. Il reculant pour la plaquer contre le mur. Sa tête bondit vers l’arrière et elle chuta. Ses fesses percutent le sol. Sonner sur le coup. La blonde se releva sous les menaces de monsieur et fonça vers lui. Enroulant ses bras autour de sa taille.  Joignant ses deux mains derrière son large dos. Alors qu’elle gueule entre l’un de ses dialectes. L’Américaine sent deux paumes serrer ses épaules pour la repousser vers l’arrière sauf qu’elle se colla plus à lui. Copiant une sangsue, elle se penche vers l’avant alors que sa jambe accroche la sienne pour le faire chuter vers l’arrière. Elle s’écroule en même temps alors que s’assoit dessus son torse. Le poing levé vers lui alors qu’une main se pose sur ton épaule de nouveau. Levant la tête en gueulant, le visage de Valentina a perdu toute sa teinte. Un policier lui ordonna de se calmer et se lever. Écoutant par vigilance. L’autre idiot allait attaquer, mais un policier le retient. Dans sa bienveillance, elle ne riposte pas. Écoutant les consignes. Baissant la tête. Mise dans la voiture en regardant par la fenêtre de la voiture pour regarder ce qui se passe. Soulager de voir un agent sortir avec ses choses. Soupirant de nouveau. Elle se laisse tomber contre le siège. « C’est ta manière de dire merci ? » Tournant la tête et observant les deux idiots à l’extérieur. Son regard retourne vers l’inconnu et le rire frôle ses lèvres. Venait-elle de réaliser son erreur. « J’espère que ça ne tachera pas mon dossier… En pensant, je suis V. »Son état mental se laisse apporter par l'anxiété. Les questions immergées. La crainte de tout perdre ce qu'elle a entrepris la frappe. Est-ce qu'elle pourra continuer ses études et sa future demande d'immigration ? Une chose est sur V contactera Young Won pour qu'il vienne l'aider encore une fois.